Champions Cup - 8ᵉ de finale UBB/SARACENS

Oui

Je ne sais pas pour vous, ça m'intéresse d'ailleurs   , mais lors de cette rencontre, même si on n'arrivait pas à planter, je n'ai jamais eu peur qu'on perde le match, mais alors, vraiment pas une seconde ! On a surestimé le potentiel de révolte des Saracens, il est bien possible qu'on les ait marqués au fer lors de la première rencontre.

L'IA pourrait-elle intervenir pour modifier la très belle photo mise en accueil du site ...j'y vois un parasite brandissant une pancarte "un toulousain supporter de l'UBB seulement contre les anglais " (ou quelque chose du genre). Même quand ils ne sont pas concernés par le match ils ne peuvent s'empêcher de venir exposer leur boulard démesuré à la face du Monde

Scalp a écrit:Je ne sais pas pour vous, ça m'intéresse d'ailleurs   , mais lors de cette rencontre, même si on n'arrivait pas à planter, je n'ai jamais eu peur qu'on perde le match, mais alors, vraiment pas une seconde ! On a surestimé le potentiel de révolte des Saracens, il est bien possible qu'on les ait marqués au fer lors de la première rencontre.

J'ai eu la même sensation mais je crois que c'est avant tout du au meilleur match de le saison réalisé par les avants ...et ça ce n'était pas écrit d'avance

sudiste a écrit:L'IA pourrait-elle intervenir pour modifier la très belle photo mise en accueil du site ...j'y vois un parasite brandissant une pancarte "un toulousain supporter de l'UBB seulement contre les anglais " (ou quelque chose du genre). Même quand ils ne sont pas concernés par le match ils ne peuvent s'empêcher de venir exposer leur boulard démesuré à la face du Monde

C'est mieux ?

sudiste a écrit:

Scalp a écrit:Je ne sais pas pour vous, ça m'intéresse d'ailleurs   , mais lors de cette rencontre, même si on n'arrivait pas à planter, je n'ai jamais eu peur qu'on perde le match, mais alors, vraiment pas une seconde ! On a surestimé le potentiel de révolte des Saracens, il est bien possible qu'on les ait marqués au fer lors de la première rencontre.

J'ai eu la même sensation mais je crois que c'est avant tout du au meilleur match de le saison réalisé par les avants ...et ça ce n'était pas écrit d'avance

Certainement !

Scalp a écrit:

sudiste a écrit:L'IA pourrait-elle intervenir pour modifier la très belle photo mise en accueil du site ...j'y vois un parasite brandissant une pancarte "un toulousain supporter de l'UBB seulement contre les anglais " (ou quelque chose du genre). Même quand ils ne sont pas concernés par le match ils ne peuvent s'empêcher de venir exposer leur boulard démesuré à la face du Monde

C'est mieux ?

C'est parfait ....t'as traité à quoi ? Anti poux , anti-puces, anti casse-couilles ...ou au roundup carrément pour ravoir la mauvaise herbe invasive ?

sudiste a écrit:

Scalp a écrit:

sudiste a écrit:L'IA pourrait-elle intervenir pour modifier la très belle photo mise en accueil du site ...j'y vois un parasite brandissant une pancarte "un toulousain supporter de l'UBB seulement contre les anglais " (ou quelque chose du genre). Même quand ils ne sont pas concernés par le match ils ne peuvent s'empêcher de venir exposer leur boulard démesuré à la face du Monde

C'est mieux ?

C'est parfait ....t'as traité à quoi ? Anti poux , anti-puces, anti casse-couilles ...ou au roundup carrément pour ravoir la mauvaise herbe invasive ?

À grand coup de Fagnon UBB…, radical reste aux admins à récupérer l'image

sudiste a écrit:L'IA pourrait-elle intervenir pour modifier la très belle photo mise en accueil du site ...j'y vois un parasite brandissant une pancarte "un toulousain supporter de l'UBB seulement contre les anglais " (ou quelque chose du genre). Même quand ils ne sont pas concernés par le match ils ne peuvent s'empêcher de venir exposer leur boulard démesuré à la face du Monde

Hein??? De quoi tu parles? Quelle pancarte???

krahknardz a écrit:

sudiste a écrit:L'IA pourrait-elle intervenir pour modifier la très belle photo mise en accueil du site ...j'y vois un parasite brandissant une pancarte "un toulousain supporter de l'UBB seulement contre les anglais " (ou quelque chose du genre). Même quand ils ne sont pas concernés par le match ils ne peuvent s'empêcher de venir exposer leur boulard démesuré à la face du Monde

