Rugby et Coronavirus

150 salariés, mazette c'est une grosse structure, vont pouvoir tailler dans le vif.
Coté salaire ça ne doit pas être trop mal non plus.
C'est là qu'on va pouvoir juger de l'attachement des Toulousains à leur club, surtout que le Foot pro plonge.

Dans la série des nouvelles à la con....
https://www.rugbyrama.fr/rugby/coronavirus/2020/world-rugby-preconise-une-reprise-des-competitions-une-fois-le-vaccin-contre-le-covid-19-trouve_sto7741774/story.shtml

World Rugby dont le vice président Bernard Laporte milite pour une reprise coûte que coûte du top 14 à huis clos début septembre afin de placer ses 8 matchs internationaux dès octobre.

le radis a écrit:World Rugby dont le vice président Bernard Laporte milite pour une reprise coûte que coûte du top 14 à huis clos début septembre afin de placer ses 8 matchs internationaux dès octobre.

Pour pouvoir encaisser les recettes... Le match France-All Blacks en huis clos, j'ose même pas imaginer combien ce serait glauque....

Deuil aux États-Unis: publicité cauchemardesque contre Donald Trump

https://www.journaldequebec.com/2020/05/05/deuil-aux-etats-unis-publicite-cauchemardesque-contre-donald-trump

Enfin des Républicains avec un cerveau et des couilles , leur vidéo fait beaucoup plus de mal à Trump que si c’était les Démocrates qui l'avaient produite !...

Ces républicains s'unissent contre Trump avec un clip qui le fait enrager

https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-republicains-sunissent-contre-trump-avec-un-clip-qui-le-fait-enrager_fr_5eb1e9c8c5b66d3bfcdd1d5d


Trump se compare à Lincoln et ça ne passe pas

On a vu des président US nul, mais celui là bat tout les records, comment ce peuple peut il être représenté par un clown pareil, qu'il suive son traitement un gorgeon de Javel et ouste.
Ils sont en train de nous refaire le coup des armes fatales de Sadam Hussein, remarque que nous nous avons été doué pour nous débarasser de Hadhafy, quelle merde on a généré, bien pire que le virus.

Tu as raison Leo , néanmoins je ne vois pas le lien avec le rugby ?

léopold a écrit:On a vu des président US nul, mais celui là bat tout les records, comment ce peuple peut il être représenté par un clown pareil, qu'il suive son traitement un gorgeon de Javel et ouste.
Ils sont en train de nous refaire le coup des armes fatales de Sadam Hussein, remarque que nous nous avons été doué pour nous débarasser de Hadhafy, quelle merde on a généré, bien pire que le virus.

Complétement d'accord, on a déstabilisé toute une partie du Sahel et on est pas prêt de finir d'en payer le prix...

Vince il ni a pas de lien, mais sans économie stable, il ni a pas de confiance donc pas d'argent, et pas d'argent plus de sport professionnel.
Le lien est existe ,d'autant plus que nous n'avons aucune action dessus.

Vince33 a écrit:Tu as raison Leo , néanmoins je ne vois pas le lien avec le rugby ?

Vince a raison. Sortons des méandres de la politique US et recentrons-nous donc sur l'essentiel, la bouffe.
A priori, une étude pharmaceutique récente laisse à penser que les anticorps du sang de Serge Lama pourraient être efficace contre le Covid-19*.
Alors vous faites ce que vous voulez, mais avant la rupture de stock, je viens de commander onze palettes de ça et j'écoute ceci à plein volume depuis 36h à titre préventif :


et surtout


Je note au passage le peu de reconnaissance que mes voisins me témoignent, puisque plusieurs d'entre eux m'ont déjà menacé de mort et qu'un autre est en train d'attaquer ma porte à la hache. Oui, triste humanité...
Alors je fais vite : pour la viande, mieux vaut éviter la cuisson, non ?
Tartare ou carpaccio ?

