Finale - La Rochelle / ST

Scalp a écrit:

densnewzealand a écrit:

Scalp a écrit:Mola-O'Gara : la mésentente pas cordiale avant Toulouse-La Rochelle

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14/mola-o-gara-la-mesentente-pas-cordiale-avant-toulouse-la-rochelle-20230616

La seule phrase intéressante c’est celle du président Merling / on essaie de jouer un rugby qui gagne. Et je trouves plus de mérite au parcours de Rog qu’à celui de Mola. Même si je ne suis pas fan des personnages .
J’espère que Bru sera la combinaison ideale. Mais il faudra être patient….

Il est toujours possible que la mayonnaise prenne vite, mais tu as complètement raison, il faut généralement du temps à un nouveau staff, pour prendre ses marques, imprimer sa méthode, sa philosophie et que ça se traduise sur le terrain. Ça fait trop longtemps que l'on se morfond en attendant des jours meilleurs, mais oui, il faudra être patient, laisser du temps à Bru et à son staff avant de les juger, y compris si ça démarre vite et bien...

Scalp a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/06/17/top-14-romain-ntamack-jai-fait-beaucoup-de-sacrifices-pour-en-etre-la-11281986.php

Top 14 - Romain Ntamack : "J’ai fait beaucoup de sacrifices pour en être là"

Par Jérémy Fadat

Romain Ntamack revient sur son expérience personnelle, son ambition, sa passion pour ce sport et son envie aujourd’hui de la partager, à travers plusieurs initiatives.

Entre l’application que vous avez créée pour aider à progresser dans le jeu au pied et cette bande dessinée qui retrace votre parcours, vous semblez vouloir entretenir un rapport fort avec la jeunesse…

Oui, c’est vrai. Le livre ou l’application, ce sont des choses qui parlent beaucoup aux jeunes.Mais c’est aussi parce que je suis très reconnaissant de tout ce qu’on m’a appris et transmis quand j’étais petit. Je me rends compte aujourd’hui à quel point cela a été déterminant et c’est donc très important d’avoir ce rapport aux jeunes, de leur transmettre tout ce que j’ai reçu à leur âge. Tout le monde n’a pas la chance de bénéficier au quotidien de tous les conseils que j’ai pu avoir en étant jeune. Je fais évidemment référence à mon père mais aussi à tous les éducateurs qui ont été les miens au Stade toulousain. C’est ce que j’essaye de rendre maintenant à travers ces projets.

Le fait d’avoir été exposé très jeune vous donne-t-il aussi cette responsabilité ?

J’ai très vite été exposé médiatiquement. Je ne sais pas si cela influence vraiment mon envie de parler aux jeunes rugbymen… Mais j’ai toujours été passionné par mon sport et c’est le cas de beaucoup d’enfants. Par mon expérience personnelle, avec effectivement le fait d’avoir été rapidement mis en lumière, je pense pouvoir modestement et à mon échelle les aider ou les inspirer. Le plus important, c’est de vivre cette passion à fond et de croire en ses rêves.

Aux yeux de certains, vous aviez l’image d’un surdoué, pour qui tout a été facile…

Je l’ai entendu parfois, oui. Mon père était connu, a réussi mais cela ne me garantissait rien. C’était certainement un privilège de l’avoir à mes côtés mais j’ai dû me battre. Comme tout joueur, j’ai dû faire mes preuves à chaque étape, même sûrement plus que la plupart des autres parce que j’avais un nom, un papa connu dans ce milieu et que les attentes étaient grandes autour de moi. Il a fallu que je montre que j’en voulais, que mon ambition était d’être le meilleur et le premier.Je sais que j’ai bossé plus dur que les autres. J’ai fait beaucoup de sacrifices pour en être là.L’été, quand certains partaient en vacances, j’allais courir sur le terrain, faire de la musculation et du gainage. Parce que mon but était d’arriver en haut. Je voulais prouver à tout le monde que, si j’y parvenais, c’était grâce à mon travail, pas à mon nom. C’est exactement le message du livre d’ailleurs. Quand on vise quelque chose, il n’y a qu’une seule voie : celle du travail.

Avez-vous conscience d’être souvent un modèle, que ce soit à Toulouse ou en sélection ?

Bien sûr, cela implique indirectement certaines responsabilités.Nous sommes regardés par les plus jeunes et souvent pris en exemple. Cela oblige à être justement le plus exemplaire possible vis-à-vis d’eux. Je me dois d’être respectueux envers les gens qui nous suivent, qui nous aiment.Franchement, pour en parler aussi avec mes coéquipiers, on n’aime pas forcément se dire que nous sommes des exemples car ça peut paraître prétentieux mais force est de constater que beaucoup de personnes nous prennent en modèles, et notamment des enfants. Je ne veux pas manquer d’humilité en le disant mais c’est une réalité.Ce que je vis tous les jours, en tant que sportif de haut niveau, j’ai quelque part le devoir de le partager.

