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Rugby et Coronavirus - Page 16 Empty Re: Rugby et Coronavirus

Message  Scalp Sam 21 Mar 2020 - 15:16

https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/03/21/covid-19-les-hopitaux-de-france-face-a-la-vague-qui-arrive_6033952_3244.html

« On ne mesure pas le drame humain qui va se jouer » : les hôpitaux de France face à « la vague » qui arrive

Tandis que, dans l’Est et en Ile-de-France, les hôpitaux saturent et les personnels craquent, l’Ouest et le Sud se préparent dans l’anxiété à la déferlante de nouveaux malades touchés par le coronavirus.

Par Service Société et Service Planète

Le vertige, à la lecture de bilans en hausse exponentielle, périmés à la minute où ils sont publiés, et de ces courbes qui ne cessent de grimper, toujours plus à la verticale. Au fil des jours, la carte de France du coronavirus s’assombrit et les points rouges grossissent dans chaque région. Le Covid-19 a tué 450 personnes depuis le début de l’épidémie et entraîné le placement en réanimation de 1 297 patients, a annoncé, vendredi 20 mars, Jérôme Salomon lors de son rituel point-presse.

Le directeur général de la santé n’a pas voulu acter la prolongation du confinement, pourtant aussi inéluctable que la déferlante de cas graves qui s’annonce. « L’objectif, a affirmé Jérôme Salomon, est d’atténuer et de décaler au maximum les effets de cette vague, pour protéger les hôpitaux. » Lesquels, même quand ils ne la voient encore que de loin, se préparent tous à subir la vague en question, quand ils n’y ont pas déjà été confrontés.

Dans le Grand-Est, on ne parle déjà plus de vague : « On est dans la tourmente », alerte Jean-François Cerfon, médecin réanimateur à l’hôpital de Colmar (Haut-Rhin). Dans cette région, le virus avait fait, selon le dernier bilan publié par l’agence régionale de santé (ARS) jeudi, 93 morts en tout – et 32 sur les quarante-huit dernières heures. Quelque 300 malades se trouvaient en réanimation, principalement dans les deux départements alsaciens et en Moselle.

« A Colmar, toutes les réanimations sont saturées, explique M. Cerfon. On compte 38 lits, tous pleins. » Idem à Mulhouse : « Cela fait maintenant trois jours que nous sommes dans la quête, à tous les instants de la journée, de lits pour nos patients en situation de détresse », a constaté le docteur Marc Noizet, chef des urgences de l’hôpital, vendredi sur France Inter. Combien de temps les 30 lits supplémentaires de l’hôpital militaire, installé samedi sur le parking voisin, permettront-ils de gagner ?

« C’est une déferlante continue, dit M. Noizet. On a tous les jours entre 10 et 16, 17 patients qu’on essaie de transférer en hélicoptère en dehors de la région pour faire de la place. » Mercredi, six malades ont été transportés en avion militaire jusqu’à Toulon. A Strasbourg aussi, désormais, la situation est critique : « On arrive à saturation, explique-t-on au CHU. On nous demande de passer à 250 lits de réanimation contre 100 en temps normal. Alors on adapte des lits de soins intensifs ou de soins continus. »

La rupture n’est pas loin


Dans les hôpitaux du Haut-Rhin, c’est sauve-qui-peut, littéralement, puisqu’on ne peut plus sauver tout le monde. La perspective de devoir, comme en Italie, trier les patients en fonction de leur âge n’est plus si loin : « On n’a pas modifié nos critères, l’âge n’en est pas un en soi, précise M. Cerfon, à Colmar. Réanimer, c’est aider à traverser la rivière. Si on voit que de l’autre côté il n’y a rien, alors on ne réanime pas. Pour le moment, on n’a pas à faire de choix différents de nos critères habituels, mais dans huit ou dix jours, ce ne sera pas forcément la même chose. »

En Ile-de-France, la vague monte. La région la plus peuplée du pays est désormais la plus touchée, en nombre de cas et de décès, même si aucun hôpital n’est submergé comme ceux du Haut-Rhin : « Nous ne sommes pas à saturation, nous avons encore plusieurs jours devant nous », assurait jeudi Aurélien Rousseau, directeur général de l’ARS Ile-de-France, qui imagine « l’arrivée en phase critique vers le 1er avril ».

Au 20 mars, 109 personnes étaient mortes du virus dans la région, et 502 se trouvaient en réanimation – 100 de plus en vingt-quatre heures. La jauge maximale en réanimation en Ile-de-France est de 1 200 lits, indique-t-on à l’ARS, où l’on martèle le message : « Il est vital de respecter le confinement, car si on arrive à 1 215, cela signifie quinze personnes sans respirateur. »

Les paquebots de l’AP-HP ont encore des ressources, mais pour certains petits établissements privés franciliens, la rupture n’est pas loin. A l’hôpital Saint-Camille de Bry-sur-Marne (Val-de-Marne), où une première unité de huit lits a vite été pleine, une deuxième de vingt lits ouverte le 16 mars accueille déjà dix-huit patients, tandis qu’une troisième se tient prête depuis le 19 mars. Serge Carreira, chef du service de réanimation, s’inquiète : « Les lignes de défense tombent doucement. Pas dans une grande panique comme à Mulhouse, mais elles tombent. »

« Il n’y aura pas d’oasis »


Plus lentement mais tout aussi sûrement, la situation se dégrade dans des régions où la vague risque d’éclater avec quelques jours de retard sur le Grand-Est ou l’Ile-de-France : on dénombrait, vendredi soir, 81 morts dans les Hauts-de-France (dont 44 dans l’Oise), 50 en Auvergne-Rhône-Alpes, 28 en Bourgogne-Franche-Comté, 23 en Occitanie, 12 en Bretagne, 11 en Provence-Alpes-Côte d’Azur, et 7 en Corse – total important rapporté à la population de l’île. Dans ces régions, le bilan chiffré semble moins effrayant, pas les perspectives. Déjà, par endroits, les murs craquent.

