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Rugby et Coronavirus
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Re: Rugby et Coronavirus
https://www.courrierinternational.com/article/covid-19-le-variant-omicron-pourrait-proteger-contre-delta-et-attenuer-terme-la-pandemie
Covid-19.Le variant Omicron pourrait protéger contre Delta et atténuer à terme la pandémie
The New York Times - New York
Selon une étude préliminaire réalisée en Afrique du Sud et en laboratoire, les anticorps produits lors d’une infection par le variant Omicron du Sars-CoV-2 protégeraient ensuite contre le Delta. Un résultat encourageant si Omicron devient dominant dans le monde réel.
Les personnes qui se sont remises d’une infection par le variant Omicron du coronavirus pourraient être capables de se défendre contre des infections ultérieures par le variant Delta, rapporte le New York Times. Ce résultat préliminaire a été obtenu en laboratoire en Afrique du Sud par l’équipe du virologue Alex Sigal, de l’Institut de recherche sur la santé de Durban. “ll a été publié sur le site Internet de l’institut ce lundi 27 décembre et demande encore à être validé”, souligne le quotidien.
L’étude a été réalisée à partir du plasma sanguin prélevé chez quinze personnes, préalablement vaccinées ou non, qui avaient été infectées par Omicron. L’objectif était d’évaluer la capacité des anticorps à contrôler Omicron et Delta en laboratoire. Les mesures ont été effectuées au moment où les patients présentaient des symptômes, puis une nouvelle fois quinze jours plus tard.
Une immunité renforcée contre Delta
Résultat prévisible : la réponse des anticorps à Omicron s’est développée au cours de cette période, où la neutralisation du virus a été multipliée par 14. Mais surtout, l’équipe a observé une immunité renforcée contre le variant Delta, avec une neutralisation multipliée par 4,4 chez les participants vaccinés, alors que la réponse des non-vaccinés était plus variable.
Alex Sigal se réjouit de ce résultat, laissant entendre qu’“Omicron serait susceptible de repousser Delta”, explique le New York Times. II commente :
L’éviction de Delta pourrait être en fait une bonne chose. Peut-être sommes-nous dans une situation avec laquelle nous pouvons vivre plus facilement et qui nous perturbera moins que [ne l’ont fait] les variants précédents.”
“Plusieurs scientifiques non impliqués dans l’étude ont déclaré que les résultats de l’expérience sud-africaine, bien que préliminaires, étaient solides”, rapporte le quotidien américain. Ainsi, pour l’épidémiologiste Carl Pearson, de l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres, ces résultats sont cohérents avec ce qui se passe actuellement au Royaume-Uni.
Un avenir moins sombre
Et Nathan Grubaugh, épidémiologiste à l’École de santé publique de Yale, fait la même constatation dans le Connecticut. Il observe :
Nous assistons à une augmentation exponentielle d’Omicron, alors que les cas de Delta diminuent. Cela donne à penser qu’Omicron supplantera Delta chez les personnes sensibles [au virus], ce qui les rendra moins sensibles à Delta par la suite et fera baisser les cas de Delta.”
Si d’autres expériences confirment ces résultats, cela pourrait présager d’un avenir moins sombre de la pandémie. À court terme, comme le rappelle le quotidien, “on s’attend à ce qu’Omicron crée une vague de cas qui exercera une pression considérable sur les économies et les systèmes de soins de santé du monde entier”. Mais, à plus long terme, les nouvelles recherches suggèrent qu’un monde dominé par Omicron pourrait connaître moins d’hospitalisations et de décès qu’un monde où Delta continuerait de faire rage.
Covid-19.Le variant Omicron pourrait protéger contre Delta et atténuer à terme la pandémie
The New York Times - New York
Selon une étude préliminaire réalisée en Afrique du Sud et en laboratoire, les anticorps produits lors d’une infection par le variant Omicron du Sars-CoV-2 protégeraient ensuite contre le Delta. Un résultat encourageant si Omicron devient dominant dans le monde réel.
Les personnes qui se sont remises d’une infection par le variant Omicron du coronavirus pourraient être capables de se défendre contre des infections ultérieures par le variant Delta, rapporte le New York Times. Ce résultat préliminaire a été obtenu en laboratoire en Afrique du Sud par l’équipe du virologue Alex Sigal, de l’Institut de recherche sur la santé de Durban. “ll a été publié sur le site Internet de l’institut ce lundi 27 décembre et demande encore à être validé”, souligne le quotidien.
L’étude a été réalisée à partir du plasma sanguin prélevé chez quinze personnes, préalablement vaccinées ou non, qui avaient été infectées par Omicron. L’objectif était d’évaluer la capacité des anticorps à contrôler Omicron et Delta en laboratoire. Les mesures ont été effectuées au moment où les patients présentaient des symptômes, puis une nouvelle fois quinze jours plus tard.
Une immunité renforcée contre Delta
Résultat prévisible : la réponse des anticorps à Omicron s’est développée au cours de cette période, où la neutralisation du virus a été multipliée par 14. Mais surtout, l’équipe a observé une immunité renforcée contre le variant Delta, avec une neutralisation multipliée par 4,4 chez les participants vaccinés, alors que la réponse des non-vaccinés était plus variable.
Alex Sigal se réjouit de ce résultat, laissant entendre qu’“Omicron serait susceptible de repousser Delta”, explique le New York Times. II commente :
L’éviction de Delta pourrait être en fait une bonne chose. Peut-être sommes-nous dans une situation avec laquelle nous pouvons vivre plus facilement et qui nous perturbera moins que [ne l’ont fait] les variants précédents.”
“Plusieurs scientifiques non impliqués dans l’étude ont déclaré que les résultats de l’expérience sud-africaine, bien que préliminaires, étaient solides”, rapporte le quotidien américain. Ainsi, pour l’épidémiologiste Carl Pearson, de l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres, ces résultats sont cohérents avec ce qui se passe actuellement au Royaume-Uni.
Un avenir moins sombre
Et Nathan Grubaugh, épidémiologiste à l’École de santé publique de Yale, fait la même constatation dans le Connecticut. Il observe :
Nous assistons à une augmentation exponentielle d’Omicron, alors que les cas de Delta diminuent. Cela donne à penser qu’Omicron supplantera Delta chez les personnes sensibles [au virus], ce qui les rendra moins sensibles à Delta par la suite et fera baisser les cas de Delta.”
Si d’autres expériences confirment ces résultats, cela pourrait présager d’un avenir moins sombre de la pandémie. À court terme, comme le rappelle le quotidien, “on s’attend à ce qu’Omicron crée une vague de cas qui exercera une pression considérable sur les économies et les systèmes de soins de santé du monde entier”. Mais, à plus long terme, les nouvelles recherches suggèrent qu’un monde dominé par Omicron pourrait connaître moins d’hospitalisations et de décès qu’un monde où Delta continuerait de faire rage.
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Re: Rugby et Coronavirus
Covid-19 : Omicron et Delta accentuent la pression sur « des systèmes de santé au bord de l’effondrement », s’inquiète l’OMS
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/29/covid-19-les-variants-omicron-et-delta-accentuent-la-pression-sur-des-systemes-de-sante-au-bord-de-l-effondrement-s-inquiete-l-oms_6107637_3244.html
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/29/covid-19-les-variants-omicron-et-delta-accentuent-la-pression-sur-des-systemes-de-sante-au-bord-de-l-effondrement-s-inquiete-l-oms_6107637_3244.html
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Rugby et Coronavirus
La Ligue change le protocole sanitaire et provoque la colère de certains présidents
https://www.rugbyrama.fr/rugby/la-ligue-change-le-protocole-sanitaire-et-provoque-la-colere-de-certains-presidents_sto8687287/story.shtml
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Re: Rugby et Coronavirus
Tant qu'un club possède 23 joueurs valides sous la main -dont six premières lignes et au moins quinze pros- il pourra donc présenter une équipe
On aura beaucoup moins d'annulations de matchs, mais ce sera un peu la loterie, des équipes perdront des joueurs importants sur certains matchs. On verra aussi sûrement plus de jeunes, en espérant qu'ils seront bien prêts à l'affrontement du top 14...
On aura beaucoup moins d'annulations de matchs, mais ce sera un peu la loterie, des équipes perdront des joueurs importants sur certains matchs. On verra aussi sûrement plus de jeunes, en espérant qu'ils seront bien prêts à l'affrontement du top 14...
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Re: Rugby et Coronavirus
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Re: Rugby et Coronavirus
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Re: Rugby et Coronavirus
Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
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Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Rugby et Coronavirus
Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
Ah oui en effet, je viens de voir ton précédent message. C est ce que m a dit mon père mais j avais déjà posté.
L assemblée nationale a voté oui, futur vote maintenant au sénat le 3 janvier, ok.
Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Rugby et Coronavirus
Yatangaki a écrit:Scalp a écrit:Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
Ah oui en effet, je viens de voir ton précédent message. C est ce que m a dit mon père mais j avais déjà posté.
L assemblée nationale a voté oui, futur vote maintenant au sénat le 3 janvier, ok.
C'est quand même fou qu'un truc aussi logique et simple soit aussi difficile à officialiser
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Re: Rugby et Coronavirus
Pour ceux qui ont la moelle
https://videos.assemblee-nationale.fr/video.11682073_61ccbc3da80fe.commission-des-lois--examen-du-projet-de-loi-renforcant-les-outils-de-gestion-de-la-crise-sanitaire-29-decembre-2021
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Re: Rugby et Coronavirus
Yatangaki a écrit:Scalp a écrit:Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
Ah oui en effet, je viens de voir ton précédent message. C est ce que m a dit mon père mais j avais déjà posté.
L assemblée nationale a voté oui, futur vote maintenant au sénat le 3 janvier, ok.
Inviter n'importe le (la) quel de nos présidentiable au stade pendant un match, le laisser dire bonjour avec 120 minutes de temps de parole pendant que l'on chante ALLEZ UBB pour étouffer sa voix.
Ça compte pour un meeting politique sans jauge?
Car ça nous arrangerait
Je n'avais pas prévu d'être là pour le BO, mais une occasion avant longtemps je pense,
Je serai présent pour ce dernier match sans jauge
Bon match à tous !
Dernière édition par guillaume ubb le Mer 29 Déc 2021 - 23:41, édité 1 fois
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Re: Rugby et Coronavirus
guillaume ubb a écrit:Yatangaki a écrit:Scalp a écrit:Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
Ah oui en effet, je viens de voir ton précédent message. C est ce que m a dit mon père mais j avais déjà posté.
L assemblée nationale a voté oui, futur vote maintenant au sénat le 3 janvier, ok.
Inviter n'importe le (la) quel de nos présidentiable au stade pendant un match, le laisser dire bonjour avec 120 minutes de temps de parole pendant que l'on chante ALLEZ UBB pour étouffer sa voix.
Ça compte pour un meeting politique sans jauge?
Car ça nous arrangerait
Je n'avais pas prévu d'être là pour le BO, mais une occasion avant longtemps je pense,
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:guillaume ubb a écrit:Yatangaki a écrit:Scalp a écrit:Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
Ah oui en effet, je viens de voir ton précédent message. C est ce que m a dit mon père mais j avais déjà posté.
L assemblée nationale a voté oui, futur vote maintenant au sénat le 3 janvier, ok.
Inviter n'importe le (la) quel de nos présidentiable au stade pendant un match, le laisser dire bonjour avec 120 minutes de temps de parole pendant que l'on chante ALLEZ UBB pour étouffer sa voix.
Ça compte pour un meeting politique sans jauge?
Car ça nous arrangerait
Je n'avais pas prévu d'être là pour le BO, mais une occasion avant longtemps je pense,
Bon match à tous !
Et avec mon Berret ! Merde !!!
guillaume ubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Rugby et Coronavirus
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Re: Rugby et Coronavirus
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/30/face-a-la-vague-omicron-les-hopitaux-britanniques-resistent-pour-l-instant_6107670_3244.html
Face à la vague Omicron, les hôpitaux britanniques résistent pour l’instant
Si le nombre d’hospitalisations augmente, cela ne submerge pas à ce stade le système de santé. Boris Johnson n’annoncera pas d’autres restrictions avant la nouvelle année.
Par Eric Albert (Londres, correspondance)
Alors que le Royaume-Uni a été le premier pays européen touché par Omicron – le premier cas détecté remonte au 28 novembre –, il est scruté par tous les spécialistes de santé publique. Avec un nouveau variant qui est à la fois plus contagieux, mais provoque apparemment des formes moins sévères de la maladie, l’un des principaux tests est de savoir si les hôpitaux britanniques vont être submergés.
