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https://youtu.be/v93qCLLR2QY

Pilule rouge

willoush a écrit:Pilule rouge

C'était quoi la pilule rouge ?

patrick a écrit:

willoush a écrit:Pilule rouge

C'était quoi la pilule rouge ?

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Il vaut mieux rester endormi dans un doux rêve, les girondins sont bientôt champion de France, je prends la bleue

Top 14. Christophe Urios (Clermont) en colère : il charge plusieurs de ses joueurs

https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/clermont-ferrand_63113/top-14-christophe-urios-clermont-en-colere-il-charge-plusieurs-de-ses-joueurs_59046860.html

Scalp a écrit:Top 14. Christophe Urios (Clermont) en colère : il charge plusieurs de ses joueurs

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Et c'est reparti. Trop hâte de voir comment le vestiaire clermontois va vivre avec Urios durant les prochains mois et même la saison prochaine

Switch a écrit:

Scalp a écrit:Top 14. Christophe Urios (Clermont) en colère : il charge plusieurs de ses joueurs

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Et c'est reparti. Trop hâte de voir comment le vestiaire clermontois va vivre avec Urios durant les prochains mois et même la saison prochaine

La période de désamour a l'air d'avoir déjà commencé, en tout cas, il n'y a pas eu d'effet Urios, je continue à penser que son licenciement lui a fait plus de mal qu'on pourrait le croire, le ressort serait-il cassé

Scalp a écrit:

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Et c'est reparti. Trop hâte de voir comment le vestiaire clermontois va vivre avec Urios durant les prochains mois et même la saison prochaine

La période de désamour a l'air d'avoir déjà commencé, en tout cas, il n'y a pas eu d'effet Urios, je continue à penser que son licenciement lui a fait plus de mal qu'on pourrait le croire, le ressort serait-il cassé

C'est surtout les clermontois (dirigeants, joueurs et supporters) qui doivent commencer à se demander s'ils ont bien fait le bon choix

Le mec est là depuis 1 ou 2 mois et il commence déjà à flinguer ses joueurs. Quand en plus tu sais qu'il sort de deux expériences (CO puis UBB) où il y avait rupture avec le vestiaire et que la dernière s'est terminée par un licenciement, ça fait beaucoup. Urios serait-il donc incapable de se remettre en question, de se contrôler et de repartir de l'avant ?

Attendons encore 1 ou 2 match(s), mais effectivement, déjà on peut penser qu'il n'y a pas eu le déclic Urios, mais surtout on peut se demander s'il n'y a pas un risque pour l'ASM à court et moyen terme

En tout cas, aller à LR dans ce contexte n'est pas une super nouvelle. Je me demande ce que dira Urios si l'ASM rentre de LR avec les valises pleines !

Switch a écrit:

Scalp a écrit:

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Et c'est reparti. Trop hâte de voir comment le vestiaire clermontois va vivre avec Urios durant les prochains mois et même la saison prochaine

La période de désamour a l'air d'avoir déjà commencé, en tout cas, il n'y a pas eu d'effet Urios, je continue à penser que son licenciement lui a fait plus de mal qu'on pourrait le croire, le ressort serait-il cassé

C'est surtout les clermontois (dirigeants, joueurs et supporters) qui doivent commencer à se demander s'ils ont bien fait le bon choix

Le mec est là depuis 1 ou 2 mois et il commence déjà à flinguer ses joueurs. Quand en plus tu sais qu'il sort de deux expériences (CO puis UBB) où il y avait rupture avec le vestiaire et que la dernière s'est terminée par un licenciement, ça fait beaucoup. Urios serait-il donc incapable de se remettre en question, de se contrôler et de repartir de l'avant ?

Attendons encore 1 ou 2 match(s), mais effectivement, déjà on peut penser qu'il n'y a pas eu le déclic Urios, mais surtout on peut se demander s'il n'y a pas un risque pour l'ASM à court et moyen terme

En tout cas, aller à LR dans ce contexte n'est pas une super nouvelle. Je me demande ce que dira Urios si l'ASM rentre de LR avec les valises pleines !

Je crois que ça a été une erreur stratégique de prendre en cours de route cette équipe, Urios n'est pas à son mieux dans le désordre, il a besoin d'organiser au millimètre et d'arriver avec un projet neuf au début d'une nouvelle aventure, il vient de gâcher son effet nouveauté, celui qui avait pleinement fonctionné avec nous...

