TOP 14 - 23ème journée : UBB / USAP

Petit Sudiste, tu ne fais vraiment aucun effort pour comprendre. Ce sont les points terrain de toutes les équipes à égalité qui comptent. Si nous finissons à égalité avec le ST  et lui seul, nous serons devant eux. Idem si nous finissons à égalité avec le SF si on fait mieux qu'une défaite avec 22 points d'écart chez eux.. Par contre si on finit à égalité avec le ST et le SF, là nous serons derrière le ST.

patrick a écrit:Petit Sudiste, tu ne fais vraiment aucun effort pour comprendre. Ce sont les points terrain de toutes les équipes à égalité qui comptent. Si nous finissons à égalité avec le ST  et lui seul, nous serons devant eux. Idem si nous finissons à égalité avec le SF si on fait mieux qu'une défaite avec 22 points d'écart chez eux.. Par contre si on finit à égalité avec le ST et le SF, là nous serons derrière le ST.

J'ai compris mais si c'est vrai c'est complètement con   

Pour lever le doute je ne vois qu'une solution : aller gagner à Paris   

   Bravo l'UBB on peut être satisfait de la victoire    

Oh que c'est pas beau de gommer les erreurs de sa copie après avoir été corrigé par le maitre  
  monsieur Sudiste

patrick a écrit:Oh que c'est pas beau de gommer les erreurs de sa copie après avoir été corrigé par le maitre  
  monsieur Sudiste

Puisque tu es l'oeil de Moscou du forum tu constateras que j'avais rectifié avant que tu ne répondes...  allez hop au lit !!!!

Effectivement.... Patrick a raison.... je me suis un peu emporté...!
L'égalité concernant 3 équipes...

- Nombre de points terrain obtenus sur l’ensemble des rencontres ayant opposé entre elles les équipes restant concernées (y compris le cas échéant points de bonus et points de pénalisation) 

Donc :



Toutes mes excuses pour cette info erronée....!
Sudiste je suis vraiment désolé !!!

On a gagné, super résultat, mais j'avoue être resté légèrement sur ma faim. Le jeu était quand même brouillon à certains moments, pas aidé faut dire par l'arbitre qui aurait dû quand même sanctionner les placages haut super agressifs employés à tour de bras par les perpignanais. En plus j'ai peur que Talebula se soit fait mal sur son essai, je crois bien l'avoir vu boitiller sur les images en fin de match.
Entre le match de Bayonne qu'on n'a pas volé mais qui a été quand même perdu par Bayonne, et celui-ci, j'ai pas l'impression de voir le jeu de l'équipe dans une dynamique positive, et cela m'inquiète pour la réception de Toulon qui semble quand même en forme en ce moment. Et le déplacement à Oyonnax ne sera pas une sinécure comme le montre la dérouillée encaissée par Grenoble (qui se croit déjà en vacances, mais qui pourrait se retrouver le cocu de l'histoire avec la lutte chaude entre Oyo, Bayonne et Perpignan. Ils ne sont que 6 points devant après tout...).

matbar33 a écrit:   Bravo l'UBB on peut être satisfait de la victoire    

Désolé mais je ne le suis pas vraiment. Pour conjurer le sort nous avons répété toute la semaine l'histoire du fameux "match piège" mais je n'y ai jamais cru car honnêtement ce soir nous avions en face, malgré des individualités de talent, une très faible équipe.
Résultat nous nous sommes piégé nous même. Après une entame parfaite qui annonçait le feu d'artifice (et les 5 essais que j'avais pronostiqué   ) nous avons tout fait pour nous mettre le doute notamment pas un jeu au pied totalement déficient. Alors que nous savions que l'USAP n'avait d'autre option que de jouer pourquoi donc rendre autant de munitions ???? Alors que la consigne était de les faire courir pour les déplacer et utiliser nos super ailiers nous avons trop souvent confondu vitesse et précipitation. Et je ne parle pas de ces double sautées qui alors que le décalage n'est pas fait, la défense non fixée mettent le receveur dans une situation délicate de par son isolement.
Et que de fautes de mains, de passe hasardeuses    
Nous n'allons pas pleurer sur la victoire mais il est clair qu'il y avait 100 fois la place pour le bonus , qui j'en suis sûr était l'objectif non avoué du groupe.

