Derniers sujets
» 10ᵉ journée : Vannes / UBBpar marchal Aujourd'hui à 15:34
» UBB: Prolongations signatures Départs Saison 2025/2026
par marchal Aujourd'hui à 15:32
» Yann Lesgourgues
par marchal Aujourd'hui à 15:00
» XV de France (partie en cours)
par marchal Aujourd'hui à 14:50
» Mateo GARCIA
par Scalp Aujourd'hui à 13:10
» Podcast : Les UBBistes
par nadoloubb Aujourd'hui à 13:06
» Romain Buros
par Scalp Aujourd'hui à 11:37
» Bourse des places de match
par Kmary Aujourd'hui à 10:47
» Autres Clubs
par Scalp Aujourd'hui à 10:16
» Demandes de billets et déplacements saison 24/25
par krahknardz Aujourd'hui à 0:26
» Equipe de France à 7 (hommes)
par krahknardz Hier à 23:48
» Transferts (Autres clubs)
par Switch Hier à 23:44
» Matthieu Jalibert
par Scalp Hier à 20:19
» Mahamadou Diaby
par Scalp Hier à 17:37
» 12ᵉ journée : Castres / UBB
par Scalp Hier à 12:59
» Les Lionnes 2024-2025
par marchal Mar 19 Nov 2024 - 17:19
» Live twitch Gauthier Baudin
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 17:18
» Equipes de France Jeunes
par marchal Mar 19 Nov 2024 - 14:02
» Arthur Retière
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 10:17
» Musique !!!
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 4:13
» Ben Tameifuna
par Scalp Lun 18 Nov 2024 - 15:02
» Que deviennent nos anciens joueurs ?
par marchal Lun 18 Nov 2024 - 13:13
» XV de France (partie en cours)
par Scalp Dim 17 Nov 2024 - 11:14
» Ou voir les matchs de l'Union ?
par Lawrence the Hammer Sam 16 Nov 2024 - 17:41
» Autres joueurs
par marchal Sam 16 Nov 2024 - 14:43
» Le rugby et son évolution
par Scalp Sam 16 Nov 2024 - 11:42
» Zaccharie Affane
par Scalp Sam 16 Nov 2024 - 11:41
» Pro D2 : Autres matchs
par Roberto Miopalmo Sam 16 Nov 2024 - 9:15
» Tevita Tatafu
par Scalp Jeu 14 Nov 2024 - 19:01
» L'histoire de l'UBB
par marchal Jeu 14 Nov 2024 - 14:23
Coupe du Monde 2019 au Japon
+32
Roberto Miopalmo
gael33
LIONS'XV
kaze33
latine
willoush
Dyder
maxifane
Etchetera
romojito33
tonysoprano
zizou46
flavio33
Vince33
hurluberlu
krahknardz
Dr. Gregory Bouse
Den'snewzealand
léopold
grospaquet31
densnewzealand
cebada
FrenchKick
sudiste
Titou
Scalp
biscouette
le radis
Switch
patrick
marchal
jaja69
36 participants
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté terrain :: Rugby mondial (hors EDF)
Page 4 sur 32
Page 4 sur 32 • 1, 2, 3, 4, 5 ... 18 ... 32
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Logique, sanction doublé par rapport à un Black...
https://www.midi-olympique.fr/2019/08/20/six-semaines-de-suspension-pour-gabrillagues-fin-de-coupe-du-monde,8368742.php
Six semaines de suspension pour Gabrillagues, fin de Coupe du monde ?
Cité à comparaître en commission de discipline pour un déblayage illicite face à l’Écosse, lors du premier match amical à Nice, le deuxième ligne parisien Paul Gabrillagues a écopé de six semaines de suspension. Une sanction lourde, qui pourrait le priver de Coupe du monde. La FFR se réserve le droit de faire appel.
Après un déblayage appuyé et jugé illicite en première période face à l’Écosse, samedi dernier à Nice, Paul Gabrillagues comparaissait ce mardi, à Londres, en commission de discipline et accompagné de Serge Simon, vice-président de la FFR en charge des équipes de France. Sa défense n'a visiblement pas convaincu : selon nos informations, le deuxième ligne parisien a écopé de six semaines de suspension. Une sanction particulièrement lourde et qui pourrait le priver de Coupe du monde. Le FFR, toutefois, se réserve le droit de faire appel.
Si ce n'est pas le cas, le forfait de Gabrillagues pourrait profiter à Romain Taofifenua, remplaçant ce week-end à Murrayfield et seul deuxième ligne parmi les réservistes.
Léo Faure
https://www.midi-olympique.fr/2019/08/20/six-semaines-de-suspension-pour-gabrillagues-fin-de-coupe-du-monde,8368742.php
Six semaines de suspension pour Gabrillagues, fin de Coupe du monde ?
Cité à comparaître en commission de discipline pour un déblayage illicite face à l’Écosse, lors du premier match amical à Nice, le deuxième ligne parisien Paul Gabrillagues a écopé de six semaines de suspension. Une sanction lourde, qui pourrait le priver de Coupe du monde. La FFR se réserve le droit de faire appel.
Après un déblayage appuyé et jugé illicite en première période face à l’Écosse, samedi dernier à Nice, Paul Gabrillagues comparaissait ce mardi, à Londres, en commission de discipline et accompagné de Serge Simon, vice-président de la FFR en charge des équipes de France. Sa défense n'a visiblement pas convaincu : selon nos informations, le deuxième ligne parisien a écopé de six semaines de suspension. Une sanction particulièrement lourde et qui pourrait le priver de Coupe du monde. Le FFR, toutefois, se réserve le droit de faire appel.
Si ce n'est pas le cas, le forfait de Gabrillagues pourrait profiter à Romain Taofifenua, remplaçant ce week-end à Murrayfield et seul deuxième ligne parmi les réservistes.
Léo Faure
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Date d'inscription : 11/09/2018
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Gabrillagues est un 2ème latte d'une autre époque où il fallait être plus destructeur que créatif. Ceci étant dit c'est un poste où (en France) on n'est pas très riche ...
_________________
Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
patrick a écrit:Gabrillagues est un 2ème latte d'une autre époque où il fallait être plus destructeur que créatif. Ceci étant dit c'est un poste où (en France) on n'est pas très riche ...
Plutôt d’accord avec toi. Il est quand même courageux et il s’envoie comme on dit. Mais il manque de volume de jeu et de variété. Pas sûr que son remplaçant Tao soit mieux, plus puissant mais j’ai peur qu’il ne rentre pas dans les nouveaux critères concernant l’intensite D’un match.
Perso, j’aime bien Jolmes, c’est lui que j’aurais bien voulu voir en bleu.
Malgré tout, c’est dur pour Gabrillagues, il doit être bien déçu mais son geste est vraiment dangereux.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 11122
Localisation : toulouse
Date d'inscription : 31/08/2015
Age : 51
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Ecosse-quatorze-changements-pour-le-deuxieme-match-contre-la-france/1050863
Écosse : quatorze changements pour le deuxième match contre la France
Seul l'arrière Stuart Hogg conserve sa place pour le match de préparation à la Coupe du monde contre les Bleus, samedi à Edimbourg (14h10).
L'Écosse a dévoilé ce mercredi sa composition d'équipe pour la ''revanche'' face à la France samedi après-midi à Edimbourg. Une semaine après la lourde défaite de Nice (3-32), le turn-over est appuyé puisqu'un seul joueur conserve sa place, Stuart Hogg à l'arrière. Les 14 autres joueurs ont été changés. On note le retour de la charnière Laidlaw-Russel, des ailiers Maitland et Seymour ou encore du pilier Willem Nel. Le numéro 8 Blade Thomson va lui fêter sa première sélection. Bref, une équipe qui n'a rien à voir avec celle de samedi dernier, alors que les Bleus n'ont effectué que quatre changements dans leur XV.
Le XV de départ de l'Ecosse :
Hogg - Seymour, Harris, Horne, Maitland - (o) Russell, (m) Laidlaw - Watson, Thomson, Wilson - Skinner, Cummings - Nel, Turner, Reid.
Remplaçants : Stewart, Dell, Berghan, Gilchrist, Barclay, Horne, Hutchinson, Kinghorn.
Écosse : quatorze changements pour le deuxième match contre la France
Seul l'arrière Stuart Hogg conserve sa place pour le match de préparation à la Coupe du monde contre les Bleus, samedi à Edimbourg (14h10).
L'Écosse a dévoilé ce mercredi sa composition d'équipe pour la ''revanche'' face à la France samedi après-midi à Edimbourg. Une semaine après la lourde défaite de Nice (3-32), le turn-over est appuyé puisqu'un seul joueur conserve sa place, Stuart Hogg à l'arrière. Les 14 autres joueurs ont été changés. On note le retour de la charnière Laidlaw-Russel, des ailiers Maitland et Seymour ou encore du pilier Willem Nel. Le numéro 8 Blade Thomson va lui fêter sa première sélection. Bref, une équipe qui n'a rien à voir avec celle de samedi dernier, alors que les Bleus n'ont effectué que quatre changements dans leur XV.
Le XV de départ de l'Ecosse :
Hogg - Seymour, Harris, Horne, Maitland - (o) Russell, (m) Laidlaw - Watson, Thomson, Wilson - Skinner, Cummings - Nel, Turner, Reid.
Remplaçants : Stewart, Dell, Berghan, Gilchrist, Barclay, Horne, Hutchinson, Kinghorn.
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
https://www.sudouest.fr/2019/08/21/coupe-du-monde-de-rugby-2019-le-calendrier-complet-des-matchs-a-la-television-6466914-5085.php
Coupe du monde de rugby 2019 : le calendrier complet des matchs à la télévision
Du 20 septembre au 2 novembre, la compétition organisée au Japon sera à suivre intégralement sur les chaînes du groupe TF1. Compte tenu du décalage horaire avec la France, les rencontres seront diffusées dans la matinée
Les poules
La phase de poules s’étale du 20 septembre au 13 octobre. Les deux premiers du classement de chaque poule seront qualifiés pour les quarts de finale, qui auront les 19 et 20 octobre. Les demi-finales se disputeront les 26 et 27 octobre, le match pour la 3e place le 1er novembre. Quant à la finale, elle se tiendra le samedi 2 novembre.
