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Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
ced33 a écrit:Scalp a écrit:Coupe du monde rugby 2023 - Ces cinq joueurs qui ont plus à perdre qu'à gagner face à l'Écosse
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/04/coupe-du-monde-rugby-2023-ces-cinq-joueurs-qui-ont-plus-a-perdre-qua-gagner-face-a-lecosse-11376676.php
Et ça continue encore et encore, c'est que le début, d'accord d'accord......Rugbyrapute qui s'acharne sur MJ....sera-t-il vraiment en danger en cas de contre performance? Ils sont graves ces journaleux pro toulousains de merde!
RR deteste Matthieu pour une raison qui m’est inconnu, a moins que ce soit cette concurrence avec NTK, ils ont toujours mis la pression sur lui au travers de leurs articles à charge
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
grospaquet31 a écrit:ced33 a écrit:Scalp a écrit:Coupe du monde rugby 2023 - Ces cinq joueurs qui ont plus à perdre qu'à gagner face à l'Écosse
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/04/coupe-du-monde-rugby-2023-ces-cinq-joueurs-qui-ont-plus-a-perdre-qua-gagner-face-a-lecosse-11376676.php
Et ça continue encore et encore, c'est que le début, d'accord d'accord......Rugbyrapute qui s'acharne sur MJ....sera-t-il vraiment en danger en cas de contre performance? Ils sont graves ces journaleux pro toulousains de merde!
RR deteste Matthieu pour une raison qui m’est inconnu, a moins que ce soit cette concurrence avec NTK, ils ont toujours mis la pression sur lui au travers de leurs articles à charge
La médiocrité a toujours eu en horreur le talent, depuis la nuit des temps
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
ced33 a écrit:Scalp a écrit:Coupe du monde rugby 2023 - Ces cinq joueurs qui ont plus à perdre qu'à gagner face à l'Écosse
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Du coup, l'article est signé par un journaliste nommé Rugbyrama...du courage à revendre !
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Dr. Gregory Bouse a écrit:ced33 a écrit:Scalp a écrit:Coupe du monde rugby 2023 - Ces cinq joueurs qui ont plus à perdre qu'à gagner face à l'Écosse
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:ced33 a écrit:Scalp a écrit:Coupe du monde rugby 2023 - Ces cinq joueurs qui ont plus à perdre qu'à gagner face à l'Écosse
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/04/coupe-du-monde-rugby-2023-ces-cinq-joueurs-qui-ont-plus-a-perdre-qua-gagner-face-a-lecosse-11376676.php
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Du coup, l'article est signé par un journaliste nommé Rugbyrama...du courage à revendre !
ou alors c'est la redaction entiere qui a rassemblé ses neurones pour pondre cette purge.
Peut etre que Mermoz est actionnaire de RR?
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:ced33 a écrit:Scalp a écrit:Coupe du monde rugby 2023 - Ces cinq joueurs qui ont plus à perdre qu'à gagner face à l'Écosse
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/04/coupe-du-monde-rugby-2023-ces-cinq-joueurs-qui-ont-plus-a-perdre-qua-gagner-face-a-lecosse-11376676.php
Et ça continue encore et encore, c'est que le début, d'accord d'accord......Rugbyrapute qui s'acharne sur MJ....sera-t-il vraiment en danger en cas de contre performance? Ils sont graves ces journaleux pro toulousains de merde!
Du coup, l'article est signé par un journaliste nommé Rugbyrama...du courage à revendre !
ou alors c'est la redaction entiere qui a rassemblé ses neurones pour pondre cette purge.
Peut etre que Mermoz est actionnaire de RR?
Possible mais je doute que Baylet ouvre son capital...il gère sa boîte en famille...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Cette remise en cause systématique de Jalibert est lamentable ...alors qu'il est reconnu comme l'un des 2 meilleurs ouvreurs français il est le seul à être encore et encore mis en balance par RR
Pourtant il est le seul à avoir un statut particulier dans ce match : en effet il n'a RIEN à y gagner puisque même en sortant une prestation XXL il resterait ce "n°1 bis" (sic) pour la suite. Qu'a-t-il à prouver donc ?
Là où le seul intérêt que je vois à sa titularisation sur ce match est de le remettre dans le rythme international après son forfait pour le Tournoi, RR nous la présente comme une sorte de quitte ou double
L'évoquer en premier sous le sous-titre "risques de blessures" n'est-ce pas sous entendre une forme de fragilité pour le niveau internationnal D'ailleurs en quoi ce risque de blessure a à voir avec les 5 joueurs évoqués dans l'article ? Ne concerne-t-il pas l'ensemble du groupe? Bref de là à imaginer une sorte de prédiction (souhait?) inconsciente du rédacteur ...
Honnêtement le comportement de ce journal qui devrait être au soutien inconditionnel du XV de France si proche de l'échéance ultime est proprement minable !!!
Pourtant il est le seul à avoir un statut particulier dans ce match : en effet il n'a RIEN à y gagner puisque même en sortant une prestation XXL il resterait ce "n°1 bis" (sic) pour la suite. Qu'a-t-il à prouver donc ?
Là où le seul intérêt que je vois à sa titularisation sur ce match est de le remettre dans le rythme international après son forfait pour le Tournoi, RR nous la présente comme une sorte de quitte ou double
L'évoquer en premier sous le sous-titre "risques de blessures" n'est-ce pas sous entendre une forme de fragilité pour le niveau internationnal D'ailleurs en quoi ce risque de blessure a à voir avec les 5 joueurs évoqués dans l'article ? Ne concerne-t-il pas l'ensemble du groupe? Bref de là à imaginer une sorte de prédiction (souhait?) inconsciente du rédacteur ...
Honnêtement le comportement de ce journal qui devrait être au soutien inconditionnel du XV de France si proche de l'échéance ultime est proprement minable !!!
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
sudiste a écrit:Cette remise en cause systématique de Jalibert est lamentable ...alors qu'il est reconnu comme l'un des 2 meilleurs ouvreurs français il est le seul à être encore et encore mis en balance par RR
Pourtant il est le seul à avoir un statut particulier dans ce match : en effet il n'a RIEN à y gagner puisque même en sortant une prestation XXL il resterait ce "n°1 bis" (sic) pour la suite. Qu'a-t-il à prouver donc ?
