TOP14 - 21ème journée : La Rochelle / UBB

SO :

Rugby (Top 14) : à l'UBB, une semaine pour se rebeller
nicolas le gardien

C'est (re) parti. Neuf jours après le coup sur la tête contre le Racing (20-28), suivant celui contre Clermont, staff et joueurs de l'UBB se sont retrouvés hier au stade Moga. En position de qualifiables (6e) pour la 17e journée consécutive mais avec une avance amaigrie à 4 points sur Castres, et un calendrier (deux réceptions, quatre voyages) qui ne la place plus en favorite. Questions sur des jours décisifs avant le déplacement à la Rochelle samedi.
Quel état d'esprit ?

Hier matin, le staff a modifié les habitudes en lançant la semaine directement par un travail en opposition. Aujourd'hui, l'ensemble se délocalisera à Mérignac. Auparavant, le manager Raphaël Ibanez avait planté le décor : il est revenu brièvement sur la déconvenue face au Racing et a vite basculé sur la suite demandant, en filigrane, à ses joueurs d'enfiler un esprit guerrier et retrouver la détermination de la gagne.

« D'abord, on est content de revenir, de se retrouver. C'est une force depuis plusieurs années, dit le centre Julien Rey. On connaît tous nos objectifs. On a fait deux petits matchs contre deux grosses équipes. On sait qu'on doit travailler et on a envie de travailler pour aller chercher cette 6e place. » « On a pris un coup sur la tête mais on a eu une semaine pour se remettre les idées en place et prendre conscience qu'on n'a plus le droit à l'erreur, avance le polyvalent Jean-Baptiste Dubié. Nous nous sommes mis seuls dans cette situation, à nous de nous en sortir. Tout le monde est prêt pour ça. »

Après avoir parlé au vestiaire à chaud, le président Laurent Marti n'a pas caché qu'il vivrait une non-qualification comme un échec au vu du scénario. « Depuis que je suis là (2008, NDLR), j'avais l'impression qu'on faisait nos meilleurs matchs lorsqu'on avait le feu aux fesses, constate le troisième ligne Hugh Chalmers. Cette année, ça a changé, on arrivait mieux à maîtriser. Maintenant, j'espère qu'on va montrer qu'on sait encore réagir. »
Avec quels joueurs ?

Depuis plusieurs mois, Raphaël Ibanez avait laissé entendre que le groupe allait se resserrer avant la venue de Clermont et le début de matchs plus espacés. La tendance s'est confirmée… en partie : 27 joueurs utilisés en deux matchs, quatre changements dans le XV pour deux rencontres en six jours avec quelques choix forts (absence Gomez Kodela contre Clermont, renouvellement de la charnière face au Racing) qui n'ont pas payé. Mais le panel a aussi été très limité par les blessures. Le demi de mêlée Heini Adams et le deuxième ligne Jandre Maraisrestent indisponibles et le nouveau coup dur concerne Jefferson Poirot, éloigné des terrains jusqu'à mi-mai (lire page 34). Darly Domvo, Sofiane Guitoune, Luke Braid, Marco Tauleigne étaient eux de retour sur le terrain hier ; Adam Jaulhac a repris du rythme avec les espoirs.

Après le revers face au Racing, le manager a souligné qu'il s'appuierait sur des joueurs « de caractère. » Utiliser l'esprit de revanche des battus ? Rebattre les cartes ? Un peu des deux ? Le staff n'a rien laissé filtrer auprès des intéressés, qui, tous, ont l'espoir d'en être. Réponse jeudi.
La Rochelle, quitte ou double ?

D'un point de vue mathématique, rien ne sera joué samedi. Mais après être passé au travers contre le demi-finaliste de Champions Cup, une réaction sera indispensable pour relancer une dynamique et simplement.. rivaliser dans la bouilloire de Deflandre. « Ils ont une équipe armée physiquement, pratiquent un très beau rugby, complet avec des joueurs d'expérience ; ils n'ont perdu qu'une fois à domicile (1), résume Julien Rey. On a une idée de ce qui nous attend, mais on ne va jouer que des gros jusqu'en fin de saison. On n'a pas de questions à se poser. »

« On doit prendre des points partout, faire le maximum que ce soit à La Rochelle, Montpellier, Toulon ou ailleurs » lance Hugh Chalmers. Alors, rébellion ?

