Re: Rugby et Coronavirus

**patrick** Mer 26 Aoû - 15:34

Scalp a écrit:https://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/actualites/covid-19-cinq-clubs-du-top-14-menaces-de-huis-clos-1011846

Laurent Marti, le président de l’UBB, qui confiait récemment à nos confrères de RMC Sport : «S’il y a des huis clos jusqu’en janvier, c’est le dépôt de bilan pour les clubs qui ne sont pas appuyés par une multinationale ou un mécène milliardaire. Ce n’est pas possible.»

À noter que les clubs adossés à des mécènes ne pourrons pas survivre sans les autres, à moins de faire un top 3 ou 4 qui n'aurait pas de sens...

Moi j'y vois surtout une très forte incitation pour que les gens de ces régions se prennent en main et fassent rapidement reculer les chiffres de contamination ... et c'est tout à fait possible si on se prend tous en main. Peut-être que les neuneus qui disent ne rien craindre commencerons à la jouer un peu moins matamore et motiveront leurs proches pour faire reculer l'épidémie.
Si les clubs veulent des supporters en tribunes, qu'unis ils fassent un appel à leurs supporters pour que soit respecter partout les gestes barrière.
Vite, une grande conférence de presse largement relayée par les média et unissant les clubs sportifs (notamment pros) Girondins.

**Scalp** Mer 26 Aoû - 20:58

https://www.lnr.fr/sites/default/files/communique_-_les_decisions_du_comite_directeur_du_25_aout_2020.pdf

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**Scalp** Lun 31 Aoû - 14:57

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/08/28/coronavirus-pourquoi-il-est-delicat-de-comparer-le-nombre-de-nouveaux-cas-aujourd-hui-et-celui-du-printemps_6050227_4355770.html

Coronavirus : pourquoi il est délicat de comparer le nombre de nouveaux cas aujourd’hui et celui du printemps

EN UN GRAPHIQUE - L’augmentation très nette des tests pratiqués a logiquement augmenté la courbe des nouvelles contaminations quotidiennes et modifié le profil des malades repérés.

Par Les Décodeurs

Masques obligatoires dans Paris, départements classés en rouge… Avant la rentrée, le gouvernement s’inquiète d’une « recrudescence incontestable de l’épidémie ». Celle-ci peut être appréhendée par plusieurs indicateurs.

Le plus évident, communiqué par les autorités et repris dans les médias, est le nombre de nouveaux cas positifs au SARS-CoV-2, qui repart à la hausse, selon la direction générale de la santé : 5 429 nouveaux cas mercredi 26 août, 6 111 nouveaux cas jeudi 27 août… On retrouve des niveaux semblables à ceux qui étaient communiqués au plus fort de la crise sanitaire en France, au mois d’avril. Pourtant, cette comparaison est délicate.

Au début de l’épidémie, la France réservait ses tests de dépistage aux malades les plus graves. Les nombreux malades légers ou asymptomatiques n’étaient donc pas identifiés. Selon des études rétrospectives de l’Institut Pasteur et de Santé publique France, moins d’un cas de Covid-19 sur dix était comptabilisé pendant cette période.

Après le déconfinement, en mai, la stratégie a changé : il s’agit désormais de « tester, tracer, isoler », en augmentant fortement le nombre de dépistages. Or, plus on teste, plus on a des chances de trouver des porteurs du virus. Avec 90 000 tests par jour à la fin août, contre seulement 5 000 à la mi-mars, les chances d’identifier des personnes contaminées sont aujourd’hui plus grandes. Et cette évolution empêche de comparer l’intensité de la circulation actuelle du virus avec celle du printemps.

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La hausse récente du nombre de nouveaux cas quotidiens n’est cependant pas insignifiante. La proportion de personnes positives a sensiblement augmenté durant l’été, passant d’environ 1 % par semaine en moyenne à la fin du mois de juin à plus de 3 % à la fin du mois d’août.

Un autre indicateur de la reprise épidémique est le taux de reproduction effectif du virus. Selon le gouvernement, il est remonté à 1,4 alors qu’il était à 0,7 à la fin du confinement en mai.

**krahknardz** Lun 31 Aoû - 15:42

Merci Scalp. Une simple question de bon sens, mais il y a vraiment des boeufs qui sont incapables de raisonner 2s pour réaliser ça...

**zizou46** Lun 31 Aoû - 20:48

Pour compléter l'article, on est sur la semaine qui vient de s'achever en moyenne à 135 000 tests/jour avec des pics à 180 000 sur 2 journées (celles à 6100 et 7300 cas détectés).
Cela met d'autant plus en perspective les chiffres de l'article précédent.

On sera à + de 150 000/jour en moyenne cette semaine et encore plus les suivantes.

Seul chiffre vraiment inquiétant est le taux de positivité qui augment régulièrement de 0.1 par jour. Si ce chiffre se fige, alors on pourra dire que l'augmentation des cas ne sera due qu'à une détection en plus grand nombre.Tant que ce n'est pas le cas, cela veut dire qu’indépendamment d'un nombre de tests croissants, le virus circule encore plus ....

**krahknardz** Lun 31 Aoû - 22:24

zizou46 a écrit:Seul chiffre vraiment inquiétant est le taux de positivité qui augment régulièrement de 0.1 par jour. Si ce chiffre se fige, alors on pourra dire que l'augmentation des cas ne sera due qu'à une détection en plus grand nombre.Tant que ce n'est pas le cas, cela veut dire qu’indépendamment d'un nombre de tests croissants, le virus circule encore plus ....

Tout-à-fait zizou. Le problème n'est pas comme certaines têtes de bois le disent qu'il n'y a pas d'augmentation des hospitalisations et des morts, mais effectivement que ce taux de positivité augmente, montrant bien la circulation accrue du virus. On est encore en mesure de contrôler la situation, et éviter le pire, mais pas en se cachant la tête dans le sable et en prétendant que le virus n'existe plus. C'est au contraire le moment de faire attention, l'automne et les autres virus arrivent. Ni panique, ni irresponsabilité.

Mam's Mar 1 Sep - 6:26

Je pense qu'il faut aussi prendre en compte le fait que les régions ou circulent activement le virus ( Bretagne, PACA et Sud ouest ) sont des régions peut être moins touché pendant le confinement mais ou beaucoup de vacanciers sont partis... Donc ou potentiellement des gens qui n'avaient pas été en contact avec le virus ont été brutalement en contact avec des porteurs saint ou des gens asymptomatique.
Travaillant a Strasbourg dans une région très touché, je sais que 90% de mes patients sont partis dans la région bordelaise ou dans la région Paca.
A voir si avec, la rentrée et donc a chute de la fréquentation des zones ou le virus circule activement, il y a aussi une chute du nombre de nouveau cas, mais ça nous le sauront que d'ici 15j..... patience donc

**krahknardz** Mar 1 Sep - 9:17

Mam's a écrit:Je pense qu'il faut aussi prendre en compte le fait que les régions ou circulent activement le virus ( Bretagne, PACA et Sud ouest ) sont des régions peut être moins touché pendant le confinement mais ou beaucoup de vacanciers sont partis... Donc ou potentiellement des gens qui n'avaient pas été en contact avec le virus ont été brutalement en contact avec des porteurs saint ou des gens asymptomatique.
Travaillant a Strasbourg dans une région très touché, je sais que 90% de mes patients sont partis dans la région bordelaise ou dans la région Paca.
A voir si avec, la rentrée et donc a chute de la fréquentation des zones ou le virus circule activement, il y a aussi une chute du nombre de nouveau cas, mais ça nous le sauront que d'ici 15j..... patience donc

Comme disait je crois Scalp, dans la région bordelaise la plupart des foyers ne correspondent pas aux zones où sont les vacanciers, mais à des contextes familiaux ou professionnels. Donc pas sûr que ça redescende tant que ça tout seul sans que la population locale prenne les choses en main et respecte la distanciation sociale. Vu ce qu'on voit dans les rues, pour l'instant ce n'est suivi que partiellement... :siffle:

**Scalp** Ven 4 Sep - 21:08

https://www.20minutes.fr/bordeaux/2854147-20200904-coronavirus-nouvelle-aquitaine-cas-covid-19-hausse-jeunes-plus-plus-touches

Coronavirus en Nouvelle-Aquitaine : Les cas de Covid-19 à la hausse, les jeunes de plus en plus touchés

SANTE L’agence régionale de santé de Nouvelle-Aquitaine a fait un point sur l’épidémie de coronavirus ce vendredi

Ce vendredi, le dernier bulletin de l’agence régionale de santé (ARS) sur le coronavirus n’est pas réjouissant. Globalement les indicateurs sont à la hausse dans la région. Depuis le 28 août dernier, le taux d’incidence (nouveaux cas dépistés) en Nouvelle-Aquitaine a augmenté de 19 points.

Les 20-30 ans davantage touchés

C’est en Gironde que la situation est la plus préoccupante. « Chez les jeunes de 20-30 ans le taux d’incidence s’emballe. Il a été multiplié par neuf en deux semaines, passant de 54 cas/100.000 habitants en semaine 33 à 464 cas/100.000 habitants en semaine 35, il est également neuf fois plus élevé que le taux d’incidence en population générale en Nouvelle-Aquitaine (52,7) », écrit l’ARS. Pointant le risque de contamination pour les proches fragiles de ces jeunes, l’agence recommande un renforcement des gestes barrières (port du masque, lavage des mains) et de distanciation physique. Les Pyrénées-Atlantiques et le Lot-et-Garonne sont classés en vulnérabilité modérée et trois autres départements (Haute-Vienne, Dordogne et Landes) pourraient l’être prochainement.

« Avec la rentrée et compte tenu de l’augmentation des indicateurs de surveillance des laboratoires et du nombre de clusters depuis plusieurs semaines, la vigilance est à renforcer dans l’ensemble de la région », estime l’ARS.

**Scalp** Ven 4 Sep - 21:10

On n'est pas prêt de sortir de la jauge des 5000, espérons éviter le spectre du huis clos Rolling Eyes

**Scalp** Lun 7 Sep - 8:35

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14-des-mesures-bientot-annoncees-par-le-gouvernement-1972664.html

Top 14: des mesures bientôt annoncées par le gouvernement

Après la réunion avec le cabinet du Premier ministre mardi, le Top 14 devrait connaitre rapidement les mesures adoptées par l’Etat pour accompagner au mieux le rugby professionnel, dont l’avenir est menacé par les jauges partielles.

Ce n’est plus qu’une question de jours. Après avoir rencontré le cabinet du Premier ministre mardi, le rugby français devrait bientôt être fixé. Quelle aide de l’Etat, quelles mesures et quel montant afin de passer cette crise sans précédent ? Autant de questions en suspens pour le moment. "La réunion s’est très bien passée, explique Emmanuel Eschalier, le directeur général de la Ligue Nationale de Rugby. C’était une réunion d’une grande qualité et constructive, avec une grande écoute du directeur de cabinet de Jean Castex. On n’attendait pas qu’elle statue sur des décisions fermes, définitives et immédiates. C’était une réunion de travail."

Depuis, les échanges se sont poursuivis. Et on devrait en savoir plus dans les jours à venir. "C’est imminent", nous ont confirmé plusieurs sources, notamment au ministère des Sports. Différentes mesures sont étudiées, dont un mécanisme pour compenser le manque à gagner en termes de billetterie. Car pour le rugby français, bien plus encore que pour le football, les jauges partielles, limitées à 5.000 spectateurs dans actuellement dix clubs du Top 14, ont des conséquences financières très lourdes.

"Le gouvernement va faire des propositions au mouvement sportif sur la prise en compte des jauges partielles et la façon d’accompagner les entités concernées, selon Eschalier. On travaille avec le ministère des Sports sur le sujet depuis le début de la semaine. C’est à eux de communiquer sur le timing, mais je pense que c’est imminent."

Un montant par siège ?

A la LNR, on ne préfère pas trop en dire tant que les mesures n’ont pas été entérinées par l’Etat. "Il ne faut pas perturber le processus car l’enjeu est suffisamment important", dit-on. En coulisses, où le travail effectué par Rémi Pallincourt, le secrétaire général de la LNR, est salué, on se veut pourtant optimiste. "On a bon espoir d’être subventionné sur le préjudice lié aux contraintes", selon une source proche du dossier. "Le gouvernement comprend l’enjeu, analyse les données et fera sans doute quelque chose", voilà le discours.

Si certains craignent que les exonérations de charges ne soient pas adoptées, beaucoup espèrent que l’Etat prenne à sa charge une grosse partie du manque à gagner en raison des jauges partielles. La LNR a ainsi proposé un montant par siège qu’elle centraliserait, avant d’être reversé aux clubs en fonction des éléments d’appréciation des années passées et des affluences moyennes. "On espère que le gouvernement va l’accepter", souligne-t-on. Des éléments à remplir ont, depuis mercredi, été envoyés à la LNR afin de renseigner des informations complémentaires. D’ici la fin du week-end ou en début de semaine, les clubs devraient être fixés.

**Switch** Lun 7 Sep - 8:44

Espérons effectivement qu'on ait droit à un montant variable selon l'affluence, la capacité et le manque à gagner. Un club doté d'un stade de 10.000 places ne perd pas autant et donc ne doit pas être aidé autant qu'un club doté d'un stade de 20.000 ou 30.000 places.

Après la jauge numéraire plutôt qu'en pourcentage, manquerait plus que cà, que les aides soient les mêmes pour tous, qu'importe leurs structures et leurs contextes ! Rolling Eyes

**Scalp** Lun 7 Sep - 8:47

Switch a écrit:Espérons effectivement qu'on ait droit à un montant variable selon l'affluence, la capacité et le manque à gagner. Un club doté d'un stade de 10.000 places ne perd pas autant et donc ne doit pas être aidé autant qu'un club doté d'un stade de 20.000 ou 30.000 places.

Après la jauge numéraire plutôt qu'en pourcentage, manquerait plus que cà, que les aides soient les mêmes pour tous, qu'importe leurs structures et leurs contextes !

J’espère aussi !, rugby-scapulaire parle d'un article du Midol, où l'on parle d'une demande de la LNR d'une somme forfaitaire de 70€ par place perdue, mais je n’arrive pas à trouver cet article...

**Scalp** Lun 7 Sep - 8:51

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**Scalp** Lun 7 Sep - 8:53

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**Switch** Lun 7 Sep - 9:44

Donc 34.000 - 5.000 = 29.000 places "indemnisées" ce qui x 70€ donne 2 M€. Voilà qui fait une belle somme, tout de même think

**le radis** Lun 7 Sep - 10:49

C'est effectivement pas mal. think

**Scalp** Lun 7 Sep - 11:05

Je pense qu'il faut compter par rapport à l'affluence moyenne de la saison dernière et pas comme si on pouvait remplir le stade à 100%...

Donc : 24518 - 5.000 = 19518 places indemnisées à 70€, soit autour d'1,36 M€

Si cela est les cas, on a bien fait d'augmenter notre fréquentation de 20%, par rapport à la saison 2018-2019.

Avec ce système, plus la jauge sera haute et moins l’état aidera, ce qui devrait éviter les excès de zèle sanitaire...
On peut même espérer un changement de Mode de calcul de la jauge en cours de route, comme per exemple un pourcentage des places disponibles, qui serait moins con et aussi moins coûteux pour l’état.

**densnewzealand** Lun 7 Sep - 15:09

Scalp a écrit:Je pense qu'il faut compter par rapport à l'affluence moyenne de la saison dernière et pas comme si on pouvait remplir le stade à 100%...

Donc : 24518 - 5.000 = 19518 places indemnisées à 70€, soit autour d'1,36 M€

Si cela est les cas, on a bien fait d'augmenter notre fréquentation de 20%, par rapport à la saison 2018-2019.

Avec ce système, plus la jauge sera haute et moins l’état aidera, ce qui devrait éviter les excès de zèle sanitaire...
On peut même espérer un changement de Mode de calcul de la jauge en cours de route, comme per exemple un pourcentage des places disponibles, qui serait moins con et aussi moins coûteux pour l’état.

Pas mal, mais d'ou sortent ces 70 euros? la place moyenne à Chaban c'est moins me semble t'il. A moins qu'un coefficient dépense surplace , à la boutique du stade , a la bodega vienne rentrer dans le calcul, dans ce cas , c'est pas cher payé rire

**Scalp** Lun 7 Sep - 15:30

Ça c’est un chiffre moyen pondu par la LNR, rien ne dit qu’on ne partirait Pas sûr un chiffre plus bas, après négociation avec le gouvernement...

