Top14 : autres matchs

Si le match est joué sans les internationaux, ils risquent d’être plus handicapés que nous car il y a fort à parier que leurs 2 neufs y seront.

Roberto Miopalmo a écrit:Si le match est joué sans les internationaux, ils risquent d’être plus handicapés que nous car il y a fort à parier que leurs 2 neufs y seront.

Effectivement, la sélection de Bézy et Dupont est vraiment problématique pour eux si ça s'avère vrai. On l'a connu aussi quand on nous a pris Poirot et Tao ou Serin et Lesgourgues. Après si ce que je lis dans le Midol ce matin est vrai, on risque de perdre nos deux 3ème lignes titulaires (Roumat et Woki), notre capitaine Poirot, notre maître à jouer et peut être notre arrière et demi mêlée titulaires donc vu notre budget se sont sont des pertes importantes... Je suis très content pour eux si ça s'officialise mais je trouve ça aberrant de pas avoir ses meilleurs joueurs la moitié de la saison. En espérant ne pas avoir de blessés sur cette période sinon on risque d'être en flux tendu.

Couilloud pourrait reprendre en match la semaine prochaine; on a vu que dès que le pack toulousain est contraint, Bezy est fragile dans la conduite du jeu; or, il n'est pas sûr que le pack tricolore à tout le moins pour ce tournoi, roule sur ses adversaires.

le radis a écrit:Couilloud pourrait reprendre en match la semaine prochaine; on a vu que dès que le pack toulousain est contraint, Bezy est fragile dans la conduite du jeu; or, il n'est pas sûr que le pack tricolore à tout le moins pour ce tournoi, roule sur ses adversaires.

Il est fragile comme beaucoup de 9 dans cette situation, mais c'est vrai qu'a priori, on sent qu'un Lucu ferait mieux face à ce genre de problématique, bien que pour l'instant on n'a pas vraiment eu l'occasion de pouvoir s'en rendre compte...

Ah effectivement si on nous en prend autant, c’est problématique. Je suis curieux de voir cette liste. Ça ferait entre 4 et 6 joueurs. Je suis un éternel optimiste. Je pense que d’une on a le groupe pour faire face à ces absences. Et de deux je serais content pour ces UBBiens qui rejoindraient les bleus. Je pense que ce mandat pourrait nous surprendre. Il y a beaucoup de feux au vert.

T'emballes pas Roberto: 2 avec certitude, les autres, peu probables.
Surtout que la liste proposée par le Midol omet par exemple S Macalou.

Au talon avec Dufour qui éclate'( dommage qu'il se blesse trop rapidement) un Lamothe qui devrait revenir et pocéde une grosse marge de progression,un Meynadier qui connait bien la maison,que viendrait faire un Latu qui n'est pas jiff, qui est susceptible de sélection dans son pays d'origine,qui doit couter un bras.Ces seuls critéres devraient suffire à ne pas considérer sa venue.On a besoin de plus de bons jiff ,de joueurs entièrement mobilisés par UBB, les joueurs sélectionnables sont déjà nombreux,quelques économies seraient bienvenues,les salaires vont fluctuer si notre saison continu sur le même rythme.Urios talon de métier doit être capable d'y voir clair et puis Avei en venant sur Angoulèmes a fait une partie du chemin il serait heureux et sa famille aussi de se joindre au staff et de travailler avec tous les talons du club, Poux et Adams font du bon travail, pourquoi ne pas continuer dans cette voie?

Avec 42 noms à coucher, qui vont être piochés majoritairement dans 8 clubs... je pense oui, qu’on devrait avoir entre 4 et 6 mecs retenus. Après, combien seront des feuilles de match du tournoi ou renvoyés pour jouer avec le club???

Pendant le tournoi, y a pas d'autres compétitions internationales? on garde bien a disposition nos autres internationaux?

http://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/actualites/rudes-passes-d-armes-entre-boudjellal-et-son-successeur-a-la-tete-du-rc-toulon-989019

Je mets cet article ici, ça ne nous concerne pas directement, mais ça nous permet d’apprécier à juste titre, notre président et sa gestion du club

Rudes passes d’armes entre Boudjellal et son successeur à la tête du RC Toulon

Par David Reyrat

C’est chaud entre le nouveau propriétaire du club varois, Bernard Lemaître, et son illustre prédécesseur, président du RCT jusqu’à la fin de la saison. Les hostilités sont lancées.