D’autant que le XVde France gagne et fait s’intéresser les gens au rugby…

Oui, il y a la Coupe du monde en France et les résultats de l’équipe nationale sont bons depuis des années. On voit bien que nous sommes très suivis, encore plus qu’avant. Cette exposition a un avantage, c’est qu’elle donne envie aux jeunes de jouer au rugby.Le nombre de licenciés explose chaque année, ce qui signifie que ça les intéresse. Notre rôle, à nous joueurs, c’est aussi de leur transmettre l’amour de ce sport, leur montrer que tout est possible quand on s’en donne les moyens.

Comment vivez-vous les attentes du public ?

On les voit, on les entend, on les ressent. D’ailleurs, dès qu’on croise des gens, ils ne manquent pas de nous le rappeler, toujours de manière bienveillante.Mais, encore une fois, c’est une bonne chose. S’ils ont beaucoup d’attentes, c’est qu’ils croient en nous et qu’on leur offre de l’espoir. Que penserait-on si personne ne venait nous dire « Allez, cette année, c’est la vôtre, il faut gagner » ? On serait alors pris pour des nuls, pour des mecs que ça ne sert à rien de soutenir. Ce n’est pas le cas. Que ce soit à Toulouse ou en équipe de France, les gens sont vraiment derrière nous.

Cela ne vous met-il pas une pression supplémentaire sur les épaules ?

Elle existe, et tant mieux.J’appelle ça la bonne pression, le bon stress.C’est ce qui nous doit motiver encore davantage à remporter des titres.

Avec les projets évoqués précédemment, vous dépassez le cadre habituel d’un joueur de rugby.Est-ce une volonté de votre part ?

Oui, mais je reste dans mon domaine qu’est le rugby. Je ne suis pas trop du genre à clamer que le rugbyman doit dépasser le cadre de son sport.Mais, dans cette période qui voit la Coupe du monde en France approcher, il est important de faire découvrir notre sport, de parler à ceux qui ne le connaissent pas forcément. Après, je n’évoque pas la politique ou les domaines dans lesquels je suis moins à l’aise.

SympathyForTheDevil a écrit:Roumat titulaire en finale quel immense flop ce joueur

SympathyForTheDevil a écrit:Roumat titulaire en finale quel immense flop ce joueur

Roberto Miopalmo a écrit:

SympathyForTheDevil a écrit:Roumat titulaire en finale quel immense flop ce joueur

Je comprends pas bien. C’est de l’ironie vis à vis de ceux qui le décriaient ou tu penses que chez nous il faisait pas le taf?
Car pour moi c’est exactement le même joueur. Il est simplement maintenant dans un système qui lui convient mieux et qui utilise ses qualités.

patrick a écrit:

Scalp a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/06/17/top-14-romain-ntamack-jai-fait-beaucoup-de-sacrifices-pour-en-etre-la-11281986.php

Top 14 - Romain Ntamack : "J’ai fait beaucoup de sacrifices pour en être là"

Par Jérémy Fadat

Romain Ntamack revient sur son expérience personnelle, son ambition, sa passion pour ce sport et son envie aujourd’hui de la partager, à travers plusieurs initiatives.

Entre l’application que vous avez créée pour aider à progresser dans le jeu au pied et cette bande dessinée qui retrace votre parcours, vous semblez vouloir entretenir un rapport fort avec la jeunesse…

Oui, c’est vrai. Le livre ou l’application, ce sont des choses qui parlent beaucoup aux jeunes.Mais c’est aussi parce que je suis très reconnaissant de tout ce qu’on m’a appris et transmis quand j’étais petit. Je me rends compte aujourd’hui à quel point cela a été déterminant et c’est donc très important d’avoir ce rapport aux jeunes, de leur transmettre tout ce que j’ai reçu à leur âge. Tout le monde n’a pas la chance de bénéficier au quotidien de tous les conseils que j’ai pu avoir en étant jeune. Je fais évidemment référence à mon père mais aussi à tous les éducateurs qui ont été les miens au Stade toulousain. C’est ce que j’essaye de rendre maintenant à travers ces projets.

Le fait d’avoir été exposé très jeune vous donne-t-il aussi cette responsabilité ?

J’ai très vite été exposé médiatiquement. Je ne sais pas si cela influence vraiment mon envie de parler aux jeunes rugbymen… Mais j’ai toujours été passionné par mon sport et c’est le cas de beaucoup d’enfants. Par mon expérience personnelle, avec effectivement le fait d’avoir été rapidement mis en lumière, je pense pouvoir modestement et à mon échelle les aider ou les inspirer. Le plus important, c’est de vivre cette passion à fond et de croire en ses rêves.

