Sébastien Taofifenua

Sébastien Taofifenua n'a pas encore beaucoup fait parler de lui à l'Union. Arrivé de l'USAP où il jouait à l'extrême de ses capacités physiques naturelles (sans peut être beaucoup de travail technique et physique), avec un staff exigeant, Sébastien pourrait franchir un cap (ou pas) grace à un staff exigeant ... et à l'éloignement de ses attaches catalanes. Comme l'indique ses déclarations dans le midol http://rugby-scapulaire.com/breves/1446-taofifenua-va-se-diversifier il découvre en effet le travail et songe à diversifier sa palette. Pour l'instant, il ne semble pas jouir d'une mobilité et d'une adresse extraordinaires, mais il semble qu'au contact du jeu de l'Union, il en est pris conscience. C'est peut-être pas si étonnant que des joueurs provenant de clubs devant subir la relégation fassent tous le même constat : à l'Union on joue ... mais c'est exigeant.  

Merci Patrick

C'est qqpeu paradoxal dans la mesure où il sort de 2 années avec Delpoux. Par ailleurs, il était déjà envisagé de le positionner en 3 avec l'USAP; par contre, ce qui est clair c'est sa nlle approche diététique... +professionnelle. Question mentalité et ambiance je pense qu'il n'y a pas photo et ça ça fait bp pour certains joueurs et particulièrement pour des types comme lui.

Quand Delpoux est venu chez nous, nous étions au fond du trou et il a eu tous les pouvoir. Dans le panier de crabes qu'était l'USAP, je ne suis pas sûr que tel ait été le cas   D'autre part, notre staff a également gagné en compétences depuis son passage chez nous.

Scan mis à jour   

 

Il n'empêche que sur les superbes photos de Romain, j'ai noté une fonte conséquente de Tao.
S'il se confirme que le staff et le joueur désirent réellement cette polyvalence, alors sauf blessure sur le côté gauche, nous risquons de ne pas trop le voir dans la première partie de saison.
Je suppute aussi que son papa (ou oncle) -agent des frérots- ne doit pas être étranger à cette ambition dont le projet avait été clairement évoqué par Delpoux à l'automne dernier déjà.

Interview S. Taofifenua par ubbrugby
http://www.ubbrugby.com/actualites/4406-itw-de-sbastien-taofifenua.html

Sa place n'est en effet pas encore gagné dans le XV titulaire cette année. A lui de bosser pour commencer à rentrer dans les esprits.

SO :

L’envol des frères « Tao »

nicolas le gardien

Marqués par la descente de Perpignan, Romain et Sébastien Taofifenua se sont exilés loin du cocon familial. Ils joueront l’un contre l’autre pour la première fois .

L'image a fait plusieurs fois le tour de la France du rugby, devenant le symbole la chute de l'USAP. Sébastien Taofifenua, en larmes, à Clermont, après un dénouement « que j'ai mis plusieurs semaines à digérer. » « Pour la famille, cela a été un gros déchirement, dit Willy, le papa. Cela voulait dire qu'on allait devoir se séparer. On ne s'y était pas préparé. »

Et quatre mois plus tard, ce soir à Mayol, le jeune pilier, 22 ans, et Romain, son deuxième ligne international de frère et aîné de 17 mois, se retrouveront face à face. Pour la première fois de leur vie, l'un avec le maillot de Bordeaux-Bègles, l'autre avec celui de Toulon, et sous les yeux de leurs parents et de la fratrie - un frère et une sœur plus âgés, un petit dernier -, tous restés en Catalogne. « Un moment bizarre » prévoit Sébastien, une rareté dans le rugby pro et pas rien dans leur histoire. « Il faut passer au-dessus… à force, sourit l'ex troisième ligne paternel, qui a, avant eux, croisé le fer au plus haut niveau avec son frère Jean-Jacques. Mais depuis deux mois, on y pense et on se demande comment eux vont l'appréhender. Ils ont vécu beaucoup de choses fortes ensemble. Ils ont toujours passé tout leur temps ensemble. »

Sur le terrain comme en dehors, à l'école de rugby de Grenoble puis à Limoges, au fil de la carrière de joueur puis entraîneur de Willy, avant d'intégrer Perpignan. « J'ai commencé jeune en équipe première de l'USAP (18 ans) et Romain a toujours été là pour m'aider » lâche Sébastien.

