TOP 14 - 22ème journée : UBB / SF

Il faut cesser ces querelles entre nous au sujet de la présence de tel ou tel joueur dans le groupe ! Nous disposons d'un effectif de joueurs professionnels qui permet de présenter en fonction des situations la meilleure équipe du moment, et le staff sait quelle meilleure équipe il peut mettre sur le terrain.
Le seul pépin que nous avons à déplorer, c'est notre défaite contre Clermont dans les conditions qu'on connaît. J'écarte le Racing 92 qui joue un niveau au-dessus et on l'a vu en demi-finale de la Coupe. Quand à La Rochelle, c'était difficile de la battre chez elle !
Nous allons jouer le Stade Français, et nous DEVONS gagner. Si nous ne le faisons pas, alors il conviendra de se poser les bonnes questions.
Pour le moment et quelque soit l'équipe alignée contre le SF... Allez l'UBB !

patrick a écrit:
http://www.ubbrugby.com/ubb/actualite/5573-jandre-marais-se-remettre-en-course-pour-le-top-6.html

Je compte beaucoup sur Jandre et Matthew pour montrer la voie ... et sur les 21 autres aussi d'ailleurs

Et sur les 27.000 et des brouettes autres également... cessons d'être apathiques pour que ce stade froid ne devienne pas le tombeau de l'UBB ...même si les Girondins y sont déjà enterrés

http://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Yann-lesgourgues-bordeaux-begles-forfait-et-absent-au-moins-trois-semaines/657026

ouf

Quand ça veut pas !

Ohhhhh pu...de bord...de mer... !!! Non seulement en 9 nous avons un Heini qui n'a pas jouer depuis longtemps avec l'équipe et un Doubrère qui va la découvrir. Sans compter que cette montée du 9 dépouille aussi l'équipe espoir qui a des échéances importantes

Oui pas de pot, nous évoquions cette possibilité hier au soir avec Gauthier qui prenait ça comme une boutade et bien garçon te voilà rendu dans la cour des grands,pour un pur Gascon rien d'impossible.
Il est clair que nous ne jouons pas en Espoir avant le 15mai et d'ici là de l'eau a le temps de passez sous le pont,on va peut être voir le petit Gimbert montrer l'oreille.

Les journées passées à San Sébastien ont été bénéfiques pour le groupe. J'en ai le sentiment. Si les gars ont pu se dire ce qu'ils avaient à se dire. Demain soir, c'est eux qui seront sur le pré. J'ai confiance.
23.000, 27.000, 30.000 spectateurs ? Même s'il n'y en avait que 3.000, le rugby c'est sur le gazon qu'il se pratique !

Serin, maintenant lesgourgues, put.... on se fait enc... par le diable c est pas possible.
Heini n'a pas 80min dans les jambes, bienvenue au petit jeune pour son baptème face au parigo

SO :


http://www.sudouest.fr/2016/04/29/union-bordeaux-begles-yann-lesgourgues-forfait-heini-adams-titularise-2345611-4564.php

Top 14 : avec Jandre Marais, l'UBB repart ?
nicolas le gardien

Dans une période où le supporter de l'UBB doit se raccrocher à tout, il serait tentant de lui offrir une cape, un masque et un cheval. Jandre Marais n'est pas Zorro. Mais même Raphaël Ibanez, qui assène depuis quinze jours que seul le souffle collectif permettra à l'Union Bordeaux-Bègles de repartir, n'a pas besoin de perche pour se saisir du « raccourci évident. » « Avec lui, on était sur une série très positive (quatre victoires et un nul, NDLR). Sans lui, on a perdu trois fois de suite. » Le manager aurait pu élargir le spectre. Lorsque le deuxième ligne sud-africain a manqué ou soufflé cette saison, l'UBB n'a gagné qu'une fois sur huit : à Clermont en Champions Cup.

