Re: 21e journée : UBB / Clermont

**densnewzealand** Sam 20 Avr 2024 - 5:32

Scalp a écrit:
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Ils en font pas un peu trop !! On va pas les passer à la question! Ni leur demander de nous dévoiler les codes nucléaires. Quelles sont leurs obligations? Bref quel cirque.

**densnewzealand** Sam 20 Avr 2024 - 5:35

Dr. Gregory Bouse a écrit:
Scalp a écrit:Bordeaux-Bègles (UBB) : Jalibert et Penaud titulaires face à Clermont, Poirot absent quatre semaines

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je me demande quand Poirot n'est pas blessé... on tourne en permanence sur 2 piliers valides et encore ! va falloir que les jeunes pousses prennent le pouvoir sans se poser de questions.

Je crois que c’est sa 3 ieme blessure de la saison. On est pas terrible à ce poste ….

Vince33 Sam 20 Avr 2024 - 7:23

Dr. Gregory Bouse a écrit:
Scalp a écrit:Bordeaux-Bègles (UBB) : Jalibert et Penaud titulaires face à Clermont, Poirot absent quatre semaines

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je me demande quand Poirot n'est pas blessé... on tourne en permanence sur 2 piliers valides et encore ! va falloir que les jeunes pousses prennent le pouvoir sans se poser de questions.

Salut Doc , d'un autre coté nous connaissons la fragilité de Jeff aux niveaux des cervicales et pour un pilier c'est suicidaire de jouer dans ces conditions .
C'est surtout dommage pour lui qui a fait un match consistant face aux Saracens .
L'ennui c'est que face aux Quins Kaulashvili n'a pas relevé le gant , j'espère que Boniface avec son envie saura suppléer Jeff .

L'autre point c'est que Poirot est un leader de vestiaire et devant nous les cherchons . J'espère par exemple qu'un Guido Petti ( qui aura beaucoup de compatriotes face à lui dimanche soir ) va enfin prendre ses responsabilités .
Le retour de Mamad de ce point de vue est très positif .
Car, nous le savons tous, inutile d'évoquer les "magiciens" la "patrouille de France" etc ....... si nous sommes bouffés devant .

Bordelais exilé ds le 31 Sam 20 Avr 2024 - 7:49

Vince33 a écrit:
Dr. Gregory Bouse a écrit:
Scalp a écrit:Bordeaux-Bègles (UBB) : Jalibert et Penaud titulaires face à Clermont, Poirot absent quatre semaines

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je me demande quand Poirot n'est pas blessé... on tourne en permanence sur 2 piliers valides et encore ! va falloir que les jeunes pousses prennent le pouvoir sans se poser de questions.

Salut Doc , d'un autre coté nous connaissons la fragilité de Jeff aux niveaux des cervicales et pour un pilier c'est suicidaire de jouer dans ces conditions .
C'est surtout dommage pour lui qui a fait un match consistant face aux Saracens .
L'ennui c'est que face aux Quins Kaulashvili n'a pas relevé le gant , j'espère que Boniface avec son envie saura suppléer Jeff .

L'autre point c'est que Poirot est un leader de vestiaire et devant nous les cherchons . J'espère par exemple qu'un Guido Petti ( qui aura beaucoup de compatriotes face à lui dimanche soir ) va enfin prendre ses responsabilités .
Le retour de Mamad de ce point de vue est très positif .
Car, nous le savons tous, inutile d'évoquer les "magiciens" la "patrouille de France" etc ....... si nous sommes bouffés devant .

On l'a vu contre les Harlequins

**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 8:32

densnewzealand a écrit:
Scalp a écrit:
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Ils en font pas un peu trop !! On va pas les passer à la question! Ni leur demander de nous dévoiler les codes nucléaires. Quelles sont leurs obligations? Bref quel cirque.

Ne t'inquiète pas, il parlera après, surtout en cas de victoire, en attendant, il ne veut pas nous donner de biscuits, avec certaines déclarations à l'emporte-pièce dont il est coutumier, il se connait :chambreur:

**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 8:39

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Salary cap, profusion de talents, doublons... Pourquoi le Top 14 est aussi serré

Mieux qu'une série Netflix, le Top 14 et son suspense insoutenable. Jamais le championnat n'avait été aussi homogène avec des clubs regardant autant devant et les phases finales que derrière pour s'assurer au plus vite du maintien. Explications.

Patrick Sowden

C'est une formule que Sébastien Piquéronies, manageur de la Section paloise lâche régulièrement, mi-sérieux, mi-amusé : « Aux journalistes de Canal +, je dis qu'ils sont en train de créer un thriller passionnant où un jour, à la 25e journée, on jouera le Top 6 ou la descente ! » On est à la 20e journée et le suspense est là : entre l'UBB, sixième, et Lyon, 12e, il n'y a que 7 points !

Perpignan, longtemps promis au barrage, est aussi proche du Top 6, à 5 points, que de la 13e place, à 6 ! Des clubs regardent devant tout en gardant un oeil dans le rétro, les autres s'inquiètent de ce qui se passe en dessous tout en rêvant de se glisser in fine dans les 6 premiers. Parfois les mêmes d'une semaine sur l'autre en fonction des résultats de la journée. Strabisme assuré.

« Il n'y a aucun ventre mou. Tout le monde calcule tout le monde »
Christophe Laussucq, entraîneur de la défense de l'UBB

« Dix ou onze équipes annoncent en début de saison jouer la qualification, assure Christophe Laussucq, l'entraîneur de la défense de l'UBB. La formule de ce championnat est excitante avec des enjeux à tous les niveaux : les deux premières places, l'enjeu pour recevoir en barrage, l'enjeu Champions Cup etc. Il n'y a aucun ventre mou. Tout le monde calcule tout le monde ».

Pour Yann Roubert, le président du LOU, en lutte pour le maintien : « Tous les clubs sont capables de tout. L'an dernier, on est 7e avant la dernière journée et on finit 3e. Il y a deux saisons on peut terminer dans les 6 en battant la Rochelle à la dernière journée mais on perd et on finit neuvième hors des places qualificatives pour la Coupe des Champions ! »

Le salary cap, moteur du suspense

Pour les acteurs du Top 14, la raison première de cette homogénéité, c'est le salary Cap : « C'est le facteur déterminant, considère Roubert. Le salary cap nivelle par le haut. Cela exacerbe le niveau de la compétition et la compétitivité des clubs. Les différences de masse salariale c'est entre 7 et 12 millions d'euros en Top 14, en foot, ce doit être de 1 à 100 ».

Et comme le précise Philippe Saint-André, l'ancien manager du MHR : « Sur les 14 clubs, il doit y en avoir dix ou onze qui sont au maximum de ce qu'ils peuvent dépenser en salaires. D'où une gestion complexe. Tu ne peux pas payer trop un joueur sinon tu dois te limiter en effectif, or il faut du banc pour ce championnat ».

Christophe Laussucq se souvient d'une période où les pronostics étaient plus simples : « Trois clubs, Toulouse, Stade Français et Biarritz, attiraient tous les "gros" joueurs et se partageaient les titres (tous entre 1996 et 2008). Aujourd'hui tout le monde est compétitif sur la ligne de départ. »

De jeunes talents partout

« Le salary cap nécessite d'investir sur des jeunes à gros potentiel, explique l'ancien sélectionneur des Bleus Philippe Saint-André. La règle des Jiffs (ndlr : qui oblige les clubs à aligner en moyenne au moins seize joueurs issus des filières de formation) est positive pour le rugby français avec des moins de 20 ans champions du monde, de jeunes joueurs qui entrent très tôt dans les rotations en club. Ça oblige les clubs à travailler la formation, à développer leurs centres. »

Christophe Laussucq poursuit : « Si le salary cap bouge peu, les budgets des clubs ont eux beaucoup augmenté pour investir ailleurs que sur la masse salariale qui avant devait représenter 75 % du budget. Il y a plus d'argent à répartir sur les installations, les structures, les staffs etc. » Et le rugby français profite de l'éclosion des Depoortère, Gailleton, Bielle-Biarrey, Tuilagi, Auradou etc, une génération révélée ces derniers mois.

