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Iturria au Musée d'Aquitaine
4 participants
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Page 1 sur 1
Iturria au Musée d'Aquitaine
SO : Vendredi 2 mars 2012
http://www.sudouest.fr/2012/03/04/iturria-roi-des-moustiques-649688-766.php
Par Stéphane C. JONATHAN
Iturria, roi des moustiques
Jusqu'en juin, le Musée d'Aquitaine, à Bordeaux, accueille une grande rétrospective consacrée à Michel Iturria, 65 ans, dessinateur (« cartooniste », corrige-t-il) publié dès 1964 dans les colonnes de « Sud Ouest » dont il est membre de la rédaction depuis 1974. On le voit ici au milieu de ses fameux Rubipèdes. (photo Thierry David)
Disciple de Sempé et Chaval (qui le précédèrent à « Sud Ouest »), fan inconditionnel de James Thurber (« La Vie secrète de Walter Mitty »), Bosc et des « Peanuts » de Charles Schulz, Iturria, 65 ans, exerce son art depuis cinq décennies. Le père de l'élève Grabouilleau et des Rubipèdes est aussi un éditorialiste pointu, en même temps qu'un chic type, jovial et chaleureux, fin lettré, toujours prompt à rire de l'incommensurable connerie des hommes. Interview.
« Sud Ouest Dimanche ». Revendiquez-vous la fonction d'éditorialiste attachée au dessinateur de presse ?
Michel Iturria. Oui… mais à ma manière. Un vrai édito se compose d'une série d'arguments et d'un développement. Moi, je n'ai pas droit à tout ça : un dessin de presse, c'est une idée et une seule. Je crois en fait que le genre journalistique dont cet exercice se rapproche le plus est le « billet ». Un genre qui exige de la concision, ce qui le rend très difficile. Souvenez-vous de ce que disait Cocteau : « Excusez-moi, j'ai fait long ; je n'avais pas le temps de faire court ! »
Observez-vous un rituel précis avant de vous mettre au travail ?
J'aime bien dessiner à la plume, ce qui est totalement passéiste, les dessinateurs d'aujourd'hui préférant le feutre. Moi, je m'amuse : la plume, le crayon, le fusain… Cela m'impose tout un rituel de nettoyage des plumes que je dois ensuite essuyer… Ça m'aide à me concentrer.
Le jaillissement soudain d'une idée aboutie est une chose extrêmement rare. Cela arrive parfois, mais c'est l'exception. Mon travail consiste à prendre des feuilles blanches et à faire se cogner des idées, jusqu'à ce que le dessin finisse par se construire et naître.
Parmi vos 12 900 dessins publiés, quel est celui dont vous êtes le plus fier ?
J'ai toujours un faible pour celui qui représente Mitterrand face à l'immensité de l'océan déchaîné. Son chien dit : « On se sent petit » ; et lui répond : « Pas moi » (rires). J'aime bien cet autre, plus sombre, que j'ai fait suite à une série d'attentats de l'ETA. J'avais dessiné un taureau pour représenter l'Espagne, et en réfléchissant à la représentation du problème qui lui fait face, j'ai pensé au toro dans l'arène, qui, devant le picador, s'interroge sur la possibilité d'une négociation. « ¿ Negociar ? » se demande-t-il. Graphiquement, je l'aime bien.
Regrettez-vous d'avoir fait certains dessins ?
Aucun. Juste après le 11 Septembre, dans une émission de télé sur La Chaîne Parlementaire, Ivan Levaï m'avait demandé si je ne regrettais pas un dessin précis. J'y représentais les États-Unis sous les traits d'un pachyderme monstrueusement obèse mangeant un hamburger et buvant un Coca. Assis sur la planète Terre, il l'écrase de tout son poids et la déforme. Je comprends la question, mais j'avais fait ce dessin plusieurs mois avant le 11 Septembre. Alors, non, je ne le regrette pas : au moment où je l'ai dessiné, il reflétait la manière dont George W. Bush traitait le monde.
Comment les personnages politiques réagissent-ils à leurs caricatures ?
Je ne m'approche pas des hommes politiques dans la vie, c'est une règle. Il m'arrive d'en croiser, mais je les fréquente le moins possible. Foncièrement, je les aime bien. C'est sans doute pourquoi je les châtie bien, aussi ! Ils sont indispensables à toute démocratie, font un métier parmi les plus difficiles qui soient.