Le XV de France figure dans la poule C, un groupe extrêmement difficile avec les Pumas argentins, les coriaces Tongiens et le XV de la Rose, sérieux prétendant à la victoire finale.
Poule A : Irlande, Ecosse, Japon, Russie, Samoa
Poule B : Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Italie, Namibie, Canada
Poule C : Angleterre, France, Argentine, Etats-Unis, Tonga
Poule D : Australie, Pays de Galles, Géorgie, Fidji, Uruguay
Le programme télé
Les 48 matchs de la Coupe du monde 2019 seront à suivre intégralement en clair à la télévision, sur les chaînes du groupe TF1 (TF1, TMC et TFX).
Le décalage horaire par rapport à la France est de moins 7 heures ; lorsqu’il est 20 heures au Japon, il est 13 heures en France.
Le calendrier (heure française)
Vendredi 20 septembre
12h45 : Japon – Russie (Poule A, à Tokyo) sur TF1
Samedi 21 septembre
6h45 : Australie – Fidji (Poule D, à Sapporo) sur TF1
9h15 : France – Argentine (Poule C, à Tokyo) sur TF1
11h45 : Nouvelle-Zélande – Afrique du Sud (Poule B, à Yokohama) sur TF1
Dimanche 22 septembre
7h15 : Italie – Namibie (Poule B, à Higashiōsaka) sur TF1
9h45 : Irlande – Écosse (Poule A, à Yokohama) sur TF1
12h15 : Angleterre – Tonga (Poule C, à Sapporo) sur TF1
Lundi 23 septembre
12h15 : Pays de Galles – Géorgie (Poule D, à Toyota) sur TMC
Mardi 24 septembre
12h15 : Russie – Samoa (Poule A, à Kumagaya) sur TMC
Mercredi 25 septembre
7h15 : Fidji – Uruguay (Poule D, à Kamaishi) sur TMC
Jeudi 26 septembre
9h45 : Italie – Canada (Poule B, à Fukuoka) sur TMC
12h45 : Angleterre – États-Unis (Poule C, à Kobe) sur TMC
Samedi 28 septembre
6h45 : Argentine – Tonga (Poule C, à Higashiōsaka) sur TF1
9h15 : Japon – Irlande (Poule A, à Shizuoka) sur TF1
11h45 : Afrique du Sud – Namibie (Poule B, à Toyota) sur TF1 puis TMC
Dimanche 29 septembre
7h15 : Géorgie – Uruguay (Poule D, à Kumagaya) sur TF1
9h45 : Australie – Pays de Galles (Poule D, à Tokyo) sur TF1
Lundi 30 septembre
12h15 : Écosse – Samoa (Poule A, à Kobe) sur TMC
Mercredi 2 octobre
9h45 : France – États-Unis (Poule C, à Fukuoka) sur TF1
12h15 : Nouvelle-Zélande – Canada (Poule B, à Ōita) sur TMC
Jeudi 3 octobre
7h15 : Géorgie – Fidji (Poule D, à Higashiōsaka) sur TMC
12h15 : Irlande – Russie (Poule A, à Kobe) sur TMC
Vendredi 4 octobre
11h45 : Afrique du Sud – Italie (Poule B, à Shizuoka) sur TF1 puis TMC
Samedi 5 octobre
7h15 : Australie – Uruguay (Poule D, à Ōita) sur TF1
10h : Angleterre – Argentine (Poule C, à Tokyo) sur TF1
12h30 : Japon – Samoa (Poule A, à Toyota) sur TMC
Dimanche 6 octobre
6h45 : Nouvelle-Zélande – Namibie (Poule B, à Tokyo) sur TF1
9h45 : France – Tonga (Poule C, à Kumamoto) sur TF1
Mardi 8 octobre
12h15 : Afrique du Sud – Canada (Poule B, à Kobe) sur TMC
Mercredi 9 octobre
6h45 : Argentine – États-Unis (Poule C, à Kumagaya) sur TMC
9h15 : Écosse – Russie (Poule A, à Shizuoka) sur TMC
11h45 : Pays de Galles – Fidji (Poule D, à Ōita) sur TMC
Vendredi 11 octobre
12h15 : Australie – Géorgie (Poule D, à Shizuoka) sur TMC
Samedi 12 octobre
6h45 : Nouvelle-Zélande – Italie (Poule B, à Toyota) sur TF1
10h15 : Angleterre – France (Poule C, à Yokohama) sur TF1
12h45 : Irlande – Samoa (Poule A, à Fukuoka) sur TMC
Dimanche 13 octobre
5h15 : Namibie – Canada (Poule B, à Kamaishi) sur TF1
7h45 : États-Unis – Tonga (Poule C, à Higashiōsaka) sur TF1
10h15 : Pays de Galles – Uruguay (Poule D, à Kumamoto) sur TF1
12h45 : Japon – Écosse (Poule A, à Yokohama) sur TMC
QUARTS DE FINALE
Samedi 19 octobre
9h15 : 1er Poule C – 2e Poule D (à Ōita) sur TF1—> Présence possible de la France
12h15 : 1er Poule B – 2e Poule A (à Tokyo) sur TF1
Dimanche 20 octobre
9h15 : 1er Poule D – 2e Poule C (à Ōita) sur TF1—> Présence possible de la France
12h15 : 1er Poule A – 2e Poule B (à Tokyo) sur TF1
DEMI-FINALES
Samedi 26 octobre
10h : 1er Poule C ou 2e Poule D – 1er Poule B ou 2e Poule A (à Yokohama) sur TF1
Dimanche 27 octobre
10h : 1er Poule D ou 2e Poule C – 1er Poule A ou 2e Poule B (à Yokohama) sur TF1
FINALE 3E PLACE
Vendredi 1er novembre
10h : Match pour la troisième place (à Tokyo) sur TF1
FINALE
Samedi 2 novembre
10h : Finale (à Yokohama) sur TF1
Le palmarès
Avec trois titres, la Nouvelle-Zélande est l’équipe la plus titrée, devant l’Australie et l’Afrique du Sud qui se sont imposés à deux reprises. L’hémisphère Sud écrase le palmarès puisque l’Europe ne compte qu’une seule victoire finale (Angleterre en 2003) A noter que le XV de France a perdu trois finales.
1987 : Nouvelle-Zélande bat France 29–9
1991 : Australie bat Angleterre 12–6
1995 : Afrique du Sud bat Nouvelle-Zélande 15–12 (a.p.)
1999 : Australie bat France 35–12
2003 : Angleterre bat Australie 20–17 (a.p.)
2007 : Afrique du Sud bat Angleterre 15–6
2011 : Nouvelle-Zélande bat France 8–7
2015 : Nouvelle-Zélande bat Australie 34–17
Coupe du monde de rugby 2019 : le calendrier complet des matchs à la télévision
Du 20 septembre au 2 novembre, la compétition organisée au Japon sera à suivre intégralement sur les chaînes du groupe TF1. Compte tenu du décalage horaire avec la France, les rencontres seront diffusées dans la matinée
Les poules
La phase de poules s’étale du 20 septembre au 13 octobre. Les deux premiers du classement de chaque poule seront qualifiés pour les quarts de finale, qui auront les 19 et 20 octobre. Les demi-finales se disputeront les 26 et 27 octobre, le match pour la 3e place le 1er novembre. Quant à la finale, elle se tiendra le samedi 2 novembre.
Le XV de France figure dans la poule C, un groupe extrêmement difficile avec les Pumas argentins, les coriaces Tongiens et le XV de la Rose, sérieux prétendant à la victoire finale.
Poule A : Irlande, Ecosse, Japon, Russie, Samoa
Poule B : Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Italie, Namibie, Canada
Poule C : Angleterre, France, Argentine, Etats-Unis, Tonga
Poule D : Australie, Pays de Galles, Géorgie, Fidji, Uruguay
Le programme télé
Les 48 matchs de la Coupe du monde 2019 seront à suivre intégralement en clair à la télévision, sur les chaînes du groupe TF1 (TF1, TMC et TFX).
Le décalage horaire par rapport à la France est de moins 7 heures ; lorsqu’il est 20 heures au Japon, il est 13 heures en France.
