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Rugby et Coronavirus
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Re: Rugby et Coronavirus
Véran s'oppose à l'adaptation des jauges en fonction des stades
https://www.rugbyrama.fr/rugby/veran-s-oppose-a-l-adaptation-des-jauges-en-fonction-des-stades_sto8689811/story.shtml
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Re: Rugby et Coronavirus
Covid-19 en France : avant une réunion ministérielle sur le variant Omicron, la pression hospitalière reste forte
https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/02/covid-19-en-france-avant-une-reunion-ministerielle-sur-le-variant-omicron-la-pression-hospitaliere-reste-forte_6107968_3244.html
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Re: Rugby et Coronavirus
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Re: Rugby et Coronavirus
Si l'en en juge avec l'ITW d'Urios, mise dans le topic Prolongations, Signatures, Départs pour 2022/2023, tous nos joueurs sont vaccinés...
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Re: Rugby et Coronavirus
https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/03/covid-19-face-au-variant-omicron-l-executif-allege-les-regles-d-isolement_6108004_3244.html
Covid-19 : face au variant Omicron, l’exécutif allège les règles d’isolement
Pour éviter de paralyser la vie sociale et les activités économiques, le ministre de la santé exempte de quarantaine les cas contacts vaccinés tout en leur demandant de multiplier les autotests.
Par Delphine Roucaute
De nouvelles règles d’isolement pour la nouvelle année et pour faire face à la vague épidémique portée en partie par le variant Omicron du SARS-CoV-2. Le ministre de la santé, Olivier Véran, a annoncé, dimanche 2 janvier, un allègement des consignes préexistantes, notamment à l’égard des cas contacts. Une décision justifiée par la très forte contagiosité d’Omicron, mais aussi par sa moindre virulence, confirmée par les dernières données en provenance du Royaume-Uni.
Pour les personnes ayant un schéma vaccinal complet – c’est-à-dire, pour la plupart des individus éligibles à une dose de rappel, trois injections de vaccin –, la durée d’isolement en cas de test positif (antigénique ou PCR) est ramenée à sept jours, quel que soit le variant. Elle pourra être levée au bout de cinq jours en cas de test négatif et si aucun symptôme n’est observé depuis quarante-huit heures. Pour les personnes non vaccinées ou n’ayant pas fait leur dose de rappel, l’isolement est maintenu à dix jours et levé au bout de sept jours en cas de test négatif et sans symptômes.
Dérogation pour les soignants
Une dérogation est toujours possible pour les soignants, qui pourront continuer à travailler s’ils ont le Covid-19 mais présentent peu ou pas de symptômes. « Les soignants étant par nature vaccinés, il s’agit de permettre la continuité de soins, compte tenu de la très grande tension sanitaire et du nombre élevé de personnel positif ou cas contact », souligne Olivier Véran dans le Journal du dimanche, assurant avoir reçu l’aval du Haut Conseil de la santé publique (HCSP).
C’est pour les cas contacts que les règles évoluent le plus : les personnes vaccinées n’ont pas à s’isoler, mais doivent procéder immédiatement à un test antigénique ou PCR, puis deux autotests, deux puis quatre jours après avoir appris qu’elles étaient cas contacts. Ces autotests peuvent être obtenus gratuitement en pharmacie sur présentation de la preuve de son premier dépistage, « ainsi qu’une attestation sur l’honneur justifiant être personne contact », précise le ministère. En cas d’autotest positif, il convient toujours de confirmer le résultat par un test antigénique ou PCR. Les contraintes continuent toutefois de peser sur les individus non vaccinés, qui doivent, eux, s’isoler sept jours et procéder à un test à l’issue de leur septaine.
Si ces aménagements étaient attendus, la méthode a toutefois déplu à de nombreux professionnels de santé : c’est d’abord par le biais d’un entretien accessible aux abonnés du Journal du dimanche que le ministre a communiqué le nouveau cadre sanitaire ; la note officielle n’a été envoyée que quelques heures plus tard aux professionnels, sous la forme d’un tableau récapitulatif. L’avis du HCSP sur lequel se fonde l’exécutif pour ses nouvelles recommandations, qui lui a été communiqué vendredi, n’était quant à lui toujours pas publié lundi matin, même s’il est évoqué dans la note transmise aux soignants.
Durée d’incubation « plus rapide »
Plusieurs pays, comme les Etats-Unis et l’Espagne, avaient déjà décidé de revoir leur politique d’isolement face à la propagation extrêmement rapide du variant Omicron. En France, le conseil scientifique avait appelé, lors d’un point presse le 23 décembre, à « réfléchir (…) aux règles d’éviction » – qui pouvaient s’étendre jusqu’à dix-sept jours pour un cas contact –, afin d’éviter « une désorganisation possible d’un certain nombre de services essentiels » en janvier, à cause de « l’absentéisme » et des « arrêts de travail » dus au « très grand nombre de contaminations à Omicron ». Santé publique France enregistre actuellement plus de 230 000 nouvelles contaminations par jour.
Aux Etats-Unis, les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), principales agences sanitaires américaines, ont justifié leur décision par le fait qu’avec Omicron, « la majorité de la transmission du SARS-CoV-2 se produit tôt au cours de la maladie, généralement dans les un-deux jours avant l’apparition des symptômes et les deux-trois jours après ». Un argument repris dans le communiqué du ministère de la santé, qui souligne « une durée d’incubation du variant Omicron plus rapide que pour les précédents variants, allant en faveur d’une réduction possible de la durée d’isolement ».
Ces nouvelles mesures suivent-elles une logique sanitaire ou obéissent-elles plutôt à des contraintes politiques ? « Etant donné le nombre de contaminations et de cas contacts, alléger les règles d’isolement est une manière de faire en sorte que les gens continuent de suivre des règles qui, si elles sont trop contraignantes, ne sont plus strictement observées, concède Pascal Crépey, enseignant-chercheur en épidémiologie et biostatistiques à l’Ecole des hautes études en santé publique à Rennes. Mais concrètement, l’intérêt principal de ces mesures est avant tout politique et économique, pas sanitaire. »
Pour l’épidémiologiste, « d’un point de vue théorique, on a toujours moyen de freiner l’épidémie : si chacun d’entre nous divise ses contacts sociaux par deux ou trois, on pourrait casser la dynamique épidémique. Mais traduire cela en mesures applicables est moins faisable en 2022 qu’en 2020 en termes d’acceptabilité ».
