EDF U20 2014-2015 : Lucas et Lucas

marchal a écrit:super le retour de thierry paiva qui remplace simutoga, j'adore ce drole.
ce qui fera 4 jeunes de l'ubb en coupe du monde -20, en plus contre les rosbifs (meret, blanc, pilati et paiva

.
allez les jeunes vous allez tout exploser

Il manque le jeune demi de mêlée transfert du FC Auch, Doubrere et qui signe chez les espoirs 2015/2016

SO :

« Les Anglais ne sont pas imbattables » pour Lucas Méret
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Publié le 10/06/2015 à 06h00 , modifié le 10/06/2015 à 10h00 par nicolas le gardien
L’ouvreur des espoirs de l’UBB et ses coéquipiers des Bleuets disputent cet après-midi (16h30) face à l’Angleterre une place en demi-finale qui serait inédite depuis 2011. Il évoque son expérience
« Les Anglais ne sont pas imbattables » pour Lucas Méret
Lucas Méret, ici face à l’Irlande lors du Tournoi des VI Nations U20 le 13 février.
photo afp
D

eux matchs, deux victoires (Pays de Galles 19-10 et Japon 47-7), une titularisation et une entrée de jeu pour chacun, un essai pour le second : le début de la Coupe du monde en Italie est sans nuage pour les espoirs de l'Union Bordeaux-Bègles Lucas Méret, Lucas Blanc, Alexandre Pilati et leurs coéquipiers de l'équipe de France U20. Incomplet aussi : l'heure de vérité est programmée cet après-midi à Viadana avec la « finale » de la poule contre l'Angleterre, double championne du monde en titre de la catégorie, place en demi-finales en jeu.

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« Depuis samedi, on a surtout axé sur la récupération. On joue tous les quatre jours, à 16 h 30, sous 37 et 38 degrés », racontait lundi Lucas Méret depuis Coccaglio, camp de base des Bleus dans la campagne lombarde, au pied des Alpes italiennes. Lui et Lucas Blanc débuteront à nouveau aujourd'hui tandis que le pilier Thierry Paiva, appelé ce week-end suite au forfait de Michel Simutoga, sera sur le banc avec Alexandre Pilati. Impressions.

« Sud Ouest ». Comment abordez-vous cette rencontre ?

Lucas Méret. C'est notre quart de finale. On aurait aimé être qualifié avant mais on s'y attendait. Il y a beaucoup de sérieux et de motivation : on a perdu une « finale » du Tournoi chez eux (24-11, le 20 mars, NDLR), notre génération ne les a jamais battus. On se dit que c'est le moment d'inverser cela. Se qualifier comme meilleur deuxième sera compliqué, on n'a pas de questions à se poser. Battre les Anglais, ce serait une référence, et toujours un plaisir.

Quels sentiments gardez-vous des deux premiers matchs ?

Celui contre le Pays de Galles a été plutôt bon. C'est toujours compliqué de rentrer dans une compétition, surtout contre une équipe qui a toujours fini devant nous en Coupe du monde, et nous avait privés de la demi-finale l'an passé. Durant toute la préparation, on avait cette rencontre en tête. Au final, le score ne reflète pas la physionomie du match : on aurait pu prendre le bonus offensif.

La rencontre contre le Japon a été plus compliquée. Nous avons effectué 12 changements, certains joueurs rentraient dans la compétition. Les Japonais ont produit beaucoup de jeu, sont solides sur leurs bases. On a commis beaucoup de fautes de mains. Le score s'est décanté sur la fin mais il reste un petit goût amer.

Qu'avez-vous retenu du match de cet hiver contre les Anglais ?

L'an dernier, ils avaient des joueurs, notamment devant, qui étaient supérieurs. Cette fois, peut-être parce que j'ai un an de plus, je les trouve moins forts. Il leur reste 13 joueurs champions du monde, ce sera compliqué, mais ils ne sont pas imbattables. On menait là-bas lors du Tournoi et on avait craqué mentalement sur la fin. On a perdu sur nos erreurs plus que sur leur jeu.

