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Re: Vous avez dit JIFF?
https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/09/14/coupe-du-monde-de-rugby-la-reforme-de-la-formation-francaise-qui-a-replace-les-bleus-au-plus-haut-niveau_6189295_3242.html
Coupe du monde de rugby : la réforme de la formation française qui a replacé les Bleus au plus haut niveau
Le XV de France, qui affronte l’Uruguay, jeudi 14 septembre à Villeneuve-d’Ascq, s’appuie sur des joueurs qui ont bénéficié, dans leur club, de la mise en place de quotas leur assurant de participer aux rencontres relevées du Top 14.
Par Clément Martel
On peut changer une équipe qui gagne. Moins d’une semaine après avoir remporté le « bras de fer » inaugural de la Coupe du monde de rugby face aux Neo-Zélandais (27-13), Fabien Galthié a choisi d’aligner une formation largement remaniée à l’heure d’affronter l’Uruguay, jeudi 14 septembre (21 heures, sur TF1), à Villeneuve-d’Ascq (Nord).
Seuls trois des titulaires de la rencontre face aux All Blacks sont réalignés, et tous les cadres – du capitaine Antoine Dupont au troisième-ligne Charles Ollivon, en passant par l’ailier Damian Penaud – ont été mis au repos. Pour autant, le XV mené par le revenant Anthony Jelonch – nommé capitaine pour son retour, moins de sept mois après avoir subi une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche – constitue « la meilleure équipe de France du moment » pour ce deuxième match du Mondial, estime le sélectionneur français.
Fabien Galthié le sait, la richesse du vivier tricolore est l’un des piliers du succès de son équipe. En quatre ans et quarante rencontres dirigées, lui et son staff ont fait appel à plus de 80 joueurs. Et, plus encore que son icône, Antoine Dupont, ou les étoiles Grégory Alldritt ou Gaël Fickou – parmi les meilleurs au monde à leur poste –, les autres nations envient au rugby français sa pépinière. « L’atout numéro un [de l’équipe de France], c’est la profondeur d’effectif, estime aussi l’ancien entraîneur de Castres Pierre-Henry Broncan, interrogé par TF1, début septembre. L’immensité du réservoir est impressionnante. »
Désormais membre du staff australien d’Eddie Jones, le technicien français a constaté que sur l’île-continent on admire le Top 14, « un championnat énorme (…), qui permet aux jeunes Français de jouer de plus en plus tôt et d’acquérir beaucoup d’expérience ».
Les jeunes barrés par des joueurs plus capés
Si plusieurs évolutions ont permis à l’Ovalie tricolore de sortir de l’ornière dans laquelle elle semblait embourbée, l’une d’elles a constitué une bascule : l’instauration dans les clubs professionnels d’un quota obligatoire de joueurs issus de la filière de formation hexagonale (JIFF). Quatre lettres pour une révolution. « C’est un élément fondamental dans le fait qu’aujourd’hui l’équipe de France soit compétitive et fasse partie des favoris pour gagner cette Coupe du monde », assure l’ancien joueur Jean-Marc Lhermet, désormais vice-président délégué au haut niveau et à l’arbitrage de la Fédération française de rugby (FFR).
Au tournant des années 2010, le rugby français traverse un paradoxe. Si le championnat de France est florissant, le staff des Bleus est confronté à un trou générationnel. Et les deux faits sont liés. « On était en train de devenir l’équivalent de la Premier League anglaise de football, un championnat extrêmement lucratif, l’un des meilleurs du monde, mais où la possibilité de faire émerger des joueurs français était limitée par l’afflux de joueurs étrangers », résume Thomas Lombard, le directeur général du Stade français. Barrés par des éléments plus capés et venus du monde entier, les jeunes Tricolores n’étaient pas en mesure de faire leurs gammes. Conséquence directe : le nombre de joueurs ayant le potentiel pour être sélectionnés en équipe de France diminuait. « C’est à cela qu’il a fallu remédier, et la mise en place des JIFF a eu un effet remarquable », salue Thomas Lombard.