Aux yeux de certains, vous aviez l’image d’un surdoué, pour qui tout a été facile…

Je l’ai entendu parfois, oui. Mon père était connu, a réussi mais cela ne me garantissait rien. C’était certainement un privilège de l’avoir à mes côtés mais j’ai dû me battre. Comme tout joueur, j’ai dû faire mes preuves à chaque étape, même sûrement plus que la plupart des autres parce que j’avais un nom, un papa connu dans ce milieu et que les attentes étaient grandes autour de moi. Il a fallu que je montre que j’en voulais, que mon ambition était d’être le meilleur et le premier.Je sais que j’ai bossé plus dur que les autres. J’ai fait beaucoup de sacrifices pour en être là.L’été, quand certains partaient en vacances, j’allais courir sur le terrain, faire de la musculation et du gainage. Parce que mon but était d’arriver en haut. Je voulais prouver à tout le monde que, si j’y parvenais, c’était grâce à mon travail, pas à mon nom. C’est exactement le message du livre d’ailleurs. Quand on vise quelque chose, il n’y a qu’une seule voie : celle du travail.

Avez-vous conscience d’être souvent un modèle, que ce soit à Toulouse ou en sélection ?

Bien sûr, cela implique indirectement certaines responsabilités.Nous sommes regardés par les plus jeunes et souvent pris en exemple. Cela oblige à être justement le plus exemplaire possible vis-à-vis d’eux. Je me dois d’être respectueux envers les gens qui nous suivent, qui nous aiment.Franchement, pour en parler aussi avec mes coéquipiers, on n’aime pas forcément se dire que nous sommes des exemples car ça peut paraître prétentieux mais force est de constater que beaucoup de personnes nous prennent en modèles, et notamment des enfants. Je ne veux pas manquer d’humilité en le disant mais c’est une réalité.Ce que je vis tous les jours, en tant que sportif de haut niveau, j’ai quelque part le devoir de le partager.

D’autant que le XVde France gagne et fait s’intéresser les gens au rugby…

Oui, il y a la Coupe du monde en France et les résultats de l’équipe nationale sont bons depuis des années. On voit bien que nous sommes très suivis, encore plus qu’avant. Cette exposition a un avantage, c’est qu’elle donne envie aux jeunes de jouer au rugby.Le nombre de licenciés explose chaque année, ce qui signifie que ça les intéresse. Notre rôle, à nous joueurs, c’est aussi de leur transmettre l’amour de ce sport, leur montrer que tout est possible quand on s’en donne les moyens.

Comment vivez-vous les attentes du public ?

On les voit, on les entend, on les ressent. D’ailleurs, dès qu’on croise des gens, ils ne manquent pas de nous le rappeler, toujours de manière bienveillante.Mais, encore une fois, c’est une bonne chose. S’ils ont beaucoup d’attentes, c’est qu’ils croient en nous et qu’on leur offre de l’espoir. Que penserait-on si personne ne venait nous dire « Allez, cette année, c’est la vôtre, il faut gagner » ? On serait alors pris pour des nuls, pour des mecs que ça ne sert à rien de soutenir. Ce n’est pas le cas. Que ce soit à Toulouse ou en équipe de France, les gens sont vraiment derrière nous.

Cela ne vous met-il pas une pression supplémentaire sur les épaules ?

Elle existe, et tant mieux.J’appelle ça la bonne pression, le bon stress.C’est ce qui nous doit motiver encore davantage à remporter des titres.

Avec les projets évoqués précédemment, vous dépassez le cadre habituel d’un joueur de rugby.Est-ce une volonté de votre part ?

Oui, mais je reste dans mon domaine qu’est le rugby. Je ne suis pas trop du genre à clamer que le rugbyman doit dépasser le cadre de son sport.Mais, dans cette période qui voit la Coupe du monde en France approcher, il est important de faire découvrir notre sport, de parler à ceux qui ne le connaissent pas forcément. Après, je n’évoque pas la politique ou les domaines dans lesquels je suis moins à l’aise.

Certes Romain a du bosser mais si ça ne garantit pas tout, avoir son père comme modèle et toutes les facilités pratiques du ST pour progresser, ça ne freine pas toujours la réussite. Dans un autre domaine, étonnamment la plupart de ceux qui font de longues (et réussies) études sont ceux dont les parents en ont fait de même. Oui on peut aussi finir bon à rien bien après reçu toutes les facilités à la naissance mais c'est plus dur  Il me semble que son père qvait assez brusquement quitté son poste à l'UBB justement pour aller s'occuper de la carrière de ses fils. C'est très respectable mais que Romain dise aujourd'hui qu'il n'a pas était aidé est un peu fort de café. Félicitations à lui pour le niveau qu'il a atteint mais svp qu'il ne présente pas comme une victime de son nom.

Roberto Miopalmo a écrit:

patrick a écrit:

Scalp a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/06/17/top-14-romain-ntamack-jai-fait-beaucoup-de-sacrifices-pour-en-etre-la-11281986.php

Top 14 - Romain Ntamack : "J’ai fait beaucoup de sacrifices pour en être là"

Par Jérémy Fadat

Romain Ntamack revient sur son expérience personnelle, son ambition, sa passion pour ce sport et son envie aujourd’hui de la partager, à travers plusieurs initiatives.