Ressentez-vous de la fatigue après une saison longue due à la nouvelle formule du championnat espoirs ?

On a disputé huit matchs en plus. Mais un championnat du monde, ça passe très vite, c'est l'objectif de la saison et on n'y pense pas trop. On a perdu plusieurs joueurs sur blessure, c'est peut-être lié. Mais ce n'est pas une excuse. À titre personnel, je me sens bien.

Avez-vous le sentiment d'avoir passé un palier cette saison ?

En club, je dirais que non car je n'ai pas eu ma chance au niveau pro. Le cap n'est pas franchi à ce niveau-là. En sélection, les entraîneurs me font de plus en plus confiance, me placent en position de leader. Intérieurement, je pense avoir mûri. Mais on saura réellement la saison prochaine si cette année U20 va me permettre ou non d'accéder au monde pro.

Et en terme de confiance ?

Plus ou joue, plus on progresse. Ici, comme à l'UBB, les entraîneurs nous laissent beaucoup de liberté au sein du cadre fixé : ça permet de tenter des choses, d'essayer. On nous laisse faire nos erreurs aussi. Ça aide à apprendre.

Le barrage perdu contre Toulouse avec les espoirs de l'UBB vous sert-il avant ce match couperet ?

Oui. On y retrouve de l'enjeu, une pression particulière, un style de jeu à adopter. Avoir affronté des Tolofua, Camara, qui sont déjà intégrés au Top 14, donne confiance. J'en tire des enseignements, notamment sur la gestion des temps faibles. Contre Toulouse, on avait pris l'ascendant, on menait ; eux ont fait le jeu qu'ils maîtrisent, ont occupé. Nos erreurs nous ont coûté cher. ça laisse à la fois un peu de déception et des espoirs pour la saison prochaine.

Le match. France - Angleterre, aujourd'hui à 16 h 30 à Viadana (en direct sur Eurosport).


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World Rugby U20 Championship 2015 England U20 vs France U20

si l'on ne sait pas avec l'ubb faire des placages offensifs, demandons à lucas blanc de nous apprendre, il vient de mettre un tampons au 3L anglais super
bon à part ça, dominations territoriales des anglais, mais on est plus réalistes, 2 essais de penaud dont un sur interception contre 1 du 8 anglais, score 17à 8 à la MT

Moi je trouve qu'a part les cocottes ou les touches ou on est bon on se fait drolement malmenes.
Blanc a fait un bon placage sur leur 3L c'est vrai mais il a aussi juste refuse de plaquer sur l'essai.

Nos deux premiers essais sont tout de meme un peu chanceux (surtout le premier) ou Penaud va au contest sans vraiment jouer le ballon et on recupere grace a ca, bien joue cela dit, les A auraient plutot pris un essai comme ca.
Pour le second, c'est tellement mal joue de la part des anglais qui etaient en train de nous marcher dessus que c'est bien fait pour leur gueule, si ca avait pas ete Penaud a l'interception, ils etaient trois autres derriere lui pret a la faire tant les passes anglaises etaient lentes

Rentree de Paiva, il a l'air sacrement puissant ...

Doubrere sort bien le ballon pour Meret qui passe son drop, c'est gagne
Et aller chercher une derniere penalite sur du pick&go, quoi de mieux contre les rosbifs

La victoire et pas de bonus pour eux malgre une grosse alerte, on les prive peut etre de demie, ca serait encore meilleur

Tout à fait d'accord avec toi, on s'est fait malmené tout le match, mais on a gagné et c'est le principal.
les anglais ont été trés ine'fficace, en meme temps on a trés bien défendu (méret, doubrére, macalou..)
par contre, makalou pas top sur leur essai de pénalité
méret a bien animé et marque le drop libérateur
blanc moyen mais qu'en meme se propose plus que bonneval
dommage pour thierry qu'il ne soit rentré qu'à la 75, il aurait j'en suis sure apporté un plus en mélé ou l'on s'est fait malmené
Pilati lui esty resté sur le banc
score : 30 18