La bonne nouvelle du jour, c'est donc que le blond du Free State, 26 ans, sera sur le terrain du Matmut Atlantique demain face au Stade Français (20 h 45) pour l'ultime relance. Le timing médical était serré, le test cette semaine après sa déchirure aux ischio-jambiers a été positif. « Je n'ai rien ressenti, je me suis bien préparé avec Ludo (Loustau) et Bruce (Reihana) et avec l'équipe. On avait ciblé ce match avec les médecins. Je suis prêt. »

Un dernier bloc ébourriffant

Indispensable, Jandre Marais ? « Il l'est, répond sans sourciller l'entraîneur des avants Régis Sonnes. Déjà, par son leadership au sein de l'équipe. Ce n'est pas un expansif, mais il parle à bon escient et est écouté, tire les autres dans l'engagement. Et il y a sa qualité du joueur. »

Promu co-capitaine pour seconder Louis-Benoît Madaule à l'automne, ses mots, au lendemain du 13 novembre, avaient marqué. Et lorsqu'il s'est blessé, à l'entraînement, le 18 mars, il sortait de 75 minutes ébouriffantes à Toulouse, avec 18 placages réussis sur 18 effectués, 2 ballons gagnés, un franchissement, 20 mètres d'avancée - beaucoup pour un deuxième ligne.

L'ensemble du bloc de cinq matchs avait été du même tonneau avec 375 minutes jouées sur 400 possibles, un dernier plaquage raté remontant au… 31 janvier à Castres et un abattage retrouvé après un début de saison où il avait marqué le pas. Le trop plein ? « Non, de la malchance, répond-il. J'étais triste au vu des rencontres qui arrivaient mais j'ai essayé de rester positif en me disant que j'aurais encore cinq matchs devant moi et, j'espère, les barrages. »

« Il rassure les mecs autour »

L'ancien réserviste aux Sharks de Durban a vu ses coéquipiers tomber contre Clermont puis Toulon, et encore à La Rochelle. Il sort le paratonnerre : « c'est le Top 14, qui est dur tous les week-ends. On a affronté des grosses équipes. C'est malheureux, mais il faut regarder devant. Évidemment, on se remet en questions après trois défaites, on a réfléchi à ce qu'il fallait améliorer pour la fin de saison. Mais on garde la même structure, on n'a pas perdu notre niveau. Je crois en notre qualification. Quand on s'est retrouvé quatrième, on rêvait de barrage à domicile. Aujourd'hui, il n'y a plus à se poser de questions, juste travailler dur pendant six semaines. »

Au-delà des chiffres, son omniprésence tient aussi à un profil embrassant le credo de son staff : entre puissance sur la ligne d'avantage et capacité à jouer dans la défense ou derrière lui, « pouvant intervenir partout sur le terrain, avec une technique individuelle assez exceptionnelle pour son poste. Il met la barre haute » dit Raphaël Ibanez.

« Dans notre situation, tous ceux qui ont de l'expérience, ont montré un certain niveau ces dernières années, sont indispensables, dit le capitaine historique Matthew Clarkin. Jandre en fait partie. Il s'est imposé dès son arrivée (en 2013), est constant, a sans doute mûri. Tu sais qu'il est très rare qu'il passe à côté de ses matchs, il avance balle en mains. Il rassure les mecs autour. »

Pendant sa convalescence, Jandre Marais a misé sur le long terme, prolongeant son bail de 2017 à 2019. Cette semaine, il « a essayé de mener par l'exemple, de bien communiquer ». Jandre Marais n'a pas d'épée. Mais c'est quand même bien quand il est là.

Midol :

patrick a écrit:Avec le matériel mis à disposition, en faisant l'hypothèse que tout le monde est 100% en forme et 200% motivé, voici l'équipe que je ferais :

Taofifenua, Maynadier, Gomez Kodela (Kitshoff, Auzqui, Kepu)
Le Devedec, Marais (Jaulhac)
Madaule, Clarkin, Braid (Goujon, Chalmers)
Adams (Lesgourgues) Bernard ou Hickey (Lonca)
Guitoune, Rey, Dubié, Talebula
Ashley-Cooper

Allez, je laisse le staff décider entre Bernard et Hickey, faut bien qu'ils bossent un peu non ?