Scalp a écrit:

Switch a écrit:

Scalp a écrit:

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Scalp a écrit:Top 14. Christophe Urios (Clermont) en colère : il charge plusieurs de ses joueurs

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Et c'est reparti. Trop hâte de voir comment le vestiaire clermontois va vivre avec Urios durant les prochains mois et même la saison prochaine

La période de désamour a l'air d'avoir déjà commencé, en tout cas, il n'y a pas eu d'effet Urios, je continue à penser que son licenciement lui a fait plus de mal qu'on pourrait le croire, le ressort serait-il cassé

C'est surtout les clermontois (dirigeants, joueurs et supporters) qui doivent commencer à se demander s'ils ont bien fait le bon choix

Le mec est là depuis 1 ou 2 mois et il commence déjà à flinguer ses joueurs. Quand en plus tu sais qu'il sort de deux expériences (CO puis UBB) où il y avait rupture avec le vestiaire et que la dernière s'est terminée par un licenciement, ça fait beaucoup. Urios serait-il donc incapable de se remettre en question, de se contrôler et de repartir de l'avant ?

Attendons encore 1 ou 2 match(s), mais effectivement, déjà on peut penser qu'il n'y a pas eu le déclic Urios, mais surtout on peut se demander s'il n'y a pas un risque pour l'ASM à court et moyen terme

En tout cas, aller à LR dans ce contexte n'est pas une super nouvelle. Je me demande ce que dira Urios si l'ASM rentre de LR avec les valises pleines !

Je crois que ça a été une erreur stratégique de prendre en cours de route cette équipe, Urios n'est pas à son mieux dans le désordre, il a besoin d'organiser au millimètre et d'arriver avec un projet neuf au début d'une nouvelle aventure, il vient de gâcher son effet nouveauté, celui qui avait pleinement fonctionné avec nous...

En effet, je n'ai pas compris sa décision d'accepter (aussi rapidement), surtout dans ce contexte où il n'est pas arrivé (contrairement à l'UBB) de manière anticipée et réfléchie, en tant que bâtisseur qui vient construire un projet pensé sur le long terme. Là il est arrivé brusquement, sans que ça ne soit anticipé, pour jouer le pompier en cours de route et remplacer un mec qui venait de se barrer de manière imprévue. Il n'a pas pu réfléchir à son projet, ce n'est pas son groupe, et ce ne sera ses "hommes" que l'an prochain. Et encore, seulement en partie car il hérite de l'ère Gibbes.
Pas du tout le genre d'environnement qu'il affectionne, contrairement à ce que peut être un Pascal DUPRAZ en foot, par exemple. Lui c'est un vrai spécialiste du sauvetage et du redressement qui aime bosser dans l'urgence.

A voir l'an prochain, mais sur ce qu'on voit pour l'heure, je suis assez perplexe pour l'ASM

Biarritz Olympique : une offre sur la table pour la reprise du club de rugby

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/biarritz-olympique/rugby-une-offre-sur-la-table-pour-la-reprise-du-biarritz-olympique-14905067.php

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Clermont-ce-modele-de-stabilite-aujourd-hui-en-souffrances/1393205

Clermont, ce modèle de stabilité aujourd'hui en souffrances

Club loué pour sa stabilité et sa régularité sportive pendant plus de quinze ans, l'ASM vit sa saison la plus difficile et pas que sur le terrain.

Aurélien Bouisset (avec J.-F. P.)

Il y a un peu plus d'un mois, les réseaux sociaux de la LNR ont mis en ligne un visuel qui aurait pu faire la fierté des supporters clermontois : depuis l'instauration du Top 14, en 2005, leur ASM est le deuxième club à avoir accumulé le plus de points au classement, derrière Toulouse. Mais pour la Yellow Army, ce post aura surtout révélé à quel point, 18 ans plus tard, leur équipe a chuté, au coeur d'une saison plus que médiocre sur le terrain et agitée en coulisses.

Déclassement total

Il y a d'abord un juge implacable : le classement. Depuis l'instauration de la poule unique, en 2004, jamais les Auvergnats n'en ont connu un aussi mauvais que cette onzième place qu'ils occupent ce matin. Même lors de la saison post-Brennus 2017, dont on sait à quel point la digestion peut être délicate, ils avaient fait mieux (9e). Autre baromètre en berne, la Coupe des champions, quittée dès les poules, quand ils y avaient toujours sauvé une place en phase finale depuis 2017. Et leurs chances d'arracher un ticket pour la prochaine édition semblent bien théoriques, même si Christophe Urios clamait encore samedi, après la défaite à La Rochelle, que le Top 8 restait un objectif.