Autotests moins sensibles
Le principal trou dans la raquette, pour les experts, réside dans les autotests. Ces tests antigéniques sur prélèvement nasal, à effectuer sans l’aide de professionnels, sont connus pour être moins sensibles que les tests PCR ou antigéniques sur prélèvement nasopharyngé. Chez les personnes asymptomatiques, la sensibilité tombe à 50 % : dans cette population, il y a une chance sur deux pour que le résultat de l’autotest soit un faux négatif. De plus, l’agence américaine du médicament (Food and Drug Administration) a estimé, le 28 décembre, que cette sensibilité était encore plus basse face au variant Omicron.
Pour Jean-Claude Azoulay, vice-président du Syndicat national des médecins biologistes, l’usage renforcé des autotests pour les cas contacts pourra permettre de désengorger les laboratoires et pharmacies, qui sont pris d’assaut depuis plusieurs semaines pour le dépistage. « Mais étant donné leur sensibilité beaucoup moins forte, c’est surtout une manière de se rassurer, pour se dire qu’on fait quelque chose », estime le biologiste. Alors, selon Pascal Crépey, « il faudrait dans l’idéal que les personnes cas contacts se considèrent comme potentiellement infectées et appliquent des gestes barrières plus forts, comme porter un masque FFP2 ou ne pas fréquenter les bars et les restaurants ». L’année 2022 s’ouvre sous les mêmes auspices que 2021.
Covid-19 : face au variant Omicron, l’exécutif allège les règles d’isolement
Pour éviter de paralyser la vie sociale et les activités économiques, le ministre de la santé exempte de quarantaine les cas contacts vaccinés tout en leur demandant de multiplier les autotests.
Par Delphine Roucaute
De nouvelles règles d’isolement pour la nouvelle année et pour faire face à la vague épidémique portée en partie par le variant Omicron du SARS-CoV-2. Le ministre de la santé, Olivier Véran, a annoncé, dimanche 2 janvier, un allègement des consignes préexistantes, notamment à l’égard des cas contacts. Une décision justifiée par la très forte contagiosité d’Omicron, mais aussi par sa moindre virulence, confirmée par les dernières données en provenance du Royaume-Uni.
Pour les personnes ayant un schéma vaccinal complet – c’est-à-dire, pour la plupart des individus éligibles à une dose de rappel, trois injections de vaccin –, la durée d’isolement en cas de test positif (antigénique ou PCR) est ramenée à sept jours, quel que soit le variant. Elle pourra être levée au bout de cinq jours en cas de test négatif et si aucun symptôme n’est observé depuis quarante-huit heures. Pour les personnes non vaccinées ou n’ayant pas fait leur dose de rappel, l’isolement est maintenu à dix jours et levé au bout de sept jours en cas de test négatif et sans symptômes.
Dérogation pour les soignants
Une dérogation est toujours possible pour les soignants, qui pourront continuer à travailler s’ils ont le Covid-19 mais présentent peu ou pas de symptômes. « Les soignants étant par nature vaccinés, il s’agit de permettre la continuité de soins, compte tenu de la très grande tension sanitaire et du nombre élevé de personnel positif ou cas contact », souligne Olivier Véran dans le Journal du dimanche, assurant avoir reçu l’aval du Haut Conseil de la santé publique (HCSP).
C’est pour les cas contacts que les règles évoluent le plus : les personnes vaccinées n’ont pas à s’isoler, mais doivent procéder immédiatement à un test antigénique ou PCR, puis deux autotests, deux puis quatre jours après avoir appris qu’elles étaient cas contacts. Ces autotests peuvent être obtenus gratuitement en pharmacie sur présentation de la preuve de son premier dépistage, « ainsi qu’une attestation sur l’honneur justifiant être personne contact », précise le ministère. En cas d’autotest positif, il convient toujours de confirmer le résultat par un test antigénique ou PCR. Les contraintes continuent toutefois de peser sur les individus non vaccinés, qui doivent, eux, s’isoler sept jours et procéder à un test à l’issue de leur septaine.
Si ces aménagements étaient attendus, la méthode a toutefois déplu à de nombreux professionnels de santé : c’est d’abord par le biais d’un entretien accessible aux abonnés du Journal du dimanche que le ministre a communiqué le nouveau cadre sanitaire ; la note officielle n’a été envoyée que quelques heures plus tard aux professionnels, sous la forme d’un tableau récapitulatif. L’avis du HCSP sur lequel se fonde l’exécutif pour ses nouvelles recommandations, qui lui a été communiqué vendredi, n’était quant à lui toujours pas publié lundi matin, même s’il est évoqué dans la note transmise aux soignants.
Durée d’incubation « plus rapide »
Plusieurs pays, comme les Etats-Unis et l’Espagne, avaient déjà décidé de revoir leur politique d’isolement face à la propagation extrêmement rapide du variant Omicron. En France, le conseil scientifique avait appelé, lors d’un point presse le 23 décembre, à « réfléchir (…) aux règles d’éviction » – qui pouvaient s’étendre jusqu’à dix-sept jours pour un cas contact –, afin d’éviter « une désorganisation possible d’un certain nombre de services essentiels » en janvier, à cause de « l’absentéisme » et des « arrêts de travail » dus au « très grand nombre de contaminations à Omicron ». Santé publique France enregistre actuellement plus de 230 000 nouvelles contaminations par jour.
Aux Etats-Unis, les centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), principales agences sanitaires américaines, ont justifié leur décision par le fait qu’avec Omicron, « la majorité de la transmission du SARS-CoV-2 se produit tôt au cours de la maladie, généralement dans les un-deux jours avant l’apparition des symptômes et les deux-trois jours après ». Un argument repris dans le communiqué du ministère de la santé, qui souligne « une durée d’incubation du variant Omicron plus rapide que pour les précédents variants, allant en faveur d’une réduction possible de la durée d’isolement ».