Pour les piliers, j'aurais d'abord mis les lourds puis ensuite les coureurs, question de gout.
Pour le reste ça me va, sachant qu'on ne prend que 5 avants (besoin de 2 3/4 expérimentés derrière en complément de Doubrère ?), je comprends qu'on ai plutôt choisi Cazeaux que Jaulhac. L'inversion Talebula/AAC n'est pas stupide non plus, AAC étant sans doute meilleur défenseur que Met qui lui devrait mieux relancer.

Va pas falloir leur laisser croire à la victoire

L equipe me plait, dubié en 13 et cooper enfin sur l'aile. Braid va t'il jouer 80min sans se blessé??

http://www.sudouest.fr/2016/04/29/union-bordeaux-begles-talebula-a-l-arriere-contre-le-stade-francais-une-charniere-adams-hickey-2345819-4564.php

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/top-14-ubb-ca-va-etre-complique-mais-va-le-faire-assure-julien-rey-1461827096

Une compo pour envoyer du jeu, donc espérer marquer des essais, par contre ça risque d'être moins joli-joli en défense avec portes ouvertes sur l'aile

J'espère que Parisse, que j'aime pour son côté vaillant et guerrier, va fermer sa grande gueule et ne pas essayer d'arbitrer le match à la place du "postier" (qui n'en est pas un... en fait )

Franchement Guitoune n'a pas intérêt à se trouer sur ce match ... je dis ça avant tout pour Ibanez

Oui, que Parisse ferme un peu son énôôôôôôorme gueule.
Mais pourquoi laisser Hugh et Adam sur le coté ?
Quant à Sofiane, on va bien voir s'il est encore là (ou déjà "dans un grand club") ou si le staff fait une grosse erreur en le sélectionnant.
On saura tout ça demain soir... vive le sport. (Et AAC à l'aile ça me va).

(enfilage de perles MC represent)

SO :

Rugby (Top 14) : face au Stade Français, l'UBB doit rallumer la flamme
Nicolas Le Gardien

Ça a quel goût, une victoire ? Cela ressemble à quoi, un stade Matmut Atlantique qui vibre ? L'Union Bordeaux-Bègles ne sait plus très bien et, ce soir (20 h 45) face au Stade Français, il n'y a au fond que ça qui comptera. « Gagner pour repartir et maintenir notre chance d'être dans la course » dit le président Laurent Marti, « gagner pour “espérer rêver” » image le deuxième ligne Julien Le Dévédec.

Rallumer la flamme, tout simplement, vacillante depuis un mois et une défaite contre Clermont (19-24) suivie de deux autres bien moins excusables sur la forme (Racing 20-28 et La Rochelle 22-15). Rallumer la lueur d'un Top 6 qui se jouera aujourd'hui et à Grenoble samedi prochain. « La dernière ligne droite se remporte différement du reste de la saison : par le caractère. Certains en ont été capables ces dernières semaines, pas nous. Mais ce n'est pas fini » dit l'entraîneur des trois-quarts Émile Ntamack.

Le positif en avant

Ce matin, l'aspect mathématique est pourtant presque secondaire. Depuis trois semaines, à l'UBB, la priorité est ailleurs : trouver les leviers pour se relancer après sept semaines sans succès (1) - une éternité, dans le sport pro -, chercher la voie pour redécoller après avoir vu son matelas de 8 points d'avance sur la 7e place fondre en un mois. Le staff avait piqué ses joueurs, appelé au combat pour le déplacement à La Rochelle ? « On est passé à côté, avec très peu de contenu, d'engagement. On n'a pas senti de rebellion » regrette l'ancien Toulousain.

Alors l'UBB a ressorti des vieilles recettes. On ne parle pas là seulement du retour en force de Matthew Clarkin et Heini Adams, qui ont bien mérité de fouler la pelouse du Nouveau Stade avant de laisser une immense trace en héritage en juin, mais qui ne sont pas là juste pour services rendus. Eux, comme les leaders, ont senti que c'était le moment.