L'entraîneur avait, quelques jours plus tôt, pointé du doigt ses trois-quarts, « pas assez bons ». Derrière son reproche, il y a un mal profond, symbolique aussi des heures sombres des Jaune et Bleu. Car leur attaque est, cette saison, la 11e du Top 14. Quand, depuis 2004, elle reflétait plutôt les ambitions du club : en 18 saisons de poule unique, elle avait été la plus prolifique en saison régulière à neuf reprises ! Même dans les exercices moins aboutis, comme la saison dernière, terminée à la 7e place, elle gardait son efficacité (2e).

Si les chasseurs d'essais auvergnats ne sont pas tout à fait largués, c'est sans doute chez les buteurs que la déperdition est la plus palpable. Anthony Belleau comme Jules Plisson ont le pied qui tremble, avec des taux de réussite erratiques (63,2 % et 74,5 %), quand, dans la précédente décennie, Morgan Parra, Camille Lopez ou même Brock James maintenaient un standing de haut niveau.

Un club chahuté

À terrain miné, maison ébranlée. Bâtie sur des fondations toujours plus solides depuis la reprise en mains de René Fontès, en 2004, l'institution ASM a traversé cette année une série de crises qu'elle avait su éviter depuis. En décembre, Alexandre Lapandry, ancien flanker modèle, a annoncé avoir déposé quatre plaintes contre le club, lui reprochant la mauvaise prise en charge de sa santé après une commotion cérébrale. Puis le mois suivant, le président, Jean-Michel Guillon, a dû se résoudre à se séparer d'un entraîneur en cours de saison, Jono Gibbes. La dernière fois qu'on avait usé de ce procédé à Clermont, c'était en 2004, avec Alain Hyardet.

Les dossiers sensibles n'ont pas manqué pour le dirigeant auvergnat, puisque l'ASM a été épinglée pour un dépassement de salary cap de 320 000 euros, qui lui a valu un passage en commission de conciliation avec la LNR le mois dernier, et une amende.

Fin juin, l'ASM va aussi solder sa séparation avec Franck Azéma devant les prud'hommes. Mais l'affaire qui aura peut-être le plus touché l'image du club aura été le départ de Damian Penaud pour l'UBB, la saison prochaine : l'ASM tenait à prolonger sa pépite, son seul Bleu actuel, sans y parvenir, pour renvoyer l'image d'un club moins attractif sportivement.

La relance Christophe Urios

L'arrivée de Christophe Urios pour remplacer Jono Gibbes a sonné comme une révolution culturelle pour l'ASM, ne serait-ce que parce que la faconde du nouveau coach tranche avec les habitudes de discrétion de sa nouvelle maison. Le technicien n'a jusque là pas réussi à métamorphoser le jeu inabouti des siens, même si le pack a montré quelques progrès.

Le manager, lui, ne cesse de se démener, à sa façon. En tançant ses troupes publiquement, ses gros, d'abord, à sa prise de fonctions, qu'il n'estimait pas assez durs, ses trois-quarts la semaine dernière, pas assez tranchants. En reconnaissant qu'il veut se séparer de certains joueurs qui ne correspondent pas à son projet, même s'ils avaient prolongé leur contrat quelques mois avant son arrivée.

Urios fait bouger les lignes, dépoussière, recrée du lien en rouvrant la porte aux supporters pour une séance d'entraînement hebdomadaire. Mais ça ne l'empêche pas de se heurter à certaines réalités locales, comme ces dernières semaines où il pestait sur le nombre de blessures musculaires de ses joueurs subies à l'entraînement, avec Penaud pour principale victime.

Il pourra davantage imprimer sa marque lors de la saison prochaine, lui qui aime façonner ses groupes pendant les intersaisons, et ce d'autant plus qu'il aura pu établir son staff. Car presque tous les adjoints qu'il a hérités de l'ère Gibbes vont quitter le club, de Jared Payne (défense) à Johnny Claxton (préparateur physique), en passant par Julien Le Devedec (touche) et Davit Zirakachvili (mêlée, déjà parti). Urios rapatriera en Auvergne le duo qu'il chapeautait à l'UBB, Frédéric Charrier et Julien Laïrle. Reste à dégoter un préparateur physique.

Un effectif 2023-2024 à fignoler

Son plus gros chantier reste le recrutement. Urios a hérité de quelques départs qui ont fait mal au club. En plus de celui de Penaud, il y a eu aussi celui d'Arthur Iturria, autre joueur passé par la formation locale, et qui, devenu capitaine, restait un leader apprécié et plutôt efficace dans le jeu, mais a choisi de poursuivre sa carrière à Bayonne.

