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Scalp- Team modo
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-equipe-de-france-se-prepare-a-la-vie-sans-antoine-dupont-pour-le-tournoi-des-six-nations/1445904
L'équipe de France se prépare à la vie sans Antoine Dupont pour le Tournoi des Six Nations
Antoine Dupont, le demi de mêlée et capitaine de l'équipe de France, qui n'avait manqué aucun match du Tournoi depuis les débuts de sélectionneur de Fabien Galthié, n'en jouera aucun cette année. Comment composer avec cette absence pour les Bleus ?
Frédéric Bernès
« Pour avancer, on aura besoin qu'on arrête de nous parler de la Coupe du monde », suggérait Thomas Ramos dans la semaine. L'arrière du quinze de France, à qui donner tort serait difficile, pourra bientôt revenir dans l'auditorium de Marcoussis tester une variante : « On aurait aussi besoin qu'on arrête de nous bassiner avec l'absence de "Toto" Dupont. »
Remarquez, sur ce sujet, les Bleus se sont entraînés à très haute intensité, et nous tous avec, pendant la Coupe du monde, entre le 21 septembre, jour de la fracture au visage d'Antoine Dupont contre la Namibie, et le 15 octobre, date du quart de finale fatal contre l'Afrique du Sud (28-29). Trois mois et demi plus tard, la question se repose, dans un contexte qui n'a plus rien à voir. Cette fois, les standards des meilleurs spécialistes en chirurgie maxillo-faciale ne surchaufferont pas. Promis-juré.
Engagé dans son projet olympique, Dupont (27 ans, 52 sélections) délaissera le quinze de France toute cette saison. Dimanche, pendant que les conscrits du Tournoi faisaient table commune à Marcoussis, il battait le Racing 92 à l'Arena avec le Stade Toulousain (20-27). Et samedi, vingt-quatre heures après France-Irlande, dans une coïncidence temporelle forcément troublante, il sera sur le terrain pour affronter Bayonne en Top 14. Ensuite, il rejoindra sa nouvelle famille et s'envolera disputer les premiers tournois de sa vie de « septiste », à Vancouver (Canada, 23-25 février) puis Los Angeles (USA, 2-3 mars).
La Dupont-dépendance, tout sauf un mirage
Pour la première fois, Fabien Galthié doit donc aborder une échéance majeure à la tête des Bleus sans son demi de mêlée. C'est un bouleversement pour la simple et bonne raison que Dupont n'a pas loupé un seul rendez-vous du Tournoi sous le magistère Galthié (20 matches depuis 2020, titulaire à chaque fois). La Dupont-dépendance n'était pas un mirage ou une exagération hier, elle ne peut donc pas être devenue une futilité de journalistes aujourd'hui. D'autant moins que les Bleus restent sur un quart de finale contre l'Afrique du Sud où Dupont a joué 80 minutes et Maxime Lucu 0.
6
Appelé pour la première fois par Fabien Galthié en 2021, Maxime Lucu a été titularisé six fois pour six victoires. Il a battu le Japon (3 fois), les Fidji (préparation à la Coupe du monde), l'Uruguay et l'Italie (Coupe du monde). Vendredi, contre l'Irlande à Marseille, le Bordelais honorera sa première titularisation dans le Tournoi.
Certes, la Dupont-dépendance en a fait oublier d'autres. Qui a, par exemple, noté que Gaël Fickou avait lui aussi démarré les vingt derniers matches du Tournoi ? Sur 1 600 minutes possibles, il n'en a manqué que 21, un jour de dolce vita à Rome (victoire des Bleus 50-10 en 2021). Dupont, lui, a soufflé en tout 110 minutes. Crédité également d'un 20/20, Julien Marchand glissera sur le banc vendredi soir, en grande partie en raison du niveau de Peato Mauvaka.
Parler de l'absence de Dupont, ce n'est pas minimiser celles de Romain Ntamack, Anthony Jelonch ou Thibaud Flament, ce n'est pas non plus douter de Lucu (Bordeaux-Bègles) ou de Nolann Le Garrec (Racing 92). C'est juste que par l'extrême étendue de ses zones d'influence, par sa faculté à trouer une défense en deux appuis ou à rattraper un coup par une prise de lutteur (l'Irlandais Mack Hansen s'en souvient), par son jeu au pied et tout le stress qu'il infuse à l'adversaire, Dupont a été le joueur le plus décisif du premier mandat de Galthié, et même le capitaine du seul titre décroché (Grand Chelem 2022).
« Antoine a choisi une parenthèse, je l'en félicite ; c'est bien de respirer, de sortir du cadre »
Fabien Galthié, sélectionneur des Bleus
« Antoine a été excellent dimanche contre le Racing, nous le saluons, a dit le sélectionneur mercredi. Il a choisi une parenthèse, je l'en félicite ; c'est bien de respirer, de sortir du cadre. Ça laisse de la place à d'autres joueurs. Max (Lucu) est avec nous quasiment depuis le début (18 sélections depuis novembre 2021). Il a toujours été bon, voire très bon. C'est à lui de prendre la charge. Nolann (Le Garrec) a toujours été très, très bon dans les entraînements, toujours convaincant. Antoine a fait un choix de carrière. On va jouer sans lui, mais avec toutes les qualités de ce groupe. Nous sommes un groupe fort. Ça va être intéressant de voir ce visage de l'équipe de France. »
Précédemment, Galthié avait parlé de cette absence comme d'une « non-surprise, puisque anticipée depuis bientôt deux ans. » Mais il a personnellement essayé, en fin d'année, de convaincre Dupont de prendre part au Tournoi. « Je me demande si ce n'est pas la victoire d'un individu sur l'institution quinze de France, soulève Pierre Berbizier, sélectionneur entre 1991 et 1995. Et là, je dis attention. Je trouve que ça aurait envoyé un signe fort que Dupont lance le Tournoi, surtout contre l'Irlande. Comme je vois qu'il est disponible, j'aurais aimé que le capitaine de la dernière Coupe du monde soit présent avec son groupe au lendemain de l'échec, quitte à ne faire que ce premier match. » Il y a l'absence du joueur et il y a le moment de cette absence, qui n'est pas n'importe quel moment.
Un quatrième joueur a démarré tous les matches du Tournoi de l'ère Galthié. C'est Grégory Alldritt, promu capitaine. La vie sans Dupont, c'est aussi ça : nommer à la fonction de capitaine moins un leader de jeu qu'un meneur d'hommes. « On a choisi une nouvelle personnalité pour le capitanat », indique Galthié.