Il y avait eu quelques escarmouches. Laissent présager du pire. Depuis l’annonce, début décembre, du rachat du RCT par Bernard Lemaître et du retrait définitif de la présidence de Mourad Boudjellal à la fin de la saison, les deux hommes s’étaient déjà lancés des amabilités par voie de presse. «Que Mourad Boudjellal ait du mal à vivre cette transition, c’est assez normal. Quand je disais qu’il ne peut y avoir deux coqs dans le même poulailler…», avait tenu à souligner Bernard Lemaître. Entre autres. Ce qui lui avait valu une première réponse de l’intéressé. «J’ai été surpris de le voir répondre à toutes les sollicitations de la presse. Ce n’est pas son genre, il est plutôt humble. Il a tenu un discours de débutant, les médias ont profité d’une certaine naïveté de sa part. Personnellement, il y a douze ans quand j’ai pris le club, je n’ai pas parlé de mes prédécesseurs. Et je ne me vois pas aujourd’hui critiquer mon successeur…»

Un amuse-bouche avant, ce lundi, une longue interview de Lemaître dans Midi Olympique. Et le même exercice de Mourad Boudjellal dans les colonnes de La Provence. Hostilités lancées par le nouveau propriétaire du club varois. «Si j’ai été obligé d’investir des sommes considérables (18 millions d’euros, NDLR) en 18 mois, c’est pour éviter au RCT de mourir. Quand j’ai investi pour permettre le démarrage du projet centre d’entraînement, j’ai procédé à un audit sans prendre la mesure de la situation… Le club a connu un train de vie très élevé, mais avec un niveau de ressources également élevé. Tout d’un coup, les ressources ont baissé à cause des résultats, pendant que club continuait de vivre au même rythme…»

  «Bernard Lemaître veut apparaître un peu comme le sauveur car il n’a pas d’histoire»
   Mourad Boudjellal

Alors, Lemaître bienfaiteur d’un club voué à une mort certaine ? «C’est faux, réplique Mourad Boudjellal. En disant ça, Bernard Lemaître veut apparaître un peu comme le sauveur car il n’a pas d’histoire. Mais il en aura une. Il a mis beaucoup d’argent dans le club, mais il a seulement payé tout ce que j’ai mis en place : 12 millions de partenariats, quelques millions de produits dérivés, plus de 7 millions de billetteries, le bail emphytéotique sur 5 hectares où se construit le nouveau centre d’entraînement où la pièce la plus visitée sera la salle des trophées, la lumière dans les médias… Tout ça, ce n’est pas gratuit.»

Et de poursuivre, de préciser. «J’avais les moyens nécessaires pour passer les deux mauvaises années. Par contre, il n’y aurait pas eu ce recrutement. J’ai encore un petit capital et j’aurais pu couvrir les manques. J’aurais sans doute dû vendre deux ou trois joueurs et on ne serait pas troisième du Top 14. Cela m’aurait fait méchamment remettre la main à la poche, je le reconnais. Je ne pouvais plus assumer les besoins du club sans attaquer mon patrimoine familial. Mais je n’aurais pas laissé mourir le club. Jamais !»

   «J’aimerais relativiser certaines choses. On parle des «succès de Mourad» mais ce sont davantage les succès d’une équipe»
   Bernard Lemaître

Dans les colonnes du Midol, Bernard Lemaître va cependant plus loin. S’attaque à l’héritage du futur ex-président. «J’aimerais relativiser certaines choses. On parle des «succès de Mourad» mais ce sont davantage les succès d’une équipe. Un trophée, c’est 75 % grâce l’équipe. Ensuite il y a le staff, le médical, etc. Le rôle du dirigeant est de créer les conditions de la réussite. Si on est champions de France un jour, je ne m’attribuerai jamais le mérite. Je serai simplement content d’avoir aidé le club à l’obtenir…» Et de frapper fort sur la légende de la Rade. «Je ne suis pas certain que, dans 50 ans, on s’en souviendra. Il restera des lignes de palmarès et quelques coupes dans la salle des trophées. Aujourd’hui, quand on dit «Toulon a été champion de France en 1932», ça ne touche personne. 1987 et 1992 un peu plus, mais ça vieillit. Tout comme les années 2013, 2014 et 2015 qui, aussi glorieuses aient-elles été, sont désormais derrière nous. Je veux que tout le monde aille de l’avant. Tout change très vite et j’aimerais qu’on ne rate pas un virage en regardant dans le rétro…»

Des propos très durs qui auraient pu provoquer un méchant retour de bâton du bouillant Mourad. Il n’en est rien. Il préfère étonnamment le fleuret moucheté à la sulfateuse. «Bernard était là pour m’aider et être dans l’ombre, car ce n’est pas un homme de la lumière. Il s’est adapté. Il est comme tous les gens qui ont réussi à très haut niveau dans un relatif anonymat. Au bout d’un moment, ils ont besoin de reconnaissance et c’est légitime. Ça ne me dérange pas. Il a un parcours de vie qui force le respect. Il a envie d’en profiter et je le laisse faire. Il est comme moi au début, où j’ai été ébloui par ça.»

