24ème journée : UBB / Agen

Où sont les Tongiens ??

Bye bye Agen !!!!

Allez l'UNION !!!!!

Envie 'y croire !!!!

M.C.47 a écrit:

luberon a écrit:

Damier-Muzard a écrit:Voici la composition d'Agen donnée par Rugbyrama

Le XV de départ: Dulin - Vaka, Ahotaeiloa, Robinson, Tian - (o) Barnard, (m) Machenaud - Badenhorst (cap.), Giraud, Monribot - O'Connor, Senekal - Muller, Narjissi, Telefoni.

Remplaçants: Janaudy, Cabarry, Lassalle, Erbani, Balès, Pelesasa, Avramovic, Sheklashvili.

:musard:

Sans leurs tongiens Fono,Fonua et Fa'Aoso cette équipe est quand même trés diminuée question "puissance" !!

La semaine dernière contre TOULON, nous avions la même composition d'équipe a un joueur prés puisque PELESASSA edst remplacé par MANU AHEATEILOA. Je pense que cela va vous arranger car moins bon que JUNIOR PELESASSA.Nous verrons bien demain...........

C'est super pour l'UBB, rappelez-vous on avait fait la même erreur contre Lyon.
A peine 1 semaine après un gros match, les gars sont à 60%, et on a vu ce que ça a donné à Lyon !
Je sens que tout à l'heure on va croquer des pruneaux jusqu'aux noyaux !

COURAGE ET CONFIANCE
GRAND MATCH ET UNE BONNE VICTOIRE CETTE APRES MIDI ET ON SE TIRE DE CETTE SITUATION.
COURAGE AU LOU AUSSI

http://www.sudouest.fr/2012/04/21/le-plus-important-694259-8.php

« Le plus important »
Au pied du mur, le demi de mêlée Heini Adams et les Bordelais jouent une carte décisive pour le maintien cet après-midi.

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Heini Adams, l'accélérateur du jeu girondin, devra faire cet après-midi avec la pluie annoncée. (photo fabien cottereau)

Le face-à-face est savoureux. D'un côté Maxime Machenaud, enfant du Stade Bordelais puis du CABBG, qui fera pour la première fois son retour sur la pelouse d'un stade André-Moga où il est toujours très apprécié. De l'autre, Heini Adams, qui lui a succédé à la mêlée de l'Union Bordeaux-Bègles en 2010, devenant à son tour coqueluche du lieu par ses performances et sa fraîcheur. Mais cet après-midi, ce seront surtout l'ancien Springbok - aussi décontracté en dehors que déterminé dès qu'il entre sur le terrain - et ses coéquipiers qui joueront très gros.

« Sud Ouest. » Dans quel état d'esprit êtes-vous ?

Heini Adams. L'équipe est bien dans la tête et concentrée. Nous savons ce que nous avons à faire. Samedi (aujourd'hui, NDLR) est le jour le plus important pour nous, on verra, mais je crois qu'on sera prêt.

Il y a forcément un peu d'appréhension, de doute. Mais je connais ce groupe : quand on a besoin de gagner, il sait répondre présent. On veut rester en Top 14. Il faut croire en nous et ne penser qu'à ça.

Les descentes n'existent pas dans l'Hémisphère Sud. L'approche est différente ?

Mais la pression, je l'avais aussi toujours avec les Bulls (en Super 15, NDLR) même si c'était dans l'autre partie du tableau. Pour moi, c'est la même chose. Ça dépend de ce que tu mets.

Tous les matchs sont pareils : nous avons besoin à tout prix de remporter celui-là mais ça ne viendra que si collectivement nous nous appuyons sur ce que nous avons fait toute l'année, nous réussissons à faire le match parfait. C'est comme une finale. Nous l'avons déjà réussi cette saison, nous sommes capables de le refaire. Après, personnellement à mon poste, et les autres joueurs d'expérience, nous devons garder notre calme et tirer avec nous le reste de l'équipe.

Comment expliquez-vous que la formation ait alterné autant de hauts et bas cette saison ?

C'est une question de concentration. La compétition est dure et parfois, nous avons eu des baisses à ce niveau. Contre Toulouse à Chaban-Delmas, l'équipe a joué à 110 %, et nous avons perdu la semaine suivante la détermination nécessaire. Nous n'étions pas prêt dans la tête à Lyon. Mais toutes les semaines sont aussi importantes. Ça ne sert à rien de revenir en arrière ou de se projeter. L'important, c'est samedi.