(1) Le 22 août contre Clermont (6-44).


http://www.sudouest.fr/2016/04/12/ubb-les-photos-de-l-entrainement-delocalise-a-merignac-2328876-2780.php

Choix de la photo spécial groupies


Entraînement de l'UBB à Mérignac par ubbrugby
http://www.ubbrugby.com/ubb/actualite/5560-entrainement-delocalise-a-merignac.html

MJS, que penses tu du nouveau stagiaire média de l'UBB ?  


http://www.sudouest.fr/2016/04/12/union-bordeaux-begles-on-va-jeter-toutes-nos-forces-promet-raphael-ibanez-2328814-4564.php

patrick a écrit:
MJS, que penses tu du nouveau stagiaire média de l'UBB ?  

Perso, j'ai moins de soucis avec la com' de l'Union (même si ce n'est pas toujours ma came, c'est peu de le dire...) qu'avec le staff et ses choix.
Et j'espère bien qu'il va rapido me fermer ma gueule par des résultats étincelants sur le terrain.

Allez Union !

mon jambon star a écrit:

patrick a écrit:
MJS, que penses tu du nouveau stagiaire média de l'UBB ?  

Perso, j'ai moins de soucis avec la com' de l'Union (même si ce n'est pas toujours ma came, c'est peu de le dire...) qu'avec le staff et ses choix.
Et j'espère bien qu'il va rapido me fermer ma gueule par des résultats étincelants sur le terrain.

Allez Union !

t'as oublié "grande" !




........... je sors !

Avant match Stade Rochelais / Union-Bordeaux... par AtlantiqueStadeRochelais

patrick a écrit:
Avant match Stade Rochelais / Union-Bordeaux... par AtlantiqueStadeRochelais

Ben voila...on parlait de com' et, comment dire...

mon jambon star a écrit:

patrick a écrit:
Avant match Stade Rochelais / Union-Bordeaux... par AtlantiqueStadeRochelais

Ben voila...on parlait de com' et, comment dire...

Aaaaaaaaaaah, quand même





3 petites places restantes pour aller constater le réveil de notre troupe chez les charentais

http://www.sudouest.fr/2016/04/14/union-bordeaux-begles-a-la-rochelle-sans-revolution-mais-avec-des-retours-2330855-4564.php

Le groupe : Auzqui, Avei, Maynadier, Taofifenua, Kitshoff, Gomez Kodela, Kepu, Cazeaux, Le Devedec, Botha, Clarkin, Saili, Goujon, Madaule, Braid, Bernard, Serin, Lesgourgues, Rey, Lonca, Dubié, Ashley-Cooper, Talebula, Connor, Buttin, Domvo.

Ce Forum est cette semaine d'un silence assourdissant. Alors

2 défaites successives à la piaule, 1 semaine de vacances, pas une com énorme du club (grosse prise de conscience et style révolte annoncée) ... faut pas s'étonner que ça pionce

Que ça coince quoi ?? Patrick

Coince, pionce, faut choisir adrien

Pour les plus jeunes, piaule = maison, pioncer = dormir

SO :


Stade Rochelais-UBB : notre dossier sur le Choc de l'Atlantique
Benjamin Deudon
La Rochelle reçoit son ennemi préféré samedi, à 20 h 45, au stade Marcel-Deflandre. Décryptage de deux clubs à la trajectoire pas si éloignée.