Belle victoire sur un XV qui ne nous réussit pas habituellement, de bonne chose et nos garçons montrent qu'ils ont du savoir faire. Bon ITW de Lucas Meret sur RR,le garçon ne se fait pas trop d'illusion en disant n'avoir jamais l'occasion de se frotter aux pros,ne fait pas parti des gars testés en coupe Mickey cet hiver, c'est vrai que je ne lui ai JAMAIS vu manquer un coup de pied à 22m face aux perches.
Avec Nicolas et Doubrére on aura une bonne charnière la saison prochaine en espérant qu'un 10 de rechange crédible puisse se révéler.
En attendant ils montrent le chemin aux cadors,puissent ils s'en inspirer.

Sauf erreur les demies sont :

Nouvelle Zelande - France
Afrique du Sud - Angleterre

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Les 2 Lucas + Alexandre dans le XV

Thierry et la future recrue sur le banc

Voudrais bien un lien fiable pour voir ce match ... merci

Eurosport à 18h30 Sudiste ... parrait qu'ils sont fiables

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Midol

Bien ce petit Lucas

SO :

La génération « abnégation »
Nicolas le gardien

Lucas Blanc, Lucas Méret, Alexandre Pilati et Thierry Paiva, qui défient les Baby-Blacks ce lundi soir (18 h 30) en demi-finale de la Coupe du Monde U20, ont fait leurs classes ensemble.

De mémoire de Michel Maillet, coordinateur des équipes de jeunes, le précédent remonte à 1976. Quatre joueurs, ayant fait la quasi-totalité de leurs classes au CABBG, disputant ensemble une demi-finale de Coupe du Monde moins de 20 ans (junior à l'époque) : adversaires des Baby-Blacks ce soir (18 h 30) à Calvisano, l'ouvreur Lucas Méret, les ailiers Lucas Blanc et Alexandre Pilati - tous trois titulaires - et le pilier Thierry Paiva - remplaçant - tenteront d'imiter leurs aînés, qui étaient allés jusqu'au bout il y a 39 ans.

Un rendez-vous aux airs historiques (les Bleuets n'avaient pas atteint ce stade depuis 2011) que le technicien, passé par l'encadrement des équipes de France jeunes, s'empresse de temporiser : « être international junior est une chose ; intégrer le niveau professionnel, la finalité, le plus dur » dit-il, soulignant une part de « circonstances », à l'image de la blessure de Michael Simutoga qui a entraîné le rappel de Thierry Paiva en cours de route.

Titres et frustrations

Le moment n'en reste pas moins rare. Le signe d'une génération à part ? « Je ne pense pas, poursuit Michel Maillet. Mais une bonne génération, avec des garçons que l'on a vu venir tôt. Lucas Méret, en minimes, je le trouvais exceptionnel notamment avec sa passe déjà très rapide. Après, avoir le talent jeune ne suffit pas. Il faut qu'il soit l'accompagner de la maturité nécessaire au fil des étapes. »

Coéquipiers en damiers à partir des cadets, les aînés Lucas Blanc (dernier à poser son sac à Moga, en provenance de Pessac), Lucas Méret et Thierry Paiva - promotion 1995 - et le surclassé Thierry Pilati - 1996 - ont décroché un titre U17 avec la sélection Aquitaine ; les trois-quarts ont décroché la couronne de champion de France à 7 en 2012. Les trois premiers ont participé à l'aventure du titre Taddeï de la Côte d'Argent en 2013.

En club, le quatuor et leurs camarades (dont les Maxime Laforgue, Erwan Nicolas, Arnaud Durand, Evaan Reihana, Gauthier Brute de Rémur ou Angel Durango, toujours à l'UBB) se sont nourris de frustrations : la défaite aux tirs au but en 8e de finale du championnat de France Crabos 2012-2013 contre Perpignan après avoir dominé la saison régulière ; celle contre Toulouse début mai en quarts de finale espoirs après avoir longtemps mené au score.