La question de poursuivre ensemble s'est même posée, l'UBB faisant une cour intensive à Romain bien avant la descente. « On en a discuté. Mais quand on a l'occasion d'aller à Toulon… Pour lui, c'était la possibilité d'apprendre avec les meilleurs » poursuit le pilier, courtisé de son côté par Gloucester et Grenoble. « Le FCG le voulait absolument, mais il a préféré Bordeaux pour le jeu proposé » explique le papa.

13 et 7 kilos de perdus

Cette semaine, les deux frangins ont donc fait comme d'habitude : ils se sont appelés « tous les jours », ne se sont rien cachés, surtout pas qu'ils allaient être titulaires, et ont continué à se raconter le nouveau chapitre de leur vie. « À Perpignan, on habitait chacun de notre côté mais, tous les midis, on était à la maison. »

Vu de Catalogne, ce sont d'abord les silhouettes qui interpellent. L'aîné a fondu de 13 kilos, le benjamin en a perdu « 6 ou 7 ». N'y voyez pas qu'une question de déjeuners parentaux. « Dès la fin de saison dernière, Romain a effectué un gros travail car il voulait être au niveau, reprend Sébastien. À titre personnel, je m'étais aussi fixé de perdre du poids. Le Top 14 a beaucoup d'exigences, surtout à l'UBB où ça joue de partout. »

Des exils salutaires ? « Depuis cinq ans, à Perpignan, ils avaient toujours la même préparation, dit Willy. J'avais un peu peur pour eux de ce changement. Aujourd'hui, je suis fier de voir les efforts qu'ils ont fournis. » « Sébastien s'est bien intégré dans les systèmes, a accepté les charges de travail », acquiesce Régis Sonnes, entraîneur des avants girondins qui a connu les deux Wallisiens au berceau, à Mont-de-Marsan, où il jouait avec le père. « Je ne connais pas Romain, mais je retrouve chez Sébastien le côté explosif du père et cette agressivité naturelle de Jean-Jacques. Et la même personnalité : discret mais qui agit. »

« Romain se fait tout petit »

Les deux premières entrées girondines de « Petit Tao », déjà 57 matches d'élite et un potentiel énorme à exploiter, ont été solides. À un an de la Coupe du monde, « Grand Tao », titulaire trois fois, s'est lui fondu dans l'armada varoise. « Le plus dur a été pour Sébastien, raconte Willy, au stade des Alpes samedi dernier avant de s'arrêter à Toulon le dimanche. Il est seul à Bordeaux, et au début, quand il rentrait chez lui le soir, il avait un peu le moral à zéro. Romain, lui, est un timide et il se fait tout petit au milieu de toutes ces stars. C'est quand il revient à la maison qu'il raconte. Il est impressionné, et ça le motive. » « Il a découvert un groupe très ouvert » ajoute Sébastien, qui a retrouvé lui aussi le sourire, se rapprochant naturellement d'Avei, Sa, Toetu et des îliens.

« Romain a toujours été plus mature que moi, me cadrait. Ça me manque un peu mais, quelque part, c'est bénéfique. J'apprends à être plus autonome. Quand je vois Jean-Baptiste Poux, je me dis que j'ai beaucoup à apprendre. Mais j'ai envie de m'affirmer ici. Je dois encore m'affûter, être plus constant dans le jeu et en mêlée. Une saison comme la dernière, je ne veux plus jamais la revivre. »

Et le rêve de se retrouver un jour le duo en Bleu ? « Il y a encore beaucoup de travail, calme Willy. Ils doivent d'abord s'installer dans leurs clubs. » Même loin, la famille veille.


Contrairement à ce qu'on pouvait craindre, petit Tao aime le travail. Y a plus qu'à attendre que ça porte ses fruits.

http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2014-2015/jouissance-decouverte-concurrence-polyvalence.-voici-sebastien-taofifenua-bordeaux-begles_sto4430392/story.shtml

Interview du petit Tao dans Sud Ouest

On avait de la rage


Il y avait de la rage avant ce match ?

Sébastien Taofifenua (pilier de l'UBB). Oui. Ne pas avoir gagné depuis longtemps nous pesait et elle est montée au fil du match. On a pourtant mal débuté. On a été surpris par l'engagement dès le début et il a fallu rectifier le tir. On a fait le boulot en deuxième mi-temps. On a réussi à concrétiser nos temps forts, ce qui nous manquait ces dernières semaines.