• 1. Historique : pas de manière entre voisins 

Mine de rien, la victoire de justesse de l'UBB à l'aller (21-16), à Chaban-Delmas, a mis fin à une petite série. En effet, depuis le 17 avril 2010, jamais les Rochelais ou les Bordelo-Béglais ne s'étaient imposés sur leur pelouse face à leurs voisins. Certes, cela ne concerne que trois matchs de championnat, en Pro D2 puis en Top 14, et une rencontre de préparation, mais tout de même, l'anecdote confère un piment supplémentaire à une affiche qui n'en manquera pas, samedi soir, à 20 h 45 à Marcel-Deflandre.
D'autant que chaque opposition a sa petite histoire. En avril 2010, donc, les partenaires de Rémi Talès avaient remporté (14-28) un succès précieux dans la course aux phases finales d'accession et à la montée dans l'élite, une semaine après une défaite surprise à domicile contre Aurillac (21-22). Depuis, les deux clubs ne s'étaient plus croisés, l'UBB accédant au Top 14 en 2011 quand les Jaune et Noir retrouvaient la Pro D2. Et, contrairement aux Maritimes, les Girondins avaient profité d'une année de Coupe du monde pour y rester.
En septembre 2014, l'UBB gagnait sur le terrain de La Rochelle. Six mois plus tard, l'ASR prenait sa revanche à Chaban. Photo Pascal Couillaud
En septembre 2014, les deux équipes retrouvaient donc la notion de derby à Marcel-Deflandre, dans un match largement dominé par les Rochelais pendant les trois-quarts de la rencontre. Pourtant, l'UBB parvenait à inverser la tendance (26-29) en même temps qu'elle infligeait à l'ASR sa seule défaite de la saison à domicile, s'installant du même coup à la 4e place.
Six mois plus tard, à Chaban, La Rochelle prenait sa revanche de façon logique (21-22), remportant cette fois sa seule victoire à l'extérieur. Là encore, un succès précieux pour rêver d'un bail prolongé en Top 14 l'année suivante… Samedi, l'enjeu sera moindre. Pas la rivalité. D'autant que l'UBB reste aussi sur un match de préparation remporté à Port-Neuf (14-19), cet été…

• 2. Progression : "Une évolution normale"

La bande de Jason Eaton (au centre) alterne victoires et frustrations. « Ça se fait étape par étape », sait le Girondin Matthew Clarkin. Photo Xavier Léoty
En sport, le temps passe vite. La preuve ? À 35 ans, c'est souvent l'heure de la retraite. Une autre démonstration ? Rappelez-vous de la saison 2005-2006… Il y a dix ans, le champion de France de Top 14 se nommait Biarritz. Perpignan s'était incliné en demi-finale, Agen terminait 5e, devant Bourgoin, 6e, quand Narbonne se classait 10e. Toulon, lui, était relégué en Pro D2, un championnat où le Métro-Racing venait de sauver sa tête, 13e et premier non relégable, loin derrière le Stade Bordelais, 7e, et La Rochelle, 8e…
Aujourd'hui, l'Union Bordeaux-Bègles, cinq ans après sa montée, fait partie des candidats naturels aux phases finales du Top 14 tandis que le Stade Rochelais, promu en 2014, continue d'écrire son histoire avec une troisième saison assurée et des ambitions qui s'affirment.
La clé, c'est l'expérience
Pour autant, on l'a dit, le temps passe vite. Aussi, les deux voisins se structurent pour affirmer leur présence avec un modèle, des bassins de population et économique très différents. Mais tous deux suivent un cheminement commun, nécessaire en Top 14. Premier palier obligatoire, selon le Montalbanais Gautier Gibouin - petit-fils, fils et frère d'anciens Rochelais, passé par l'UBB (2009-2011 puis 2012-2014) -, acquérir une expérience commune du très haut niveau : « Il faut des joueurs qui ont l'habitude d'évoluer ensemble depuis longtemps. Bordeaux-Bègles et La Rochelle fonctionnent comme ça. C'est très important. » Notamment avec des cadres déjà présents en Pro D2.
Toujours girondin (comme Avei, Jaulhac, Adams, Rey, Connor, Chalmers), Matthew Clarkin rejoint cette analyse. « La Rochelle a le même problème que tous les promus, et que l'on a connu : la continuité. C'est très difficile d'enchaîner des gros matchs tous les week-ends avec un groupe qui manque parfois de profondeur », explique celui qui prendra sa retraite fin juin, une semaine avant ses… 35 ans.
Ainsi, comme les hommes du président Marti - 8es en 2012 puis 12es en 2013 -, les Maritimes ont perdu des matchs alors qu'ils donnaient l'impression d'être supérieurs. « Dominer n'est pas gagner, il faut l'apprendre. Le moindre relâchement coûte cher. C'est parfois cruel, mais c'est un passage obligé, collectivement, reprend le troisième ligne. C'est l'état d'esprit qui fait qu'une équipe franchit un cap, même si c'est plus facile de créer quelque chose en gagnant. La frustration est normale, ça se fait étape par étape. Au début, on gagnait des matchs importants à la maison mais on prenait des fessées à l'extérieur. Ce n'est plus le cas. Chaque année, on progresse sur des points différents, et de nouveaux problèmes arrivent. C'est une bataille de tous les jours. »