Qu'est-ce qui manque dans le jeu pour être plus régulier ?

Nous laissons parfois échapper des opportunités, en lâchant parfois des ballons, on se met en difficulté en prenant des essais faciles, en étant moins durs. Il faut répéter Toulouse, notre meilleur match en défense, où nous avons su être réalistes. Nous ne devons rien laisser passer.

Des averses sont annoncées. Ca vous impose de modifier le jeu ?

Non. Depuis le premier match, notre philosophie est la même et il n'y a pas de raison de changer. Après, évidemment, selon les conditions, il faudra s'adapter, être encore meilleur sur nos percussions des avants, attaquer la défense différemment, s'inspirer de ce qu'on a fait contre Toulouse ou Castres (à l'aller, NDLR). Mais je ne crois pas qu'il faille qu'on se pose trop de questions, mais qu'on s'appuie sur ce qu'on a su faire lors de nos victoires.

Il y a eu en ce début d'année l'accident vasculaire cérébral de Laurent Armand (lire ci-dessous), l'annonce du départ de Marc Delpoux. Ça a impacté ?

Évidemment, ça m'a affecté. Laurent est constamment dans notre tête. Mais il faut continuer à avancer, s'adapter. Ça a changé les choses, car c'est un bon coach, un bon mec qui nous manque. C'est pareil pour Marc. Mais quoi qu'il se passe en dehors, ou qu'il se passera après, ce sont nous les joueurs qui avons notre destin en mains. On a tous le même objectif, c'est de rester en Top 14.

Vous avez resigné. Vous vous imaginez retourner en Pro D2 ?

Depuis le début, je crois qu'on va rester en Top 14. Si j'ai resigné, c'est justement parce que j'ai confiance dans les autres joueurs, le talent de cette équipe, dans le club. Si on perd on sera vraiment, vraiment en danger mais je n'ai pas peur car je sais contre n'importe qui, n'importe où nous sommes capables de gagner. Et je suis convaincu que ça se passera bien contre Agen.


http://www.sudouest.fr/2012/04/21/c-est-l-heure-de-verite-694474-773.php

Par Nicolas LE GARDIEN

Union Bordeaux-Bègles - Agen : c'est l'heure de vérité pour le maintien

L'UBB avait annoncé que son maintien se jouerait dans les trois dernières journées. Elle y est, sans aucune marge de manœuvre.

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Pour Andrew Mailei et l'UBB, la donne est claire : il faut gagner deux fois en trois matchs pour se maintenir. (photo fabien cottereau)

Ses exploits, ses désillusions, ses joies, ses frustrations, l'arbitrage, le résultat des autres, la machine à calculer, ses doutes, ses questions, ses analyses, l'avenir… Ce matin, l'Union Bordeaux-Bègles peut ranger dans un tiroir tout ce qui a fait le piment de sa saison 1 en Top 14, qui aura donc été passionnante de bout en bout et s'affirme par ailleurs la plus serrée de l'histoire du genre.

Le président Laurent Marti et le manager Marc Delpoux avaient éventé le suspense dès la parution du calendrier : le maintien se jouerait probablement dans les trois derniers épisodes. Les y voilà et les leurs n'ont plus de questions à se poser. S'il était écrit depuis plusieurs mois que ce derby de la Garonne serait un - le - rendez-vous décisif, il était plus difficilement imaginable après l'exploit face à Toulouse il y a un mois que l'UBB se retrouvait dans une position aussi inconfortable.

Entre-temps, Brive a battu Toulon, Biarritz a dominé Clermont et Bayonne a réglé le derby basque, obligeant les Girondins, faisant chou blanc à Lyon puis Castres, à faire de même pour rester en Top 14 : être aux rendez-vous à domicile, aujourd'hui forcément et très probablement face à Perpignan le 12 mai.

Couperet, les retrouvailles toujours chaudes avec le SUA ? Pas à 100 %. Parce qu'en cas de victoire, il faudra à l'Union encore gratter des points (un à cinq selon les résultats des autres) pour se mettre à l'abri ; qu'en cas de défaite, elle garderait une chance minime de se sauver en allant arracher une improbable victoire à Brive ou/et en comptant sur des circonstances miraculeuses ailleurs. Mais au sortir de cette 24e journée, elle basculera de l'un ou de l'autre des côtés et si c'est du mauvais, ce sera très, très compliqué d'inverser la tendance.