En 2009, la réforme ne s’est pourtant pas faite sous les vivats des clubs, car elle impliquait qu’un quota croissant de JIFF (joueurs ayant passé au moins trois saisons dans un centre de formation ou ayant compté cinq ans de licence FFR avant leurs 21 ans) soit inscrit sur les feuilles de match du Top 14. D’autant plus qu’elle s’est accompagnée d’une limitation de la masse salariale des clubs.
« Canal+ [le diffuseur du Top 14] ne paie pas pour un championnat de JIFF », tançait Mourad Boudjellal, en 2014, alors à la tête du très cosmopolite Racing club toulonnais, quand d’autres invoquaient une violation du droit européen à la concurrence. Pourtant, le projet – mené par le président de la Ligue nationale de rugby (LNR) d’alors, Paul Goze – prend. Il se durcit même au fil des ans (des sanctions financières et sportives frappent les clubs qui ne respectent pas le quota de seize JIFF par feuille de match).
Louis Bielle-Biarrey, l’incarnation de cette révolution
Directeur technique national de la fédération de 2014 à 2022, Didier Retière mesure le chemin parcouru. De 2005 à 2007, le technicien dirigeait l’équipe de France de moins de 21 ans, « et quasiment aucun ne jouait en club », se souvient-il. Les effets des nouvelles règles sont indubitables : une grande majorité des U20 français, sacrés champions du monde pour la troisième fois d’affilée à l’été 2023 (après 2018 et 2019), a déjà son rond de serviette dans un club professionnel, bien davantage que les autres nations.
« Nous avons vu la réussite sportive, avec ce magnifique grand chelem [dans le Tournoi des six nations 2022]. Il doit beaucoup au travail réalisé par mes prédécesseurs autour de la politique des JIFF », reconnaissait, cette année-là, dans Midi olympique, le président de la LNR, René Bouscatel. L’ancien patron du Stade toulousain est beau joueur : initialement, il s’était opposé à cette réforme, dont il redoutait « les effets pervers ».
https://x.com/T2Rugby/status/1674423120030240770?s=20
Si Fabien Galthié peaufine son effectif depuis sa prise en main du XV de France, fin 2019, la moyenne d’âge des Bleus à la Coupe du monde – 26 ans et 10 mois – demeure relativement basse par rapport aux autres favoris (les Sud-Africains ont, en moyenne, trois ans de plus). « Il a pris ces joueurs parfois très jeunes parce qu’ils avaient déjà du temps de jeu dans leur club et déjà eu l’occasion de montrer leur valeur », soutient Jean-Marc Lhermet, pour qui « la majorité des joueurs de l’équipe de France ont bénéficié de cette aide ».
Qui mieux que Louis Bielle-Biarrey pour incarner cette révolution ? Le jeune ailier de l’Union Bordeaux-Bègles devait participer au Mondial U20 avant d’être finalement appelé dans le groupe des « grands Bleus » en vue de la Coupe du monde. Titulaire face à l’Uruguay, jeudi, le dernier « ovni » du rugby tricolore deviendra, à 20 ans et 87 jours, le plus jeune international à porter le maillot frappé du coq lors d’un Mondial. « C’est sympa, mais ça ne nous fera pas remporter la compétition », a-t-il plaisanté, mardi. Une victoire des Bleus en finale, le 28 octobre, serait l’ultime confirmation que la réforme de la formation française était bien l’indispensable clé de voûte d’un rugby français triomphant.
Coupe du monde de rugby : la réforme de la formation française qui a replacé les Bleus au plus haut niveau
Le XV de France, qui affronte l’Uruguay, jeudi 14 septembre à Villeneuve-d’Ascq, s’appuie sur des joueurs qui ont bénéficié, dans leur club, de la mise en place de quotas leur assurant de participer aux rencontres relevées du Top 14.
Par Clément Martel
On peut changer une équipe qui gagne. Moins d’une semaine après avoir remporté le « bras de fer » inaugural de la Coupe du monde de rugby face aux Neo-Zélandais (27-13), Fabien Galthié a choisi d’aligner une formation largement remaniée à l’heure d’affronter l’Uruguay, jeudi 14 septembre (21 heures, sur TF1), à Villeneuve-d’Ascq (Nord).