« D’un jour à l’autre, on est obligé de s’adapter, et le dispositif est déjà dépassé au bout de vingt-quatre heures », témoigne un agent de l’hôpital de Creil (Oise). C’est ici qu’avait initialement été pris en charge, en février, le premier patient mort du coronavirus, un enseignant de 60 ans. Depuis, seize personnes y sont décédées.

La réanimation tourne à plein régime : les quinze lits sont occupés, alors, comme dans tous les hôpitaux du pays, on déprogramme les opérations non urgentes et on équipe de respirateurs, autant qu’on peut, les lits qui se libèrent. A Lens (Pas-de-Calais), l’hôpital n’est pas encore saturé. « Ça monte tout doucement, comme une grosse vague qui nous arrive dessus », décrit Jean Letoquard, infirmier anesthésiste, qui relaie l’inquiétude du personnel : « On est déjà en surchauffe lorsqu’on est confronté à la grippe saisonnière… »

La proximité avec l’Alsace fait craindre à la Bourgogne-Franche-Comté des lendemains difficiles. Vendredi soir, 73 lits de réanimation étaient occupés sur les 200 de la région – objectif : 300 supplémentaires. « Mais ce n’est qu’une question de jour, prévoit Pierre Pribile, directeur général de l’ARS. Il n’y aura pas d’oasis. » Le CHU de Besançon (Doubs) s’attend à être frappé de plein fouet, comme l’évoque Marc Paulin, infirmier occupé à plein temps par la gestion du Covid-19 :

« On sera saturé, la question est de savoir quand, Je m’attends à quelque chose de catastrophique. On risque de se heurter aux fins de non-recevoir des réanimateurs, et on n’aura que nos yeux pour pleurer et de la morphine pour soulager les gens qui vont mourir parfois seuls. »

Déferlante encore loin pour une moitié ouest


Le niveau de préoccupation immédiate diminue à mesure que l’on descend vers le sud. Avec ses 550 lits de réanimation, qui seront bientôt 900, pour 89 malades dans un état grave, l’Auvergne-Rhône-Alpes n’entrevoit pas encore le pire. « A ce stade, l’offre est supérieure à l’afflux de patients, indique Laurent Heyer, médecin anesthésiste-réanimateur à l’hôpital de la Croix-Rousse, à Lyon, passé de deux à cinq unités de soins critiques, avec une quinzaine de lits chacune. Nous avons pu former le personnel appelé à renforcer les équipes, ce qui est crucial. On a eu la chance d’avoir un peu plus de temps que d’autres pour se préparer. »

   En Corse, « le pic épidémique est attendu pour la fin de la semaine prochaine », selon Jean-Mathieu Defour, directeur général de l’hôpital de Bastia


Même (relative) sérénité à Marseille, où « nous sommes prêts », assure Dominique Rossi, médecin à l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille. « La vague a commencé de déferler ce vendredi au matin » : 105 patients atteints du virus, dont 30 en réanimation, étaient hospitalisés vendredi soir. Ils n’étaient que 20 la veille. « La région PACA dispose de 440 places de réanimation, mais nous pouvons monter jusqu’à 800, ou 1 000 avec 200 postes un peu moins performants, précise Philippe de Mester, directeur général de l’ARS. Un tel potentiel doit permettre de faire face. » On comptait 59 personnes en réanimation vendredi dans la région.

En Corse, enfin, « le pic épidémique est attendu pour la fin de la semaine prochaine », selon Jean-Mathieu Defour, directeur général de l’hôpital de Bastia, où le nombre de lits en réanimation passera de 12 à 30. Pour soulager celui d’Ajaccio, durement touché – 138 cas confirmés, 7 morts –, un porte-hélicoptères de la marine nationale évacuera dimanche une douzaine de malades graves vers la région PACA.

Si ces régions ont une semaine de retard sur les premiers foyers de la maladie, une large moitié ouest du pays voit pour l’instant la vague d’encore plus loin, et profite d’une forme de calme avant la tempête. En Alsace, les soignants ne prennent plus un jour de repos et s’échinent à trouver où en envoyer les malades ; à l’ouest, les lits vides s’alignent dans les services de réanimation, et le personnel peut encore prendre des vacances.

Une question de jours

Mais personne n’imagine passer entre les gouttes. « L’Ouest est plutôt préservé, mais la vague épidémique va traverser la France, c’est une question de jours, y compris pour les Pays de la Loire », explique Jean-Jacques Coiplet, qui dirige l’ARS. La région, qui a enregistré trois décès liés au Covid-19, comptait 25 patients en réanimation vendredi soir, pour une capacité qui sera portée à 400 lits d’ici à dimanche.

« En déprogrammant les activités non urgentes, on a vidé les deux tiers de l’établissement, raconte Cécile Jaglin-Grimonprez, directrice générale du CHU d’Angers, 100 lits de réanimation. Ce qu’on espère, c’est un étalement des cas dans le temps, et donc d’avoir au quotidien des lits qui se libèrent pour de nouveaux patients. Mais on se prépare à l’hypothèse la plus pessimiste, quitte à ce qu’on ait vidé nos établissements pour rien. »

La Normandie – où l’on compte sept morts – et la Bretagne – 12 morts, 27 patients en réanimation – ne sont pas encore dans le rouge. Le Centre-Val de Loire – un décès, 10 patients en réanimation – semble loin du cauchemar alsacien, tout comme la Nouvelle-Aquitaine, où trois personnes sont mortes depuis le début de l’épidémie. Dans la plus vaste région de France, 500 lits de réanimation sur 1 600 sont disponibles. Au CHU de Bordeaux, qui va accueillir des malades graves d’autres régions, on compte 200 lits (bientôt 300) pour… 12 cas. « On tourne au ralenti, on a le temps de s’entraîner avec les scaphandres, mais au moins on est prêts, explique Louise Gouyet, réanimatrice. Nos collègues de Paris nous disent que quand ça arrive, on n’a pas le temps de dire ouf. » Se préparer donc.