La bonne santé du rugby pro

Aux jeunes issus de la formation, aux joueurs de club, « Il y a aussi des étrangers qui apportent une plus-value mais c'est six ou sept maxi par feuille de match », précise Philippe Saint-André. Des joueurs top classe britanniques sont venus trouver refuge en France vu les difficultés économiques outre-Manche : Siya Kolisi et bientôt Owen Farrell au Racing, Sam Whitelock à Pau, Courtney Lawes à Brive en Pro D2.

Une Pro D2 où des clubs émergents et ambitieux comme Vannes, Provence, Nevers rejoignent les prétendants habituels. « Quand on voit que le rugby anglais peine à avoir dix clubs pros, nous, on en a trente qui tiennent la route, s'enthousiasme Piquéronies. Dans chaque club, il y a des dirigeants compétents, des moyens, des infrastructures, des staffs cohérents, des projets structurés sur le moyen ou le long terme. Il y a tous les ingrédients qui font que par ruissellement c'est très condensé ».

Les doublons pour rebattre les cartes

Chaque année, les doublons jouent les perturbateurs. Et cette saison, avec la Coupe du monde, il y a même eu double ration. La Rochelle, privée de ses gros porteurs et 12e après cinq journées, en a souffert. Durant le Tournoi, c'est le Racing (4 points pris sur la période de six matches), Toulon ou l'UBB (9 points) qui ont tiré la langue.

« Aucun club n'arrive à faire dix mois d'affilée au top et en même temps le moindre point compte »
Sébastien Piquéronies, manageur de la Section paloise

« On ne va pas se plaindre d'avoir des internationaux mais ce n'est pas simple à gérer même si Toulouse, avec son effectif et son expérience sait faire, reconnaît Christophe Laussucq. Les internationaux auront fait quasi douze mois non-stop entre le début de la préparation de la Coupe du monde jusqu'à la phase finale. Même s'il y a des petites semaines de repos, c'est très éprouvant et on tire sur la corde ». Avec le risque qu'elle lâche.

Les doublons ont rebattu les cartes : le Stade Français, peu impacté par les absents, a conforté son avance, l'UBB, Toulon, le Racing ont perdu la leur, le MHR largué a recollé (21 points pris), tout s'est resserré.

Une compétition sans répit

Enfin, il y a ce Top 14 qu'on assimile à un marathon. « Le rugby est un sport de fraîcheur et de lien entre les hommes, rappelle le manageur de la Section paloise. Aucun club n'arrive à faire dix mois d'affilée au top et en même temps le moindre point compte. Il y a des sautes de compétitivité dans tous les clubs, y compris les gros. Partout ça travaille bien pour gérer les effectifs mais il suffit qu'il y ait des sélectionnés, des blessés et tu te retrouves à subir ».

Comme le LOU qui a compté jusqu'à vingt blessés au coeur de l'hiver, dont la plupart des joueurs importants de l'effectif.

Philippe Saint-André le sait. Quand son MHR a été sacré il y a deux ans, il était allé au bout avec un « effectif pratiquement à 100 % si ce n'est les blessures de Willemse et Reinach. Le Top 14, c'est un mangeur d'hommes qui pompe toute ton énergie ».

Une épreuve pour les acteurs, un régal pour les suiveurs. « Tous les clubs travaillent bien, conclut Yann Roubert. C'est nécessaire mais pas suffisant. C'est comme avoir un ou plusieurs facteurs X dans son équipe, c'est nécessaire mais pas suffisant. Dans le Top 14, on peut cocher beaucoup de cases, ça n'offre pas une garantie 100 %. »

**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 8:42

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Union Bordeaux-Bègles (UBB) : le cinq de devant en rédemption
Lecture 2 min

Par Denys Kappès-Grangé

L’élimination de l’UBB face aux Harlequins en Champions Cup a réveillé les doutes portant sur la consistance de son cinq de devant au plus haut niveau. Une inquiétude à évacuer

Voilà une (double) information de nature à entretenir les crises de strabisme que provoquent les coups d’œil un peu trop rapides sur l’UBB. Cantonnés aux tribunes lors de la douloureuse élimination face aux Harlequins (41-42), samedi dernier en quart de finale de la Champions Cup, Matthieu Jalibert et Damian Penaud seront titulaires face à Clermont dimanche soir, en clôture de la 21e journée de Top 14.

Le retour de deux des plus beaux diamants de l’attaque va une fois de plus braquer les projecteurs sur la ligne de trois-quarts bordelaise. Une lumière dont l’éclat ne devrait pas souffrir de l’absence de Yoram Moefana, auquel le club devait une semaine de vacances dans la foulée de son Six-Nations disputé avec le XV de France.

Pourtant, s’il y a bien un enseignement à retenir de l’élimination face aux « Quins », c’est bien que c’est le paquet d’avants girondins qu’il convient de scruter en priorité dans l’optique du sprint final dans ce championnat. Et tout particulièrement, la densité du cinq de devant.

C’était un point d’inquiétude en début de saison. Des craintes qui avaient été atténuées par la suite lors de la bonne série de l’UBB. Mais elles ont été de nouveau réveillées face aux Anglais. Lors de ce premier grand rendez-vous de la saison à Bordeaux - ville hôte des demi-finales du Top 14, faut-il le rappeler ? - les Bordelais ont été dominés dans les collisions qui rythment le jeu d’avants, mais aussi en mêlée et sur les ballons portés. C’est beaucoup. Et c’est surtout rédhibitoire à ce niveau-là.

« On n’a rien gagné »

Tout en se gardant bien d’incriminer ses avants directement, Yannick Bru l’avait d’ailleurs déploré à chaud à l’issue du match : « Des lumières rouges se sont allumées dans certains secteurs. On ne pourra rien ambitionner dans nos objectifs si on ne corrige pas ces secteurs. »

Une déclaration suivie d’un examen de conscience. Il a été effectué sans concession, en début de semaine, dans l’intimité du groupe lors de la séance vidéo au Ceva Campus à Bègles. Cela même si une fois de plus, le manager de l’UBB reste tout en retenue.

« Il y a quelques secteurs sur lesquels on a été inconsistants, prolonge Yannick Bru. Globalement, c’est le niveau d’effort qu’on ne s’est pas infligé qui a nous a coûté cher : que ce soit dans nos replacements, nos plaquages manqués et aussi dans la présence mentale sur certains rendez-vous autour du paquet d’avants. On a beaucoup de choses à se faire pardonner dimanche soir. »

Réagir suite à cette déception face au Clermont de Christophe Urios est une chose. Mais dans l’optique de la fin de saison, Yannick Bru voit plus loin. Pour entretenir son ambition, l’UBB doit se montrer beaucoup plus constante sur les fondamentaux.

« Ce qui t’arrive est la conséquence de ce que tu mets », pose le technicien bordelais : « La réalité, c’est qu’on est capable de faire des gros matchs avec un certain niveau de vigilance. Mais on est capable de tomber dans la facilité, la complaisance, quand on a moins peur. C’est ma responsabilité de transmettre ça. On doit évoluer sur notre niveau d’humilité quand les matchs importants arrivent. On n’a rien gagné, on a encore beaucoup de choses à faire pour se glisser au niveau des meilleurs. » Des mots qui tracent une vision claire pour le coup.