Entre l’application que vous avez créée pour aider à progresser dans le jeu au pied et cette bande dessinée qui retrace votre parcours, vous semblez vouloir entretenir un rapport fort avec la jeunesse…

Oui, c’est vrai. Le livre ou l’application, ce sont des choses qui parlent beaucoup aux jeunes.Mais c’est aussi parce que je suis très reconnaissant de tout ce qu’on m’a appris et transmis quand j’étais petit. Je me rends compte aujourd’hui à quel point cela a été déterminant et c’est donc très important d’avoir ce rapport aux jeunes, de leur transmettre tout ce que j’ai reçu à leur âge. Tout le monde n’a pas la chance de bénéficier au quotidien de tous les conseils que j’ai pu avoir en étant jeune. Je fais évidemment référence à mon père mais aussi à tous les éducateurs qui ont été les miens au Stade toulousain. C’est ce que j’essaye de rendre maintenant à travers ces projets.

Le fait d’avoir été exposé très jeune vous donne-t-il aussi cette responsabilité ?

J’ai très vite été exposé médiatiquement. Je ne sais pas si cela influence vraiment mon envie de parler aux jeunes rugbymen… Mais j’ai toujours été passionné par mon sport et c’est le cas de beaucoup d’enfants. Par mon expérience personnelle, avec effectivement le fait d’avoir été rapidement mis en lumière, je pense pouvoir modestement et à mon échelle les aider ou les inspirer. Le plus important, c’est de vivre cette passion à fond et de croire en ses rêves.

Aux yeux de certains, vous aviez l’image d’un surdoué, pour qui tout a été facile…

Je l’ai entendu parfois, oui. Mon père était connu, a réussi mais cela ne me garantissait rien. C’était certainement un privilège de l’avoir à mes côtés mais j’ai dû me battre. Comme tout joueur, j’ai dû faire mes preuves à chaque étape, même sûrement plus que la plupart des autres parce que j’avais un nom, un papa connu dans ce milieu et que les attentes étaient grandes autour de moi. Il a fallu que je montre que j’en voulais, que mon ambition était d’être le meilleur et le premier.Je sais que j’ai bossé plus dur que les autres. J’ai fait beaucoup de sacrifices pour en être là.L’été, quand certains partaient en vacances, j’allais courir sur le terrain, faire de la musculation et du gainage. Parce que mon but était d’arriver en haut. Je voulais prouver à tout le monde que, si j’y parvenais, c’était grâce à mon travail, pas à mon nom. C’est exactement le message du livre d’ailleurs. Quand on vise quelque chose, il n’y a qu’une seule voie : celle du travail.

Avez-vous conscience d’être souvent un modèle, que ce soit à Toulouse ou en sélection ?

Bien sûr, cela implique indirectement certaines responsabilités.Nous sommes regardés par les plus jeunes et souvent pris en exemple. Cela oblige à être justement le plus exemplaire possible vis-à-vis d’eux. Je me dois d’être respectueux envers les gens qui nous suivent, qui nous aiment.Franchement, pour en parler aussi avec mes coéquipiers, on n’aime pas forcément se dire que nous sommes des exemples car ça peut paraître prétentieux mais force est de constater que beaucoup de personnes nous prennent en modèles, et notamment des enfants. Je ne veux pas manquer d’humilité en le disant mais c’est une réalité.Ce que je vis tous les jours, en tant que sportif de haut niveau, j’ai quelque part le devoir de le partager.

D’autant que le XVde France gagne et fait s’intéresser les gens au rugby…

Oui, il y a la Coupe du monde en France et les résultats de l’équipe nationale sont bons depuis des années. On voit bien que nous sommes très suivis, encore plus qu’avant. Cette exposition a un avantage, c’est qu’elle donne envie aux jeunes de jouer au rugby.Le nombre de licenciés explose chaque année, ce qui signifie que ça les intéresse. Notre rôle, à nous joueurs, c’est aussi de leur transmettre l’amour de ce sport, leur montrer que tout est possible quand on s’en donne les moyens.

Comment vivez-vous les attentes du public ?

On les voit, on les entend, on les ressent. D’ailleurs, dès qu’on croise des gens, ils ne manquent pas de nous le rappeler, toujours de manière bienveillante.Mais, encore une fois, c’est une bonne chose. S’ils ont beaucoup d’attentes, c’est qu’ils croient en nous et qu’on leur offre de l’espoir. Que penserait-on si personne ne venait nous dire « Allez, cette année, c’est la vôtre, il faut gagner » ? On serait alors pris pour des nuls, pour des mecs que ça ne sert à rien de soutenir. Ce n’est pas le cas. Que ce soit à Toulouse ou en équipe de France, les gens sont vraiment derrière nous.

Cela ne vous met-il pas une pression supplémentaire sur les épaules ?

Elle existe, et tant mieux.J’appelle ça la bonne pression, le bon stress.C’est ce qui nous doit motiver encore davantage à remporter des titres.

Avec les projets évoqués précédemment, vous dépassez le cadre habituel d’un joueur de rugby.Est-ce une volonté de votre part ?

Oui, mais je reste dans mon domaine qu’est le rugby. Je ne suis pas trop du genre à clamer que le rugbyman doit dépasser le cadre de son sport.Mais, dans cette période qui voit la Coupe du monde en France approcher, il est important de faire découvrir notre sport, de parler à ceux qui ne le connaissent pas forcément. Après, je n’évoque pas la politique ou les domaines dans lesquels je suis moins à l’aise.