Là où le seul intérêt que je vois à sa titularisation sur ce match est de le remettre dans le rythme international après son forfait pour le Tournoi, RR nous la présente comme une sorte de quitte ou double
L'évoquer en premier sous le sous-titre "risques de blessures" n'est-ce pas sous entendre une forme de fragilité pour le niveau internationnal D'ailleurs en quoi ce risque de blessure a à voir avec les 5 joueurs évoqués dans l'article ? Ne concerne-t-il pas l'ensemble du groupe? Bref de là à imaginer une sorte de prédiction (souhait?) inconsciente du rédacteur ...
Honnêtement le comportement de ce journal qui devrait être au soutien inconditionnel du XV de France si proche de l'échéance ultime est proprement minable !!!
ils sont avant tout des supporters du ST et un outil de propagande du ST.
Quand Matthieu marche sur l'eau, ils sont les premiers a sortir des articles comme quoi ca serait stupide de changer une charniere qui se connait, d'eviter les erreurs du passé en changeant un joueur dès qu'il a une baisse de forme...toujours dans le but de proteger NKT.
Matthieu est une menace et il faut lui mettre la pression, le pousser à la faute, dénigrer son image etc.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
En encore deux fois le mot Premium employé ,c’est le vide intellectuel et journalistique . Opposer, sous entendre, c’est leur leitmotiv. Par contre, analyser, parler tactique, forme de jeu, anticiper ce que va proposer l’Ecosse ou la France, rien, nada , ça frôlé la bêtise.grospaquet31 a écrit:sudiste a écrit:Cette remise en cause systématique de Jalibert est lamentable ...alors qu'il est reconnu comme l'un des 2 meilleurs ouvreurs français il est le seul à être encore et encore mis en balance par RR
Pourtant il est le seul à avoir un statut particulier dans ce match : en effet il n'a RIEN à y gagner puisque même en sortant une prestation XXL il resterait ce "n°1 bis" (sic) pour la suite. Qu'a-t-il à prouver donc ?
Là où le seul intérêt que je vois à sa titularisation sur ce match est de le remettre dans le rythme international après son forfait pour le Tournoi, RR nous la présente comme une sorte de quitte ou double
L'évoquer en premier sous le sous-titre "risques de blessures" n'est-ce pas sous entendre une forme de fragilité pour le niveau internationnal D'ailleurs en quoi ce risque de blessure a à voir avec les 5 joueurs évoqués dans l'article ? Ne concerne-t-il pas l'ensemble du groupe? Bref de là à imaginer une sorte de prédiction (souhait?) inconsciente du rédacteur ...
Honnêtement le comportement de ce journal qui devrait être au soutien inconditionnel du XV de France si proche de l'échéance ultime est proprement minable !!!
ils sont avant tout des supporters du ST et un outil de propagande du ST.
Quand Matthieu marche sur l'eau, ils sont les premiers a sortir des articles comme quoi ca serait stupide de changer une charniere qui se connait, d'eviter les erreurs du passé en changeant un joueur dès qu'il a une baisse de forme...toujours dans le but de proteger NKT.
Matthieu est une menace et il faut lui mettre la pression, le pousser à la faute, dénigrer son image etc.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
densnewzealand a écrit:En encore deux fois le mot Premium employé ,c’est le vide intellectuel et journalistique . Opposer, sous entendre, c’est leur leitmotiv. Par contre, analyser, parler tactique, forme de jeu, anticiper ce que va proposer l’Ecosse ou la France, rien, nada , ça frôlé la bêtise.grospaquet31 a écrit:sudiste a écrit:Cette remise en cause systématique de Jalibert est lamentable ...alors qu'il est reconnu comme l'un des 2 meilleurs ouvreurs français il est le seul à être encore et encore mis en balance par RR
Pourtant il est le seul à avoir un statut particulier dans ce match : en effet il n'a RIEN à y gagner puisque même en sortant une prestation XXL il resterait ce "n°1 bis" (sic) pour la suite. Qu'a-t-il à prouver donc ?
Là où le seul intérêt que je vois à sa titularisation sur ce match est de le remettre dans le rythme international après son forfait pour le Tournoi, RR nous la présente comme une sorte de quitte ou double
L'évoquer en premier sous le sous-titre "risques de blessures" n'est-ce pas sous entendre une forme de fragilité pour le niveau internationnal D'ailleurs en quoi ce risque de blessure a à voir avec les 5 joueurs évoqués dans l'article ? Ne concerne-t-il pas l'ensemble du groupe? Bref de là à imaginer une sorte de prédiction (souhait?) inconsciente du rédacteur ...
Honnêtement le comportement de ce journal qui devrait être au soutien inconditionnel du XV de France si proche de l'échéance ultime est proprement minable !!!
ils sont avant tout des supporters du ST et un outil de propagande du ST.
Quand Matthieu marche sur l'eau, ils sont les premiers a sortir des articles comme quoi ca serait stupide de changer une charniere qui se connait, d'eviter les erreurs du passé en changeant un joueur dès qu'il a une baisse de forme...toujours dans le but de proteger NKT.
Matthieu est une menace et il faut lui mettre la pression, le pousser à la faute, dénigrer son image etc.
Sans parler de la coloration peu discrète de leurs articles, on peut se demander si l'IA ne pondrait pas des meilleurs articles que certains journalistes de Rugbyrama, ces mecs sont un danger pour leur propre profession
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Coupe du monde 2023 - Tawera Kerr-Barlow pourrait jouer avec l'Australie
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/04/coupe-du-monde-2023-tawera-kerr-barlow-pourrait-jouer-avec-laustralie-11378806.php
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/04/coupe-du-monde-2023-tawera-kerr-barlow-pourrait-jouer-avec-laustralie-11378806.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:Coupe du monde 2023 - Tawera Kerr-Barlow pourrait jouer avec l'Australie
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/04/coupe-du-monde-2023-tawera-kerr-barlow-pourrait-jouer-avec-laustralie-11378806.php
c'est vraiment n'importe quoi...et dans le même temps les gros pardessus (ou big coats) de World Rugby interdisent Meafou de jouer pour l'équipe de France.