Comme lui, l'ancien coach girondin Vincent Etcheto pense que « tout est question de confiance et de maturité dans un groupe. Les Rochelais, avec les progrès qu'ils font, vont gagner à l'extérieur. Ils sont bien, costauds, mais ils sont en apprentissage. C'est une évolution normale, logique quand on construit. Comme l'UBB, comme Brive, c'est une équipe qui le fait dans la difficulté. J'aime bien cette idée de construction. Vincent Merling, le président, travaille comme ça depuis longtemps. Et avec la construction arrive la confiance au bout de deux, trois ans en Top 14. La Rochelle, c'est solide et ça évite le superflu, comme Patrice Collazo. Ce club va s'installer, dans le moyen et le long terme. »
Pour cela, comme leurs voisins, les Rochelais misent sur les jeunes prometteurs, entre autres vus en Pro D2. Cet été, Bordeaux-Bègles misait sur le Montois Dubié quand l'Albigeois Lacroix s'engageait en Charente-Maritime. « Ils sont plus en concurrence que les années précédentes, avec Laurent Marti et Patrice Collazo qui connaissent parfaitement leur monde », confirme l'agent Jérôme Lollo. Et pas seulement les valeurs sûres comme Ashley-Cooper ou Vito. « Avant, les joueurs privilégiaient Bordeaux. Aujourd'hui, ce n'est pas sûr. On travaille beaucoup avec eux par rapport aux jeunes, car ils font partie des rares clubs qui leur font confiance », poursuit-il.
Pas de complexe à avoir
Ce qu'apprécie Alexandre Barès, ancien pilier formé à Bègles après avoir débuté à Saintes, rochelais pendant sept ans. « C'est quelque chose qui est installé, et que La Rochelle essaie d'accentuer dans la durée en se basant sur sa formation. Cela va peut-être permettre de garder ceux qui, comme Darly Domvo (formé à Port-Neuf, aujourd'hui en Gironde, NDLR), écoutaient les sirènes des autres clubs. On le voit avec la signature d'Arthur Rétière (18 ans, international à VII et moins de 20 ans, NDLR), Le Stade est attractif. Et si on arrive à faire éclore quelques pépites… » Bref, pour l'entraîneur de Puilboreau, l'ASR « a franchi un cap et n'a aucun complexe à avoir par rapport à l'UBB. Sur l'arc atlantique, ils ont la même légitimité. On est loin d'être considéré comme une petite équipe... »

• 3. Analyse : Les étiquettes ne tiennent plus

Thomas Lombard, ici entre Patrice Collazo et les Toulonnais Jacques Delmas et Diego Dominguez. Photo XAVIER LEOTY
Le pack en granit des Rochelais contre les jambes de feu des Girondins. Un résumé pratique pour présenter les forces en présence, samedi, à Deflandre. Mais une caricature. Ce que confirme Thomas Lombard, ancien centre international (12 capes) du Stade Français aujourd'hui consultant pour Canal + et RMC Info.
" On a toujours tendance à mettre des étiquettes. On identifie plus facilement La Rochelle comme une équipe au jeu direct et l'UBB comme ayant un jeu plus basé sur le mouvement. Mais ce serait réducteur pour l'une comme pour l'autre parce qu'elles sont capables de faire évoluer leur système en fonction des besoins du match ou de l'adversaire ", confirme-t-il.
Des registres pas si éloignés
" Les Bordelais ont pendant longtemps été enfermés dans cette obligation de mettre de la vitesse et du mouvement, parce que c'était leur qualité première. Mais au fil des saisons, ils se sont renforcés dans le secteur de la mêlée, de la puissance, avec un rugby protéiforme, développe-t-il. C'est aussi ce vers quoi tend La Rochelle, même si la progression n'est pas la même car l'ancrage dans le Top 14 est plus récent. Elle est dans une forme de transformation, on le voit avec le recrutement de Victor Vito et Brock James. Son rugby de combat, d'engagement, va évoluer avec un rugby de plus en plus adaptable. "
C'est déjà le cas depuis plusieurs mois pour les deux équipes, capables de jouer dans un registre proche de celui de leur adversaire. " Complètement, acquiesce Thomas Lombard. Le rugby d'attaque représente une prise de risque que l'UBB a toujours assumée, par la volonté, entre autres, de Vincent Etcheto. La Rochelle tend vers ça car quand on a de l'ambition, on se doit d'avoir toutes les palettes de jeu possibles. "
" Les choix de départ étaient différents, dictés par les joueurs à disposition. La Rochelle avait, culturellement, des joueurs basés sur la robustesse, reprend-il. Patrice Collazo a toujours voulu être solide devant avant de mettre du mouvement. Maintenant qu'il le maîtrise, il fait évoluer son équipe. Bordeaux le fait dans le sens inverse. Ce sont des changements nécessaires qui permettent, quand on est contré dans un secteur fort, de ne pas rester prisonnier d'un système. "
La preuve ? À l'aller, les Girondins s'étaient imposés grâce à leur mêlée alors que les Maritimes leur avaient posé de gros problèmes à la faveur de leur mobilité, marquant le seul essai de la rencontre. En bout de ligne.