Certes Romain a du bosser mais si ça ne garantit pas tout, avoir son père comme modèle et toutes les facilités pratiques du ST pour progresser, ça ne freine pas toujours la réussite. Dans un autre domaine, étonnamment la plupart de ceux qui font de longues (et réussies) études sont ceux dont les parents en ont fait de même. Oui on peut aussi finir bon à rien bien après reçu toutes les facilités à la naissance mais c'est plus dur  Il me semble que son père qvait assez brusquement quitté son poste à l'UBB justement pour aller s'occuper de la carrière de ses fils. C'est très respectable mais que Romain dise aujourd'hui qu'il n'a pas était aidé est un peu fort de café. Félicitations à lui pour le niveau qu'il a atteint mais svp qu'il ne présente pas comme une victime de son nom.

C’est la reproduction. Les individus issus d’un certain milieu ont un avantage sur les autres individus qui ne sont pas du sérail. Ils ont les codes, les réseaux, la connaissance… aucune garantie de réussite cependant. Et souvent un regard réprobateur: c’est « le fils de ». On en arrive vite à des soupçons de piston…
C’est d’autant plus vrai dans les milieux fortement concurrentiels (sports, musique, cinéma etc…) où les places sont chères. Mais encore une fois, ça ne fait pas tout. Ces enfants auront toujours des regards suspicieux. Et à moins de dépasser le père en performance, il y aura toujours quelqu’un pour leur rappeler qu’ils sont là car ils sont les enfants de….
Le « fils à Émile »

Vévé64 a écrit:

Scalp a écrit:

densnewzealand a écrit:

Scalp a écrit:Mola-O'Gara : la mésentente pas cordiale avant Toulouse-La Rochelle

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14/mola-o-gara-la-mesentente-pas-cordiale-avant-toulouse-la-rochelle-20230616

La seule phrase intéressante c’est celle du président Merling / on essaie de jouer un rugby qui gagne. Et je trouves plus de mérite au parcours de Rog qu’à celui de Mola. Même si je ne suis pas fan des personnages .
J’espère que Bru sera la combinaison ideale. Mais il faudra être patient….

Il est toujours possible que la mayonnaise prenne vite, mais tu as complètement raison, il faut généralement du temps à un nouveau staff, pour prendre ses marques, imprimer sa méthode, sa philosophie et que ça se traduise sur le terrain. Ça fait trop longtemps que l'on se morfond en attendant des jours meilleurs, mais oui, il faudra être patient, laisser du temps à Bru et à son staff avant de les juger, y compris si ça démarre vite et bien...

On attend beaucoup de Bru. Peut être un peu trop...

coach2rugby a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

SympathyForTheDevil a écrit:Roumat titulaire en finale quel immense flop ce joueur

Je comprends pas bien. C’est de l’ironie vis à vis de ceux qui le décriaient ou tu penses que chez nous il faisait pas le taf?
Car pour moi c’est exactement le même joueur. Il est simplement maintenant dans un système qui lui convient mieux et qui utilise ses qualités.

Exactement. J'ai toujours dis qu'il est un joueur hyper talentueux mais qui ne s'y file pas assez pour moi. 

Très bon joueur à Toulouse mais qui serait même pas remplaçant dans plein d'équipe. Il est trop tributaire des 7 autres avants. 

On verra ce soir face à la bestialité rochelaise !!!!

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Vévé64 a écrit:

Scalp a écrit:

densnewzealand a écrit:

Scalp a écrit:Mola-O'Gara : la mésentente pas cordiale avant Toulouse-La Rochelle

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14/mola-o-gara-la-mesentente-pas-cordiale-avant-toulouse-la-rochelle-20230616

La seule phrase intéressante c’est celle du président Merling / on essaie de jouer un rugby qui gagne. Et je trouves plus de mérite au parcours de Rog qu’à celui de Mola. Même si je ne suis pas fan des personnages .
J’espère que Bru sera la combinaison ideale. Mais il faudra être patient….

Il est toujours possible que la mayonnaise prenne vite, mais tu as complètement raison, il faut généralement du temps à un nouveau staff, pour prendre ses marques, imprimer sa méthode, sa philosophie et que ça se traduise sur le terrain. Ça fait trop longtemps que l'on se morfond en attendant des jours meilleurs, mais oui, il faudra être patient, laisser du temps à Bru et à son staff avant de les juger, y compris si ça démarre vite et bien...

On attend beaucoup de Bru. Peut être un peu trop...

On attend toujours beaucoup trop d'un nouvel entraîneur. Bru a quand même une grosse expérience.

sudiste a écrit:

coach2rugby a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

SympathyForTheDevil a écrit:Roumat titulaire en finale quel immense flop ce joueur

Je comprends pas bien. C’est de l’ironie vis à vis de ceux qui le décriaient ou tu penses que chez nous il faisait pas le taf?
Car pour moi c’est exactement le même joueur. Il est simplement maintenant dans un système qui lui convient mieux et qui utilise ses qualités.