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-du-monde-de-rugby/coupe-du-monde-2023-les-bleus-missionnes-pour-semer-le-trouble-a-edimbourg-16168853.php
Coupe du monde 2023 : les Bleus missionnés pour semer le trouble à Edimbourg
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
C’est un XV de France expérimental qui va disputer, ce samedi à Edimbourg, son premier match face à l’équipe type de l’Écosse. Au-delà de la nécessité de « matcher », les copies individuelles seront scrutées dans l’optique des 33
Le terrain, enfin. Après quatre intenses semaines de préparation, les Bleus disputeront ce samedi (16 h 15) en Écosse le premier de leurs quatre matchs de préparation dans l’optique de la Coupe du monde (8 septembre - 28 octobre). Face à l’actuelle cinquième nation mondiale, qui a aligné son équipe type pour la première levée de cette double confrontation avant le match retour à Saint-Etienne le 12 août prochain, le rendez-vous est d’importance. Lorsque ce XV de France (très) expérimental emmené par Brice Dulin pénétrera sur la pelouse de Murrayfield, il ne restera plus que seize petits jours avant que Fabien Galthié ne dévoile sa liste définitive des 33 (le 21 août).
Cette remise en perspective suffit à prendre la mesure de l’enjeu de ce test. Pendant que les joueurs dits « premiums » continueront à se préparer à Marcoussis durant le week-end, plusieurs « challengers » vont tenter d’entretenir leurs chances de figurer parmi les élus : les piliers Jean-Baptiste Gros et Demba Bamba, le troisième ligne centre Yoan Tanga, le numéro 9 Baptiste Couilloud, le centre Yoram Moefana, les petits minots Louis Bielle-Biarrey et Emilien Gailleton, et évidemment l’arrière et capitaine Brice Dulin…
La liste n’est pas exhaustive. Mais parmi les titulaires, seuls les Pierre Bourgarit, Cameron Woki, Matthieu Jalibert et Sekou Macalou semblent pouvoir aborder l’échéance avec un peu plus de sérénité. Encore qu’elle soit très relative…
« Nous savons qu’il y aura des modifications liées aux blessures » Fabien Galthié
« Non-événement »
Dans un tel contexte, on aurait aimé écouter les principaux intéressés nous raconter à quel point ils sont dévorés par cette ambition au quotidien. Ou entendre les membres du staff de Fabien Galthié nous expliquer à quelle grille de notation ils se fieront pour juger cette première évaluation à balles réelles. Il faudra pourtant faire sans. Face à toutes ces questions incandescentes, les uns et les autres se sont appliqués à dégainer les réponses les plus réfrigérantes tout au long de la semaine.
« Il y a 60 joueurs qui préparent cette Coupe du monde. Certains ne sont pas là, puisqu’on n’en a que 42 avec nous, mais ils se préparent quand même tout seuls ou avec leur club. Ils se tous engagés à être prêts s’ils devaient être appelés. Après, parmi les 42, il n’y en aura effectivement que 33 qui seront annoncés le 21 août. Mais en fait, ce n’est pas un ‘‘cut’’. C’est un non-événement », a justifié Fabien Galthié, fort de la continuité qu’il a réussi à instaurer tout au long de son premier mandat.
« Si on regarde toutes les Coupes du monde passées, […] il se passe toujours des événements qu’on ne peut pas imaginer, a prolongé le sélectionneur. Nous savons qu’il y aura des modifications liées aux blessures. Vous pouvez très bien démarrer une Coupe du monde dans votre salon devant la télévision et disputer le dernier match, c’est-à-dire la finale. »
Outre l’exemple de Jean-Marc Doussain en 2011, Fabien Galthié est bien placé pour en témoigner. C’est sensiblement ce qui lui était arrivé lors des éditions 1995 et 1999. Mais il aura beau raconter ces précédents lors des prochaines soirées que les Bleus passeront à Capbreton, ses joueurs ont bel et bien le regard tourné vers le 21 août. Une obsession alimentée par une conviction relativement simple : il vaut mieux en être dès le début plutôt que d’attendre que son téléphone sonne.
« On va matcher »
Car si l’histoire démontre que des improbables come-back sont toujours possibles, elle rappelle également qu’il y a toujours des grands perdants lors des préparations des Coupes du monde. Félix Lambey ou François Cros en 2019, Sébastien Vahaamahina ou François Trinh-Duc en 2015… Les exemples existent.
Au sein d’une équipe sans grande expérience et armée de trois néophytes au niveau international - Louis Bielle-Biarrey, Emilien Gailleton et Paul Boudehent - la mission des joueurs consistera donc à faire en sorte que le collectif soit suffisamment solide pour qu’il permette la mise en valeur des prestations individuelles.
Tout un programme que l’Écosse, qui a déjà disputé un match de préparation face à l’Italie samedi dernier (25-13), s’appliquera à démonter. « Elle aligne contre nous sa meilleure équipe du moment, c’est-à-dire celle de la cinquième meilleure nation du monde, a appuyé Fabien Galthié. Mais notre équipe a des atouts à faire valoir. Depuis quatre ans, quelle que soit la composition d’équipe, on parvient à matcher. Donc on va matcher. » C’est à ce prix que les acteurs parviendront à semer le trouble dans l’esprit du sélectionneur.
Coupe du monde 2023 : les Bleus missionnés pour semer le trouble à Edimbourg
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
C’est un XV de France expérimental qui va disputer, ce samedi à Edimbourg, son premier match face à l’équipe type de l’Écosse. Au-delà de la nécessité de « matcher », les copies individuelles seront scrutées dans l’optique des 33
Le terrain, enfin. Après quatre intenses semaines de préparation, les Bleus disputeront ce samedi (16 h 15) en Écosse le premier de leurs quatre matchs de préparation dans l’optique de la Coupe du monde (8 septembre - 28 octobre). Face à l’actuelle cinquième nation mondiale, qui a aligné son équipe type pour la première levée de cette double confrontation avant le match retour à Saint-Etienne le 12 août prochain, le rendez-vous est d’importance. Lorsque ce XV de France (très) expérimental emmené par Brice Dulin pénétrera sur la pelouse de Murrayfield, il ne restera plus que seize petits jours avant que Fabien Galthié ne dévoile sa liste définitive des 33 (le 21 août).