http://www.sudouest.fr/2016/04/14/union-bordeaux-begles-a-la-rochelle-sans-revolution-mais-avec-des-retours-2330855-4564.php

OK ! Tout çà c'est bien gentil... Mais reste le match de demain. Et alors là !
Va falloir une pêche d'enfer et jouer jusqu'à la 82ème minute. Marquer des essais. Mettre la mêlée rochelaise en défaut. Ne pas oublier qu'une bonne mêlée n'est pas forcément la plus lourde. Au contraire. Elle se déstabilise plus vite !
Allez les gars !
On compte sur vous !

Ca pionce, ça ronronne parce qu'il n'y a plus rien à dire ... finis les discours pompeux, les pseudos stratégies, la langue de bois ...la fin de saison appartient aux types qui seront alignés (à bon escient ou non) par le staff et qui connaissent l'objectif annoncé...
Soit ils restent gentils, bien propres sur eux (un peu l'image qui colle malheureusement à notre ville) et nous passerons la fin du championnat à ruminer nos regrets et à tenter de les expliquer soit ils se rebellent deviennent féroces , sans pitié ...en gros se sortent le doigt du cul et ils peuvent aller chercher cette qualification le couteau entre les dents
Je connais nombre de joueurs qui dans la vie sont des agneaux et qui, une fois chaussés les crampons et franchie la porte du vestiaire, se muent en véritable bête fauve prêts à bouffer tout ce qui passe dans leur champ de vision adversaires et même partenaires ... le genre de gonzes qui te foutent les boules quand ils sont en extase rugbystique mais qui te rassurent une fois le combat lancé ...des mecs qui ouvrent des brèches dans lesquelles l'équipe tout entière s'enfonce et créent une dynamique innarrétable.
J'attends donc demain des guerriers rentrant bave aux lèvres sur le terrain et se dépouillant jusqu'à la dernière minute quoi qu'il advienne...ce que je n'ai pas encore vu cette saison ou si peu

et moi j'y crois. ils vont nous montrer qu'ils en ont comme ils l'ont toujours fait quand peu de personne croyez en eux ( grenoble et albi en prod2,
leur 1ere année en top 14, leur victoire contre toulon alors qu'ils étaient trés mal au classement, leur victoire chez les anglais, leur match nul à clermont puis leur victoire chez eux en CE)
alors je ne sais pas si ils gagneront à la rochelle, mais je suis sure qu'ils feront tout pour et je reste convaincue qu'ils seront dans les 6

allez l'union

"d'autant que le Racing 92 n'a pas fait de son déplacement à Toulouse une priorité. Plusieurs jeunes franciliens devraient même bénéficier de temps de jeu. Notre prono : C'est une belle occasion pour Toulouse de remporter un succès probant. Nous jouons même sur le gain du bonus offensif."

Après 5 pts offerts au MHR 5 donnés à Toulouse C'est là que nous voyons que nous ne sommes pas encore considérés comme une grande équipe ...chez nous les gros viennent pour gagner

sudiste a écrit:"d'autant que le Racing 92 n'a pas fait de son déplacement à Toulouse une priorité. Plusieurs jeunes franciliens devraient même bénéficier de temps de jeu. Notre prono : C'est une belle occasion pour Toulouse de remporter un succès probant. Nous jouons même sur le gain du bonus offensif."