Concernant le désistement de Dupont, Ramos a reconnu que ça faisait « bizarre. C'était notre capitaine avant le Tournoi et c'est un des meilleurs joueurs du monde. Forcément, il manque au groupe, que ce soit sur le terrain ou en dehors. Mais on a quand même deux demis de mêlée de haut niveau qui font un bon début de saison dans leurs clubs et qui sont prêts à relever le défi. Peut-être qu'Antoine manque à certains mais moi, comme je le vois toutes les semaines à Toulouse, il ne me manque pas (rire). » Comme dirait Galthié, le Tournoi, ce n'est pas pour les mauviettes, ni pour les nostalgiques.
L'équipe de France se prépare à la vie sans Antoine Dupont pour le Tournoi des Six Nations
Antoine Dupont, le demi de mêlée et capitaine de l'équipe de France, qui n'avait manqué aucun match du Tournoi depuis les débuts de sélectionneur de Fabien Galthié, n'en jouera aucun cette année. Comment composer avec cette absence pour les Bleus ?
Frédéric Bernès
« Pour avancer, on aura besoin qu'on arrête de nous parler de la Coupe du monde », suggérait Thomas Ramos dans la semaine. L'arrière du quinze de France, à qui donner tort serait difficile, pourra bientôt revenir dans l'auditorium de Marcoussis tester une variante : « On aurait aussi besoin qu'on arrête de nous bassiner avec l'absence de "Toto" Dupont. »
Remarquez, sur ce sujet, les Bleus se sont entraînés à très haute intensité, et nous tous avec, pendant la Coupe du monde, entre le 21 septembre, jour de la fracture au visage d'Antoine Dupont contre la Namibie, et le 15 octobre, date du quart de finale fatal contre l'Afrique du Sud (28-29). Trois mois et demi plus tard, la question se repose, dans un contexte qui n'a plus rien à voir. Cette fois, les standards des meilleurs spécialistes en chirurgie maxillo-faciale ne surchaufferont pas. Promis-juré.
Engagé dans son projet olympique, Dupont (27 ans, 52 sélections) délaissera le quinze de France toute cette saison. Dimanche, pendant que les conscrits du Tournoi faisaient table commune à Marcoussis, il battait le Racing 92 à l'Arena avec le Stade Toulousain (20-27). Et samedi, vingt-quatre heures après France-Irlande, dans une coïncidence temporelle forcément troublante, il sera sur le terrain pour affronter Bayonne en Top 14. Ensuite, il rejoindra sa nouvelle famille et s'envolera disputer les premiers tournois de sa vie de « septiste », à Vancouver (Canada, 23-25 février) puis Los Angeles (USA, 2-3 mars).
La Dupont-dépendance, tout sauf un mirage
Pour la première fois, Fabien Galthié doit donc aborder une échéance majeure à la tête des Bleus sans son demi de mêlée. C'est un bouleversement pour la simple et bonne raison que Dupont n'a pas loupé un seul rendez-vous du Tournoi sous le magistère Galthié (20 matches depuis 2020, titulaire à chaque fois). La Dupont-dépendance n'était pas un mirage ou une exagération hier, elle ne peut donc pas être devenue une futilité de journalistes aujourd'hui. D'autant moins que les Bleus restent sur un quart de finale contre l'Afrique du Sud où Dupont a joué 80 minutes et Maxime Lucu 0.
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Appelé pour la première fois par Fabien Galthié en 2021, Maxime Lucu a été titularisé six fois pour six victoires. Il a battu le Japon (3 fois), les Fidji (préparation à la Coupe du monde), l'Uruguay et l'Italie (Coupe du monde). Vendredi, contre l'Irlande à Marseille, le Bordelais honorera sa première titularisation dans le Tournoi.
Certes, la Dupont-dépendance en a fait oublier d'autres. Qui a, par exemple, noté que Gaël Fickou avait lui aussi démarré les vingt derniers matches du Tournoi ? Sur 1 600 minutes possibles, il n'en a manqué que 21, un jour de dolce vita à Rome (victoire des Bleus 50-10 en 2021). Dupont, lui, a soufflé en tout 110 minutes. Crédité également d'un 20/20, Julien Marchand glissera sur le banc vendredi soir, en grande partie en raison du niveau de Peato Mauvaka.
Parler de l'absence de Dupont, ce n'est pas minimiser celles de Romain Ntamack, Anthony Jelonch ou Thibaud Flament, ce n'est pas non plus douter de Lucu (Bordeaux-Bègles) ou de Nolann Le Garrec (Racing 92). C'est juste que par l'extrême étendue de ses zones d'influence, par sa faculté à trouer une défense en deux appuis ou à rattraper un coup par une prise de lutteur (l'Irlandais Mack Hansen s'en souvient), par son jeu au pied et tout le stress qu'il infuse à l'adversaire, Dupont a été le joueur le plus décisif du premier mandat de Galthié, et même le capitaine du seul titre décroché (Grand Chelem 2022).
« Antoine a choisi une parenthèse, je l'en félicite ; c'est bien de respirer, de sortir du cadre »
Fabien Galthié, sélectionneur des Bleus
« Antoine a été excellent dimanche contre le Racing, nous le saluons, a dit le sélectionneur mercredi. Il a choisi une parenthèse, je l'en félicite ; c'est bien de respirer, de sortir du cadre. Ça laisse de la place à d'autres joueurs. Max (Lucu) est avec nous quasiment depuis le début (18 sélections depuis novembre 2021). Il a toujours été bon, voire très bon. C'est à lui de prendre la charge. Nolann (Le Garrec) a toujours été très, très bon dans les entraînements, toujours convaincant. Antoine a fait un choix de carrière. On va jouer sans lui, mais avec toutes les qualités de ce groupe. Nous sommes un groupe fort. Ça va être intéressant de voir ce visage de l'équipe de France. »
Précédemment, Galthié avait parlé de cette absence comme d'une « non-surprise, puisque anticipée depuis bientôt deux ans. » Mais il a personnellement essayé, en fin d'année, de convaincre Dupont de prendre part au Tournoi. « Je me demande si ce n'est pas la victoire d'un individu sur l'institution quinze de France, soulève Pierre Berbizier, sélectionneur entre 1991 et 1995. Et là, je dis attention. Je trouve que ça aurait envoyé un signe fort que Dupont lance le Tournoi, surtout contre l'Irlande. Comme je vois qu'il est disponible, j'aurais aimé que le capitaine de la dernière Coupe du monde soit présent avec son groupe au lendemain de l'échec, quitte à ne faire que ce premier match. » Il y a l'absence du joueur et il y a le moment de cette absence, qui n'est pas n'importe quel moment.