Qu'est ce qui se passe dans la tête à3-10 face à des Brivistes dominateurs ?

Pas forcément du doute car on est toujours présent au score. Contre le vent fort, c'était compliqué. On s'est dit qu'il fallait se rassurer sur ce qu'on savait faire de bien, la conquête. On s'est recentré sur le jeu au sol : on récupère plusieurs ballons et c'est ce qui a fait basculer le match de notre côté. Le tournant, ensuite, c'est la touche récupérée à cinq mètres de leur ligne qui amène le troisième essai juste après la mi-temps.

Dire que vous vous êtes recentrés sur le jeu devant signifie que vous vous y sentez fort désormais ?

C'est trop tôt pour le dire. On sait qu'on bosse beaucoup à l'entraînement ces phases-là et on espère que que ça va porter ses fruits.

C'est votre troisième bonus offensif. ça compense la défaite contre Toulouse ?

Ce sont des points importants dans un championnat ultra-serré. On est cinquième ce soir, demain on peut se retrouver dizième. Je l'ai vécu avec Perpignan la saison dernière où était bien classé fin décembre. Après, gagner à la maison, c'est bien mais si on veut grandir il faut faire un coup en voyage. Il faut essayer d'y mettre l'application qu'on a ici à Chaban quand on est porté par 28 000 supporters. C'est le cap à franchir, vraiment.

http://www.sudouest.fr/2014/12/29/on-avait-de-la-rage-1781186-8.php

Fallait bien coller cet article de SO du jour quelque part


Jefferson Poirot et Sébastien Taofifenua se côtoient depuis qu’ils ont 16 ans, ont suivi des trajectoires parallèles avant de se retrouver à l’UBB. Interview croisée
Union Bordeaux-Bègles : Poirot et Taofifenua, ou être pilier en Top 14 à 22 ans Jefferson Poirot et Sébastien Taofifenua, mardi, au stade Moga : « Si on était les mêmes, ça ne servirait à rien ». © Photo
Quentin Salinier
L'un est un Francilien aux racines franco-nigériannes, arrivé au ballon Ovale par l'implantation maternelle en Dordogne. L'autre est l'héritier d'une famille wallisienne au riche patrimoine rugbystique. Leurs histoires étaient différentes, elles se sont heurtées sur un terrain du Limousin. « On jouait numéro 8 tous les deux. J'étais monté en pointe sur lui. Ça s'est mal passé pour moi », sourit Jefferson Poirot.

Ils avaient 16 ans, lui portait le maillot de Lalinde, Sébastien Taofifenua évoluait à Limoges. Ils ne se sont plus perdus de vue, via des amis communs, les sélections et le pôle France de Marcoussis, avant de devenir coéquipiers à l'UBB cet été.
"La concurrence les pousse"

C’est un autre point commun, à l’instar de leur « guide » Jean-Baptiste Poux : la polyvalence, testée par Jefferson Poirot il y a deux ans et souhaitée par Sébastien Taofifenua, pilier droit lors de certains exercices. « On verra dans le futur. Pour l’instant, ils sont très bien à gauche », dit Régis Sonnes. « Avec Laurent (Delboulbes), il y a une belle bataille au poste. La concurrence les pousse et ils montrent que des jeunes piliers français peuvent être performants en Top 14. »

Chacun dans leur style : « Jeff est dynamique, se déplace davantage, avance Jean-Baptiste Poux. Tao s’appuie sur sa puissance. Ils sont déjà intéressants et peuvent encore progresser : Jeff en se maîtrisant un peu plus, Tao physiquement. C’est de l’expérience qu’ils vont acquérir mais ce sont des guerriers adaptés au poste et ils sont prêts. »

Mardi, l'ex Briviste et l'ex Perpignanais ont évoqué leurs parcours de piliers gauches précoces : 58 matchs pour Taofifenua, suivi de près par les sélectionneurs tricolores en vue du Tournoi ; 48 pour Poirot, revenu en force samedi dernier au Racing-Métro. À 22 ans.

« Sud Ouest ». L'idée reçue voulait qu'il fallait dépasser les 25-26 ans pour être un pilier de Top 14. C'est terminé ?

Jefferson Poirot. Ça reste plus vrai pour les droitiers. À gauche, il y a de plus en plus de jeunes Français : Eddy Ben Arous, Xavier Chiocci… On travaille tellement physiquement qu'on est prêt plus tôt. Dans notre cas, on a la chance d'avoir déjà deux ou trois ans d'expérience.