Après 5 pts offerts au MHR 5 donnés à Toulouse C'est là que nous voyons que nous ne sommes pas encore considérés comme une grande équipe ...chez nous les gros viennent pour gagner

contre le racing on perd tout seul comme des grands, le racing avait fait tourner certes ça reste une grosse equipe mais elle etait largement prenable, arretons de regarder les autres ou l arbitre, contre le racing on passe completement a coter point barre

+ 10000 flavio
peut etre que l'on s'est vu trop beau contre les coiffeurs du racing (nous tous, les joueurs, le staff et les supporters)

SO :

Union Bordeaux-Bègles : le staff face au tournant
Nicolas Le Gardien

Jusqu'alors, le plan se déroulait (presque) sans accroc. Il y avait bien eu des poussées de fièvre, après un match à l'envers à Oyonnax en août (37-19) ou trois autres sans essai à l'automne, une composition inédite contre Clermont en Champions Cup en janvier (10-28). Mais la température avait été aussitôt régulée par un nul bien mené en Auvergne (24-24), une déferlante offensive en Europe et… un succès au Michelin (28-37) avec les mêmes que 15 jours plus tôt. L'UBB et son staff avançaient dans le tableau de marche visé, installés dans le Top 6 des qualifiables avec huit points de plus qu'un an plus tôt, une panoplie protéiforme et un vaste turnover qui a permis d'éviter le piège Champions Cup et d'arracher un nul à Toulouse (13-13) malgré l'indisponibilité de joueurs majeurs.

Et puis, au moment de valider ou presque, crac. L'ascension s'est enrayée à la 50e minute contre Clermont le 27 mars (de 19-0 à 19-24) puis grippée contre le Racing (20-28). Deux « déconvenues, déceptions » définit l'entraîneur des avants Régis Sonnes, « au plus mauvais moment » reconnaît le manager Raphaël Ibanez, que les techniciens se sont empressés de remettre dans leur contexte - à savoir face à peut-être les deux meilleures équipes du moment. « Il faut rester positif car si on écoute les projections, les joueurs vont tomber en dépression. Vous pouvez me faire confiance pour qu'on soit toujours dans la course » lance Ibanez, dont l'équipe reste 6e, mais avec un calendrier ardu.
Un cap, pas de révolution

Depuis lundi, l'ancien talonneur a repris un habit naturel de leader de combat qu'il maîtrise pour lancer la reconquête et chasser l'éventuel doute. La pression est remontée d'un cran ; le président Laurent Marti a pointé qu'une non-qualification aurait un goût d'échec ; la semaine de vacances post-Racing a servi aux échanges. Il en est sorti de garder le cap face au vent contraire. « Ce n'est pas le moment de tout modifier. Le changement demande du temps et on ne l'a plus. On est à fond dans nos systèmes, ce qu'on doit réussir c'est d'être encore plus précis à haute intensité, donner plus de repères collectifs », dit Régis Sonnes. « On a cherché à retrouver de la fraîcheur cette semaine avec des séances denses mais plus courtes », avance Raphaël Ibanez.

Après le Racing, le staff n'a pas échappé à la critique : il n'a pas su anticiper le jour sans ; l'équipe dominée, est redevenue hésitante sur ses rares lancements et certains choix d'hommes ont été perdants - notamment une charnière renouvelée à 100 %. « Des joueurs ont déçu, d'autres ont été à leur niveau. Je n'ai pas de regrets car je voulais éviter d'arriver comme les saisons précédentes avec des joueurs rincés en avril », répond le manager.

Pour le déplacement à la Rochelle demain, le patron sportif et ses adjoints ont décidé de garder la même ossature adoptée depuis fin mars, tout en réintégrant au groupe Domvo, Gomez Kodela, Lonca et autre Braid à la place des Beauxis, Poux, Le Bourhis et Chalmers. Pas de révolution malgré quelques interrogations, mais des choix dirigés aussi ces dernières semaines par les pépins physiques.
« Se sortir de la pression »

« Je ferai confiance aux joueurs qu s'impliquent à l'entraînement, qui font preuve de caractère et le montrent sur le terrain » dit Ibanez.

Sur le fond, l'UBB a finalement craqué sur les bases de sa progression - la conquête, la solidité défensive - mais est aussi désormais mieux contrée sur ses premiers temps (ballons portés).