Un quatrième joueur a démarré tous les matches du Tournoi de l'ère Galthié. C'est Grégory Alldritt, promu capitaine. La vie sans Dupont, c'est aussi ça : nommer à la fonction de capitaine moins un leader de jeu qu'un meneur d'hommes. « On a choisi une nouvelle personnalité pour le capitanat », indique Galthié.
Concernant le désistement de Dupont, Ramos a reconnu que ça faisait « bizarre. C'était notre capitaine avant le Tournoi et c'est un des meilleurs joueurs du monde. Forcément, il manque au groupe, que ce soit sur le terrain ou en dehors. Mais on a quand même deux demis de mêlée de haut niveau qui font un bon début de saison dans leurs clubs et qui sont prêts à relever le défi. Peut-être qu'Antoine manque à certains mais moi, comme je le vois toutes les semaines à Toulouse, il ne me manque pas (rire). » Comme dirait Galthié, le Tournoi, ce n'est pas pour les mauviettes, ni pour les nostalgiques.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Avant-le-tournoi-les-bleus-entament-une-nouvelle-ere-sans-revolution/1445926
Avant le Tournoi des Six Nations, les Bleus entament une nouvelle ère sans révolution
Malgré l'échec à la Coupe du monde, Fabien Galthié prône le changement dans la continuité : de nouveaux adjoints, des ajustements dans la préparation et dans le jeu et toujours la même volonté de performer.
Maxime Raulin (avec R.Be. et J.-F.P.)
Dans l'intimité du Centre national du rugby, à Marcoussis, Fabien Galthié et son staff préparent l'équipe de France à l'ouverture du Tournoi des Six Nations, vendredi face à l'Irlande à Marseille (21 heures). Ce sera le point de départ du second mandat du sélectionneur, avec en ligne de mire la Coupe du monde 2027 en Australie. Qu'est-ce qui a changé depuis que nous avons quitté les Bleus sur l'élimination en quarts de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud (28-29), le 15 octobre 2023 ?
Le quinze de France n'est toujours pas champion du monde... L'inverse aurait pour le coup changé beaucoup de choses. Pour se relever, Galthié s'est d'abord entouré d'un nouveau staff. Exit Karim Ghezal, Laurent Labit et Thibault Giroud. Si ce dernier a été remplacé au poste de directeur de la performance par un de ses adjoints, Nicolas Jeanjean, déjà présent auprès des Bleus depuis 2018, les deux autres ont été remplacés respectivement par Laurent Sempéré et Patrick Arlettaz.
« Ce sont simplement des petits détails qui viennent s'ajouter à ce qu'on faisait déjà
Thomas Ramos
« Nous avons quand même gardé une trame essentielle qui fait que l'équipe performe, souligne Galthié. Nous avons conservé ce qui fait la force de cette équipe, n'oublions pas. Maintenant, il faut toujours essayer d'évoluer. Ce qui a changé sur la méthode, des petits détails sur le jeu, la défense, l'attaque mais aussi sur le contenu des journées. Nicolas Jeanjean a apporté une vision plus pointue pour essayer de faire en sorte que l'on soit mieux préparé collectivement et individuellement. Ce sont des petites évolutions qui sont nécessaires pour continuer à progresser et à rechercher la performance. »
« Les nouveaux essaient d'amener leur expérience et leur vision du jeu, expose l'arrière Thomas Ramos. Il y a une nouvelle façon de fonctionner sur certains points. Sur d'autres, non. Sur la préparation aussi, nous avons un nouveau fonctionnement, mais sans trop de changements sur la durée des séances. Ce sont simplement des petits détails qui viennent s'ajouter à ce qu'on faisait déjà. »
La grosse voix d'Arlettaz a remplacé celle de Giroud
« On a peut-être plus insisté sur l'analyse de l'Irlande au regard des nombreuses expériences face à cet adversaire », précise le centre Jonathan Danty. « Ça fait du bien d'avoir un peu de changement et de faire évoluer certaines choses », assure le deuxième-ligne Romain Taofifenua.
Avant, la grosse voix de Giroud résonnait sur les terrains. Désormais, c'est celle d'Arlettaz, entraîneur de l'attaque, qu'on entend. À l'ancienne, sifflet à la bouche. Mais si l'ancien manager de Perpignan secoue parfois ses joueurs sans y mettre les formes, il sait aussi les féliciter quand les exercices se déroulent sans accroc. Idem lors des séances vidéo, souvent très animées.
Finalement, pas de révolution dans la méthode, qui a amené « 80 % de victoires », comme le rabâche le sélectionneur à chaque prise de parole. Le plus grand changement auquel va faire face l'équipe de France réside sans doute dans l'absence d'Antoine Dupont. Elle a déjà engendré la nomination d'un nouveau capitaine : Grégory Alldritt, préféré à l'habituel lieutenant Charles Ollivon. Mais là encore, pas de révolution. « Pour le moment, c'est la même chose, estime Taofifenua. Greg était déjà un leader de notre groupe, donc ça n'engendre aucun changement. »
Seul le groupe leader voit apparaître de nouvelles têtes, sans que cela n'engendre de grands bouleversements non plus. Exit Dupont (France 7) et Anthony Jelonch (blessé). Les deux Toulousains ont été remplacés par le demi de mêlée Maxime Lucu et l'arrière Ramos pour accompagner les habituels Alldritt, Ollivon, Julien Marchand et Gaël Fickou. « C'est nouveau pour moi, reconnaît Ramos. Mais à part quelques réunions en plus, ça ne change pas grand-chose. Quand j'avais un truc à dire, je le faisais déjà savoir. » Du changement dans la continuité, en somme.
En revanche, un dernier détail pourrait avoir son importance. En se préparant uniquement au CNR, finances obligent, les Bleus auront sans doute moins de tentations extérieures pour s'éparpiller. Une aubaine pour Galthié, qui n'aura pas à jouer au Père Fouettard.
Avant le Tournoi des Six Nations, les Bleus entament une nouvelle ère sans révolution
Malgré l'échec à la Coupe du monde, Fabien Galthié prône le changement dans la continuité : de nouveaux adjoints, des ajustements dans la préparation et dans le jeu et toujours la même volonté de performer.
Maxime Raulin (avec R.Be. et J.-F.P.)
Dans l'intimité du Centre national du rugby, à Marcoussis, Fabien Galthié et son staff préparent l'équipe de France à l'ouverture du Tournoi des Six Nations, vendredi face à l'Irlande à Marseille (21 heures). Ce sera le point de départ du second mandat du sélectionneur, avec en ligne de mire la Coupe du monde 2027 en Australie. Qu'est-ce qui a changé depuis que nous avons quitté les Bleus sur l'élimination en quarts de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud (28-29), le 15 octobre 2023 ?