Le calendrier (heure française)
Vendredi 20 septembre
12h45 : Japon – Russie (Poule A, à Tokyo) sur TF1
Samedi 21 septembre
6h45 : Australie – Fidji (Poule D, à Sapporo) sur TF1
9h15 : France – Argentine (Poule C, à Tokyo) sur TF1
11h45 : Nouvelle-Zélande – Afrique du Sud (Poule B, à Yokohama) sur TF1
Dimanche 22 septembre
7h15 : Italie – Namibie (Poule B, à Higashiōsaka) sur TF1
9h45 : Irlande – Écosse (Poule A, à Yokohama) sur TF1
12h15 : Angleterre – Tonga (Poule C, à Sapporo) sur TF1
Lundi 23 septembre
12h15 : Pays de Galles – Géorgie (Poule D, à Toyota) sur TMC
Mardi 24 septembre
12h15 : Russie – Samoa (Poule A, à Kumagaya) sur TMC
Mercredi 25 septembre
7h15 : Fidji – Uruguay (Poule D, à Kamaishi) sur TMC
Jeudi 26 septembre
9h45 : Italie – Canada (Poule B, à Fukuoka) sur TMC
12h45 : Angleterre – États-Unis (Poule C, à Kobe) sur TMC
Samedi 28 septembre
6h45 : Argentine – Tonga (Poule C, à Higashiōsaka) sur TF1
9h15 : Japon – Irlande (Poule A, à Shizuoka) sur TF1
11h45 : Afrique du Sud – Namibie (Poule B, à Toyota) sur TF1 puis TMC
Dimanche 29 septembre
7h15 : Géorgie – Uruguay (Poule D, à Kumagaya) sur TF1
9h45 : Australie – Pays de Galles (Poule D, à Tokyo) sur TF1
Lundi 30 septembre
12h15 : Écosse – Samoa (Poule A, à Kobe) sur TMC
Mercredi 2 octobre
9h45 : France – États-Unis (Poule C, à Fukuoka) sur TF1
12h15 : Nouvelle-Zélande – Canada (Poule B, à Ōita) sur TMC
Jeudi 3 octobre
7h15 : Géorgie – Fidji (Poule D, à Higashiōsaka) sur TMC
12h15 : Irlande – Russie (Poule A, à Kobe) sur TMC
Vendredi 4 octobre
11h45 : Afrique du Sud – Italie (Poule B, à Shizuoka) sur TF1 puis TMC
Samedi 5 octobre
7h15 : Australie – Uruguay (Poule D, à Ōita) sur TF1
10h : Angleterre – Argentine (Poule C, à Tokyo) sur TF1
12h30 : Japon – Samoa (Poule A, à Toyota) sur TMC
Dimanche 6 octobre
6h45 : Nouvelle-Zélande – Namibie (Poule B, à Tokyo) sur TF1
9h45 : France – Tonga (Poule C, à Kumamoto) sur TF1
Mardi 8 octobre
12h15 : Afrique du Sud – Canada (Poule B, à Kobe) sur TMC
Mercredi 9 octobre
6h45 : Argentine – États-Unis (Poule C, à Kumagaya) sur TMC
9h15 : Écosse – Russie (Poule A, à Shizuoka) sur TMC
11h45 : Pays de Galles – Fidji (Poule D, à Ōita) sur TMC
Vendredi 11 octobre
12h15 : Australie – Géorgie (Poule D, à Shizuoka) sur TMC
Samedi 12 octobre
6h45 : Nouvelle-Zélande – Italie (Poule B, à Toyota) sur TF1
10h15 : Angleterre – France (Poule C, à Yokohama) sur TF1
12h45 : Irlande – Samoa (Poule A, à Fukuoka) sur TMC
Dimanche 13 octobre
5h15 : Namibie – Canada (Poule B, à Kamaishi) sur TF1
7h45 : États-Unis – Tonga (Poule C, à Higashiōsaka) sur TF1
10h15 : Pays de Galles – Uruguay (Poule D, à Kumamoto) sur TF1
12h45 : Japon – Écosse (Poule A, à Yokohama) sur TMC
QUARTS DE FINALE
Samedi 19 octobre
9h15 : 1er Poule C – 2e Poule D (à Ōita) sur TF1—> Présence possible de la France
12h15 : 1er Poule B – 2e Poule A (à Tokyo) sur TF1
Dimanche 20 octobre
9h15 : 1er Poule D – 2e Poule C (à Ōita) sur TF1—> Présence possible de la France
12h15 : 1er Poule A – 2e Poule B (à Tokyo) sur TF1
DEMI-FINALES
Samedi 26 octobre
10h : 1er Poule C ou 2e Poule D – 1er Poule B ou 2e Poule A (à Yokohama) sur TF1
Dimanche 27 octobre
10h : 1er Poule D ou 2e Poule C – 1er Poule A ou 2e Poule B (à Yokohama) sur TF1
FINALE 3E PLACE
Vendredi 1er novembre
10h : Match pour la troisième place (à Tokyo) sur TF1
FINALE
Samedi 2 novembre
10h : Finale (à Yokohama) sur TF1
Le palmarès
Avec trois titres, la Nouvelle-Zélande est l’équipe la plus titrée, devant l’Australie et l’Afrique du Sud qui se sont imposés à deux reprises. L’hémisphère Sud écrase le palmarès puisque l’Europe ne compte qu’une seule victoire finale (Angleterre en 2003) A noter que le XV de France a perdu trois finales.
1987 : Nouvelle-Zélande bat France 29–9
1991 : Australie bat Angleterre 12–6
1995 : Afrique du Sud bat Nouvelle-Zélande 15–12 (a.p.)
1999 : Australie bat France 35–12
2003 : Angleterre bat Australie 20–17 (a.p.)
2007 : Afrique du Sud bat Angleterre 15–6
2011 : Nouvelle-Zélande bat France 8–7
2015 : Nouvelle-Zélande bat Australie 34–17
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Un schéma intéressant :
- 1987 : finale
- 1991 : 1/4 finale
- 1995 : 1/2 finale
- 1999 : finale
- 2003 : 1/2 finale
- 2007 : 1/2 finale
- 2011 : finale
- 2015 : 1/4 finale
Si l'on suite cette logique, nous ne devrions pas atteindre la finale cette année, mais en 2023. Chose qui au vue de la situation actuelle de rugby français semble tout à fait probable sur les deux points : nous n'avons aucune chance cette année (sauf miracleS) d'atteindre la finale, mais au vue de la génération qui arrive, nous pouvons être plus qu'optimiste pour 2023 !
A noter que comme dit partout à de nombreuses reprises, une non-qualification pour les phases finales serait une triste (mais logique) première
Côté prono, c'est compliqué, surtout pour le dernier carré, tant la NZ semble (pour l'instant !) moins dominatrice qu'en 2015.
Poule A : Irlande, Ecosse, Japon, Russie, Samoa
=> mes pronos : Irlande (1er) et Ecosse (2ème)
Poule B : Nouvelle-Zélande, Afrique Du Sud, Italie, Namibie, Canada
=> mes pronos : Afrique Du Sud (1er) et Nouvelle-Zélande (2ème)
Poule C : Angleterre, France, Argentine, Etats-Unis, Tonga
=> mes pronos : Angleterre (1er) et France (2ème)
Poule D : Australie, Galles, Géorgie, Fidji, Uruguay
=> mes pronos : Galles (1er) et Australie (2ème)
1/4 de finale :
- C1 vs D2 : Angleterre VS Australie
- B1 vs A2 : Afrique Du Sud VS Ecosse
- D1 vs C2 : Galles VS France
- A1 vs B2 : Irlande VS Nouvelle-Zélande
1/2 finale :
- C1/D2 vs B1/A2 : Angleterre VS Afrique Du Sud
- D1/C2 vs A1/B2 : Galles VS Nouvelle-Zélande
Finale :
- Afrique Du Sud VS Nouvelle-Zélande
Vainqueur :
- Nouvelle-Zélande
- Poule A : Je ne vois pas l'Ecosse battre l'Irlande, et je vois plutôt l'Ecosse battre le Japon dans un match accroché et indécis.
- Poule B : Ici, je vois bien l'AdS et la NZ arriver sur leurs dynamiques actuelles, et donc les premiers l'emporter sur les seconds à ce niveau de la compétition.
- Poule C : L'Angleterre est pour moi au-dessus. Le match entre la France et l'Argentine sera décisif, et la French Chatte aidant, je vois bien nos bleu(âtres) se qualifier in extremis sur un coup de bol à la française ou une malchance argentine. La grosse faiblesse de la mêlée argentine pourrait aussi leur être fatal, surtout face à des français qui misent encore une fois tout sur le physique et la MUSCUUUUU !
- Poule D : Gros duel entre les Australiens et les Gallois, qui pour ma part tournera à l'avantage de gallois au sommet de leur art depuis 1 an, et qui seront surmotivés par leur statut de n°1 mondial.
- 1/4 de finale : Je vois bien les anglais s'imposer face à l'Australie dans un match cadenassé et pragmatique comme ils savent le faire. Ils ont en plus une sacrée revanche à prendre pour l'humiliation subie en 2015 à domicile par ces mêmes aussies. Ensuite, l'écart me semble trop grand entre l'Ecosse et l'AfSud pour bousculer la hiérarchie. Pour nos français, je pense que la qualification en phase finale sera déjà une belle performance et je vois bien une décompression fatale face à des gallois organisés et concentrés, déterminés à aller chercher le titre. Enfin, et malgré ses récentes prestations, je ne vois pas l'Irlande battre une Nouvelle-Zélande montant en puissance.
- 1/2 finale : Gros choc de bourrin entre brittons et boks ! A l'expérience, je miserai une (toute) petite piécette sur les seconds, qui semblent sur une vraie dynamique positive depuis quelques mois, et qui devraient bien savoir contrer des anglais plus éprouvés par leur 1/4 de finale que les sudafs. Dans l'autre demie, je mise sur une Nouvelle-Zélande retrouvée qui saura faire jouer son expérience face à des gallois qui paieront cash leur manque d'expérience à ce niveau.
- Finale : Le choc au sommet, dans un contexte complètement différent des poules, comme l'avait été les 2 matchs entre France et NZ en 2011. Et là, je pencherai légèrement pour des blacks encore montés en puissance face à des boks trop sûrs d'eux après leur succès en poule. Ca me ferait bien ch*** de voir un troisième sacre des Blacks, surtout que j'adore les Boks, mais hélas je ne suis pas optimiste...
Voilà pour moi Tout ceci est bien sûr subjectif, d'autant que je me base sur les dynamiques actuelles, qui seront peut-être (probablement) différentes dans 1 mois !
- 1987 : finale
- 1991 : 1/4 finale
- 1995 : 1/2 finale
- 1999 : finale
- 2003 : 1/2 finale
- 2007 : 1/2 finale
- 2011 : finale
- 2015 : 1/4 finale
Si l'on suite cette logique, nous ne devrions pas atteindre la finale cette année, mais en 2023. Chose qui au vue de la situation actuelle de rugby français semble tout à fait probable sur les deux points : nous n'avons aucune chance cette année (sauf miracleS) d'atteindre la finale, mais au vue de la génération qui arrive, nous pouvons être plus qu'optimiste pour 2023 !
A noter que comme dit partout à de nombreuses reprises, une non-qualification pour les phases finales serait une triste (mais logique) première
Côté prono, c'est compliqué, surtout pour le dernier carré, tant la NZ semble (pour l'instant !) moins dominatrice qu'en 2015.
