Julien Rey

Julien nous avait déjà enthousiasmés l'an dernier en ProD2, il continue sa progression en ne s'en laissant pas imposer cette année en Top14. Avec son copain Le Bourhis (un peu moins en vue actuellement Malei étant en pleine bourre), comme on dit, si les petits cochons ne nous les mangent pas ...

http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2012-2013/rey-agen-peut-repasser-devant_sto3653178/story.shtml

Rey: "Agen peut repasser devant"

Avant d’affronter le Stade Toulousain, le Girondin Julien Rey se confie sur la fin de saison. Le trois-quarts centre de l’UBB savoure la victoire acquise face à Agen mais ne compte pas se relâcher chez les champions de France en titre, ce samedi.


Comment vivez-vous cette semaine après la victoire probante face à Agen (48-17)?

Julien REY : Ça fait toujours du bien de s’imposer face à un concurrent direct. Nous vivons cette semaine de façon plus "relax". La victoire était primordiale et l’objectif est désormais atteint. La semaine qui a précédé le match a été plutôt difficile, nous pouvons maintenant un peu nous relâcher.

N’est-il pas difficile de descendre du nuage après une si large victoire?

J.R : Non pas spécialement. Nous faisons une saison moyenne ce succès est donc appréciable. Mais nous avons bien profité de l’euphorie, il faut dès maintenant se reconcentrer pour préparer notre prochain match, à Toulouse.

Est-ce que cette deuxième victoire à domicile consécutive vous donne de la confiance?

J.R : C’est bon pour nous parce que sur ces deux succès nous avons à chaque fois récolté un bonus offensif (les Girondins avaient vaincu Toulon 41 à 0, ndlr.). Ça veut dire que nous sommes sur la bonne voie et que le groupe évolue bien. C’est beaucoup plus facile de bosser et de venir aux entrainements. Lors de ces matchs l’appui du public est très important et cela nous booste. Avant d'entrer sur le terrain, nous sommes comme des lions en cage. Au coup d’envoi nous lâchons les fauves.

Cette victoire est-elle synonyme de maintien?

J.R : Je pense que ce sera incertain jusqu'à la dernière journée. Agen peut repasser devant nous dès ce week-end. Avant ce match nous avions beaucoup de pression sur nos épaules. Pour les Agenais, cette rencontre n’était pas forcément cruciale mais pour nous elle l’était. Si nous nous étions inclinés, ils nous auraient distancés.

Comment préparez-vous le déplacement à Toulouse?

J.R : C’est toujours un honneur de jouer face au plus gros palmarès d’Europe et de France. Nous allons préparer ce match sérieusement et nous l’abordons de la même façon que celui de Montpellier où nous avons échoué de peu (13-12). Ce serait prétentieux de dire que nous y allons pour gagner mais nous n’avons rien à perdre et nous chercherons à ramener au moins un point.

Est-ce que vous comptez cibler certains matchs?

J.R : Je ne pense pas. Nous n’avons que trois points d’avance sur Agen et c’est notre seul avantage sur eux. Nous avons un calendrier similaire. Nous allons devoir jouer tous les matchs à fond et ne pas faire d’erreurs à domicile. Nous allons recevoir Mont-de-Marsan qui a enregistré de très bons résultats ces dernières semaines contre Toulon et Grenoble. Ensuite nous accueillerons Bayonne et Biarritz qui ont des grands joueurs à qui il ne faut pas faire de cadeaux.

Comment abordez-vous cette fin de saison?

J.R : Nous avons la pression pour le maintien mais nous voulons bien figurer pour toutes nos dernières rencontres. Nous abordons cette fin de championnat de manière studieuse et surtout avec l’envie de prendre du plaisir.

Comment analysez-vous la performance de votre coéquipier Camille Lopez?

J.R : Camille a livré une prestation énorme. Mais il ne le doit qu’à lui-même, c’est un gros travailleur. La victoire contre Agen est le succès d’un groupe mais il en est le grand artisan car c’est lui qui a les clés du jeu.

Le weekend dernier vous avez inscrit votre deuxième essai de la saison, comment-vous sentez vous?

J.R : Cela fait trois ans que je joue ici et je me sens très bien. J’aime Bordeaux, j’apprécie la façon dont joue l’équipe et je me sens de plus en plus en forme. Je joue aux côtés de joueurs admirables et je suis heureux.
Rugbyrama - Propos recueillis par Anthony CAZALS.

Voila un garçon discret, un introverti mais sur le terrain il déçoit très rarement.