Samedi matin, à Brest, l’imposante salle de spectacles de l’Arena, qui contient jusqu’à 5 000 places, a ouvert ses portes, transformée en « centre de consultation dédié ». La Croix-Rouge française doit en assurer l’accueil et la gestion et une trentaine de médecins de ville volontaires officieront dans dix salles de consultation, prêtes à accueillir un afflux de patients.

   « Notre obsession, c’est d’avoir suffisamment de lits de réanimation quand on en aura besoin », Gérard Cotellon, directeur général du CHU de Pointe-à-Pitre


L’outre-mer est pour l’heure moins touché que la métropole, mais la vague se profile, et le défi s’annonce périlleux compte tenu des fragilités du système sanitaire et de l’exposition aux risques que présentent les populations de ces régions en majorité insulaires. Un premier décès a été recensé en Martinique dimanche. La Guadeloupe est le premier territoire ultramarin à avoir franchi le seuil épidémique, jeudi. Huit patients sont hospitalisés au CHU de Pointe-à-Pitre.

« Notre obsession, explique Gérard Cotellon, directeur général de l’établissement, c’est d’avoir suffisamment de lits de réanimation quand on en aura besoin ». Il en compte 22 actuellement, 40 dans un mois, pour les 400 000 habitants de l’île. Cela suffira-t-il ? L’hôpital, qui a brûlé en 2018, ne permettait déjà qu’une prise en charge très dégradée, et le manque de masques dont souffre le personnel laisse craindre une catastrophe.

Terribles décisions à prendre


Partout en France, la crise du coronavirus a mis en évidence les dysfonctionnements du système hospitalier, le manque de bras et de matériel. « La sixième puissance économique mondiale n’est pas capable de prendre cette vague sereinement », constate Yves Duffait, médecin aux urgences d’Oyonnax (Ain). Marc Paulin, infirmier au CHU de Besançon, rappelle que « 17 500 lits ont été fermés depuis 2013, avec le personnel qui va avec. Il aurait été préférable de les avoir pendant cette crise ».

Partout, les soignants se préparent à prendre des décisions terribles. « On ne mesure pas le drame humain qui va se jouer dans les jours à venir, prévient Laurent Thines, neurochirurgien au CHU de Besançon. La crise va être profonde, et la confiance va se briser entre la population et le gouvernement. La population s’en souviendra. » Le personnel hospitalier aussi, à commencer par Jean Letoquart, infirmier à Lens : « Pour l’instant, on se tait, on fait les bons petits soldats, on va au charbon. Mais on présentera la facture à la fin. »

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Message  Scalp Sam 21 Mar 2020 - 19:29

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Message  Scalp Dim 22 Mar 2020 - 0:44

Top 14: la grosse colère de Boudjellal contre Urios et les guéguerres de calendrier

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14-fermez-la-des-milliers-de-francais-vont-mourir-la-colere-de-boudjellal-contre-urios-1879484.html


Le genre de réflexion qu'on peut sortir à tous les dirigeants, entraineurs, chefs d'entreprises, etc, etc..., de France et de Navarre dans ce contexte. Facile, inutile, Putassier, Boudjellal quoi.... redcard

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Message  marchal Dim 22 Mar 2020 - 1:19

Il a pas arrêté le rugby lui
On a quand même le droit de parler d'autres choses que fu coronavirus ou autrement on va peter un cable. Oui c'est grave ce qui se passe, oui on n'oublie pas que tous on peut-être touché de près ou de loin mais parler de nos passions peut aussi permettre de combattre ce virus
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Message  Scalp Dim 22 Mar 2020 - 2:36

marchal a écrit:Il a pas arrêté le rugby lui
On a quand même le droit de parler d'autres choses que fu coronavirus ou autrement on va peter un cable. Oui c'est grave ce qui se passe, oui on n'oublie pas que tous on peut-être touché de près ou de loin mais parler de nos passions peut aussi permettre de combattre ce virus

Exactement, on peut parler de tout, de toutes façons et les problèmes économiques découlant de cette crise, concernent des millions de personnes. C'est quoi ce censeur, moralisateur, faux-cul, à deux balles. Il serait encore président (s'il avait bien géré son club), qu'il serait le premier à parler de l'impact économique de cette crise, sur son club.

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Message  densnewzealand Dim 22 Mar 2020 - 9:08

Scalp a écrit:
marchal a écrit:Il a pas arrêté le rugby lui
On a quand même le droit de parler d'autres choses que fu coronavirus ou autrement on va peter un cable. Oui c'est grave ce qui se passe, oui on n'oublie pas que tous on peut-être touché de près ou de loin mais parler de nos passions peut aussi permettre de combattre ce virus

Exactement, on peut parler de tout, de toutes façons et les problèmes économiques découlant de cette crise, concernent des millions de personnes. C'est quoi ce censeur, moralisateur, faux-cul, à deux balles. Il serait encore président (s'il avait bien géré son club), qu'il serait le premier à parler de l'impact économique de cette crise, sur son club.

