Chaban : pourquoi ne pas donner de l'âme ??

JOCE33 Ven 3 Mai 2019 - 16:21

Pourquoi ne pas chanter l'hymne au début des matchs?? pour donner de l'âme, du caractère à l'equipe.
Pourquoi avoir enlever Iron Maiden qui mettait l'ambiance??
Pourquoi Pau et Toulon savent le faire et pas nous?
Bref, Pourquoi la com de l'UBB ne s'interesset il pas à l'ambiance du stade qui devrait prendre l'adversaire au tripe!!!!

**patrick** Ven 3 Mai 2019 - 17:40

Pourquoi pas d'hymne et de musique péchue ? Probablement parce comme d'habitude on est les gentils bons élèves de la Ligue qui demande à ce que son hymne ait la priorité et que par ailleurs on préfère mettre le nigaud de Cauhet sur les écran pour nous vendre La Plage qui est partenaire du club.

Les fanfares pourraient largement être plus utilisées en avant-match (pourquoi pas sur le terrain) mais visiblement on préfère qu'elles nous emmerdent pendant le match redcard

Ca c'est dit :chambreur:

Ceci étant dit, l'ame viendra avec des victoires et la crainte qu'auront nos adversaires du jour. Aujourd'hui les gars viennent dans un beau stade, avec deux fois plus de public que chez eux et faire un match souvent sympathique.

**le radis** Ven 3 Mai 2019 - 23:22

patrick a écrit:
Les fanfares pourraient largement être plus utilisées en avant-match (pourquoi pas sur le terrain) mais visiblement on préfère qu'elles nous emmerdent pendant le match
Ca c'est dit

Moi j'aime bien quand tu le dis . Ça c'est dit aussi. :chambreur:

On est nombreux à s'en "plaindre". Surtout qu' on s'ennuie tellement ferme pendant les matchs depuis plusieurs saisons. :chambreur:

Plus sérieusement on n'est pas obligé de faire comme d'autres à vouloir s'inventer un hymne et le chanter avant le match comme si on se faisait un fix pour tenir debout. :chambreur:

Par contre c'est comme ça Chaban ex Lescure a été une place historique du rugby français ; en ce sens, et en y ajoutant la beauté et le charme de l'enceinte les adversaires le ressentent et s'y sentent à l'aise. A nous de nous y adapter. Wink

JOCE33 Lun 6 Mai 2019 - 13:26

Je rêve d'un stade qui chante
J'aimerais que le bruit féroce des guitares accompagne nos joueurs sur le terrains.
Notre public me semble un peu trop sage et réservé.
Pourvu que ça change un jour

**marchal** Mar 7 Mai 2019 - 14:49

pour chanter, il suffit que l'équipe joue un jeu attrayant comme ce qu'on a connu dans les premières années de l'ubb ou des mecs venus de nulle part, étrangers pour la plupart, mouillait le maillot avec un point d'orgue pour moi le match du 43 à 0 infligé à l'équipe de toulon et toutes ses vedettes ainsi que les matches contre nos meilleurs ennemis, les toulousains.
Quand on reverra des essais et un jeu emballant (si on le revoit un jour) on se lévera de nos siéges et l'on chantera à tue-tete, ubb allez, allez..

JOCE33 Mar 7 Mai 2019 - 16:15

oui je suis d'accord. Mais je voulais dire, que j'aimerais une ambiance, des chants nouveaux plutôt que le allez allez UBB qui ne se démarque pas de ce que font les autres....

**marchal** Mer 8 Mai 2019 - 15:05

ah, ok, désolée, je me suis emportée :)
on va demander à nos associations de supporter, les burdigalais ou les united BB de se pencher sur la question :)

**patrick** Mer 8 Mai 2019 - 18:13

**Scalp** Lun 25 Nov 2019 - 21:30

https://www.sudouest.fr/2019/11/25/bordeaux-la-vie-du-parc-lescure-en-images-6868592-10667.php

Bordeaux : la vie du Parc Lescure en images

par Christophe Loubes.

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Match UBB-Pau, 7 avril 2018. Bruce Milpied / Hans Lucas

Pendant 10 jours le photographe Bruce Milpied a suivi la vie du stade Chaban-Delmas et de ses environs. Il en a tiré un livre et une exposition

« Je n’y connais rien en football et en rugby, rigole Bruce Milpied. Avant d’être sollicité par les éditions Quatrième ligne je n’avais jamais mis les pieds au stade. Donc, bien sûr, j’ai été surpris quand on m’a proposé cette résidence photographique. Mais j’ai aussi adoré ! » On le constate en feuilletant « Lignes blanches », livre paru récemment avec une quarantaine de ses vues du Parc Lescure et de son principal élément, le stade Chaban-Delmas. Ou en allant voir la sélection de photos exposées jusqu’au 28 décembre à la galerie-librairie L’Ascenseur végétal.

Ces résidences consistent à faire travailler un photographe dans un périmètre donné pendant une période donnée. Soutenues par l’agence Alca, le bras droit du Conseil régional pour le livre, le cinéma et l’audiovisuel, elles ont notamment sollicité des photographes girondins reconnus comme Alain Laboile, Nicolas Camoisson ou Philippe Fatin.

Et donc aussi Bruce Milpied, qui s’était plutôt fait connaître par ses travaux sur le jazz ou sur le monde ouvrier (une exposition sur les ouvriers des bassins industriels de Roumanie et de l’ex-RDA en 2016 au musée d’Aquitaine). « Je ne suis pas un photographe d’architecture ni de sport, reconnait-il. Donc il a fallu que je contourne ces thématiques qui semblaient les plus évidentes. Et je me suis concentré sur ce sur quoi je suis le plus à l’aise : l’humain et la recherche de la lumière. »

En 10 jours, étalés sur deux mois, Bruce Milpied est donc allé à la rencontre du lieu et de ceux qui le font vivre. Le résultat final apparaît comme le résumé d’une journée bien remplie : entretien de la pelouse, vues du stade attendant le public, entraînement puis match des Lionnes (les rugbywomen du Stade Bordelais), stade en fête pour un match de l’UBB, puis retour au calme et nettoyage du site. Certaines photos montrent aussi les 80 ans du stade et la présentation de l’équipe aux abonnés.

C’est un lieu qui a toute une vie en dehors des matches. Et la personne la plus importante y est le jardinier.

« Je me suis aperçu que c’est un lieu qui a toute une vie en dehors des matches, dit le photographe. Et la personne la plus importante y est le jardinier. C’est lui qui trace les lignes, qui doivent rester visibles même quand le terrain est boueux. C’est lui qui doit veiller à ce que l’eau s’écoule bien vers le bord du terrain. J’ai découvert qu’un stade n’est pas plat, justement pour éviter que des flaques se forment ! Le jardinier, c’est une sorte de garantie. S’il fait bien son travail les joueurs ne pourront pas dire qu’ils ont perdu parce que le terrain était gras… »

Mais Bruce Milpied s’est aussi fait plaisir avec le bâtiment « qui prend très bien la lumière. En le photographiant j’ai mesuré la qualité du travail des architectes. Il est vrai que c’était une nécessité dans les années 30, à une époque où les éclairages étaient moins puissants qu’aujourd’hui. » Certaines images très géométriques font ainsi apparaître une large gamme de gris, mais d’un gris velouté, jamais terne. Tandis que l’utilisation d’un grand angle (35 millimètres) permet d’embrasser le stade dans toute sa majesté. « Je n’ai pas eu de mal à m’approprier l’édifice, et j’ai rencontré des gens super-sympa. Je me suis bien amusé ! »

En Images :

https://www.sudouest.fr/2019/11/25/en-images-le-stade-chaban-delmas-vu-par-le-photographe-bruce-milpied-6868653-10667.php

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