"Tous les marins m'appellent "l'amiraâââl"
Et j'suis content, j'suis content, j'suis content, j'suis conteeeeeeent"

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* source : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/comment-les-anticorps-du-lama-pourraient-nous-sauver-du-coronavirus_3951451.html
Comme quoi Bordeaux reste à la pointe.

léopold a écrit:Vince il ni a pas de lien, mais sans économie stable, il ni a pas de confiance donc pas d'argent, et pas d'argent plus de sport professionnel.
Le lien est existe ,d'autant plus que nous n'avons aucune action dessus.

J'évoquais plutot les multiples articles sur ce con de Trump .
Et là je ne vois pas le lien avec le rugby et encore moins l'UBB.
D'ailleurs Xi Jinping est totalement épargné de son coté . Bref revenons au rugby , je croyais que c'était le sujet de ce forum.

https://www.liberation.fr/direct/element/preparation-suspendue-pour-guingamp-apres-cinq-cas-de-covid-19_117011/

Préparation suspendue pour Guingamp après cinq cas de Covid-19

Coup d'arrêt pour la préparation du club de foot de Guingamp (Ligue 2). Le club a annoncé jeudi que l'équipe était en quatorzaine après la découverte la semaine dernière de cinq cas de Covid-19 à l'issue d'un stage de préparation sur la côte bretonne. Les cas concernent deux membres de l'encadrement, qui ont ressenti des symptômes lors des derniers jours du stage et trois joueurs, qui ont été testés positifs dans les jours qui ont suivi. Aucun n'a développé de symptômes graves.

Les joueurs et l'encadrement vivant en collectivité lors de l'apparition des cas, les autorités sanitaires ont recommandé l'isolement pendant 14 jours à dater de la fin du stage pour tous ses participants. Les entraînements, suspendus à l'apparition des cas, ne reprendront que le 6 août. Par conséquent, trois matches amicaux prévus contre Niort (1er août), Le Mans (5 août) et Le Havre (8 août) ont dû être annulés.


C'est du foot, mais ça laisse présager des éventuelles complications pour notre sport de contact préféré

http://www.lourugby.fr/actualites/officiel-trois-cas-positifs-a-la-covid-19/25334/

OFFICIEL. Trois cas positifs à la Covid-19

COMMUNIQUÉ. ​Suite aux prélèvements hebdomadaires réalisés dans le cadre du protocole de prévention mis en place par le club, trois cas positifs à la Covid-19 ont été détectés au sein de l’effectif professionnel du LOU Rugby. Les trois membres du groupe concernés, tous asymptomatiques, ont été isolés et placés en quatorzaine dès la prise de connaissance des résultats. Par respect du secret médical et des membres du club concernés, nous ne dévoilerons pas leur identité.

Le club travaille en étroite collaboration avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) afin de limiter la propagation du virus en appliquant les consignes recommandées par les autorités. De plus, le club va suivre à la lettre le protocole de la Ligue Nationale de Rugby (LNR) et de ses recommandations imposant un retour à la phase 2 pour ses entraînements (pas de collectif).

De ce fait, le départ en stage de préparation initialement prévu ce dimanche est annulé.

Le club réaffirme la priorité absolue donnée à la santé de tous les acteurs, et espère un retour à la normale aussi rapide que possible.

https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/08/05/coronavirus-les-spectacles-de-plus-de-5-000-personnes-autorises-sous-conditions-des-le-15-aout_6048202_3246.html


« Pour tout spectacle (hors Guyane et Mayotte qui sont encore en état d’urgence sanitaire), la configuration assise du public reste la norme ; la distanciation d’un siège entre deux personnes ou groupes de personnes venant ou ayant réservé ensemble demeure également requise ; enfin, le masque, obligatoire pour entrer et déambuler dans les espaces intérieurs, reste recommandé lorsque le spectateur est assis à sa place. »
De nouvelles informations sur l’évolution des mesures sanitaires seront disponibles aux alentours du 24 août»

Si la situation ne se dégrade pas en Gironde, on devrait pouvoir compter environ 15000 spectateurs à Chaban le 12 Septembre (mais tout est possible, surtout vers le pire d'ailleurs). Par contre il n'est pas sûr que tous les spectateurs qui y seraient autorisés acceptent le risque induit pas un rassemblement public voire le changement de place pour respecter les règles de la distanciation.
Outre la perte financière, l'impact le plus important concernera surement l'accueil dans les salons réservés aux partenaires qui semble difficile. Peut-être fournira t'on aux partenaires des kits cocktail voire un service à la place

https://www.sudouest.fr/2020/08/05/le-rugby-est-pris-de-vertige-face-au-vide-7721178-10142.php

Le rugby est pris de vertige face au vide

Par Arnaud David

Le maintien de la limitation à 5 000 spectateurs lors de la reprise serait une catastrophe pour les clubs qui travaillent à obtenir des dérogations.