Je sais que mes dessins peuvent blesser. Mais je fais un travail de journaliste, ce qui inclut une part importante de responsabilité. Tout est question d'équilibre. Je réfléchis toujours avant de lâcher mon dessin. La blessure qu'il peut engendrer est à la hauteur de l'indignation qui m'a poussé à le faire.
Des commentaires sur mon travail, parfois pittoresques, me sont régulièrement rapportés par des confrères. Tiens, une histoire : au moment du fameux « gouffre » financier des Girondins de Bordeaux, j'avais dessiné Chaban dans son imper, qui marchait en disant sa phrase culte « Bordeaux ira de l'avant »… avec un pied au-dessus d'un immense trou au fond duquel j'avais dessiné les pires horreurs, des insectes répugnants, des cloportes…
Chaban avait fait part de son exaspération à un journaliste en ces termes : « Je commence à en avoir marre des piqûres du moustique ! » Il cherchait à me déprécier en me traitant de « moustique » (quoi de plus pénible qu'un moustique la nuit ?), mais il ignorait qu'il m'adressait en fait un compliment magnifique : plusieurs associations de dessinateurs de presse dans le monde se revendiquent de la guêpe ou du moustique ! (Rires.) El Mosquito en Argentine, Zanzari en Italie…
Le plus grand honneur serait qu'il m'arrive la même chose qu'au cartooniste américain Gary Larson : l'Académie des sciences américaine a donné son nom à une nouvelle espèce de pou qu'elle a découverte, le Strigiphilus Garilarsoni. Qu'on donne mon nom à une variété de moustiques, ce serait mieux que la Légion d'honneur !
« Iturria, la vie comme elle va ! » Jusqu'au 3 juin au Musée d'Aquitaine, à Bordeaux. Ouvert tous les jours sauf le lundi, de 11 à 18 heures. Tél. 05 56 01 51 00 ou www.bordeaux.fr.
« Je m'arme de feuilles blanches et fais se cogner des idées, jusqu'à ce que le dessin finisse par naître »
N'hésitons pas à aller fêter cet artiste/politicien/citoyen/père d'Achille, Patrocle et consorts, et même faisons le tant qu'il est bien vivant, c'est quand même mieux
Petit rappel :
http://www.sudouest.fr/2012/03/04/iturria-roi-des-moustiques-649688-766.php
Par Stéphane C. JONATHAN
Iturria, roi des moustiques
Jusqu'en juin, le Musée d'Aquitaine, à Bordeaux, accueille une grande rétrospective consacrée à Michel Iturria, 65 ans, dessinateur (« cartooniste », corrige-t-il) publié dès 1964 dans les colonnes de « Sud Ouest » dont il est membre de la rédaction depuis 1974. On le voit ici au milieu de ses fameux Rubipèdes. (photo Thierry David)
Disciple de Sempé et Chaval (qui le précédèrent à « Sud Ouest »), fan inconditionnel de James Thurber (« La Vie secrète de Walter Mitty »), Bosc et des « Peanuts » de Charles Schulz, Iturria, 65 ans, exerce son art depuis cinq décennies. Le père de l'élève Grabouilleau et des Rubipèdes est aussi un éditorialiste pointu, en même temps qu'un chic type, jovial et chaleureux, fin lettré, toujours prompt à rire de l'incommensurable connerie des hommes. Interview.
« Sud Ouest Dimanche ». Revendiquez-vous la fonction d'éditorialiste attachée au dessinateur de presse ?
Michel Iturria. Oui… mais à ma manière. Un vrai édito se compose d'une série d'arguments et d'un développement. Moi, je n'ai pas droit à tout ça : un dessin de presse, c'est une idée et une seule. Je crois en fait que le genre journalistique dont cet exercice se rapproche le plus est le « billet ». Un genre qui exige de la concision, ce qui le rend très difficile. Souvenez-vous de ce que disait Cocteau : « Excusez-moi, j'ai fait long ; je n'avais pas le temps de faire court ! »
Observez-vous un rituel précis avant de vous mettre au travail ?
J'aime bien dessiner à la plume, ce qui est totalement passéiste, les dessinateurs d'aujourd'hui préférant le feutre. Moi, je m'amuse : la plume, le crayon, le fusain… Cela m'impose tout un rituel de nettoyage des plumes que je dois ensuite essuyer… Ça m'aide à me concentrer.