Exactement. J'ai toujours dis qu'il est un joueur hyper talentueux mais qui ne s'y file pas assez pour moi. 

Très bon joueur à Toulouse mais qui serait même pas remplaçant dans plein d'équipe. Il est trop tributaire des 7 autres avants. 

On verra ce soir face à la bestialité rochelaise !!!!

Disons qu'on peut voir les choses de 2 façons :

- soit qu'on ne lui faisait pas confiance parce ce qu'il ne s'y filait pas assez chez nous
- soit qu'il ne s'y filait pas assez chez nous parce que de toutes les façons on ne lui faisait pas confiance

En tout cas dans l'échange des 3ème ligne Roumat vs Miquel nous n'avons rien gagner au change  

Etre titulaire en finale pour sa première année au sein de la meilleure équipe du Monde et peut-être toucher le bout de bois dès ce soir ...on pourra dire que Roumat n'aura strictement rien à regretter ....pas même d'être le fils de son père  

patrick a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

patrick a écrit:

Scalp a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/06/17/top-14-romain-ntamack-jai-fait-beaucoup-de-sacrifices-pour-en-etre-la-11281986.php

Top 14 - Romain Ntamack : "J’ai fait beaucoup de sacrifices pour en être là"

Par Jérémy Fadat

Romain Ntamack revient sur son expérience personnelle, son ambition, sa passion pour ce sport et son envie aujourd’hui de la partager, à travers plusieurs initiatives.

Entre l’application que vous avez créée pour aider à progresser dans le jeu au pied et cette bande dessinée qui retrace votre parcours, vous semblez vouloir entretenir un rapport fort avec la jeunesse…

Oui, c’est vrai. Le livre ou l’application, ce sont des choses qui parlent beaucoup aux jeunes.Mais c’est aussi parce que je suis très reconnaissant de tout ce qu’on m’a appris et transmis quand j’étais petit. Je me rends compte aujourd’hui à quel point cela a été déterminant et c’est donc très important d’avoir ce rapport aux jeunes, de leur transmettre tout ce que j’ai reçu à leur âge. Tout le monde n’a pas la chance de bénéficier au quotidien de tous les conseils que j’ai pu avoir en étant jeune. Je fais évidemment référence à mon père mais aussi à tous les éducateurs qui ont été les miens au Stade toulousain. C’est ce que j’essaye de rendre maintenant à travers ces projets.

Le fait d’avoir été exposé très jeune vous donne-t-il aussi cette responsabilité ?

J’ai très vite été exposé médiatiquement. Je ne sais pas si cela influence vraiment mon envie de parler aux jeunes rugbymen… Mais j’ai toujours été passionné par mon sport et c’est le cas de beaucoup d’enfants. Par mon expérience personnelle, avec effectivement le fait d’avoir été rapidement mis en lumière, je pense pouvoir modestement et à mon échelle les aider ou les inspirer. Le plus important, c’est de vivre cette passion à fond et de croire en ses rêves.

Aux yeux de certains, vous aviez l’image d’un surdoué, pour qui tout a été facile…

Je l’ai entendu parfois, oui. Mon père était connu, a réussi mais cela ne me garantissait rien. C’était certainement un privilège de l’avoir à mes côtés mais j’ai dû me battre. Comme tout joueur, j’ai dû faire mes preuves à chaque étape, même sûrement plus que la plupart des autres parce que j’avais un nom, un papa connu dans ce milieu et que les attentes étaient grandes autour de moi. Il a fallu que je montre que j’en voulais, que mon ambition était d’être le meilleur et le premier.Je sais que j’ai bossé plus dur que les autres. J’ai fait beaucoup de sacrifices pour en être là.L’été, quand certains partaient en vacances, j’allais courir sur le terrain, faire de la musculation et du gainage. Parce que mon but était d’arriver en haut. Je voulais prouver à tout le monde que, si j’y parvenais, c’était grâce à mon travail, pas à mon nom. C’est exactement le message du livre d’ailleurs. Quand on vise quelque chose, il n’y a qu’une seule voie : celle du travail.

Avez-vous conscience d’être souvent un modèle, que ce soit à Toulouse ou en sélection ?

Bien sûr, cela implique indirectement certaines responsabilités.Nous sommes regardés par les plus jeunes et souvent pris en exemple. Cela oblige à être justement le plus exemplaire possible vis-à-vis d’eux. Je me dois d’être respectueux envers les gens qui nous suivent, qui nous aiment.Franchement, pour en parler aussi avec mes coéquipiers, on n’aime pas forcément se dire que nous sommes des exemples car ça peut paraître prétentieux mais force est de constater que beaucoup de personnes nous prennent en modèles, et notamment des enfants. Je ne veux pas manquer d’humilité en le disant mais c’est une réalité.Ce que je vis tous les jours, en tant que sportif de haut niveau, j’ai quelque part le devoir de le partager.