Exactement !
D'ailleurs, quelle progression pour ce joueur.

http://www.francebleu.fr/evenements/gagner/trophee-rugby-france-bleu-sud-ouest-162327

France Bleu et SO dépêcheront il un envoyé spécial en Australie où Julien est partie en vacances pour lui remettre l'illustre trophée

Midol

On a beau l'apprécié beaucoup, ce n'est pas souvent que la presse met Julien en avant ... et j'aurais presque envie de dite, tant mieux pour nous   

http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2014-2015/top-14-union-bordeaux-begles-douleurs-mal-etre-timidite-espoir-bleu-.-voici-julien-rey_sto4388445/story.shtml
Rugbyrama d'aujourd'hui.

J'ai bien aimé ce commentaire sur la page en question :
"Avec ce portait suivant celui de Félix il y a quelques semaines on a vraiment l'impression d'avoir 2 dépressifs psychologiquement fragiles au centre le l'attaque bordelaise. Pourtant quand il ne sont pas là c'est l'équipe qui déchante !!!"

Le problème c'est que s'ils ne sont pas là leurs remplaçants sont très très loin d'avoir leurniveau.
Mais ce n'est que mon avis.
Pareil ,je pense sincèrement que Julien est plus indispensable que Félix.Il fait jouer les autres(je crois que c'est le meilleur" passeur décisif "du groupe) et c'est un monstre en défense.
Mais ce n'est que mon avis...........sans aucune info

jebni a écrit:Le problème c'est que s'ils ne sont pas là leurs remplaçants sont très très loin d'avoir leurniveau.
Mais ce n'est que mon avis.
Pareil ,je pense sincèrement que Julien est plus indispensable que Félix.Il fait jouer les autres(je crois que c'est le meilleur" passeur décisif "du groupe) et c'est un monstre en défense.
Mais ce n'est que mon avis...........sans aucune info

Je trouve comme toi que julien est indispensable, de part son agressivité et ses nombreuses qualités rugbystique.
Il est très complémentaire avec felix.
"Il fait jouer les autres(je crois que c'est le meilleur" passeur décisif "du groupe) et c'est un monstre en défense."
+1

Dis donc le bouffeur patates... tu bosses pour Sofinco....? (vague histoire de crédit)...

Pat a écrit:Dis donc le bouffeur patates... tu bosses pour Sofinco....? (vague histoire de crédit)...

Non je ne bosse pas pour la finance.Je hais la finance et tout le mal qu'elle fait autour d'elle.
Je suis aussi étonné que toi;mais par contre je n'ai pas ta compassion et parler à un mur je n'aime pas trop!
Sinon t'en penses quoi de notre Julien Rey?

https://twitter.com/CidOceane

Ca a l'air d'aller pour Julien

bon rétablissement à toi et reviens vite nous voir

marchal a écrit:bon rétablissement à toi et reviens vite nous voir

Itou.
D'ailleurs, et en dépit d'une croyance largement répandue, une étude scientifique ouzbèke publiée dans la revue Nature le mois dernier semblerait établir que les adducteurs ne servent à rien à part faire chier les rugbymen professionnels.

.......... entre autres !

Pat a écrit:.......... entre autres !

En effet, pas que les pros

Sud Ouest Edition Abonnés Nicolas Le Gardien.

Le centre de l’UBB revient sur la période de doute et les douleurs qui ont conduit à une deuxième opération en six mois. Libéré, il espère revenir courant mars pour le final.
Union Bordeaux-Bègles : Julien Rey « regarde devant » Julien Rey, ici à l’aller contre Montpellier en août, l’un de ses 9 matchs cette saison (2 essais) : « rapidement, j’ai eu mal et je me suis posé plein de questions. »

l a retrouvé le centre d'entraînement de l'UBB la semaine dernière. L'esprit soulagé. Opéré le 9 janvier des adducteurs, le centre Julien Rey, 28 ans (88 matchs joués avec l'UBB depuis 2010 dont 9 de Top 14 cette saison), peut désormais se fixer une date de reprise. « J'ai un objectif personnel en tête, mais je préfère ne pas en parler pour ne pas être présomptueux » dit-il. Il devrait postuler à Clermont le 14 mars ou deux semaines plus tard face à La Rochelle. Pas rien après une période de flou où l'ex Columérin a beaucoup cogité.


« Sud Ouest. » Comment allez-vous depuis l'opération ?

Julien Rey. J'ai récupéré assez vite. J'ai recommencé la rééducation il y a dix jours avec l'objectif d'être apte à la compétition dans un mois et demi. Pour l'instant, il s'agit de faire des soins, de la cardio et de la musculation du haut du corps. Dans trois semaines, je pourrai recourir et j'entamerai une nouvelle préparation physique, tout en continuant les soins et en surveillant l'état de mes adducteurs.