Le jaillissement soudain d'une idée aboutie est une chose extrêmement rare. Cela arrive parfois, mais c'est l'exception. Mon travail consiste à prendre des feuilles blanches et à faire se cogner des idées, jusqu'à ce que le dessin finisse par se construire et naître.
Parmi vos 12 900 dessins publiés, quel est celui dont vous êtes le plus fier ?
J'ai toujours un faible pour celui qui représente Mitterrand face à l'immensité de l'océan déchaîné. Son chien dit : « On se sent petit » ; et lui répond : « Pas moi » (rires). J'aime bien cet autre, plus sombre, que j'ai fait suite à une série d'attentats de l'ETA. J'avais dessiné un taureau pour représenter l'Espagne, et en réfléchissant à la représentation du problème qui lui fait face, j'ai pensé au toro dans l'arène, qui, devant le picador, s'interroge sur la possibilité d'une négociation. « ¿ Negociar ? » se demande-t-il. Graphiquement, je l'aime bien.
Regrettez-vous d'avoir fait certains dessins ?
Aucun. Juste après le 11 Septembre, dans une émission de télé sur La Chaîne Parlementaire, Ivan Levaï m'avait demandé si je ne regrettais pas un dessin précis. J'y représentais les États-Unis sous les traits d'un pachyderme monstrueusement obèse mangeant un hamburger et buvant un Coca. Assis sur la planète Terre, il l'écrase de tout son poids et la déforme. Je comprends la question, mais j'avais fait ce dessin plusieurs mois avant le 11 Septembre. Alors, non, je ne le regrette pas : au moment où je l'ai dessiné, il reflétait la manière dont George W. Bush traitait le monde.
Comment les personnages politiques réagissent-ils à leurs caricatures ?
Je ne m'approche pas des hommes politiques dans la vie, c'est une règle. Il m'arrive d'en croiser, mais je les fréquente le moins possible. Foncièrement, je les aime bien. C'est sans doute pourquoi je les châtie bien, aussi ! Ils sont indispensables à toute démocratie, font un métier parmi les plus difficiles qui soient.
Je sais que mes dessins peuvent blesser. Mais je fais un travail de journaliste, ce qui inclut une part importante de responsabilité. Tout est question d'équilibre. Je réfléchis toujours avant de lâcher mon dessin. La blessure qu'il peut engendrer est à la hauteur de l'indignation qui m'a poussé à le faire.
Des commentaires sur mon travail, parfois pittoresques, me sont régulièrement rapportés par des confrères. Tiens, une histoire : au moment du fameux « gouffre » financier des Girondins de Bordeaux, j'avais dessiné Chaban dans son imper, qui marchait en disant sa phrase culte « Bordeaux ira de l'avant »… avec un pied au-dessus d'un immense trou au fond duquel j'avais dessiné les pires horreurs, des insectes répugnants, des cloportes…
Chaban avait fait part de son exaspération à un journaliste en ces termes : « Je commence à en avoir marre des piqûres du moustique ! » Il cherchait à me déprécier en me traitant de « moustique » (quoi de plus pénible qu'un moustique la nuit ?), mais il ignorait qu'il m'adressait en fait un compliment magnifique : plusieurs associations de dessinateurs de presse dans le monde se revendiquent de la guêpe ou du moustique ! (Rires.) El Mosquito en Argentine, Zanzari en Italie…
Le plus grand honneur serait qu'il m'arrive la même chose qu'au cartooniste américain Gary Larson : l'Académie des sciences américaine a donné son nom à une nouvelle espèce de pou qu'elle a découverte, le Strigiphilus Garilarsoni. Qu'on donne mon nom à une variété de moustiques, ce serait mieux que la Légion d'honneur !
« Iturria, la vie comme elle va ! » Jusqu'au 3 juin au Musée d'Aquitaine, à Bordeaux. Ouvert tous les jours sauf le lundi, de 11 à 18 heures. Tél. 05 56 01 51 00 ou www.bordeaux.fr.
« Je m'arme de feuilles blanches et fais se cogner des idées, jusqu'à ce que le dessin finisse par naître »
N'hésitons pas à aller fêter cet artiste/politicien/citoyen/père d'Achille, Patrocle et consorts, et même faisons le tant qu'il est bien vivant, c'est quand même mieux
Petit rappel :
_________________
Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: Iturria au Musée d'Aquitaine
Merci Patrick..
Itturia fait parti du patrimoine Aquitain !
Cours Pasteur, pas loin du boulot en plus... et durant 3 mois !
Les moustaches et la pipe... c'est terminé !!
Situation de famille : Basque marié à une Corse.
Donne ses premiers dessins à " Sud-Ouest Dimanche ", collabore ensuite à diverses publications de " L'Os à Moelle " à " Lui " en passant par " Le canard Sauvage ", " Télérama ", " Pilote " (" Les Rubipèdes " en 1973).
En 1974, Michel Iturria entre à " Sud Ouest ". Depuis, il publie quotidiennement un dessin inspiré par l'actualité.
Grand Prix de l'Humour Vache en 1989, Iturria illustre sur Antenne 2 les soirées électorales des Présidentielles de 88 et des Européennes de 89.
Michel Iturria a publié 17 recueils de dessins politiques et 8 albums de BD : " Les Rubipèdes ".
http://iturria.blogs.sudouest.fr/archive/2010/02/10/le-retour-des-rubipedes.html
Tiens c'est tordant les mêmes couleurs que.... La Voulte
Itturia fait parti du patrimoine Aquitain !
Cours Pasteur, pas loin du boulot en plus... et durant 3 mois !
Les moustaches et la pipe... c'est terminé !!
Situation de famille : Basque marié à une Corse.
Donne ses premiers dessins à " Sud-Ouest Dimanche ", collabore ensuite à diverses publications de " L'Os à Moelle " à " Lui " en passant par " Le canard Sauvage ", " Télérama ", " Pilote " (" Les Rubipèdes " en 1973).
En 1974, Michel Iturria entre à " Sud Ouest ". Depuis, il publie quotidiennement un dessin inspiré par l'actualité.
Grand Prix de l'Humour Vache en 1989, Iturria illustre sur Antenne 2 les soirées électorales des Présidentielles de 88 et des Européennes de 89.
Michel Iturria a publié 17 recueils de dessins politiques et 8 albums de BD : " Les Rubipèdes ".
http://iturria.blogs.sudouest.fr/archive/2010/02/10/le-retour-des-rubipedes.html
Tiens c'est tordant les mêmes couleurs que.... La Voulte
Pat- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 10405
Localisation : VO
Date d'inscription : 16/11/2008
Humeur : ça dépendait d'un Gascon ... à béret béarnais !
Re: Iturria au Musée d'Aquitaine
Autre fait marquant (oublié) dans le bio d'Iturria, "il a (involontairement) participé à la bannière du célèbre forum AllezUnion.com"
_________________
Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: Iturria au Musée d'Aquitaine
S'il veut (volontairement) cette fois nous légender chaque sous forum avec un dessin à lui, ce sera d'ailleurs avec plaisir
Sinon, ben, je fais partie de ceux qui ont grandi avec lui, que ce soit par ses dessins dans le Sud Ouest, ou par les Rubipèdes, dont j'ai acheté toute la collection lors de sa diffusion récente avec Sud Ouest.
Du coup, j'en ai en double avec les quelques très vieux albums que j'ai conservé de ma jeunesse.
Si vous nous lisez, merci à vous m'sieur Iturria pour cette image légère que vous avez su donner du rugby avec les Patrocles, Achille, Diomède, etc...
Sinon, ben, je fais partie de ceux qui ont grandi avec lui, que ce soit par ses dessins dans le Sud Ouest, ou par les Rubipèdes, dont j'ai acheté toute la collection lors de sa diffusion récente avec Sud Ouest.
Du coup, j'en ai en double avec les quelques très vieux albums que j'ai conservé de ma jeunesse.
Si vous nous lisez, merci à vous m'sieur Iturria pour cette image légère que vous avez su donner du rugby avec les Patrocles, Achille, Diomède, etc...
_________________
Olivier- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 1583
Localisation : Aire sur l'Adour
Date d'inscription : 22/12/2008
Humeur : Ca dépend de mon humeur
Age : 54
Re: Iturria au Musée d'Aquitaine
Le logo des Musardingues a aussi été commis par Michel
Damier-Muzard- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 721
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 09/03/2009
Humeur : Isole-toi... mais pas tout seul !!!
Age : 76
Re: Iturria au Musée d'Aquitaine
Damier-Muzard a écrit:Le logo des Musardingues a aussi été commis par Michel
Effectivement très réussi !
Pat- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 10405
Localisation : VO
Date d'inscription : 16/11/2008
Humeur : ça dépendait d'un Gascon ... à béret béarnais !
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