Le quinze de France n'est toujours pas champion du monde... L'inverse aurait pour le coup changé beaucoup de choses. Pour se relever, Galthié s'est d'abord entouré d'un nouveau staff. Exit Karim Ghezal, Laurent Labit et Thibault Giroud. Si ce dernier a été remplacé au poste de directeur de la performance par un de ses adjoints, Nicolas Jeanjean, déjà présent auprès des Bleus depuis 2018, les deux autres ont été remplacés respectivement par Laurent Sempéré et Patrick Arlettaz.
« Ce sont simplement des petits détails qui viennent s'ajouter à ce qu'on faisait déjà
Thomas Ramos
« Nous avons quand même gardé une trame essentielle qui fait que l'équipe performe, souligne Galthié. Nous avons conservé ce qui fait la force de cette équipe, n'oublions pas. Maintenant, il faut toujours essayer d'évoluer. Ce qui a changé sur la méthode, des petits détails sur le jeu, la défense, l'attaque mais aussi sur le contenu des journées. Nicolas Jeanjean a apporté une vision plus pointue pour essayer de faire en sorte que l'on soit mieux préparé collectivement et individuellement. Ce sont des petites évolutions qui sont nécessaires pour continuer à progresser et à rechercher la performance. »
« Les nouveaux essaient d'amener leur expérience et leur vision du jeu, expose l'arrière Thomas Ramos. Il y a une nouvelle façon de fonctionner sur certains points. Sur d'autres, non. Sur la préparation aussi, nous avons un nouveau fonctionnement, mais sans trop de changements sur la durée des séances. Ce sont simplement des petits détails qui viennent s'ajouter à ce qu'on faisait déjà. »
La grosse voix d'Arlettaz a remplacé celle de Giroud
« On a peut-être plus insisté sur l'analyse de l'Irlande au regard des nombreuses expériences face à cet adversaire », précise le centre Jonathan Danty. « Ça fait du bien d'avoir un peu de changement et de faire évoluer certaines choses », assure le deuxième-ligne Romain Taofifenua.
Avant, la grosse voix de Giroud résonnait sur les terrains. Désormais, c'est celle d'Arlettaz, entraîneur de l'attaque, qu'on entend. À l'ancienne, sifflet à la bouche. Mais si l'ancien manager de Perpignan secoue parfois ses joueurs sans y mettre les formes, il sait aussi les féliciter quand les exercices se déroulent sans accroc. Idem lors des séances vidéo, souvent très animées.
Finalement, pas de révolution dans la méthode, qui a amené « 80 % de victoires », comme le rabâche le sélectionneur à chaque prise de parole. Le plus grand changement auquel va faire face l'équipe de France réside sans doute dans l'absence d'Antoine Dupont. Elle a déjà engendré la nomination d'un nouveau capitaine : Grégory Alldritt, préféré à l'habituel lieutenant Charles Ollivon. Mais là encore, pas de révolution. « Pour le moment, c'est la même chose, estime Taofifenua. Greg était déjà un leader de notre groupe, donc ça n'engendre aucun changement. »
Seul le groupe leader voit apparaître de nouvelles têtes, sans que cela n'engendre de grands bouleversements non plus. Exit Dupont (France 7) et Anthony Jelonch (blessé). Les deux Toulousains ont été remplacés par le demi de mêlée Maxime Lucu et l'arrière Ramos pour accompagner les habituels Alldritt, Ollivon, Julien Marchand et Gaël Fickou. « C'est nouveau pour moi, reconnaît Ramos. Mais à part quelques réunions en plus, ça ne change pas grand-chose. Quand j'avais un truc à dire, je le faisais déjà savoir. » Du changement dans la continuité, en somme.
En revanche, un dernier détail pourrait avoir son importance. En se préparant uniquement au CNR, finances obligent, les Bleus auront sans doute moins de tentations extérieures pour s'éparpiller. Une aubaine pour Galthié, qui n'aura pas à jouer au Père Fouettard.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/france-irlande-la-ligne-d-attaque-sous-influence-bordelaise-18376448.php
France – Irlande : La ligne d’attaque sous influence bordelaise
Par Denys Kappès-Grangé
Quatre joueurs de l’UBB débuteront dans la ligne de trois-quarts des Bleus pour affronter l’Irlande. La conséquence d’un début de saison particulièrement inspiré en club
Le CNR de Marcoussis commencerait-il à ressembler au stade Moga ? La question fait sourire Louis Bielle-Biarrey : « Non, non ! On a tous bien conscience qu’on est en équipe de France. » Bègles est effectivement bien loin de l’Île-de-France. Mais le rappel n’est pas forcément superflu. Quatre des sept joueurs titulaires dans la ligne de trois-quarts des Bleus, pour affronter l’Irlande ce vendredi à Marseille (21 heures), seront estampillés UBB.
Dans le sillage de la charnière Maxime Lucu - Matthieu Jalibert, qui a le champ libre en l’absence de son alter ego toulousaine (1), Damian Penaud et Yoram Moefana occuperont les ailes face aux Irlandais. Et un cinquième Bordelais prendra place sur le banc en la personne de Louis Bielle-Biarrey.
Les plus tatillons relèveront que Nicolas Depoortere, le jeune champion du monde des moins de 20 ans, n’a pas encore réussi à briser la paire de centres Fickou - Danty. Cette présence en masse d’éléments girondins n’en est pas moins l’un des faits marquants de cette composition d’équipe.
Inspirations
Oh bien sûr, elle ne constitue cependant pas un record. Par le passé, notamment sous les mandats de Bernard Laporte, jusqu’à cinq Toulousains ont déjà réussi à préempter les places dans la ligne de trois-quarts tricolore. L’UBB elle-même a connu des périodes aussi fastes. Lors du premier test de la tournée en Argentine en 2016, sous le mandat de Novès, elle avait placé jusqu’à cinq titulaires - avants et arrières compris. Les Bordelais étaient même six sur la feuille de match.
Sans remonter aussi loin dans le temps, quatre joueurs de l’UBB étaient titulaires dans la ligne de trois-quarts face à l’Afrique du Sud en quart de finale de la Coupe du monde (Lucu, Jalibert, Penaud, Bielle-Biarrey). Et tant pis si Damian Penaud, officiellement sous contrat en Gironde depuis le mois de juillet 2023, n’avait jamais enfilé le maillot bordelais à ce moment-là.
Des précédents existent. Pour autant, le phénomène n’est pas à minimiser. Cette influence fait écho à l’inspiration dont fait preuve la ligne d’attaque de l’UBB depuis le mois de novembre. Un degré de compétitivité incarnée à merveille par l’autorité dont font preuve Maxime Lucu et Matthieu Jalibert, très à leur avantage depuis la Coupe du monde, et par la redoutable efficacité de Damian Penaud. Ils devront cette fois reproduire ces performances sous le maillot du XV de France
(1) Antoine Dupont se consacre au 7 et Romain Ntamack est en phase de convalescence suite à son opération du genou l’été dernier
France – Irlande : La ligne d’attaque sous influence bordelaise
Par Denys Kappès-Grangé
Quatre joueurs de l’UBB débuteront dans la ligne de trois-quarts des Bleus pour affronter l’Irlande. La conséquence d’un début de saison particulièrement inspiré en club
Le CNR de Marcoussis commencerait-il à ressembler au stade Moga ? La question fait sourire Louis Bielle-Biarrey : « Non, non ! On a tous bien conscience qu’on est en équipe de France. » Bègles est effectivement bien loin de l’Île-de-France. Mais le rappel n’est pas forcément superflu. Quatre des sept joueurs titulaires dans la ligne de trois-quarts des Bleus, pour affronter l’Irlande ce vendredi à Marseille (21 heures), seront estampillés UBB.
Dans le sillage de la charnière Maxime Lucu - Matthieu Jalibert, qui a le champ libre en l’absence de son alter ego toulousaine (1), Damian Penaud et Yoram Moefana occuperont les ailes face aux Irlandais. Et un cinquième Bordelais prendra place sur le banc en la personne de Louis Bielle-Biarrey.
Les plus tatillons relèveront que Nicolas Depoortere, le jeune champion du monde des moins de 20 ans, n’a pas encore réussi à briser la paire de centres Fickou - Danty. Cette présence en masse d’éléments girondins n’en est pas moins l’un des faits marquants de cette composition d’équipe.
Inspirations
Oh bien sûr, elle ne constitue cependant pas un record. Par le passé, notamment sous les mandats de Bernard Laporte, jusqu’à cinq Toulousains ont déjà réussi à préempter les places dans la ligne de trois-quarts tricolore. L’UBB elle-même a connu des périodes aussi fastes. Lors du premier test de la tournée en Argentine en 2016, sous le mandat de Novès, elle avait placé jusqu’à cinq titulaires - avants et arrières compris. Les Bordelais étaient même six sur la feuille de match.
Sans remonter aussi loin dans le temps, quatre joueurs de l’UBB étaient titulaires dans la ligne de trois-quarts face à l’Afrique du Sud en quart de finale de la Coupe du monde (Lucu, Jalibert, Penaud, Bielle-Biarrey). Et tant pis si Damian Penaud, officiellement sous contrat en Gironde depuis le mois de juillet 2023, n’avait jamais enfilé le maillot bordelais à ce moment-là.
Des précédents existent. Pour autant, le phénomène n’est pas à minimiser. Cette influence fait écho à l’inspiration dont fait preuve la ligne d’attaque de l’UBB depuis le mois de novembre. Un degré de compétitivité incarnée à merveille par l’autorité dont font preuve Maxime Lucu et Matthieu Jalibert, très à leur avantage depuis la Coupe du monde, et par la redoutable efficacité de Damian Penaud. Ils devront cette fois reproduire ces performances sous le maillot du XV de France
(1) Antoine Dupont se consacre au 7 et Romain Ntamack est en phase de convalescence suite à son opération du genou l’été dernier
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Vidéo. Vià Midol : le débrief de la composition des Bleus face à l'Irlande
https://www.rugbyrama.fr/2024/02/01/video-viamidol-le-debrief-de-la-composition-des-bleus-face-a-lirlande-11736435.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
6 Nations 2024 - Posolo Tuilagi (Perpignan) de retour dans le groupe, Romain Taofifenua (Lyon) incertain ?
https://www.rugbyrama.fr/2024/02/01/6-nations-2024-posolo-tuilagi-perpignan-de-retour-dans-le-groupe-romain-taofifenua-lyon-incertain-11736308.php
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Programme TV complet du Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Programme-tv-complet-du-tournoi-des-6-nations-2024/1443893
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Si la France perd, je connais au moins un international Français qui sera content
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Scalp, je ne sais pas si tu les a deja mis :
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/tournoi-des-six-nations-max-c-est-un-facilitateur-de-jeu-les-bleus-de-l-ubb-decrypte-par-noel-mcnamara-18354782.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/france-irlande-les-forces-de-la-charniere-lucu-jalibert-decryptees-par-laussucq-18380809.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/damian-penaud-a-le-record-de-serge-blanco-dans-le-viseur-18364864.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/france-irlande-yoram-moefana-retour-au-premier-plan-18378258.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.lerugbynistere.fr/news/6-nations-qui-est-calvin-nash-lailier-tres-courageux-et-meconnu-qui-fera-face-a-yoram-moefana-0102241614.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
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XV de France. « Max, c’est un facilitateur de jeu » : les Bleus de l’UBB décrypté par Noel McNamara
Par Arnaud David
L’Irlandais Noel McNamara, l’entraîneur de l’attaque de l’Union Bordeaux-Bègles, parle de « ses » Bleus qui défieront vendredi le XV du Trèfle
Maxime Lucu : « Un capitaine magnifique »
« Je suis ravi pour Maxime. Ça a été un capitaine magnifique depuis son retour en club. Sa très belle performance à Clermont a suscité beaucoup de commentaires élogieux. Mais pour moi, il a été à ce niveau tous les week-ends. Techniquement, il est remarquable. Il est très juste dans sa prise de décision. Il gère très bien le jeu. Il le construit pour que les autres puissent s’exprimer. C’est un facilitateur de jeu. Je ne peux faire que son éloge. Il m’impressionne en tant que joueur mais aussi en tant qu’homme. »
Matthieu Jalibert : « Il vous challenge de manière quotidienne »
Matthieu Jalibert : « Matthieu, c’est Matthieu. Un joueur de rugby incroyable. C’est un plaisir de travailler avec lui. Il fait preuve de beaucoup de maturité dans son jeu. Tout le monde connaît ses qualités sur le terrain. On sait qu’il a du feu dans les jambes. Mais il a aussi montré ces dernières semaines qu’il possédait un cerveau qui calcule très bien. Il réfléchit sur le jeu. Il a progressé dans sa lecture. Il a pris de la stature en tant que demi d’ouverture international. Sa performance contre les Saracens a été d’un niveau magnifique. Mais il a été très régulier dans sa gestion, dans sa capacité à mettre les joueurs autour de lui dans l’espace depuis son retour. J’aime travailler avec lui même s’il vous challenge de manière quotidienne. »
Damian Penaud : « Les règles normales ne s’appliquent pas à Damian »
Damian Penaud : « Il a une habileté incroyable pour faire en sorte que les choses arrivent. Les règles normales ne s’appliquent pas à Damian. Il sort des conventions. À l’entraînement, il m’arrive souvent de lui dire « mais qu’est-ce que tu fais ? » et aussitôt après « Ah, eh bien bravo ». Il a été extraordinaire pour nous. Pas seulement en tant que marqueur d’essais mais par sa contribution générale au jeu. Il travaille dur. Il amène une énergie, quelque chose d’un peu différent à l’équipe, des moments de légèreté. »
Yoram Moefana : « le héros méconnu des derniers mois »
Yoram Moefana : « Pour moi, Yoram a été le héros méconnu de ces derniers mois avec l’UBB. Il a été constamment remarquable. Si on évalue les performances de 0 à 10, pour moi Yoram a fait régulièrement du 9/10. Il a été précis dans tout ce qu’il a accompli. En défense, au plaquage comme dans son replacement après le plaquage, en attaque, dans la manière dont il a porté le ballon, dans sa qualité de passe, ses choix sur le terrain. Il mérite sa place dans l’équipe qui débute. Son niveau de performance a été tellement élevé. »
Louis Bielle-Biarrey : « Tellement mature »
Louis Bielle-Biarrey : « Parfois, quand on parle de Louis, on a tendance à oublier son âge (NDLR : 20 ans). Il est tellement mature. Cela se manifeste dans son application, sa détermination à progresser, chaque jour, chaque semaine. Il possède cet enthousiasme et cette énergie que l’on associe aux jeunes joueurs. Mais à côté de cela, il y a cette compréhension de ce qui permet d’être meilleur, les process à mettre en place. Il est assez impressionnant. »
XV de France. « Max, c’est un facilitateur de jeu » : les Bleus de l’UBB décrypté par Noel McNamara
Par Arnaud David
L’Irlandais Noel McNamara, l’entraîneur de l’attaque de l’Union Bordeaux-Bègles, parle de « ses » Bleus qui défieront vendredi le XV du Trèfle
Maxime Lucu : « Un capitaine magnifique »
« Je suis ravi pour Maxime. Ça a été un capitaine magnifique depuis son retour en club. Sa très belle performance à Clermont a suscité beaucoup de commentaires élogieux. Mais pour moi, il a été à ce niveau tous les week-ends. Techniquement, il est remarquable. Il est très juste dans sa prise de décision. Il gère très bien le jeu. Il le construit pour que les autres puissent s’exprimer. C’est un facilitateur de jeu. Je ne peux faire que son éloge. Il m’impressionne en tant que joueur mais aussi en tant qu’homme. »
Matthieu Jalibert : « Il vous challenge de manière quotidienne »
Matthieu Jalibert : « Matthieu, c’est Matthieu. Un joueur de rugby incroyable. C’est un plaisir de travailler avec lui. Il fait preuve de beaucoup de maturité dans son jeu. Tout le monde connaît ses qualités sur le terrain. On sait qu’il a du feu dans les jambes. Mais il a aussi montré ces dernières semaines qu’il possédait un cerveau qui calcule très bien. Il réfléchit sur le jeu. Il a progressé dans sa lecture. Il a pris de la stature en tant que demi d’ouverture international. Sa performance contre les Saracens a été d’un niveau magnifique. Mais il a été très régulier dans sa gestion, dans sa capacité à mettre les joueurs autour de lui dans l’espace depuis son retour. J’aime travailler avec lui même s’il vous challenge de manière quotidienne. »
Damian Penaud : « Les règles normales ne s’appliquent pas à Damian »
Damian Penaud : « Il a une habileté incroyable pour faire en sorte que les choses arrivent. Les règles normales ne s’appliquent pas à Damian. Il sort des conventions. À l’entraînement, il m’arrive souvent de lui dire « mais qu’est-ce que tu fais ? » et aussitôt après « Ah, eh bien bravo ». Il a été extraordinaire pour nous. Pas seulement en tant que marqueur d’essais mais par sa contribution générale au jeu. Il travaille dur. Il amène une énergie, quelque chose d’un peu différent à l’équipe, des moments de légèreté. »
Yoram Moefana : « le héros méconnu des derniers mois »
Yoram Moefana : « Pour moi, Yoram a été le héros méconnu de ces derniers mois avec l’UBB. Il a été constamment remarquable. Si on évalue les performances de 0 à 10, pour moi Yoram a fait régulièrement du 9/10. Il a été précis dans tout ce qu’il a accompli. En défense, au plaquage comme dans son replacement après le plaquage, en attaque, dans la manière dont il a porté le ballon, dans sa qualité de passe, ses choix sur le terrain. Il mérite sa place dans l’équipe qui débute. Son niveau de performance a été tellement élevé. »
Louis Bielle-Biarrey : « Tellement mature »
Louis Bielle-Biarrey : « Parfois, quand on parle de Louis, on a tendance à oublier son âge (NDLR : 20 ans). Il est tellement mature. Cela se manifeste dans son application, sa détermination à progresser, chaque jour, chaque semaine. Il possède cet enthousiasme et cette énergie que l’on associe aux jeunes joueurs. Mais à côté de cela, il y a cette compréhension de ce qui permet d’être meilleur, les process à mettre en place. Il est assez impressionnant. »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
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France – Irlande : les forces de la charnière Lucu – Jalibert décryptées par Laussucq
Par Denys Kappès-Grangé
En charge de la défense de l’UBB, l’ancien demi de mêlée international Christophe Laussucq (4 sélections) livre son analyse sur la charnière bordelaise qui guidera le jeu des Bleus face à l’Irlande, vendredi à 21 heures à Marseille, en ouverture du Six-Nations
Zoom sur les individualités qui composent cette charnière
Maxime Lucu. « Je ne lui vois pas de point faible. Il a un jeu au pied de très haut niveau, parmi les meilleurs sur la scène internationale, d’autant que lui est aussi un gros buteur. Et c’est un très gros défenseur. Son plus gros défaut, c’est d’être en concurrence avec un phénomène. Il n’a pas la vitesse et l’explosivité d’Antoine Dupont, mais ça ne veut pas dire qu’il est lent. Maxime n’est pas loin d’être le demi de mêlée parfait : il est intelligent, avec un bon sens stratégique : il est courageux en défense, capable d’être incisif ballon en main. »
Matthieu Jalibert. « Ce serait réducteur de le définir uniquement comme un « soliste ». Matthieu est un gros attaquant. Il a cette capacité à être vraiment très dangereux sur la ligne parce qu’il a beaucoup de vitesse pour un 10. Mais il est aussi capable de faire jouer autour de lui. Il a ce côté un peu « gourmand » par moments, mais c’est ce qui fait sa qualité. Il est capable de « breaker », on le voit souvent jouer des petits coups de pied par-dessus la ligne. Il est très intéressant aussi par sa qualité de passe et sa capacité à bien faire jouer les autres. »
Leur association
« Déjà, même si ça peut paraître évident, ils sont complémentaires. Ils jouent ensemble depuis trois ou quatre ans, ils se trouvent les yeux fermés. Si l’UBB est une équipe qui joue bien c’est en grande partie parce qu’il y a une charnière efficace. Matthieu est très joueur. Il peut d’ailleurs lui arriver de surjouer de très loin, même s’il possède une très bonne lecture globale et qu’il est tout à fait capable d’alterner à bon escient. Or Maxime a peut-être la tête un peu plus froide. Il va trier les ballons. Et c’est très appréciable pour un 10 d’avoir un 9 avec la qualité de jeu au pied de Maxime. C’est un gros soulagement. »
Leur emprise tactique
« Ils possèdent tous les deux une grande intelligence tactique. Ils sont mêlés au plan de jeu tôt dans la semaine, ce sont deux vrais leaders de jeu et de défense. Je dis souvent qu’un 9 et un 10, ce sont presque des entraîneurs : ils sont tout à fait capables de remplir ce rôle, ils ont acquis cette maturité. Ils ont cette capacité à préparer l’équipe en amont : la manière dont on veut jouer un adversaire, en fonction de ses forces et ses faiblesses. Ils sont très perspicaces dans ce secteur. c’est fondamental au haut niveau. »
Leur marge de progression
« À 31 ans, l’enjeu pour Max est d’abord de se maintenir à ce niveau de performance. Ce n’est plus maintenant qu’il va gagner en explosivité. Il est tellement généreux, il fait tellement d’efforts. Je lui dis d’ailleurs, « tu plaques trop, tu t’engages trop, il faut que tu en gardes un peu ». Matthieu quant à lui doit trouver un peu plus de régularité sur son jeu au pied, ses tirs au but. C’est un surdoué. En tant que tel, il a parfois le petit défaut qui va avec, celui qui consiste à tomber dans la facilité. »
France – Irlande : les forces de la charnière Lucu – Jalibert décryptées par Laussucq
Par Denys Kappès-Grangé
En charge de la défense de l’UBB, l’ancien demi de mêlée international Christophe Laussucq (4 sélections) livre son analyse sur la charnière bordelaise qui guidera le jeu des Bleus face à l’Irlande, vendredi à 21 heures à Marseille, en ouverture du Six-Nations
Zoom sur les individualités qui composent cette charnière
Maxime Lucu. « Je ne lui vois pas de point faible. Il a un jeu au pied de très haut niveau, parmi les meilleurs sur la scène internationale, d’autant que lui est aussi un gros buteur. Et c’est un très gros défenseur. Son plus gros défaut, c’est d’être en concurrence avec un phénomène. Il n’a pas la vitesse et l’explosivité d’Antoine Dupont, mais ça ne veut pas dire qu’il est lent. Maxime n’est pas loin d’être le demi de mêlée parfait : il est intelligent, avec un bon sens stratégique : il est courageux en défense, capable d’être incisif ballon en main. »
Matthieu Jalibert. « Ce serait réducteur de le définir uniquement comme un « soliste ». Matthieu est un gros attaquant. Il a cette capacité à être vraiment très dangereux sur la ligne parce qu’il a beaucoup de vitesse pour un 10. Mais il est aussi capable de faire jouer autour de lui. Il a ce côté un peu « gourmand » par moments, mais c’est ce qui fait sa qualité. Il est capable de « breaker », on le voit souvent jouer des petits coups de pied par-dessus la ligne. Il est très intéressant aussi par sa qualité de passe et sa capacité à bien faire jouer les autres. »
Leur association
« Déjà, même si ça peut paraître évident, ils sont complémentaires. Ils jouent ensemble depuis trois ou quatre ans, ils se trouvent les yeux fermés. Si l’UBB est une équipe qui joue bien c’est en grande partie parce qu’il y a une charnière efficace. Matthieu est très joueur. Il peut d’ailleurs lui arriver de surjouer de très loin, même s’il possède une très bonne lecture globale et qu’il est tout à fait capable d’alterner à bon escient. Or Maxime a peut-être la tête un peu plus froide. Il va trier les ballons. Et c’est très appréciable pour un 10 d’avoir un 9 avec la qualité de jeu au pied de Maxime. C’est un gros soulagement. »
Leur emprise tactique
« Ils possèdent tous les deux une grande intelligence tactique. Ils sont mêlés au plan de jeu tôt dans la semaine, ce sont deux vrais leaders de jeu et de défense. Je dis souvent qu’un 9 et un 10, ce sont presque des entraîneurs : ils sont tout à fait capables de remplir ce rôle, ils ont acquis cette maturité. Ils ont cette capacité à préparer l’équipe en amont : la manière dont on veut jouer un adversaire, en fonction de ses forces et ses faiblesses. Ils sont très perspicaces dans ce secteur. c’est fondamental au haut niveau. »
Leur marge de progression
« À 31 ans, l’enjeu pour Max est d’abord de se maintenir à ce niveau de performance. Ce n’est plus maintenant qu’il va gagner en explosivité. Il est tellement généreux, il fait tellement d’efforts. Je lui dis d’ailleurs, « tu plaques trop, tu t’engages trop, il faut que tu en gardes un peu ». Matthieu quant à lui doit trouver un peu plus de régularité sur son jeu au pied, ses tirs au but. C’est un surdoué. En tant que tel, il a parfois le petit défaut qui va avec, celui qui consiste à tomber dans la facilité. »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/damian-penaud-a-le-record-de-serge-blanco-dans-le-viseur-18364864.php
Damian Penaud a le record de Serge Blanco dans le viseur
Par D. K.-G.
Toujours aussi prolifique avec les Bleus, en réussite avec l’UBB, l’ailier est à trois essais du record du meilleur marqueur de l’histoire du XV de France
Petit point statistique. Depuis le Tournoi 2021, Damian Penaud n’a jamais marqué moins de trois essais à chaque édition du Six-Nations. Trois réalisations en 2021 et en 2022, cinq en 2023 synonyme de statut de meilleur marqueur de la compétition : le nouvel ailier de l’UBB se révèle efficace face aux nations de l’hémisphère nord.