Il veut pas faire de la politique le Mourad, il s'entraine. Démagogie, bruit de casseroles, bref le chien aboie la caravane passe...
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Message  flavio33 Dim 22 Mar 2020 - 9:27

Ça aurait été le premier a ouvrir sa grande gueule si il était president encore du rct, il doit se faire chier comme un rat mort ce mec

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Message  Scalp Dim 22 Mar 2020 - 11:43

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14-fonteneau-repond-a-boudjellal_sto7709466/story_evt46551.shtml

Fonteneau répond à Boudjellal

TOP 14 - Alors que le manager de l'Union Bordeaux-Bègles Christophe Urios avait donné son avis sur la formule à adopter pour finir la saison en cours, actuellement suspendu à cause de la crise du Coronavirus, l'ancien président de Toulon Mourad Boudjellal l'avait sévèrement recadré sur Twitter.

"Christophe, on va voir mourir des milliers de Français dans les prochains jours, vous pouvez toi et les autres juste fermer vos gueules sur le problème de la reprise du top 14 et les différentes formules et tes 8 points d avance et la perte de la billetterie, on en parle après."

Quelques heures après cette vigoureuse sortie, c'est le président d'Agen Jean-François Fonteneau qui a décidé de répondre à Boudjellal, toujours via son compte Twitter : "Notre cher Mourad, que j'aime parfois pour ses bons mots, a la mémoire courte. [Lorsqu'on] met 100 personnes au chômage partiel et que l'on voit l'avenir s'assombrir, comme toutes les entreprises, on s'inquiète. #nousnesommespasirresponsables"

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Message  Scalp Dim 22 Mar 2020 - 12:04

flavio33 a écrit:Ça aurait été le premier a ouvrir sa grande gueule si il était president encore du rct, il doit se faire chier comme un rat mort ce mec

Les convulsions pathétiques d'un ego boursoufflé, à qui manque désormais, la lumière des projecteurs. Partit la queue entre les jambes, la plus grande gueule du Rugby Français qui dit aux autres de la fermer, brille encore une fois, par l’intelligence de ses prises de paroles.
Faire une polémique foireuse, grande spécialité du personnage, en ce moment, sur un sujet qui touche tous les Français et qui devrait requérir, décence et unité de tous, c'est pire que de la simple démagogie à usage personnel, c'est une faute morale. redcard

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Message  Scalp Dim 22 Mar 2020 - 12:23

https://www.liberation.fr/checknews/2020/03/18/immunite-confinement-climat-par-quels-moyens-la-pandemie-de-covid-19-pourrait-elle-disparaitre_1781542

Immunité, confinement, climat : par quels moyens la pandémie de Covid-19 pourrait-elle disparaître ?

Par Luc Peillon

Plusieurs voies – humaines ou naturelles – pourraient permettre au virus du Covid-19 de s'éteindre. Mais face à la nouveauté de ce virus, aucun scientifique n'a pour l'heure de certitudes sur leur efficacité.

Question posée par lewy

Bonjour,

La pandémie de Covid-19, provoquée par le virus Sars-Cov-2, a débuté à Wuhan (province chinoise du Hubei) en décembre. Le nombre de personnes atteintes dans ce pays – 81 130 cas officiellement recensés – commence à se stabiliser, laissant entrevoir un reflux de l’épidémie dans cette région du monde.

En Europe, en revanche, le Sars-Cov-2 connaît une progression fulgurante, avec 31 500 cas cumulés mardi en Italie, pays le plus touché du continent, devant l’Espagne (11 178 cas) et la France (6 633 cas).

Les mesures visant à limiter les contacts sociaux s’y mettent progressivement en place, notamment dans le sud de l’Europe, avec un confinement de la population en Italie, puis en Espagne, et désormais en France depuis lundi, qui oblige les gens à rester chez eux, sauf pour aller travailler ou se ravitailler.

Confinement et mesures barrières


Le confinement, barrière efficace pour arrêter le virus ? En Chine, où l’épidémie semble donc décliner, la mesure, poussée à l’extrême, a conduit à mettre en quarantaine quelque 40 millions d’habitants du Hubei – avant de s’étendre avec plus ou moins de rigueur à l’ensemble du pays –, à interdire les rassemblements et à isoler les malades.

Selon une étude de l’université de Southampton, en Angleterre, publiée sur Medrxiv et évoquée par le site Futura Sciences, ces mesures auraient permis de diminuer de 66% les cas d’infections dans le pays. Elles auraient même été encore plus efficaces si elles avaient été prises plus tôt, selon les chercheurs.

«Les premières mesures en Chine ont été prises le 23 janvier, deux jours avant le Nouvel An chinois, à Wuhan. Soit à peu près un mois après le début de l’épidémie. Si elles avaient été mises en place une semaine avant cette date, le nombre de cas aurait pu être réduit de 86%, selon la simulation. Une action encore plus précoce, trois semaines avant le 23 janvier, aurait permis de diminuer le nombre de cas de 95%», rapporte un article de Futura Sciences.

Parmi les différentes mesures barrières mises en place, les chercheurs estiment que les plus performantes ont été l’isolement des malades et des cas contacts, le dépistage, la limitation des rapports sociaux, et la prohibition des rassemblements. Les interdictions de voyages auraient eu, pour leur part, des effets moins importants.

Sur France Inter mardi matin, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a estimé que les mesures barrières en France pourraient commencer à produire leurs effets sur l’épidémie d’ici quinze jours.

Problème : si ces dispositifs, particulièrement efficaces en Chine, car imposés par un régime autoritaire, ont pour l’heure fait leurs preuves, rien n’indique qu’ils soient efficaces dans la durée. Car si les mesures barrières ont tenu à distance du virus une immense majorité de la population chinoise, cette dernière, non exposée au Sars-Cov-2, n’a pas développé d’immunité. Résultat : si la virulence du Sars-Cov-2 semble s’être atténuée dans ce pays, il pourrait, une fois les mesures levées, y réapparaître dès cet été – si le virus n’est pas sensible à la chaleur – ou l’hiver prochain.

Immunité collective


D’autres pays optent pour la stratégie inverse, en laissant la population être exposée au virus, afin de générer une immunité collective. Même si le Premier ministre Boris Johnson s’en défend, c’est ce qui paraît ressortir de la stratégie, un peu brouillonne pour l’instant, du Royaume-Uni.