Ces prochaines semaines et dans les jours qui précéderont la reprise du Top 14 le 4 septembre, il est probable que le degré d’anxiété des présidents de club suivra la courbe d’évolution de la pandémie. À l’abord de l’automne, les enjeux sportifs vont être presque relégués au second plan. L’adversaire que le rugby français va devoir affronter se nomme Covid-19. D’ailleurs il ne s’agit pas d’un affrontement mais d’un exercice d’adaptation permanent.

Plus que d’autres sports, le rugby professionnel – surtout le Top 14 – est dépendant du retour des spectateurs dans les stades. La billetterie et le partenariat représentent plus de 60 % de ses recettes. Après six mois d’interruption forcée, les clubs ont rêvé de tribunes pleines lorsque les mesures de confinement ont été levées. Mais mardi, le décret gouvernemental, qui ne pouvait ignorer la résurgence de l’épidémie, a douché leurs espérances. La limitation du nombre de spectateurs dans les stades a été maintenue à 5 000 personnes.

Lorsqu’on sait qu’avant l’arrêt du championnat, la moyenne d’affluence du Top 14 dépassait les 14 000 personnes, qu’elle culminait à 24 518 pour l’Union Bordeaux-Bègles en mars, il est aisé de mesurer le manque à gagner. « C’est une catastrophe », grimace Laurent Marti, le président de l’UBB. « 5 000 personnes, cela ne nous permet même pas d’accueillir nos abonnés et nos partenaires ».

L’espoir de dérogations

« On va être obligé de procéder à un arbitrage, explique Jean-François Fonteneau, le président du SU Agen. Cela va générer de la déception, de la frustration et donner de mauvaises habitudes aux supporters. S’ils sont amenés à suivre les rencontres à la télévision, il faudra ensuite les faire revenir au stade… »

Si elle devait être maintenue, cette jauge « ne serait même pas un pansement sur une jambe de bois », souligne Bernard Pontneau, le président de la Section Paloise. « Osons le dire, ce serait le début de la mort. 85 % de nos revenus, ce sont les gens dans le stade. »

Le texte du décret publié ouvre néanmoins la porte à des aménagements. À compter du 15 août, les préfets pourront accorder des dérogations « à titre exceptionnel après analyse des facteurs de risques ». Les clubs vont donc tenter de faire en sorte que l’exceptionnel devienne la norme.

Réviser les protocoles

Durant le confinement, tous ont travaillé avec la Ligue (LNR) aux dispositions à prendre pour permettre le retour des spectateurs en respectant la distanciation. « Nous avons remis au ministère des Sports 70 pages de protocole », explique Emmanuel Eschalier, le directeur de la LNR.
Jeudi dernier, la LNR a participé à une réunion avec le préfet Denis Robin, coordinateur de la cellule interministérielle qui gère les procédures de reprise d’activité des secteurs concernés par l’accueil du public. Une instruction ministérielle va être envoyée aux préfets.

« De notre côté, on doit réviser nos protocoles d’ici la fin de semaine sur la base de ces nouvelles dispositions », poursuit Emmanuel Eschalier. « Ces protocoles serviront au dossier d’organisation que les clubs proposeront à leur préfet respectif. »

Quels seront les facteurs qui détermineront l’accord de dérogations ? Le plus important sera bien sûr la situation de l’épidémie dans la région. Mais le type de manifestation – attire-t-elle une population locale ou draine-t-elle un plus large public ? – et les caractéristiques de l’enceinte vont compter. La configuration du stade Chaban-Delmas par exemple avec ses 33 000 places et sa circulation relativement fluide, peut permettre à l’UBB d’espérer un taux de remplissage conséquent. Reste que d’ici là, les clubs vont devoir travailler à l’aveuglette. Et que ce n’est pas le moindre des handicaps à surmonter à l’heure où ils tentent de relancer leurs partenaires et leurs abonnés.

https://www.sudouest.fr/2020/08/05/un-casse-tete-pour-relancer-la-machine-7721181-10142.php

Rugby : un casse-tête pour relancer la machine

Les clubs de la région s’inquiètent des conséquences financières d’une limitation trop importante du nombre de spectateurs.

Vendredi, tandis que les joueurs de l’Union Bordeaux-Bègles, répartis en quatre équipes, disputaient au stade Moga la finale des Bacchus devant un peu plus de 500 abonnés, le président Laurent Marti a annoncé qu’il espérait que la préfecture permettrait à l’UBB d’accueillir au moins 15 000 spectateurs le 11 septembre pour la venue de Brive.

« L’enceinte a été découpée en sept secteurs et les gens ne s’y croisent pas. » Cet objectif de 15 000 spectateurs constituerait un pis-aller pour le club. « Au moins nous n’aurions pas à choisir entre nos abonnés et nos partenaires (8 000 à 10 000 personnes au total) », assure Laurent Marti qui relève que même à cette hauteur, le manque à gagner se situera au-delà des 200 000 euros par match à domicile.

Au Stade Rochelais, où l’on compte quelque 10 000 abonnés pour un stade qui peut accueillir 16 000 spectateurs, on n’a pas avancé d’objectifs chiffrés sur la jauge. La semaine dernière, 92 % des abonnés s’étaient déjà réengagés. Parmi les pistes de réflexion, des entrées « cadencées » pour les spectateurs à différents créneaux horaires pour éviter les rassemblements trop nombreux.

En tout cas, le club est formel : il n’y aura pas de tirage au sort pour déterminer un éventuel ordre de passage des abonnés. « Nous tenons à ce que les abonnés aient accès au même nombre de matchs. Si nous ne pouvons pas accueillir tout le monde, la solution pourrait être de répartir les abonnés en groupes. »

Au SU Agen non plus on ne fait pas de projection. « La jauge idéale pour un club est la capacité maximum de son stade, affirme le président Jean-François Fonteneau. L’objectif est d’être à 10 000 spectateurs par match. Mais notre modèle économique, c’est 8 000 minimum. Avec une jauge maximum de 5 000 personnes, si on enlève les 1 000 à 1 500 invitations, en gros c’est un manque à gagner de 2 000 personnes. »

Pas question en tout cas de compenser par une hausse du prix des places. « Les tarifs des places et des abonnements sont exactement les mêmes que la saison dernière. En revanche, on sera forcé de réduire le nombre d’invitations qui varie entre 1 000 et 1 500 par match. »

Du côté de la Section Paloise, les échanges ont débuté avec la préfecture pour déterminer les meilleures dispositions d’exploitation. Les abonnements (6 500 lors du dernier exercice, en cumulant grand public, partenaires, etc.) suivent la même courbe qu’à l’été 2019. Le club n’a pas prévu de les plafonner, ni de modifier les prix. Ceux qui avaient déjà pris leur carte en pesage devraient être surclassés en tribune.

Avec une affluence moyenne supérieure à 14 000 spectateurs la saison dernière, l’Aviron Bayonnais regarde le maintien de la jauge avec inquiétude : « On va demander une dérogation, on ne pourra pas tenir sinon. L’idéal, ça serait d’avoir 10 000. C’est possible en laissant un siège vide tous les dix », juge le président du directoire Philippe Tayeb.

Le club bayonnais a d’autant plus besoin de cet appui humain et financier qu’il est privé de matchs amicaux à domicile cet été (et des recettes qui vont avec), en raison de la réfection de sa pelouse. La démolition-reconstruction de la tribune Est va ensuite faire baisser la capacité de Jean-Dauger (16 800) à quelque 12 500 places, jusqu’au début de la phase retour fin janvier.

https://www.lequipe.fr/Tous-sports/Actualites/L-oms-ne-veut-pas-de-grandes-foules-dans-les-stades/1158369

L'OMS ne veut pas de grandes foules dans les stades

L'OMS a estimé mercredi qu'il serait irréaliste actuellement d'organiser des événements sportifs rassemblant de grandes foules.

Le directeur des urgences sanitaires de l'OMS, Michael Ryan, a déclaré mercredi qu'il pourrait être « désastreux » dans les circonstances actuelles de permettre le retour de matches attirant des dizaines de milliers de personnes.

Interrogé lors d'une discussion en direct sur les réseaux sociaux de l'OMS sur la date possible de reprise des grands événements sportifs, M. Ryan a déclaré qu'il était impossible de le prédire. « Nous ne savons pas », a dit l'épidémiologiste irlandais.

« Nous voulons tous que notre sport revienne. Nous allons juste devoir faire attention encore un peu »
Michael Ryan

« De grandes foules de 40 000, 50 000, 60 000 personnes... Ce n'est pas seulement le risque d'être dans le stade, c'est le risque d'aller au stade, en transports en commun, dans les bars et clubs, a-t-il expliqué. Imaginez tous les problèmes que nous avons maintenant avec les boîtes de nuit et les bars, et vous condensez tout cela dans une expérience de quatre ou cinq heures, où des milliers de personnes empruntent les mêmes transports en commun vers un lieu, s'impliquent dans le match puis tous les aspects sociaux qui suivent. [...] cela pourrait être désastreux. »

« Il est très irréaliste dans les pays à transmission locale » de penser que « nous assisterons à de grands rassemblements comme ça cette année », a-t-il estimé.

« Il faut peut-être s'attendre à ce qu'au fur et à mesure que les choses s'ouvrent, nous passions de zéro personne aux matches à peut-être 1 000 ou 2 000, a tempéré Michael Ryan. Nous voulons tous que notre sport revienne. Nous allons juste devoir faire attention encore un peu. »

Le "Hangar" du Racing pose vraiment problème,une foule dans un lieu clos, ça va pas du tout dans le sens de l'histoire

Il est mignon ce Michaël Ryan, mais a t-il seulement conscience qu'au-delà du sport, ce sont aussi des emplois et toute une économie ?

Il est facile de dire derrière son écran, dans son bureau qu'il ne faut reprendre les matchs ou les jouer sans public. Franchement, dans un stade comme Chaban de 34.000 places, en quoi cela est-il plus risquer de faire venir 10 ou 15.000 personnes avec masques obligatoires, distanciation de 1 voire 2 sièges, désinfection obligatoire des mains à l'entrée et la sortie du stade, et gel hydroalcoolique dispo à de multiples points du stade ?

Oui, elles viendront en bus ou en tram, mais comme elles prennent tous les jours ces mêmes bus et trams pour aller bosser ou faire leurs courses. Et là ca ne serait pas risqué ?
Serait-ce d'ailleurs plus risqué de venir au stade que d'aller s'entasser sur les plages, dans les campings, dans les bars, dans les restaurants et les hôtels ?

Comme toujours on manque de logique, d'homogénéité et de crédibilité. Soit tout est dangereux, soit rien ne l'est, mais qu'on arrête de dire que tel ou tel truc est dangereux quant en parallèle tel ou tel chose ne l'est pas

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/La-lnr-veut-responsabiliser-les-joueurs-en-vue-de-la-reprise-des-competitions/1159360#xtor=RSS-1

La LNR veut responsabiliser les joueurs en vue de la reprise des compétitions

Suite à une réunion d'urgence ce samedi, la LNR a demandé aux clubs professionnels de mettre en place un plan de sensibilisation auprès de leurs joueurs sur le Covid-19 afin que les compétitions reprennent dans les meilleures conditions.

Selon nos informations, une réunion téléphonique s'est tenue ce samedi entre la Ligue nationale de rugby (LNR) et l'ensemble des médecins et staff des trente clubs professionnels (Top 14 et Pro D2). Cette réunion d'urgence a été initiée par la LNR qui souhaite la mise en place d'un plan de sensibilisation auprès des joueurs afin que ces derniers se responsabilisent lorsqu'ils ne sont pas présents au sein de leurs clubs respectifs.

En raison de la recrudescence de cas positifs au Covid-19 en France et des cas avérés dans les clubs comme Lyon et le Stade Français, récemment touchés, la LNR invite fortement les joueurs à restreindre au maximum leurs contacts hors famille et club. Il en va de la bonne reprise des championnats qui doivent reprendre début septembre. Pour rappel, le match amical entre Brive et le Stade Français, programmé le 14 août, a été annulé, en raison des cas de coronavirus dans l'effectif parisien.

https://www.sudouest.fr/2020/08/07/covid-19-selon-le-directeur-de-l-ars-nouvelle-aquitaine-bordeaux-devrait-passer-au-masque-generalise-7727252-2780.php

Covid-19 : selon l’ARS Nouvelle-Aquitaine, "Bordeaux devrait passer au masque généralisé"

Par Isabelle Castéra

Selon Olivier Serre, directeur des Territoires pour l’Agence Régionale de Santé Nouvelle Aquitaine, la ville de Bordeaux devrait passer au port du masque généralisé, "elle y a tout intérêt". Il établit un bilan de situation de la circulation du coronavirus sur la Gironde : "Le virus circule toujours à bas bruit".

La ville de Bordeaux a été ce jeudi rattrapée par les bretelles. L’Agence régionale de santé de Nouvelle-Aquitaine a dû signifier à la nouvelle municipalité un rappel d’une consigne sanitaire sérieuse concernant les brumisateurs collectifs ascendants et latéraux. Ainsi, l’effet brume du miroir d’eau ne fonctionne plus. "Ils doivent être radicalement bouclés". Le directeur des territoires de l’ARS, Olivier Serre a répondu à nos questions.

"Sud Ouest". Pourquoi le brumisateur du miroir d’eau a-t-il été stoppé ce jeudi ? Quels sont les risques réels?

Olivier Serre. Simplement la vapeur d’eau peut contenir des gouttelettes contaminées et donc participer à l’expansion du virus. Surtout lorsque cette brumisation se fait de bas en haut, ou latéralement. Nous avons fait savoir à toutes les villes de Nouvelle-Aquitaine que les préconisations de la Haute Autorité de santé et du Conseil scientifique allaient dans le sens d’une interdiction. Potentiellement, c’est risqué.

Qu’en est-il pour les restaurants et les cafés en terrasse qui offrent un espace de fraîcheur avec des brumisateurs descendants?

Pour l’instant, aucune interdiction n’est à l’ordre du jour. Aucune préconisation. Les brumisateurs arrivent d’en haut, ils sont beaucoup moins risqués.

Le port du masque obligatoire y compris dans l’espace public se généralise de villes en villes. Et Bordeaux?

Ils devraient le faire. Mais je sais qu’ils étudient la question. En effet, la rue Sainte-Catherine très fréquentée est un lieu stratégique, les quais à certaines heures de la journée… Mais pas seulement. A mon avis, ils ont tout intérêt à le faire.

Quelle est la situation aux Chartrons et au Grand-Parc où un cluster a été mis au jour récemment?

La situation s’est nettement améliorée et ne suscite plus d’inquiétude. En effet, nous avons procédé à 900 tests avec seulement 10 personnes déclarées positives. C’est très faible. Ces personnes ont été placées en quatorzaine, ainsi que les cas contacts. Le suivi a été particulièrement efficace, puisque nous avons contenu la contagion.

Où en est-on de la politique de dépistage?

On multiplie les lieux de dépistage et on les rend encore plus simples et accessibles au grand public. Plus besoin de prescription médicale, il suffit d’avoir sur soi, sa Carte vitale et sa carte d’identité. Et évidemment, il faut arriver masqué. Dès lundi, nous allons commencer une nouvelle campagne de dépistage large sur les quais de Bordeaux, à hauteur des Quinconces. Nous avons fait appel à deux laboratoires privés pour assurer cette nouvelle campagne, avec l’appui de la Croix-Rouge. Les dépistages aux Chartrons vont se poursuivre jusqu’au 15 août et cesseront ensuite.

Quid des autres villes de la Gironde?

