Derniers sujets
» XV de France (partie en cours)par Scalp Aujourd'hui à 9:16
» UBB: Prolongations signatures Départs Saison 2025/2026
par Lawrence the Hammer Aujourd'hui à 8:32
» 10ᵉ journée : Vannes / UBB
par Scalp Aujourd'hui à 8:28
» Que deviennent nos anciens joueurs ?
par marchal Aujourd'hui à 2:45
» Autres Clubs
par marchal Hier à 15:50
» Yann Lesgourgues
par marchal Hier à 15:00
» Mateo GARCIA
par Scalp Hier à 13:10
» Podcast : Les UBBistes
par nadoloubb Hier à 13:06
» Romain Buros
par Scalp Hier à 11:37
» Bourse des places de match
par Kmary Hier à 10:47
» Demandes de billets et déplacements saison 24/25
par krahknardz Hier à 0:26
» Equipe de France à 7 (hommes)
par krahknardz Mer 20 Nov 2024 - 23:48
» Transferts (Autres clubs)
par Switch Mer 20 Nov 2024 - 23:44
» Matthieu Jalibert
par Scalp Mer 20 Nov 2024 - 20:19
» Mahamadou Diaby
par Scalp Mer 20 Nov 2024 - 17:37
» 12ᵉ journée : Castres / UBB
par Scalp Mer 20 Nov 2024 - 12:59
» Les Lionnes 2024-2025
par marchal Mar 19 Nov 2024 - 17:19
» Live twitch Gauthier Baudin
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 17:18
» Equipes de France Jeunes
par marchal Mar 19 Nov 2024 - 14:02
» Arthur Retière
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 10:17
» Musique !!!
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 4:13
» Ben Tameifuna
par Scalp Lun 18 Nov 2024 - 15:02
» XV de France (partie en cours)
par Scalp Dim 17 Nov 2024 - 11:14
» Ou voir les matchs de l'Union ?
par Lawrence the Hammer Sam 16 Nov 2024 - 17:41
» Autres joueurs
par marchal Sam 16 Nov 2024 - 14:43
» Le rugby et son évolution
par Scalp Sam 16 Nov 2024 - 11:42
» Zaccharie Affane
par Scalp Sam 16 Nov 2024 - 11:41
» Pro D2 : Autres matchs
par Roberto Miopalmo Sam 16 Nov 2024 - 9:15
» Tevita Tatafu
par Scalp Jeu 14 Nov 2024 - 19:01
» L'histoire de l'UBB
par marchal Jeu 14 Nov 2024 - 14:23
Que deviennent nos anciens joueurs ?
+37
densnewzealand
Big'Ben
S.K.I.T.O
Médoc Hein
Mam's
Yatangaki
DODO974
LaRuine33
tire-bouchon
flavio33
Charles_ubb
Etchetera
nadoloubb
davablava33
tonysoprano
grospaquet31
Dr. Gregory Bouse
Switch
cebada
hurluberlu
FrenchKick
kaze33
Roberto Miopalmo
krahknardz
Adrien
Ribouldingue
sudiste
Vince33
willoush
biscouette
léopold
gael33
Scalp
patrick
jaja69
le radis
marchal
41 participants
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune ... des sélectionneurs :: Anciens Joueurs
Page 14 sur 40
Page 14 sur 40 • 1 ... 8 ... 13, 14, 15 ... 27 ... 40
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Après Kitshoff proche de Montpellier, c'est Régis Sonnes qui serait pressenti du côté d'Agen : https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-agen-la-piste-sonnes-activee_sto7977030/story.shtml
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11375
Date d'inscription : 30/04/2011
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Switch a écrit:Après Kitshoff proche de Montpellier,
T'as vu ça où ?
Lui je le regrette vraiment
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Au fait on parle du sud-africain ou de "nanibien" ?
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
sudiste a écrit:Switch a écrit:Après Kitshoff proche de Montpellier,
T'as vu ça où ?
Lui je le regrette vraiment
Tu m'étonnes !! Red Bull, c'était au moins aussi bien que Poirot
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 6519
Localisation : à l'arrière des taxis...
Date d'inscription : 17/02/2019
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Ici : https://www.news24.com/sport/rugby/superrugby/montpellier-chasing-signature-of-stormers-strongman-steven-kitshoff-reports-20201101?fbclid=IwAR3tF0XuFtrezKR9asvNz1FWYpqvJjJ4Qewgmh_4PUZJDlKIziDmVD_Ciy8
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11375
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-petit-tao-le-nouvel-homme-a-tout-faire-du-rct_sto7977605/story.shtml
"Petit Tao", le nouvel homme à tout faire du RCT
Par Pierrick Ilic-Ruffinatti
TOP 14 - Auteur d'une performance remarquée à la droite de la mêlée toulonnaise contre Castres, Sébastien Taofifenua n'est plus simplement un gaucher qui dépanne à droite, mais un véritable pilier polyvalent capable d'évoluer aux deux postes sans véritable distinction de niveau. Une aubaine pour le staff varois.