Hein??? De quoi tu parles? Quelle pancarte???

https://www.francebleu.fr/emissions/la-melee-du-lundi/gironde

Bordeaux’s monster props prove it’s time to ban non-injury replacements

https://www.telegraph.co.uk/rugby-union/2024/04/08/rugby-replacements-only-for-injuries/

J'avis vu passer le Tweet, mais je ne le publie que maintenat avec une traduction via Deepl…

Les Joueurs de Bordeaux prouvent qu'il est temps d'interdire les remplacements sans blessure

L'équipe du Top 14 a écrasé les Saracens samedi grâce à sa taille brute plutôt qu'à son habileté - ce n'est pas un avenir que le rugby veut voir

Brian Moore


Le pilier néo-zélandais de Bordeaux Benjamin Tameifuna (C) est plaqué par le N8 anglais des Saracens Billy Vunipola (G) et le verrou anglais des Saracens Hugh Tizard.
Benjamin Tameifuna, au centre, a pu se déchaîner contre les Saracens en sachant qu'il n'avait pas à jouer le match dans son intégralité Crédit : AFP/ROMAIN PERROCHEAU

Combien d'attaquants faut-il pour gagner un match au plus haut niveau du rugby ? Autrefois, la question était simple : il en fallait huit. Avec la tendance actuelle des entraîneurs à choisir un banc de remplaçants composé de 6-2, voire 7-1, d'attaquants et d'arrières, la réponse peut se situer entre 8 et 15.

Tous ceux qui ont regardé Bordeaux-Begles contre Saracens samedi dernier auront remarqué à quel point l'équipe anglaise était dépassée en termes de force physique et de taille du pack. C'est d'autant plus surprenant que les Saracens avaient dominé physiquement les Harlequins lors du match "The Showdown" deux semaines plus tôt. Quelle chance donneriez-vous aux Quins, qui affrontent maintenant Bordeaux en quarts de finale de la Coupe d'Europe des Champions ?

Le match Bordeaux-Saracens n'est pas le seul exemple de cette évolution vers des joueurs massifs et des impacts massifs. Prenez n'importe quel match récent de l'Afrique du Sud et vous verrez la dynamique de taille et de puissance de la "Bomb squad" à l'œuvre. On ne peut pas nier que c'est efficace et, en tant que tel, c'est une tendance qui est susceptible de se développer au fur et à mesure que les équipes tentent de rivaliser en copiant ces exemples.

En Europe, cette tactique n'a pas encore été confirmée comme une tactique gagnante, car il faut encore tenir compte du Leinster. Comme la Nouvelle-Zélande au niveau international, le Leinster ne dispose pas de deux séries d'attaquants monstres, mais il a des attaquants dynamiques qui peuvent, à condition d'être au sommet de leur art, parfois contrer la taille par l'agilité. Si même le Leinster n'est pas en mesure d'inverser cette tendance, l'argument sera encore plus convaincant.

Le rugby doit se demander s'il veut suivre cette voie. Veut-il être un jeu qui, au plus haut niveau, n'est ouvert qu'aux attaquants les plus grands et les plus puissants ? Quelles en seront les conséquences et sont-elles vraiment ce que le jeu veut et, plus important encore, ce dont il a besoin ?

Prenons le cas de l'homme du match de Bordeaux, le Tongien Ben Tameifuna. Il s'est livré à un véritable exercice d'usure physique en percutant à plusieurs reprises les joueurs des Saracens, les dispersant sur la pelouse. Le pilier de 148 kg a réalisé une superbe performance pendant 53 minutes.


Ben Tameifuna, photographié ici avant la Coupe du monde 2019, est un attaquant très moderne Crédit : Getty Images/Michael Regan

Il avait l'air complètement épuisé lorsqu'il a été remplacé, ce qui était prévisible puisqu'il savait qu'on ne lui demanderait de jouer que pendant cette durée approximative. Son remplaçant, Carlu Sadie, ne pesait que 138 kg et a continué à jouer dans la même veine physique pendant les 27 minutes restantes.

Le rugby doit être clair sur cette question. Il peut avoir le type de jeu qu'il veut et si vous préférez les collisions massives entre des joueurs énormes, vous avez le droit d'être de cet avis. Cependant, vous devez admettre les effets inéluctables de l'acceptation de cette politique.