Seuls trois des titulaires de la rencontre face aux All Blacks sont réalignés, et tous les cadres – du capitaine Antoine Dupont au troisième-ligne Charles Ollivon, en passant par l’ailier Damian Penaud – ont été mis au repos. Pour autant, le XV mené par le revenant Anthony Jelonch – nommé capitaine pour son retour, moins de sept mois après avoir subi une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche – constitue « la meilleure équipe de France du moment » pour ce deuxième match du Mondial, estime le sélectionneur français.
Fabien Galthié le sait, la richesse du vivier tricolore est l’un des piliers du succès de son équipe. En quatre ans et quarante rencontres dirigées, lui et son staff ont fait appel à plus de 80 joueurs. Et, plus encore que son icône, Antoine Dupont, ou les étoiles Grégory Alldritt ou Gaël Fickou – parmi les meilleurs au monde à leur poste –, les autres nations envient au rugby français sa pépinière. « L’atout numéro un [de l’équipe de France], c’est la profondeur d’effectif, estime aussi l’ancien entraîneur de Castres Pierre-Henry Broncan, interrogé par TF1, début septembre. L’immensité du réservoir est impressionnante. »
Désormais membre du staff australien d’Eddie Jones, le technicien français a constaté que sur l’île-continent on admire le Top 14, « un championnat énorme (…), qui permet aux jeunes Français de jouer de plus en plus tôt et d’acquérir beaucoup d’expérience ».
Les jeunes barrés par des joueurs plus capés
Si plusieurs évolutions ont permis à l’Ovalie tricolore de sortir de l’ornière dans laquelle elle semblait embourbée, l’une d’elles a constitué une bascule : l’instauration dans les clubs professionnels d’un quota obligatoire de joueurs issus de la filière de formation hexagonale (JIFF). Quatre lettres pour une révolution. « C’est un élément fondamental dans le fait qu’aujourd’hui l’équipe de France soit compétitive et fasse partie des favoris pour gagner cette Coupe du monde », assure l’ancien joueur Jean-Marc Lhermet, désormais vice-président délégué au haut niveau et à l’arbitrage de la Fédération française de rugby (FFR).
Au tournant des années 2010, le rugby français traverse un paradoxe. Si le championnat de France est florissant, le staff des Bleus est confronté à un trou générationnel. Et les deux faits sont liés. « On était en train de devenir l’équivalent de la Premier League anglaise de football, un championnat extrêmement lucratif, l’un des meilleurs du monde, mais où la possibilité de faire émerger des joueurs français était limitée par l’afflux de joueurs étrangers », résume Thomas Lombard, le directeur général du Stade français. Barrés par des éléments plus capés et venus du monde entier, les jeunes Tricolores n’étaient pas en mesure de faire leurs gammes. Conséquence directe : le nombre de joueurs ayant le potentiel pour être sélectionnés en équipe de France diminuait. « C’est à cela qu’il a fallu remédier, et la mise en place des JIFF a eu un effet remarquable », salue Thomas Lombard.
En 2009, la réforme ne s’est pourtant pas faite sous les vivats des clubs, car elle impliquait qu’un quota croissant de JIFF (joueurs ayant passé au moins trois saisons dans un centre de formation ou ayant compté cinq ans de licence FFR avant leurs 21 ans) soit inscrit sur les feuilles de match du Top 14. D’autant plus qu’elle s’est accompagnée d’une limitation de la masse salariale des clubs.
« Canal+ [le diffuseur du Top 14] ne paie pas pour un championnat de JIFF », tançait Mourad Boudjellal, en 2014, alors à la tête du très cosmopolite Racing club toulonnais, quand d’autres invoquaient une violation du droit européen à la concurrence. Pourtant, le projet – mené par le président de la Ligue nationale de rugby (LNR) d’alors, Paul Goze – prend. Il se durcit même au fil des ans (des sanctions financières et sportives frappent les clubs qui ne respectent pas le quota de seize JIFF par feuille de match).