À l'arrivée de l'entraîneur, certains renforts étaient déjà actés, aussi, et comme ils concernent le pack, où ils apporteront de la densité, entre le pilier Mohamed Haouas, le talonneur Folau Fainga'a et le percutant troisième-ligne all black Pita-Gus Sowakula, ils ne lui déplairont sans doute pas.

L'ASM est enfin toujours à la recherche d'un trois-quarts qui pourrait combler le vide laissé par Penaud, tant sportivement que symboliquement, mais le dossier tarde à être bouclé, même si le nom de Leicester Fainga'anuku, auteur de sept essais avec les Crusaders en Super Rugby depuis deux mois, revient régulièrement. Le profil du Toulousain Lucas Tauzin, sous contrat jusqu'en 2024, plaît aussi en Auvergne.

Les Jaune et Bleu de demain, ce sont aussi certains jeunes qui se montrent dès cette saison. Le talonneur Benjamin Boudou (20 ans) a gagné en épaisseur jusqu'à sa blessure fin mars. Le troisième-ligne Killian Tixeront (21 ans) prend de l'expérience. Le centre Léon Darricarrere (18 ans) est proche de son premier match en Top 14.

Mais c'est surtout Baptiste Jauneau (19 ans) qui explose. Urios a titularisé l'international des moins de 20 ans à six reprises, sur les dix matches qu'il a dirigés avec Clermont. Ses prises de parole devant les médias se font de plus en plus nombreuses. « Ça doit être le grand leader de l'équipe de l'ASM des années à venir », a prophétisé Urios samedi, après un match à La Rochelle où le demi de mêlée y est allé d'un nouvel essai. « Mais ça ne vous a pas échappé qu'il était en fin de contrat à la fin de la saison prochaine ! », a souri le technicien. Qui va être exaucé : selon nos informations, Jauneau est tombé d'accord avec ses dirigeants. Il est en passe de prolonger jusqu'en 2026 et deviendra le symbole d'un possible renouveau.

Je maintiens que lorsque ton joueur "phare", annoncé comme étant central dans le projet à bâtir, ne prolonge "que" de 2 ans, c'est un peu léger pour ne pas dire inquiétant

On verra bien l'an prochain, mais la méthode Urios exige de réussir vite, car plus le temps passe, et plus elle pèse. Si les résultats ne suivent pas rapidement, ça risque d'être compliqué à Clermont

Switch a écrit:Je maintiens que lorsque ton joueur "phare", annoncé comme étant central dans le projet à bâtir, ne prolonge "que" de 2 ans, c'est un peu léger pour ne pas dire inquiétant

On verra bien l'an prochain, mais la méthode Urios exige de réussir vite, car plus le temps passe, et plus elle pèse. Si les résultats ne suivent pas rapidement, ça risque d'être compliqué à Clermont

A vérifier je suis pas un expert de l effectif clermontois, mais il me semble que certaines règles encadrent la durée des premier contrat pro.

Peut être était il encore en contrat espoir et les 3 ans ( en intégrant cette année en cours ) comprennent surtout une très forte revalorisation .

Mais je spécule j'en sais pas plus.

Tothor a écrit:

Switch a écrit:Je maintiens que lorsque ton joueur "phare", annoncé comme étant central dans le projet à bâtir, ne prolonge "que" de 2 ans, c'est un peu léger pour ne pas dire inquiétant

On verra bien l'an prochain, mais la méthode Urios exige de réussir vite, car plus le temps passe, et plus elle pèse. Si les résultats ne suivent pas rapidement, ça risque d'être compliqué à Clermont

A vérifier je suis pas un expert de l effectif clermontois, mais il me semble que certaines règles encadrent la durée des premier contrat pro.

Peut être était il encore en contrat espoir et les 3 ans ( en intégrant cette année en cours ) comprennent surtout une très forte revalorisation .

Mais je spécule j'en sais pas plus.

Il était en contrat Espoir jusqu'en 2024.

Concernant l'ASM, je vois aussi que leur recrutement est pour l'heure très "non-JIFF" (Fainga'a, Simmons, Gabriel, Sowakula, Kremer voire Faina'anaku). Avec un effectif "type" déjà bien chargé en non-JIFF (Lavanini, Lee, Moala, Simone, Delguy, Newsome...), ils vont devoir faire attention.