Retrouver les bases

Cette semaine, l'UBB a navigué entre confiance et inquiétude. Parce qu'elle s'y attendait, qu'elle n'a pas pris 41 points (dont 33 à domicile) par hasard, qu'elle a déjà prouvé qu'elle savait être là le jour - J. Parce que le staff - comme il a toujours fonctionné - avait ciblé l'affaire même si l'entraîneur des arrières Vincent Etcheto affirme « que nous, entraîneurs, avons préparé cette rencontre comme celle à Castres. Maintenant, c'est aux joueurs que ça appartient, c'est à eux d'avoir le surplus de concentration que cela demande ».

Mais s'il y a du doute, c'est aussi car à force d'avoir laissé passer dans son tableau de marche les bonus (au propre comme au figuré), les Girondins vont devoir à nouveau trouver des ressources pour un dernier gros effort, qu'ils sont désormais plus que jamais dépendants d'un mauvais rebond. Et qu'ils viennent de laisser deux fois de suite une sale impression.

Il paraît que la lutte pour le maintien se gagne d'abord en étant prêt à imposer la guerre. Cette semaine, Matthew Clarkin et ses coéquipiers ont parlé de jeu, car ce n'est pas leur genre de passer sept jours à se taper la tête contre les murs. Mais ils se sont aussi beaucoup parlés tout court : le staff, le président Laurent Marti, le capitaine, mais aussi le talonneur Fabien Rofes, expert ès maintien avec Narbonne puis Montpellier, qui a réuni hier les « gros ».

Pour retrouver ses bases (lire ci-contre), sans doute un peu trop bafouées depuis Toulouse et sans lesquelles « notre jeu est parti en vrille, souligne Marc Delpoux. Ce qu'on met en place depuis deux ans et demi est basé sur l'engagement physique et, sans cela, on est perdu ». Mais lui comme ses joueurs l'assurent, malgré la pluie annoncée : « On ne jouera pas petit bras, dit l'ailier Rafael Carballo. On a connu des moments comme ceux-là et on s'en est sorti en imposant notre style ».

Agen sans pression

L'inconnue de l'adversaire, elle, concerne l'intensité que mettra une formation soulagée par son succès probant sur Toulon (22-13) il y a une semaine. Sans en être vraiment une: si le président Alain Tingaud a vite effacé l'aspect polémique créé par la phrase prononcée à l'aller par Laurent Marti sur le jeu d'Agen et de la majorité du Top 14, le SUA a clamé venir chercher à Bègles son maintien mathématique, l'espoir de décrocher une 7e place européenne, avec pas mal de motivation et de confiance. « La dynamique est pour eux, ils vont avoir certainement envie de nous couler, d'éliminer un concurrent dans la région », lance Vincent Etcheto qui parle pour les siens de « qualification ». Et réclame d'abord un état d'esprit conquérant. « La saison dernière, si nous avions perdu à Grenoble en demi-finale (de Pro D2), nous étions éliminés de la compétition Top 14, pointe Marc Delpoux. L'enjeu n'avait pas tué le jeu. Et la finalité est la même : y être la saison prochaine ».

Et tout Moga, à guichets fermés, devrait pousser pour avoir le droit à une saison 2. Avec, en son sein, un soutien pas comme les autres: Laurent Armand, de retour tout près des siens (lire page 40). Même s'ils ne veulent pas jouer sur cette corde-là, ce sera difficile de ne pas y penser.
Le match en quatre mots

« On a les clés. Il faut qu'on soit bons, à notre meilleur niveau, et on pourra gagner, sinon non », lançait mardi l'entraîneur des arrières de l'Union Vincent Etcheto. Détails.

Conservation

Ça a été le mot-clé rabâché toute la semaine après deux sorties où l'Union a perdu très, trop vite le ballon. « Si on arrive à le tenir, qu'on met la pression, comme on avait réussi par exemple en première mi-temps à l'aller, on peut espérer. C'est ce jeu-là que je veux qu'on retrouve », lance le manager Marc Delpoux. D'autant qu'avec un trio arrière Vaka, Dulin, Tian, avec beaucoup de vitesse et d'explosivité, Agen est particulièrement efficace sur les ballons de récupération.

« Il faudra savoir être patient car ces derniers temps, on a souvent cherché trop vite le coup gagnant et perdu les ballons », dit le pilier Laurent Delboulbes.