D’autant que le XVde France gagne et fait s’intéresser les gens au rugby…

Oui, il y a la Coupe du monde en France et les résultats de l’équipe nationale sont bons depuis des années. On voit bien que nous sommes très suivis, encore plus qu’avant. Cette exposition a un avantage, c’est qu’elle donne envie aux jeunes de jouer au rugby.Le nombre de licenciés explose chaque année, ce qui signifie que ça les intéresse. Notre rôle, à nous joueurs, c’est aussi de leur transmettre l’amour de ce sport, leur montrer que tout est possible quand on s’en donne les moyens.

Comment vivez-vous les attentes du public ?

On les voit, on les entend, on les ressent. D’ailleurs, dès qu’on croise des gens, ils ne manquent pas de nous le rappeler, toujours de manière bienveillante.Mais, encore une fois, c’est une bonne chose. S’ils ont beaucoup d’attentes, c’est qu’ils croient en nous et qu’on leur offre de l’espoir. Que penserait-on si personne ne venait nous dire « Allez, cette année, c’est la vôtre, il faut gagner » ? On serait alors pris pour des nuls, pour des mecs que ça ne sert à rien de soutenir. Ce n’est pas le cas. Que ce soit à Toulouse ou en équipe de France, les gens sont vraiment derrière nous.

Cela ne vous met-il pas une pression supplémentaire sur les épaules ?

Elle existe, et tant mieux.J’appelle ça la bonne pression, le bon stress.C’est ce qui nous doit motiver encore davantage à remporter des titres.

Avec les projets évoqués précédemment, vous dépassez le cadre habituel d’un joueur de rugby.Est-ce une volonté de votre part ?

Oui, mais je reste dans mon domaine qu’est le rugby. Je ne suis pas trop du genre à clamer que le rugbyman doit dépasser le cadre de son sport.Mais, dans cette période qui voit la Coupe du monde en France approcher, il est important de faire découvrir notre sport, de parler à ceux qui ne le connaissent pas forcément. Après, je n’évoque pas la politique ou les domaines dans lesquels je suis moins à l’aise.

Certes Romain a du bosser mais si ça ne garantit pas tout, avoir son père comme modèle et toutes les facilités pratiques du ST pour progresser, ça ne freine pas toujours la réussite. Dans un autre domaine, étonnamment la plupart de ceux qui font de longues (et réussies) études sont ceux dont les parents en ont fait de même. Oui on peut aussi finir bon à rien bien après reçu toutes les facilités à la naissance mais c'est plus dur  Il me semble que son père qvait assez brusquement quitté son poste à l'UBB justement pour aller s'occuper de la carrière de ses fils. C'est très respectable mais que Romain dise aujourd'hui qu'il n'a pas était aidé est un peu fort de café. Félicitations à lui pour le niveau qu'il a atteint mais svp qu'il ne présente pas comme une victime de son nom.

C’est la reproduction. Les individus issus d’un certain milieu ont un avantage sur les autres individus qui ne sont pas du sérail. Ils ont les codes, les réseaux, la connaissance… aucune garantie de réussite cependant. Et souvent un regard réprobateur: c’est « le fils de ». On en arrive vite à des soupçons de piston…
C’est d’autant plus vrai dans les milieux fortement concurrentiels (sports, musique, cinéma etc…) où les places sont chères. Mais encore une fois, ça ne fait pas tout. Ces enfants auront toujours des regards suspicieux. Et à moins de dépasser le père en performance, il y aura toujours quelqu’un pour leur rappeler qu’ils sont là car ils sont les enfants de….
Le « fils à Émile »

Je pense qu'être du sérail a tout de même beaucoup plus d'avantages que d'inconvénients

Scalp a écrit:

sudiste a écrit:

coach2rugby a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

SympathyForTheDevil a écrit:Roumat titulaire en finale quel immense flop ce joueur

Je comprends pas bien. C’est de l’ironie vis à vis de ceux qui le décriaient ou tu penses que chez nous il faisait pas le taf?
Car pour moi c’est exactement le même joueur. Il est simplement maintenant dans un système qui lui convient mieux et qui utilise ses qualités.

Exactement. J'ai toujours dis qu'il est un joueur hyper talentueux mais qui ne s'y file pas assez pour moi. 

Très bon joueur à Toulouse mais qui serait même pas remplaçant dans plein d'équipe. Il est trop tributaire des 7 autres avants. 

On verra ce soir face à la bestialité rochelaise !!!!