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/President-proprietaire-acheteurs-maire-recit-d-une-saga-sans-fin-autour-de-la-vente-du-biarritz-olympique/1393355

Président, propriétaire, acheteurs, maire... Récit d'une saga sans fin autour de la vente du Biarritz Olympique

En froid avec la municipalité depuis plusieurs années, les dirigeants du Biarritz Olympique sont régulièrement annoncés sur le départ. L'hypothèse reste plausible.

Jean-François Paturaud

Il y a eu d'abord Lille. Puis Saint-Sébastien, en Espagne. Ensuite Nice, Grenoble ou encore Agen, cinquième de Pro D2, en début d'année. En l'espace de deux ans, les joueurs du Biarritz Olympique se sont vus déménager un paquet de fois, bringuebalés par les velléités de départ de leurs dirigeants. Ils n'ont, pour l'heure, jamais quitté les installations du stade Aguiléra, épicentre du conflit ouvert entre la municipalité et le président du BOPB, Jean-Baptiste Aldigé, qui ne cache plus, depuis plusieurs mois, son envie de changer d'air, à condition, bien sûr, qu'un repreneur se manifeste concrètement. En début de semaine, des investisseurs limougeauds ont bien transmis une offre qui n'a pas convaincu les patrons du club basque. La fin du feuilleton ? Pas si sûr...

Vaudeville basque

Tout est parti du projet de rénovation d'Aguiléra. Pour l'actuelle gouvernance, la pérennité de son projet n'allait pas sans la rénovation d'un stade vétuste, condition nécessaire au développement économique de l'entité. Elle n'a jamais réussi à s'entendre avec la mairie et la guerre a finalement éclaté en 2021. Petites phrases par voie de presse, coupures d'eau et d'électricité ont accompagné toutes les performances sportives et alimenté l'étonnant vaudeville jusqu'à consommer le divorce entre les différents partis. Aldigé s'est alors mis à étudier diverses pistes de délocalisation de l'entité BO avant de chercher à reprendre une autre formation sans aboutir. Or, tant qu'ils n'auront pas vendu, Aldigé et Louis-Vincent Gave, propriétaire du club, resteront bloqués sur la côte basque.

Pourtant, l'idée de s'en aller demeure. Dernière hypothèse en date : la reprise d'Agen au début de l'année. Une ville et un club que le président de Biarritz connaît très bien. Une ambition avec un peu plus d'épaisseur que les précédentes mais abandonnée il y a trois semaines face aux lenteurs du dossier biarrot. C'est le président du SUA, Jean-François Fonteneau, qui a sifflé la fin de la récré : « La saga biarrote s'arrête là, nous disait-il le 6 avril. Ce n'est pas de la mauvaise volonté des propriétaires de Biarritz qui voulaient vraiment partir et qui veulent encore partir je pense. Mais ils n'ont reçu aucune proposition. » La situation a, en partie, changé.

Un repreneur et d'autres tensions

Romain Détré était un parfait inconnu il y a encore quelques semaines. Originaire de Limoges, l'homme d'affaires de 39 ans est à la tête de nombreuses sociétés, notamment dans le domaine de la bagagerie. Il est aussi propriétaire d'une écurie de course de chevaux. Son nom avait d'abord circulé du côté de Béziers, mais c'est bien à Biarritz qu'il a souhaité se lancer dans le rugby et des contacts ont été noués par avocats interposés l'été dernier. La première rencontre avec Aldigé, mi-décembre en marge du match Béziers-Biarritz est totalement fortuite et tendue. La suivante, à Bordeaux le 17 mars, sera bien plus calme et durera plusieurs heures. Les documents administratifs et les comptes du club y sont longuement épluchés puis envoyés aux acheteurs potentiels quelques jours plus tard.

On pense alors que la vente va s'accélérer mais le lien entre les deux parties se rompt parce que la première offre tarde à venir. Le climat revient à l'orage, avec en point d'orgue, la semaine dernière, l'envoi d'huissiers mandatés par le tribunal de commerce de Bayonne à la suite d'une action de Détré et de son avocat, Arnaud Dubois. Ils débarquent à Aguiléra pour tenter d'y trouver des documents de nature à démontrer des manquements contractuels de la part d'Aldigé et le non-respect de l'accord de confidentialité établi dans les négociations. Pourtant, en coulisses, Détré, soutenu par un groupe d'acquéreurs potentiels dont l'héritier du groupe Legrand (Jean Verspieren), continue de peaufiner sa stratégie. Il a transmis ces derniers jours, via la société de holding familiale RICA, fondée en 2020, une offre de trois millions d'euros. Ou presque... Elle s'élèverait en réalité à un peu moins de 1,3 million puisque l'abandon au club du compte courant de Louis-Vincent Gave (à hauteur d'environ 1,7 million) est prévu.