Boudjellal démissionnera avant la finale du Top 14 si Toulon s’y qualifié

Mais pour montrer que le message est bien passé, Mourad Boudjellal prépare une pirouette dont il a le secret, annonçant dans La Provence qu’il quittera le club quelques jours avant le terme de la saison si le RCT venait à se qualifier pour la finale de Top 14. «Je m’effacerai avant car je pense qu’il serait malvenu de ne pas laisser Bernard Lemaître profiter d’un titre. Ce serait le sien, ainsi que celui de Patrice Collazo et des joueurs évidemment. (…) À part les blessures, rien ne pourra nous empêcher d’être champions. C’est mon destin, c’est écrit. Si on devait être en finale, je démissionnerais avant. Ou je demanderais plutôt à Bernard de me virer, je trouve ça plus drôle.» A ce rythme, attention que le nouveau patron ne passe pas à l’acte plus tôt que cela…

"À part les blessures, rien ne pourra nous empêcher d’être champions."

patrick a écrit:"À part les blessures, rien ne pourra nous empêcher d’être champions."

 Et juste après, le "C’est mon destin, c’est écrit"

Scalp a écrit:

patrick a écrit:"À part les blessures, rien ne pourra nous empêcher d’être champions."

 Et juste après, le "C’est mon destin, c’est écrit"

Il aurait pu rajouter, le Che de la Rade: " Inéluctable, c'est le sens de l'histoire..." mais il n'a pas osé annexer cette pensée marxo-hegelienne.

Ce Bernard Lemaître à été président du club de Mérignac de 70 à 78 ...

Je mets cet article ici, ça ne nous concerne toujours pas directement, mais Boudjellal nous fait passer le temps..., si ça pouvait donner à nouveau l'idée à Altrad de reprendre l'OM, ça nous ferait des vacances  

http://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/fil-info/boudjellal-nouveau-patron-du-sporting-le-maire-est-pour-le-president-actuel-ne-veut-pas-en-entendre-parler-989079

Boudjellal nouveau patron du Sporting ? Le maire est pour, le président actuel ne veut pas en entendre parler

Le futur ex-président du Rugby Club Toulonnais, Mourad Boudjellal, a fait part de son envie de racheter le Sporting de Toulon afin de faire remonter le club de football en Ligue 1. Interrogé sur cette perspective par le quotidien régional Var-matin, le maire de Toulon, Hubert Falco, y est plutôt favorable. «A partir du moment où Claude Joye, actionnaire majoritaire du Sporting et Mourad Boudjellal, trouvent un accord, je verrais d’un très bon œil l’arrivée de ce dernier au club de football de Toulon. Il a prouvé son savoir-faire à la tête du RCT et il a largement les capacités pour relancer le Sporting. Maintenant, ce n’est pas au maire de Toulon d’interférer dans les négociations. Même si le Sporting appartient avant tout aux Toulonnais ! Enfin, je crois que notre Métropole, assise sur des bases solides entre celles de Nice et Marseille, mériterait au moins un club de football en Ligue 2, en étant raisonnable.» Questionné sur ce sujet par Var-matin, l’actuel actionnaire majoritaire du Sporting, Claude Joye, s’est lui montré catégorique. Il n’est pas vendeur et refuse de céder ses parts. «Comme je l’ai toujours dit, je suis à l’écoute de ceux qui veulent et peuvent aider le Sporting. Et pourquoi pas leur ouvrir le capital mais pas en tant qu’actionnaire majoritaire. Je ne suis pas vendeur. Et pour être honnête, je trouve quand même particulier d’évoquer un sujet qui n’est pas d’actualité. (…) J’ai pris le club en Division d’Honneur de l’époque pour le monter jusqu’en Ligue 2 à minima. Le projet n’est donc pas terminé, loin de là. Par ailleurs, nos finances sont saines et nous ne sommes pas demandeurs. Je comprends la déception liée à notre première partie de saison. Je suis déçu, les supporters aussi, tout le monde l’est mais il faut garder la tête froide et ne pas oublier d’où l’on vient.»