Ces conséquences comprennent au moins les points suivants.

Pour rivaliser avec cette combinaison taille-puissance, tout adversaire devra avoir non pas un, mais deux joueurs de même taille, et cela vaut pour tout autre poste d'attaquant où les dimensions sont aussi extrêmes. Cela constitue un autre obstacle au développement des équipes internationales et des petites équipes de club. Par exemple, le Portugal pourrait être en mesure d'avoir un groupe de départ capable de rivaliser avec des adversaires mieux classés. Leur demander de trouver six à huit autres attaquants de même niveau est une tâche presque impossible dans un pays où le jeu essaie encore de se développer, qui n'a pas 100 ans de tradition et qui n'est pas couramment pratiqué dans les écoles.

Au niveau des clubs professionnels, cela signifie que les effectifs sont probablement augmentés d'une dizaine de joueurs, dont les salaires peuvent faire la différence entre le seuil de rentabilité et des pertes annuelles continues.

En termes de sécurité, il ne peut pas être plus sûr pour certains joueurs de jouer 80 minutes contre deux joueurs entraînés et musclés pour ne jouer qu'une partie de chaque match. Il est également moins sûr, en termes d'impacts subconcussifs répétés, d'avoir des joueurs qui maximisent leur taille et leur puissance, tout en sachant qu'ils n'ont qu'un rôle limité à jouer dans un match. Le fait que les joueurs jouent un match complet permettrait également aux équipes de leur accorder une semaine complète de repos s'ils jouaient un match sur deux au lieu de jouer un temps limité à chaque match.

En ce qui concerne les effets à long terme, que pensent les parents lorsqu'ils voient cette course à la taille ? D'après mon expérience directe, je peux vous dire qu'ils pensent que ce genre de déséquilibre existe à tous les niveaux et que cela dissuade certains parents de permettre à leur enfant d'essayer le rugby.

Limiter le nombre de remplaçants, ou les interdire sauf en cas de blessure, est un moyen de forcer les joueurs à s'entraîner à jouer plus longtemps et à se débarrasser de leur masse pour améliorer leur capacité aérobique. Nous nous dirigeons vers un point où certains niveaux de rugby ne conviendront pas à toutes les formes et à tous les gabarits, à moins que vous ne vouliez dire que la forme et le gabarit sont énormes et lourds.

L'équipe du Top 14 a écrasé les Saracens samedi grâce à sa taille brute plutôt qu'à son habileté - ce n'est pas un avenir que le rugby veut voir

On se demande si on a vu le même match, et on parle quand même des Saracens en face

Je lui conseille de regarder les matchs de La Rochelle…

Scalp a écrit:L'équipe du Top 14 a écrasé les Saracens samedi grâce à sa taille brute plutôt qu'à son habileté - ce n'est pas un avenir que le rugby veut voir

On se demande si on a vu le même match, et on parle quand même des Saracens en face

Je lui conseille de regarder les matchs de La Rochelle…

C'est clair que ce match n'est peut être pas le meilleur exemple pour traiter ce sujet, mais le coaching est clairement un "dossier".
Je me rappelle de Christophe Deylaud alors entraîneur d'Agen je crois qui critiquait ce principe de coaching, notamment devant où on change 5, 6 voir 7 joueurs (pour les sudafs).
Le rugby était selon lui un sport d'usure et que coacher un pilier qui fatiguait anéantissait les efforts réalisés par son vis à vis.
Cela a été fait pour éviter des blessures liées à la fatigue, mais on se rend compte que la dangerosité persiste car on fait rentrer des mecs très frais, plein de gaz.
C'est aussi un fait que coacher les avants permet d'avoir de très gros gabarits qui physiquement auraient possiblement beaucoup de mal à tenir tout un match.
Mais on sait aussi que le coaching n'a fait qu'entériner une situation existante: les staffs simulaient une blessure pour coacher. On a mis fin à cette hypocrisie.

Scalp a écrit:L'équipe du Top 14 a écrasé les Saracens samedi grâce à sa taille brute plutôt qu'à son habileté - ce n'est pas un avenir que le rugby veut voir

On se demande si on a vu le même match, et on parle quand même des Saracens en face

Je lui conseille de regarder les matchs de La Rochelle…

Brian Moore, pourtant un type intelligent dans la vie. mais très con sur un terrain. Il mélange tout. Et les Sarries si ils nous avaient cassé la gueule avec les frères Vunipola , Earl Samedi il aurait dit quoi? Il parle du Portugal qui ne peut se développer mais elle fait quoi l’Angleterre pour ça . Que dalle. Allez Brian à la niche .