Aldigé et Gave, un départ mais à leur prix

C'est évidemment autour du montant de l'enveloppe que le débat s'anime. Après avoir dépensé une quinzaine de millions d'euros depuis son arrivée (2018), Louis-Vincent Gave envisage un départ mais pas à n'importe quelles conditions. Or l'offre formulée par les Limougeauds, valable jusqu'à aujourd'hui, serait jugée beaucoup trop basse par le propriétaire. Elle ne susciterait même aucun intérêt de vente en l'état, au point que ni Gave, ni Aldigé n'ont daigné répondre au courrier de Détré. « C'est le prix d'un T2 à porte de Clignancourt », rigole-t-on dans les travées d'Aguiléra.

À combien le PDG de Gavekal lâcherait son club ? Le prix est difficile à évaluer. Le chiffre d'affaires 2023-2024 du BOPB, lui, est sans doute un bon indicateur. Il serait estimé à sept millions d'euros. Contacté par L'Équipe, Jean-Baptiste Aldigé n'a pas souhaité faire de commentaires. Comme les Limougeauds, il n'en a de toute façon pas le droit en raison d'une convention signée le 31 octobre. Face à cette situation de blocage, et alors que les dirigeants continuent à préparer la saison prochaine, comme si de rien n'était mais avec un budget revu à la baisse, les accords de confidentialité pourraient voler en éclats d'ici à la semaine prochaine.

La municipalité souhaite de nouveaux investisseurs

La maire de Biarritz, Maider Arosteguy (Les Républicains), s'est voulue discrète dans les médias depuis le début de l'année. Elle suit cependant avec attention l'avenir du club de la ville. Début janvier, après avoir entendu parler de lui via l'entourage du BO, Arosteguy avait ainsi proposé à Détré de le rencontrer pour mieux comprendre son projet et ses réelles intentions. « Je suis en dehors du process, nous a-t-elle répondu hier par téléphone. À une époque, j'étais en communication avec le maire d'Agen, Jean Dionis du Séjour (Modem). Nous étions en phase pour que son club puisse avoir un nouvel actionnaire et que l'actionnaire du BOPB change. Mais je n'ai aucun levier sur le process. »

L'an passé, elle avait annoncé l'existence de trois repreneurs différents, dont un pool américano-irlandais qui n'est jamais arrivé. Elle a rencontré les nouveaux investisseurs potentiels. « Cela ne s'est fait que tardivement, je ne les connaissais pas », dit-elle. Dans les bureaux d'Aguiléra, on pense que c'est bien Maider Arosteguy qui est allée chercher les Limougeauds via son compagnon Georges-Philip Chartier, directeur de cabinet du président de la Communauté urbaine Limoges Métropole. « Cette idée sous-jacente de la petite bonne femme incapable de faire les choses par elle-même et qui a besoin de la main de l'homme pour travailler est insupportable », enrage l'édile. De ses échanges avec Détré, elle dit avoir été rassurée sur sa puissance financière et son envie d'investir. Et d'ajouter : « C'est un vrai chef d'entreprise qui s'est fait tout seul par son travail et je suis à sa disposition s'il le souhaite. Nous avons une relation courtoise et bienveillante. »

On ne peut pas en dire autant de sa relation avec Jean-Baptiste Aldigé. Sur France Bleu Pays basque, le 13 décembre dernier, elle avait lâché qu'il n'y avait « pas d'avenir pour le BO avec les propriétaires actuels ». Hier, sa réponse était identique. Et toujours aussi ferme. « Le BO a un avenir, mais il faut vite que ce soit avec d'autres personnes... »

https://www.rugbyrama.fr/2023/04/26/transferts-top-14-toulon-leicester-faingaanuku-en-approche-11159061.php

Ah merde il ne vient pas chez nous alors

sudiste a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/04/26/transferts-top-14-toulon-leicester-faingaanuku-en-approche-11159061.php

Ah merde il ne vient pas chez nous alors

Tu n'es pas dans le bon topic Sudiste, regarde dans "transferts autres clubs

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/biarritz-olympique/biarritz-olympique-gave-et-aldige-n-ont-pas-repondu-a-l-offre-de-detre-14944849.php

Biarritz Olympique : Gave et Aldigé n’ont pas répondu à l’offre de Détré

Par Laurent Zègre - l.zegre@sudouest.fr

L’homme d’affaires de Limoges avait formulé une offre de 3 millions d’euros, valable jusqu’à ce mercredi 26 avril, pour le rachat du club. Selon les informations de « Sud Ouest », les propriétaires n’ont pas donné suite

On se gardera bien de dire que l’épisode est clos, surtout au Biarritz Olympique. Néanmoins, les négociations, si l’on peut parler de négociations, sont au point mort. En début de semaine, « Sud Ouest » révélait que Romain Détré avait formulé une offre de 3 millions d’euros pour la reprise du club basque, avec plusieurs conditions. Elle était valable jusqu’à ce mercredi 26 avril. Selon nos informations, ce jeudi 27 avril, aucune réponse n’a été formulée à l’homme d’affaires de Limoges, ni par le propriétaire Louis-Vincent Gave, ni par le président du directoire en charge du dossier, Jean-Baptiste Aldigé.

Les deux dirigeants à la tête du club basque n’ont même pas accusé réception de la proposition, et encore moins fait de contre-offre. Est-ce à dire que la somme soumise était trop loin de leurs attentes, évaluées entre 6 et 9 millions d’euros ? Pris par la convention de confidentialité et d’exclusivité qu’ils ont signée, Jean-Baptiste Aldigé et Romain Détré se refusent à tout commentaire.

Cinglants échanges

Selon plusieurs de nos sources, Romain Détré a envoyé un courriel à Louis-Vincent et Charles Gave en début de semaine. Dans la missive, le potentiel acquéreur de 39 ans s’étonne de ne pas être pris au sérieux par Jean-Baptiste Aldigé. Le contact est établi entre eux depuis la dernière rentrée. Leur deuxième rencontre, la plus constructive, a eu lieu à Bordeaux le 17 mars.

   Ce mail se termine par la menace d’une action juridique envers le président du directoire, avec le chiffre de 500 000 euros avancé

Détré évoque également « l’irrespect » de l’Agenais, et sa volonté de nuire au processus de négociation. Ce mail, qui contient la fameuse convention en pièce jointe, se termine par la menace d’une action juridique envers le président du directoire, avec le chiffre de 500 000 euros avancé en cas de manquement constaté aux clauses qui lient les deux parties. Il correspond à 10 % de la somme mise sur un compte séquestre (5 millions) pour entrer en pourparlers.

Romain Détré termine par sa volonté de rencontrer directement ses interlocuteurs, qu’il suppose déconnectés des agissements de Jean-Baptiste Aldigé, afin de trouver une sortie honorable au dossier.

Quid des huissiers ?

La réponse de Charles Gave n’a pas tardé. Le fondateur de l’Institut des Libertés, 79 ans, demande à Romain Détré de cesser de le contacter. Il lui avait déjà écrit une lettre manuscrite, en mars dernier, pour lui signifier que ce dossier était géré par son fils, lequel avait donné mandat à Jean-Baptiste Aldigé pour finaliser la vente du BO. Charles Gave indique qu’il ne fait pas partie de Gavekal Capital Limited, la société de Louis-Vincent Gave, et s’étonne que Romain Détré lui dévoile les termes de la convention de confidentialité alors qu’il n’est qu’un tiers dans cette affaire. Le début d’une stratégie de contre-attaque ?

   Charles Gave s’étonne que Romain Détré lui dévoile les termes de la convention de confidentialité, alors qu’il n’est qu’un tiers dans cette affaire

Jeudi 19 avril dernier, Romain Détré avait envoyé deux huissiers à Aguilera, afin de vérifier les moyens de communication de Jean-Baptiste Aldigé, qu’il soupçonne d’avoir brisé une des quatre clauses du « deal » (confidentialité, exclusivité, transmission de documents, cession de joueurs). Une semaine plus tard, les conclusions des huissiers n’ont pas été rendues publiques. Romain Détré a-t-il des arguments pour faire pression sur le camp d’en face ? On devrait le savoir très prochainement. La confidentialité qui lie les deux parties s’achève ce dimanche 30 avril.

Toujours dans les embrouilles, tout sauf une surprise...

Scalp a écrit:Toujours dans les embrouilles, tout sauf une surprise...

Dire que les Gave rêvaient d' une "Aréna" à Aguiléra, le tout gérer par GL Event.