Cette remise en perspective suffit à prendre la mesure de l’enjeu de ce test. Pendant que les joueurs dits « premiums » continueront à se préparer à Marcoussis durant le week-end, plusieurs « challengers » vont tenter d’entretenir leurs chances de figurer parmi les élus : les piliers Jean-Baptiste Gros et Demba Bamba, le troisième ligne centre Yoan Tanga, le numéro 9 Baptiste Couilloud, le centre Yoram Moefana, les petits minots Louis Bielle-Biarrey et Emilien Gailleton, et évidemment l’arrière et capitaine Brice Dulin…
La liste n’est pas exhaustive. Mais parmi les titulaires, seuls les Pierre Bourgarit, Cameron Woki, Matthieu Jalibert et Sekou Macalou semblent pouvoir aborder l’échéance avec un peu plus de sérénité. Encore qu’elle soit très relative…
« Nous savons qu’il y aura des modifications liées aux blessures » Fabien Galthié
« Non-événement »
Dans un tel contexte, on aurait aimé écouter les principaux intéressés nous raconter à quel point ils sont dévorés par cette ambition au quotidien. Ou entendre les membres du staff de Fabien Galthié nous expliquer à quelle grille de notation ils se fieront pour juger cette première évaluation à balles réelles. Il faudra pourtant faire sans. Face à toutes ces questions incandescentes, les uns et les autres se sont appliqués à dégainer les réponses les plus réfrigérantes tout au long de la semaine.
« Il y a 60 joueurs qui préparent cette Coupe du monde. Certains ne sont pas là, puisqu’on n’en a que 42 avec nous, mais ils se préparent quand même tout seuls ou avec leur club. Ils se tous engagés à être prêts s’ils devaient être appelés. Après, parmi les 42, il n’y en aura effectivement que 33 qui seront annoncés le 21 août. Mais en fait, ce n’est pas un ‘‘cut’’. C’est un non-événement », a justifié Fabien Galthié, fort de la continuité qu’il a réussi à instaurer tout au long de son premier mandat.
« Si on regarde toutes les Coupes du monde passées, […] il se passe toujours des événements qu’on ne peut pas imaginer, a prolongé le sélectionneur. Nous savons qu’il y aura des modifications liées aux blessures. Vous pouvez très bien démarrer une Coupe du monde dans votre salon devant la télévision et disputer le dernier match, c’est-à-dire la finale. »
Outre l’exemple de Jean-Marc Doussain en 2011, Fabien Galthié est bien placé pour en témoigner. C’est sensiblement ce qui lui était arrivé lors des éditions 1995 et 1999. Mais il aura beau raconter ces précédents lors des prochaines soirées que les Bleus passeront à Capbreton, ses joueurs ont bel et bien le regard tourné vers le 21 août. Une obsession alimentée par une conviction relativement simple : il vaut mieux en être dès le début plutôt que d’attendre que son téléphone sonne.
« On va matcher »
Car si l’histoire démontre que des improbables come-back sont toujours possibles, elle rappelle également qu’il y a toujours des grands perdants lors des préparations des Coupes du monde. Félix Lambey ou François Cros en 2019, Sébastien Vahaamahina ou François Trinh-Duc en 2015… Les exemples existent.
Au sein d’une équipe sans grande expérience et armée de trois néophytes au niveau international - Louis Bielle-Biarrey, Emilien Gailleton et Paul Boudehent - la mission des joueurs consistera donc à faire en sorte que le collectif soit suffisamment solide pour qu’il permette la mise en valeur des prestations individuelles.
Tout un programme que l’Écosse, qui a déjà disputé un match de préparation face à l’Italie samedi dernier (25-13), s’appliquera à démonter. « Elle aligne contre nous sa meilleure équipe du moment, c’est-à-dire celle de la cinquième meilleure nation du monde, a appuyé Fabien Galthié. Mais notre équipe a des atouts à faire valoir. Depuis quatre ans, quelle que soit la composition d’équipe, on parvient à matcher. Donc on va matcher. » C’est à ce prix que les acteurs parviendront à semer le trouble dans l’esprit du sélectionneur.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Premier-match-de-preparation-des-bleus-en-ecosse-80-minutes-pour-convaincre/1411995
Premier match de préparation des Bleus : en Écosse, 80 minutes pour convaincre
Après quatre semaines de stages et de sueur, l'équipe de France dispute en Écosse ce samedi (16h15) son premier match de préparation pour la Coupe du monde. La plupart des 23 joueurs sollicités auront beaucoup à gagner... ou à perdre.
Laurent Campistron, à Edimbourg
Tic-tac, tic-tac... On y est. Le compte à rebours est lancé. Pas celui qui sépare ce premier match de préparation des Bleus en Écosse du hors-d'oeuvre inaugural royal de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, le 8 septembre. Celui-là a déjà commencé depuis quatre ans, quasiment le jour où Fabien Galthié et ses adjoints ont pris leurs fonctions et décoché cette fameuse flèche du temps vers la cible du Mondial 2023 dans l'Hexagone. Non, le décompte dont on parle aujourd'hui est plutôt celui qui va agiter les nuits des joueurs français les moins installés jusqu'à l'annonce de la fameuse liste des invités au festin planétaire que divulguera le sélectionneur le lundi 21 août. Bref, de tous ceux qui ne sont pas encore certains - et ils sont nombreux - de faire partie des 33 joueurs retenus.
Car Galthié a beau rappeler qu'on peut très bien se mater un match d'ouverture de Coupe du monde en sirotant avec modération un bon whisky écossais de 16 ans d'âge dans son canapé et enfiler sept semaines plus tard un maillot pour disputer la finale de ladite compétition, les neuf joueurs (sur 42) dont les noms n'apparaîtront pas sur les écrans de TF1 le 21 août ont quand même plus de chances de finir leur bouteille (et même quelques autres, parce qu'une déception, ça se noie) avant Halloween que de reprendre le train bleu en marche. Deux ou trois d'entre eux seront peut-être rappelés sur blessure d'un de leurs coéquipiers juste avant ou pendant la compétition, car ça arrive toujours, mais pas tous.