Poule A : Irlande, Ecosse, Japon, Russie, Samoa
=> mes pronos : Irlande (1er) et Ecosse (2ème)
Poule B : Nouvelle-Zélande, Afrique Du Sud, Italie, Namibie, Canada
=> mes pronos : Afrique Du Sud (1er) et Nouvelle-Zélande (2ème)
Poule C : Angleterre, France, Argentine, Etats-Unis, Tonga
=> mes pronos : Angleterre (1er) et France (2ème)
Poule D : Australie, Galles, Géorgie, Fidji, Uruguay
=> mes pronos : Galles (1er) et Australie (2ème)
1/4 de finale :
- C1 vs D2 : Angleterre VS Australie
- B1 vs A2 : Afrique Du Sud VS Ecosse
- D1 vs C2 : Galles VS France
- A1 vs B2 : Irlande VS Nouvelle-Zélande
1/2 finale :
- C1/D2 vs B1/A2 : Angleterre VS Afrique Du Sud
- D1/C2 vs A1/B2 : Galles VS Nouvelle-Zélande
Finale :
- Afrique Du Sud VS Nouvelle-Zélande
Vainqueur :
- Nouvelle-Zélande
- Poule A : Je ne vois pas l'Ecosse battre l'Irlande, et je vois plutôt l'Ecosse battre le Japon dans un match accroché et indécis.
- Poule B : Ici, je vois bien l'AdS et la NZ arriver sur leurs dynamiques actuelles, et donc les premiers l'emporter sur les seconds à ce niveau de la compétition.
- Poule C : L'Angleterre est pour moi au-dessus. Le match entre la France et l'Argentine sera décisif, et la French Chatte aidant, je vois bien nos bleu(âtres) se qualifier in extremis sur un coup de bol à la française ou une malchance argentine. La grosse faiblesse de la mêlée argentine pourrait aussi leur être fatal, surtout face à des français qui misent encore une fois tout sur le physique et la MUSCUUUUU !
- Poule D : Gros duel entre les Australiens et les Gallois, qui pour ma part tournera à l'avantage de gallois au sommet de leur art depuis 1 an, et qui seront surmotivés par leur statut de n°1 mondial.
- 1/4 de finale : Je vois bien les anglais s'imposer face à l'Australie dans un match cadenassé et pragmatique comme ils savent le faire. Ils ont en plus une sacrée revanche à prendre pour l'humiliation subie en 2015 à domicile par ces mêmes aussies. Ensuite, l'écart me semble trop grand entre l'Ecosse et l'AfSud pour bousculer la hiérarchie. Pour nos français, je pense que la qualification en phase finale sera déjà une belle performance et je vois bien une décompression fatale face à des gallois organisés et concentrés, déterminés à aller chercher le titre. Enfin, et malgré ses récentes prestations, je ne vois pas l'Irlande battre une Nouvelle-Zélande montant en puissance.
- 1/2 finale : Gros choc de bourrin entre brittons et boks ! A l'expérience, je miserai une (toute) petite piécette sur les seconds, qui semblent sur une vraie dynamique positive depuis quelques mois, et qui devraient bien savoir contrer des anglais plus éprouvés par leur 1/4 de finale que les sudafs. Dans l'autre demie, je mise sur une Nouvelle-Zélande retrouvée qui saura faire jouer son expérience face à des gallois qui paieront cash leur manque d'expérience à ce niveau.
- Finale : Le choc au sommet, dans un contexte complètement différent des poules, comme l'avait été les 2 matchs entre France et NZ en 2011. Et là, je pencherai légèrement pour des blacks encore montés en puissance face à des boks trop sûrs d'eux après leur succès en poule. Ca me ferait bien ch*** de voir un troisième sacre des Blacks, surtout que j'adore les Boks, mais hélas je ne suis pas optimiste...
Voilà pour moi Tout ceci est bien sûr subjectif, d'autant que je me base sur les dynamiques actuelles, qui seront peut-être (probablement) différentes dans 1 mois !
_________________
Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11374
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Hello Switch, comme d'hab quand tu décortiques un sujet tu le fais bien et à fond, bravo pour l'exposé de ton analyse
Globalement je suis assez d'accord avec toi, quelques petites différences tout de même :
-Le japon a ses chances contre l’Ecosse, je les vois bien gagner, sortir des poules et perdre ensuite.
-L'Australie m'a vraiment impressionné contre les Blacks, je les vois sur leur dynamique, possiblement aller en demi, voir en finale...
-La prépa Française cette année, c’était plutôt cardio que muscu.
-Je ne vois pas les Blacks gagner cette coupe du monde, j'ai moins de certitudes sur leur monté en puissance, les conditions au Japon ne leurs seront pas favorables, ils sont vraiment moins dominateurs en ce moment.
Parmi les potentiels vainqueurs: Blacks, Sud Aff, Australie, Angleterre, Galles, Irlande, je vais joueur la grosse côte, l'Australie
Je reprend le plan de ton post, merci
1/4 de finale :
- C1 vs D2 : Angleterre VS Galles
- B1 vs A2 : NZ VS Japon
- D1 vs C2 : Australie VS France
- A1 vs B2 : Irlande VS Aff Sud
1/2 finale :
- C1/D2 vs B1/A2 : Angleterre VS NZ
- D1/C2 vs A1/B2 : Australie VS Aff Sud
Finale :
- NZ VS Australie
Vainqueur :
- Australie
Globalement je suis assez d'accord avec toi, quelques petites différences tout de même :
-Le japon a ses chances contre l’Ecosse, je les vois bien gagner, sortir des poules et perdre ensuite.
-L'Australie m'a vraiment impressionné contre les Blacks, je les vois sur leur dynamique, possiblement aller en demi, voir en finale...
-La prépa Française cette année, c’était plutôt cardio que muscu.
-Je ne vois pas les Blacks gagner cette coupe du monde, j'ai moins de certitudes sur leur monté en puissance, les conditions au Japon ne leurs seront pas favorables, ils sont vraiment moins dominateurs en ce moment.
Parmi les potentiels vainqueurs: Blacks, Sud Aff, Australie, Angleterre, Galles, Irlande, je vais joueur la grosse côte, l'Australie
Je reprend le plan de ton post, merci
1/4 de finale :
- C1 vs D2 : Angleterre VS Galles
- B1 vs A2 : NZ VS Japon
- D1 vs C2 : Australie VS France
- A1 vs B2 : Irlande VS Aff Sud
1/2 finale :
- C1/D2 vs B1/A2 : Angleterre VS NZ
- D1/C2 vs A1/B2 : Australie VS Aff Sud
Finale :
- NZ VS Australie
Vainqueur :
- Australie
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
https://www.midi-olympique.fr/2019/08/23/defi-de-foi,8372983.php
Défi de foi
L'édito de Léo Faure... L’enthousiasme béat est le péril de la rareté : quand tout va mal, que le trou se creuse à la pelleteuse et que, à son fond, on ne trouve ni eau, ni pétrole, un seul rayon de soleil devient une fortune. C’est ce rayon qu’ont touché les Bleus, samedi dernier à Nice. Ce n’était qu’un rayon, jamais un soleil.
En d’autres temps et d’autres routines, on se serait attardé trop longuement sur la faiblesse réelle de l’adversaire, les écarts trop faciles concédés aux attaquants écossais en première période et ce second acte, sinon poussif, pour le moins inconstant.
Mais il y a trop longtemps que ces Bleus creusaient pour qu’on ne s’enthousiasme pas, légitimement, d’une rencontre à cinq essais comme autant d’envies de bien faire. Imaginez un peu : le XV de France donna l’impression de savoir où il allait et pourquoi il y allait ! Quand on est néo-zélandais, irlandais, gallois ou anglais, ce n’est sûrement qu’un détail. Mais pour nous, Français au rugby si longtemps appauvri, ça voulait dire beaucoup.
Voilà pour le plaisir, pour la joie encore ponctuelle d’aller au stade pour y soutenir cette équipe. Mais l’embellie de Nice est si fragile. Elle est tout juste mûrie que le grondement orageux de Murrayfield, où même la cornemuse se tait pour laisser tonner la voix des hommes, vient soudain faire vaciller cet enthousiasme.
Sur le chemin de rédemption que pave à la hâte le XV de France, les fondations de Nice ne seront solides que par le ciment d’Édimbourg. Une déconvenue ce samedi, autant sur la manière que le score, balaierait d’un souffle les croyances en l’imminence de jours meilleurs. Il faudra gagner, oui. Cette équipe en a besoin, et qu’importe si l’Écosse apparaît un cran en dessous de l’Argentine ou l’Angleterre que nous retrouverons au Mondial. Il faudra aussi poursuivre sur ce chemin collectif, où la défense agresse plus qu’elle ne résiste, où l’attaque est ambitieuse, vive et prioritaire.
Si les Bleus y parviennent, tout sera alors possible. Pas dans les faits, non. Tokyo et l’Argentine livreront un verdict rationnellement déconnecté d’Édimbourg. Mais dans l’émotion. Parce que le lien qui unit un public à son équipe est effervescent donc volatil, les Bleus retrouveront ce qu’ils ont de plus cher : le soutien de ceux qui les aiment. Et, soudain, l’alignement des planètes s’inversera.
Il y a six semaines, les Jaguares argentins s’avançaient en finale du Super Rugby et, de notre côté de l’hémisphère, la perspective d’un Mondial imminent n’annonçait rien de bon. Soudain, si Édimbourg le veut, on se souviendra surtout que ces Pumas n’ont rien montré de saillant durant le dernier four nations et que ces Bleus, s’ils passent les poules, disposeront du tableau de phase finale le plus ouvert. D’équipe raillée, les Bleus redeviendront une équipe soutenue, en laquelle on croit. Ce n’est pas rien. À cette heure, c’est même le plus important.
Léo Faure
Défi de foi
L'édito de Léo Faure... L’enthousiasme béat est le péril de la rareté : quand tout va mal, que le trou se creuse à la pelleteuse et que, à son fond, on ne trouve ni eau, ni pétrole, un seul rayon de soleil devient une fortune. C’est ce rayon qu’ont touché les Bleus, samedi dernier à Nice. Ce n’était qu’un rayon, jamais un soleil.