Roberto Miopalmo a écrit:

Scalp a écrit:L'équipe du Top 14 a écrasé les Saracens samedi grâce à sa taille brute plutôt qu'à son habileté - ce n'est pas un avenir que le rugby veut voir

On se demande si on a vu le même match, et on parle quand même des Saracens en face

Je lui conseille de regarder les matchs de La Rochelle…

C'est clair que ce match n'est peut être pas le meilleur exemple pour traiter ce sujet, mais le coaching est clairement un "dossier".
Je me rappelle de Christophe Deylaud alors entraîneur d'Agen je crois qui critiquait ce principe de coaching, notamment devant où on change 5, 6 voir 7 joueurs (pour les sudafs).
Le rugby était selon lui un sport d'usure et que coacher un pilier qui fatiguait anéantissait les efforts réalisés par son vis à vis.
Cela a été fait pour éviter des blessures liées à la fatigue, mais on se rend compte que la dangerosité persiste car on fait rentrer des mecs très frais, plein de gaz.
C'est aussi un fait que coacher les avants permet d'avoir de très gros gabarits qui physiquement auraient possiblement beaucoup de mal à tenir tout un match.
Mais on sait aussi que le coaching n'a fait qu'entériner une situation existante: les staffs simulaient une blessure pour coacher. On a mis fin à cette hypocrisie.

Tout à fait d'accord !

densnewzealand a écrit:

Scalp a écrit:L'équipe du Top 14 a écrasé les Saracens samedi grâce à sa taille brute plutôt qu'à son habileté - ce n'est pas un avenir que le rugby veut voir

On se demande si on a vu le même match, et on parle quand même des Saracens en face

Je lui conseille de regarder les matchs de La Rochelle…

Brian Moore, pourtant un type intelligent dans la vie. mais très con sur un terrain. Il mélange tout. Et les Sarries si ils nous avaient cassé la gueule avec les frères Vunipola , Earl Samedi il aurait dit quoi? Il parle du Portugal qui ne peut se développer mais elle fait quoi l’Angleterre pour ça . Que dalle. Allez Brian à la niche .

Ouep, traiter d'un vrai sujet, en l'utilisant pour faire un faux procès en même tant qu'un constat erroné, le tout sans se regarder dans la glace, on est aussi dans la malhonnêteté intellectuelle.

Je trouve surtout son article hors-sol car justement, on voit moins de "gros" joueurs qu'avant. Les piliers dits "modernes" sont des joueurs plus légers, plus rapides et plus habiles que ne l'étaient leurs anciens. Idem en 3ème voire en 2ème ligne. On ne voit plus trop de mecs de 2,05 et 140kg, car on leur demande aussi d'être actifs dans le jeu, désormais. On voit plutôt des joueurs racés, dynamiques et techniques.

L'AfSud fait figure d'exception, mais ils ont une génétique et une culture qui est ce qu'elle est, et qui ne peut s'effacer en quelques années.

Je trouve cet article assez hypocrite, essayant de justifier la double fessée des champions d'Angleterre par une simple question de gabarits et de violence, alors que les anglais ont juste été dépassés dans tous les secteurs, battus par une équipe qui jouait juste mieux au rugby.

Switch a écrit:Je trouve surtout son article hors-sol car justement, on voit moins de "gros" joueurs qu'avant. Les piliers dits "modernes" sont des joueurs plus légers, plus rapides et plus habiles que ne l'étaient leurs anciens. Idem en 3ème voire en 2ème ligne. On ne voit plus trop de mecs de 2,05 et 140kg, car on leur demande aussi d'être actifs dans le jeu, désormais. On voit plutôt des joueurs racés, dynamiques et techniques.

L'AfSud fait figure d'exception, mais ils ont une génétique et une culture qui est ce qu'elle est, et qui ne peut s'effacer en quelques années.

Je trouve cet article assez hypocrite, essayant de justifier la double fessée des champions d'Angleterre par une simple question de gabarits et de violence, alors que les anglais ont juste été dépassés dans tous les secteurs, battus par une équipe qui jouait juste mieux au rugby.

L'humiliation peut donner naissance à des stratagèmes de protection assez surprenant parfois

Prenons le cas de l'homme du match de Bordeaux, le Tongien Ben Tameifuna.

C'est drole parce que dans mon souvenir l'homme du match c'est Matéo, mais j'imagine que 1m74 et 79kg ça aurait un peu moins bien rendu pour son article

BenJi a écrit:Prenons le cas de l'homme du match de Bordeaux, le Tongien Ben Tameifuna.

C'est drole parce que dans mon souvenir l'homme du match c'est Matéo, mais j'imagine que 1m74 et 79kg ça aurait un peu moins bien rendu pour son article

BenJi a écrit:Prenons le cas de l'homme du match de Bordeaux, le Tongien Ben Tameifuna.

C'est drole parce que dans mon souvenir l'homme du match c'est Matéo, mais j'imagine que 1m74 et 79kg ça aurait un peu moins bien rendu pour son article

De même que LBB, Depoortère, Buros ou Penaud ont été transparents et n'y sont pour rien dans le résultat final

Scalp a écrit:

Switch a écrit:Je trouve surtout son article hors-sol car justement, on voit moins de "gros" joueurs qu'avant. Les piliers dits "modernes" sont des joueurs plus légers, plus rapides et plus habiles que ne l'étaient leurs anciens. Idem en 3ème voire en 2ème ligne. On ne voit plus trop de mecs de 2,05 et 140kg, car on leur demande aussi d'être actifs dans le jeu, désormais. On voit plutôt des joueurs racés, dynamiques et techniques.

L'AfSud fait figure d'exception, mais ils ont une génétique et une culture qui est ce qu'elle est, et qui ne peut s'effacer en quelques années.

Je trouve cet article assez hypocrite, essayant de justifier la double fessée des champions d'Angleterre par une simple question de gabarits et de violence, alors que les anglais ont juste été dépassés dans tous les secteurs, battus par une équipe qui jouait juste mieux au rugby.

L'humiliation peut donner naissance à des stratagèmes de protection assez surprenant parfois

Je n’ai pas revu l’image mais Tatafu se fait exploser a 5 mètres de la ligne par les deux frangins dans mes souvenirs ils engagent plutôt l’épaule dans l’idée de destroncher . C’est sur que les Sarries c’est des chevaux légers

densnewzealand a écrit:

Scalp a écrit:

Switch a écrit:Je trouve surtout son article hors-sol car justement, on voit moins de "gros" joueurs qu'avant. Les piliers dits "modernes" sont des joueurs plus légers, plus rapides et plus habiles que ne l'étaient leurs anciens. Idem en 3ème voire en 2ème ligne. On ne voit plus trop de mecs de 2,05 et 140kg, car on leur demande aussi d'être actifs dans le jeu, désormais. On voit plutôt des joueurs racés, dynamiques et techniques.

L'AfSud fait figure d'exception, mais ils ont une génétique et une culture qui est ce qu'elle est, et qui ne peut s'effacer en quelques années.

Je trouve cet article assez hypocrite, essayant de justifier la double fessée des champions d'Angleterre par une simple question de gabarits et de violence, alors que les anglais ont juste été dépassés dans tous les secteurs, battus par une équipe qui jouait juste mieux au rugby.

L'humiliation peut donner naissance à des stratagèmes de protection assez surprenant parfois

Je n’ai pas revu l’image mais Tatafu se fait exploser a 5 mètres de la ligne par les deux frangins dans mes souvenirs ils engagent plutôt l’épaule dans l’idée de destroncher . C’est sur que les Sarries c’est des chevaux légers

Ils ont bâti leur hégémonie sur le rugby européen à grand coup de câlins et de mots doux, c'étaient des rêveurs, des artistes, des poètes

J ai lu l article, niveau rage sur une échelle de 10 c est à combien?

C est un ramassis de conneries en plus.

Bref, tentative de déstabilisation pour le match contre les Harlequins?

Yatangaki a écrit:J ai lu l article, niveau rage sur une échelle de 10 c est à combien?

C est un ramassis de conneries en plus.

Bref, tentative de déstabilisation pour le match contre les Harlequins?

Pas tant que çà, surtout quand il dit : C'est d'autant plus surprenant que les Saracens avaient dominé physiquement les Harlequins lors du match "The Showdown" deux semaines plus tôt. Quelle chance donneriez-vous aux Quins, qui affrontent maintenant Bordeaux en quarts de finale de la Coupe d'Europe des Champions ?