Plus d'enjeu qu'il n'en a l'air
C'est dire si ce match à Murrayfield a plus d'enjeu qu'il n'en a l'air. Les cadres de la sélection ne seront pas là, certes, mais il y aura tous les autres, tous ceux pour qui cette préparation estivale et les matches qui vont avec s'apparentent à un concours d'obstacles où le zéro faute est plus que préconisé. La plupart auront une place à gagner ou à perdre, un sursis à prolonger ou, plus généralement, une hiérarchie à bousculer. Ils n'auront peut-être pas d'autres occasions à saisir, peut-être une seule pour certains, face aux Fidji le 19 août, juste avant le « cut » du 21, sachant que le match retour face à l'Écosse, prévu dans une semaine à Saint-Étienne (12 août) servira sans doute de premier galop d'essai à l'équipe premium.
Samedi, sous le crachin annoncé d'Édimbourg, Brice Dulin, promu capitaine après deux ans d'absence, devra donc répéter les fulgurances de sa saison rochelaise pour confirmer l'avance qu'il semble avoir prise sur Melvyn Jaminet au poste d'arrière depuis quelques semaines, derrière l'impeccable Thomas Ramos.
Se faire remarquer sans nuire au collectif
Les bizuths Émilien Gailleton et Louis Bielle-Biarrey, à peine 20 ans tous les deux, auront aussi à démontrer que la fougue de la jeunesse peut parfois surpasser l'inexpérience lorsque vient l'heure de se jeter dans le grand bain international. Et quelques autres encore, au statut si fragile dans ce groupe des 42 (Bamba, Chalureau, Boudehent, Tanga, Cretin, Hastoy, Serin...), devront suffisamment briller en pays celte pour semer le doute dans l'esprit du sélectionneur et de son staff. Se faire remarquer sans nuire au collectif, jouer libéré et sans calcul quand tout un contexte contribue plutôt à vous nouer l'estomac : tels seront les objectifs de chaque joueur.
Rien ne sera facile, évidemment. Car si la France a le sens des priorités, avec cette revue d'effectif à opérer avant le choix final des 33, l'Écosse a elle le sens de l'hospitalité. C'est ainsi, avec son équipe type du moment, et donc un Finn Russell à la baguette et capitaine, que la cinquième meilleure nation du monde accueillera ces Bleus bis à Murrayfield. Écrit comme ça, forcément, on ne donnerait pas cher des Tricolores.
Mais ça serait aller vite en besogne, et oublier que cette équipe de France-là, même remaniée à outrance, a toujours su rivaliser avec des adversaires plus forts sur le papier depuis l'avènement de l'ère Galthié, que ce soit face à l'Angleterre à Twickenham en finale de la Coupe d'automne des nations 2020 (défaite 22-19 a.p.) ou lors de la Tournée de juillet 2021 en Australie (deux défaites 23-21 et 33-30, 1 victoire 26-28). Il n'est donc pas certain que le Festival international d'Édimbourg qui a ouvert ses portes ce vendredi trouve un prolongement sur la pelouse de Murrayfield, avec un jeu du quinze du Chardon enchanteur et dominateur.
« Ces matches de préparation-là, ça nous met dans le jus, observait cette semaine Galthié. Nous, on ne veut pas être dans le confort, parce que le haut niveau, c'est le chaos. On se prépare donc au chaos, à la difficulté. Mais notre équipe a quand même des atouts à faire valoir. Depuis quatre ans, quelle que soit la compo, elle parvient à matcher. Donc, on va matcher. »
Premier match de préparation des Bleus : en Écosse, 80 minutes pour convaincre
Après quatre semaines de stages et de sueur, l'équipe de France dispute en Écosse ce samedi (16h15) son premier match de préparation pour la Coupe du monde. La plupart des 23 joueurs sollicités auront beaucoup à gagner... ou à perdre.
Laurent Campistron, à Edimbourg
Tic-tac, tic-tac... On y est. Le compte à rebours est lancé. Pas celui qui sépare ce premier match de préparation des Bleus en Écosse du hors-d'oeuvre inaugural royal de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, le 8 septembre. Celui-là a déjà commencé depuis quatre ans, quasiment le jour où Fabien Galthié et ses adjoints ont pris leurs fonctions et décoché cette fameuse flèche du temps vers la cible du Mondial 2023 dans l'Hexagone. Non, le décompte dont on parle aujourd'hui est plutôt celui qui va agiter les nuits des joueurs français les moins installés jusqu'à l'annonce de la fameuse liste des invités au festin planétaire que divulguera le sélectionneur le lundi 21 août. Bref, de tous ceux qui ne sont pas encore certains - et ils sont nombreux - de faire partie des 33 joueurs retenus.
Car Galthié a beau rappeler qu'on peut très bien se mater un match d'ouverture de Coupe du monde en sirotant avec modération un bon whisky écossais de 16 ans d'âge dans son canapé et enfiler sept semaines plus tard un maillot pour disputer la finale de ladite compétition, les neuf joueurs (sur 42) dont les noms n'apparaîtront pas sur les écrans de TF1 le 21 août ont quand même plus de chances de finir leur bouteille (et même quelques autres, parce qu'une déception, ça se noie) avant Halloween que de reprendre le train bleu en marche. Deux ou trois d'entre eux seront peut-être rappelés sur blessure d'un de leurs coéquipiers juste avant ou pendant la compétition, car ça arrive toujours, mais pas tous.
Plus d'enjeu qu'il n'en a l'air
C'est dire si ce match à Murrayfield a plus d'enjeu qu'il n'en a l'air. Les cadres de la sélection ne seront pas là, certes, mais il y aura tous les autres, tous ceux pour qui cette préparation estivale et les matches qui vont avec s'apparentent à un concours d'obstacles où le zéro faute est plus que préconisé. La plupart auront une place à gagner ou à perdre, un sursis à prolonger ou, plus généralement, une hiérarchie à bousculer. Ils n'auront peut-être pas d'autres occasions à saisir, peut-être une seule pour certains, face aux Fidji le 19 août, juste avant le « cut » du 21, sachant que le match retour face à l'Écosse, prévu dans une semaine à Saint-Étienne (12 août) servira sans doute de premier galop d'essai à l'équipe premium.
Samedi, sous le crachin annoncé d'Édimbourg, Brice Dulin, promu capitaine après deux ans d'absence, devra donc répéter les fulgurances de sa saison rochelaise pour confirmer l'avance qu'il semble avoir prise sur Melvyn Jaminet au poste d'arrière depuis quelques semaines, derrière l'impeccable Thomas Ramos.
Se faire remarquer sans nuire au collectif
Les bizuths Émilien Gailleton et Louis Bielle-Biarrey, à peine 20 ans tous les deux, auront aussi à démontrer que la fougue de la jeunesse peut parfois surpasser l'inexpérience lorsque vient l'heure de se jeter dans le grand bain international. Et quelques autres encore, au statut si fragile dans ce groupe des 42 (Bamba, Chalureau, Boudehent, Tanga, Cretin, Hastoy, Serin...), devront suffisamment briller en pays celte pour semer le doute dans l'esprit du sélectionneur et de son staff. Se faire remarquer sans nuire au collectif, jouer libéré et sans calcul quand tout un contexte contribue plutôt à vous nouer l'estomac : tels seront les objectifs de chaque joueur.
Rien ne sera facile, évidemment. Car si la France a le sens des priorités, avec cette revue d'effectif à opérer avant le choix final des 33, l'Écosse a elle le sens de l'hospitalité. C'est ainsi, avec son équipe type du moment, et donc un Finn Russell à la baguette et capitaine, que la cinquième meilleure nation du monde accueillera ces Bleus bis à Murrayfield. Écrit comme ça, forcément, on ne donnerait pas cher des Tricolores.
Mais ça serait aller vite en besogne, et oublier que cette équipe de France-là, même remaniée à outrance, a toujours su rivaliser avec des adversaires plus forts sur le papier depuis l'avènement de l'ère Galthié, que ce soit face à l'Angleterre à Twickenham en finale de la Coupe d'automne des nations 2020 (défaite 22-19 a.p.) ou lors de la Tournée de juillet 2021 en Australie (deux défaites 23-21 et 33-30, 1 victoire 26-28). Il n'est donc pas certain que le Festival international d'Édimbourg qui a ouvert ses portes ce vendredi trouve un prolongement sur la pelouse de Murrayfield, avec un jeu du quinze du Chardon enchanteur et dominateur.
« Ces matches de préparation-là, ça nous met dans le jus, observait cette semaine Galthié. Nous, on ne veut pas être dans le confort, parce que le haut niveau, c'est le chaos. On se prépare donc au chaos, à la difficulté. Mais notre équipe a quand même des atouts à faire valoir. Depuis quatre ans, quelle que soit la compo, elle parvient à matcher. Donc, on va matcher. »
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Ecosse-France : les Bleus dans la dernière ligne droite vers la Coupe du monde de rugby avec leurs aspirants
https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/08/05/ecosse-france-les-bleus-dans-la-derniere-ligne-droite-vers-la-coupe-du-monde-de-rugby-avec-leurs-aspirants_6184532_3242.html
https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/08/05/ecosse-france-les-bleus-dans-la-derniere-ligne-droite-vers-la-coupe-du-monde-de-rugby-avec-leurs-aspirants_6184532_3242.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Romain-carmignani-entraineur-des-avants-de-la-rochelle-paul-boudehent-a-une-activite-de-malade/1411975
Romain Carmignani, entraîneur des avants de La Rochelle : « Paul Boudehent a une activité de malade »
Le flanker Paul Boudehent va connaître sa première sélection avec le quinze de France en Écosse. L'entraîneur des avants de La Rochelle Romain Carmignani l'estime prêt pour convaincre.
Yann Sternis
Comme Louis Bielle-Biarrey et Émilien Gailleton (20 ans chacun), Paul Boudehent (23 ans) vivra son baptême international cet après-midi. Très convaincant avec son club ce printemps, le troisième-ligne ambitionne d'accrocher une place pour la Coupe du monde. L'entraîneur des avants rochelais, Romain Carmignani, qui le côtoie depuis cinq années, le pense à même de relever ce défi.
Sa première sélection : « Il est assez détaché »
« Je ne sais pas s'il sera perturbé par le fait de vivre sa première sélection, mais il a emmagasiné beaucoup d'expérience depuis trois ans. Cette saison, il a débuté des finales (de Coupe des champions et de Top 14), des matches où l'émotion aurait pu être très présente et il a su faire la part des choses. Il est conscient du job qu'il a à faire, de son rôle. Mais il n'est pas du genre à se poser des questions. Il aime ce sport, mais en dehors du terrain, il est assez détaché. Il a cette capacité qu'ont les jeunes générations à "switcher "très vite. Techniquement, il pourra se rassurer rapidement dans le match, avec du jeu sans ballon, dans ses lignes de chasse, ses montées défensives. Sa première touche, son premier plaquage seront aussi importants. Et puis il se rassurera dans l'engagement, il adore se mesurer en un-contre-un à ses adversaires. »
Son profil : « Pas loin d'être un ovni »
« Paul est un athlète, il est capable de courir très vite, très longtemps, il a une activité de malade, que ce soit sur les ballons qu'il porte ou dans sa façon de défendre. C'est un monstre. Il a de la force, de la vitesse, de l'endurance. Il a appris son métier, il a eu beaucoup de pépins physiques. Il a régulé son sommeil, son alimentation, tout ce travail invisible qui est important. Il peut désormais répéter les performances. En touche, il avait besoin de répéter et il a progressé, c'est devenu un joueur complet. Fabien Galthié parle souvent d'ovnis, je ne sais pas si Paul en fait partie, mais je pense qu'il n'en est pas loin, parce qu'on ne peut pas le mettre dans une case. Sa polyvalence peut être un atout. Il est un peu comme Sekou Macalou, il peut passer à l'aile ou au centre, ça lui est arrivé cette saison avec nous en cours de match. Sa présence peut s'avérer utile dans un banc en 6-2. Il doit principalement progresser sur sa prise de décision sous pression. Mais il a juste besoin de répéter les matches au niveau international. »
L'opposition écossaise : « Il va avoir du champ »
« Paul a déjà affronté pas mal d'internationaux écossais en club, quand on a joué contre Glasgow en Coupe d'Europe (en déc. 2021 et janv. 2022). Contre eux, je pense qu'il va avoir du champ, des ballons à jouer dans les couloirs, il adore ça. Pour lui, c'est un vrai défi de jouer à Murrayfield. Mais il est prêt, il sait qu'il a sa carte à jouer, il va tout donner. Avoir en face de lui des troisième-ligne comme Hamish Watson ou Matt Fagerson ? Je ne suis pas sûr qu'il les connaisse. Souvent quand on prépare des matches, il ne connaît pas ses vis-à-vis. Il est comme ça, super content de jouer, mais d'abord concentré sur son rugby. »
Romain Carmignani, entraîneur des avants de La Rochelle : « Paul Boudehent a une activité de malade »
Le flanker Paul Boudehent va connaître sa première sélection avec le quinze de France en Écosse. L'entraîneur des avants de La Rochelle Romain Carmignani l'estime prêt pour convaincre.