**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 8:49

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**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 13:30

Oublier l’Europe ou s’en servir…

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**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 16:02

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Ubb332006 Sam 20 Avr 2024 - 16:04

Lesgourgues souffle? Ou il est blessé? J ai pas vu d infos

**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 16:06

Ubb332006 a écrit:Lesgourgues souffle? Ou il est blessé? J ai pas vu d infos

Pas d'info de blessure pour Yann…

**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 16:15

Une équipe assez solide, avec une première ligne inédite, j'espère que Petti sera à la hauteur, un banc costaud, si ce n'est Abadie à la place de Yann. On voit qu'on pense aussi au déplacement à Bayonne, en préservant Tatafu, Meafana qui sera frais, et peut-être Yann titulaire think

Ubb332006 Sam 20 Avr 2024 - 16:16

Scalp a écrit:Une équipe assez solide, avec une première ligne inédite, j'espère que Petti sera à la hauteur, un banc costaud, si ce n'est Abadie à la place de Yann. On voit qu'on pense aussi au déplacement à Bayonne, en préservant Tatafu, Meafana qui sera frais, et peut-être Yann titulaire

Je le vois comme ça aussi pr bayonne. Avec Lucu sur le banc

**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 16:19

Ubb332006 a écrit:
Scalp a écrit:Une équipe assez solide, avec une première ligne inédite, j'espère que Petti sera à la hauteur, un banc costaud, si ce n'est Abadie à la place de Yann. On voit qu'on pense aussi au déplacement à Bayonne, en préservant Tatafu, Meafana qui sera frais, et peut-être Yann titulaire

Je le vois comme ça aussi pr bayonne. Avec Lucu sur le banc

Il y a des chances qu'on colle l'ex-Biarrot d'entrée de jeu au poste Wink

**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 16:21

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**Scalp** Sam 20 Avr 2024 - 16:21

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**densnewzealand** Sam 20 Avr 2024 - 16:40

Pas de Lavanini, Yato , Lee , Moala, l’effet jiff a frappé !

Charles_ubb Sam 20 Avr 2024 - 16:57

Ils sont tous blesses Wink

Bordelais exilé ds le 31 Sam 20 Avr 2024 - 17:38

Charles_ubb a écrit:Ils sont tous blesses

Mais ils ont encore de quoi nous embêter devant

**densnewzealand** Sam 20 Avr 2024 - 18:00

Charles_ubb a écrit:Ils sont tous blesses

Lavanini et Yato ne sont pas blessés.

nadoloubb Dim 21 Avr 2024 - 6:48

densnewzealand a écrit:
Charles_ubb a écrit:Ils sont tous blesses
Lavanini et Yato ne sont pas blessés.

Et yato est jiff :chambreur:

**densnewzealand** Dim 21 Avr 2024 - 6:56

nadoloubb a écrit:
densnewzealand a écrit:
Charles_ubb a écrit:Ils sont tous blesses
Lavanini et Yato ne sont pas blessés.

Et yato est jiff

‍�

léopold Dim 21 Avr 2024 - 7:15

Nicolas aura fort à faire face à Slimani qui est un gros vicieux, c'est là que l'arbitre aura tout son rôle à jouer du moins je l'espére.
Quand on voit comment Bayonne se l'est fait mettre à Paris en toute fin de match on comprend tout le rôle négatif que peuvent nous procurer les arbitres du Top14.

JMP33 Dim 21 Avr 2024 - 8:37

Surtout brousset je suis pas du tout fan.

**Big'Ben** Dim 21 Avr 2024 - 8:55

À moins d'avoir mal compté, 4 non jiff et beaucoup de jeune quand même... Urios n'est pas fou non plus, il sait très bien que sa saison ne se jouera pas à l'UBB, le contraire aurait été suicidaire. Ils ont d'autres échéances bien plus importantes Rolling Eyes

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