Analyser, mobiliser, crever les abcès, rapatrier les brebis égarées, responsabiliser : derrière leur capitaine Louis-Benoît Madaule, les Girondins, de haut en bas, n'ont pas chômé ces derniers quinze jours. Ils ont positivé, surtout, à l'image du président Laurent Marti passé du coup de gueule d'après Racing et du regard noir de La Rochelle à une communication apaisée. « Le doute nous a peut-être permis de nous remettre en question au bon moment. On sait qu'on en est capable » avance le centre Julien Rey. Perdu pour perdu, l'UBB avait rebondi par un succès à Lyon (20-37) il y a un an pour venir mourir à une pénalité des barrages. Vaille que vaille et malgré un calendrier final bien plus compliqué, elle peut encore croire que l'histoire bégaie aussi dans ce sens.

« Lorsqu'on était quatrième, tout le monde autour s'est emballé. On a ressenti beaucoup de pression sur les trois derniers matchs. Maintenant, elle n'est plus sur nous. On ne doit plus se mettre la tête à l'envers » répond Julien Le Devedec.

« Retrouver de la frénésie »

La cohésion collective, travaillée au paintball et dans la nuit de Saint-Sébastien, était nécessaire. Elle ne sera pas suffisante face à un champion de France largué mais revanchard.

Les hommes de Raphaël Ibanez vont devoir faire mieux, dans le jeu : restabiliser une conquête fragilisée depuis un mois, retrouver du mordant dans les duels, de la précision dans les gestes et du liant collectif. « On a cherché à retrouver la vitesse : pas de la folie, mais plus de frénésie dans les choix, l'attaque de ligne, les libérations . On s'était concentré sur d'autres choses et petit à petit, on l'avait perdu » pointe le centre Julien Rey. « On doit garder le fil de ce qui nous a amenés à la lutte mais avec plus d'intensité, dit émile Ntamack. On espère une UBB offensive, tourner vers la maîtrise du ballon. »

Malgré la cascade de forfaits d'importance (lire ci-contre), l'UBB a la qualité intrinséque pour y parvenir, d'un triangle arrière international à deux des meilleurs piliers de la planète dans son XV de départ. Malgré 18 essais de moins qu'il y a un an, elle sait toujours marquer, en témoigne son succès d'exception à Clermont en Champions Cup (24-37).

Il n'y a pas à se cacher : s'ils ne gagnent pas ce soir, les Girondins n'auront pas mérité d'embrasser leur ambition, et peut-être même une 7e place potentiellement européenne. S'ils remettent le courant, gare à eux.

(1) Le dernier succès remonte au 5 mars, contre Oyonnax (48-20).


Union Bordeaux-Bègles : "Une saison nulle à ch…" pour Sofiane Guitoune
arnaud david

« Sud Ouest ». Comment est-ce que vous qualifieriez votre saison à l'UBB ?

Sofiane Guitoune. Nulle à chier.

À ce point ?

Depuis la Coupe du monde, c'est une saison frustrante. D'abord, je n'y ai joué qu'un match. C'était déjà compliqué à vivre. Ensuite lors de mon retour en club, j'ai joué… Puis moins joué. Il y a eu des choix de fait. Depuis le 9 mars, je n'ai pas disputé un seul match. C'est difficile. Moi, ce que j'aime, c'est être sur le terrain, m'amuser, gagner des matches.