Défense

« On ne peut pas être le Mur de l'Atlantique face à Toulouse et un fromage suisse le match d'après. C'est beaucoup dans la tête, et on va encore réinsister dessus », glisse Vincent Etcheto. Après avoir retrouvé de la solidité au Racing et face au champion de France, l'Union a retrouvé sa fragilité du début du printemps, notamment près des rucks. L'UBB est la plus mauvaise défense de Top 14 mais aussi l'équipe à avoir le moins encaissé d'essais à domicile (7) : plus qu'un paradoxe, la preuve que le secteur est le baromètre girondin. « Agen est arrivé à maturité : s'ils avaient un jeu plus simple en début de saison, désormais ils tentent beaucoup, sont capables d'attaquer toutes les zones », prévient l'entraîneur des arrières. Défense, cela veut dire aussi discipline : Conrad Barnard, le buteur du SUA, est le meilleur buteur du Top 14 et tourne à 79,80 % de réussite.

Mêlée

À l'aller, l'Union avait mis au supplice le SUA dans le secteur (8 pénalités). Silviu Florea ne sera pas là mais Agen est lui à nouveau privé du redoutable Arsène Nonomo. Secteur clé ? Forcément, surtout s'il pleut et si l'UBB est capable de renouveler la performance sous les yeux de Laurent Armand (lire page 40). Et la titularisation de Patrick Toetu plutôt que Bees Roux va en ce sens. Anecdote : Laurent Cardona, arbitre de la rencontre, était aussi celui d'Union - Biarritz où les Girondins, avec sept joueurs en première ligne indisponibles, avaient bu la tasse (un carton jaune et un essai de pénalité). En touche, l'alignement - modifié à Castres - reste lui sur deux matchs moyens. « Lors du dernier, on perd quatre ballons dont deux parce que Fabien (Rofes) est K.-O., dit Marc Delpoux. Il ne faut pas tout remettre en cause. En revanche, eux ont une touche offensive très efficace (3e avec 81,98 % de réussite) et il faudra réussir à les gêner ».

Pluie

À priori défavorable au jeu ambitieux de l'UBB, elle est annoncée. « Il faudra en tenir compte et on ne pourra pas faire autant de passes mais il n'y a pas un plan A et un plan B », pointe Rafael Carballo. « Ce sera à nous, les avants, d'être encore plus efficaces pour sortir des ballons propres », dit Laurent Delboulbes. « On a su gagner à Bayonne, ou ici contre Castres, souligne Marc Delpoux. On connaît Agen, si c'est le cas ils vont s'y régaler, ils feront parler leur puissance. À nous de nous adapter. Contre Castres, on avait super bien géré la deuxième période contre le vent et la pluie, on avait été cherché les bords de touche, on avait super bien conservé le ballon, su raccourcir les passes ». Le jeu au pied - secteur où l'UBB avait été dominé à l'aller - sera bien sûr prépondérant.

Pour e temps, ciel chargé jusqu'à 13h, ensuite ça pourrait s'éclaircir

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http://www.sudouest.fr/2012/04/21/leur-montrer-que-j-ai-evolue-694158-773.php

Par frédéric cormary

« Leur montrer que j'ai évolué »
Le demi de mêlée revient pour la première fois sur la pelouse où il a été formé. Et veut briller.

«Cela m'embêterait de les faire descendre. Il ne faut pas que j'y pense. » Formé à l'école bordelaise, Maxime Machenaud est confronté à un dilemme. Un succès ce soir du SUA, l'équipe qui l'a révélé au Top 14, sur la pelouse de l'UBB, son club de cœur qui l'a formé, scellerait mathématiquement le maintien des Agenais mais hypothèquerait aussi grandement celui des Bordelais.

« C'est un garçon d'avenir, qui a fait de gros progrès et ce match sera une expérience de plus à maîtriser », insiste le manager agenais Christian Lanta qui n'a pas hésité une seconde à le titulariser. « Je ne l'ai pas senti troublé au match aller. Là, il y aura le contexte du stade et du public, mais c'est un garçon apprécié. Dans une carrière, il y a des matchs comme ça à appréhender et souvent les joueurs ont une motivation supplémentaire à jouer contre leur ancien club et sont à leur meilleur niveau. »