« C'est une génération talentueuse, sinon ils n'en seraient pas là, mais aussi des garçons qui ont su travailler et saisir leur chance en sélections avec des circonstances différences » souligne David Ortiz, responsable du centre de formation de l'UBB.

Pionniers de la « pré-filière »

Vincent Manta, responsable du pôle espoirs de Talence par lequel ils sont tous passés, confirme : « c'est la première promotion à avoir suivi la pré-filière (suivi fédéral dès le collè-ge, NDLR). Ils sont ensemble depuis la 4e et je pense que cela a créé de la cohésion. Il n'y a pas de “King” dans cette génération mais elle était très dense et se caractérisait par sa détermination, le sérieux. Cette Coupe du monde est un premier retour de leur investissement. »

Seul à avoir déjà goûté à l'équipe première - avec trois prestations propres en Challenge Européen -, Lucas Blanc n'était pas forcément le plus attendu au départ. « Il a élevé son niveau, notamment sur le plan défensif, montre beaucoup d'intelligence dans le jeu » note David Ortiz.

Lucas Méret a passé « un palier supplémentaire » dans la prise de responsabilité en accumulant les matchs ; Thierry Paiva « a beaucoup travaillé » pour se mettre au niveau physique et combler ses manques en mêlée fermée. Benjamin des espoirs. Alexandre Pilati a dû slalomer entre les blessures mais est suivi de près depuis plusieurs années.

Lors du championnat d'Europe U18 en 2013 et le Tournoi U20, les Anglais leur avaient barré la route. Cette fois, ils ont vaincu leur bête noire mercredi dernier, avec, comme un symbole, plus d'abnégation que de coups d'éclat. « Ils ont montré la voie » dit Vincent Manta. Et la relève, elle, arrive : vice-champions de France à XV et sacré à 7, les cadets du CABBG pointent leur nez avec l'équipe de France U16.

C'est Thierry "Paiva".

Allez les gars !

En filigrane, aucun de ces joueurs-au delà de la réelle sympathie du parcours- ne semblent pouvoir passer pro (oui je suis de mauvaise humeur).

le radis a écrit:En filigrane, aucun de ces joueurs-au delà de la réelle sympathie du parcours- ne semblent pouvoir passer pro (oui je suis de mauvaise humeur).

Faudra peut-être qu'ils passent par la ProD2 voire même des clubs ambitieux de Fed1, mais qui sait si un jour on n'en retrouvera pas certains au plus haut niveau

Une des grandes pbmatique du rugby actuel est comment faire jouer et progresser les jeunes joueurs.
L'UBB est un des pires clubs en ce sens où il n'est pas possible sauf exception de faire jouer et progresser les jeunes.

le radis a écrit:Une des grandes pbmatique du rugby actuel est comment faire jouer et progresser les jeunes joueurs.
L'UBB est un des pires clubs en ce sens où il n'est pas possible sauf exception de faire jouer et progresser les jeunes.

VI (j'étais en réunion): me suis mal exprimé :l'UBB n'est pas différente de la majorité des autres clubs sur ce plan. Les jeunes n'ont pas accès au top 14.

le radis a écrit:VI (j'étais en réunion): me suis mal exprimé :l'UBB n'est pas différente de la majorité des autres clubs sur ce plan. Les jeunes n'ont pas accès au top 14.

Heu, mis à part des petits génies du ballons ovale, est il vraiment anormal qu'un jeune ne passe pas directement de la catégorie espoir au Top14 ? N'est il pas plus normal qu'il s'arme physiquement et techniquement à un des niveaux inférieurs ?
Les ingés que je forme ne sont pas directement chef de projet à ce que je sache ... enfin j'espère

Le pb c'est que ce n'est pas le cas en Prod2 où le ratio est à peine plus élevé.
Moi ce que je constate est le retrécissement du réservoir des joueurs français pros.
Y a bp d'ingés fidjiens et tongiens ?

allez les jeunes, faites vous (et nous) plaisir, les baby black ne sont pas imbattables, vous pouvez le faire.
le seul qui m'ait impréssionné est le n°8, les autres sont à votre porté

patrick a écrit:

le radis a écrit:En filigrane, aucun de ces joueurs-au delà de la réelle sympathie du parcours- ne semblent pouvoir passer pro (oui je suis de mauvaise humeur).

Faudra peut-être qu'ils passent par la ProD2 voire même des clubs ambitieux de Fed1, mais qui sait si un jour on n'en retrouvera pas certains au plus haut niveau

Sur Rubgy Scapulaire

En cette année de Coupe du Monde, le syndicat des présidents de club (UCPR) avait demandé à Provale (syndicats des joueurs) de consulter l’ensemble des joueurs concernés par le Mondial des moins de 20 ans pour voir si ceux-ci étaient prêt à raccourcir leur 4 semaines de vacances. En effet certains (comme Lucas Blanc à l’UBB, qui a déjà joué en équipe première en Challenge Cup) auraient pu être utile à leur club à la reprise du Top 14 pour compenser les absences dues à la Coupe du Monde. Mais les joueurs ont refusé et seront donc en vacances pour 4 semaines à partir du 21 juin date de leur retour en France.

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Il est certain qu'ils ont droit aux vacances comme tout le monde mais quand t'as l'occasion d'être dans le groupe pro voir d'être sur des feuilles de matchs, il faut accepter certains sacrifices

A mes yeux, ça dénote un état d'esprit qui n'est pas propice à percer en pro. Les occasions sont rares, faut pas les laisser passer

A link for the match please

kaze33 a écrit:

patrick a écrit:

le radis a écrit:En filigrane, aucun de ces joueurs-au delà de la réelle sympathie du parcours- ne semblent pouvoir passer pro (oui je suis de mauvaise humeur).

Faudra peut-être qu'ils passent par la ProD2 voire même des clubs ambitieux de Fed1, mais qui sait si un jour on n'en retrouvera pas certains au plus haut niveau

Sur Rubgy Scapulaire

En cette année de Coupe du Monde, le syndicat des présidents de club (UCPR) avait demandé à Provale (syndicats des joueurs) de consulter l’ensemble des joueurs concernés par le Mondial des moins de 20 ans pour voir si ceux-ci étaient prêt à raccourcir leur 4 semaines de vacances. En effet certains (comme Lucas Blanc à l’UBB, qui a déjà joué en équipe première en Challenge Cup) auraient pu être utile à leur club à la reprise du Top 14 pour compenser les absences dues à la Coupe du Monde. Mais les joueurs ont refusé et seront donc en vacances pour 4 semaines à partir du 21 juin date de leur retour en France.

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Il est certain qu'ils ont droit aux vacances comme tout le monde mais quand t'as l'occasion d'être dans le groupe pro voir d'être sur des feuilles de matchs, il faut accepter certains sacrifices

A mes yeux, ça dénote un état d'esprit qui n'est pas propice à percer en pro. Les occasions sont rares, faut pas les laisser passer

News très mal écrite, à moins d'ignorer la différence entre un scrutin majoritaire et une décision individuelle.
Sinon, visiblement parmi les forumeurs, y'en a qui ont des fouets chez eux...

...un lien ..pas bu blabla merci

sudiste a écrit:...un lien ..pas bu blabla merci

"Bu blabla" ? Allez, plus que 21 mn avant de se régaler devant le match.

mon jambon star a écrit:

sudiste a écrit:...un lien ..pas bu blabla merci

"Bu blabla" ? Allez, plus que 21 mn avant de se régaler devant le match.

J'ai toujours su qu'il picolait le chasseur...

Pat a écrit:

mon jambon star a écrit:

sudiste a écrit:...un lien ..pas bu blabla merci

"Bu blabla" ? Allez, plus que 21 mn avant de se régaler devant le match.

J'ai toujours su qu'il picolait le chasseur...

Alors que nous, non. En aucun cas.
T'as un lien ?