C'est quand même pas du tout la même chose. Faire monter en Top14 un club de rugby au passé glorieux pas si lointain d'un côté, et faire monter en Ligue 1 un club de foot beaucoup moins prestigieux, ça me semble 2 challenges totalement différents et séparés par un énorme fossé, notamment financier. Aujourd'hui les plus petits budgets de Top14 sont d'environ 12 à 15 M€, et ils étaient relativement plus bas quand Toulon est monté en 2008.
A l'inverse, les plus petits clubs de Ligue 1 tournent à 30-35 M€. Le gap est important.

Sans parler qu'il faudrait monter de 2 divisions, vivre avec la concurrence...du RCT dans une région pas non plus dépourvue en clubs de foot. Et que Boudjellal s'impose dans le monde du foot qui de part beaucoup de choses est très différent de celui du rugby. Lui qui aime se chamailler avec Lorenzetti ou De Cromieres, ça risque de changer avec des Nasser Al-Khelaifi ou J-M Aulas.

Bref tout ceci me semble bien ambitieux et un tantinet démagogique.

Les salaires des footeux ça va le calmer, il lui manque un 0 sur sa fortune perso pour exister en ligue1

Au foot il y a le faire play financier qui interdit que tu ne dépenses plus que tes recettes.
Donc théoriquement l'argent tu le sors qu'a l'achat des parts du club il me semble.

willoush a écrit:Au foot il y a le faire play financier qui interdit que tu ne dépenses plus que tes recettes.
Donc théoriquement l'argent tu le sors qu'a l'achat des parts du club il me semble.

A bon....je croyais au contraire que la majorité des clubs de foot affichaient tous des déficits abyssaux...

En fait au foot le fair play financier marche que pour les clubs inscrits dans une compétition UEFA. Pour exemple ac milan a refusé de participer à une compétition continentale (UEFA) pour pouvoir s'endetter. Ou un autre exemple marseille première année de mc court il a investi 200 millions car marseille n'était pas en UEFA. A partir de l'année qui a suivi ils ont été contraint par le fair play

Ca me fait rire d'entendre parler de "fair play financier" quand je vois une Ligue 1 où les clubs ont des budgets avec des rapports de 1 à 10, voir 1 à 20.
Par exemple, le budget du PSG (637 M€, soit environ le PIB des Tonga ou Samoa, et 16 fois le plsu gros budget de Top14) est à la fois équivalent à 24 fois celui du promus Nîmes (27 M€), et équivalent aux budgets de 14 autres clubs de Ligue 1 réunis. Et je ne parle pas des transferts de joueurs effectués par le PSG, dont certains montant sont équivalents à 3 ou 4 fois le budget entier d'autres clubs de Ligue 1.

Alors svp, qu'on ne parle pas du foot comme d'un sport équitable et fair-play. Le foot pro, ce n'est plus un sport, c'est un business pourri et mafieux sans saveur où reignent les magouilles, les injustices et l'absence de valeurs.

Il faut être comptable pour dire s’il respecte le fair play financier, c’est à dire si le club ne dépense pas plus qu’il ne gagne.
Le PSG a un gros budget mais ils jouent des compétitions qui rapportent bcp d’argent, lleur stade est toujours plein, ils ont des stars qui rapportent un Max en merchandising, sponsors, les redistributions tv, ..bref..

Ça serait bien aussi que l’état français respecte le fair play financier...mais c’est un autre débat

Switch des exemples mafieux ?

willoush a écrit:Switch des exemples mafieux ?

Quand la fédération internationale d'un sport est suffisamment corrompue pour vendre une coupe du monde à la Russie et au Qatar, on peut parler de système mafieux

willoush a écrit:Switch des exemples mafieux ?

Le PSG, les investissements plus que douteux des magnats russes dans le foot anglais et Monaco, où l'on soupçonne fort qu'ils aient profité des commissions de transferts pour recycler de l'argent sale. Plus anciennement le Milan AC, avec Berlusconi dont les collusions avec la criminalité organisée, en particulier la Mafia, ont été prouvées maintes et maintes fois. Le business des paris sportifs en Asie du Sud-Est, où la participation de la criminalité organisée locale et européenne a été aussi prouvée il me semble. Sans parler évidemment de tous les scandales entourant les organisations des Mondiaux...

Au rugby ya pas de corruption c est juste qu on des pauvres a coté des footeux, l argent pourrit le sport quel que soit ces valeurs