Que s'est-il passé depuis votre dernière apparition en match, à Oyonnax le 29 novembre ?

Comme j'avais déjà été opéré à l'intersaison d'une pubalgie, on a préféré essayer de ne pas repasser par là et le travail que ça engendre ensuite. Avec les médecins, on a tenté une méthode de renforcement. Cela n'a pas marché. Au bout d'un mois, on a donc décidé de prendre rendez-vous avec le chirurgien.

Les deux problèmes sont liés ?

Non. Cet été, quand j'ai repris, j'ai commencé à avoir mal à l'adducteur droit. Au fur et à mesure, la douleur allait même en s'aggravant jusqu'au moment où je n'arrivais plus à courir. En faisant la chirurgie cet été, on a réglé un problème mais pas le tout. À force de tirer dessus depuis deux ans, mon adducteur devait être très abîmé et c'était une chose inévitable.

Comment l'avez-vous vécu ?

C'est compliqué. En début de saison, j'avais hâte à l'idée de faire une saison pleine, sans douleur. Je voulais oublier ces problèmes, j'étais très motivé. Mais rapidement, j'ai eu mal et je me suis posé plein de questions. Avant la première opération, je souffrais au niveau des abdominaux, alors là on se disait que ça allait passer. J'ai recommencé à faire beaucoup de soins, je ne pouvais pas m'entraîner comme je l'aurais souhaité. Tout le monde se posait des questions pour moi et ce n'était pas facile. Maintenant que je me suis fait opérer, je préfère regarder l'avenir, cette fin de saison.

Vous avez la sensation d'être neuf ?

(sourire) Ça fait deux ans que je traînais des douleurs tout le temps et psychiquement, j'étais usé. Quand on te demande des choses à l'entraînement mais que tu ne peux pas les faire, tu tombes dans une spirale négative. Là je ne ressens plus rien et je suis impatient même si je sais qu'il ne faut pas brûler les étapes.

Vous avez fixé un objectif à vos coéquipiers d'ici votre retour ?

(sourire) Non. Ils s'en sortent très bien, les résultats sont là. On va débuter une phase plus difficile avec le déplacement à Montpellier (samedi, NDLR), les réceptions de Toulon (21 janvier) et du Stade Français (7 mars), le déplacement à Clermont. Je ne me permettrais pas.

C'est excitant ?

Quand on m'a dit que j'allais me faire opérer je suis passé par plusieurs phases : une pendant laquelle j'étais content car j'allais être débarrassé et l'autre où j'étais un peu dégoûté de me dire que j'avais tout ce travail pour revenir après la première opération pour rien. Maintenant, je sais que j'ai passé le plus dur, que je va”is pouvoir reprendre. être passé près de la qualification la saison dernière va nous servir pour franchir cette marche. Sur les matchs couperet, on est capable de tout.

Qu'est-ce qui peut vous empêcher d'être dans les 6 ?

La période qui débute, avec un calendrier haché, est délicate à gérer. Il faudra rester mobilisé même les week-ends où on n'a pas de matchs. Ce sera la clé.

Article de "La Dépêche":

Bordeaux-Bègles : Rey leur a tant manqué

Pièce maîtresse de la ligne de trois-quarts bordelaise, le centre, contrarié par une blessure aux adducteurs, a fait énormément défaut à l'UBB cette saison.



Et dire qu'il y a un mois, on ne parlait encore que de maintien du côté de Bordeaux-Bègles… La faute à un trou noir durant le mois de mars (4 défaites consécutives dont deux à domicile), après celui déjà connu à l'automne avec une série identique. «Dans une saison, il n'y a rien de linéaire avec des pics de forme et d'autres avec certaines difficultés. Nous avons eu des hauts et des bas comme tout le monde sauf que la réussite n'a pas été de notre côté dans les moments creux», souffle Régis Sonnes, l'entraîneur des avants. «C'est difficile de trouver des explications au fait que nous n'arrivions plus à produire du jeu. C'est le haut niveau et il suffit parfois d'un petit quelque chose pour que la mécanique soit rouillée», renchérit Julien Rey, le centre commingeois de l'UBB.

3,07 points avec, 1,55 sans…

Le tapage médiatique autour du futur sélectionneur des Bleus, poste pour lequel Raphaël Ibanez, le manager girondin, était un temps considéré comme favori, a peut-être fait son effet. Mais plus vraisemblablement, ce sont surtout les blessures au sein de la ligne de trois-quarts qui ont considérablement contrarié les Bordelais avec les absences de Le Bourhis, Domvo, Lonca et… Rey.