Marti a bien fait de les virer de l' UBB.

quel panier de crabe
rien ne change au bo et cela depuis des lustres

https://www.midi-olympique.fr/2023/04/30/top-14-info-midi-olympique-clermont-prepare-sa-revolution-jean-michel-guillon-pourrait-bientot-quitter-la-presidence-de-lasm-11168041.php

Top 14 - INFO MIDI OLYMPIQUE. Clermont prépare sa révolution, Jean-Michel Guillon pourrait bientôt quitter la présidence de l'ASM

Léo Faure (avec Clément Labonne)

Information Midi Olympique - En difficultés sportive et financière depuis plusieurs saisons, Clermont devrait connaître d’importants changements dans les semaines à venir.

Dire que la saison de l’ASMCA fut un échec tient de l’évidence. Dans lignée des années précédentes, Clermont (actuellement onzième du Top 14) vit un véritable déclassement qu’il compte bien enrayer.

Côté sportif, l’arrivée de Christophe Urios en janvier doit incarner ce nouveau souffle. Après avoir posé des premiers jalons depuis quatre mois, l’entraîneur héraultais va véritablement poser sa patte sur l’effectif professionnel à compter de cet été. Il aura eu son mot à dire sur le recrutement, pourra bénéficier d’une préparation complète pour imposer un nouvel état d’esprit et sera rejoint par deux adjoints de confiance: Frédéric Charrier (trois-quarts) et Julien Laïrle (avants). Une grande partie du staff actuel quittera quant à lui l’Auvergne.

Mais les grandes manœuvres ne devraient pas s’arrêter là. Selon nos informations un conseil d’administration de la plus haute importance devrait se tenir ce mardi, dans la cité auvergnate. Il s’annonce décisif pour l’avenir du club. "Il y a des choses importantes sur la table, c’est vrai. L’idée est de relancer ce club, de lui donner une organisation et des moyens en phase avec les défis du rugby professionnel d’aujourd’hui" confie un membre du directoire. Manière de dire que ce n’était peut-être plus le cas, ces dernières années, après une décennie glorieuse. Une situation structurelle et financière en déclin, dont Jean-Michel Guillon a hérité du mandat précédent et empirée par l’épisode Covid. Sans toutefois parvenir à redresser la barre. "Le succès fait que, parfois, vous vous endormez un peu. Ce fut peut-être le cas de l’ASM. La volonté est désormais de réformer ce club sur le fond. Tout va bouger, c’est une refonte globale du projet pour remettre l’ASM au niveau et, si possible, lui redonner un peu d’avance sur la concurrence."

Un nouveau président nommé Jean-Claude Pats?

Les sujets de la refonte de la formation, du recrutement et de la gouvernance seront sur la table. Sur ce dernier point, il semble acté que le directeur administratif et financier Jean-Luc Loignon, au club depuis 15 ans et qui était notamment en première ligne sur le dossier du litige avec Franck Azéma, ne devrait plus être là à la reprise de la prochaine saison. Suffisant pour redonner de l’allant à Jean-Michel Guillon, cible de nombreuses critiques depuis sa prise en mains du club à l’été 2020 ? Il est fort possible que non. Très marqué moralement et personnellement par l’épisode de janvier, avec la succession des défaites qui avait conduit au licenciement de Jono Gibbes, Guillon avait alors émis le souhait, en interne, de prendre du recul. Un départ qui pourrait se confirmer en ce début de semaine. Guillon terminerait alors l’exercice en cours, avant de passer la main.

Clermont, dont les finances inquiètent, emprunterait alors dès juillet un virage stratégique de son histoire sous la houlette d’un nouveau président. Celui-ci pourrait se nommer Jean-Claude Pats (60 ans), actuel Directeur du personnel de l’entreprise Michelin et qui siège déjà au conseil d’administration de l’ASMCA (depuis février 2022). Son nom revient avec insistance ces dernières semaines, dans les coulisses du club auvergnat. Pats comptait notamment parmi les partisans du changement, en janvier, et poussait pour la venue de Christophe Urios en Auvergne.

Espérons que côté UBB, une révolution se fasse aussi, car mis à part la période été 2019 - fin 2021, on reste sur notre faim et je nous trouve bien silencieux. Espérons que ce ne soit qu'une illusion et qu'en coulisses ça s'active dur.

Rugby: Jean-Baptiste Aldigé, président du BO, entendu par la police

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/pro-d2/rugby-jean-baptiste-aldige-president-du-bo-entendu-par-la-police_AN-202305020550.html

Top 14 - Lyon : Berdeu touché au genou, Géraci à la cheville.. Hécatombe de blessés après la victoire sur Perpignan

https://www.rugbyrama.fr/2023/05/07/top-14-lyon-berdeu-touche-au-genou-geraci-a-la-cheville-hecatombe-de-blesses-apres-la-victoire-sur-perpignan-11180618.php