Pensez-vous avoir été maladroit dans votre communication en annonçant début décembre que vous partiez la saison prochaine à Toulouse, « dans un grand club. »

Non. Avant de signer je suis allé dans le bureau des coaches pour leur annoncer. Emile (Ntamack) était absent mais il y avait Raphaël (Ibanez), Régis (Sonnes) et le président. Je leur ai expliqué mon choix en face. Régis est venu me voir et m'a dit : « C'est courageux car peu de joueurs l'auraient fait. » Franchement, je pense avoir fait les choses proprement. Après, peut-être que Raphaël a préféré faire jouer en priorité ceux qui seraient là la saison prochaine en pensant que je serais moins concerné. Au vu de mes prestations, c'est un choix discutable. Mais je pense avoir été un bon élève. Je n'ai cassé les c... de personne à l'entraînement. Je suis venu comme toujours avec la banane. C'était frustrant de ne pas jouer le week-end mais je pense ne pas l'avoir montré. J'ai bossé dans mon coin, pour être prêt si l'on faisait appel à moi.

Vous avez échangé avec vos équipiers sur le sujet ?

Oui, ils étaient déçus pour moi. Mais il y a plus de concurrence au sein de l'effectif. Et puis, il y a plus grave dans la vie.

Début janvier, vous avez été aussi oublié par l'équipe de France. Comment l'avez-vous vécu ?

J'étais très déçu. Au moment de l'annonce du premier groupe, je jouais plutôt bien avec l'UBB. J'espérais. Cela m'a mis un coup derrière la tête.

Que retiendrez-vous de votre expérience avec l'équipe de France de rugby à VII ?

C'était chouette mais vraiment dur physiquement. Je pense avoir les capacités pour y jouer. Il faut une préparation physique spécifique. Je peux être performant sur une ou deux actions mais c'est très dur d'enchaîner.

Y aura-il une suite aux Jeux de Rio ?

Je ne sais pas. Je crois qu'ils étaient assez satisfaits de moi. Mais j'ai été appelé durant une période où ils avaient des blessés. Virimi Vakatawa jouait avec le XV. Je ne sais pas ce qu'ils vont décider pour les Jeux. J'ai dit que j'étais intéressé.

L'UBB traverse une mauvaise passe. Quel regard portez-vous sur la lutte pour la qualification ?

Les deux défaites à domicile nous ont fait mal à la tête. Surtout celle contre Clermont. Tu mènes 19 à 0, et tu prends 24 points en 20 minutes. Après contre le Racing 92, je crois qu'il n'y avait pas photo. Quand on voit ce qu'ils réalisent en Coupe d'Europe, il n'y a pas à rougir. À La Rochelle, on savait que ce serait compliqué. Hormis Clermont, personne ne s'y est imposé. On n'était pas très loin. Mais il y a eu des problèmes de discipline qui nous ont coûté au moins un point de bonus. On sait qu'on n'a pas le calendrier le plus facile mais c'est faisable. Il faut commencer par une victoire contre le Stade Français. Ensuite, il y aura Grenoble. Si l'on parvient à aller chercher une victoire à l'extérieur, tout sera relancé.

En quoi l'expérience des deux saisons précédentes peut-elle vous aider ?

Je ne sais si cela va nous aider ou nous ronger. On n'a pas trop d'excuse. On est mieux armé que par le passé. La saison dernière, la qualification s'est jouée à un ou deux coups de pied ratés. Là, on a concédé deux défaites à domicile. Il faut essayer de les gommer et d'aller au moins chercher une victoire à l'extérieur.

Il y a un côté frustrant à être si près du but et à le voir s'éloigner…

C'est le sport de haut niveau. Cela ne sourit pas toujours. On fait les efforts pour y arriver mais en face, il n'y a pas des peintres. Les autres équipes sont bien armées. C'est ce qui est excitant. Ce serait trop simple si on était qualifié dès le mois de janvier. Il reste cinq matches. Il y a des bons mecs dans cette équipe et on a tous envie de réussir.

Dans quel état d'esprit abordez-vous ce retour à la compétition ?

Il me tarde. J'ai envie de prouver que j'ai ma place sur le terrain et que je peux apporter à l'Union.

L'UBB sort l'option "punch"

Jusqu’ici, il n’avait débuté qu’une fois à l’arrière avec l’UBB… en janvier 2013, à Perpignan. Le Fidjien Metuisela Talebula portera ce soir le numéro 15, le sien en sélection et où il était entré le 11 mars à Toulouse. Un pari. « On a besoin de retrouver de la variété. Met y a des repères et on voulait laisser Sofiane à l’aile, où il montre de bonnes dispositions à l’entraînement », justifiait jeudi l’entraîneur des trois-quarts Émile Ntamack. Au-delà, après trois défaites consécutives, le staff a décidé de recomposer tout son triangle arrière avec le décalage d’Adam Ashley-Cooper à l’aile à la place de Blair Connor, invité à se régénérer. « On a besoin de plus d’agressivité, des trois-quarts qui ont du punch et ne laissent pas l’initiative aux seuls avants », avançait mardi Raphaël Ibanez, qui a aussi choisi de relancer Simon Hickey en 10.

Vent de Nord-Ouest faiblissant avec quelques rafales, 10°C mais pas de pluie. Pas une super soirée printanière, mais espérons le retour à la ré-éclosion de notre jeu.
Heini a un gros rôle ce soir, à la fois d'animateur et de leader. Espérons qu'il ne soit pas trop juste physiquement.

   





https://www.francebleu.fr/sports/rugby/rugby-top-14-l-ubb-sans-filet-face-au-stade-francais-1461857338#

La motivation semble là. A confirmer dès 20h45

Je me demande vraiment si il n'aurait mieux pas fallu titulariser bernard pour permettre à adams d'avoir certains automatismes et de ne pas trop souffrir pour sa reprise.Franchement je ne demande qu'à voir mais pour moi c'est encore un mauvais choix du staff.J'espère vraiment qu'ils me contrediront ce soir

Toulouse a gagné à Toulon... Décidément quand ca ne veut pas!

Grrrrrrrrrr.. Victoire de Toulouse à Toulon .. mad2

Pas bon pour nous ça Evil or Very Mad mais si on gagne ce soir on reste quand même collé au basque de Castres que je ne vois pas perdre contre Pau ..

Le Top 6 s'éloigne de plus en plus avec cette victoire du stade Toulousain ..

Allez L'UBB faut gagner ce soir et après on verra

Il faut vraiment qu'on gagne ce soir en espérant aussi que Brive et La Rochelle n'aillent pas gagner à Agen et Oyonnax , sinon ils reviendront assez prêt pour nous mettre une pression supplémentaire dont nous n'avons pas besoin je pense ..

Allez l'Union je serai là pour vous encourager ce soir et montrez nous ce que vous valez vraiment

Avant de partir pour ce long voyage en transport en commun en direction de la glacière MATMUT, un dernier coup d'oeil sur le forum après avoir vu les toulousains gagner grâce à la fraîcheur d'un banc à 6 avants (vous verrez que ce soir il nous manquera, comme depuis le début de la saison, ce sixième avant remplaçant et que l'on fera rentrer Lonca à la 85ème pour rien à la place d'un troisième ligne tout frais...).
Ceci dit, si vous allez au stade aussi, je vous conseille de regarder la tribune des VIP complètement vide se remplir de fourmis juste avant le coup d'envoi; et surtout de l'observer vide aussi au coup d'envoi de la deuxième mi-temps parce que ces messieurs dames n'ont pas encore fini leur coupe et s'installer sans aucun respect pour les joueurs qui auront déjà commencé. Nous pendant ce temps on essaiera de nos places payantes trop éloignées de distinguer quelques joueurs sur le terrain.
Voilà, c'est ça la rugby d'aujourd'hui....les VIP, le pragmatisme plutôt que le jeu, des impacts plutôt que de l'évitement, des internationaux australiens qui n'en touche pas une plutôt que des jeunes espoirs plein d'envie,... et j'arrête, parce que je m'énerve.
Je vais encore gueuler "union, union" ce soir parce que je reste supporter, mais ce qui n'ont pas compris que le coeur n'y était plus depuis que Vincent est parti....

dernier mot: notre stade maintenant c'est Chaban!!!!! et pas cette chambre froide sans âme où on ne voit rien!