Louis Bielle-Biarrey, l’incarnation de cette révolution
Directeur technique national de la fédération de 2014 à 2022, Didier Retière mesure le chemin parcouru. De 2005 à 2007, le technicien dirigeait l’équipe de France de moins de 21 ans, « et quasiment aucun ne jouait en club », se souvient-il. Les effets des nouvelles règles sont indubitables : une grande majorité des U20 français, sacrés champions du monde pour la troisième fois d’affilée à l’été 2023 (après 2018 et 2019), a déjà son rond de serviette dans un club professionnel, bien davantage que les autres nations.
« Nous avons vu la réussite sportive, avec ce magnifique grand chelem [dans le Tournoi des six nations 2022]. Il doit beaucoup au travail réalisé par mes prédécesseurs autour de la politique des JIFF », reconnaissait, cette année-là, dans Midi olympique, le président de la LNR, René Bouscatel. L’ancien patron du Stade toulousain est beau joueur : initialement, il s’était opposé à cette réforme, dont il redoutait « les effets pervers ».
https://x.com/T2Rugby/status/1674423120030240770?s=20
Si Fabien Galthié peaufine son effectif depuis sa prise en main du XV de France, fin 2019, la moyenne d’âge des Bleus à la Coupe du monde – 26 ans et 10 mois – demeure relativement basse par rapport aux autres favoris (les Sud-Africains ont, en moyenne, trois ans de plus). « Il a pris ces joueurs parfois très jeunes parce qu’ils avaient déjà du temps de jeu dans leur club et déjà eu l’occasion de montrer leur valeur », soutient Jean-Marc Lhermet, pour qui « la majorité des joueurs de l’équipe de France ont bénéficié de cette aide ».
Qui mieux que Louis Bielle-Biarrey pour incarner cette révolution ? Le jeune ailier de l’Union Bordeaux-Bègles devait participer au Mondial U20 avant d’être finalement appelé dans le groupe des « grands Bleus » en vue de la Coupe du monde. Titulaire face à l’Uruguay, jeudi, le dernier « ovni » du rugby tricolore deviendra, à 20 ans et 87 jours, le plus jeune international à porter le maillot frappé du coq lors d’un Mondial. « C’est sympa, mais ça ne nous fera pas remporter la compétition », a-t-il plaisanté, mardi. Une victoire des Bleus en finale, le 28 octobre, serait l’ultime confirmation que la réforme de la formation française était bien l’indispensable clé de voûte d’un rugby français triomphant.
Scalp- Team modo
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Re: Vous avez dit JIFF?
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Re: Vous avez dit JIFF?
je suis étonné de la moyenne JIFF du MHR...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Vous avez dit JIFF?
Dr. Gregory Bouse a écrit:je suis étonné de la moyenne JIFF du MHR...
Tkt, elle va baisser l'an prochain
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Switch- Centre de presse
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Humeur : Fonction de l'UBB
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Re: Vous avez dit JIFF?
Switch a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:je suis étonné de la moyenne JIFF du MHR...
Tkt, elle va baisser l'an prochain
va fallir que l'ASM et Pau se bougent aussi...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 17/02/2019
Re: Vous avez dit JIFF?
L’UBB touche l’incitation JIFF
https://rugby-scapulaire.com/breves/162945-lubb-touche-lincitation-jiff
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Re: Vous avez dit JIFF?
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Scalp- Team modo
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Re: Vous avez dit JIFF?
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Scalp- Team modo
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Re: Vous avez dit JIFF?
Nous avons la meilleure moyenne jiff et c'est d'autant plus significatif qu'il y a pas de bonus EDF, cela prouve notre très bonne santé !!
coach2rugby- J'aime l'Union à la folie
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Re: Vous avez dit JIFF?
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Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Vous avez dit JIFF?
Il y’a une petite incertitude sur le décompte par rapport au tournoi à 7 d’avant saison à Elche.
Pour les clubs des joueurs sélectionnés cela pourrait faire +1 JIff (pour nous c’est R Gardrat).
Pour les clubs des joueurs sélectionnés cela pourrait faire +1 JIff (pour nous c’est R Gardrat).
le radis- Team modo
- Nombre de messages : 13236
Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
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