En d’autres temps et d’autres routines, on se serait attardé trop longuement sur la faiblesse réelle de l’adversaire, les écarts trop faciles concédés aux attaquants écossais en première période et ce second acte, sinon poussif, pour le moins inconstant.
Mais il y a trop longtemps que ces Bleus creusaient pour qu’on ne s’enthousiasme pas, légitimement, d’une rencontre à cinq essais comme autant d’envies de bien faire. Imaginez un peu : le XV de France donna l’impression de savoir où il allait et pourquoi il y allait ! Quand on est néo-zélandais, irlandais, gallois ou anglais, ce n’est sûrement qu’un détail. Mais pour nous, Français au rugby si longtemps appauvri, ça voulait dire beaucoup.
Voilà pour le plaisir, pour la joie encore ponctuelle d’aller au stade pour y soutenir cette équipe. Mais l’embellie de Nice est si fragile. Elle est tout juste mûrie que le grondement orageux de Murrayfield, où même la cornemuse se tait pour laisser tonner la voix des hommes, vient soudain faire vaciller cet enthousiasme.
Sur le chemin de rédemption que pave à la hâte le XV de France, les fondations de Nice ne seront solides que par le ciment d’Édimbourg. Une déconvenue ce samedi, autant sur la manière que le score, balaierait d’un souffle les croyances en l’imminence de jours meilleurs. Il faudra gagner, oui. Cette équipe en a besoin, et qu’importe si l’Écosse apparaît un cran en dessous de l’Argentine ou l’Angleterre que nous retrouverons au Mondial. Il faudra aussi poursuivre sur ce chemin collectif, où la défense agresse plus qu’elle ne résiste, où l’attaque est ambitieuse, vive et prioritaire.
Si les Bleus y parviennent, tout sera alors possible. Pas dans les faits, non. Tokyo et l’Argentine livreront un verdict rationnellement déconnecté d’Édimbourg. Mais dans l’émotion. Parce que le lien qui unit un public à son équipe est effervescent donc volatil, les Bleus retrouveront ce qu’ils ont de plus cher : le soutien de ceux qui les aiment. Et, soudain, l’alignement des planètes s’inversera.
Il y a six semaines, les Jaguares argentins s’avançaient en finale du Super Rugby et, de notre côté de l’hémisphère, la perspective d’un Mondial imminent n’annonçait rien de bon. Soudain, si Édimbourg le veut, on se souviendra surtout que ces Pumas n’ont rien montré de saillant durant le dernier four nations et que ces Bleus, s’ils passent les poules, disposeront du tableau de phase finale le plus ouvert. D’équipe raillée, les Bleus redeviendront une équipe soutenue, en laquelle on croit. Ce n’est pas rien. À cette heure, c’est même le plus important.
Léo Faure
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Quand l'adversité monte d'un cran, l'équipe de France en baisse de deux, le bachotage, ça marche si on a quand même une base saine, je laisse les plus spécialistes que moi disséquer ce match et les performances individuelles, retour à la case départ...
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
https://www.rugbyrama.fr/rugby/test-match/2019/test-match_sto7419351/story.shtml
Les faits du match : Avis de déchets
Par Nicolas Zanardi via Midi Olympique
Incapables de conserver le ballon, les Bleus se sont faits punir par une équipe d’Écosse pas beaucoup plus en place, mais au moins davantage agressive et entreprenante. Un vrai pas en arrière après les promesses niçoises.
On avait annoncé, avant ce match, ces 80 minutes à Murrayfield comme un véritable test pour le nouveau système défensif des Bleus, face à une formation écossaise beaucoup plus proche de son XV-type. De ce point de vue, on ne peut pas complètement se montrer déçus, puisque c’est sur deux ballons récupérés par la défense que Damian Penaud put inscrire son doublé (le premier sur ne interception personnelle, le second après un bon travail de Guitoune). Sauf qu’à ce jeu, il ne suffit malheureusement plus de bien défendre… Incapables de conserver le ballon, les Bleus ont concédé de trop nombreuses pertes de balle (19 au total !) face à des Écossais guère plus en place, mais au moins plus agressifs sur les collisions et dans les phases de ruck. Et dire que le staff du XV de France avait choisi de conserver l’ossature de l’équipe alignée à Nice, justement dans le souci de privilégier les repères collectifs entre joueurs…
Lopez, sortie préjudiciable ?
Alors certes, il faut convenir que la blessure de Lopez n’aida pas vraiment les Bleus, qui menaient au score (14-3) avant la sortie de leur meneur de jeu. Mais on ne fera gober à personne, honnêtement, que les Bleus étaient beaucoup mieux inspirés ballon en main durant les 39 premières minutes. Au contraire, incapables de construire leur jeu lorsqu’ils se situaient dans le camp écossais (à l’image d’une dernière munition tuée dans un maul…), les Bleus bénéficiaient surtout d’une curieuse indiscipline de la part de leurs hôtes. Et payèrent le prix fort de leurs insuffisances lorsque les Écossais se décidèrent enfin à se montrer un peu plus froids.
Choix tactiques curieux
Globalement, et pour faire court, les Bleus se sont placés en situation périlleuse lorsqu’ils se sont risqués à se faire des passes devant la défense, oubliant d’insister dans l’axe, où ils avaient pourtant fait des ravages la semaine dernière. Et logiquement, c’est sur les deux situations où ils commirent cette imprudence près de leur ligne qu’ils furent punis… Ainsi, sur le premier ballon d’attaque de Ntamack juste avant la mi-temps, les Tricolores se lancèrent ainsi dans une attaque-suicide derrière une mêlée sur le reculoir, immédiatement sanctionnée par une perte de balle entre Ramos et Penaud, et un essai de Sean Maitland.
Et en deuxième période, après une première perte de balle de Chat dégagée loin au pied par les Écossais, ce furent Raka et (encore) Ramos qui se firent croquer sous la pression écossaise près de leur ligne... La suite, on la connaît, avec une séquence de jeu dans les cinq mètres et une erreur défensive (la seule du match, peut-être) qui permit au centre Harris de s’infiltrer entre les deuxième ligne Vahaamahina et Taofifenua. Circulez, il n’y avait plus rien à voir, hormis cette indigence offensive qui empêcha logiquement les Bleus de renverser la situation face à des Écossais bien décidés à laver leur honneur devant le public de Murrayfield. Un brave retour en arrière, avant le dernier match de préparation face à l’Italie, qui devrait rebattre pas mal de cartes...
Les faits du match : Avis de déchets
Par Nicolas Zanardi via Midi Olympique
Incapables de conserver le ballon, les Bleus se sont faits punir par une équipe d’Écosse pas beaucoup plus en place, mais au moins davantage agressive et entreprenante. Un vrai pas en arrière après les promesses niçoises.
On avait annoncé, avant ce match, ces 80 minutes à Murrayfield comme un véritable test pour le nouveau système défensif des Bleus, face à une formation écossaise beaucoup plus proche de son XV-type. De ce point de vue, on ne peut pas complètement se montrer déçus, puisque c’est sur deux ballons récupérés par la défense que Damian Penaud put inscrire son doublé (le premier sur ne interception personnelle, le second après un bon travail de Guitoune). Sauf qu’à ce jeu, il ne suffit malheureusement plus de bien défendre… Incapables de conserver le ballon, les Bleus ont concédé de trop nombreuses pertes de balle (19 au total !) face à des Écossais guère plus en place, mais au moins plus agressifs sur les collisions et dans les phases de ruck. Et dire que le staff du XV de France avait choisi de conserver l’ossature de l’équipe alignée à Nice, justement dans le souci de privilégier les repères collectifs entre joueurs…
Lopez, sortie préjudiciable ?
Alors certes, il faut convenir que la blessure de Lopez n’aida pas vraiment les Bleus, qui menaient au score (14-3) avant la sortie de leur meneur de jeu. Mais on ne fera gober à personne, honnêtement, que les Bleus étaient beaucoup mieux inspirés ballon en main durant les 39 premières minutes. Au contraire, incapables de construire leur jeu lorsqu’ils se situaient dans le camp écossais (à l’image d’une dernière munition tuée dans un maul…), les Bleus bénéficiaient surtout d’une curieuse indiscipline de la part de leurs hôtes. Et payèrent le prix fort de leurs insuffisances lorsque les Écossais se décidèrent enfin à se montrer un peu plus froids.
Choix tactiques curieux
Globalement, et pour faire court, les Bleus se sont placés en situation périlleuse lorsqu’ils se sont risqués à se faire des passes devant la défense, oubliant d’insister dans l’axe, où ils avaient pourtant fait des ravages la semaine dernière. Et logiquement, c’est sur les deux situations où ils commirent cette imprudence près de leur ligne qu’ils furent punis… Ainsi, sur le premier ballon d’attaque de Ntamack juste avant la mi-temps, les Tricolores se lancèrent ainsi dans une attaque-suicide derrière une mêlée sur le reculoir, immédiatement sanctionnée par une perte de balle entre Ramos et Penaud, et un essai de Sean Maitland.
Et en deuxième période, après une première perte de balle de Chat dégagée loin au pied par les Écossais, ce furent Raka et (encore) Ramos qui se firent croquer sous la pression écossaise près de leur ligne... La suite, on la connaît, avec une séquence de jeu dans les cinq mètres et une erreur défensive (la seule du match, peut-être) qui permit au centre Harris de s’infiltrer entre les deuxième ligne Vahaamahina et Taofifenua. Circulez, il n’y avait plus rien à voir, hormis cette indigence offensive qui empêcha logiquement les Bleus de renverser la situation face à des Écossais bien décidés à laver leur honneur devant le public de Murrayfield. Un brave retour en arrière, avant le dernier match de préparation face à l’Italie, qui devrait rebattre pas mal de cartes...
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/La-france-s-incline-a-edimbourg-face-a-l-ecosse/1051790
La France s'incline à Edimbourg face à l'Ecosse
Sans ressort en seconde période, les Bleus n'ont pas su l'emporter samedi, alors qu'ils menaient de onze points juste avant la pause, laissant l'Ecosse s'imposer (17-14) en match de préparation à la Coupe du monde (20 septembre -2 novembre).