Beka Gigashvili en sélection, Jérémy Boyadjis en convalescence avec son pied, Emerick Setiano commotionné suite à la finale de Challenge Cup, Luka Tchelidze toujours membre du centre de formation, et voilà que le RCT se retrouvait sans pilier droit de formation dans le groupe pro au moment de recevoir Castres, lors de la 6e journée de Top14. Et comme souvent, c'est alors Sébastien Taofifenua qui a endossé le costume de droitier. Original ? Oui et non, car s'il a toujours évolué à gauche des packs de Perpignan ou de l'UBB, et était devenu international à ce poste (2 sélections), "Petit Tao" est -depuis son arrivée à l'été 2018- devenu l'homme à tout faire de la première ligne du RCT.
Souvent aligné à gauche, épisodiquement à droite, le frère de Romain trouve des repères, et s'épanouit de plus en plus aux deux postes. "Je suis là pour cela, je veux apporter à l’équipe que ce soit à gauche ou à droite, souriait en ce sens le joueur de 28 ans l'avant-veille du match contre le CO. Quand il manque des mecs, je suis là pour montrer que je peux aussi évoluer au haut-niveau à droite."
"Quand tu es bloqué à droite tu le sens au niveau des côtelettes ou de la nuquette"
En mêlée comme ballon en mains, "Petit Tao" a donc dû réapprendre les rudiments d'un poste. "En mêlée, le pilier gauche à la tête à l'extérieur, alors que le droitier est bloqué et doit gérer la pression du talonneur et du pilier gauche adverse. La grosse hantise des droitiers c'est de se faire mettre en travers, d'être pris physiquement par ses deux adversaires directs", nous expliquait Eric Dasalmartini, entraîneur des avants du RCT. "C'est difficile de s'adapter, mais Seb' a su le faire, à la force d'un travail de jambes, d'épaules, de liaison, de compensation avec son talonneur. Ensuite il a dû réapprendre les positions, car quand tu es bloqué à droite de la mêlée, tu le sens de suite au niveau des côtelettes ou de la nuquette."
Et de la théorie à la pratique ? "Petit Tao" a réalisé une performance xxl à droite de la mêlée toulonnaise. Capable de malaxer les deux gauchers castrais en mêlée fermée, tout en conservant son activité dans le jeu courant, l'ancien bordelais s'est montré sous son meilleur jour, 76 minutes durant, avant de céder sa place à Luka Tchelidze
"Seb' est toujours présent dans les grands moments"
"Quand il est sur le terrain, Seb' donne tout pour l'équipe. Que ce soit à droite ou à gauche, qu'il entre dans le match ou qu'il soit dans la souffrance depuis le coup d'envoi : il est toujours là, et va donner le meilleur pour permettre à l'équipe de rayonner. Son objectif premier avec ce changement de poste a été d'être très bon en mêlée, ce qu'il a fait. Il a quand même tiré deux piliers castrais, alors même que le terrain était difficile... Seb' est toujours présent dans les grands moments et donne toujours le maximum pour l'équipe."
Désormais capable d'évoluer à gauche comme à droite sans véritable distinction de niveau, Sébastien Taofifenua s'impose en tout cas comme l'homme à tout faire de la première ligne toulonnaise. "Seb' a beaucoup travaillé sur son gainage corporel, le travail de ses jambes, de ses appuis et de son dos pour découvrir ce poste, mais c'est désormais un vrai joueur polyvalent, capable d'évoluer au même niveau des deux côtés. À gauche il est très solide, mais à droite il fait bien plus que nous rendre service.", concluait "Brique". Et s'il pourra bientôt à nouveau compter sur Emerick Setiano, le staff toulonnais varois a une nouvelle fois obtenu la confirmation qu'en plus d'être performant à gauche, Sébastien Taofifenua pouvait faire bien plus que dépanner à droite du pack toulonnais.
"Petit Tao", le nouvel homme à tout faire du RCT
Par Pierrick Ilic-Ruffinatti
TOP 14 - Auteur d'une performance remarquée à la droite de la mêlée toulonnaise contre Castres, Sébastien Taofifenua n'est plus simplement un gaucher qui dépanne à droite, mais un véritable pilier polyvalent capable d'évoluer aux deux postes sans véritable distinction de niveau. Une aubaine pour le staff varois.