«A l’opposé de l’immense majorité des pays, le gouvernement britannique a décidé de ne pas instaurer de mesures drastiques de confinement. Pas de fermetures d’écoles ou d’universités, d’interdictions de rassemblements de masse (sauf en Ecosse)», écrivait Libération vendredi.

«Rien n’est fermé, ni les pubs ni les écoles, et les concerts comme ce week-end à Cardiff, où 6 000 personnes se sont collé les unes aux autres, sont maintenus, nous confirmait lundi notre correspondante à Londres, Sonia Delesalle-Stolper. Même s’il y a un cas de contamination dans une école, elle reste ouverte, et on demande à l’élève de rester chez lui sept jours, même pas quatorze jours, soit la durée maximale d’incubation.»

«Si vous supprimez très fortement quelque chose, quand vous relâchez ces mesures, le risque est de subir un rebond, au mauvais moment», a expliqué Patrick Vallance, conseiller scientifique du gouvernement britannique, pour justifier cette stratégie. Selon lui, il faudrait que 60% de la population britannique soit exposée au virus pour développer une telle immunité collective.

Sous le feu des critiques, Boris Johnson s’est résolu, lundi en fin de journée, à demander aux Britanniques de mettre fin aux contacts sociaux et aux déplacements non essentiels. Une «forte recommandation», mais toujours pas d’interdictions ou de fermetures de lieux publics, jugées «pas nécessaires».

Inconvénient de la stratégie du "laisser-faire": le risque de saturation des infrastructures de santé – déjà sous pression en temps normal outre-Manche – conduisant à une surmortalité dans le pays. Selon une étude de l’Imperial College de Londres portant sur les Etats-Unis et le Royame-Uni, et dont Le Monde s’est fait l’écho mardi, cette option, visant à seulement atténuer les effets de l’épidémie, «n’empêcherait pas une augmentation des cas qui excéderait jusqu’à huit fois les capacités en lits d’hôpitaux et de ranimation, dans le scénario le plus optimiste».

A la place, les chercheurs proposent d’imposer des mesures d’endiguement plus strictes du virus, régulièrement allégées, puis réinstaurées dès que les capacités de prise en charge des hôpitaux sont débordées. Et ce, jusqu’à la découverte d’un hypothétique vaccin.

Reste que le principe de l’immunité collective, encouragée ou subie, constitue une voie d’extinction du virus. «Plus élevé est le nombre de personnes qui auront été touchées par le virus, et qui auront donc développé une forme d’immunité plus ou moins durable, moins la circulation ultérieure du virus sera possible après la phase épidémique, explique à CheckNews Gilles Brücker, membre de la direction internationale de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). La grande vulnérabilité aux épidémies, ce sont les populations "neuves", celles qui n’ont jamais vu ce virus. C’est tout le danger des nouveaux virus où tout le monde est réceptif.»

Sur France Info dimanche, le ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, l’a lui même évoqué : «On considère, et là je ne fais que répéter ce que disent les scientifiques, que 50 à 70% de la population finissent par être contaminés par le virus, et c’est d’ailleurs ça qui met fin au virus puisque ça crée une forme d’immunité majoritaire, et donc le virus s’éteint de lui-même.»

Chaleur et sécheresse


Troisième façon potentielle pour le Sars-Cov-2 de disparaître, au moins provisoirement : le climat. «Il est un encore un peu tôt pour être affirmatif, mais on ne constate pas, pour l’instant, d’explosion épidémique du virus dans les pays où c’est actuellement l’été. Et notamment dans les pays chauds, comme l’Asie du sud-est ou l’Afrique subsaharienne, avance Pierre-Marie Girard, directeur international des instituts Pasteur dans le monde. Cela signifie peut-être qu’il y a un facteur saisonnier important et que le virus peut suivre les saisons, c’est en tout cas quelque chose qu’il faudra surveiller.»

Selon la carte de l’organisation mondiale de la santé (OMS), régulièrement mise à jour, le Sars-Cov-2 semble en effet, en date de ce mardi, essentiellement présent dans l’hémisphère nord, où l’hiver s’achève.

Si le phénomène de saisonnalité se confirme, cela ne signifie pas pour autant que le virus va disparaître : «Ce qui disparaît et apparaît, c’est l’épidémie», ajoute Pierre-Marie Girard. Mais le virus est toujours là, et l’épidémie peut ressurgir une fois la chaleur et le temps sec disparus. Entre-temps, l’épidémie devrait s’être déplacée dans l’hémisphère sud, où l’hiver va débuter. Avec le risque également de provoquer une mutation du virus, qui reviendrait plus virulent encore sous nos latitudes.

Le vaccin


Dernière clef pour éteindre l’épidémie : le vaccin. Mais si de nombreuses équipes dans le monde se sont déjà lancées dans cette voie, elle devrait prendre entre un an et deux ans.