Richard Escot
Le match : 17-14
Les tests se suivent mais ne se ressemblent pas. Après ce qu'on a vu ce samedi, on aura du mal à faire croire qu'une équipe de France est née avant de s'envoler pour le Japon disputer la Coupe du monde et affronter l'Argentine en match d'ouverture, le 21 septembre à Tokyo. En effet, loin de Nice et de son carnaval face aux réservistes calédoniens, le XV de France n'a pas réédité sa performance jugée enthousiasmante la semaine dernière. Samedi après-midi à Edimbourg, confrontés aux titulaires écossais, les Tricolores - pas assez appliqués, déficients dans la lecture du jeu, fébriles techniquement - ne sont pas parvenus à l'emporter alors qu'ils menaient de onze points (3-14) juste avant la pause.
Pourtant tout avait commencé pour le mieux pour eux, l'ailier clermontois Damian Penaud interceptant d'entrée (2e, 0-7) pour placer son équipe sur orbite. Hélas, les promesses de cette entame ne furent pas ensuite tenues dans ce qui ressemblait vraiment à un galop d'entraînement entre deux nations encore loin du très haut niveau internationale, avec son lot d'approximations dans le champ et de difficultés dans les phases statiques, le tout sur un petit rythme estival.
L'Ecosse faisait l'essentiel du jeu et si durant la première période, Penaud doublait heureusement la mise (27e, 3-14), mis en débordement pas un service millimétré de son centre Sofiane Guitoune, très créatif en remplacement de Wesley Fofana forfait, la mêlée française donnait d'inquiétants signes de faiblesse. Une nouvelle maladresse - mauvaise passe entre Ramos et Penaud - permettait ensuite aux Ecossais de reprendre la main et le ballon pour finir par inscrire un essai signé Sean Maitland en bout de ligne (39e, 10-14).
Accroché en seconde période à cette maigre avance, le XV de France céda sur une contre-attaque écossaise née d'une énième approximation derrière, vague qui déferla jusque devant l'en-but tricolore. Pour percer la digue, il y avait une faille entre les deuxième-lignes français au ras du ruck, et c'est une course rentrante qui ouvrit au centre Harris le court chemin de l'essai (60e, 17-14). Les multiples remplacements français (Guirado, Poirot et Dupont par Chat, Setiano et Serin) ne changèrent rien à l'affaire : cette équipe de France, Galthié ou pas, manque toujours autant de repères tactiques et de précision technique.
2
Maladroit lors de la finition, le XV de France n'a inscrit que deux essais à Edimbourg. Loin des cinq marqués à Nice lors du premier match de préparation face à ce même adversaire qui était alors en composition bis.
Le joueur : Damian Penaud tranchant en pointe
L'ailier clermontois Damian Penaud est en passe de s'imposer comme un spécialiste de l'interception, une arme fatale qui a permis aux Tricolores d'ouvrir le score dès la cent-huitième seconde de jeu. Il faillit récidiver en tout début de seconde période, placé toujours en pointe à l'extérieur, puis en fin de rencontre (68e), trahi par un rebond... Maître du bord de touche, c'est bien le long de la ligne, côté droit, que cet athlétique feu-follet inscrivit son doublé (27e) sur un service précis de Sofiane Guitoune à « deux contre un ».
La France s'incline à Edimbourg face à l'Ecosse
Sans ressort en seconde période, les Bleus n'ont pas su l'emporter samedi, alors qu'ils menaient de onze points juste avant la pause, laissant l'Ecosse s'imposer (17-14) en match de préparation à la Coupe du monde (20 septembre -2 novembre).
Richard Escot
Le match : 17-14
Les tests se suivent mais ne se ressemblent pas. Après ce qu'on a vu ce samedi, on aura du mal à faire croire qu'une équipe de France est née avant de s'envoler pour le Japon disputer la Coupe du monde et affronter l'Argentine en match d'ouverture, le 21 septembre à Tokyo. En effet, loin de Nice et de son carnaval face aux réservistes calédoniens, le XV de France n'a pas réédité sa performance jugée enthousiasmante la semaine dernière. Samedi après-midi à Edimbourg, confrontés aux titulaires écossais, les Tricolores - pas assez appliqués, déficients dans la lecture du jeu, fébriles techniquement - ne sont pas parvenus à l'emporter alors qu'ils menaient de onze points (3-14) juste avant la pause.
Pourtant tout avait commencé pour le mieux pour eux, l'ailier clermontois Damian Penaud interceptant d'entrée (2e, 0-7) pour placer son équipe sur orbite. Hélas, les promesses de cette entame ne furent pas ensuite tenues dans ce qui ressemblait vraiment à un galop d'entraînement entre deux nations encore loin du très haut niveau internationale, avec son lot d'approximations dans le champ et de difficultés dans les phases statiques, le tout sur un petit rythme estival.
L'Ecosse faisait l'essentiel du jeu et si durant la première période, Penaud doublait heureusement la mise (27e, 3-14), mis en débordement pas un service millimétré de son centre Sofiane Guitoune, très créatif en remplacement de Wesley Fofana forfait, la mêlée française donnait d'inquiétants signes de faiblesse. Une nouvelle maladresse - mauvaise passe entre Ramos et Penaud - permettait ensuite aux Ecossais de reprendre la main et le ballon pour finir par inscrire un essai signé Sean Maitland en bout de ligne (39e, 10-14).
Accroché en seconde période à cette maigre avance, le XV de France céda sur une contre-attaque écossaise née d'une énième approximation derrière, vague qui déferla jusque devant l'en-but tricolore. Pour percer la digue, il y avait une faille entre les deuxième-lignes français au ras du ruck, et c'est une course rentrante qui ouvrit au centre Harris le court chemin de l'essai (60e, 17-14). Les multiples remplacements français (Guirado, Poirot et Dupont par Chat, Setiano et Serin) ne changèrent rien à l'affaire : cette équipe de France, Galthié ou pas, manque toujours autant de repères tactiques et de précision technique.
2
Maladroit lors de la finition, le XV de France n'a inscrit que deux essais à Edimbourg. Loin des cinq marqués à Nice lors du premier match de préparation face à ce même adversaire qui était alors en composition bis.
Le joueur : Damian Penaud tranchant en pointe
L'ailier clermontois Damian Penaud est en passe de s'imposer comme un spécialiste de l'interception, une arme fatale qui a permis aux Tricolores d'ouvrir le score dès la cent-huitième seconde de jeu. Il faillit récidiver en tout début de seconde période, placé toujours en pointe à l'extérieur, puis en fin de rencontre (68e), trahi par un rebond... Maître du bord de touche, c'est bien le long de la ligne, côté droit, que cet athlétique feu-follet inscrivit son doublé (27e) sur un service précis de Sofiane Guitoune à « deux contre un ».
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
https://www.sudouest.fr/2019/08/24/xv-de-france-suivez-le-match-des-bleus-face-a-l-ecosse-commente-en-direct-6478999-773.php
XV de France : les Bleus rechutent en Écosse
par Denys Kappès-Grangé.
Battu à Édimbourg (17–14) ce samedi, ce XV de France, particulièrement brouillon et fébrile, a été incapable de confirmer les promesses affichées une semaine auparavant face à ces mêmes Écossais.
Les promesses de Nice sont restées sans lendemain. Ce samedi à Édimbourg, le XV de France est retombé dans ses travers. Une semaine après son convaincant succès sur la Côte d’Azur, il a chuté face à ces mêmes Écossais (17–14).
Plus que le résultat, c’est le contenu qui interpelle. Car si le XV du Chardon avait réintégré ses titulaires, il n’a pas offert une prestation aboutie…
Brouillons, coupables dans la conservation du ballon, les Bleus ont été incapables de déployer leur expression offensive avec justesse. Les deux essais inscrits par Damian Penaud sont bien plus la marque d’un opportunisme salutaire. Et si la défense a donné des gages d’efficacité, elle a tout de même craqué à deux reprises.
Le staff espérait récolter de ce voyage des certitudes, eh bien c’est raté. De la même manière, les enseignements ne sont pas nombreux au rayon des performances individuelles. Si Sofiane Guitoune a été performant au centre, on ne peut pas en dire autant de Thomas Ramos à l’arrière…
Indéniablement, alors que la France est incapable de gagner plus de deux matchs de suite depuis la Coupe du monde 2015, le chantier est grand à moins d’un moins du match d’ouverture de la coupe du monde au Japon face à l’Argentine.
Mais si un point illustre tout de même une forme de continuité entre la performance livrée à Nice et celle offerte ce samedi, c’est la capacité des Français à marquer très rapidement. Samedi dernier, Raka n’avait eu besoin que d’une minute et 35 secondes pour ouvrir le score. Penaud a été à peine plus lent cette fois en inscrivant le premier essai après une minute et 50 secondes (0–7, 2e).
Une occasion née du pressing offensif exercé par les Bleus puisque c’est en montant rapidement que Fickou a jeté les bases de l’interception de son coéquipier. Cette fameuse défense revisitée par les Français semblait alors encore efficace.
Son dynamisme et son agressivité ont notamment empêché les coéquipiers de Laidlaw et de Russell de déployer leur jeu durant les 40 premières minutes. Mais pour le reste, la copie livrée par les Bleus n’a rien à voir en termes de maîtrise, d’intensité et de précision avec celle de la semaine dernière.
Le naufrage des rucks
Brouillons au moment d’assurer les sorties de camps, ils sont restés le plus souvent acculés dans leur moitié de terrain durant la première période. Et lorsque, en de rares occasions, ils sont parvenus à se projeter, ils ont été approximatifs dans leur animation offensive.
La raison ? Notamment leur défaillance dans le jeu au sol où ils ont perdu six ballons durant la seule première période. "C’est beaucoup", a reconnu Jacques Brunel au micro de France 2 à la pause. Un doux euphémisme. D’autant que six autres possessions ont été abandonnées après des en avant.