Yann Sternis
Comme Louis Bielle-Biarrey et Émilien Gailleton (20 ans chacun), Paul Boudehent (23 ans) vivra son baptême international cet après-midi. Très convaincant avec son club ce printemps, le troisième-ligne ambitionne d'accrocher une place pour la Coupe du monde. L'entraîneur des avants rochelais, Romain Carmignani, qui le côtoie depuis cinq années, le pense à même de relever ce défi.
Sa première sélection : « Il est assez détaché »
« Je ne sais pas s'il sera perturbé par le fait de vivre sa première sélection, mais il a emmagasiné beaucoup d'expérience depuis trois ans. Cette saison, il a débuté des finales (de Coupe des champions et de Top 14), des matches où l'émotion aurait pu être très présente et il a su faire la part des choses. Il est conscient du job qu'il a à faire, de son rôle. Mais il n'est pas du genre à se poser des questions. Il aime ce sport, mais en dehors du terrain, il est assez détaché. Il a cette capacité qu'ont les jeunes générations à "switcher "très vite. Techniquement, il pourra se rassurer rapidement dans le match, avec du jeu sans ballon, dans ses lignes de chasse, ses montées défensives. Sa première touche, son premier plaquage seront aussi importants. Et puis il se rassurera dans l'engagement, il adore se mesurer en un-contre-un à ses adversaires. »
Son profil : « Pas loin d'être un ovni »
« Paul est un athlète, il est capable de courir très vite, très longtemps, il a une activité de malade, que ce soit sur les ballons qu'il porte ou dans sa façon de défendre. C'est un monstre. Il a de la force, de la vitesse, de l'endurance. Il a appris son métier, il a eu beaucoup de pépins physiques. Il a régulé son sommeil, son alimentation, tout ce travail invisible qui est important. Il peut désormais répéter les performances. En touche, il avait besoin de répéter et il a progressé, c'est devenu un joueur complet. Fabien Galthié parle souvent d'ovnis, je ne sais pas si Paul en fait partie, mais je pense qu'il n'en est pas loin, parce qu'on ne peut pas le mettre dans une case. Sa polyvalence peut être un atout. Il est un peu comme Sekou Macalou, il peut passer à l'aile ou au centre, ça lui est arrivé cette saison avec nous en cours de match. Sa présence peut s'avérer utile dans un banc en 6-2. Il doit principalement progresser sur sa prise de décision sous pression. Mais il a juste besoin de répéter les matches au niveau international. »
L'opposition écossaise : « Il va avoir du champ »
« Paul a déjà affronté pas mal d'internationaux écossais en club, quand on a joué contre Glasgow en Coupe d'Europe (en déc. 2021 et janv. 2022). Contre eux, je pense qu'il va avoir du champ, des ballons à jouer dans les couloirs, il adore ça. Pour lui, c'est un vrai défi de jouer à Murrayfield. Mais il est prêt, il sait qu'il a sa carte à jouer, il va tout donner. Avoir en face de lui des troisième-ligne comme Hamish Watson ou Matt Fagerson ? Je ne suis pas sûr qu'il les connaisse. Souvent quand on prépare des matches, il ne connaît pas ses vis-à-vis. Il est comme ça, super content de jouer, mais d'abord concentré sur son rugby. »
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Coupe du monde. Sébastien Calvet confiant sur "la titularisation logique" des U20 pour Écosse-France
https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-sebastien-calvet-confiant-sur-la-titularisation-logique-des-u20-pour-ecosse-france_59934359.html
https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-sebastien-calvet-confiant-sur-la-titularisation-logique-des-u20-pour-ecosse-france_59934359.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Avant-la-coupe-du-monde-world-rugby-continue-l-essai-de-son-bunker-destine-aux-arbitres/1412005
Avant la Coupe du monde, World Rugby continue l'essai de son « Bunker » destiné aux arbitres
Le système qui permet de transformer un carton jaune en carton rouge en cours de match est testé pendant les matches de préparation afin d'être validé pour la Coupe du monde.
Dominique Issartel
« The Bunker », le nom est austère mais il reflète ce que World Rugby veut mettre en place pour la prochaine Coupe du monde afin de minimiser les polémiques et les pertes de temps dues aux actes de jeu déloyal. Venu d'Australie et du rugby à XIII où, jusqu'en 2020, tout l'arbitrage vidéo de la NRL (National Rugby League) était effectué depuis un lieu clos, pour que rien ne puisse influencer les décisions de l'arbitre chargé de revisionner les actions (essais, en-avant, hors-jeu, brutalités...), le système du « Bunker » a été testé lors du dernier Super Rugby puis lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans en Afrique du Sud.
Il va continuer d'être évalué pendant tous les matches de préparation en Europe, avant d'être définitivement soumis à validation le 28 août par World Rugby. Contrairement à la NRL, il est uniquement destiné à évaluer la gravité des actions dangereuses lorsque les arbitres de terrain et l'arbitre vidéo (TMO) ont un doute, et permet de transformer en cours de match un carton jaune en carton rouge.
L'idée est que l'arbitre du match reste décisionnaire, mais que le recours aux ralentis sur les écrans géants des stades ne s'éternise pas, souvent sous les sifflets du public. Après une faute (les plaquages dangereux sont particulièrement ciblés), le TMO devra choisir deux ou trois angles différents pour permettre à l'arbitre de prendre sa décision. Si cela ne suffit pas, ce dernier devra sortir un carton jaune tout en croisant les bras au-dessus de sa tête, signe qu'il demande l'intervention du « Bunker » pendant que le match continue.
Huit minutes pour se décider
À partir de là, le Foul Play Review Officer (FPRO) dispose de huit minutes pour visionner un maximum d'images et prendre sa décision avant que l'exclusion temporaire n'arrive à son terme : soit le jaune est maintenu, et le joueur retourne sur le terrain ; soit cela mérite un carton rouge et il est exclu. L'arbitre de champ et le staff sont prévenus par oreillette et, pour les spectateurs, le pictogramme jaune signifiant le carton vire au rouge.
Cette nouvelle règle, que World Rugby cherche à mettre en place depuis 2019, a été longue à adopter car elle nécessite de gros moyens techniques et ne pouvait donc pas être testée dans des compétitions de seconde zone. Le FPRO, un arbitre spécialement dédié pour chaque match, doit pouvoir visionner toutes les images disponibles des actions litigieuses. Pendant la Coupe du monde, le « Bunker », s'il est validé, sera basé à Roland-Garros et les images seront produites par World Rugby.
Avant la Coupe du monde, World Rugby continue l'essai de son « Bunker » destiné aux arbitres
Le système qui permet de transformer un carton jaune en carton rouge en cours de match est testé pendant les matches de préparation afin d'être validé pour la Coupe du monde.
Dominique Issartel
« The Bunker », le nom est austère mais il reflète ce que World Rugby veut mettre en place pour la prochaine Coupe du monde afin de minimiser les polémiques et les pertes de temps dues aux actes de jeu déloyal. Venu d'Australie et du rugby à XIII où, jusqu'en 2020, tout l'arbitrage vidéo de la NRL (National Rugby League) était effectué depuis un lieu clos, pour que rien ne puisse influencer les décisions de l'arbitre chargé de revisionner les actions (essais, en-avant, hors-jeu, brutalités...), le système du « Bunker » a été testé lors du dernier Super Rugby puis lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans en Afrique du Sud.
Il va continuer d'être évalué pendant tous les matches de préparation en Europe, avant d'être définitivement soumis à validation le 28 août par World Rugby. Contrairement à la NRL, il est uniquement destiné à évaluer la gravité des actions dangereuses lorsque les arbitres de terrain et l'arbitre vidéo (TMO) ont un doute, et permet de transformer en cours de match un carton jaune en carton rouge.
L'idée est que l'arbitre du match reste décisionnaire, mais que le recours aux ralentis sur les écrans géants des stades ne s'éternise pas, souvent sous les sifflets du public. Après une faute (les plaquages dangereux sont particulièrement ciblés), le TMO devra choisir deux ou trois angles différents pour permettre à l'arbitre de prendre sa décision. Si cela ne suffit pas, ce dernier devra sortir un carton jaune tout en croisant les bras au-dessus de sa tête, signe qu'il demande l'intervention du « Bunker » pendant que le match continue.
Huit minutes pour se décider
À partir de là, le Foul Play Review Officer (FPRO) dispose de huit minutes pour visionner un maximum d'images et prendre sa décision avant que l'exclusion temporaire n'arrive à son terme : soit le jaune est maintenu, et le joueur retourne sur le terrain ; soit cela mérite un carton rouge et il est exclu. L'arbitre de champ et le staff sont prévenus par oreillette et, pour les spectateurs, le pictogramme jaune signifiant le carton vire au rouge.
Cette nouvelle règle, que World Rugby cherche à mettre en place depuis 2019, a été longue à adopter car elle nécessite de gros moyens techniques et ne pouvait donc pas être testée dans des compétitions de seconde zone. Le FPRO, un arbitre spécialement dédié pour chaque match, doit pouvoir visionner toutes les images disponibles des actions litigieuses. Pendant la Coupe du monde, le « Bunker », s'il est validé, sera basé à Roland-Garros et les images seront produites par World Rugby.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Coupe du monde rugby 2023 - C'est qui le plus fort ? Finn Russell - Matthieu Jalibert, imprévisibles
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/05/coupe-du-monde-rugby-2023-cest-qui-le-plus-fort-finn-russell-matthieu-jalibert-imprevisibles-11380285.php
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/05/coupe-du-monde-rugby-2023-cest-qui-le-plus-fort-finn-russell-matthieu-jalibert-imprevisibles-11380285.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.reddit.com/r/FranceRugby/comments/15i7ffn/galthi%C3%A9_se_rend_pas_compte_que_cest_pierre/?utm_source=embedv2&utm_medium=post_embed&utm_content=whitespace&embed_host_url=http://www.forumst.net/index.php
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Bravo au fantasque Jalibert, qui fait la passe à Couilloud, alors qu'il aurait certainement pu marquer
Dernière édition par Scalp le Sam 5 Aoû 2023 - 17:09, édité 1 fois
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
je ne veux pas dfire mais je ne vois que des gars de l'UBB ou ex UBB sur le terrain...
Suffit de remplacer Couilloud trop lent et pas inspiré par Baptiste, et on sera encore meilleur.
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Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Dr. Gregory Bouse a écrit:je ne veux pas dfire mais je ne vois que des gars de l'UBB ou ex UBB sur le terrain...
Suffit de remplacer Couilloud trop lent et pas inspiré par Baptiste, et on sera encore meilleur.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
XV de France. VIDEO. L'essai de Louis Bielle-Biarrey pour sa première sélection face à l' Écosse
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/xv-de-france-video-l-essai-de-louis-bielle-biarrey-pour-sa-premiere-selection-face-a-l-ecosse_59936676.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Dr. Gregory Bouse a écrit:je ne veux pas dfire mais je ne vois que des gars de l'UBB ou ex UBB sur le terrain...
Suffit de remplacer Couilloud trop lent et pas inspiré par Baptiste, et on sera encore meilleur.
Faut quand même avoir un prisme de lecture assez important pour ne pas voir AUSSI les gros matchs de Dulin, Boudehent, tanga et Macalou.
On a un sacré réservoir !
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Tothor- J'aime l'Union à la folie
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