Ces nouvelles mesures suivent-elles une logique sanitaire ou obéissent-elles plutôt à des contraintes politiques ? « Etant donné le nombre de contaminations et de cas contacts, alléger les règles d’isolement est une manière de faire en sorte que les gens continuent de suivre des règles qui, si elles sont trop contraignantes, ne sont plus strictement observées, concède Pascal Crépey, enseignant-chercheur en épidémiologie et biostatistiques à l’Ecole des hautes études en santé publique à Rennes. Mais concrètement, l’intérêt principal de ces mesures est avant tout politique et économique, pas sanitaire. »
Pour l’épidémiologiste, « d’un point de vue théorique, on a toujours moyen de freiner l’épidémie : si chacun d’entre nous divise ses contacts sociaux par deux ou trois, on pourrait casser la dynamique épidémique. Mais traduire cela en mesures applicables est moins faisable en 2022 qu’en 2020 en termes d’acceptabilité ».
Autotests moins sensibles
Le principal trou dans la raquette, pour les experts, réside dans les autotests. Ces tests antigéniques sur prélèvement nasal, à effectuer sans l’aide de professionnels, sont connus pour être moins sensibles que les tests PCR ou antigéniques sur prélèvement nasopharyngé. Chez les personnes asymptomatiques, la sensibilité tombe à 50 % : dans cette population, il y a une chance sur deux pour que le résultat de l’autotest soit un faux négatif. De plus, l’agence américaine du médicament (Food and Drug Administration) a estimé, le 28 décembre, que cette sensibilité était encore plus basse face au variant Omicron.
Pour Jean-Claude Azoulay, vice-président du Syndicat national des médecins biologistes, l’usage renforcé des autotests pour les cas contacts pourra permettre de désengorger les laboratoires et pharmacies, qui sont pris d’assaut depuis plusieurs semaines pour le dépistage. « Mais étant donné leur sensibilité beaucoup moins forte, c’est surtout une manière de se rassurer, pour se dire qu’on fait quelque chose », estime le biologiste. Alors, selon Pascal Crépey, « il faudrait dans l’idéal que les personnes cas contacts se considèrent comme potentiellement infectées et appliquent des gestes barrières plus forts, comme porter un masque FFP2 ou ne pas fréquenter les bars et les restaurants ». L’année 2022 s’ouvre sous les mêmes auspices que 2021.
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Re: Rugby et Coronavirus
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/01/03/covid-19-le-gouvernement-confronte-au-retour-des-incertitudes-economiques_6108000_3234.html
Covid-19 : le gouvernement confronté au retour des incertitudes économiques
La vague Omicron remet en cause le scénario de forte reprise et la fin du « quoi qu’il en coûte », à trois mois du scrutin présidentiel.
Par Audrey Tonnelier
Sur la photo, il pose, l’air déterminé, une tasse à la main et en blouson d’aviateur. « Café chez nos amis restaurateurs au Pays basque. Nous sommes en contact régulier avec les professionnels (…), pour accompagner au cas par cas toutes les professions. » Le message posté sur le compte Instagram du ministre de l’économie, Bruno Le Maire, le 30 décembre depuis son lieu de vacances, se veut le reflet de la doctrine du gouvernement, en ce début d’année 2022 qui ressemble un peu trop au début 2021 : vigilance, mais pas de mise sous cloche de l’économie.
Alors que débute la campagne présidentielle, la déferlante Omicron bouscule, une fois de plus, la stratégie de l’exécutif, qui jongle depuis près de deux ans entre impératifs sanitaires et économiques. « Les deux se rejoignent », a assuré Olivier Véran dans Le Journal du dimanche, le 2 janvier. C’est justement pour « éviter la déstabilisation de la vie sociale et économique » que le gouvernement a décidé un allègement des contraintes d’isolement, pour les personnes vaccinées positives ou cas contacts, a assuré le ministre de la santé.
Lors de ses vœux télévisés du 31 décembre, Emmanuel Macron avait tenu à énumérer ce qu’il considère comme les avancées économiques et sociales de son quinquennat : la « réforme de l’assurance-chômage », les mesures de « pouvoir d’achat », « l’augmentation des salaires des fonctionnaires les plus modestes » ou encore « la rénovation thermique ». « Jamais depuis quinze ans, le chômage n’a été aussi bas », a-t-il insisté.
Les Français retiendront-ils ces notes positives, ou la vague Omicron va-t-elle de nouveau faire tanguer l’économie et raviver les inquiétudes des ménages et des entreprises ? Lundi 3 janvier, Bruno Le Maire devait recevoir, avec la ministre du travail Elisabeth Borne et son homologue chargé du tourisme, Jean-Baptiste Lemoyne, les représentants des organisations patronales et des secteurs économiques affectés par les dernières restrictions : interdiction de consommer debout dans les bars et cafés pour trois semaines, et de boire et de manger dans les transports, les cinémas, théâtres et enceintes sportives. Les rassemblements (sauf meetings politiques) sont en outre limités à 2 000 personnes en intérieur et à 5 000 en extérieur. Le tout, sur fond de télétravail obligatoire trois jours par semaine dans les entreprises, si le poste s’y prête.
Crédits d’urgence non consommés
Pour le moment, Bercy s’en tient à sa ligne du « cas par cas ». Pas question de donner le sentiment que ce qui apparaît comme la vague la plus virulente – à défaut de la plus meurtrière – de la pandémie nécessite un retour au « quoi qu’il en coûte » et un recours massif aux aides publiques. Le fonds de solidarité pour les entreprises s’est éteint fin septembre, mais les secteurs sinistrés peuvent toujours, sous condition de baisse d’activité, bénéficier d’une aide pour leurs coûts fixes et du chômage partiel.
« Toute l’économie n’est pas touchée ! Les commerces restent ouverts, les restaurants sont pleins… Bien sûr, beaucoup de gens ont peur et c’est normal de les écouter. On peut avoir une période difficile d’un mois à un mois et demi mais notre objectif reste de continuer les aides partielles et sectorielles », explique l’entourage du ministre de l’économie, qui rappelle qu’« on parle d’argent public, on ne peut pas traiter tout le monde [secteurs avec restrictions ou non] de la même façon ». « Il faudrait muscler les dispositifs », plaide pourtant François Asselin, le président de la CPME, citant l’exemple du secteur de « l’événementiel, où la rentrée est pliée, comme le mois de décembre ».