Avec le Mazérien, l'UBB a engrangé 3,07 points en moyenne, 3,23 si l'on ne comptabilise que les titularisations. Sans lui, la moyenne arrive péniblement à 1,55 point… C'est dire si celui qui tourne à une moyenne de 20 matches par saison a fait défaut, contrarié par deux opérations aux adducteurs et seulement présents à quatorze reprises (dont treize en tant que titulaire).

Si l'intéressé reconnaît «avoir bien galéré» avec une blessure qu'il traînait depuis plus de deux ans et qui l'a contraint à deux opérations (mai 2014 puis janvier 2015), il s'étonne également de ces chiffres dont il n'avait pas connaissance. En revanche, Régis Sonnes ne se montre pour sa part pas vraiment surpris : «C'est une statistique qui prouve bien son importance. Il régule et impulse bien l'attaque, se montre percutant comme ils disent au foot et fait partie des leaders de l'équipe.»

Une équipe, qui à la faveur de trois succès, à Lyon, contre Oyonnax et Bayonne, croit de nouveau aux barrages. Mais pour cela, il faudra en passer par un huitième de finale déguisé, le prix d'une qualification historique depuis la remontée du club en 2011 n'étant rien de moins qu'un exploit à Ernest-Wallon samedi face au Stade Toulousain. Et celui qui sera bel et bien présent de conclure : «Je pense que la gifle reçue par les Stadistes à Grenoble est un mauvais signe pour nous.» Elle ne devrait en effet pas manquer de pimenter le défi girondin…

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3.23 /1.55, What else !!

3.23 pourraient ne pas être suffisants pour la qualification !

le radis a écrit:3.23 pourraient ne pas être suffisants pour la qualification !

Non effectivement, il faut que ça monte à 3.29 avec sa titularisation samedi et une victoire à Toulouse.
Ces chiffres confirment ce que beaucoup ici avançaient déjà: au centre Rey est incontournable. Son association avec Spence ou Le Bourhis quand Félix est en forme fait en général des étincelles pour alimenter nos ailiers... Sans lui le jeu devient beaucoup plus lent et beaucoup trop prévisible pour la défense adverse.
A voir l'année prochaine avec l'arrivée de AAC et Dubuié quelles combinaisons vont être le plus profitable, en espérant bien que Spence soit prolongé.

ITW DECALEE JULIEN REY par ubbrugby

Midol :

https://www.midi-olympique.fr/article/22830-rey-vendange-tardive
http://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Equipe-de-france-julien-rey-pensait-que-son-tour-etait-passe/695793

On disait de lui après la tournée en Argentine qu'il avait raté le coche et que la qualité de ses prestations rendait peu probable un retour en bleu. Et toc pour les médisants...
SO du jour:

A l'occasion du stage des internationaux à Marcoussis du dimanche 25 au mercredi 28 septembre, le sélectionneur du XV de France Guy Novès a expliqué pourquoi il avait rappelé le joueur de l'UBB Julien Rey.

Lors d'une conférence de presse donnée ce mardi 27 septembre au Centre national de rugby de Marcoussis (Essonne), le sélectionneur du XV de France Guy Novès a évoqué le choix du trois-quarts centre de l'Union Bordeaux-Bègles Julien Rey (30 ans, 2 sélections), qu'il a appelé en remplacement de Gaël Fickou dimanche.

« C'est un garçon autour duquel on peut jouer », a estimé l'ancien entraîneur du Stade Toulousain, qui avait déjà offert à Julien Rey ses deux premières sélections lors de la tournée de juin 2016 en Argentine. « Notre projet de jeu est quand même, je n'ose pas dire ambitieux, puisqu'il est normal, tout simplement. Mais si l'on veut effectivement produire et jouer tous les ballons, c'est un garçon qui est très collectif, solide. »
"Sérieux et enthousiasme"

« C'est un joueur incontournable à l'UBB à l'heure actuelle. Il nous a apporté tout son sérieux, ses qualités et son enthousiasme en tournée. Il nous a démontré que lorsqu'on faisait appel à lui, on pouvait compter sur lui. Son caractère et ses qualités font qu'il est dans cette hiérarchie de joueurs qui nous intéressent », a situé Guy Novès.

Julien Rey prend part au stage organisé cette semaine à Marcoussis avec les joueurs du groupe "Elite" dont il ne fait pas partie, mais qu'il a intégré en remplacement du Toulousain Gaël Fickou, touché par un deuil familial.

Midol :