Pour l’instant, les premiers signes semblent encourageants. « Ça va pour le moment, ce n’est rien comparé aux vagues précédentes », confie un médecin anesthésiste d’un hôpital du sud de Londres, qui requiert l’anonymat. « Ce n’est plus la même maladie, a estimé, sur la BBC, John Bell, professeur de médecine à l’université d’Oxford, très impliqué dans le développement du vaccin AstraZeneca. Les scènes horribles de l’an dernier – les soins intensifs qui sont pleins, beaucoup de gens qui meurent prématurément – sont de l’histoire ancienne. » Paul Hunter, professeur de médecine à l’université d’East Anglia, fait le même diagnostic, bien qu’un peu plus prudemment : « Personne ne sait avec certitude si les hôpitaux seront débordés par la vague, mais j’aurais tendance à penser que ce ne sera pas le cas. »
Les premières statistiques nationales – incomplètes en cette période de fêtes, où les relevés sont parfois compilés en retard – sont plutôt rassurantes, montrant une rupture entre le nombre de cas et les hospitalisations. Mercredi 29 décembre, le Royaume-Uni a certes enregistré 183 000 personnes positives sur les dernières vingt-quatre heures, de loin son niveau le plus élevé depuis le début de la pandémie de Covid-19. Sur sept jours, la moyenne quotidienne est de 130 000, soit deux fois et demie plus que lors du pic de la vague Alpha de janvier. Mais les hospitalisations sont pour l’instant trois à quatre fois moindres, avec 10 400 patients au Royaume-Uni, contre 34 000 en janvier. Même à Londres, d’où est partie la vague, les hôpitaux tiennent le choc : ils traitent actuellement 3 300 patients, loin des 7 800 de janvier. « En valeur absolue, les niveaux restent relativement bas », souligne le professeur Bell.
« Admissions incidentes »
Ces chiffres pourraient en outre donner une image déformée de la réalité. « Beaucoup de malades qui vont à l’hôpital ont le Covid, mais n’y sont pas à cause du Covid, explique Chris Hopson, le directeur de NHS Providers, l’organisation représentant les hôpitaux anglais. Nous avons pas mal de gens qui, par exemple, sont tombés de vélo et se sont cassé un bras ou se sont cogné la tête. Ils n’ont pas de symptômes, mais, à leur arrivée, ils font un test Covid qui se révèle positif. »
Combien sont dans cette situation ? Les dernières statistiques à jour, remontant au 21 décembre, indiquaient qu’au Royaume-Uni, parmi les patients hospitalisés atteints du Covid, 70 % l’étaient à cause de cette maladie, et 30 % étaient des « admissions incidentes », c’est-à-dire des hospitalisations pour d’autres raisons. Depuis, ces dernières ont probablement augmenté, selon M. Hopson. « Le directeur d’un hôpital du sud-ouest [de l’Angleterre] me disait que le nombre de patients atteints du Covid avait augmenté de 30 % en sept jours, mais que la majeure partie venait d’admissions incidentes. » Dans cet hôpital, le nombre total de patients est resté stable, preuve que la vague Omicron n’y constitue pas une pression supplémentaire.
Une autre indication plutôt rassurante vient du nombre de patients sous ventilation artificelle au Royaume-Uni, qui n’augmente pas fortement : 757 le 21 décembre, 771 le 29 décembre. De même pour le nombre de décès, avec 86 morts en moyenne par jour sur la semaine finissant le 23 décembre, un niveau relativement stable depuis le mois d’août.
Accélérer la cadence pour le rappel
Un effet retard n’est-il pas à redouter, alors que la vague Omicron est encore récente ? Le nombre de patients à l’hôpital atteints du Covid-19 a malgré tout progressé de 47 % au Royaume-Uni en une semaine (entre le 22 et le 29 décembre) et de 62 % à Londres.
Autre signal inquiétant : les autorités britanniques surveillent de très près le nombre de nouvelles hospitalisations quotidiennes à Londres, estimant que la barre des 400 patients par jour est critique. Le chiffre n’a pas été dépassé le jour de Noël (364 patients) ni le lendemain (374), mais l’a été lundi (437), dernière journée pour laquelle les statistiques sont disponibles. La crainte est aussi que les fêtes familiales aient donné un coup d’accélérateur à la propagation de la maladie.
« On ne saura vraiment si les hôpitaux ont tenu que dans quelques semaines », estime le professeur Hunter, qui souligne que les opinions trop tranchées sur les dangers d’Omicron sont à l’heure actuelle imprudentes. Il espère que le pic est proche. « Mi-décembre, le nombre de cas doublait tous les deux jours. Si ç’avait continué à la même vitesse, on serait à un million par jour », précise-t-il. Quant à comparer ce variant à une simple grippe, il considère que « c’est vraiment aller trop loin ». Une étude préliminaire de l’agence de sécurité sanitaire britannique évalue le risque d’hospitalisation entre 50 % et 70 % inférieur à celui du variant Delta. Une autre, de l’Imperial College, est un peu moins optimiste, évoquant 15 % de risque en moins de passer une journée à l’hôpital et 40 % de risque en moins d’y passer au moins une nuit.
Hausse de l’absentéisme dû au Covid-19
La vague actuelle pose enfin un grave problème d’absentéisme. Avec plus d’une centaine de milliers de cas quotidiens, énormément de Britanniques doivent s’isoler sept jours au moins (ils peuvent sortir après cette période s’ils font deux tests antigéniques se révélant négatifs en deux jours). Cela provoque de nombreuses tensions dans les entreprises, ainsi que dans… les hôpitaux. M. Hopson souligne que les règles d’auto-isolement provoquent beaucoup d’absences parmi le personnel médical, ce qui pourrait devenir « un problème plus important » que la maladie elle-même.
Dans ces circonstances, Boris Johnson va-t-il réussir son pari ? Contrairement au Pays de Galles, à l’Ecosse, à l’Irlande du Nord – et à la France –, il n’a pas annoncé de nouvelles restrictions sanitaires avant le Nouvel An. Les boîtes de nuit ou les stades de football restent ouverts, même si un passe sanitaire est désormais nécessaire pour y entrer. « Tout le monde doit pouvoir célébrer le réveillon, mais faites-le de manière raisonnable », se contentait de rappeler le premier ministre mercredi. Il appelait aussi les Britanniques à accélérer la cadence pour recevoir leur troisième dose. Au 28 décembre, 89,9 % de la population âgée de 12 ans et plus avait reçu au moins une dose de vaccin et 33 millions de personnes – soit 57,5 % de la population éligible – avaient eu leur booster. « 90 % des patients en réanimation n’ont pas eu leur troisième dose », a martelé M. Johnson.
Rectificatif le 30 décembre à 7 h 50 : correction d’une erreur dans le variant majoritaire lors de la vague de janvier 2021.
Face à la vague Omicron, les hôpitaux britanniques résistent pour l’instant
Si le nombre d’hospitalisations augmente, cela ne submerge pas à ce stade le système de santé. Boris Johnson n’annoncera pas d’autres restrictions avant la nouvelle année.
Par Eric Albert (Londres, correspondance)
Alors que le Royaume-Uni a été le premier pays européen touché par Omicron – le premier cas détecté remonte au 28 novembre –, il est scruté par tous les spécialistes de santé publique. Avec un nouveau variant qui est à la fois plus contagieux, mais provoque apparemment des formes moins sévères de la maladie, l’un des principaux tests est de savoir si les hôpitaux britanniques vont être submergés.
Pour l’instant, les premiers signes semblent encourageants. « Ça va pour le moment, ce n’est rien comparé aux vagues précédentes », confie un médecin anesthésiste d’un hôpital du sud de Londres, qui requiert l’anonymat. « Ce n’est plus la même maladie, a estimé, sur la BBC, John Bell, professeur de médecine à l’université d’Oxford, très impliqué dans le développement du vaccin AstraZeneca. Les scènes horribles de l’an dernier – les soins intensifs qui sont pleins, beaucoup de gens qui meurent prématurément – sont de l’histoire ancienne. » Paul Hunter, professeur de médecine à l’université d’East Anglia, fait le même diagnostic, bien qu’un peu plus prudemment : « Personne ne sait avec certitude si les hôpitaux seront débordés par la vague, mais j’aurais tendance à penser que ce ne sera pas le cas. »
Les premières statistiques nationales – incomplètes en cette période de fêtes, où les relevés sont parfois compilés en retard – sont plutôt rassurantes, montrant une rupture entre le nombre de cas et les hospitalisations. Mercredi 29 décembre, le Royaume-Uni a certes enregistré 183 000 personnes positives sur les dernières vingt-quatre heures, de loin son niveau le plus élevé depuis le début de la pandémie de Covid-19. Sur sept jours, la moyenne quotidienne est de 130 000, soit deux fois et demie plus que lors du pic de la vague Alpha de janvier. Mais les hospitalisations sont pour l’instant trois à quatre fois moindres, avec 10 400 patients au Royaume-Uni, contre 34 000 en janvier. Même à Londres, d’où est partie la vague, les hôpitaux tiennent le choc : ils traitent actuellement 3 300 patients, loin des 7 800 de janvier. « En valeur absolue, les niveaux restent relativement bas », souligne le professeur Bell.
« Admissions incidentes »
Ces chiffres pourraient en outre donner une image déformée de la réalité. « Beaucoup de malades qui vont à l’hôpital ont le Covid, mais n’y sont pas à cause du Covid, explique Chris Hopson, le directeur de NHS Providers, l’organisation représentant les hôpitaux anglais. Nous avons pas mal de gens qui, par exemple, sont tombés de vélo et se sont cassé un bras ou se sont cogné la tête. Ils n’ont pas de symptômes, mais, à leur arrivée, ils font un test Covid qui se révèle positif. »
Combien sont dans cette situation ? Les dernières statistiques à jour, remontant au 21 décembre, indiquaient qu’au Royaume-Uni, parmi les patients hospitalisés atteints du Covid, 70 % l’étaient à cause de cette maladie, et 30 % étaient des « admissions incidentes », c’est-à-dire des hospitalisations pour d’autres raisons. Depuis, ces dernières ont probablement augmenté, selon M. Hopson. « Le directeur d’un hôpital du sud-ouest [de l’Angleterre] me disait que le nombre de patients atteints du Covid avait augmenté de 30 % en sept jours, mais que la majeure partie venait d’admissions incidentes. » Dans cet hôpital, le nombre total de patients est resté stable, preuve que la vague Omicron n’y constitue pas une pression supplémentaire.
Une autre indication plutôt rassurante vient du nombre de patients sous ventilation artificelle au Royaume-Uni, qui n’augmente pas fortement : 757 le 21 décembre, 771 le 29 décembre. De même pour le nombre de décès, avec 86 morts en moyenne par jour sur la semaine finissant le 23 décembre, un niveau relativement stable depuis le mois d’août.
Accélérer la cadence pour le rappel
Un effet retard n’est-il pas à redouter, alors que la vague Omicron est encore récente ? Le nombre de patients à l’hôpital atteints du Covid-19 a malgré tout progressé de 47 % au Royaume-Uni en une semaine (entre le 22 et le 29 décembre) et de 62 % à Londres.
Autre signal inquiétant : les autorités britanniques surveillent de très près le nombre de nouvelles hospitalisations quotidiennes à Londres, estimant que la barre des 400 patients par jour est critique. Le chiffre n’a pas été dépassé le jour de Noël (364 patients) ni le lendemain (374), mais l’a été lundi (437), dernière journée pour laquelle les statistiques sont disponibles. La crainte est aussi que les fêtes familiales aient donné un coup d’accélérateur à la propagation de la maladie.
« On ne saura vraiment si les hôpitaux ont tenu que dans quelques semaines », estime le professeur Hunter, qui souligne que les opinions trop tranchées sur les dangers d’Omicron sont à l’heure actuelle imprudentes. Il espère que le pic est proche. « Mi-décembre, le nombre de cas doublait tous les deux jours. Si ç’avait continué à la même vitesse, on serait à un million par jour », précise-t-il. Quant à comparer ce variant à une simple grippe, il considère que « c’est vraiment aller trop loin ». Une étude préliminaire de l’agence de sécurité sanitaire britannique évalue le risque d’hospitalisation entre 50 % et 70 % inférieur à celui du variant Delta. Une autre, de l’Imperial College, est un peu moins optimiste, évoquant 15 % de risque en moins de passer une journée à l’hôpital et 40 % de risque en moins d’y passer au moins une nuit.
Hausse de l’absentéisme dû au Covid-19
La vague actuelle pose enfin un grave problème d’absentéisme. Avec plus d’une centaine de milliers de cas quotidiens, énormément de Britanniques doivent s’isoler sept jours au moins (ils peuvent sortir après cette période s’ils font deux tests antigéniques se révélant négatifs en deux jours). Cela provoque de nombreuses tensions dans les entreprises, ainsi que dans… les hôpitaux. M. Hopson souligne que les règles d’auto-isolement provoquent beaucoup d’absences parmi le personnel médical, ce qui pourrait devenir « un problème plus important » que la maladie elle-même.
Dans ces circonstances, Boris Johnson va-t-il réussir son pari ? Contrairement au Pays de Galles, à l’Ecosse, à l’Irlande du Nord – et à la France –, il n’a pas annoncé de nouvelles restrictions sanitaires avant le Nouvel An. Les boîtes de nuit ou les stades de football restent ouverts, même si un passe sanitaire est désormais nécessaire pour y entrer. « Tout le monde doit pouvoir célébrer le réveillon, mais faites-le de manière raisonnable », se contentait de rappeler le premier ministre mercredi. Il appelait aussi les Britanniques à accélérer la cadence pour recevoir leur troisième dose. Au 28 décembre, 89,9 % de la population âgée de 12 ans et plus avait reçu au moins une dose de vaccin et 33 millions de personnes – soit 57,5 % de la population éligible – avaient eu leur booster. « 90 % des patients en réanimation n’ont pas eu leur troisième dose », a martelé M. Johnson.
Rectificatif le 30 décembre à 7 h 50 : correction d’une erreur dans le variant majoritaire lors de la vague de janvier 2021.
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Re: Rugby et Coronavirus
Covid-19 : face au « raz de marée » Omicron, le passe vaccinal franchit une étape devant les députés
https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/12/30/covid-19-face-au-raz-de-maree-omicron-le-passe-vaccinal-franchit-une-etape-devant-les-deputes_6107654_823448.html
https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/12/30/covid-19-face-au-raz-de-maree-omicron-le-passe-vaccinal-franchit-une-etape-devant-les-deputes_6107654_823448.html
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Re: Rugby et Coronavirus
Switch a écrit:Yatangaki a écrit:Scalp a écrit:Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
Ah oui en effet, je viens de voir ton précédent message. C est ce que m a dit mon père mais j avais déjà posté.
L assemblée nationale a voté oui, futur vote maintenant au sénat le 3 janvier, ok.
C'est quand même fou qu'un truc aussi logique et simple soit aussi difficile à officialiser
Pour résumer, l'amendement 118 porté par des députés LRM, portant sur l'adaptation des jauges à la taille des lieux d'accueil des publics, a été Validé en commission, contre l’avis du rapporteur LRM.
Le projet de loi sera ensuite discuté lundi dans l’hémicycle de l’Assemblée, puis au Sénat le 5 janvier, l'amendement 118 a de fortes chances de ne pas être validé dès son passage devant l'assemblée, à moins d'une mini fronde des députés LRM...
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Re: Rugby et Coronavirus
Top 14 / Pro D2 : minimum deux tests par semaine pour tous les joueurs
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/top-14-pro-d2-minimum-deux-tests-par-semaine-pour-les-tous-les-joueurs-7481148.php
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:Switch a écrit:Yatangaki a écrit:Scalp a écrit:Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
Ah oui en effet, je viens de voir ton précédent message. C est ce que m a dit mon père mais j avais déjà posté.
L assemblée nationale a voté oui, futur vote maintenant au sénat le 3 janvier, ok.
C'est quand même fou qu'un truc aussi logique et simple soit aussi difficile à officialiser
Pour résumer, l'amendement 118 porté par des députés LRM, portant sur l'adaptation des jauges à la taille des lieux d'accueil des publics, a été Validé en commission, contre l’avis du rapporteur LRM.
Le projet de loi sera ensuite discuté lundi dans l’hémicycle de l’Assemblée, puis au Sénat le 5 janvier, l'amendement 118 a de fortes chances de ne pas être validé dès son passage devant l'assemblée, à moins d'une mini fronde des députés LRM...
Y a pas beaucoup de sportifs dans cette bande de clowns en costards, çà c'est sûr ! Ce sera pour mettre une jauge dans les bons restos ou les bons hôtels, il y aurait plus de motivation
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Re: Rugby et Coronavirus
Switch a écrit:Scalp a écrit:Switch a écrit:Yatangaki a écrit:Scalp a écrit:Yatangaki a écrit:Ah oui bonne nouvelle ca pour un stade comme celui de l UBB. D après vous on peut espèrer combien de spectateurs du coup à Chaban?
Tu n'as pas lu mon commentaire plus haut il faut que ça passe à l'assemblée et vu que la majorité y est hostile, en plus de la pression dû à Omicron, ce qui ne plaide pas pour un assouplissement, il y a peu de chance que ce soit le cas...
Ah oui en effet, je viens de voir ton précédent message. C est ce que m a dit mon père mais j avais déjà posté.
L assemblée nationale a voté oui, futur vote maintenant au sénat le 3 janvier, ok.
C'est quand même fou qu'un truc aussi logique et simple soit aussi difficile à officialiser
Pour résumer, l'amendement 118 porté par des députés LRM, portant sur l'adaptation des jauges à la taille des lieux d'accueil des publics, a été Validé en commission, contre l’avis du rapporteur LRM.
Le projet de loi sera ensuite discuté lundi dans l’hémicycle de l’Assemblée, puis au Sénat le 5 janvier, l'amendement 118 a de fortes chances de ne pas être validé dès son passage devant l'assemblée, à moins d'une mini fronde des députés LRM...
Y a pas beaucoup de sportifs dans cette bande de clowns en costards, çà c'est sûr ! Ce sera pour mettre une jauge dans les bons restos ou les bons hôtels, il y aurait plus de motivation
En tout cas en commission, il y avait une large majorité en faveur de l'amendement, d'ici à ce que les députés LRM suivent le même chemin dans l’hémicycle..., rêvons un peu, il y en a un certain nombre qui sont de sensibilité plutôt de gauche, avec peut-être une légère propension à fronder
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Re: Rugby et Coronavirus
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/30/impact-d-omicron-les-scenarios-de-l-institut-pasteur-pour-la-france_6107691_3244.html
Impact d’Omicron : les scénarios de l’Institut Pasteur pour la France
L’organisme de recherche a publié, mercredi 29 décembre, une nouvelle série de modélisations estimant les conséquences de ce variant sur le système de santé.
Par Chloé Hecketsweiler
Le tsunami de contaminations liées à Omicron risque-t-il de submerger de nouveau les hôpitaux ? Depuis Noël, le nombre de cas en France bat, chaque jour, de nouveaux records – 179 000 au 28 décembre, 208 000 au 29 décembre. Un million de Français sont désormais positifs au SARS-CoV-2. « Ce sont des chiffres qui donnent le vertige », a déclaré le ministre de la santé, Olivier Véran, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, en évoquant un « raz-de-marée » à propos du variant Omicron. « Ça veut dire que vingt-quatre heures sur vingt-quatre, jour et nuit, toutes les secondes dans notre pays, deux Français sont diagnostiqués positifs au coronavirus », a-t-il ajouté. « Nous n’avons jamais connu une telle situation. » Afin d’estimer l’impact sur le système de santé, l’Institut Pasteur a publié, mercredi 29 décembre, une nouvelle série de modélisations montrant ce qui pourrait se passer selon le niveau de contagiosité et de sévérité de ce variant, que les scientifiques peinent encore à cerner.
A titre d’exemple, si Omicron est environ 70 % plus contagieux que Delta, mais que le risque d’être hospitalisé pour une personne infectée est environ 80 % moindre, le pic pourrait atteindre 2 700 hospitalisations quotidiennes si les Français ne modifient pas leur comportement, soit un niveau comparable à celui de la seconde vague. S’ils réduisent leurs contacts de 10 %, ce pic passerait à 1 900, soit le niveau atteint lors de la troisième vague. « Cela va se jouer à pas grand-chose », estime Simon Cauchemez, modélisateur à l’Institut Pasteur et membre du conseil scientifique, qui a transmis ces analyses à l’exécutif avant le conseil de défense de lundi. « Dans ce cas de figure, même en l’absence de mesures plus fortes, le changement de comportement des Français peut suffire », insiste-t-il.
Tous les scénarios sur la table
Au 28 décembre, un peu plus de 17 000 personnes étaient hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 (24 000 à la même date en 2020), dont 3 400 en soins critiques (2 600 en 2020). Le pic de cette vague portée par Delta était attendu pour la fin de l’année, mais avec l’arrivée d’Omicron tous les scénarios sont de nouveau sur la table. Pour resserrer leur éventail, les épidémiologistes attendent davantage de données, notamment en provenance du Royaume-Uni, où Omicron est apparu un peu plus tôt qu’en France. Mais ses caractéristiques sont difficiles à saisir, dans la mesure où il se diffuse dans une population vaccinée ou déjà immunisée par une première infection. « Comparer les deux variants est très complexe, car il faut tenir compte de cet historique et corriger, du fait qu’une partie des gens, y compris parmi les non-vaccinés, sont protégés », souligne Simon Cauchemez.
Les comparaisons avec le Royaume-Uni sont aussi limitées compte tenu des différences dans la couverture vaccinale par classe d’âges, notamment avec une dose de rappel. « Elle est plus avancée au Royaume-Uni qu’en France chez les plus âgés [qui sont les plus à risque d’être hospitalisés]. La courbe des hospitalisations peut donc ne pas suivre la même trajectoire dans les deux pays », observe Florence Débarre, spécialiste de biologie évolutive au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). « La part des gens protégés par l’immunité développée à la suite d’une infection peut aussi être différente », ajoute la scientifique.
Si certaines données font déjà mentir les scénarios les plus pessimistes, une vague supérieure à celles de 2020 fait encore partie du champ des possibles, s’il s’avère, par exemple, qu’Omicron est encore plus contagieux qu’estimé. « On saura d’ici une à deux semaines sur quelle courbe on se situe », explique le modélisateur, « plus optimiste » qu’il y a quinze jours. En cas de mauvaise nouvelle, le temps pour réagir sera compté : dans le scénario d’un variant 80 % plus contagieux mais seulement 50 % moins sévère que Delta, « attendre le 10 janvier pour la mise en œuvre de ces mesures conduirait à un pic d’hospitalisation d’environ 5 000 hospitalisations journalières, dépassant sans doute le capacitaire hospitalier actuel », alerte la note remise aux autorités.
Très peu de non-vaccinés convaincus
Le rythme de la vaccination pourrait aussi influer sur l’ampleur de la vague. Dans leurs scénarios, les modélisateurs font l’hypothèse que 800 000 doses sont injectées, chaque jour, en rappel. Mais depuis le début des vacances scolaires les injections se sont effondrées, passant d’environ 670 000 à 390 000 en moyenne. Un an après l’arrivée des premières doses, les non-vaccinés sont aussi très peu nombreux à s’être laissé convaincre, ces dernières semaines : selon les dernières données de la direction générale de la santé (DGS), 930 000 personnes de 50 à 64 ans, 630 000 personnes de 65 à 79 ans et 490 000 personnes de plus de 80 ans ne sont toujours pas vaccinées. Or, les 9 % de plus de 20 ans non vaccinés représentent plus de 40 % des admissions à l’hôpital avec un diagnostic Covid-19 et plus de 50 % des entrées en soins critiques.
« La situation est susceptible d’évoluer très rapidement », souligne la note de l’Institut Pasteur. « Un temps de doublement des cas Omicron de 2 à 2,7 jours signifie que le nombre de cas Omicron est multiplié en moyenne par 6 à 11 en une semaine », est-il précisé. Les données qui permettaient jusqu’ici de suivre l’évolution du variant Omicron en France ne sont plus disponibles publiquement à la suite du changement des méthodes de criblage des échantillons décidé le 17 décembre par la DGS. « C’est arrivé au pire moment », regrette Florence Débarre, dont les calculs réalisés à partir des dernières données disponibles montrent que le seuil de 50 % d’Omicron dans les contaminations a été franchi le 19 décembre en Ile-de-France.
« L’absentéisme résultant de cette vague d’infections risque de perturber le fonctionnement de la société », mettent en gardent les modélisateurs
Même s’il s’avère que ce variant ne crée pas de raz-de-marée dans les hôpitaux, l’envolée des contaminations représente un risque en soi. « Des centaines de milliers de Français pourraient être infectés quotidiennement en janvier, dans la grande majorité des cas avec des symptômes légers. L’absentéisme résultant de cette vague d’infections risque de perturber le fonctionnement de la société », mettent en garde les modélisateurs. Le risque lié au manque de soignants a bien été identifié : à la veille de Noël, la DGS a ainsi rappelé à tous les établissements que les personnels positifs mais asymptomatiques pouvaient être amenés à travailler en cas de besoin. Une règle qui ne s’applique pas, pour l’instant, à ceux infectés par Omicron.
Chloé Hecketsweiler
Impact d’Omicron : les scénarios de l’Institut Pasteur pour la France
L’organisme de recherche a publié, mercredi 29 décembre, une nouvelle série de modélisations estimant les conséquences de ce variant sur le système de santé.
Par Chloé Hecketsweiler
Le tsunami de contaminations liées à Omicron risque-t-il de submerger de nouveau les hôpitaux ? Depuis Noël, le nombre de cas en France bat, chaque jour, de nouveaux records – 179 000 au 28 décembre, 208 000 au 29 décembre. Un million de Français sont désormais positifs au SARS-CoV-2. « Ce sont des chiffres qui donnent le vertige », a déclaré le ministre de la santé, Olivier Véran, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, en évoquant un « raz-de-marée » à propos du variant Omicron. « Ça veut dire que vingt-quatre heures sur vingt-quatre, jour et nuit, toutes les secondes dans notre pays, deux Français sont diagnostiqués positifs au coronavirus », a-t-il ajouté. « Nous n’avons jamais connu une telle situation. » Afin d’estimer l’impact sur le système de santé, l’Institut Pasteur a publié, mercredi 29 décembre, une nouvelle série de modélisations montrant ce qui pourrait se passer selon le niveau de contagiosité et de sévérité de ce variant, que les scientifiques peinent encore à cerner.
A titre d’exemple, si Omicron est environ 70 % plus contagieux que Delta, mais que le risque d’être hospitalisé pour une personne infectée est environ 80 % moindre, le pic pourrait atteindre 2 700 hospitalisations quotidiennes si les Français ne modifient pas leur comportement, soit un niveau comparable à celui de la seconde vague. S’ils réduisent leurs contacts de 10 %, ce pic passerait à 1 900, soit le niveau atteint lors de la troisième vague. « Cela va se jouer à pas grand-chose », estime Simon Cauchemez, modélisateur à l’Institut Pasteur et membre du conseil scientifique, qui a transmis ces analyses à l’exécutif avant le conseil de défense de lundi. « Dans ce cas de figure, même en l’absence de mesures plus fortes, le changement de comportement des Français peut suffire », insiste-t-il.
Tous les scénarios sur la table
Au 28 décembre, un peu plus de 17 000 personnes étaient hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 (24 000 à la même date en 2020), dont 3 400 en soins critiques (2 600 en 2020). Le pic de cette vague portée par Delta était attendu pour la fin de l’année, mais avec l’arrivée d’Omicron tous les scénarios sont de nouveau sur la table. Pour resserrer leur éventail, les épidémiologistes attendent davantage de données, notamment en provenance du Royaume-Uni, où Omicron est apparu un peu plus tôt qu’en France. Mais ses caractéristiques sont difficiles à saisir, dans la mesure où il se diffuse dans une population vaccinée ou déjà immunisée par une première infection. « Comparer les deux variants est très complexe, car il faut tenir compte de cet historique et corriger, du fait qu’une partie des gens, y compris parmi les non-vaccinés, sont protégés », souligne Simon Cauchemez.
Les comparaisons avec le Royaume-Uni sont aussi limitées compte tenu des différences dans la couverture vaccinale par classe d’âges, notamment avec une dose de rappel. « Elle est plus avancée au Royaume-Uni qu’en France chez les plus âgés [qui sont les plus à risque d’être hospitalisés]. La courbe des hospitalisations peut donc ne pas suivre la même trajectoire dans les deux pays », observe Florence Débarre, spécialiste de biologie évolutive au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). « La part des gens protégés par l’immunité développée à la suite d’une infection peut aussi être différente », ajoute la scientifique.
Si certaines données font déjà mentir les scénarios les plus pessimistes, une vague supérieure à celles de 2020 fait encore partie du champ des possibles, s’il s’avère, par exemple, qu’Omicron est encore plus contagieux qu’estimé. « On saura d’ici une à deux semaines sur quelle courbe on se situe », explique le modélisateur, « plus optimiste » qu’il y a quinze jours. En cas de mauvaise nouvelle, le temps pour réagir sera compté : dans le scénario d’un variant 80 % plus contagieux mais seulement 50 % moins sévère que Delta, « attendre le 10 janvier pour la mise en œuvre de ces mesures conduirait à un pic d’hospitalisation d’environ 5 000 hospitalisations journalières, dépassant sans doute le capacitaire hospitalier actuel », alerte la note remise aux autorités.
Très peu de non-vaccinés convaincus
Le rythme de la vaccination pourrait aussi influer sur l’ampleur de la vague. Dans leurs scénarios, les modélisateurs font l’hypothèse que 800 000 doses sont injectées, chaque jour, en rappel. Mais depuis le début des vacances scolaires les injections se sont effondrées, passant d’environ 670 000 à 390 000 en moyenne. Un an après l’arrivée des premières doses, les non-vaccinés sont aussi très peu nombreux à s’être laissé convaincre, ces dernières semaines : selon les dernières données de la direction générale de la santé (DGS), 930 000 personnes de 50 à 64 ans, 630 000 personnes de 65 à 79 ans et 490 000 personnes de plus de 80 ans ne sont toujours pas vaccinées. Or, les 9 % de plus de 20 ans non vaccinés représentent plus de 40 % des admissions à l’hôpital avec un diagnostic Covid-19 et plus de 50 % des entrées en soins critiques.
« La situation est susceptible d’évoluer très rapidement », souligne la note de l’Institut Pasteur. « Un temps de doublement des cas Omicron de 2 à 2,7 jours signifie que le nombre de cas Omicron est multiplié en moyenne par 6 à 11 en une semaine », est-il précisé. Les données qui permettaient jusqu’ici de suivre l’évolution du variant Omicron en France ne sont plus disponibles publiquement à la suite du changement des méthodes de criblage des échantillons décidé le 17 décembre par la DGS. « C’est arrivé au pire moment », regrette Florence Débarre, dont les calculs réalisés à partir des dernières données disponibles montrent que le seuil de 50 % d’Omicron dans les contaminations a été franchi le 19 décembre en Ile-de-France.
« L’absentéisme résultant de cette vague d’infections risque de perturber le fonctionnement de la société », mettent en gardent les modélisateurs
Même s’il s’avère que ce variant ne crée pas de raz-de-marée dans les hôpitaux, l’envolée des contaminations représente un risque en soi. « Des centaines de milliers de Français pourraient être infectés quotidiennement en janvier, dans la grande majorité des cas avec des symptômes légers. L’absentéisme résultant de cette vague d’infections risque de perturber le fonctionnement de la société », mettent en garde les modélisateurs. Le risque lié au manque de soignants a bien été identifié : à la veille de Noël, la DGS a ainsi rappelé à tous les établissements que les personnels positifs mais asymptomatiques pouvaient être amenés à travailler en cas de besoin. Une règle qui ne s’applique pas, pour l’instant, à ceux infectés par Omicron.
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Re: Rugby et Coronavirus
Quatre matchs d'URC reportés en raison de cas de Covid-19
https://www.rugbyrama.fr/rugby/united-rugby-championship/2021-2022/united-rugby-championship-quatre-matchs-reportes-en-raison-de-cas-de-covid-19_sto8687630/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/united-rugby-championship/2021-2022/united-rugby-championship-quatre-matchs-reportes-en-raison-de-cas-de-covid-19_sto8687630/story.shtml
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/30/impact-d-omicron-les-scenarios-de-l-institut-pasteur-pour-la-france_6107691_3244.html
Impact d’Omicron : les scénarios de l’Institut Pasteur pour la France
L’organisme de recherche a publié, mercredi 29 décembre, une nouvelle série de modélisations estimant les conséquences de ce variant sur le système de santé.
Par Chloé Hecketsweiler
Le tsunami de contaminations liées à Omicron risque-t-il de submerger de nouveau les hôpitaux ? Depuis Noël, le nombre de cas en France bat, chaque jour, de nouveaux records – 179 000 au 28 décembre, 208 000 au 29 décembre. Un million de Français sont désormais positifs au SARS-CoV-2. « Ce sont des chiffres qui donnent le vertige », a déclaré le ministre de la santé, Olivier Véran, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, en évoquant un « raz-de-marée » à propos du variant Omicron. « Ça veut dire que vingt-quatre heures sur vingt-quatre, jour et nuit, toutes les secondes dans notre pays, deux Français sont diagnostiqués positifs au coronavirus », a-t-il ajouté. « Nous n’avons jamais connu une telle situation. » Afin d’estimer l’impact sur le système de santé, l’Institut Pasteur a publié, mercredi 29 décembre, une nouvelle série de modélisations montrant ce qui pourrait se passer selon le niveau de contagiosité et de sévérité de ce variant, que les scientifiques peinent encore à cerner.
A titre d’exemple, si Omicron est environ 70 % plus contagieux que Delta, mais que le risque d’être hospitalisé pour une personne infectée est environ 80 % moindre, le pic pourrait atteindre 2 700 hospitalisations quotidiennes si les Français ne modifient pas leur comportement, soit un niveau comparable à celui de la seconde vague. S’ils réduisent leurs contacts de 10 %, ce pic passerait à 1 900, soit le niveau atteint lors de la troisième vague. « Cela va se jouer à pas grand-chose », estime Simon Cauchemez, modélisateur à l’Institut Pasteur et membre du conseil scientifique, qui a transmis ces analyses à l’exécutif avant le conseil de défense de lundi. « Dans ce cas de figure, même en l’absence de mesures plus fortes, le changement de comportement des Français peut suffire », insiste-t-il.
Tous les scénarios sur la table
Au 28 décembre, un peu plus de 17 000 personnes étaient hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 (24 000 à la même date en 2020), dont 3 400 en soins critiques (2 600 en 2020). Le pic de cette vague portée par Delta était attendu pour la fin de l’année, mais avec l’arrivée d’Omicron tous les scénarios sont de nouveau sur la table. Pour resserrer leur éventail, les épidémiologistes attendent davantage de données, notamment en provenance du Royaume-Uni, où Omicron est apparu un peu plus tôt qu’en France. Mais ses caractéristiques sont difficiles à saisir, dans la mesure où il se diffuse dans une population vaccinée ou déjà immunisée par une première infection. « Comparer les deux variants est très complexe, car il faut tenir compte de cet historique et corriger, du fait qu’une partie des gens, y compris parmi les non-vaccinés, sont protégés », souligne Simon Cauchemez.
Les comparaisons avec le Royaume-Uni sont aussi limitées compte tenu des différences dans la couverture vaccinale par classe d’âges, notamment avec une dose de rappel. « Elle est plus avancée au Royaume-Uni qu’en France chez les plus âgés [qui sont les plus à risque d’être hospitalisés]. La courbe des hospitalisations peut donc ne pas suivre la même trajectoire dans les deux pays », observe Florence Débarre, spécialiste de biologie évolutive au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). « La part des gens protégés par l’immunité développée à la suite d’une infection peut aussi être différente », ajoute la scientifique.
Si certaines données font déjà mentir les scénarios les plus pessimistes, une vague supérieure à celles de 2020 fait encore partie du champ des possibles, s’il s’avère, par exemple, qu’Omicron est encore plus contagieux qu’estimé. « On saura d’ici une à deux semaines sur quelle courbe on se situe », explique le modélisateur, « plus optimiste » qu’il y a quinze jours. En cas de mauvaise nouvelle, le temps pour réagir sera compté : dans le scénario d’un variant 80 % plus contagieux mais seulement 50 % moins sévère que Delta, « attendre le 10 janvier pour la mise en œuvre de ces mesures conduirait à un pic d’hospitalisation d’environ 5 000 hospitalisations journalières, dépassant sans doute le capacitaire hospitalier actuel », alerte la note remise aux autorités.
Très peu de non-vaccinés convaincus
Le rythme de la vaccination pourrait aussi influer sur l’ampleur de la vague. Dans leurs scénarios, les modélisateurs font l’hypothèse que 800 000 doses sont injectées, chaque jour, en rappel. Mais depuis le début des vacances scolaires les injections se sont effondrées, passant d’environ 670 000 à 390 000 en moyenne. Un an après l’arrivée des premières doses, les non-vaccinés sont aussi très peu nombreux à s’être laissé convaincre, ces dernières semaines : selon les dernières données de la direction générale de la santé (DGS), 930 000 personnes de 50 à 64 ans, 630 000 personnes de 65 à 79 ans et 490 000 personnes de plus de 80 ans ne sont toujours pas vaccinées. Or, les 9 % de plus de 20 ans non vaccinés représentent plus de 40 % des admissions à l’hôpital avec un diagnostic Covid-19 et plus de 50 % des entrées en soins critiques.
« La situation est susceptible d’évoluer très rapidement », souligne la note de l’Institut Pasteur. « Un temps de doublement des cas Omicron de 2 à 2,7 jours signifie que le nombre de cas Omicron est multiplié en moyenne par 6 à 11 en une semaine », est-il précisé. Les données qui permettaient jusqu’ici de suivre l’évolution du variant Omicron en France ne sont plus disponibles publiquement à la suite du changement des méthodes de criblage des échantillons décidé le 17 décembre par la DGS. « C’est arrivé au pire moment », regrette Florence Débarre, dont les calculs réalisés à partir des dernières données disponibles montrent que le seuil de 50 % d’Omicron dans les contaminations a été franchi le 19 décembre en Ile-de-France.
« L’absentéisme résultant de cette vague d’infections risque de perturber le fonctionnement de la société », mettent en gardent les modélisateurs
Même s’il s’avère que ce variant ne crée pas de raz-de-marée dans les hôpitaux, l’envolée des contaminations représente un risque en soi. « Des centaines de milliers de Français pourraient être infectés quotidiennement en janvier, dans la grande majorité des cas avec des symptômes légers. L’absentéisme résultant de cette vague d’infections risque de perturber le fonctionnement de la société », mettent en garde les modélisateurs. Le risque lié au manque de soignants a bien été identifié : à la veille de Noël, la DGS a ainsi rappelé à tous les établissements que les personnels positifs mais asymptomatiques pouvaient être amenés à travailler en cas de besoin. Une règle qui ne s’applique pas, pour l’instant, à ceux infectés par Omicron.
Chloé Hecketsweiler
Au lieu de perdre leur temps à échafauder des scénarios qui se réaliseront...ou non, ils feraient mieux de se concentrer sur le recherche de traitements après le fiasco de leur vaccin.
Mais dans ce pays on aime bien la paperasse, les rapports et autres "livres blancs" qui ne servent jamais à rien ni à personne
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Rugby et Coronavirus
Au total les chiffres montrent bien que les non-vaccinés ont SIX fois plus de probabilité de se retrouver en réanimation que les vaccinés.... sans autre commentaire.....
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
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Re: Rugby et Coronavirus
500.000 personnes de plus de 80 ans non vaccinées Franchement je suis écoeuré de lire ça sachant que certaines parmi elles vont occuper des lits, retardant les soins de personnes plus jeunes mais qui vont perdre en espérance de vie, ou pire des chances de rémission.
Avoir plus peur d'un vaccin que de mourrir du covid quand tu as 80 ans c'est être complètement débile (pour rester poli) !!
Avoir plus peur d'un vaccin que de mourrir du covid quand tu as 80 ans c'est être complètement débile (pour rester poli) !!
sudiste- Unioniste de la première heure
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