Pourquoi s’attarder sur ce point ? Parce que le marqueur le plus prolifique depuis le début du premier mandat de Fabien Galthié (35 essais) n’est plus qu’à trois essais justement du record de Serge Blanco (38). A-t-il cet objectif en tête ? Dans un sourire, Yoram Moefana a tendance à parier que non : « C’est quand même quelqu’un de particulier. Si vous lui en parlez, il va se contenter de vous dire : ah bon ? »
Et pourtant… Les six essais marqués par Damian Penaud durant la Coupe du monde lui ont encore permis de se rapprocher de cette marque. Ils lui ont également donné l’opportunité de soigner ses statistiques. L’ailier tourne à un rythme de 0,73 essai par match en sélection (35 essais en 48 sélections). Une moyenne qui s’est d’ailleurs nettement accélérée depuis le début du premier mandat de Fabien Galthié (0,93/m) : il a inscrit 30 essais lors des 32 matchs qu’il a disputés depuis que le sélectionneur a pris les commandes de l’équipe de France.
Plus globalement, Damian Penaud est avec le Néo-Zélandais Will Jordan, nouveau co-détenteur du record d’essais inscrits en une Coupe du monde aux côtés de Jonah Lomu (8 essais), le meilleur marqueur sur la scène internationale depuis 2021 (29 essais).
Une question de temps
« Ce qui m’intéresse avec Damian, c’est qu’il est à chaque fois à l’affût du bon positionnement », a observé Serge Blanco dans un entretien à TV7 : « Le fait de marquer des essais, c’est la partie la plus facile. Ce qui est plus dur, c’est de se mettre en situation pour provoquer une opportunité ou être en soutien. Là-dessus, Damian mérite de battre ce record par rapport à ce qu’il fait. »
La question n’est pas tant de savoir s’il le fera, mais plutôt quand. Parviendra-t-il à s’emparer de ce record lors de ce Tournoi ? Sa dynamique actuelle plaide en tout cas en sa faveur. Ses talents de finisseur n’ont pas été affectés par son changement de club à l’issue de la Coupe du monde. Damian Penaud a quitté Clermont pour l’UBB. Mais son efficacité reste redoutable.
Auteur d’un quadruplé face à Perpignan lors de sa première apparition sous ses nouvelles couleurs à Chaban-Delmas - une performance que seuls sept joueurs ont réalisée depuis la création du Top 14 -, le Bordelais a déjà inscrit 11 essais en neuf matchs toutes compétitions confondues. Soit un toutes les 59 minutes. Ahurissant.
Damian Penaud a le record de Serge Blanco dans le viseur
Par D. K.-G.
Toujours aussi prolifique avec les Bleus, en réussite avec l’UBB, l’ailier est à trois essais du record du meilleur marqueur de l’histoire du XV de France
Petit point statistique. Depuis le Tournoi 2021, Damian Penaud n’a jamais marqué moins de trois essais à chaque édition du Six-Nations. Trois réalisations en 2021 et en 2022, cinq en 2023 synonyme de statut de meilleur marqueur de la compétition : le nouvel ailier de l’UBB se révèle efficace face aux nations de l’hémisphère nord.
Pourquoi s’attarder sur ce point ? Parce que le marqueur le plus prolifique depuis le début du premier mandat de Fabien Galthié (35 essais) n’est plus qu’à trois essais justement du record de Serge Blanco (38). A-t-il cet objectif en tête ? Dans un sourire, Yoram Moefana a tendance à parier que non : « C’est quand même quelqu’un de particulier. Si vous lui en parlez, il va se contenter de vous dire : ah bon ? »
Et pourtant… Les six essais marqués par Damian Penaud durant la Coupe du monde lui ont encore permis de se rapprocher de cette marque. Ils lui ont également donné l’opportunité de soigner ses statistiques. L’ailier tourne à un rythme de 0,73 essai par match en sélection (35 essais en 48 sélections). Une moyenne qui s’est d’ailleurs nettement accélérée depuis le début du premier mandat de Fabien Galthié (0,93/m) : il a inscrit 30 essais lors des 32 matchs qu’il a disputés depuis que le sélectionneur a pris les commandes de l’équipe de France.
Plus globalement, Damian Penaud est avec le Néo-Zélandais Will Jordan, nouveau co-détenteur du record d’essais inscrits en une Coupe du monde aux côtés de Jonah Lomu (8 essais), le meilleur marqueur sur la scène internationale depuis 2021 (29 essais).
Une question de temps
« Ce qui m’intéresse avec Damian, c’est qu’il est à chaque fois à l’affût du bon positionnement », a observé Serge Blanco dans un entretien à TV7 : « Le fait de marquer des essais, c’est la partie la plus facile. Ce qui est plus dur, c’est de se mettre en situation pour provoquer une opportunité ou être en soutien. Là-dessus, Damian mérite de battre ce record par rapport à ce qu’il fait. »
La question n’est pas tant de savoir s’il le fera, mais plutôt quand. Parviendra-t-il à s’emparer de ce record lors de ce Tournoi ? Sa dynamique actuelle plaide en tout cas en sa faveur. Ses talents de finisseur n’ont pas été affectés par son changement de club à l’issue de la Coupe du monde. Damian Penaud a quitté Clermont pour l’UBB. Mais son efficacité reste redoutable.
Auteur d’un quadruplé face à Perpignan lors de sa première apparition sous ses nouvelles couleurs à Chaban-Delmas - une performance que seuls sept joueurs ont réalisée depuis la création du Top 14 -, le Bordelais a déjà inscrit 11 essais en neuf matchs toutes compétitions confondues. Soit un toutes les 59 minutes. Ahurissant.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
France - Irlande - "Dans le 6 Nations, l'équipe de France sera trop forte pour tout le monde" : Brian O'Driscoll (Irlande) voit le XV de France en grand
https://www.rugbyrama.fr/2024/02/02/france-irlande-dans-le-6-nations-lequipe-de-france-sera-trop-forte-pour-tout-le-monde-brian-odriscoll-irlande-voit-le-xv-de-france-en-grand-11738894.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Nickel le retour de Willemse... Je parle pas de Fickou qui n'a ni pied ni main... Et cet éternel jeu de dépossession qui nous met à mal, un jeu de dépossession face à la meilleure attaque ballon en main, c'est la meilleure des strat c'est sur...
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Re: Tournoi des 6 Nations 2024
Big'Ben a écrit:Nickel le retour de Willemse... Je parle pas de Fickou qui n'a ni pied ni main... Et cet éternel jeu de dépossession qui nous met à mal, un jeu de dépossession face à la meilleure attaque ballon en main, c'est la meilleure des strat c'est sur...
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