Le dernier budget rectificatif 2021, voté début décembre, contenait deux milliards d’euros de crédits d’urgence non consommés, destinés à parer à un éventuel ressaut de l’épidémie. Cette réserve sera-t-elle suffisante ? « A priori, c’est bon », assure-t-on à Bercy. « Un nouveau budget rectificatif en début d’année ? C’était exclu au moment du vote, ce serait plausible s’il y a un ralentissement de la croissance et des rentrées fiscales soumises à caution », souligne de son côté Eric Woerth, député (Les Républicains) et président de la commission des finances de l’Assemblée nationale.
Là encore, le gouvernement temporise. Pour le moment, le PIB est attendu en croissance de 4 % cette année, mais cela doit faire suite au fort rebond espéré pour 2021, d’au moins 6,25 %. Impossible de dire si ces prévisions auront été affectées par les turbulences de fin d’année. Impossible, aussi, de savoir dans quel état sera le pays d’ici un à deux mois.
« Risque de zombification de l’économie »
« Le scénario de forte reprise de l’économie à l’œuvre depuis l’été, qui avait permis de revenir au niveau d’activité pré-crise dès le troisième trimestre, a du plomb dans l’aile », avertit Mathieu Plane, économiste à l’OFCE, qui craint « des comportements d’autocensure si les gens voyagent moins, vont moins en vacances ou au spectacle, voire si les entreprises diffèrent leurs investissements ».
Une chose est sûre : à trois mois de l’élection présidentielle et après cinq vagues de pandémie, difficile de trop raboter les soutiens à l’économie. « Avec le Covid, les mesures d’aide sont devenues presque automatiques et naturelles. Même si l’argent n’est pas déboursé à l’aveugle, contraindre l’économie, c’est rembourser l’économie [pour les pertes subies] », résume M. Woerth. Et ce d’autant qu’à l’inconnue sanitaire s’ajoutent de possibles désorganisations des chaînes d’approvisionnement internationales, et la poursuite de la flambée des prix de l’énergie, qui a déjà amené l’exécutif à verser une « indemnité inflation » à 38 millions de personnes en fin d’année.
« Le gouvernement va devoir trouver le bon équilibre. S’il réactive tous les dispositifs passés, il accroît le risque de zombification de l’économie [maintenir artificiellement en vie des entreprises moribondes]. Mais si on doit désormais alterner des périodes d’accélération et de freinage, les retombées de la pandémie deviendront structurelles pour de nombreux secteurs », analyse Mathieu Plane. Pour Ludovic Subran, directeur de la recherche économique chez Allianz, « Emmanuel Macron ne prendra pas le risque de ternir son bilan économique. Il sera obligé de tenir les aides pour enjamber l’élection. »
Audrey Tonnelier
Covid-19 : le gouvernement confronté au retour des incertitudes économiques
La vague Omicron remet en cause le scénario de forte reprise et la fin du « quoi qu’il en coûte », à trois mois du scrutin présidentiel.
Par Audrey Tonnelier
Sur la photo, il pose, l’air déterminé, une tasse à la main et en blouson d’aviateur. « Café chez nos amis restaurateurs au Pays basque. Nous sommes en contact régulier avec les professionnels (…), pour accompagner au cas par cas toutes les professions. » Le message posté sur le compte Instagram du ministre de l’économie, Bruno Le Maire, le 30 décembre depuis son lieu de vacances, se veut le reflet de la doctrine du gouvernement, en ce début d’année 2022 qui ressemble un peu trop au début 2021 : vigilance, mais pas de mise sous cloche de l’économie.
Alors que débute la campagne présidentielle, la déferlante Omicron bouscule, une fois de plus, la stratégie de l’exécutif, qui jongle depuis près de deux ans entre impératifs sanitaires et économiques. « Les deux se rejoignent », a assuré Olivier Véran dans Le Journal du dimanche, le 2 janvier. C’est justement pour « éviter la déstabilisation de la vie sociale et économique » que le gouvernement a décidé un allègement des contraintes d’isolement, pour les personnes vaccinées positives ou cas contacts, a assuré le ministre de la santé.
Lors de ses vœux télévisés du 31 décembre, Emmanuel Macron avait tenu à énumérer ce qu’il considère comme les avancées économiques et sociales de son quinquennat : la « réforme de l’assurance-chômage », les mesures de « pouvoir d’achat », « l’augmentation des salaires des fonctionnaires les plus modestes » ou encore « la rénovation thermique ». « Jamais depuis quinze ans, le chômage n’a été aussi bas », a-t-il insisté.
Les Français retiendront-ils ces notes positives, ou la vague Omicron va-t-elle de nouveau faire tanguer l’économie et raviver les inquiétudes des ménages et des entreprises ? Lundi 3 janvier, Bruno Le Maire devait recevoir, avec la ministre du travail Elisabeth Borne et son homologue chargé du tourisme, Jean-Baptiste Lemoyne, les représentants des organisations patronales et des secteurs économiques affectés par les dernières restrictions : interdiction de consommer debout dans les bars et cafés pour trois semaines, et de boire et de manger dans les transports, les cinémas, théâtres et enceintes sportives. Les rassemblements (sauf meetings politiques) sont en outre limités à 2 000 personnes en intérieur et à 5 000 en extérieur. Le tout, sur fond de télétravail obligatoire trois jours par semaine dans les entreprises, si le poste s’y prête.
Crédits d’urgence non consommés
Pour le moment, Bercy s’en tient à sa ligne du « cas par cas ». Pas question de donner le sentiment que ce qui apparaît comme la vague la plus virulente – à défaut de la plus meurtrière – de la pandémie nécessite un retour au « quoi qu’il en coûte » et un recours massif aux aides publiques. Le fonds de solidarité pour les entreprises s’est éteint fin septembre, mais les secteurs sinistrés peuvent toujours, sous condition de baisse d’activité, bénéficier d’une aide pour leurs coûts fixes et du chômage partiel.