Heureusement, les Français ont compensé ce défaut par leur opportunisme. Celui même qui a permis à Penaud de s’offrir un doublé, grâce à un beau travail d’un Guitoune convaincant, après que Raka a récupéré un ballon sous une chandelle (3–14, 27e). Positif.
Mais le manque de précision des Bleus constituait une épée de Damoclès qui a fini par tomber sur les têtes tricolores. Lorsque Penaud a perdu sur ses 22 mètres un ballon servi un Ramos décidément par très inspiré ce samedi. Quelque temps de jeu plus tard, Maitland réduisait le score en débordement (10–14, 39e).
Lopez touché ?
Privés de Lopez, visiblement touché aux côtes et remplacé par Ntamack juste avant la pause, les Bleus n’ont pas franchement réussi à ordonner leur partition à leur retour sur le terrain. Et c’est encore leur incapacité à placer leur jeu et à sécuriser leurs rucks qui leur ont été fatals. Illustration avec un en avant de Chat placé devant le porteur de balle sur la ligne des 40 mètres adverses.
Au terme du contre amorcé au pied, les Écossais sont parvenus à récupérer le ballon au sol. Et après une poignée de temps de jeu plus tard, Harris s’est infiltré entre Taofifénua et Vahaamahina (17–14, 59e).
Tant bien que mal, les Français ont tenté de remettre de l’allant dans leur jeu. Et surtout de l’ordre. Mais hormis une incursion dans les 22 mètres écossais, interrompue par un coup de pied à suivre de Médard, ces efforts ont été beaucoup trop brouillons. Et le large turn-over au sein de l’effectif n’a rien corrigé.
L’inéluctabilité s’est dessinée de manière de plus en plus claire. Et cette fébrilité crasse qui accompagne le XV de France depuis plusieurs saisons désormais s’est faite de plus en plus présente.
Il reste encore un match de préparation aux Bleus avant que le staff ne livre sa liste définitive pour le mondial. Ce ne sera pas de trop…
Les notes des Bleus
6/10 Guitoune, Penaud
5/10 Guirado, Poirot, Slimani, Ollivon, Iturria, Fickou
4/10 Vahaamahina, Alldritt, Chat, Dupont, Lopez, Ntamack, Raka
3/10 Ramos.
La déclaration
Guilhem Guirado (au micro de France 2) : "On a quand même fait un très bon début de match : on a mis une grosse pression en défense. Mais on a manqué de précision, c’est ce qui ne nous a pas permis d’asseoir notre jeu et de prendre la confiance. Notre marge de progression est encore énorme. Notre défense a plutôt bien fonctionné. Ce qui a manqué aujourd’hui, c’est de bien conserver le ballon pour être plus dangereux."
XV de France : les Bleus rechutent en Écosse
par Denys Kappès-Grangé.
Battu à Édimbourg (17–14) ce samedi, ce XV de France, particulièrement brouillon et fébrile, a été incapable de confirmer les promesses affichées une semaine auparavant face à ces mêmes Écossais.
Les promesses de Nice sont restées sans lendemain. Ce samedi à Édimbourg, le XV de France est retombé dans ses travers. Une semaine après son convaincant succès sur la Côte d’Azur, il a chuté face à ces mêmes Écossais (17–14).
Plus que le résultat, c’est le contenu qui interpelle. Car si le XV du Chardon avait réintégré ses titulaires, il n’a pas offert une prestation aboutie…
Brouillons, coupables dans la conservation du ballon, les Bleus ont été incapables de déployer leur expression offensive avec justesse. Les deux essais inscrits par Damian Penaud sont bien plus la marque d’un opportunisme salutaire. Et si la défense a donné des gages d’efficacité, elle a tout de même craqué à deux reprises.
Le staff espérait récolter de ce voyage des certitudes, eh bien c’est raté. De la même manière, les enseignements ne sont pas nombreux au rayon des performances individuelles. Si Sofiane Guitoune a été performant au centre, on ne peut pas en dire autant de Thomas Ramos à l’arrière…
Indéniablement, alors que la France est incapable de gagner plus de deux matchs de suite depuis la Coupe du monde 2015, le chantier est grand à moins d’un moins du match d’ouverture de la coupe du monde au Japon face à l’Argentine.
Mais si un point illustre tout de même une forme de continuité entre la performance livrée à Nice et celle offerte ce samedi, c’est la capacité des Français à marquer très rapidement. Samedi dernier, Raka n’avait eu besoin que d’une minute et 35 secondes pour ouvrir le score. Penaud a été à peine plus lent cette fois en inscrivant le premier essai après une minute et 50 secondes (0–7, 2e).
Une occasion née du pressing offensif exercé par les Bleus puisque c’est en montant rapidement que Fickou a jeté les bases de l’interception de son coéquipier. Cette fameuse défense revisitée par les Français semblait alors encore efficace.
Son dynamisme et son agressivité ont notamment empêché les coéquipiers de Laidlaw et de Russell de déployer leur jeu durant les 40 premières minutes. Mais pour le reste, la copie livrée par les Bleus n’a rien à voir en termes de maîtrise, d’intensité et de précision avec celle de la semaine dernière.
Le naufrage des rucks
Brouillons au moment d’assurer les sorties de camps, ils sont restés le plus souvent acculés dans leur moitié de terrain durant la première période. Et lorsque, en de rares occasions, ils sont parvenus à se projeter, ils ont été approximatifs dans leur animation offensive.
La raison ? Notamment leur défaillance dans le jeu au sol où ils ont perdu six ballons durant la seule première période. "C’est beaucoup", a reconnu Jacques Brunel au micro de France 2 à la pause. Un doux euphémisme. D’autant que six autres possessions ont été abandonnées après des en avant.
Heureusement, les Français ont compensé ce défaut par leur opportunisme. Celui même qui a permis à Penaud de s’offrir un doublé, grâce à un beau travail d’un Guitoune convaincant, après que Raka a récupéré un ballon sous une chandelle (3–14, 27e). Positif.
Mais le manque de précision des Bleus constituait une épée de Damoclès qui a fini par tomber sur les têtes tricolores. Lorsque Penaud a perdu sur ses 22 mètres un ballon servi un Ramos décidément par très inspiré ce samedi. Quelque temps de jeu plus tard, Maitland réduisait le score en débordement (10–14, 39e).
Lopez touché ?
Privés de Lopez, visiblement touché aux côtes et remplacé par Ntamack juste avant la pause, les Bleus n’ont pas franchement réussi à ordonner leur partition à leur retour sur le terrain. Et c’est encore leur incapacité à placer leur jeu et à sécuriser leurs rucks qui leur ont été fatals. Illustration avec un en avant de Chat placé devant le porteur de balle sur la ligne des 40 mètres adverses.
Au terme du contre amorcé au pied, les Écossais sont parvenus à récupérer le ballon au sol. Et après une poignée de temps de jeu plus tard, Harris s’est infiltré entre Taofifénua et Vahaamahina (17–14, 59e).
Tant bien que mal, les Français ont tenté de remettre de l’allant dans leur jeu. Et surtout de l’ordre. Mais hormis une incursion dans les 22 mètres écossais, interrompue par un coup de pied à suivre de Médard, ces efforts ont été beaucoup trop brouillons. Et le large turn-over au sein de l’effectif n’a rien corrigé.
L’inéluctabilité s’est dessinée de manière de plus en plus claire. Et cette fébrilité crasse qui accompagne le XV de France depuis plusieurs saisons désormais s’est faite de plus en plus présente.
Il reste encore un match de préparation aux Bleus avant que le staff ne livre sa liste définitive pour le mondial. Ce ne sera pas de trop…
Les notes des Bleus
6/10 Guitoune, Penaud
5/10 Guirado, Poirot, Slimani, Ollivon, Iturria, Fickou
4/10 Vahaamahina, Alldritt, Chat, Dupont, Lopez, Ntamack, Raka
3/10 Ramos.
La déclaration
Guilhem Guirado (au micro de France 2) : "On a quand même fait un très bon début de match : on a mis une grosse pression en défense. Mais on a manqué de précision, c’est ce qui ne nous a pas permis d’asseoir notre jeu et de prendre la confiance. Notre marge de progression est encore énorme. Notre défense a plutôt bien fonctionné. Ce qui a manqué aujourd’hui, c’est de bien conserver le ballon pour être plus dangereux."
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Guirado est dans la continuité,on a été bon 20' et après nuls mais c'est déjà bien.
Courte défaite contre une petite équipe d'Ecosse.
Pas beaucoup de satisfaction, la 3ième ligne qui avait été étincellante étant au abonné absent, sauf Ituria mais qui joue trop perso.
Après que fait Ramos à ce niveau, s'il n'a pas de coup de pied à passer, à quoi sert il?
Nos deux dix sont faible et Serin n'apporte plus grand chose.
Penaud trop chien fou et pour Raka il faut prévoir en urgence la greffe d'un cerveau, les qualités physiques c'est bien, mais l'intelligence de jeu en plus c'est mieux
La touche pas terrible et la mêlée boof!!!
Du travail c'est sur.
Courte défaite contre une petite équipe d'Ecosse.
Pas beaucoup de satisfaction, la 3ième ligne qui avait été étincellante étant au abonné absent, sauf Ituria mais qui joue trop perso.
Après que fait Ramos à ce niveau, s'il n'a pas de coup de pied à passer, à quoi sert il?
Nos deux dix sont faible et Serin n'apporte plus grand chose.
Penaud trop chien fou et pour Raka il faut prévoir en urgence la greffe d'un cerveau, les qualités physiques c'est bien, mais l'intelligence de jeu en plus c'est mieux
La touche pas terrible et la mêlée boof!!!
