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Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
Sinzelle j'aime beaucoup ce joueur, je le trouve intelligent sur un terrain. Ca aurait été une bonne pioche pour compenser le départ de Radradra.
Dit il a demi mot que c'est le bordel dans le vestiaire ? James ou coïncidence ?
Curieux de voir Semi 12 Remi 13
Dit il a demi mot que c'est le bordel dans le vestiaire ? James ou coïncidence ?
Curieux de voir Semi 12 Remi 13
willoush- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
Intéressants les chiffres :
pour être à l'équilibre il faut 30 000 spectateurs environ
pour avoir un bénéfice supérieur à Chaban (que je suppose plein ? soit 32 000 )35 000 spectateurs (avec loges en //)
Du coup, on se rend compte de l'effet levier du Matmut quand il est rempli: le bénéfice doit se maximiser de manière conséquente.
pour être à l'équilibre il faut 30 000 spectateurs environ
pour avoir un bénéfice supérieur à Chaban (que je suppose plein ? soit 32 000 )35 000 spectateurs (avec loges en //)
Du coup, on se rend compte de l'effet levier du Matmut quand il est rempli: le bénéfice doit se maximiser de manière conséquente.
le radis- Team modo
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Localisation : talence
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
vidéo sympa mais attention de ne pas nous croire arriver
https://video.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2019-2020/video-poulain-lubb-a-tous-les-elements-pour-prendre-la-tete-et-la-garder_vid1271906/video.shtml
https://video.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2019-2020/video-poulain-lubb-a-tous-les-elements-pour-prendre-la-tete-et-la-garder_vid1271906/video.shtml
marchal- Centre de presse
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
Ecouté ce matin.
Roumat 25/26 ans ... Un Flanquart revanchard précieux ... Capitaine courage Diaby ... Ca bosse dur
Roumat 25/26 ans ... Un Flanquart revanchard précieux ... Capitaine courage Diaby ... Ca bosse dur
willoush- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
Trop forts, les statisticiens-probalistes-prévionnistes de Rugbyrama: sans compter les invisibles NSP, le sondage est déjà à 101%...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : à l'arrière des taxis...
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
https://www.sudouest.fr/2019/12/20/avant-ubb-la-rochelle-marti-et-merling-rivaux-mais-complices-6981571-773.php
Avant UBB – La Rochelle : Marti et Merling, rivaux mais complices
Yoan Leshauriès et Benjamin Deudon.
Concurrents sur le plan sportif, Laurent Marti (52 ans), le président de Union Bordeaux-Bègles, et Vincent Merling (69 ans), son homologue du Stade Rochelais, partagent la même vision du rugby. Interview croisée avant le match de ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.
Comme lors de chaque Union Bordeaux-Bègles – La Rochelle, les présidents respectifs des deux clubs, Laurent Marti (52 ans, en poste depuis 2007) et Vincent Merling (69 ans, en poste depuis 1991), prendront plaisir à se retrouver et suivront la rencontre côte à côte demain après-midi au Matmut Atlantique. Rivaux sur le plan sportif, ces deux hommes ont beaucoup donné pour stabiliser leur club en Top 14. Avant ce nouveau derby, ils se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour « Sud Ouest ».
« Sud Ouest ». La Rochelle est la seule équipe qui sera accueillie au Matmut Atlantique. Au-delà de la proximité géographique, existe-t-il un lien particulier entre ces deux clubs ?
Laurent Marti. Il y en a pas mal de liens particuliers entre ces deux clubs. Ce sont deux clubs qui se ressemblent dans leur construction et leur état d’esprit. Je suis assez proche de Vincent Merling, on est rivaux sur le plan sportif mais on est assez complices dans l’état d’esprit, l’approche du rugby et de ce qu’il devrait devenir à nos yeux. L’UBB et le Stade Rochelais s’appuient sur leur territoire sur le plan économique, avec un fort ancrage local au niveau des partenaires. Ce ne sont pas des clubs qui sont adossés à une multinationale ou à un milliardaire.
Vincent Merling. Nous sommes très fiers de jouer ce match aller au Matmut Atlantique, bien que nous aurions préféré jouer à Chaban-Delmas, où nous avons gagné notre place en Top 14 (en finale d’accession face à Agen, le 25 mai 2014, NDLR). Mais c’est à mon ami Laurent de vous expliquer les raisons du choix, par l’UBB, d’un terrain où nous avons toujours perdu (sourire) !
« On doit être les deux présidents qui se chambrent le plus en Top 14 »
On sent que, philosophiquement parlant, vous êtes assez proches au sein d’un Top 14 où les présidents n’ont pas tous la même vision…
L. M. Déjà, on doit être les deux présidents qui se chambrent le plus en Top 14 (rires). C’est un grand jeu entre nous. Plus sérieusement, on a ce côté un peu conservateur avec Vincent. On est à fond pour l’évolution du rugby et on le montre avec nos clubs. Mais en même temps, on se dit que le développement et l’argent à outrance pourraient faire beaucoup de mal à ce sport qu’on aime. Vincent est un ancien joueur, je suis un ancien joueur. Quand il y a des réunions, nous sommes sur la même longueur d’onde 99 fois sur 100.
V. M. Laurent et moi-même partageons des idées communes sur les grandes questions que pose l’avenir du rugby (salary cap, équipe de France, politique des joueurs issus des filières de formation, etc.), et bien évidemment sur le respect, par les clubs, des règles que la Ligue nationale de rugby a mises en place pour préserver l’éthique et la déontologie de notre sport.
Vous êtes à la tête de structures reposant sur une économie réelle, existe-t-il une concurrence autre que sportive dans le développement de vos clubs ?
L. M. Non. Il y a quand même 200 km qui séparent les deux villes, on est dans la même région mais on sent qu’il y a une petite différence. On voit bien que les deux clubs peuvent jouer le top 6 sans qu’il y ait un impact économique sur l’un ou sur l’autre. C’est plus une rivalité sportive entre nous.
V. M. Aucune concurrence autre que sportive, mais nous avons une idéologie fondamentalement différente dans l’approche identitaire de nos clubs. Je ne suis pas propriétaire du Stade Rochelais, c’est un choix totalement assumé.
« C’est à mon ami Laurent de vous expliquer les raisons du choix d’un terrain où nous avons toujours perdu »
Ce match UBB – Stade Rochelais est-il un vrai derby à vos yeux ?
L. M. Il y a beaucoup de derbys en Top 14 et souvent avec Bordeaux-Bègles j’ai remarqué : quand on joue face à Agen, Pau, Bayonne, on sent qu’il y a quelque chose de particulier qui se passe. Mais je trouve ça génial ! Les derbys, c’est de l’émotion augmentée. J’adore cette notion de derby, de rencontre historique. Donc oui, on présente le match face à La Rochelle comme le Derby de l’Atlantique. À chaque fois, on a eu des matchs spectaculaires, que ce soit à La Rochelle ou à Bordeaux, à chaque fois, les stades sont presque pleins. Il y a de super ambiances, il n’y a pas d’animosité malsaine. Il y a deux camps qui soutiennent très fort leurs clubs mais ça s’est toujours super bien passé.
V. M. La rivalité sportive digne d’un derby existe, il ne faut pas se le cacher, entre nos deux clubs très proches géographiquement et où nos supporteurs respectifs se déplacent en nombre. Gagner ce derby est un objectif particulier dans la saison pour nos deux clubs, et Laurent et moi-même savons nous le rappeler… très amicalement, à longueur de saisons (sourire).
Quel regard portez-vous sur le club de l’autre ?
L. M. Quand j’ai repris l’UBB il y a douze ans, le club était au fond de la Pro D2 et La Rochelle occupait les premières places. Ils sont montés rapidement car ils étaient plus costauds. On est montés l’année où ils descendaient (2011). Ils ont mis 4 ans pour remonter alors que dans la même période, on jouait la Champions Cup. Et puis l’UBB s’est cognée au plafond et est même un peu descendue au moment où eux ont performé. On s’est souvent croisés mais il semblerait que les deux clubs se soient stabilisés. Je suis admiratif de La Rochelle car c’est le résultat d’une construction, quelque chose de pensé. Et ils ont eu deux années fabuleuses quand même !
V. M. L’équipe de l’UBB est solide à tous les niveaux, l’encadrement de qualité, et elle est gérée par un grand président… Elle a tout pour réaliser une grande saison.
Le match. Bordeaux-Bègles – La Rochelle, ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.
Avant UBB – La Rochelle : Marti et Merling, rivaux mais complices
Yoan Leshauriès et Benjamin Deudon.
Concurrents sur le plan sportif, Laurent Marti (52 ans), le président de Union Bordeaux-Bègles, et Vincent Merling (69 ans), son homologue du Stade Rochelais, partagent la même vision du rugby. Interview croisée avant le match de ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.
Comme lors de chaque Union Bordeaux-Bègles – La Rochelle, les présidents respectifs des deux clubs, Laurent Marti (52 ans, en poste depuis 2007) et Vincent Merling (69 ans, en poste depuis 1991), prendront plaisir à se retrouver et suivront la rencontre côte à côte demain après-midi au Matmut Atlantique. Rivaux sur le plan sportif, ces deux hommes ont beaucoup donné pour stabiliser leur club en Top 14. Avant ce nouveau derby, ils se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour « Sud Ouest ».
« Sud Ouest ». La Rochelle est la seule équipe qui sera accueillie au Matmut Atlantique. Au-delà de la proximité géographique, existe-t-il un lien particulier entre ces deux clubs ?
Laurent Marti. Il y en a pas mal de liens particuliers entre ces deux clubs. Ce sont deux clubs qui se ressemblent dans leur construction et leur état d’esprit. Je suis assez proche de Vincent Merling, on est rivaux sur le plan sportif mais on est assez complices dans l’état d’esprit, l’approche du rugby et de ce qu’il devrait devenir à nos yeux. L’UBB et le Stade Rochelais s’appuient sur leur territoire sur le plan économique, avec un fort ancrage local au niveau des partenaires. Ce ne sont pas des clubs qui sont adossés à une multinationale ou à un milliardaire.
Vincent Merling. Nous sommes très fiers de jouer ce match aller au Matmut Atlantique, bien que nous aurions préféré jouer à Chaban-Delmas, où nous avons gagné notre place en Top 14 (en finale d’accession face à Agen, le 25 mai 2014, NDLR). Mais c’est à mon ami Laurent de vous expliquer les raisons du choix, par l’UBB, d’un terrain où nous avons toujours perdu (sourire) !
« On doit être les deux présidents qui se chambrent le plus en Top 14 »
On sent que, philosophiquement parlant, vous êtes assez proches au sein d’un Top 14 où les présidents n’ont pas tous la même vision…
L. M. Déjà, on doit être les deux présidents qui se chambrent le plus en Top 14 (rires). C’est un grand jeu entre nous. Plus sérieusement, on a ce côté un peu conservateur avec Vincent. On est à fond pour l’évolution du rugby et on le montre avec nos clubs. Mais en même temps, on se dit que le développement et l’argent à outrance pourraient faire beaucoup de mal à ce sport qu’on aime. Vincent est un ancien joueur, je suis un ancien joueur. Quand il y a des réunions, nous sommes sur la même longueur d’onde 99 fois sur 100.
V. M. Laurent et moi-même partageons des idées communes sur les grandes questions que pose l’avenir du rugby (salary cap, équipe de France, politique des joueurs issus des filières de formation, etc.), et bien évidemment sur le respect, par les clubs, des règles que la Ligue nationale de rugby a mises en place pour préserver l’éthique et la déontologie de notre sport.
Vous êtes à la tête de structures reposant sur une économie réelle, existe-t-il une concurrence autre que sportive dans le développement de vos clubs ?
L. M. Non. Il y a quand même 200 km qui séparent les deux villes, on est dans la même région mais on sent qu’il y a une petite différence. On voit bien que les deux clubs peuvent jouer le top 6 sans qu’il y ait un impact économique sur l’un ou sur l’autre. C’est plus une rivalité sportive entre nous.
V. M. Aucune concurrence autre que sportive, mais nous avons une idéologie fondamentalement différente dans l’approche identitaire de nos clubs. Je ne suis pas propriétaire du Stade Rochelais, c’est un choix totalement assumé.
« C’est à mon ami Laurent de vous expliquer les raisons du choix d’un terrain où nous avons toujours perdu »
Ce match UBB – Stade Rochelais est-il un vrai derby à vos yeux ?
L. M. Il y a beaucoup de derbys en Top 14 et souvent avec Bordeaux-Bègles j’ai remarqué : quand on joue face à Agen, Pau, Bayonne, on sent qu’il y a quelque chose de particulier qui se passe. Mais je trouve ça génial ! Les derbys, c’est de l’émotion augmentée. J’adore cette notion de derby, de rencontre historique. Donc oui, on présente le match face à La Rochelle comme le Derby de l’Atlantique. À chaque fois, on a eu des matchs spectaculaires, que ce soit à La Rochelle ou à Bordeaux, à chaque fois, les stades sont presque pleins. Il y a de super ambiances, il n’y a pas d’animosité malsaine. Il y a deux camps qui soutiennent très fort leurs clubs mais ça s’est toujours super bien passé.
V. M. La rivalité sportive digne d’un derby existe, il ne faut pas se le cacher, entre nos deux clubs très proches géographiquement et où nos supporteurs respectifs se déplacent en nombre. Gagner ce derby est un objectif particulier dans la saison pour nos deux clubs, et Laurent et moi-même savons nous le rappeler… très amicalement, à longueur de saisons (sourire).
Quel regard portez-vous sur le club de l’autre ?
L. M. Quand j’ai repris l’UBB il y a douze ans, le club était au fond de la Pro D2 et La Rochelle occupait les premières places. Ils sont montés rapidement car ils étaient plus costauds. On est montés l’année où ils descendaient (2011). Ils ont mis 4 ans pour remonter alors que dans la même période, on jouait la Champions Cup. Et puis l’UBB s’est cognée au plafond et est même un peu descendue au moment où eux ont performé. On s’est souvent croisés mais il semblerait que les deux clubs se soient stabilisés. Je suis admiratif de La Rochelle car c’est le résultat d’une construction, quelque chose de pensé. Et ils ont eu deux années fabuleuses quand même !
V. M. L’équipe de l’UBB est solide à tous les niveaux, l’encadrement de qualité, et elle est gérée par un grand président… Elle a tout pour réaliser une grande saison.
Le match. Bordeaux-Bègles – La Rochelle, ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Quelques chiffres avant le match Bordeaux Bègles / La Rochelle
Bonjour,
Je viens vous livrer quelques chiffres avant le match contre La Rochelle :
Lien : http://stats-de-phil.e-monsite.com/pages/stats/bordeaux-begles-la-rochelle-j11.html
Bon match !
Je viens vous livrer quelques chiffres avant le match contre La Rochelle :
Lien : http://stats-de-phil.e-monsite.com/pages/stats/bordeaux-begles-la-rochelle-j11.html
Bon match !
RugbyData- J'aime l'Union beaucoup
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Localisation : Clermont-Ferrand
Date d'inscription : 10/03/2016
Age : 56
Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
Merci beaucoup très intéressant
marchal- Centre de presse
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Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
https://www.sudouest.fr/2019/12/20/avant-ubb-la-rochelle-un-match-special-aux-yeux-de-christophe-urios-6981988-773.php
Avant UBB – La Rochelle : « Un match spécial » aux yeux de Christophe Urios
par Yoan Leshauriès
« Il faut qu’on soit les chefs du village. On a un territoire à défendre », lance Christophe Urios, le manager girondin. Bonnaud Guillaume
Un derby, l’atmosphère des Boxing Days, le Matmut Atlantique… Pour Christophe Urios, le manager de l’Union Bordeaux-Bègles, le rendez-vous face au Stade Rochelais ce dimanche (16h50) est particulier à plus d’un titre.
« Sud Ouest ». On ne vous avait pas entendu depuis trois semaines et votre sortie après la victoire de l’UBB sur le terrain du Racing 92 (34–30) (1). Y avait-il un lien de cause à effet ?
Christophe Urios. J’ai dit ce que j’avais à dire, je me suis mis en quarantaine, et maintenant je reviens. Jusqu’à ma prochaine sortie. Elle est prête déjà et je sais qui je vais attaquer mais j’attends le bon moment (rires).
Ce match face à La Rochelle est-il un rendez-vous spécial ?
Oui, c’est un match spécial pour plein de raisons. Il a lieu pendant les fêtes, ça crée une atmosphère particulière. Ça se joue dans un stade magnifique, que je ne connais qu’en configuration football. Et c’est spécial parce que c’est un derby. J’aime jouer ces matchs avec de la tension, de la pression. Il faut qu’on soit les chefs du village. On a un territoire à défendre.
L’UBB peut prendre la 1re place dimanche en cas d’une victoire face à La Rochelle et un faux pas de Lyon à Castres (ce samedi à 15 h 35). Vous y pensez ?
C’est la première fois que ça m’arriverait. On verra dimanche. Franchement, ça ne me préoccupe pas. Faire des calculs, ça serait la meilleure façon de se planter. Je suis très prudent, vigilant…
« Quand je vois les entraînement, l’investissement des mecs, je n’ai pas de crainte »
Il y a trois ans, La Rochelle avait survolé le Top 14 avant de participer aux phases finales. Voyez-vous des similitudes avec l’UBB d’aujourd’hui ?
J’ai vécu quelque chose la saison dernière à Castres, sur le dernier mois, qui m’a mis du plomb dans la cervelle. Quand on est venu gagner à l’UBB, on était 4e, et on aurait dû finir 2e. Mais on a fini 7e avec 69 points. Donc je ne tire pas trop de plans sur la comète. On le fait en interne, au sein du staff, on sait où on veut aller. Mais ce qui m’importe à l’heure actuelle, c’est le match de dimanche. Et rien d’autre.
Il y a encore cette crainte de voir l’UBB s’écrouler, comme les saisons précédentes ?
Non, il n’y a pas de crainte. Quand je vois les entraînements, l’investissement des mecs, je n’ai pas de crainte. Je n’ai pas peur que ça se casse la gueule parce que ça ne se cassera pas la gueule. Je suis juste vigilant car c’est un championnat différent qui repart après cette Coupe du monde, avec des équipes qui vont continuer à progresser, d’autres pour lesquelles ça sera plus dur. La Rochelle lance un bloc de trois matchs importants au milieu des fêtes (déplacement à Pau le dimanche 29 décembre à 15 h 45, réception de Bayonne le samedi 4 janvier à 20 h 45). C’est une période difficile à gérer car on joue plus qu’on ne s’entraîne. Il faut donc qu’on soit de grands professionnels et qu’on ait beaucoup d’ambition. Aujourd’hui, on est à un bon niveau mais je trouve qu’on a encore une marge de progression très importante, dont même les joueurs ne se rendent pas compte. Il faut continuer à bien travailler, garder cet état d’esprit, cet engagement. C’est notre force aujourd’hui. C’est marrant parce qu’on a toujours dit que la force de l’UBB, c’était le jeu. Moi, je ne parle pas de jeu, je parle d’engagement et d’état d’esprit. Le jeu vient tout seul.
« Les années passées, j’aimais jouer contre Bordeaux. Cette année, je ne sais pas si j’aimerais »
Des tests, l’UBB en a déjà passés en ce début de saison. Que savez-vous de votre équipe aujourd’hui ?
Je sais que mon équipe est ambitieuse, on sait ce qu’on veut. On veut être les meilleurs, c’est une remise en question permanente. Je n’ai pas aimé le match contre Agen la semaine dernière (33–6 en Challenge Cup). Ce n’était pas un match d’équipe. Les mecs étaient engagés mais individuellement. Il n’y avait pas de connexion. Quand on joue comme ça, on est une équipe neutre, fade. Et ça, ça ne m’intéresse pas. Quand l’UBB joue en équipe, elle n’est pas facile à jouer.
Le premier objectif d’ores et déjà rempli par UBB sur ce début de saison n’est-il pas d’avoir redoré son image ?
Oui mais je ne sais pas si cet objectif est complètement atteint. Je le dis tout le temps aux joueurs : il faut regagner le cœur de nos supporters. Je crois qu’on est en train de la faire. Si on arrive à recréer cette atmosphère, ça veut dire que les gens se reconnaissent dans l’équipe. C’est essentiel. A partir de là, les victoires viennent toutes seules. Je rêve qu’on remplisse ce stade Matmut et qu’on batte ce putain de record (38 416 spectateurs face à Toulon). J’en rêve plus que d’être premier. Mais évidemment, qu’on gagne.
Le regard des adversaires n’a-t-il changé lui aussi ?
Je ne sais pas. Les années passées, j’aimais bien jouer contre Bordeaux. Cette année, je ne sais pas si j’aimerais jouer contre cette équipe.
Le match. Bordeaux-Bègles – La Rochelle, ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.
(1) « C’est une dédicace à tous les incompétents du rugby qui pensent que mes équipes ne savaient pas jouer »[/b][/b]
Avant UBB – La Rochelle : « Un match spécial » aux yeux de Christophe Urios
par Yoan Leshauriès
« Il faut qu’on soit les chefs du village. On a un territoire à défendre », lance Christophe Urios, le manager girondin. Bonnaud Guillaume
Un derby, l’atmosphère des Boxing Days, le Matmut Atlantique… Pour Christophe Urios, le manager de l’Union Bordeaux-Bègles, le rendez-vous face au Stade Rochelais ce dimanche (16h50) est particulier à plus d’un titre.
« Sud Ouest ». On ne vous avait pas entendu depuis trois semaines et votre sortie après la victoire de l’UBB sur le terrain du Racing 92 (34–30) (1). Y avait-il un lien de cause à effet ?
Christophe Urios. J’ai dit ce que j’avais à dire, je me suis mis en quarantaine, et maintenant je reviens. Jusqu’à ma prochaine sortie. Elle est prête déjà et je sais qui je vais attaquer mais j’attends le bon moment (rires).
Ce match face à La Rochelle est-il un rendez-vous spécial ?
Oui, c’est un match spécial pour plein de raisons. Il a lieu pendant les fêtes, ça crée une atmosphère particulière. Ça se joue dans un stade magnifique, que je ne connais qu’en configuration football. Et c’est spécial parce que c’est un derby. J’aime jouer ces matchs avec de la tension, de la pression. Il faut qu’on soit les chefs du village. On a un territoire à défendre.
L’UBB peut prendre la 1re place dimanche en cas d’une victoire face à La Rochelle et un faux pas de Lyon à Castres (ce samedi à 15 h 35). Vous y pensez ?
C’est la première fois que ça m’arriverait. On verra dimanche. Franchement, ça ne me préoccupe pas. Faire des calculs, ça serait la meilleure façon de se planter. Je suis très prudent, vigilant…
« Quand je vois les entraînement, l’investissement des mecs, je n’ai pas de crainte »
Il y a trois ans, La Rochelle avait survolé le Top 14 avant de participer aux phases finales. Voyez-vous des similitudes avec l’UBB d’aujourd’hui ?
J’ai vécu quelque chose la saison dernière à Castres, sur le dernier mois, qui m’a mis du plomb dans la cervelle. Quand on est venu gagner à l’UBB, on était 4e, et on aurait dû finir 2e. Mais on a fini 7e avec 69 points. Donc je ne tire pas trop de plans sur la comète. On le fait en interne, au sein du staff, on sait où on veut aller. Mais ce qui m’importe à l’heure actuelle, c’est le match de dimanche. Et rien d’autre.
Il y a encore cette crainte de voir l’UBB s’écrouler, comme les saisons précédentes ?
Non, il n’y a pas de crainte. Quand je vois les entraînements, l’investissement des mecs, je n’ai pas de crainte. Je n’ai pas peur que ça se casse la gueule parce que ça ne se cassera pas la gueule. Je suis juste vigilant car c’est un championnat différent qui repart après cette Coupe du monde, avec des équipes qui vont continuer à progresser, d’autres pour lesquelles ça sera plus dur. La Rochelle lance un bloc de trois matchs importants au milieu des fêtes (déplacement à Pau le dimanche 29 décembre à 15 h 45, réception de Bayonne le samedi 4 janvier à 20 h 45). C’est une période difficile à gérer car on joue plus qu’on ne s’entraîne. Il faut donc qu’on soit de grands professionnels et qu’on ait beaucoup d’ambition. Aujourd’hui, on est à un bon niveau mais je trouve qu’on a encore une marge de progression très importante, dont même les joueurs ne se rendent pas compte. Il faut continuer à bien travailler, garder cet état d’esprit, cet engagement. C’est notre force aujourd’hui. C’est marrant parce qu’on a toujours dit que la force de l’UBB, c’était le jeu. Moi, je ne parle pas de jeu, je parle d’engagement et d’état d’esprit. Le jeu vient tout seul.
« Les années passées, j’aimais jouer contre Bordeaux. Cette année, je ne sais pas si j’aimerais »
Des tests, l’UBB en a déjà passés en ce début de saison. Que savez-vous de votre équipe aujourd’hui ?
Je sais que mon équipe est ambitieuse, on sait ce qu’on veut. On veut être les meilleurs, c’est une remise en question permanente. Je n’ai pas aimé le match contre Agen la semaine dernière (33–6 en Challenge Cup). Ce n’était pas un match d’équipe. Les mecs étaient engagés mais individuellement. Il n’y avait pas de connexion. Quand on joue comme ça, on est une équipe neutre, fade. Et ça, ça ne m’intéresse pas. Quand l’UBB joue en équipe, elle n’est pas facile à jouer.
Le premier objectif d’ores et déjà rempli par UBB sur ce début de saison n’est-il pas d’avoir redoré son image ?
Oui mais je ne sais pas si cet objectif est complètement atteint. Je le dis tout le temps aux joueurs : il faut regagner le cœur de nos supporters. Je crois qu’on est en train de la faire. Si on arrive à recréer cette atmosphère, ça veut dire que les gens se reconnaissent dans l’équipe. C’est essentiel. A partir de là, les victoires viennent toutes seules. Je rêve qu’on remplisse ce stade Matmut et qu’on batte ce putain de record (38 416 spectateurs face à Toulon). J’en rêve plus que d’être premier. Mais évidemment, qu’on gagne.
Le regard des adversaires n’a-t-il changé lui aussi ?
Je ne sais pas. Les années passées, j’aimais bien jouer contre Bordeaux. Cette année, je ne sais pas si j’aimerais jouer contre cette équipe.
Le match. Bordeaux-Bègles – La Rochelle, ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.
(1) « C’est une dédicace à tous les incompétents du rugby qui pensent que mes équipes ne savaient pas jouer »[/b][/b]
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
D'après un mail que je viens de recevoir du service com de l'UBB, la barre des 35 000 billets vendus est franchie !
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Je viens de voir avec les stats que sur les 2ème mi temps de nos 2 derniers matchs contre La Rochelle on a pris un 71-0! Attention donc à cette 2 eme mi temps...
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
romojito33 a écrit:Je viens de voir avec les stats que sur les 2ème mi temps de nos 2 derniers matchs contre La Rochelle on a pris un 71-0! Attention donc à cette 2 eme mi temps...
Romojito, ça c’était avant, maintenant c'est presque le contraire, on achève nos adversaires en seconde mi-temps
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
Switch a écrit:D'après un mail que je viens de recevoir du service com de l'UBB, la barre des 35 000 billets vendus est franchie !
Atteindre les 38.000 va être difficile tout de même.
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
Lyon qui se déplace avec une grosse équipe à Castres, ca sera pas pour cette fois le trone !
willoush- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
willoush a écrit:Lyon qui se déplace avec une grosse équipe à Castres, ca sera pas pour cette fois le trone !
Je mise sur Castres quand même, je prends peut-être mes désirs pour la réalité..., non franchement je crois qu'ils peuvent le faire
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
https://www.ubbrugby.com/actualites/7242-focus-sur-le-stade-rochelais.html
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
Tout le monde nous voit gagner tranquille, mais je suis moins serein. Ça va être très dur ce match. J’espère gagner, mais plutôt à l’arrache.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
grospaquet31 a écrit:Tout le monde nous voit gagner tranquille, mais je suis moins serein. Ça va être très dur ce match. J’espère gagner, mais plutôt à l’arrache.
Moi aussi je pense que ce sera dur, La Rochelle va tout donner, la météo va être bien pourrie, mais je pense qu'on va le gagner ce match
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
willoush a écrit:Lyon qui se déplace avec une grosse équipe à Castres, ca sera pas pour cette fois le trone !
Je ne suis pas sûr que Lyon ait beaucoup de possibilité de turnover sans perdre beaucoup en qualité. Leur défaite chez le petit Trévise le montre. S'il veulent avoir une chance à Castres, ils se doivent d'aligner leur grosse équipe.
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
https://www.sudouest.fr/2019/12/20/avant-ubb-la-rochelle-la-grosse-claque-resonne-encore-6982548-773.php
Avant UBB – La Rochelle : la grosse claque résonne encore
par Yoan Leshauriès et Franck Pujos.
L’Union Bordeaux-Bègles retrouve le Stade Rochelais ce dimanche (16h50 au Matmut Atlantique, 7 mois après l’humiliation subie à Deflandre (81–12). Un air de revanche ?
A l’ancienne ! Avant de recevoir La Rochelle, Christophe Urios, le manager de l’Union Bordeaux-Bègles, a placardé des coupures de journaux sur les murs du vestiaire girondin, histoire de rappeler à ses joueurs la claque subie à Deflandre en mai dernier, lors de la dernière confrontation (81–12, 12 essais à 2). « Je n’en ai même pas parlé, j’ai juste mis des affiches. Et à moins d’avoir un bandeau sur les yeux, les mecs ne pouvaient que les voir, sourit le technicien. Mais aujourd’hui, j’ai tout enlevé. Ça ne sera pas mon levier de motivation. Ce n’est pas une revanche. Ce match face à La Rochelle est un point de passage important. Mais si on pense qu’il faut faire un bon match parce qu’on en a pris 81 il y a six mois, on va se tromper de préparation. »
Ce 25 mai, l’UBB s’était déplacée à Deflandre pour clôturer une saison difficile et interminable, au bout de laquelle elle n’avait plus rien à espérer depuis longtemps. Au final, la note a été salée. Et la saison s’est terminée sur une véritable humiliation.
« Laver l’affront »
Si de l’eau a coulé sous les ponts depuis cet épisode, personne n’a oublié le naufrage à l’UBB. « Il va falloir laver l’affront », lance l’arrière Nans Ducuing. « Les jours qui ont suivi, ça a été très présent dans mon esprit, avoue le troisième ligne Alexandre Roumat. Il faut savoir s’en rappeler, pas seulement par rapport au score mais aussi par rapport à l’attitude et l’état d’esprit. Mais sur un match aussi important que celui de demain, à domicile, devant autant de monde, je ne pense pas que notre état d’esprit sera le même que celui affiché ce jour-là. »
Les Rochelais, eux, sont passés à autre chose. « Je pense que c’est à oublier, dit Jérémy Sinzelle. Ce ne sont plus les mêmes entraîneurs, Bordeaux-Bègles n’avait plus rien à jouer… Pour nous, aucun intérêt ! On n’en a pas reparlé. » Tout en étant conscients, donc, que même si Christophe Urios dit ne pas s’en servir comme levier, les Bordelo-Béglais n’ont évidemment pu tirer un trait sur cette mésaventure.
« Comme disait souvent Patrice (Collazo) dans ces cas-là, je pense qu’ils ont de la mémoire, signale Kevin Gourdon. Quand tu prends 80 points dans ta carrière, tu t’en souviens. Une fois, on en avait pris énormément à Castres (67–20, le 21 mai 2016), eh bien je m’en souviens encore alors que des matchs, j’en ai joué quelques-uns depuis… Je pense qu’ils n’ont pas besoin de ça pour préparer leur match, mais ça peut toujours leur servir. »
Le match. Bordeaux-Bègles – La Rochelle, ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.[/b]
Avant UBB – La Rochelle : la grosse claque résonne encore
par Yoan Leshauriès et Franck Pujos.
L’Union Bordeaux-Bègles retrouve le Stade Rochelais ce dimanche (16h50 au Matmut Atlantique, 7 mois après l’humiliation subie à Deflandre (81–12). Un air de revanche ?
A l’ancienne ! Avant de recevoir La Rochelle, Christophe Urios, le manager de l’Union Bordeaux-Bègles, a placardé des coupures de journaux sur les murs du vestiaire girondin, histoire de rappeler à ses joueurs la claque subie à Deflandre en mai dernier, lors de la dernière confrontation (81–12, 12 essais à 2). « Je n’en ai même pas parlé, j’ai juste mis des affiches. Et à moins d’avoir un bandeau sur les yeux, les mecs ne pouvaient que les voir, sourit le technicien. Mais aujourd’hui, j’ai tout enlevé. Ça ne sera pas mon levier de motivation. Ce n’est pas une revanche. Ce match face à La Rochelle est un point de passage important. Mais si on pense qu’il faut faire un bon match parce qu’on en a pris 81 il y a six mois, on va se tromper de préparation. »
Ce 25 mai, l’UBB s’était déplacée à Deflandre pour clôturer une saison difficile et interminable, au bout de laquelle elle n’avait plus rien à espérer depuis longtemps. Au final, la note a été salée. Et la saison s’est terminée sur une véritable humiliation.
« Laver l’affront »
Si de l’eau a coulé sous les ponts depuis cet épisode, personne n’a oublié le naufrage à l’UBB. « Il va falloir laver l’affront », lance l’arrière Nans Ducuing. « Les jours qui ont suivi, ça a été très présent dans mon esprit, avoue le troisième ligne Alexandre Roumat. Il faut savoir s’en rappeler, pas seulement par rapport au score mais aussi par rapport à l’attitude et l’état d’esprit. Mais sur un match aussi important que celui de demain, à domicile, devant autant de monde, je ne pense pas que notre état d’esprit sera le même que celui affiché ce jour-là. »
Les Rochelais, eux, sont passés à autre chose. « Je pense que c’est à oublier, dit Jérémy Sinzelle. Ce ne sont plus les mêmes entraîneurs, Bordeaux-Bègles n’avait plus rien à jouer… Pour nous, aucun intérêt ! On n’en a pas reparlé. » Tout en étant conscients, donc, que même si Christophe Urios dit ne pas s’en servir comme levier, les Bordelo-Béglais n’ont évidemment pu tirer un trait sur cette mésaventure.
« Comme disait souvent Patrice (Collazo) dans ces cas-là, je pense qu’ils ont de la mémoire, signale Kevin Gourdon. Quand tu prends 80 points dans ta carrière, tu t’en souviens. Une fois, on en avait pris énormément à Castres (67–20, le 21 mai 2016), eh bien je m’en souviens encore alors que des matchs, j’en ai joué quelques-uns depuis… Je pense qu’ils n’ont pas besoin de ça pour préparer leur match, mais ça peut toujours leur servir. »
Le match. Bordeaux-Bègles – La Rochelle, ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.[/b]
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
patrick a écrit:willoush a écrit:Lyon qui se déplace avec une grosse équipe à Castres, ca sera pas pour cette fois le trone !
Je ne suis pas sûr que Lyon ait beaucoup de possibilité de turnover sans perdre beaucoup en qualité. Leur défaite chez le petit Trévise le montre. S'il veulent avoir une chance à Castres, ils se doivent d'aligner leur grosse équipe.
Trévise c'est plus la victime a qui tout le monde met 60 points, il gagne des matchs en championnat. Ils ont aussi beaucoup d'étranger dans l'équipe maintenant.
Castres depuis le début de saison ils sont limite limite. En point je trouve qu'il s'en tire bien par rapport à des Agen, Brive ou Bayonne. Ils ont un perdu de ce qui faisait leur charme, le combat !! avec un 5 de devant capot ouvert à la 30e.
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
willoush a écrit:patrick a écrit:willoush a écrit:Lyon qui se déplace avec une grosse équipe à Castres, ca sera pas pour cette fois le trone !
Je ne suis pas sûr que Lyon ait beaucoup de possibilité de turnover sans perdre beaucoup en qualité. Leur défaite chez le petit Trévise le montre. S'il veulent avoir une chance à Castres, ils se doivent d'aligner leur grosse équipe.
Trévise c'est plus la victime a qui tout le monde met 60 points, il gagne des matchs en championnat. Ils ont aussi beaucoup d'étranger dans l'équipe maintenant.
Castres depuis le début de saison ils sont limite limite. En point je trouve qu'il s'en tire bien par rapport à des Agen, Brive ou Bayonne. Ils ont un perdu de ce qui faisait leur charme, le combat !! avec un 5 de devant capot ouvert à la 30e.
Certes il ne prennent plus régulièrement des valises mais Trévise c'est tout de même actuellement 5 défaites sur 7 matchs en Ligue Celte.
Revenons en à nous, il reste 2 jours pour acheter ses places et ça s'annonce très copieusement garni Dimanche à 16h50. Attention à arriver tôt pour ne pas être pris dans les bouchons car en plus ce sera un gros week-end d'achat de Noël
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
4900 places disponibles. Il y a bien un delta avec le récap du club mais qui a tendance à s'amenuiser ; on était à 5000 places il y a 15 jours; 2500 depuis 1 semaine environ et maintenant 2000.
J'y comprends quedalle.
Est-ce tout simplement de la pure communication en baissant le réel niveau des places vendues en stimulant les supporteurs de battre le record de 38 416 spectateurs?
J'y comprends quedalle.
Est-ce tout simplement de la pure communication en baissant le réel niveau des places vendues en stimulant les supporteurs de battre le record de 38 416 spectateurs?
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Re: Top14 - 11ème journée : UBB / La Rochelle
https://www.sudouest.fr/2019/12/21/l-ubb-a-un-elan-a-poursuivre-face-a-la-rochelle-6985360-773.php
L’UBB a un élan à poursuivre face à La Rochelle
par Yoan Leshauriès.
L’Union Bordeaux-Bègles tentera de prolonger sa belle dynamique face aux Rochelais ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.
La parenthèse Challenge Cup est refermée. Suite à ses deux larges succès face à Agen (73–3, 33–6), le club girondin a pris une option sur la qualification et peut se concentrer sur le bloc de trois matchs de Top 14 (face à La Rochelle, à Pau, face à Bayonne) qui se présente pendant la période des fêtes, avec l’objectif de poursuivre sur sa belle dynamique. Avec la 1re place dans le viseur ? « On n’a pas de limite, avoue l’arrière Nans Ducuing. Mais on ne fait pas un focus sur cette 1re place. On veut juste continuer sur ce qu’on a mis en place jusque-là. On travaille très bien, tout le monde est impliqué, on sent de la motivation et l’envie de bien faire. La 1re place, ça serait la cerise sur le gâteau. »
Face à La Rochelle, demain après-midi (16 h 50) au stade Matmut Atlantique, le défi s’annonce encore de taille et l’UBB devra s’arracher pour tenter de conserver son invincibilité à domicile. « C’est un gros match, souligne le troisième ligne Alexandre Roumat. La Rochelle n’a pas réalisé le début de saison souhaité mais on voit que c’est une équipe capable d’aller gagner à l’extérieur en Coupe d’Europe à Glasgow (7–12). Sur les grands rendez-vous, on sait que c’est une équipe capable de réaliser de grandes choses. C’est toujours un match compliqué contre eux car ils mettent énormément de volume, ils déplacent beaucoup le ballon, ils essaient de nous faire péter physiquement. C’est aussi comme cela qu’on joue donc ce sera presque une opposition de même style ».
Monter le curseur
Après ses deux matchs face à Agen sur la scène européenne, l’UBB se doit d’élever le curseur car l’opposition sera bien plus relevée. D’autant plus que les Rochelais, eux, sont dans le rythme après avoir affronté des équipes de Champions Cup. « Ça peut leur servir, observe Alexandre Roumat. Ils ont eu des matchs d’une intensité plus élevée que la nôtre, j’espère que ça nous aidera dans le sens où ils ont laissé un peu de jus. Nous, on a eu la chance de faire tourner notre effectif. Le dernier match de championnat au Racing (34–30) a été d’une grande intensité. J’espère qu’on saura le reproduire face à La Rochelle.
L’UBB a un élan à poursuivre face à La Rochelle
par Yoan Leshauriès.
L’Union Bordeaux-Bègles tentera de prolonger sa belle dynamique face aux Rochelais ce dimanche (16h50) au Matmut Atlantique.
La parenthèse Challenge Cup est refermée. Suite à ses deux larges succès face à Agen (73–3, 33–6), le club girondin a pris une option sur la qualification et peut se concentrer sur le bloc de trois matchs de Top 14 (face à La Rochelle, à Pau, face à Bayonne) qui se présente pendant la période des fêtes, avec l’objectif de poursuivre sur sa belle dynamique. Avec la 1re place dans le viseur ? « On n’a pas de limite, avoue l’arrière Nans Ducuing. Mais on ne fait pas un focus sur cette 1re place. On veut juste continuer sur ce qu’on a mis en place jusque-là. On travaille très bien, tout le monde est impliqué, on sent de la motivation et l’envie de bien faire. La 1re place, ça serait la cerise sur le gâteau. »
Face à La Rochelle, demain après-midi (16 h 50) au stade Matmut Atlantique, le défi s’annonce encore de taille et l’UBB devra s’arracher pour tenter de conserver son invincibilité à domicile. « C’est un gros match, souligne le troisième ligne Alexandre Roumat. La Rochelle n’a pas réalisé le début de saison souhaité mais on voit que c’est une équipe capable d’aller gagner à l’extérieur en Coupe d’Europe à Glasgow (7–12). Sur les grands rendez-vous, on sait que c’est une équipe capable de réaliser de grandes choses. C’est toujours un match compliqué contre eux car ils mettent énormément de volume, ils déplacent beaucoup le ballon, ils essaient de nous faire péter physiquement. C’est aussi comme cela qu’on joue donc ce sera presque une opposition de même style ».
Monter le curseur
Après ses deux matchs face à Agen sur la scène européenne, l’UBB se doit d’élever le curseur car l’opposition sera bien plus relevée. D’autant plus que les Rochelais, eux, sont dans le rythme après avoir affronté des équipes de Champions Cup. « Ça peut leur servir, observe Alexandre Roumat. Ils ont eu des matchs d’une intensité plus élevée que la nôtre, j’espère que ça nous aidera dans le sens où ils ont laissé un peu de jus. Nous, on a eu la chance de faire tourner notre effectif. Le dernier match de championnat au Racing (34–30) a été d’une grande intensité. J’espère qu’on saura le reproduire face à La Rochelle.
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