Luc Peillon

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Message  Gman Dim 22 Mar 2020 - 12:30

Le milieu artistique, pour ne citer que lui, se bouge : des écrivains mettent en ligne leurs textes, on peut voir des captations de théâtre, des concerts, des visites virtuelles dans les plus grand musées... Tout ça pour que nous essayons de penser à autre chose et de mieux vivre ce traumatisme collectif... !
Alors pourquoi, selon M.l'ex-président de Toulon, le monde du sport ne pourrait pas, lui aussi parler d'autre chose ? Parler de la reprise du top 14, réfléchir à différents scénarios comme le font les présidents de club, parler de notre passion pour ce sport ou de n'importe quel autre, n'a pour moi rien de choquant... C'est juste humain de se changer les idées en ce moment et aussi d'envisager le futur (car il y a aurait forcément un futur); se projeter sur "l'après", c'est aussi un moyen de se donner une bonne raison de se lever, de s'occuper, d'aider si besoin les personnes autour de nous en grande difficulté et finalement de ne pas se tirer une balle tout de suite...
Alors si ce Monsieur veut se complaire dans le tragique et le négatif, libre à lui...
Et merci aux journalistes de continuer à interviewer C.Urios, L.Marti ( :flag2: ) ou bien sûr d'autres personnes pour parler d'autrechose !
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Message  Scalp Dim 22 Mar 2020 - 17:48

Confinement et mesures barrières

Problème : si ces dispositifs, particulièrement efficaces en Chine, car imposés par un régime autoritaire, ont pour l’heure fait leurs preuves, rien n’indique qu’ils soient efficaces dans la durée. Car si les mesures barrières ont tenu à distance du virus une immense majorité de la population chinoise, cette dernière, non exposée au Sars-Cov-2, n’a pas développé d’immunité. Résultat : si la virulence du Sars-Cov-2 semble s’être atténuée dans ce pays, il pourrait, une fois les mesures levées, y réapparaître dès cet été – si le virus n’est pas sensible à la chaleur – ou l’hiver prochain.


Extrait de l'article que j'ai posté plus haut.

Un problème qui sera comme une épée de Damoclès, au dessus des têtes des clubs de Rugby (entre autre), c'est le risque (en tout cas l’éventualité) que l’épidémie reparte plus tard. En supposant que l'on commence normalement la prochaine saison, le problème ne sera vraisemblablement définitivement réglé, que quand on aura un vaccin. Que déciderons nos dirigeants, que diront les autorités sanitaires, quand à la reprise d'évènements à forte densité de population, même si nous passons la crise dans quelques mois...

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Message  Scalp Dim 22 Mar 2020 - 18:02

Coronavirus - UBB : Clément Maynadier comme un lion en cage

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/coronavirus-ubb-clement-maynadier-comme-un-lion-en-cage-1584874638

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Message  biscouette Lun 23 Mar 2020 - 0:56

Chers ami-e-s,

J'imagine que vous avez des infos sur le virus, cependant je me permets d'en rajouter qqs unes, au cas où, ci-après.

Par ailleurs, j'ai rédigé un doc synthétique de recommandations pour renforcer ses défenses immunitaires. Si vous le souhaitez, je vous l'envoie (pdf – 5 p.).
Avec des recommandations suffisamment variées pour que tout le monde y trouve son compte (je ne vous interdis pas de descendre à la cave de temps en temps, hein !  Wink ).
Évidemment, je n'ai pas prétention à faire le tour du pb, mais c'est pas mal basé sur de l'expérience, la mienne et celle des autres, et j'ai pris pas mal de précautions.

bon courage

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Message  biscouette Lun 23 Mar 2020 - 0:56

# Certains patients présentent des troubles digestifs sans affections respiratoires (source : ‘American Journal of Gastroenterology’, entre autres).

# Le Covid-19 est contagieux bien plus longtemps que la grippe. Plus le cas est grave, plus longtemps la personne serait contagieuse. L’excrétion du virus pourrait durer ainsi jusqu’à 37 jours. Et donc inversement, plus les cas sont bénins moins ils sont contagieux longtemps (jusqu’à 8 jours). (source : ‘The Lancet’)
On est contagieux aussi avant l’apparition des symptômes (ce qui en fait un virus plus difficile à endiguer que l’Ebola qui n’est contagieux qu’une fois les 1ers symptômes apparus et qui ne se transmet pas par voie aérienne).

# « Amis amateurs de virologie de comptoir : en tant qu’ancienne virologue ayant exercé pendant plus de 20 ans au CHU de Rennes, je me permets d’apporter ma contribution à la chasse aux fake news !
Les coronavirus sont des virus « enveloppés », par opposition aux virus « nus » et donc portent une enveloppe issue des membranes cellulaires, ce qui, contrairement à ce que l’on pourrait penser, est un élément de fragilité car cette membrane est sensible aux solvants des graisses. Ceci explique que le savon soit particulièrement efficace pour le détruire. Le gouvernement a donc raison, dans ses recommandations, de privilégier le savon au gel hydro-alcoolique, qui doit être réservé aux situations où l’on ne dispose pas d’une source d’eau (dans les transports en commun par exemple).
Pour ceux qui paniquent littéralement à l’idée de sortir de chez eux sans gel hydro-alcoolique, sachez que la chlorhexidine (Biseptine°) ou le Dakin (eau de Javel diluée) seront aussi très efficaces sur ce genre de virus (liquides et non gélifiés, ce qui les rend un peu moins faciles d’utilisation).
Les Coronavirus sont connus de longue date, et les types 229 E et OC43, capables de donner quelques infections sévères dans les unités de prématurés, n’étaient pendant longtemps plus recherchés dans les prélèvements respiratoires car jugés trop inoffensifs.
Celui qui circule actuellement est nouveau pour l’Homme, il se propage rapidement car ne rencontre aucun humain immunisé, donc aucune barrière physiologique, c’est bien ça qui pose un problème au système de santé. Il n’est globalement pas plus agressif qu’une grippe, mais comme personne dans la population ne possède d’anticorps, il diffuse à grande vitesse. La stratégie de confinement vise donc à freiner sa propagation : pour que la totalité de la population infectable (nous tous) mette un an à se contaminer plutôt qu’un mois, afin d’éviter le déferlement de la population dans le système de santé.
Nous serons tous infectés : certains seront asymptomatiques, d’autres feront un rhume, une bonne crève, voire une « grippe », et ce sont les plus fragiles , incapables de produire une immunité efficace, qui feront les formes graves. Lorsque plus de 80% de la population auront fait l’infection, la circulation cessera…
Un détail important, malheureusement peu relayé : éviter la consommation de corticoïdes et d’anti-inflammatoires (Advil, Nurofène etc) car ils favorisent les surinfections et formes graves +++ : en paralysant les globules blancs responsables des signes de l’inflammation, ils paralysent aussi la réponse immunitaire !!! c’est connu depuis plus de 20 ans, mais les généralistes continuent de les prescrire massivement.
Quelles que soient les décisions du gouvernement, elles seront critiquées, car nos sociétés sont irrationnelles. »
Sophie CHA, médecin conseiller ARS Bretagne