**Scalp** Lun 7 Sep - 17:26

En fait, d’après Laurent Marti, on serait plutôt autour de la cinquantaine d'euro la place (55€), et on calculerait en fonction de la fréquentation de chaque rencontre de la saison précédente.

**patrick** Lun 7 Sep - 21:29

La fréquentation qui aurait été possible sans COVID intégrera t'elle les (a priori assez nombreuses) invitations proposées par l'UBB les années précédentes. Si oui, on a bien fait d'être généreux :chambreur:

Alors un dédommagement de 55 ou 70€, les 2 me semblent très très corrects ... même si compte tenu du tombereau de Tokens dépensés par Sudiste pour désaltérer ses amis, ça pourrait se discuter rire

**Scalp** Lun 7 Sep - 21:53

patrick a écrit:La fréquentation qui aurait été possible sans COVID intégrera t'elle les (a priori assez nombreuses) invitations proposées par l'UBB les années précédentes. Si oui, on a bien fait d'être généreux
Alors un dédommagement de 55 ou 70€, les 2 me semblent très très corrects ... même si compte tenu du tombereau de Tokens dépensés par Sudiste pour désaltérer ses amis, ça pourrait se discuter

Oui et bien ça, c'est une très bonne question, ce n'est pas sûr du tout que ces invitations compte pour le calcul de l'indemnisation, ça me semblerait même plutôt logique...

willoush Mar 8 Sep - 6:56

Un remboursement semble vraiment avantageux pour nous. En plus de notre grosse affluence moyenne, le prix des places de Chaban doit etre dans la moyenne trés basse du prix moyen d'une place de top14.
Semi revient l'an prochain Cool

**sudiste** Mar 8 Sep - 13:28

Switch a écrit: Un club doté d'un stade de 10.000 places ne perd pas autant et donc ne doit pas être aidé autant qu'un club doté d'un stade de 20.000 ou 30.000 places.

Je dirais même plus un club qui dispose d'un stade de 20.000 places pour une métropole de plus de 7 millions d'habitants mais qui peine lamentablement à le remplir ne serait-ce qu'à moitié ... suivez mon regard :siffle:

**Switch** Mar 8 Sep - 13:42

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coronavirus/2020/protocole-sanitiaire-vers-moins-de-tests_sto7876334/story.shtml

Protocole sanitiaire : vers moins de tests

Le protocole sanitaire mise en place par la Ligue devrait rapidement évoluer vers un peu plus de souplesse, avec un peu moins de tests à passer.

La Ligue nationale a entendu les premiers retours des clubs après la reprise des championnats le week-end dernier et il semble que l’on se dirige vers un assouplissement du protocole mis en place par la LNR. En effet, il avait été décidé en amont du coup d’envoi de la saison que les joueurs et les personnes de l’encadrement d’une équipe devant entrer dans la zone de match sanctuarisée devaient passer un test trois jours avant la rencontre. En cas de résultat positif, les clubs sont tenus de les faire remonter à la Ligue. A partir de trois cas de contamination au sein d'un même groupe (encadrement compris), le match est reporté. S'il n'y a qu'un ou deux cas, alors les personnes concernées doivent être isolées en quatorzaine. Le reste du groupe sera testé deux jours avant la rencontre puis la veille du match. Si de nouvelles infections étaient détectées lors de ces nouveaux tests, portant au moins à trois le nombre de cas dans un même club, alors la commission d'expertise Covid-19 devait reporter la rencontre.

Il semble que la LNR ait décidé d’alléger cette partie du processus. Un seul test sera effectué par les équipes à trois jours du match et si moins de trois cas positifs sont détectés, le match sera maintenu et les équipes n’auront plus besoin d’effectuer de nouveaux tests à deux et à un jour du match. Les cas positifs détectés trois jours avant le match seront bien sûr écartés du groupe pour ne pas contaminer les autres membres.

La LNR cherche t-elle vraiment à s'éviter de nouveaux reports en s'évitant trop de cas positifs, c'est à dire en contrôlant moins ? :siffle:

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