« Toute l’économie n’est pas touchée ! Les commerces restent ouverts, les restaurants sont pleins… Bien sûr, beaucoup de gens ont peur et c’est normal de les écouter. On peut avoir une période difficile d’un mois à un mois et demi mais notre objectif reste de continuer les aides partielles et sectorielles », explique l’entourage du ministre de l’économie, qui rappelle qu’« on parle d’argent public, on ne peut pas traiter tout le monde [secteurs avec restrictions ou non] de la même façon ». « Il faudrait muscler les dispositifs », plaide pourtant François Asselin, le président de la CPME, citant l’exemple du secteur de « l’événementiel, où la rentrée est pliée, comme le mois de décembre ».
Le dernier budget rectificatif 2021, voté début décembre, contenait deux milliards d’euros de crédits d’urgence non consommés, destinés à parer à un éventuel ressaut de l’épidémie. Cette réserve sera-t-elle suffisante ? « A priori, c’est bon », assure-t-on à Bercy. « Un nouveau budget rectificatif en début d’année ? C’était exclu au moment du vote, ce serait plausible s’il y a un ralentissement de la croissance et des rentrées fiscales soumises à caution », souligne de son côté Eric Woerth, député (Les Républicains) et président de la commission des finances de l’Assemblée nationale.
Là encore, le gouvernement temporise. Pour le moment, le PIB est attendu en croissance de 4 % cette année, mais cela doit faire suite au fort rebond espéré pour 2021, d’au moins 6,25 %. Impossible de dire si ces prévisions auront été affectées par les turbulences de fin d’année. Impossible, aussi, de savoir dans quel état sera le pays d’ici un à deux mois.
« Risque de zombification de l’économie »
« Le scénario de forte reprise de l’économie à l’œuvre depuis l’été, qui avait permis de revenir au niveau d’activité pré-crise dès le troisième trimestre, a du plomb dans l’aile », avertit Mathieu Plane, économiste à l’OFCE, qui craint « des comportements d’autocensure si les gens voyagent moins, vont moins en vacances ou au spectacle, voire si les entreprises diffèrent leurs investissements ».
Une chose est sûre : à trois mois de l’élection présidentielle et après cinq vagues de pandémie, difficile de trop raboter les soutiens à l’économie. « Avec le Covid, les mesures d’aide sont devenues presque automatiques et naturelles. Même si l’argent n’est pas déboursé à l’aveugle, contraindre l’économie, c’est rembourser l’économie [pour les pertes subies] », résume M. Woerth. Et ce d’autant qu’à l’inconnue sanitaire s’ajoutent de possibles désorganisations des chaînes d’approvisionnement internationales, et la poursuite de la flambée des prix de l’énergie, qui a déjà amené l’exécutif à verser une « indemnité inflation » à 38 millions de personnes en fin d’année.
« Le gouvernement va devoir trouver le bon équilibre. S’il réactive tous les dispositifs passés, il accroît le risque de zombification de l’économie [maintenir artificiellement en vie des entreprises moribondes]. Mais si on doit désormais alterner des périodes d’accélération et de freinage, les retombées de la pandémie deviendront structurelles pour de nombreux secteurs », analyse Mathieu Plane. Pour Ludovic Subran, directeur de la recherche économique chez Allianz, « Emmanuel Macron ne prendra pas le risque de ternir son bilan économique. Il sera obligé de tenir les aides pour enjamber l’élection. »
Audrey Tonnelier
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Re: Rugby et Coronavirus
https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/03/passe-vaccinal-controles-d-identite-etat-d-urgence-ce-que-contient-le-projet-de-loi-examine-lundi-a-l-assemblee_6108018_3244.html
Passe vaccinal, contrôles d’identité, état d’urgence… Ce que contient le projet de loi examiné lundi à l’Assemblée
Extrait :
Dans les stades et les salles, une jauge au prorata de la capacité d’accueil ?
C’est l’une des questions qui reste à trancher à l’Assemblée nationale à partir de lundi : la jauge fixée dans les salles et les stades. Au cours d’une conférence de presse le 27 décembre, le premier ministre, Jean Castex, avait annoncé le principe de jauges à 5 000 personnes en extérieur et 2 000 en intérieur. Mais mercredi soir un amendement a été adopté en commission à l’Assemblée pour adapter les jauges dans les stades et les salles, au prorata de leur capacité d’accueil, contre l’avis du rapporteur de la majorité.
« Ça nous paraît plus juste pour des stades importants, comme le Groupama Stadium (à Lyon), le Vélodrome (à Marseille) ou le Parc des Princes (à Paris), expliquait au Parisien le député de La République en marche Sacha Houlié. On veut poser le principe de la proportionnalité. Ensuite, à charge au gouvernement de mettre des jauges proportionnelles sur tout le territoire, de 10, 20 ou 30 %. » Mais la mesure pourrait ne pas subsister en séance. « On entrerait vite dans une usine à gaz », a ainsi fait savoir M. Véran.
Passe vaccinal, contrôles d’identité, état d’urgence… Ce que contient le projet de loi examiné lundi à l’Assemblée
Extrait :
Dans les stades et les salles, une jauge au prorata de la capacité d’accueil ?
C’est l’une des questions qui reste à trancher à l’Assemblée nationale à partir de lundi : la jauge fixée dans les salles et les stades. Au cours d’une conférence de presse le 27 décembre, le premier ministre, Jean Castex, avait annoncé le principe de jauges à 5 000 personnes en extérieur et 2 000 en intérieur. Mais mercredi soir un amendement a été adopté en commission à l’Assemblée pour adapter les jauges dans les stades et les salles, au prorata de leur capacité d’accueil, contre l’avis du rapporteur de la majorité.
« Ça nous paraît plus juste pour des stades importants, comme le Groupama Stadium (à Lyon), le Vélodrome (à Marseille) ou le Parc des Princes (à Paris), expliquait au Parisien le député de La République en marche Sacha Houlié. On veut poser le principe de la proportionnalité. Ensuite, à charge au gouvernement de mettre des jauges proportionnelles sur tout le territoire, de 10, 20 ou 30 %. » Mais la mesure pourrait ne pas subsister en séance. « On entrerait vite dans une usine à gaz », a ainsi fait savoir M. Véran.