Sébastien Taofifenua. Avoir supprimé l'impact en mêlée a changé le poste. Ce n'est pas moins difficile mais le profil est différent d'il y a dix ans. Le rapport de la part de la mêlée et du jeu a changé.

On vous rapporte souvent à votre jeunesse. Vous vous sentez comme tel ?

S. T. On est en train de basculer de l'autre côté. Être le jeune, ça suffit !

J. P. Le jeune, il est protégé. Là, le club nous donne plus de responsabilités. Si on reste dans cet état d'esprit, on ne peut pas assumer. Le revers est que tu n'a plus d'excuses. À la vidéo, tu charges comme les autres (sourire).

Et l'adjectif « prometteur » ?

J. P. Il ne faut pas tomber dans le piège de se reposer sur cela. Plutôt travailler pour atteindre ses objectifs. Certains joueurs prometteurs le sont restés toute leur vie.

S. T. Savoir qu'on parie sur nous motive. Il faut bosser encore plus pour assumer. À Perpignan, quand j'ai débuté, les gens autour s'étaient peut-être été emballés trop vite. J'avance à petit pas. Et je pense qu'ici on est bien encadré pour ne pas rester sur nos acquis.

Vous êtes passés par la filière fédérale. Qu'en retenez-vous ?

J. P. L'année à Marcoussis a été énorme humainement. C'était un peu long sur la fin car on restait enfermé, on nous mettait sous pression. Mais avec le recul, c'est une de mes plus belles années.

S. T. On avait eu la chance d'être filmé toute l'année et c'est quelque chose qu'on gardera à jamais. C'est dur physiquement et mentalement. On arrive à à peine 18 ans et ça aide à franchir un cap. Quand on sort, on est prêt à affronter le rythme professionnel, on a découvert la concurrence pour gagner sa place en équipe de France U20.

J. P. Le pôle donne aussi plus de crédit auprès des clubs. C'est dur d'entrer chez les pros. Nous, à la sortie, on a enchaîné sur des matchs en Top 14.

Et le Mondial des moins de 20 ans (en 2012) ?

J. P. Cela reste un bon souvenir. Malgré la 6e place, on a battu l'Australie.

S. T. C'était en Afrique du Sud, la découverte d'une autre compétition. Humainement, l'aventure est très forte. Mais une blessure l'avait un peu gâchée pour moi.

Qu'avez-vous pensé à l'idée de vous retrouver ?

S. T. J'étais content car on est proche dans le comportement, les délires. Mais ça me faisait un peu peur par rapport au temps de jeu : je connaissais le client. L'important est qu'on joue tous les deux.

J. P. Quand Seb a signé, je me suis demandé ce qu'il se passait. Je me suis dit que ça allait être compliqué pour moi car on serait quatre au poste avec Jean-Baptiste (Poux) et Laurent (Delboulbes). Mais, vite, du fait que ce soit un copain, je me suis dit qu'on allait se tirer la bourre sainement et que ce serait bénéfique.

Peut-on être proche et concurrent ?

J. P. Oui. Quand je ne suis pas content de ne pas jouer, je ne peux pas en vouloir à Seb. Sur le terrain, il fait le boulot ; c'est un des meilleurs en tout. C'est plus facile d'être proche. On encourage celui qui joue.

S. T. C'est même important. On se parle beaucoup à l'entraînement sur les attitudes, les détails. On a des expériences différentes, j'ai joué des piliers que Jeff n'a pas affrontés et vice-versa. Ça ne servirait à rien de se cacher des choses.

Qu'enviez-vous chez l'autre ?

J. P. Seb est rarement en difficulté en mêlée. Il arrive toujours trouver des solutions par sa puissance.

S. T. Jeff a une explosivité hors norme. Il avance toujours.

Vous avez tendance à copier l'autre ?

J. P. Il faut plutôt renforcer ses points forts. Les coaches nous le disent : ils jouent sur la complémentarité selon l'adversaire, le moment du match, s'il faut prendre l'axe ou le large, la situation en mêlée. Si on était les mêmes, ça ne servirait à rien.

Que vous reste-t-il de votre passé de huit ?

Ensemble. Pas grand-chose. Des photos !

Vous avez connu chacun une descente. Ça fait grandir plus vite ?

S. T. J'ai eu du mal à le digérer. Si ça m'a appris quelque chose, c'est à ne pas s'emballer. Avec l'USAP, on était dans la même position que l'UBB l'an passé. La deuxième partie de saison est passée très vite… Il faut tout donner, tout le temps.

J. P. Ça aide aussi à relativiser. Lorsque c'est la crise après une défaite mais qu'on est 4e, je prends du recul et je passe vite au match suivant.

Vous faites partie de la génération montante du club. Vous vous y imaginez sur du long terme ?

J. P. Étant donné les ambitions du club, oui.

S. T. Ça me plairait. On ne sait pas comment ce sera demain mais aujourd'hui, on nous fait confiance et on se sent concerné. Ça donne envie de s'impliquer.

J. P. On est beaucoup de jeunes Français, avec une grosse marge de progression, et peut-être la possibilité d'être les cadres de demain. C'est le but du président et c'est excitant. Pourquoi pas devenir un nouveau Toulouse, le réservoir du rugby français ? C'est un rêve.

Comment regardez-vous l'équipe de France ?

J. P. C'est ce qui doit nous guider. Si on ne rêve pas à ce qui se fait de mieux, c'est compliqué de réussir une carrière de haut niveau. Après, il y a du monde. Je ne me projette pas, je me dis qu'il faut bosser pour surtout être prêt à assumer si ça se présente, ne pas faire une sélection et exploser.

S. T. Il faut que ça nous anime au quotidien. On a joué en sélections de jeunes, on a des copains qui commencent à y être, C'est un rêve d'y goûter un jour.

on peut voir le reportage de leur année a marcoussis sur france 4. Le reportage s'intitule si je me rappelle bien : "a l'école du rugby".
On y voit outre le petit tao et jefff, notre snake darly, et des joueurs comme gayraud, fidinde..
reportage trés interessant sur lequel je suis tombé ce dimanche matin de trés bonne heure a voir mais je n'ai pas le lien...

1er épisode



Les autres sont aussi sur Youtube :

Extrêmement intéressant le passage où ils parlent du projet du club et voient en l'UBB "le nouveau Toulouse"

J'adore Jeff et j'espère qu'il arrivera à franchir le cap qui lui fera gommer ses petits défaults (ballons tombés au contact et sérénité) car son explosivité et sa vitesse est exceptionnelle.

http://www.20minutes.fr/bordeaux/1512959-20150108-bordeaux-taofifenua-autre-grand-espoir-ubb-tape-porte-xv-france

Interview sympa de Tao sur rugby-scapulaire.com : http://rugby-scapulaire.com/2015/04/02/2015/8383-s-taofifenua-impossible-pour-nous-de-ne-pas-y-penser-tous-les-jours

Effectivement interview sympa.
Une prolongation de son contrat qui se termine en 2016 ne serait pas malvenue à l'instar par exple de Botha.
Retour pour le déplacement au LOU est un challenge.

Merci pour les compliments, j'ai pris du plaisir à la faire, super gars !

continue comme ça ton site est super. supers reportages, supers photos, je suis fan

marchal a écrit:continue comme ça ton site est super. supers reportages, supers photos, je suis fan

Merci beaucoup, c'est gentil, on va essayer

http://www.francebleu.fr/infos/union-bordeaux-begles/top-14-ubb-sebastien-taofifenua-je-vais-tout-donner-2345975

Mauvaise nouvelle

http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2014-2015/top-14-bordeaux-begles-trois-mois-d-absence-pour-sebastien-taofifenua_sto4843791/story.shtml

http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2014-2015/top-14-bordeaux-begles-trois-mois-d-absence-pour-sebastien-taofifenua_sto4843791/story.shtml

Coup dur pour l'UBB : victime d'une luxation à une épaule lors du stage à Saint-Lary, le pilier gauche Sébastien Taofifénua sera indisponible durant trois mois selon Sud-Ouest. Il manquerait alors les sept premières journées de championnat. Bordeaux-Bègles n'envisagerait pas de faire appel à un joker médical.

La tuile...

CA COMMENCE BIEN

Il était en effet un des rares absents de ce matin. Darly et Lonca également.

Pouah.

On n'aura que 6 premières lignes pour les premiers matchs...en espérant que APT soit physiquement apte (pas comme sur la photo de l'entraînement du jour ) ...