Après la 2eme mi temps de Bayonne je retrouve une équipe émoussée, pas sûr de son jeu avec une stratégie aléatoire et techniquement en régression. Perpignan n'était qu'un hors d'œuvre mais avec Oyo et Toulon commencent les choses sérieuses. Aurons nous les ressources physiques et mentales pour remonter la pente ?

Ce soir je n'ai pas vraiment pris de plaisir dans ce match haché (putain arrêtez de faire appel à la vidéo pour un oui pour un non, une griffure, un soufflet ), je n'ai pas reconnu mon BB   . Trop exigeant ? Bien sûr je le suis et de plus en plus mais en même temps n'oublions pas que ce qui fait le succès, la notoriété de notre club c'est la qualité de son jeu là où tant d'autre se contentent d'être gagne petit. Alors attention rien n'est acquis tout reste fragile et n'est qu'un éternel recommencement.

Sur ce bonne nuit et ALLEZ L'UNION !!!

Pas mal...!

Bonne nuit aussi !

Sommes nous devenus trop exigeants avec nos joueurs ?

Le match fut très engagé , les catalans ont bataillé pied à pied et sans le zéro pointé de Hook ils auraient collé au score.
Delpoux avait fait bossé ses joueurs sur la défense sur les groupés pénétrants et nous n'avons jamais réussi à avancer dans ce secteur.
Ensuite nous avons malheureusement priviligié les tentatives individuelles plutot que la solution collective.
Je ne comprneds pas comment on laisse échapper le ballon sur le renvoi qui amène l'essai de Taumalolo.
Ne pas prendre les 3 points face aux poteaux est quand méme curieux comme décision.
Les catalans ont failli nous mettre un essai à 13 contre 15 .....
Arbitrage curieux des mélées.
Très gros match de Louis Benoit Madaule ( encore une fois)

Bref on a gagné ; ce ne sera pas simple à Oyonnax.

        

Merci pour cette explication! Ça fait un championnat dans le championnat!

SO :

L'Union Bordeaux Bègles toujours en course

Arnaud David
L’UBB, qui a remporté hier à Chaban-Delmas son cinquième succès consécutif, remonte à hauteur du Stade Toulousain, 6e. Avec un match en moins.

Il faut savoir s'en contenter. C'est que disait hier soir le sourire collectif qui éclairait le vestiaire de l'Union Bordeaux-Bègles. Gênés par une équipe de Perpignan, accrocheuse à défaut d'être dangereuse, Mathew Clarkin et ses coéquipiers ont dû se satisfaire d'une victoire laborieuse (23-5). De celles qui laissent un goût d'inachevé autant qu'elles rassurent.

Publicité

Sur la forme, Raphaël Ibanez aura certainement des choses à reprocher aux siens. Il n'y manquera probablement pas. « On est loin de la prestation accomplie d'un vrai candidat », a souligné le manager de l'UBB. Mais s'attarder sur les scories qui ont émaillé ce dixième succès consécutif au stade Chaban-Delmas, c'est en même temps mesurer les progrès accomplis par cette équipe cette saison.

Ce matin, l'Union Bordeaux-Bègles, septième avec un match en retard à jouer, est plus que jamais en course pour décrocher une place en phase finale. Ce rêve, devenu un objectif avoué, les Girondins peuvent s'en approcher un peu plus s'ils s'imposent à Oyonnax samedi prochain. « C'est la rencontre qui peut tout déclencher, se projette Laurent Marti, le président de l'UBB. J'aurais aimé aller chez un “Oyo” sauvé ou relégué. Là, cela va être un match à couteaux tirés. »

Sans bonus offensif

Comment les Bordelais l'aborderont-ils ? Hier, on a eu le sentiment que ces ambitions déclarées lestaient les têtes et les jambes girondines d'un poids inhabituel. « Il faut que l'on s'adapte au nouveau regard porté sur cette équipe », a convenu Ibanez. « La crise d'adolescence ne peut pas durer trop longtemps ».

Hier, comme le soulignait Laurent Marti, l'UBB « avait beaucoup à perdre » et la crainte de chuter a sans doute parasité son expression. Le paradoxe, c'est que son début de match aurait dû lui permettre de se libérer. Avec, après 1 minutes et 36 secondes, un essai comme on en écrit sur le paper-board les matins d'entraînement, un une-deux entre Félix Le Bourhis et Blair Connor conclu par le trois-quarts centre aux pieds des poteaux catalans. Cet essai là, comme la marche arrière infligée au pack de l'Usap sur la première mêlée, semblait annoncer une promenade de santé. Elle se transforma rapidement en pensum. Si l'UBB a autant souffert, c'est que Perpignan vaut certainement mieux que sa onzième place. La formation catalane possède de belles individualités. Elle a su contrarier les liaisons avants-trois quarts de l'Union. Elle a réussi régulièrement à imposer de longues séquences de « large-large » aux Girondins privés de ballons.