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Re: Rugby et Coronavirus
Albi : un acteur majeur des manifs anti-pass emporté par le Covid-19
https://www.ladepeche.fr/2021/12/30/albi-un-acteur-majeur-des-manifs-anti-pass-emporte-par-le-covid-10019866.php
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:Albi : un acteur majeur des manifs anti-pass emporté par le Covid-19
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Re: Rugby et Coronavirus
krahknardz a écrit:Scalp a écrit:Albi : un acteur majeur des manifs anti-pass emporté par le Covid-19
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Quelle connerie quand tu sais que ce sont des morts qui aurait pu être évité, lui et tellement d'autres
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:krahknardz a écrit:Scalp a écrit:Albi : un acteur majeur des manifs anti-pass emporté par le Covid-19
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Re: Rugby et Coronavirus
krahknardz a écrit:Scalp a écrit:krahknardz a écrit:Scalp a écrit:Albi : un acteur majeur des manifs anti-pass emporté par le Covid-19
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J'avais bien compris , j'ai un ami avec des facteurs de comorbidités qui a été intoxiqué par les conneries des antivax, rien à faire pour le résonner, il ne l'a pas chopé pour l'instant, mais il risque sa vie, je suis à la fois inquiet et furieux.
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:krahknardz a écrit:Scalp a écrit:krahknardz a écrit:Scalp a écrit:Albi : un acteur majeur des manifs anti-pass emporté par le Covid-19
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C'est bien pour ça que je dis que ce sont des candidats aux Darwin Awards....
J'avais bien compris , j'ai un ami avec des facteurs de comorbidités qui a été intoxiqué par les conneries des antivax, rien à faire pour le résonner, il ne l'a pas chopé pour l'instant, mais il risque sa vie, je suis à la fois inquiet et furieux.
Idem de mon côté.... je supportais déjà pas les NoVax avant, mais avec la Covid c'est presque un jugement divin: par le virus tu as vécu, par le virus tu périras....
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Re: Rugby et Coronavirus
1ère séance : Renforcement des outils de gestion de la crise sanitaire
https://videos.assemblee-nationale.fr/direct.11684489_61d2ff83f2d12
Pour les plus courageux qui veulent suivre les débats à l'assemblée...
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/01/03/passe-vaccinal-controles-d-identite-etat-d-urgence-ce-que-contient-le-projet-de-loi-examine-lundi-a-l-assemblee_6108018_3244.html
Passe vaccinal, contrôles d’identité, état d’urgence… Ce que contient le projet de loi examiné lundi à l’Assemblée
Extrait :
Dans les stades et les salles, une jauge au prorata de la capacité d’accueil ?
C’est l’une des questions qui reste à trancher à l’Assemblée nationale à partir de lundi : la jauge fixée dans les salles et les stades. Au cours d’une conférence de presse le 27 décembre, le premier ministre, Jean Castex, avait annoncé le principe de jauges à 5 000 personnes en extérieur et 2 000 en intérieur. Mais mercredi soir un amendement a été adopté en commission à l’Assemblée pour adapter les jauges dans les stades et les salles, au prorata de leur capacité d’accueil, contre l’avis du rapporteur de la majorité.
« Ça nous paraît plus juste pour des stades importants, comme le Groupama Stadium (à Lyon), le Vélodrome (à Marseille) ou le Parc des Princes (à Paris), expliquait au Parisien le député de La République en marche Sacha Houlié. On veut poser le principe de la proportionnalité. Ensuite, à charge au gouvernement de mettre des jauges proportionnelles sur tout le territoire, de 10, 20 ou 30 %. » Mais la mesure pourrait ne pas subsister en séance. « On entrerait vite dans une usine à gaz », a ainsi fait savoir M. Véran.
« On entrerait vite dans une usine à gaz » Mais ça fait 2 ans qu'on y est dans cette usine à gaz, dont tu es le directeur !!!
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Rugby et Coronavirus
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/La-pause-forcee-liee-au-covid-19-a-t-elle-eu-des-effets-sur-le-top-14/1308203
Si qqun pouvait debloquer cet article, merci d’avance
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grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Rugby et Coronavirus
grospaquet31 a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/La-pause-forcee-liee-au-covid-19-a-t-elle-eu-des-effets-sur-le-top-14/1308203
Si qqun pouvait debloquer cet article, merci d’avance
La pause forcée liée au Covid-19 a-t-elle eu des effets sur le Top 14 ?
Certaines équipes du Top 14 ont repris ce week-end après plusieurs semaines sans jouer à cause du Covid-19. Une pause forcée qui n'a pas eu les mêmes conséquences pour tout le monde.
A. Co. 03 janvier 2022 à 17h22
C'était la principale interrogation avant ce week-end et la 14e journée du Top 14. Les équipes qui n'avaient pas croisé le fer ces dernières semaines n'allaient-elles pas manquer de rythme ? Car l'épidémie de Covid-19, dopée par le variant Omicron, s'est rappelée au bon souvenir du rugby français au cours du mois de décembre et a changé la donne pour pas mal de clubs.
Cela a commencé par le report général des rencontres franco-britanniques en Coupe d'Europe le week-end du 18 décembre, après les nouvelles directives du gouvernement français. Puis cela s'est poursuivi entre Noël et le jour de l'an avec de nouveau quatre rencontres de la 13e journée du Championnat déprogrammées (Brive-Clermont, Toulouse-Stade Français, Racing-Pau, Toulon-UBB) à cause de cas positifs dans certains effectifs.
Un rythme inégal
Plusieurs équipes ont ainsi abordé la 14e journée après une longue période sans « matcher ». Une situation inédite à ce moment-là de la saison. Par exemple, Brive, exempté de la première journée du Challenge européen, n'avait plus joué depuis près d'un mois, le 4 décembre à Lyon (défaite 41-0), avant de s'incliner à Pau ce week-end (43-20).
Du côté du Stade Français, qui avait disputé son dernier match au Connacht le 12 décembre (défaite 36-9) et dû se mettre à l'isolement à cause de plusieurs cas positifs au Covid-19, on appréhendait un peu la réaction des corps après une si longue pause avant de défier l'USAP. D'autant que les Perpignanais s'étaient eux dépensés le dimanche précédent contre Castres (défaite 19-20).