Son sentiment après Toulon

« La réception de Toulon était un match capital pour nous. On craignait beaucoup cette équipe. Et comme souvent dans pareil cas, ça nous a réussi (ndlr : victoire 22-13). On ne se dit pas encore que c'est fait pour le maintien, mais ce succès nous a fait du bien. C'est toujours mieux de travailler dans la victoire, il y a plus de bonne humeur et moins de tension. On savait que ce match était crucial. En cas de défaite, on se serait mis en danger et on aurait rendu notre fin de saison compliquée avec trois matchs difficiles derrière. Mais on a toujours la pression. Il faut savoir se la mettre pour répondre présent dans un match, sinon on risque de faire une mauvaise prestation. »
Son regard sur son évolution

« En deux saisons de Top 14, on évolue forcément. J'ai beaucoup joué, j'ai pris plus de maturité dans le jeu et de responsabilités dans le grou-pe. Durant cette période, j'ai évolué physiquement et techniquement. Je dois encore progresser à ce niveau car j'ai toujours tendance à louper une ou deux passes par match. Et puis je dois améliorer mon jeu au pied aussi et prendre plus de responsabilités. Je n'ai pas été bon tous les week-ends, mais j'ai l'impression d'être plus régulier dans mes performances. Et même physiquement, je n'ai pas trop eu de baisse de régime. »
Ses objectifs jusqu'au 12 mai

« J'attends de bien finir la saison, de faire de bonnes prestations et de confirmer la bonne saison du SUA. On s'était fixé pour objectif de faire mieux que la 10e place de la saison dernière. Il ne faut pas se relâcher et montrer qu'on n'est pas là par hasard en milieu de tableau à la 8e place. Il faut prouver qu'on mérite d'être proche des barragistes, même si on n'était pas au niveau et qu'on a manqué de régularité. »
Son retour à André-Moga

« Cela va être un moment très particulier. ça va me faire bizarre de revenir dans un stade que je connais par cœur. On s'est quitté en bon terme avec l'UBB et j'y ai gardé des amis. Je suis d'ailleurs revenu dans ce stade pour leur match contre Castres (24-9, début novembre) quand le nôtre a été reporté à Toulon. Et je les regarde souvent à la télé. Je n'appréhende pas du tout ce retour. Dès la saison dernière, quand j'ai vu qu'ils montaient en Top 14, j'ai pensé à ce match. C'est la première fois que je jouerai contre mon ancien club, devant mes amis et ma famille. Ce sera particulier. Ma mère me soutiendra mais pas mon grand-frère Jean-Baptiste qui travaille à la communication de l'UBB aux côtés d'Olivier Brouzet. Mais je ne lui en veux pas ! »
Sa vision de son match

« Il ne faut pas que je pense aux conséquences d'une défaite pour eux. C'est le sport professionnel et il leur restera encore deux matchs derrière pour se sauver. Je dois d'abord penser à moi, leur montrer que j'ai évolué et que j'ai eu raison de partir, sans trop tomber dans l'individualisme. C'est une expérience qui va me faire grandir. Cela passe par une victoire pour prouver que le SUA est supérieur à l'UBB. Mais c'est le match de l'année pour eux. En plus, c'est un derby, même si ce n'est pas Bayonne - Biarritz. Il me reste trois matchs avec Agen (ndlr : avant de rejoindre le Racing-Métro pour deux ans), j'ai envie de tout gagner pour bien finir cette aventure avec une bande de copains. »


Le même mais a priori en version agenaise http://www.sudouest.fr/2012/04/21/je-dois-leur-montrer-que-j-ai-evolue-694365-773.php
"C'est une expérience qui va me faire grandir. Cela passe par une victoire pour prouver que le SUA est supérieur à l'UBB."

Espérons qu'on puisse nuancer ce propos dès 16h

A lire aussi http://www.sudouest.fr/2012/04/21/des-raisons-de-jouer-le-jeu-694392-773.php

Tous les expats, tous les bloqués à la maison ou au boulot, l'Union compte aussi sur vous, manifestez vous sur le forum, avant et pendant le match. Là (et plus qu'au stade), après chacun de nos essais vous aurez droit à la ola. C'est même plus qu'un droit, c'est une obligation

Aprés une semaine trés humide en Gironde je suis revenu au pays de la soif depuis hier.
Je vous souhaite un trés bon match,rdv à 14H SUR ARL

BRAVO POUR CES 40 PREMIERES MINUTES
UBB 19 SUA 0
LOU 13 AB 7
ST 15 BRIVE 11

QUE CA DUREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Fichtre, on se surprend à envisager les 5 points !!! ça nous change !