James Hook dans un mauvais jour

La chance de l'UBB fut qu'à l'exception de l'essai d'Alisona Taumalolo derrière un renvoi raté, l'Usap ne parvint jamais à mettre le rideau défensif girondin en difficulté. Et James Hook, dans un mauvais jour dans son rôle de buteur, laissa 8 points faciles au pied en première mi-temps. L'Union n'a donc jamais été menacée au score. En réalisant un de ses numéros époustouflants qui sont un autre fil rouge de la saison, Met Talebula l'a mise hors de portée d'un retour catalan à une demi-heure de la fin. Les Girondins ont alors beaucoup tenté pour aller chercher ce point de bonus offensif qui aurait donné une autre saveur à ce succès. En vain. « Mais ce qui m'a plu, a souligné Ibanez, c'est que l'équipe s est restée dans le plan de jeu. Elle s'est montrée très généreuse. Les joueurs sont en train de se construire une vraie solidité mentale… Je crois qu'ils en ont gardé sous la pédale. » Il n'y aura rien de trop pour espérer gagner à « Oyo ».

Vince33 a écrit:Sommes nous devenus trop exigeants avec nos joueurs ?

Le match fut très engagé , les catalans ont bataillé pied à pied et sans le zéro pointé de Hook ils auraient collé au score.

Pas vraiment mais ça fait deux matches que le jeu collectif est un ton en dessous. Au vu de la prestation de Toulon et Oyo hier, va falloir mettre le bleu de chauffe pour revenir au jeu bien léché qui est notre propre.
Une mention à Connor, intenable hier et en grande forme! Mais l'Usap le surveillait bien... Darly excellent, dommage que sa percée n'ait pas débouché sur l'essai. ..

J'ai trouvé l'ensemble du match très moyen. Réussir à s'imposer assez largement sans sortir un match très réussi c'est assez intéressant. Mais à condition de s'en servir pour faire mieux à Oyonnax dans un contexte différent. C'est bien que le niveau d'exigence monte, de toute façon pour aller dans les 6 il faut en vouloir plus que ça. Je pense qu'aujourd'hui on peut abandonner le débat sur "est-ce le bon moment ?", ou "ne sommes-nous pas un peu justes" ?

En regardant le classement, et ça fait un petit moment que ça me trotte dans la tête, je dis qu'on peut avoir une très grande surprise à la fin. De toute manière maintenant qu'ils sont aux portes des qualifs, il faut en vouloir, c'est une compétition et la seule stratégie qui vaille est celle consistant à vouloir remporter le bouquet. Que cela se réalise, ou soit réalisable c'est une chose. Qu'il faille faire preuve d'énormément de minutie sur la façon de jouer est une autre chose. En revanche ils ont le droit et le devoir maintenant d'être ambitieux et de se lâcher. Il y a les joueurs pour le faire.

Pour exprimer le fond de ma pensée et malgré l'immense respect que j'ai pour Laurent Marti (la clé de voute du club, sa pierre angulaire, son piédestal sur lequel viendront bientôt s'empiler les "bouts de bois" comme des kaplas   ) je pense qu'il s'est planté dans la communication d'avant match. Pourquoi mettre autant de pression sur l'équipe en ressassant cet argument de match piège dans lequel nous aurions eu tout à perdre ? Car non; nous n'avions plus rien à perdre mais au contraire tout à gagner, cette qualification qui ne peut être que la cerise sur un gâteau cuisiné avec minutie depuis 3 saisons. Cette "peur" surjouée n'a-t-elle pas contaminer le groupe là ou il aurait fallu le booster en affirmant (sans prétention) que l'objectif était la victoire avec la manière et le bonus.
Franchement je craignais beaucoup moins ce match que celui qui nous attend à Oyonnax et sur un objectif de 15 points à prendre je pense que nous en avons bouffé un qui, vu les scores de nos concurrents, pourrait s'avérer éliminatoire.
Toulouse est largement dans les clous avec 2 réceptions (bonifiées?) et un déplacement à Oyo dont le sort sera normalement joué.