Du travail c'est sur.
léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9910
Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Bon , tout d.abord encore merci Scalp pour tous les articles postes sur le forum, je ne vais même plus voir ailleurs !! Alors je sors la sulfateuse de suite . Lopez encore une fois avant sa blessure que dire , mettez Belleau parce que la c'est plus possible , il se blesse sur rien , plaque personne , enfin c'est grave . Au moins Belleau, il mets des cartouches il bute , quand à Ntamack j'ai toujours l'impression d.un junior au milieu d'adulte. Il avait 40 mn on attend toujours . Le pompon today c'est Guirado, alors qu.il fallait jouer dans l.axe , il n.a pas mis son équipe dans l.avancee , recule à tous les impacts , je sais q Chat c.est pas parfait mais au moins il mets les mains dans les rucks, il avance tout le temps. Ah et Lambey, je ne sais pas ce qu.on lui trouve , pareil il doit faire 100 kill tout mouillé, remettez Iturria dans la cage et Cros en troisième ligne . Bon les satisfactions, comme d'habitude Penaud, Ollivon. Voilà c"est tout, et c.est peu. Je suis en train de regarder Ang Irl bon on le sait notre finale sera contre l..Arg ... Ça fout la trouille .
Envoyé depuis l'appli Topic'it
Envoyé depuis l'appli Topic'it
Den'snewzealand- J'aime le rugby
- Nombre de messages : 4
Localisation : Gironde
Date d'inscription : 27/12/2014
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Pour ma part je ne suis pas surpris. Il était certain que le succès du WE dernier était biaisé par une équipe d'Ecosse sans ses meilleurs éléments. On a vu la différence quand il y a une vraie équipe (et encore, pas du top niveau !) en face. On ne tient pas la route.
On monte en épingle des mecs, on se fait mousser après une seule victoire, mais derrière ca ne suit pas. Pas de régularité, pas de cerveau, pas de physique. Les mecs étaient cramés après l'heure de jeu alors qu'apparemment leur prépa CdM, cela dit en passant la meilleure jamais faite, était axée sur le cardio et l'endurance. Pour le cerveau, quand je vois certaines conneries perso (du genre le geste anti-jeu de Raka), je me dis qu'on a encore du taf.
On voulait confirmer, on a juste réussi à prouver que notre dernière victoire était une anomalie. Et je le redis, en face c'était une petite équipe d'Ecosse, sans certains joueurs majeurs comme Huw Jones ou Richie Gray.
Quand je vois la prestation de l'Angleterre qui colle presque 60pts à l'Irlande, je me dis que dans 1 mois au Japon, on va en prendre au moins autant
Alors oui, on va (à priori) battre l'Italie, mais nous passerons plus faibles et vulnérables que jamais à quelques semaines de la CdM
On monte en épingle des mecs, on se fait mousser après une seule victoire, mais derrière ca ne suit pas. Pas de régularité, pas de cerveau, pas de physique. Les mecs étaient cramés après l'heure de jeu alors qu'apparemment leur prépa CdM, cela dit en passant la meilleure jamais faite, était axée sur le cardio et l'endurance. Pour le cerveau, quand je vois certaines conneries perso (du genre le geste anti-jeu de Raka), je me dis qu'on a encore du taf.
On voulait confirmer, on a juste réussi à prouver que notre dernière victoire était une anomalie. Et je le redis, en face c'était une petite équipe d'Ecosse, sans certains joueurs majeurs comme Huw Jones ou Richie Gray.
Quand je vois la prestation de l'Angleterre qui colle presque 60pts à l'Irlande, je me dis que dans 1 mois au Japon, on va en prendre au moins autant
Alors oui, on va (à priori) battre l'Italie, mais nous passerons plus faibles et vulnérables que jamais à quelques semaines de la CdM
_________________
Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11374
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
A part Penaud souvent dangereux (y compris contre ses propres couleurs), Ollivon, Fickou qui fait son match en défense (pas forcément sur ce secteur de jeu qu'on l'attend) et Vahaamahina correct. Pour le reste...
Je ne comprends toujours pas l'utilité de faire jouer Iturria en 3ème ligne.
Guirado est cramé depuis au moins 3 ans, Ramos et N'Tamack n'ont pas le niveau interntional pour l'instant.
Quant à Dupont dont la France du rugby ( de quel rugby?) le voit comme le meilleur 9 au monde, je ne lui trouve que peu de qualités concernant l'animation offensive, la clarté dans la distribution du jeu et sa rapidité d'éjection...
Ce n'est pas grave, cela n'empêchera pas les journalistes du Midol de lui attribuer 3 étoiles pour un match sur lequel il n'a pesé.
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 6517
Localisation : à l'arrière des taxis...
Date d'inscription : 17/02/2019
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Je rigole surtout (mais c'est triste) de voir les gens réaliser qu'on est mauvais. Après la pseudo-victoire de la semaine passée (en France, face à l'équipe B de l'Ecosse, svp !), on s'est emballé, on s'est vu trop beau, et la France du rugby a refait ce qu'elle fait le mieux : s'emballer et tirer des conclusions hâtives tout en se voilant la face.
Dans un contexte plus compliqué (et encore, c'était un match amical en Ecosse), face à un adversaire un peu plus coriace (et encore, c'était l'Ecosse), on s'est fait bouffer et remettre à notre place. On aurait même pu (dû ?) prendre plus cher sans les nombreuses approximations écossaises qui auraient, sur 2 ou 3 actions, été à dame avec d'autres équipes plus fortes. Sans oublier qu'on marque un essai sur interception. En gros, un score final de 24-7 (1 essai de plus pour l'Ecosse et 1 de moins pour le France, et c'est gentil !) aurait peut-être été plus logique. Peu glorieux.
L'Angleterre va nous mettre une de ces corrections, au Japon... Reste à voir qui sera le plus mauvais entre nous et l'Argentine pour s'éviter une humiliation
Dans un contexte plus compliqué (et encore, c'était un match amical en Ecosse), face à un adversaire un peu plus coriace (et encore, c'était l'Ecosse), on s'est fait bouffer et remettre à notre place. On aurait même pu (dû ?) prendre plus cher sans les nombreuses approximations écossaises qui auraient, sur 2 ou 3 actions, été à dame avec d'autres équipes plus fortes. Sans oublier qu'on marque un essai sur interception. En gros, un score final de 24-7 (1 essai de plus pour l'Ecosse et 1 de moins pour le France, et c'est gentil !) aurait peut-être été plus logique. Peu glorieux.
L'Angleterre va nous mettre une de ces corrections, au Japon... Reste à voir qui sera le plus mauvais entre nous et l'Argentine pour s'éviter une humiliation
_________________
Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11374
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Switch a écrit:Je rigole surtout (mais c'est triste) de voir les gens réaliser qu'on est mauvais. Après la pseudo-victoire de la semaine passée (en France, face à l'équipe B de l'Ecosse, svp !), on s'est emballé, on s'est vu trop beau, et la France du rugby a refait ce qu'elle fait le mieux : s'emballer et tirer des conclusions hâtives tout en se voilant la face.
Dans un contexte plus compliqué (et encore, c'était un match amical en Ecosse), face à un adversaire un peu plus coriace (et encore, c'était l'Ecosse), on s'est fait bouffer et remettre à notre place. On aurait même pu (dû ?) prendre plus cher sans les nombreuses approximations écossaises qui auraient, sur 2 ou 3 actions, été à dame avec d'autres équipes plus fortes. Sans oublier qu'on marque un essai sur interception. En gros, un score final de 24-7 (1 essai de plus pour l'Ecosse et 1 de moins pour le France, et c'est gentil !) aurait peut-être été plus logique. Peu glorieux.
L'Angleterre va nous mettre une de ces corrections, au Japon... Reste à voir qui sera le plus mauvais entre nous et l'Argentine pour s'éviter une humiliation
Autant je suis d'accord que c'est certainement pas un match référence, autant je crois qu'il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain. Le premier essai provient peut-être d'une interception, mais l'action mangée par Raka qui laisse tomber l'offrande de Serin (qu'on critique un tantinet injustement, surtout vu la prestation terne de Dupont) méritait de finir derrière la ligne. Ce match a été l'occasion de retomber dans les travers vus depuis 3 ans, mais il y a quand même une sérieuse amélioration sur la prestation des lignes arrières. La défense en ligne est risquée, et les Écossais l'ont bien compris en usant (abusant) des coups de pieds derrière, mais est-ce totalement à proscrire? On a quand même ce qui ressemble à une stratégie, et ça manquait sérieusement à l'appel depuis un moment. Laissons leur le bénéfice du doute, l'Argentine et l'Angleterre arriveront bien assez tôt. Je préfère me concentrer sur l'UBB en ce début de championnat....
krahknardz- Team modo
- Nombre de messages : 7560
Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
Il y a un léger mieux en termes d'organisation et de collectif, mais tout simplement il manque un effectif suffisant, en gros on a à peine un 15 (et 2-3 remplaçants aguerris), donc dès lors qu'il en manque 3-4 (Fofana et Médard pour l'expérience, l'orga et une certaine assurance, et devant, plus de dynamisme et d'aisance technique sur certains postes) c'est difficile.
Sinon, Doc, je rajoute Guitoune quand même aux rayons des petites satisfactions.
Merci Krahk, je me sens moins seul au sujet de Serin !
Sinon, Doc, je rajoute Guitoune quand même aux rayons des petites satisfactions.
Merci Krahk, je me sens moins seul au sujet de Serin !
_________________
« Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou. » Abraham Maslow
« You can't kill what you can't see. » The Last Poets
« Il est plus facile de tromper les gens, que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Mark Twain
biscouette- Centre de presse
- Nombre de messages : 3043
Localisation : Paris (et Bordeaux)
Date d'inscription : 08/01/2016
Humeur : Consterné par le traitement réservé à MJ, la mentalité d'une partie des commentateurs (journalistes et supporters), etc.
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2019 au Japon
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49930
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Page 4 sur 32 • 1, 2, 3, 4, 5 ... 18 ... 32
Sujets similaires
» coupe du monde au Japon
» Coupe du Monde 2023
» Coupe du monde U20 2024
» Coupe du Monde 2027
» Coupe du Monde 2015
» Coupe du Monde 2023
» Coupe du monde U20 2024
» Coupe du Monde 2027
» Coupe du Monde 2015
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté terrain :: Rugby mondial (hors EDF)
Page 4 sur 32
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum