Romain Buros

Autant on peut eventuellement comprendre une non sélection de Buros ai vu de la c oyo concurrence existante, autant dans le même temps selectionnet Jaminet qui est en situation d'échec complet est une blague pas drôle du tout....

Certes Romain a fait de bons mois de décembre et de janvier (pour le moment), avec en point d'orgue son match 5 étoiles face aux Sarracens.

Mais rappelons-nous que pour le début de saison, c'était davantage moyen et que c'est Nans qui lui a chipé la place de titulaire !

Bon après, Jaminet, sans commentaire...

krahknardz a écrit:Autant on peut eventuellement comprendre une non sélection de Buros ai vu de la c oyo concurrence existante, autant dans le même temps selectionnet Jaminet qui est en situation d'échec complet  est une blague pas drôle du tout....

Le devoir de mémoire, les gars...le devoir de mémoire...

Dr. Gregory Bouse a écrit:

krahknardz a écrit:Autant on peut eventuellement comprendre une non sélection de Buros ai vu de la c oyo concurrence existante, autant dans le même temps selectionnet Jaminet qui est en situation d'échec complet  est une blague pas drôle du tout....

Le devoir de mémoire, les gars...le devoir de mémoire...

peut etre que Galthié pense que Jaminet est toujours à Toulouse

Scalp a écrit:

https://x.com/top14rugby/status/1752285134668148962?s=20

Oui mais c'est le battu de cette course qui est sélectionné. Va comprendre quelque chose

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/top14rugby/status/1752285134668148962?s=20

Oui mais c'est le battu de cette course qui est sélectionné.  Va comprendre quelque chose

On est d'accord , mais il y a déjà six joueurs de la ligne arrière de l'UBB sélectionné en EDF, ça doit peser dans la balance, malheureusement pour Romain…

XV de France. RUGBY. Buros (UBB) a-t-il les armes pour titiller Ramos à Marcoussis ?

https://www.lerugbynistere.fr/news/xv-de-france-rugby-buros-ubb-a-t-il-les-armes-pour-titiller-ramos-a-marcoussis-3001241551.php

Scalp a écrit:XV de France. RUGBY. Buros (UBB) a-t-il les armes pour titiller Ramos à Marcoussis ?

https://www.lerugbynistere.fr/news/xv-de-france-rugby-buros-ubb-a-t-il-les-armes-pour-titiller-ramos-a-marcoussis-3001241551.php

Faudrait déjà qu'on ne lui préfère pas pour monter à Marcoussis, Jaminet, Barré ou je ne sais qui.

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/top14rugby/status/1752285134668148962?s=20

Oui mais c'est le battu de cette course qui est sélectionné.  Va comprendre quelque chose

On est d'accord   , mais il y a déjà six joueurs de la ligne arrière de l'UBB sélectionné en EDF, ça doit peser dans la balance, malheureusement pour Romain…

C'est certain. Faudrait pas que ça lui donne des envies de changement..

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/top14rugby/status/1752285134668148962?s=20

Oui mais c'est le battu de cette course qui est sélectionné.  Va comprendre quelque chose

On est d'accord   , mais il y a déjà six joueurs de la ligne arrière de l'UBB sélectionné en EDF, ça doit peser dans la balance, malheureusement pour Romain…

C'est certain.  Faudrait pas que ça lui donne des envies de changement..

Purée…, non

vibrez-rugby.com
Romain Buros, l'oublié de la patrouille UBB
Rédacteur
4–5 minutes

Dans la ligne arrière étincelante de Bordeaux-Bègles, le CV de l’arrière Romain Buros dénote: aucune sélection alors qu’il était des dernières tournées en Australie et au Japon, qu’il fréquente régulièrement les rassemblements des Bleus et enchaîne les performances de haut niveau.

La scène se passe fin janvier à l’issue de la phase de poules de Champions Cup passée brillamment par l’UBB, première de sa poule avec une victoire éclatante sur les Saracens (55-15) qu’elle retrouvera samedi en huitièmes de finale.

A un journaliste qui vient le saluer, Noel McNamara, l’entraîneur en charge des trois-quarts girondins, demande: « Tu sais pourquoi Romain n’est pas pris en Bleu? »

« Hormis le fait qu’il ne bute pas, je ne vois pas », lui répond le journaliste sans satisfaire pleinement le technicien irlandais privé pendant le Tournoi des six nations de Maxime Lucu, Matthieu Jalibert, Louis Bielle-Biarrey, Damian Penaud, Yoram Moefana et Nicolas Depoortere. « Romain le méritait », estime McNamara.

Dans les faits, comment lui donner tort? Buros vient alors d’inscrire quatre essais en quatre matches de Champions Cup, s’éclate au sein de cette ligne de feu surnommée « Patrouille de France », victorieuse de huit matches de rang avec 40 points de moyenne inscrits de fin novembre à fin janvier.

– Pas légitime pour buter –

Les deux mois suivants, l’arrière bordelais de 26 ans et 128 matches au compteur, longtemps dépeint comme posé, réfléchi, mesuré, s’est mué en véritable leader pendant la période de doublons et même en capitaine à Montpellier.

« C’est assez drôle car même en jeunes, je ne l’ai jamais été, sourit-il. « C’est une fierté, une reconnaissance », mais ce n’est pas suffisant pour le combler.

Buros sait que ses concurrents au poste d’arrière en Bleu butent tous. « Moi, je ne buterai jamais, concède-t-il à l’AFP. Tout simplement car pour buter aujourd’hui, il faut être à 80 ou 90 % de réussite. Je n’ai pas buté depuis jeune, ça ne s’apprend pas en claquant des doigts et en plus pour être buteur en club, il faut avoir une certaine légitimité. A moi de faire valoir d’autres qualités pour essayer d’intégrer le groupe différemment ».

Et elles sont nombreuses: sa faculté à sécuriser le fond du terrain et à lire les trajectoires des ballons sûrement née de sa pratique de la pelote basque dans sa jeunesse, ses courses croisées dans la ligne aperçues sur son essai contre Toulouse ou son jeu au pied « qui est devenu une de ses forces », selon Maxime Lucu.

« Il est très travailleur, il reste beaucoup après les entraînements pour corriger ses défauts », complète le demi de mêlée.

– « Ne pas se morfondre » –

« Je fais en sorte de progresser sur tous les secteurs du poste, résume Buros. Pas seulement pour l’équipe de France, mais pour être le meilleur arrière possible, surtout dans notre système à nous. L’objectif premier est de performer quand tu joues et de ne pas me morfondre parce que je ne suis pas dans les groupes France même si ça fait ch… ».

De là à devenir une obsession après avoir été une frustration après sa deuxième tournée en Bleu sans jouer en 2022?

« C’est dur de dire que ce n’est pas une obsession, coupe-t-il. Quel joueur de rugby de Top 14 dit +Non, je n’ai pas envie d’être en équipe de France+? Ça serait mentir. Je fais du mieux que je peux, je trouve que je progresse mais maintenant ce ne sont pas mes choix de ne pas y être. J’aimerais y être forcément mais je ne me prends pas trop la tête, ça ne sert à rien ».

Jamais Buros n’a « eu de conversation avec le staff » des Bleus ni « d’avis objectif sur la situation parce que je ne sais pas ce que, eux, en pensent ». Il se satisfait pour l’heure de la confiance de ses entraîneurs, de son quotidien à l’UBB.

« Le principal, c’est que moi je sois content de moi. Après j’espère qu’un jour, je porterai le maillot bleu », conclut-il

2024 AFP

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https://www.eurosport.fr/rugby/investec-champions-cup/2023-2024/champions-cup-romain-buros-l-oublie-de-la-patrouille-ubb_sto10089997/story.shtml

Scalp a écrit:

https://x.com/tuisovaubb/status/1777023000253956411

Il faut vraiment trouver une solution pour que Buros ait un vrai back up .
On ne peut continuer comme cela la saison prochaine .

le radis a écrit:Il faut vraiment trouver une solution pour que Buros ait un vrai back up .
On ne peut continuer comme cela la saison prochaine .

Clairement il joue trop

nadoloubb a écrit:

le radis a écrit:Il faut vraiment trouver une solution pour que Buros ait un vrai back up .
On ne peut continuer comme cela la saison prochaine .

Clairement il joue trop

Carbery peut jouer 15? mais c'est clairement plus du dépannage qu'un vrai back-up. Mis à part la saison 2017-2018 où il a plus évolué en 15 qu'en 10 au Leinster, depuis, il n'y a plus joué que 2 ou 3 fois ponctuellement (1 titularisation en 15 la saison passée contre le Connacht).

Quid du jeune Jon Etchegaray ?

Switch a écrit:

nadoloubb a écrit:

le radis a écrit:Il faut vraiment trouver une solution pour que Buros ait un vrai back up .
On ne peut continuer comme cela la saison prochaine .

Clairement il joue trop

Carbery peut jouer 15? mais c'est clairement plus du dépannage qu'un vrai back-up. Mis à part la saison 2017-2018 où il a plus évolué en 15 qu'en 10 au Leinster, depuis, il n'y a plus joué que 2 ou 3 fois ponctuellement (1 titularisation en 15 la saison passée contre le Connacht).

Quid du jeune Jon Etchegaray ?

Un peu trop jeune encore non ? À part faire tourner pendant les périodes non internationales avec LBB et ponctuellement Ducuing, je vois pas pour l'instant... Il faut installer LBB un peu plus à l'arrière pour qu'il maîtrise ce poste, il a un sacré coup de pied aussi.

Big'Ben a écrit:

Switch a écrit:

nadoloubb a écrit:

le radis a écrit:Il faut vraiment trouver une solution pour que Buros ait un vrai back up .
On ne peut continuer comme cela la saison prochaine .

Clairement il joue trop

Carbery peut jouer 15? mais c'est clairement plus du dépannage qu'un vrai back-up. Mis à part la saison 2017-2018 où il a plus évolué en 15 qu'en 10 au Leinster, depuis, il n'y a plus joué que 2 ou 3 fois ponctuellement (1 titularisation en 15 la saison passée contre le Connacht).

Quid du jeune Jon Etchegaray ?

Un peu trop jeune encore non ? À part faire tourner pendant les périodes non internationales avec LBB et ponctuellement Ducuing, je vois pas pour l'instant... Il faut installer LBB un peu plus à l'arrière pour qu'il maîtrise ce poste, il a un sacré coup de pied aussi.

Complétement !

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Romain-buros-bordeaux-begles-le-rugby-offensif-est-top-pour-la-champions-cup/1460444

Romain Buros (Bordeaux-Bègles) : « Le rugby offensif est top pour la Champions Cup »

L'arrière de l'UBB, Romain Buros, qui défie les Harlequins en quarts de finale de Coupe des champions ce samedi, s'éclate au sein de la ligne de trois-quarts bordelaise et espère que ce jeu ambitieux guidera le club vers le premier titre de son histoire ces prochaines semaines.

Adrien Corée

Ce n'est pas celui qui fait le plus parler de lui dans l'attaque tout feu tout flamme de l'UBB, mais pourtant Romain Buros est un pion essentiel de l'équipe de Yannick Bru. Contrairement à ses coéquipiers internationaux (Lucu, Jalibert, Moefana, Depoortere, Bielle-Biarrey, Penaud), l'arrière n'a jamais porté le maillot bleu mais celui de Bordeaux-Bègles lui colle à la peau : il a joué 22 des 25 matches de son club cette saison. Avant une 23e sortie ce samedi contre les Harlequins, il s'est confié sur le printemps excitant de l'UBB.

« Pas trop fatigué ?

On me pose pas mal la question (sourire). J'ai un peu galéré en début de saison. J'avais les restes d'une pubalgie. Là je me sens plutôt bien, il faut maintenant maintenir ce rythme sur les matches importants. Être en forme en milieu de saison, ce n'est pas très utile.

Depuis votre arrivée il y a six ans, vous avez pris un rôle de plus en plus important dans l'équipe...

Par le poste que j'occupe, il y a une certaine logique à ce que je sois leader sur le terrain. Et dans le rugby actuel, l'arrière ressemble de plus en plus à un second 10. C'est quelque chose sur lequel j'ai travaillé parce que j'étais plus un arrière-ailier à la base. À Bordeaux, nos 10 prennent beaucoup l'initiative, peuvent se retrouver dans les rucks. Il faut donc quelqu'un capable de les suppléer. Je suis plutôt bon là-dedans, sans être exceptionnel. Pareil au niveau de la contre-attaque ou du jeu au pied. Mon point fort, c'est plutôt les ballons hauts, que j'affectionne particulièrement. J'ai un profil d'arrière assez complet parce que j'essaye de travailler le maximum d'aspects du poste. C'est le joueur que je veux être.

La période des doublons a été compliquée pour le club pendant le Tournoi...

C'est nouveau pour le club d'avoir beaucoup d'internationaux. Donc forcément, il faut un temps d'adaptation. On espérait faire mieux parce qu'il y a beaucoup de qualités dans l'effectif. Mais il faut qu'on s'en serve. Il y a quand même des joueurs qui ont été bons et qui auraient moins joué si les internationaux avaient été là, comme Matéo Garcia qui a fait un gros match le week-end dernier (contre les Saracens).

« On voit les bonnes équipes, quand elles sont capables de reproduire week-end après week-end les grandes performances »
Romain Buros

Yannick Bru relevait récemment l'inconstance de l'équipe. L'UBB a l'étiquette d'une équipe séduisante mais qui s'effondre quand ça compte vraiment. Comment lutter contre ça ?

Pour enlever cette étiquette, il faut gagner les matches importants. Ce n'est pas plus compliqué que ça. Samedi, on a un quart de finale. C'est là qu'on voit les bonnes équipes, quand elles sont capables de reproduire week-end après week-end les grandes performances. On y travaille parce qu'il y a une part mentale là-dedans.

Cette saison, la dynamique semble tout de même positive. Qu'est-ce que l'arrivée de Yannick Bru vous a apporté ?

Quand un nouveau staff arrive, il y a toujours un discours frais. Yannick essaye de donner des responsabilités à l'effectif. Quand les choix viennent des joueurs, on a tendance à beaucoup plus y adhérer. J'espère que ça durera, on verra si l'UBB est une grande équipe. Pour l'instant, l'ambiance de travail est très bonne.

L'adjoint Noel McNamara a également apporté sa patte au jeu offensif de l'UBB...

Noel, c'est l'école irlandaise. Dans cette équipe, avec des joueurs très portés sur l'offensive, c'est top d'avoir cette rigueur et ce travail sur certains points. Il fait en sorte d'utiliser le meilleur de chaque joueur sur ses lancements. Dans la philosophie de jeu, il y a des principes forts qu'il faut maîtriser. Et si c'est le cas, on peut trouver de la liberté. C'est comme ça qu'on est arrivé à sortir quelques grosses performances offensives cette saison.

On peut dire que le jeu de l'UBB est porté par un cadre strict ?

Le meilleur rugby, pour n'importe quelle équipe, c'est celui-là : des bases fortes qui sont connues par tout le monde, que tout le monde maîtrise, et qui sont sublimés par les initiatives des joueurs.

Et en quoi la Coupe des champions correspond à cette façon de jouer ?

Pendant la phase de poules, si tu marques quatre essais, tu as déjà un point. On l'a vu quand on a été en Afrique du Sud aux Bulls, on rentre avec deux points (bonus offensif et défensif). C'est ce qui nous a permis de recevoir le quart de ce week-end. Le jeu offensif est top pour cette compétition. Maintenant, on s'attaque à une équipe qui est très offensive aussi. Là, c'est notre défense qui va devoir resserrer ses rangs.

Ces matches de phase finale demandent-ils une préparation différente ?

Sur une semaine de Top 14, on va parfois être moins attentifs sur les détails. Si tu perds à l'extérieur en Championnat, ça peut ne pas être trop grave. Là, ce week-end, si on perd l'aventure s'arrête. Il faut être vigilant sur tout et être capable de jouer libérer, sans subir cette pression du résultat.

Vos performances sont unanimement saluées et vous avez déjà été appelé en équipe de France, sans connaître de sélection. Est-ce un objectif clair pour vous ?

C'est impossible de dire que ce n'est pas un objectif. Je suis joueur de rugby, dans une équipe qui joue pour gagner des titres. Forcément, l'étape d'après c'est un trophée ou l'équipe de France. Mais il ne faut pas que ça devienne une obsession parce que ça peut inhiber. Et puis c'est indépendant de ma décision. Vous me dites que mes performances sont saluées unanimement, mais ce qui est un fait, c'est que je ne suis pas dans le groupe France. Mon objectif, c'est d'être performant dans les grands matches avec l'UBB. Et après, si vraiment je suis très performant, en découlera une sélection avec l'équipe de France