Disons qu'on peut voir les choses de 2 façons :

- soit qu'on ne lui faisait pas confiance parce ce qu'il ne s'y filait pas assez chez nous
- soit qu'il ne s'y filait pas assez chez nous parce que de toutes les façons on ne lui faisait pas confiance

En tout cas dans l'échange des 3ème ligne Roumat vs Miquel nous n'avons rien gagner au change  

Etre titulaire en finale pour sa première année au sein de la meilleure équipe du Monde et peut-être toucher le bout de bois dès ce soir ...on pourra dire que Roumat n'aura strictement rien à regretter ....pas même d'être le fils de son père  

Ouep, il y aura duel entre Roumat et Alldritt et bien que je pense que Roumat a procrastiné chez nous, je vois son positionnement en 8, comme le signe que le ST n'a pas l'intention de n'aller qu'à la guerre contre LR, ça reste un joueur talentueux dont on connait les qualités, je lui souhaite de pouvoir les exprimer ce soir...

coach2rugby a écrit:

Scalp a écrit:

sudiste a écrit:

coach2rugby a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

SympathyForTheDevil a écrit:Roumat titulaire en finale quel immense flop ce joueur

Je comprends pas bien. C’est de l’ironie vis à vis de ceux qui le décriaient ou tu penses que chez nous il faisait pas le taf?
Car pour moi c’est exactement le même joueur. Il est simplement maintenant dans un système qui lui convient mieux et qui utilise ses qualités.

Exactement. J'ai toujours dis qu'il est un joueur hyper talentueux mais qui ne s'y file pas assez pour moi. 

Très bon joueur à Toulouse mais qui serait même pas remplaçant dans plein d'équipe. Il est trop tributaire des 7 autres avants. 

On verra ce soir face à la bestialité rochelaise !!!!

Disons qu'on peut voir les choses de 2 façons :

- soit qu'on ne lui faisait pas confiance parce ce qu'il ne s'y filait pas assez chez nous
- soit qu'il ne s'y filait pas assez chez nous parce que de toutes les façons on ne lui faisait pas confiance

En tout cas dans l'échange des 3ème ligne Roumat vs Miquel nous n'avons rien gagner au change  

Etre titulaire en finale pour sa première année au sein de la meilleure équipe du Monde et peut-être toucher le bout de bois dès ce soir ...on pourra dire que Roumat n'aura strictement rien à regretter ....pas même d'être le fils de son père  

Ouep, il y aura duel entre Roumat et Alldritt et bien que je pense que Roumat a procrastiné chez nous, je vois son positionnement en 8, comme le signe que le ST n'a pas l'intention de n'aller qu'à la guerre contre LR, ça reste un joueur talentueux dont on connait les qualités, je lui souhaite de pouvoir les exprimer ce soir...

Exact, mais on connaît aussi c'est défaut, et sa zone defensive va être visée par la Rochelle!!!!

sudiste a écrit:J'ai subitement changé d'avis : je ne serais pas contre le fait que LR mette une énorme taule au ST ...

nadoloubb a écrit:

coach2rugby a écrit:

Scalp a écrit:

sudiste a écrit:

coach2rugby a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

SympathyForTheDevil a écrit:Roumat titulaire en finale quel immense flop ce joueur

Je comprends pas bien. C’est de l’ironie vis à vis de ceux qui le décriaient ou tu penses que chez nous il faisait pas le taf?
Car pour moi c’est exactement le même joueur. Il est simplement maintenant dans un système qui lui convient mieux et qui utilise ses qualités.

Exactement. J'ai toujours dis qu'il est un joueur hyper talentueux mais qui ne s'y file pas assez pour moi. 

Très bon joueur à Toulouse mais qui serait même pas remplaçant dans plein d'équipe. Il est trop tributaire des 7 autres avants. 

On verra ce soir face à la bestialité rochelaise !!!!

Disons qu'on peut voir les choses de 2 façons :

- soit qu'on ne lui faisait pas confiance parce ce qu'il ne s'y filait pas assez chez nous
- soit qu'il ne s'y filait pas assez chez nous parce que de toutes les façons on ne lui faisait pas confiance

En tout cas dans l'échange des 3ème ligne Roumat vs Miquel nous n'avons rien gagner au change  

Etre titulaire en finale pour sa première année au sein de la meilleure équipe du Monde et peut-être toucher le bout de bois dès ce soir ...on pourra dire que Roumat n'aura strictement rien à regretter ....pas même d'être le fils de son père  

Ouep, il y aura duel entre Roumat et Alldritt et bien que je pense que Roumat a procrastiné chez nous, je vois son positionnement en 8, comme le signe que le ST n'a pas l'intention de n'aller qu'à la guerre contre LR, ça reste un joueur talentueux dont on connait les qualités, je lui souhaite de pouvoir les exprimer ce soir...

Exact, mais on connaît aussi c'est défaut, et sa zone defensive va être visée par la Rochelle!!!!

Après il y a deux machines à plaquer avec lui (Willis et cros c'est énorme).

Roumat est un très bon joueur mais il avait perdu sa place chez nous. Il se fond bien dans le collectif de Toulouse même si il faut pas oublier quil est titu car tolofua plus jelonch se sont blessés

sudiste a écrit:J'ai subitement changé d'avis : je ne serais pas contre le fait que LR mette une énorme taule au ST ...

sudiste a écrit:J'ai subitement changé d'avis : je ne serais pas contre le fait que LR mette une énorme taule au ST ...

kaze33 a écrit:Tranini

Cela va jaser sur l'arbitrage vu le pinguoi' que c'est

kaze33 a écrit:Perso, totalement neutre, aucune préférence. Que le meilleur gagne, de toute façon pour moi la saison de rugby s'est terminé samedi dernier