« On sort de trois semaines sans jouer. C'était dur de retrouver du rythme »
Joris Segonds après la victoire du Stade Français contre Perpignan
« Il y aura forcément un petit problème au niveau du rythme, prévoyait le coach des trois-quarts parisien Julien Arias. On sera désavantagé par rapport à Perpignan qui a pu jouer le week-end dernier, ils seront sûrement plus au point physiquement. Ce n'est pas facile de retrouver les automatismes rapidement. »
Si les Parisiens n'ont pas semblé plus désorganisés que ça contre l'USAP (27-17), l'ouvreur Joris Segonds a confirmé l'impression de son coach après la partie : « On sort de trois semaines sans jouer. C'était dur de retrouver du rythme. » Même son de cloche pour le manager de la Section Paloise, Sébastien Piqueronies, après le match brouillon remporté contre Brive : « On a vu un match plutôt haché, très peu de séquences longues. C'est le syndrome d'une équipe qui manque de compétition. »
Un gain de fraîcheur bienvenu ?
À Bordeaux, la victoire poussive du leader contre le Biarritz Olympique (30-27) a interrogé. « Après trois semaines sans jouer, c'était difficile de trouver le jeu qu'on veut mettre en place », a rapporté le capitaine argentin Guido Petti. Mais l'entraîneur Christophe Urios n'a pas voulu se cacher derrière cette excuse : « Je peux comprendre notre entame de rencontre, mais la fin (marquée par deux essais du BO), ce n'est pas le problème des trois semaines sans match. »
Au final, l'UBB et le Stade Français, qui affrontaient des équipes plus en jambes (Biarritz et Perpignan) ont réussi à s'imposer. Et si, finalement, la pause Covid leur avait offert un surplus de fraîcheur ? « Ça fait du bien aussi à ce moment-là de la saison de pouvoir relâcher un peu, estimait Arias avant le match contre l'USAP, comme pour souligner que cette pause forcée n'avait pas forcément que du mauvais. On est déjà sur la brèche depuis plusieurs mois et pas mal de joueurs ont tiré sur les organismes. Ça peut aussi être une bonne chose. »
La date du dernier match disputé par chaque club du Top 14 avant la 14 journée
Brive : 4 décembre (29 jours sans jouer)
Racing : 10 décembre (23 jours sans jouer)
Bordeaux-Bègles : 11 décembre (22 jours sans jouer)
Pau : 11 décembre (22 jours sans jouer)
Toulouse : 11 décembre (21 jours sans jouer)
Clermont : 11 décembre (21 jours sans jouer)
Stade Français : 12 décembre (20 jours sans jouer)
Toulon : 17 décembre (match contre le MHR prévu le 2 janvier reporté)
Castres : 26 décembre (7 jours sans jouer)
Perpignan : 26 décembre (6 jours sans jouer)
Biarritz : 27 décembre (6 jours sans jouer)
La Rochelle : 27 décembre (6 jours sans jouer)
Lyon : 27 décembre (6 jours sans jouer)
Montpellier : 27 décembre (match contre le RCT prévu le 2 janvier reporté)
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Re: Rugby et Coronavirus
Concernant le Covid et entre autre, les jauges dans les stades, je suis optimiste pour l'avenir et le fait que cette mesure, même si la jauge ne sera probablement pas proportionnelle, ne durera que maximum 3 semaines.
Le pic du variant Delta est passé depuis le 15 décembre, ce variant se fait supplanter par l'Omicron et on se rend compte qu'il n'envoie quasiment pas en réanimation. En AFS la vague s'est terminé sans pic de mortalité, en Angleterre en un mois, malgré la flambée spectaculaire des contaminations, les cas en réanimation n'ont que peu augmentés, comme partout ailleurs. Il faut sûrement encore un peu rester prudent, mais Omicron n'est pas un variant virulent, c'est certain.
Finalement, le principal risque dans notre pays très protégé par la vaccination contre le variant delta, qui est beaucoup plus virulent, mais en décru, c'est le risque économique. On a assoupli la gestion des cas contact et d'isolement, mais il apparait de plus en plus réaliste qu'on va pouvoir assez rapidement en sortir et qu'on va pouvoir laisser circuler un variant qui ne cause que peu de cas grave, en libérant l'économie. Encore une fois, il faut garder une certaine prudence, mais il y a de quoi être plus que raisonnablement optimiste...
Le pic du variant Delta est passé depuis le 15 décembre, ce variant se fait supplanter par l'Omicron et on se rend compte qu'il n'envoie quasiment pas en réanimation. En AFS la vague s'est terminé sans pic de mortalité, en Angleterre en un mois, malgré la flambée spectaculaire des contaminations, les cas en réanimation n'ont que peu augmentés, comme partout ailleurs. Il faut sûrement encore un peu rester prudent, mais Omicron n'est pas un variant virulent, c'est certain.
Finalement, le principal risque dans notre pays très protégé par la vaccination contre le variant delta, qui est beaucoup plus virulent, mais en décru, c'est le risque économique. On a assoupli la gestion des cas contact et d'isolement, mais il apparait de plus en plus réaliste qu'on va pouvoir assez rapidement en sortir et qu'on va pouvoir laisser circuler un variant qui ne cause que peu de cas grave, en libérant l'économie. Encore une fois, il faut garder une certaine prudence, mais il y a de quoi être plus que raisonnablement optimiste...
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:Concernant le Covid et entre autre, les jauges dans les stades, je suis optimiste pour l'avenir et le fait que cette mesure, même si la jauge ne sera probablement pas proportionnelle, ne durera que maximum 3 semaines.
Le pic du variant Delta est passé depuis le 15 décembre, ce variant se fait supplanter par l'Omicron et on se rend compte qu'il n'envoie quasiment pas en réanimation. En AFS la vague s'est terminé sans pic de mortalité, en Angleterre en un mois, malgré la flambée spectaculaire des contaminations, les cas en réanimation n'ont que peu augmentés, comme partout ailleurs. Il faut sûrement encore un peu rester prudent, mais Omicron n'est pas un variant virulent, c'est certain.
Finalement, le principal risque dans notre pays très protégé par la vaccination contre le variant delta, qui est beaucoup plus virulent, mais en décru, c'est le risque économique. On a assoupli la gestion des cas contact et d'isolement, mais il apparait de plus en plus réaliste qu'on va pouvoir assez rapidement en sortir et qu'on va pouvoir laisser circuler un variant qui ne cause que peu de cas grave, en libérant l'économie. Encore une fois, il faut garder une certaine prudence, mais il y a de quoi être plus que raisonnablement optimiste...