« Une saison n'est jamais linéaire, avance Régis Sonnes. Contre le Racing, nous avons surtout été constamment sous pression et l'enjeu est de se donner des solutions pour sortir de cela. »

« On n'a pas besoin de s'embrouiller la tête, pointe de son côté Ibanez. On cherche bien sûr. Mais quand je regarde Racing-Toulon, où après 25 minutes les gars avaient la gueule fracassée par les chocs dans les rucks, on ne parle pas de 50 passes devant la défense. Le rugby, c'est d'abord avancer : contre le Racing, nous avons été battus dans tous les duels, le combat. J'attends d'abord les joueurs là-dessus samedi. » Le plan d'urgence est lancé.

Avant La Rochelle - UBB : Matthew Clarkin, un 24e homme pas comme les autres
N.L.G.

Son nom n'était plus apparu dans le groupe depuis le 24 janvier, et une titularisation à Clermont en Champions Cup qui avait duré 10 minutes, ischio-jambiers déchirés. Apte depuis la mi-mars mais non retenu face à Clermont (19-24) et au Racing (20-28), Matthew Clarkin sera du voyage à La Rochelle. Probablement en « 24e homme », mais c'est « déjà un numéro » souriait hier le Néo-Zélandais, qui a acté entre-temps qu'il mettrait fin à sa carrière en juin. « Je suis content de retrouver les gars, de faire partie de ce déplacement très important pour la suite. Je peux participer et peut-être peser un peu plus sur le groupe. »

« être sur la même page »

Revoir le capitaine historique de l'UBB, qui cherchait sa place depuis quelques semaines, alors que le vaisseau est fragilisé n'est pas un hasard, ni anodin. « On est dans le dur. Mais on est plus habitué d'être dans cette situation que dans le confort. On l'a vécu par le passé. J'espère qu'on va s'en servir. Les soucis que l'on a rencontrés viennent d'hésitations individuelles. Il faut régler cela, se mettre sur la même page et y aller à fond. Le reste, c'est l'état d'esprit que l'on a peut-être oublié ces trois derniers semaines. »

Ce sera son rôle : ajouter sa voix rassembleuse - et anglophone, en l'absence de Jandre Marais - à celles de ses successeurs au leadership Louis-Benoît Madaule ou Pierre Bernard. « Perdre deux fois chez soi, ça touche l'âme, l'esprit. La semaine de coupure est arrivée au bon moment pour se vider un peu la tête. On est tous des compétiteurs. Tout le monde est revenu lundi en sachant qu'on a déconné et qu'on doit se mettre au boulot. D'ici samedi, il va y avoir plus de mots, plus de messages passés. On s'attend à un gros combat là-bas et il ne faudra surtout pas passer à côté. Si nous, les leaders, on sent que le message n'est pas passé durant la semaine, on le rappellera. »


http://www.sudouest.fr/2016/04/15/stade-rochelais-avec-alofa-alofa-levani-botia-menage-2332195-4570.php

http://www.sudouest.fr/2016/04/15/union-bordeaux-begles-loann-goujon-titulaire-en-huit-a-la-rochelle-2332170-4564.php

Cooper en 13

Midol :

Bon c'est la cata! Castres a gagné à l'extérieur! Ça ne sent vraiment pas bon pour nous! Il faut à tout prix gagner demain sinon Urios va encore nous faire la leçon en finissant devant nous!

Plus le choix, victoire obligatoire sinon....

C'est mort.
Deja, même avec une défaite de Castres ce soir je voyais mal comment on pouvait se qualifier, mais là, c'est fini. Rideau.

PS: Même une victoire demain ni changera rien.

zizou46 a écrit:C'est mort.
Deja, même avec une défaite de Castres ce soir je voyais mal comment on pouvait se qualifier, mais là, c'est fini. Rideau.

PS: Même une victoire demain ni changera rien.

Il reste beaucoup de points à prendre et de nombreux rebondissements à prévoir ! Rien est joué

Auré33 a écrit:

zizou46 a écrit:C'est mort.
Deja, même avec une défaite de Castres ce soir je voyais mal comment on pouvait se qualifier, mais là, c'est fini. Rideau.

PS: Même une victoire demain ni changera rien.

Il reste beaucoup de points à prendre et de nombreux rebondissements à prévoir ! Rien est joué

on est blessé mais pas mort, par contre si on montre le meme etat d esprit que façe au racing c est sur que là c est mort, mais j'y crois pas un seul instant, je suis sur que dans etat d esprit on sera là. Est que ça va suffir???