Attention les gars, à manger les pruneaux avec autant d'appétit il ne faudrait pas avaler les noyaux !

quel gâchis encore une fois!!!!!!!!!
quel manque de cerveau dans cette équipe
A 30 secondes de la fin!!!!!!!!!!!!!!!!!

alors certes ils ont gagné en faisant un joli match, en se battant comme des morts de faim, mais cette dernière action..... AFFLIGEANT

Plein le cul Ce point va nous couter tres cher. Il nous aurait mis quasiment à l’abri car à 4 points devant Bayonne et Brive

Il faut POSITIVER
On a 15 jours pour se préparer à tomber Brive chez lui.
C'est un affrontement direct pour le maintien, à nous de saisir notre chance.
Un impasse sur cette rencontre pourrait permettre à l'USAP de créer la surprise lors de la dernière journée, il faut tout faire pour se protéger AVANT cette dernière échéance.
Battre Brive chez lui n'est pas du domaine du rêve pour l'UBB, et avec le calendrier de Brive (je crois me souvenir qu'ils finissent la saison contre Clermont), c'est mal parti pour eux.

10 victoires, même pas sauvés


Il est dingue ce championnat

Sans tomber dans des comptes d'apothicaires, il n'est pas impossible de penser que Brive prenne un bonus à Clermont. En cas d'égalité c'est le goal average particulier qui joue et on a gagné de 4 points seulement.
On n'a pas pris de BD depuis 18 mois à l'ext, quand tu vois le match que vient de faire Brive à Toulouse (qui n'a pas fait l'impasse) je ne suis pas très optimiste. On sera relégable après l'avant dernière journée. Il y aura une pression max et j'espère que l'Usap sur les conseils de Delpoux viendra en touriste....

je suis du même avis je vois pas du tout l'UBB gagner à Brive

OUI en effet le déplacement à BRIVE est la victoire reste .......... du domaine du réalisable mais bon !!!

Je mise plus sur la victoire contre l' USAP ,faudra attendre la derniere journée.

P..... de saison

patrick a écrit:

Pour e temps, ciel chargé jusqu'à 13h, ensuite ça pourrait s'éclaircir

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:musard: :musard: :musard:

effectivement il était bien chargé le ciel..................;;;;; surtout en fin de première mi temps !!!!!!!!!!!!!!

Je rentre du stade rassuré. J'aurai signé des 2 mais pour une victoire 1-0 avant le match.
Après, après avoir vu briller ce 5ème point pendant presque 1 heure, son retrait à l'ultime seconde m'agace.

Pour le reste, le combat, la concentration (attention quand même, le SUA était très absent...) je ne suis pas inquiet.
je pense que la victoire à Brive sera très délicate à obtenir mais il faut jouer ce match comme une finale !

Je pense que le CAB marquera 5 points sur les 2 dernières journées, idem pour l'aviron,
il nous manque 3 points mini, un peu plus serait bien, on ne sera pas à l'abris d'une victoire de l'avirion ou du
CAB lors de la dernière journée.

Petit retour en image sur cette belle victoire
Tant que l'Union jouera comme depuis le début de saison et comme ce jour tout ira bien.
Allez encore un petit effort!!

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Oui cette victoire et la manière nous comble même si un fléchissement est à noter pendant un gros quart d'heure à la reprise,passage qui a redonné confiance aux 47.
Bien sur sur des relances trop hasardeuses on donne deux essais aux Agenais qui n'en demandaient pas tant.
Nous avons eu pas mal d'occasions qui avec une meilleure finition auraient pu aller à dame, pour un planchot qui ne demandait qu'à s'emplifier.
C'est devant que nous avons su trouver les arguments de la victoire, pas tellement la mêlée où nous pensions être plus irrésistibles,la touche, le jeu au sol, les réceptions sur renvois très sures et aussi quelques groupés pénétrants qui ont meurtri l'adversaire.
Un jeu au pieds correct, tout cela bien loin des pâles prestation dans le Rhône et dans le tarn.
Dommage pour le BO, qui une fois de plus nous échappe, manque de lucidité, trop de confiance, peut être un peu des deux.
Ce problème récurent fait que nous cédons trop de point à nos concurrents directs il est sur que nous aurons à progresser dans ce domaine sauf à vouloir toujours vivre sur le fil de la lame.
Tout le groupe est à féliciter, ils ont fait ce qu'il fallait et c'est très bien.
Allez Union.

Bip bip Bruce dans ses œuvres

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Moment difficile pour le photographe Jouons sous les giboulées

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C'est du grand art, merci.

Merci léopold

Moment délicat ce début de seconde mi-temps!

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