Je ne suis pas si optimiste !
Depuis le début de cette pandémie, ma famille et moi avons tout respecté. Même ce que nous aurions pensé improbable il y a plusieurs années...
A ce jour : 3 doses, des contraintes pro et perso depuis 2 ans, des discours contradictoires à ne plus en finir...
On n'oblige pas les gens à ce vacciner avec un coût exorbitant pour nous tous. Et maintenant, le quoi qu'il en coûte (pour ça le pire est à venir) n'est plus que financier mais aussi de devoir l'année prochaine vacciner mon fils de 4 ans pour protéger des inconscients. Là je dis merde! il est où le courage de nos dirigeants? Et mieux vaut pas parler des opposants...
Encore ce jour des médailles distribuées injustement, et une exemplarité bafouée par de la démagogie au détriment de l'intérêt collectif.
Pour revenir au rugby : pas de jauge en tenant compte des capacités, plus de bière... Mais pour nous habituer à ce la faire mettre, les boites libertines restent ouvertes sans ces contraintes
Je suis perso usé par tant de mépris pour ceux qui essaient d'être de bons citoyens. Le micron un espoir, ça me semble utopiste vu la tournure des événements
Bon désolé, il fallait que ca sorte
aller au moins on est premier
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Re: Rugby et Coronavirus
guillaume ubb a écrit:Scalp a écrit:Concernant le Covid et entre autre, les jauges dans les stades, je suis optimiste pour l'avenir et le fait que cette mesure, même si la jauge ne sera probablement pas proportionnelle, ne durera que maximum 3 semaines.
Le pic du variant Delta est passé depuis le 15 décembre, ce variant se fait supplanter par l'Omicron et on se rend compte qu'il n'envoie quasiment pas en réanimation. En AFS la vague s'est terminé sans pic de mortalité, en Angleterre en un mois, malgré la flambée spectaculaire des contaminations, les cas en réanimation n'ont que peu augmentés, comme partout ailleurs. Il faut sûrement encore un peu rester prudent, mais Omicron n'est pas un variant virulent, c'est certain.
Finalement, le principal risque dans notre pays très protégé par la vaccination contre le variant delta, qui est beaucoup plus virulent, mais en décru, c'est le risque économique. On a assoupli la gestion des cas contact et d'isolement, mais il apparait de plus en plus réaliste qu'on va pouvoir assez rapidement en sortir et qu'on va pouvoir laisser circuler un variant qui ne cause que peu de cas grave, en libérant l'économie. Encore une fois, il faut garder une certaine prudence, mais il y a de quoi être plus que raisonnablement optimiste...
Je ne suis pas si optimiste !
Depuis le début de cette pandémie, ma famille et moi avons tout respecté. Même ce que nous aurions pensé improbable il y a plusieurs années...
A ce jour : 3 doses, des contraintes pro et perso depuis 2 ans, des discours contradictoires à ne plus en finir...
On n'oblige pas les gens à ce vacciner avec un coût exorbitant pour nous tous. Et maintenant, le quoi qu'il en coûte (pour ça le pire est à venir) n'est plus que financier mais aussi de devoir l'année prochaine vacciner mon fils de 4 ans pour protéger des inconscients. Là je dis merde! il est où le courage de nos dirigeants? Et mieux vaut pas parler des opposants...
Encore ce jour des médailles distribuées injustement, et une exemplarité bafouée par de la démagogie au détriment de l'intérêt collectif.
Pour revenir au rugby : pas de jauge en tenant compte des capacités, plus de bière... Mais pour nous habituer à ce la faire mettre, les boites libertines restent ouvertes sans ces contraintes
Je suis perso usé par tant de mépris pour ceux qui essaient d'être de bons citoyens. Le micron un espoir, ça me semble utopiste vu la tournure des événements
Bon désolé, il fallait que ca sorte
aller au moins on est premier
Je te comprend, on en a tous plein le derche de ce virus, on sera assez vite fixé sur Omicron, question de semaines pour lever tous les doutes.
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Re: Rugby et Coronavirus
Que va-t-il advenir des joueurs non-vaccinés ?
https://www.rugbyrama.fr/rugby/coronavirus/2020/coronavirus-que-va-t-il-advenir-des-joueurs-non-vaccines_sto8690824/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/coronavirus/2020/coronavirus-que-va-t-il-advenir-des-joueurs-non-vaccines_sto8690824/story.shtml
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:Si l'en en juge avec l'ITW d'Urios, mise dans le topic Prolongations, Signatures, Départs pour 2022/2023, tous nos joueurs sont vaccinés...
C'est en effet ce qui semble suggéré
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Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: Rugby et Coronavirus
patrick a écrit:Scalp a écrit:Si l'en en juge avec l'ITW d'Urios, mise dans le topic Prolongations, Signatures, Départs pour 2022/2023, tous nos joueurs sont vaccinés...
C'est en effet ce qui semble suggéré
Et ça, c'est une très bonne nouvelle
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Re: Rugby et Coronavirus
L'Assemblée Nationale dit non aux jauges proportionnelles dans les stades
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2021-2022/top-14-pro-d2-l-assemblee-nationale-dit-non-aux-jauges-proportionnelles-dans-les-stades_sto8691852/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2021-2022/top-14-pro-d2-l-assemblee-nationale-dit-non-aux-jauges-proportionnelles-dans-les-stades_sto8691852/story.shtml
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Re: Rugby et Coronavirus
Scalp a écrit:L'Assemblée Nationale dit non aux jauges proportionnelles dans les stades
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2021-2022/top-14-pro-d2-l-assemblee-nationale-dit-non-aux-jauges-proportionnelles-dans-les-stades_sto8691852/story.shtml
quand on a la possibilité d'etre con à plusieurs, pourquoi s'en priver?
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Re: Rugby et Coronavirus
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:L'Assemblée Nationale dit non aux jauges proportionnelles dans les stades
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quand on a la possibilité d'etre con à plusieurs, pourquoi s'en priver?
Ce n'est pas une grande surprise
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