# « Une étude très récente citée par le centre de ressources du coronavirus de Harvard [1] nous fait cependant savoir que le coronavirus peut survivre jusqu’à 4 heures sur du cuivre, 24 heures sur du carton, entre deux et trois jours sur du plastique et de l’acier inoxydable.
Plus important, un postillon ou une “goutte du virus” peut rester jusqu’à 3 heures en suspension dans l’air avant de retomber.
Ces indications ne sont là que vous pour donner un ordre de grandeur. Les conditions climatiques, comme l’exposition au soleil, à la chaleur, au froid, sont susceptibles de faire varier ces durées.
Les recommandations du Centre de Harvard sont pour le moment de nettoyer et de désinfecter avec votre produit habituel, du mieux que vous pouvez, toutes les surfaces et tous les objets que vous êtes amené à toucher régulièrement. »
[1] https://www.health.harvard.edu/…/coronavirus-resource-center
[ source : journal ‘Alternatif Bien-Être’ ]

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Je mets volontairement 2 études dont les infos divergent sur les durées de survie du virus selon les surfaces.
Cela s'explique sans doute par les conditions atmosphériques, etc. mais il semble aussi que le virus n'est pas forcément identique partout.

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Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 9:28

https://www.lemonde.fr/international/article/2020/03/23/royaume-uni-les-dix-jours-perdus-par-boris-johnson-dans-la-lutte-contre-le-coronavirus_6034052_3210.html

Royaume-Uni : les dix jours perdus par Boris Johnson dans la lutte contre le coronavirus

Le pays ferme lundi les écoles et change radicalement de stratégie. Le gouvernement Johnson a progressivement abandonné sa doctrine contestée d’immunité collective.

Par Cécile Ducourtieux

Jeudi 12 mars. En France, Emmanuel Macron déclare que le pays affronte, avec le coronavirus, « la plus grosse crise sanitaire depuis un siècle », et annonce la fermeture des écoles. Les tensions apparaissent dans les hôpitaux de l’Est et du bassin parisien. L’Hexagone prend enfin le parti italien. Mais de l’autre côté de la Manche, le gouvernement britannique continue à prôner le laisser-faire : les consignes se résument au lavage des mains. « Nous avons quatre semaines de retard sur les autres pays », assure Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson.

Lundi 23 mars, le revirement de stratégie est complet. Les écoles ferment partout dans le pays, les pubs et les restaurants sont clos depuis l’avant-veille. Et le confinement de Londres parait inévitable à court terme.

Dimanche, Boris Johnson a envoyé un message alarmiste : « Nous ne sommes plus qu’à deux ou trois semaines derrière l’Italie. Les Italiens ont un superbe système de santé, mais il a été complètement dépassé par la demande. A moins d’agir collectivement, (…) il est très probable que notre NHS sera dépassé de la même manière. » Le bilan des morts grimpe à 281 (48 de plus en vingt-quatre heures).

Pourtant, le gouvernement n’annonce qu’un confinement partiel de la population : 1,5 million de personnes vulnérables vont être consignées à domicile pour au moins douze semaines. Courses et médicaments leur seront livrés à domicile. Pour les autres, « il est très important qu’ils puissent continuer à s’exercer dans les parcs, mais ils doivent le faire de manière responsable, sinon, nous irons plus loin ».

Pourquoi le gouvernement britannique n’a-t-il pas mis à profit ces semaines de retard sur le reste de l’Europe pour tirer la leçon des cas italien et français et prendre des décisions plus radicales ? Retour sur ces dix jours durant lesquels Boris Johnson a dû totalement revoir sa copie. Dix jours de perdu dans la lutte contre la pandémie, accusent déjà ses très nombreuses critiques.

Jeudi 12 mars, le premier ministre annonce le passage à la « phase 2 » de la réponse au coronavirus (l’endiguement), et déclare que les Britanniques doivent s’attendre « à ce que bien plus de leurs proches meurent ». Mais il se contente de recommander l’autoconfinement pendant sept jours de ceux présentant les symptômes de la maladie.

Le lendemain matin, Patrick Vallance détaille l’approche officielle du gouvernement. Il insiste sur la notion d’« immunité collective » : « Il n’est pas possible d’éviter que tout le monde attrape le virus. Et ce n’est pas non plus souhaitable, car il faut que la population acquière une certaine immunité. » Il faudrait qu’environ 60 % de la population contracte le virus pour développer cette immunité collective. Il est « trop tôt » pour imposer des restrictions plus sévères, conclut M. Vallance, avec son collègue Chris Whitty, conseiller médical en chef du gouvernement, car le pic épidémique est encore à « entre dix et quatorze semaines ».

Changement de pied ou cacophonie gouvernementale ? Dimanche 15 mars, Matt Hancock, le ministre de la santé, affirme que « l’immunité collective n’est pas notre politique ni notre but. Notre but est de protéger les vies ».

Les propos jusqu’alors assumés sur l’immunité collective ont suscité une levée de bouclier. Le député conservateur Jeremy Hunt, ex-ministre de la santé de Theresa May, juge cette politique « préoccupante ». Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, référence mondiale en matière de médecine, tweete : « Le gouvernement joue à la roulette avec le public. Il commet une erreur majeure. »

La panique gagne

Selon le Sunday Times, c’est dès le 12 mars au soir que cette stratégie d’immunité collective parait soudain intenable. MM. Whitty et Vallance disposent d’une étude de l’Imperial College London (qui ne sera rendue publique que quatre jours plus tard). A en croire cette dernière, le parti pris de l’immunité collective entraînera au bas mot 250 000 morts au Royaume-Uni. Car le NHS, le service public de santé britannique, sera débordé par l’afflux des malades : il ne dispose que de 5 000 respirateurs à mi-mars. Le Royaume-Uni compte deux fois moins de lits en réanimation pour 100 000 habitants que la France ou l’Italie, et le déficit d’infirmières dans le pays est évalué à 50 000.

Une semaine plus tôt, les experts tablaient sur une épidémie à 100 000 victimes maximum dans le pays. La panique gagne à Downing Street, raconte le Sunday Times. Dominic Cummings, le très influent conseiller en chef de M. Johnson, jusqu’alors adepte de l’immunité collective, change radicalement de perspective. Dès le 13 mars, « il devient le principal avocat du confinement strict ».

Le gouvernement n’adopte pas pour autant des mesures radicales : Boris Johnson résiste, opte pour la stratégie des petits pas. La communication gouvernementale reste brouillonne, les messages contradictoires et peu clairs.

Le public perd confiance


Lundi 16 mars, le bilan est de 55 morts, M. Johnson annonce que « c’est le moment d’éviter les pubs, les clubs et les théâtres. (…) Même si vous n’avez pas de symptômes, vous devez restreindre vos interactions, limiter vos déplacements à l’essentiel et privilégier le télétravail ». Pourtant, les mesures annoncées n’ont rien d’obligatoire. Le premier ministre, qui assurait encore le 3 mars que le « pays est très bien préparé », a certes changé de ton, mais il laisse échapper une blague douteuse sur les respirateurs – il dit vouloir lancer une opération « dernier souffle » auprès des fabricants.

Preuve que le public perd confiance : les parents commencent à retirer en masse leurs enfants des établissements, et les rayons des supermarchés se vident, victimes des « achats paniques ».

Mercredi 18 mars, le nombre de morts a doublé en 48 heures (104). M. Johnson entend enfin les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : il dit qu’il va falloir tester jusqu’à 25 000 personnes par jour, le plus vite possible. Il annonce aussi – enfin –, la fermeture des écoles, pour le vendredi 20 mars, après la fin des cours. Mais déclare encore : « Fermer les écoles n’a que peu d’impact sur la limitation de la propagation de l’épidémie, car les enfants sont bien moins vulnérables. »

« Le Royaume-Uni prend enfin les bonnes décisions pour venir à bout de cette épidémie. Mais nous avons perdu un temps précieux. Il y aura des morts qui étaient évitables, le système a failli », accuse Richard Horton, le rédacteur en chef du Lancet, dans le Guardian.

Samedi soir, 21 mars, c’est au tour des pubs, des restaurants, des théâtres ou des salles de gym de fermer. Mais les parcs restent ouverts, les gens libres de circuler « à condition de respecter la distanciation sociale ».

Sur les réseaux sociaux, les médecins et infirmières envoient des appels à l’aide : pas de masques, afflux de malades, dont des patients jeunes en situation critique… Le scénario français semble vouloir se répéter avec une grosse semaine d’écart. « J’ai envie de vomir de constater à quel point on n’a pas anticipé les choses. Le nombrilisme des universitaires et les guéguerres politiques plutôt que des actions décisives et courageuses », déplore dans un tweet Devi Sridhar, professeure de santé publique à l’université d’Edimbourg.

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Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 9:52

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Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 9:55

Le test de traitements expérimentaux contre le coronavirus, à court terme, c'est notre plus grand espoir. Si on arrive à pourvoir raccourcir la durée d'hospitalisation, ce serait déjà une victoire et il y a des raisons d’espérer !

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Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 12:01

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Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 12:02

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Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 12:02

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Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 12:03

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Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 12:04

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Message  densnewzealand Lun 23 Mar 2020 - 14:09

Merci encore à Scalp de nous proposer tous ces articles sur le site.
Bon si je résume , un point attire mon attention entre autres, et les sujets sont nombreux, le concensus est le suivant, pas de descente cette année, et top 16 pour les recettes la saison suivante. Celà dit c'est pas le plus compliqué à trouver.

Mais pour le haut du championnat et sa fin, on fait comment ?. Et si on ne peux pas reprendre? Je sais il y à pire en ce moment, j'ai lu une option qui mérite débat, pas de titre attribué mais conservation des points acquis et reprise de la prochaine saison avec le classement actuel , donc un titre sur deux ans. Cà permet une équité sportive, le soucis dans le cas d'un top 16 cette option n'est pas possible. Bon çà va pas etre simple, j'en conviens.
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Rugby et Coronavirus - Page 16 Empty Re: Rugby et Coronavirus

Message  Scalp Lun 23 Mar 2020 - 15:24

densnewzealand a écrit:Merci encore à Scalp de nous proposer tous ces articles sur le site.
Bon si je résume , un point attire mon attention entre autres, et les sujets sont nombreux, le concensus est le suivant, pas de descente cette année,  et top 16 pour les recettes la saison suivante. Celà dit c'est pas le plus compliqué à trouver.

Mais pour le haut du championnat et sa fin, on fait comment ?. Et si on ne peux pas reprendre? Je sais il y à pire en ce moment, j'ai lu une option qui mérite débat, pas de titre attribué mais conservation des points acquis et reprise de la prochaine saison avec le classement actuel , donc un titre sur deux ans. Cà permet une équité sportive, le soucis dans le cas d'un top 16 cette option n'est pas possible. Bon çà va pas etre simple, j'en conviens.

Wink La solution de reprendre avec les points de cette année me parait intéressante...

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