Notre cible reste donc le Racing qui peut tabler raisonnablement 9 points à domicile (+5 contre le BO +4 contre l'ASM) et se retrouverait donc à 69 avant la dernière journée.

Pour les suivre il faut au minimum tabler sur un +1, +4, +1 et +5 pour se retrouver à égalité avec eux en espérant alors qu'il ne prenne pas de BD à Montpellier à la dernière journée. Un 0 à Oyo serait quasiment rédhibitoire et nous pousserait à viser un +5 contre Toulon (je ne crois pas au même match que l'an dernier) ou un nul voire la victoire à Paris.

A ce jour et vue notre situation sans joker la question est : quelle équipe envoyer à Oyo à une semaine de recevoir les galactiques de la rade à Chaban   

http://www.sudouest.fr/2014/03/30/pour-raphael-ibanez-rien-est-impossible-en-ce-moment-pour-l-ubb-1508984-773.php


UNION PERPIGNAN A LA SORTIE DES VESTIAIRES par ubbrugby


Bordeaux-Perpignan: 23-5 - J23 - Saison 2013/2014 par TOP14


L'Equipe

http://www.sudouest.fr/2014/03/30/top-14-la-rencontre-ubb-perpignan-en-images-1509112-4564.php

Nijinski, je l'ai pas trouvé génial hier   

Moi je l'ai surtout trouvé très très compréhensif avec la mêlée catalane continuellement sur le cul (là aussi faudra que les arbitres accordent leur sifflet) et finalement leur a fait un beau cadeau en collant un jaune qui a entrainé les mêlées simulées... carence pendant laquelle jouant à 15 contre 13 nous avons continué à vouloir jouer au pied par dessus la défense   

Encore une fois je trouve surtout qu'il a été très indulgent avec les plaqueurs perpignanais qui franchement faisait plus du cravatage que des plaquages propres au corps. La pénalité sur Domvo entraînant l'essai de Talebula n'a été que l'exemple le plus franc...

A noter également un excellent match de louis benoit Madaule dans la continuité de son match contre Bayonne.

SO :

Régis Sonnes (UBB) : "On en veut toujours plus"

nicolas le gardien
L’entraîneur des avants Régis Sonnes est convaincu que son équipe a atteint "un palier" dans son jeu. Qui peut suffire à se qualifier, mais avec l’espoir de toucher au suivant.


« Sud Ouest. » Que retenez-vous de ce succès contre Perpignan ?

Régis Sonnes. Il a été très bon dans l'état d'esprit. On a dominé l'événement et maîtrisé le match. Devant, c'était une véritable épreuve contre un cinq international (1). On a confirmé en mêlée et en touche, où on avait été fébrile à Bayonne, on a su retrouver le bon axe. Le bémol, ce sont les groupés-pénétrants. On aurait dû plus alterner.

Les deux dernières rencontres ont laissé un goût d'inachevé. C'est trop d'exigence ou ça met en lumière un plafonnement ?

Un plafonnement, non, car ça voudrait dire qu'on ne peut pas aller plus haut. On est à un palier. Jusqu'ici, quand l'UBB gagnait, elle sortait de matchs extraordinaires offensivement. Aujourd'hui, par l'alternance de différentes formes de jeu, on arrive à maîtriser les matchs, même pas parfaits et c'est une marque de progression. L'étape supérieure est de maîtriser nos temps faibles tout en étant offensivement au niveau que l'on souhaite. Les initiatives sont là, il faut être plus précis.

Votre niveau de jeu actuel peut suffire pour se qualifier ?

Oui car ce sont des grosses bases et on a quand même des mouvements offensifs intéressants, même si ce n'est pas excellent. Et cet ADN, on l'a.

Les joueurs ne parlent plus que de contenu. Cela montre qu'ils ont digéré le nouveau « statut» ?

Il y a eu un passage difficile, avec la venue de Clermont, la coupure, le match à Bayonne car c'était là que se jouait vraiment le verdict de notre saison. Maintenant, c'est clair : on sait qu'on peut y aller. On fonctionne comme quand on était en difficultés : on s'attache juste au contenu. Le fil conducteur du staff, des joueurs, c'est de se faire plaisir, de s'éclater et on veut toujours mieux.

Qu'est-ce qui peut gripper la machine ?