Toutes les villes s’y mettent et nous facilitons et aidons les démarches. La semaine prochaine on pourra sans doute se faire dépister dans toutes les grandes villes de Gironde, Libourne, Blaye, Langon, Lesparre, Arcachon – où ça marche fort, à la gare et sur la place du Petit Nice – à Lanton.

Où en est la circulation du coronavirus dans la Gironde aujourd’hui, y-a-t-il une hausse des hospitalisations?

Nous observons un frémissement à la hausse des entrées à l’hôpital, mais rien à voir avec ce que nous avons connu durant les semaines précédentes et notamment pendant le confinement. Le virus circule toujours à bas bruit, les foyers de contamination ont été contenus et le dépistage démultiplié permet d’identifier les endroits où le virus circule encore. Puis, nous pouvons ainsi casser la chaîne de transmission, comme aux Chartrons. La preuve ça a bien marché.

Quelles sont les conseils à donner aujourd’hui?

Nous sommes inquiets du comportement des personnes entre 15–44 ans, qui se croient à l’abri et oublient les gestes barrières. Il y a une forme de rejet, de ras-le-bol qui peut se révéler à terme ennuyeuse. Trop de groupes festifs, une absence de gestes barrières.

Les conseils? Porter le masque, partout. Se laver les mains toutes les deux heures, avoir du gel hydroalcoolique à portée de main, garder la distance avec les personnes qu’on ne connaît pas. Du bon sens.

Bordeaux se masque quand ?

Selon le directeur des territoires de l’Agence Régionale de Santé Nouvelle-Aquitaine, Olivier Serre, Bordeaux est en cours de discussion pour savoir si oui ou non, le port du masque sera généralisé dans les rues. Lui, estime que ce serait une "bonne idée" compte tenu de la situation sanitaire.

En revanche, la nouvelle équipe municipale se tâte. Toutes les grosses métropoles françaises cèdent les unes après les autres pour ordonner le port du masque généralisé. Que fera Bordeaux? Evidemment, le choix est cornélien, la contrainte par temps de canicule pas très populaire…

"Rien n’est tranché"

Sylvie Justome, adjointe aux affaires sanitaires, répond à demi-mot : "Rien n’a été tranché. Nous sommes en réflexion avec la préfecture et l’ARS, nous observons encore les indicateurs de circulation du virus pour décider. Il s’agirait de rendre le port du masque obligatoire partout… Il l’est déjà dans les marchés et dans les boutiques, les supermarchés, tous les commerces en gros. Cela demande réflexion… Nous sommes aujourd’hui dans une situation sous contrôle."

Il semble peu probable que Bordeaux échappe à cette tendance du port du masque obligatoire en ville (comme à Toulouse ou Rennes), mais sans doute, faudra-t-il attendre la fin de cet épisode caniculaire? Ou alors juste une éventuelle hausse des cas positifs à la Covid-19, ce que personne ne souhaite.

https://www.midi-olympique.fr/2020/08/08/covid-au-stade-francais-linquietude-grandit-en-top-14-9012920.php

Covid au Stade français, l’inquiétude grandit en Top 14

Avec 17 cas positifs à la Covid-19, la situation du Stade français interpelle. Les managers de Top 14 ont demandé à la LNR d’organiser une réunion pour tenter d’assouplir le protocole. Explications.

L’inquiétude grandit au sein du rugby professionnel. La recrudescence de cas positifs à la Covid-19 au sein des effectifs laisse peser une menace sur la reprise du Top 14 et du Pro D2. Jusque-là, Agen et Lyon en Top 14, comme le SAXV et Provence Rugby en Pro D2, n’avaient connu que quelques cas isolés. Seulement, jeudi dernier, le Stade français a confirmé que plusieurs joueurs de son groupe professionnel avaient eux aussi été testés positifs à la Covid-19, au retour de leur stage à Nice mercredi soir. Le communiqué, court, précise : "ces derniers, asymptomatiques, ont été immédiatement isolés et placés en quarantaine." Selon nos informations, ils seraient dix-sept. Première conséquence : prévu le 14 août, dans l’enceinte du stade Alexandre-Cueille de Tulle, le match de préparation face à Brive a été annulé. Toutefois, un report de la rencontre est en cours de discussion. Quant au deuxième match amical et à la première rencontre de Top 14, programmée le 4 septembre prochain à Jean-Bouin face à l’Union Bordeaux-Bègles, ils ne sont pas menacés.