Je ne sais pas… (il réfléchit) Je pense qu'on est humble, les joueurs sont en train de toucher un truc extra et sont à fond dedans… Peut-être l'enchaînement des matchs. Est-ce qu'on va réussir à assumer jusqu'au bout des rencontres à haute intensité qu'il faut gagner ? On a un effectif de qualité, mais on n'a pas la quantité des autres et, avec notre jeu, on a besoin de fraîcheur physique et mentale. On va essayer travailler avec encore plus de précision, on a essayé de gérer l'effectif. Mais on parle de rentrer dans les 6, on n'a pas le recul là-dessus. et puis il y a les adversaires, bien sûr.

Quand on regarde Toulon - Toulouse, on ne peut pas s'empêcher de se dire que c'est encore un niveau au-dessus…

Il n'y a pas de comparaison. Ilsont la structure, le budget, l'effectif, l'expérience des phases finales, du savoir-gagner… Tout cela, ça s'acquiert avec le temps et, le temps, on ne l'a pas derrière nous. Mais on a cette folie de joueurs qui sont là pour s'éclater, bosser dur, vivre des émotions et une aventure qui consiste à aller chercher le maximum de ses possibilités. Le groupe est à l'image du club qui a eu une évolution folle depuis qu'il est créé. Et, si on est bien physiquement, sur un match, tout est jouable. On peut perdre à Oyonnax mais on a battu Clermont. On est constamment sur le fil du rasoir.

Si le groupe a peu d'expérience de ces moments-là, Raphaël Ibanez, vous, Ludovic Loustau les ont connus. C'est un atout ?

Je pense oui. C'est plus fort quand ce vécu-là vient des joueurs. Mais on sait ce qui est important pour préparer ces rencontres. Mais les autres staffs les ont connus, aussi.

Comme Raphaël Ibanez, vous pensez que « ça va forcément se jouer » sur les deux matchs à venir (à Oyonnax, contre Toulon) ?

C'est un rallye : des tournants, il y en a tous les week-ends. Si on prend les deux, c'est sûr que, si on ne fait pas les cons contre Biarritz à la dernière journée, on y sera. Mais dix points sur les quatre derniers matchs peuvent suffire. On verra où on en sera après Toulon. Le déplacement à Paris, c'est l'inconnue : on ne sait pas comment on l'abordera, dans quel état…

Est-ce réellement une surprise de vous retrouver là ?

Franchement en août, si on avait dit ça… Notre objectif était ne le maintien, ni la 6e place, mais de faire progresser l'équipe, de la préparer à l'amener le plus haut possible, ce qui est le vœu du président, sans trop savoir où on irait. Le recrutement, la progression font qu'au fur et à mesure tout le monde y a cru et ça a atténué la surprise. Mais on ne pensait pas que ça irait si vite.

Avoir déjà préparé une fois le match à Oyonnax en février, qu'est-ce que cela change ?

C'est un gain de temps. On fait juste des vérifications sur tout ce qu'on avait calé. Si ce n'est deux-trois adaptations, notre stratégie sera la même. Ca va permettre d'être plus précis cette semaine. Mais c'est vrai pour eux aussi. Et le contexte est différent : ils ont absolument besoin de gagner. Le créneau du petit relâchement à domicile dont Montpellier a profité là-bas la semaine dernière, peut-être qu'on l'aurait eu.


Midol :

SIXIEMES DU TOP 14

C'est écrit   

"Les chevau-légers"   

Et bien oui je viens d'apprendre ce mot, ou moins sont orthographe (il n'y a pas d'âge) comme quoi il y a une connexion entre la richesse de notre langue et celle de notre sport dans leur complexité sans limite devant laquelle même Sudiste sait se montrer modeste  

C'est juste un néologisme voyons    , par contre "sont orthographe" ????   tu te prends pour un journaliste ? 

Penny33 a écrit:C'est juste un néologisme voyons    , par contre "sont orthographe" ????   tu te prends pour un journaliste ? 

Je ne veux pas donner de complexes à Adrien..   

Reconnais quand même que c'est le type même de mot qui mérite de figurer dans le dictée de P(o)iv(r)ot

"dans le dictée" ? pour sûr il aurait apprécié   , t'es en grande forme aujourd'hui, ne me dis pas que tu bosses toujours comme ça !   
 
Rassures-moi, tu l'as encore fait nexprès ?!

Au passage RR nous met aussi 6ème