Plus contraignant, la fin de la préparation du Stade français risque d’être mise à mal. Et pour cause. D’abord, le club doit repasser en "phase 2" du protocole mis en place par la Ligue Nationale de Rugby. C’est-à-dire que non seulement les joueurs positifs ont été placés en quarantaine pour quatorze jours, mais les autres ne pourront plus s’entraîner non plus tous ensemble. Le staff technique va devoir revoir sa copie afin d’organiser des entraînements par petits groupes. Ce lundi, tous les joueurs et autres membres du staff vont donc être de nouveaux être testés. Une échéance capitale pour le Stade français. Si, à l’issue des deux prochaines semaines, aucun cas positif n’est constaté, le club de la capitale pourrait reprendre l’entraînement collectif normal. En l’état, c’est l’ARS (Agence Régionale de Santé) qui a le sort du Stade français entre les mains.

Craintes sur les retours de vacances

Évidemment, la situation du Stade français a alerté les autres clubs professionnels. À l’approche de la reprise, l’inquiétude est forte de voir d’autres cas positifs se développer en grand nombre. Le Stade toulousain doit partir cette semaine en stage à Font-Romeu par exemple, après une semaine de vacances. Du côté de La Rochelle, on attend également les résultats des tests effectués au retour de congés des joueurs. La fébrilité est partout de rigueur. À tel point que, samedi, les managers de Top 14 se sont réunis en visioconférence pour évoquer la situation et ont demandé à la LNR d’organiser une réunion. Objectif : assouplir le protocole afin d’éviter de repasser en phase 2 à chaque nouveau cas positif.

Les managers seront-ils entendus ?

Cette réunion en visioconférence s’est déroulée samedi, à 18 heures, en présence des managers, des médecins de club et des représentants de la LNR. Joint par téléphone, Bernard Dusfour, président de la commission médicale de la Ligue, a déclaré : "Evidemment, nous avons eu plusieurs réunions à ce sujet à la LNR. À ce stade, je n’ai pas grand-chose à vous dire, sinon qu’il faut continuer à être vigilant. Il faut plus que jamais respecter les gestes barrières et le port du masque en-dehors des entraînements. Tout ceci va dans le sens de nos préconisations depuis le début de la crise." Cette volonté des managers de voir le protocole assoupli, dans l’hypothèse de l’apparition de nouveaux cas positifs dans leurs effectifs, a-t-elle une chance d’être entendue ? La réponse est entre les mains de l’Agence Régionale de Santé.

Arnaud Beurdeley

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Stade-francais-thomas-lombard-dement-les-17-cas-de-covid-19/1159592#xtor=RSS-1

Stade Français : Thomas Lombard dément les 17 cas de Covid-19

Comme révélé sur notre site et confirmé par le Stade Français dans un communiqué jeudi, plusieurs joueurs du club de la capitale ont été testés positifs au Covid-19 suite à un stage de préparation à Nice.

Ce dimanche, Rugbyrama assure que 17 joueurs sont positifs au coronavirus et s'inquiète de la situation du Stade Français qui va devoir mettre à l'isolement les joueurs concernés pour quatorze jours. De plus, les autres joueurs vont devoir s'entraîner par petits groupes et non plus collectivement comme le stipule le protocole sanitaire.
Nouvelle série de tests lundi

Dans la foulée, Thomas Lombard, le directeur général du club parisien, a tenu à démentir cette information. « Il n'y a pas 17 joueurs positifs au Covid-19 au Stade Français »a-t-il assuré à Rugbyrama. Réponse sans doute en début de semaine puisque lundi, l'intégralité du groupe, qui était au repos ce week-end, doit passer un nouveau test au coronavirus.

En fonction des résultats, la préparation des Parisiens pourrait être fortement impactée à moins d'un mois de la reprise du Top 14 programmée le 4 septembre avec la réception de l'UBB à Jean-Bouin.