Beka Gigashvili en sélection, Jérémy Boyadjis en convalescence avec son pied, Emerick Setiano commotionné suite à la finale de Challenge Cup, Luka Tchelidze toujours membre du centre de formation, et voilà que le RCT se retrouvait sans pilier droit de formation dans le groupe pro au moment de recevoir Castres, lors de la 6e journée de Top14. Et comme souvent, c'est alors Sébastien Taofifenua qui a endossé le costume de droitier. Original ? Oui et non, car s'il a toujours évolué à gauche des packs de Perpignan ou de l'UBB, et était devenu international à ce poste (2 sélections), "Petit Tao" est -depuis son arrivée à l'été 2018- devenu l'homme à tout faire de la première ligne du RCT.
Souvent aligné à gauche, épisodiquement à droite, le frère de Romain trouve des repères, et s'épanouit de plus en plus aux deux postes. "Je suis là pour cela, je veux apporter à l’équipe que ce soit à gauche ou à droite, souriait en ce sens le joueur de 28 ans l'avant-veille du match contre le CO. Quand il manque des mecs, je suis là pour montrer que je peux aussi évoluer au haut-niveau à droite."
"Quand tu es bloqué à droite tu le sens au niveau des côtelettes ou de la nuquette"
En mêlée comme ballon en mains, "Petit Tao" a donc dû réapprendre les rudiments d'un poste. "En mêlée, le pilier gauche à la tête à l'extérieur, alors que le droitier est bloqué et doit gérer la pression du talonneur et du pilier gauche adverse. La grosse hantise des droitiers c'est de se faire mettre en travers, d'être pris physiquement par ses deux adversaires directs", nous expliquait Eric Dasalmartini, entraîneur des avants du RCT. "C'est difficile de s'adapter, mais Seb' a su le faire, à la force d'un travail de jambes, d'épaules, de liaison, de compensation avec son talonneur. Ensuite il a dû réapprendre les positions, car quand tu es bloqué à droite de la mêlée, tu le sens de suite au niveau des côtelettes ou de la nuquette."
Et de la théorie à la pratique ? "Petit Tao" a réalisé une performance xxl à droite de la mêlée toulonnaise. Capable de malaxer les deux gauchers castrais en mêlée fermée, tout en conservant son activité dans le jeu courant, l'ancien bordelais s'est montré sous son meilleur jour, 76 minutes durant, avant de céder sa place à Luka Tchelidze
"Seb' est toujours présent dans les grands moments"
"Quand il est sur le terrain, Seb' donne tout pour l'équipe. Que ce soit à droite ou à gauche, qu'il entre dans le match ou qu'il soit dans la souffrance depuis le coup d'envoi : il est toujours là, et va donner le meilleur pour permettre à l'équipe de rayonner. Son objectif premier avec ce changement de poste a été d'être très bon en mêlée, ce qu'il a fait. Il a quand même tiré deux piliers castrais, alors même que le terrain était difficile... Seb' est toujours présent dans les grands moments et donne toujours le maximum pour l'équipe."
Désormais capable d'évoluer à gauche comme à droite sans véritable distinction de niveau, Sébastien Taofifenua s'impose en tout cas comme l'homme à tout faire de la première ligne toulonnaise. "Seb' a beaucoup travaillé sur son gainage corporel, le travail de ses jambes, de ses appuis et de son dos pour découvrir ce poste, mais c'est désormais un vrai joueur polyvalent, capable d'évoluer au même niveau des deux côtés. À gauche il est très solide, mais à droite il fait bien plus que nous rendre service.", concluait "Brique". Et s'il pourra bientôt à nouveau compter sur Emerick Setiano, le staff toulonnais varois a une nouvelle fois obtenu la confirmation qu'en plus d'être performant à gauche, Sébastien Taofifenua pouvait faire bien plus que dépanner à droite du pack toulonnais.
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49941
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Poirot, Kitshoff, Tao...ces dernières années on a eu de belles pointures à gauche, quand même ! Dommage de ne pas avoir pu en garder plus, mais Paiva semble sur la bonne voie pour devenir un grand du poste
Bon sinon, Montpellier qui veut signer Kitshoff après avoir tenté P-S Du Toit il y a quelques mois, ca ne choque personne niveau salary cap ?
Bon sinon, Montpellier qui veut signer Kitshoff après avoir tenté P-S Du Toit il y a quelques mois, ca ne choque personne niveau salary cap ?
_________________
Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11375
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.lamontagne.fr/limoges-87000/sports/sisa-koyamaibole-ancien-chouchou-du-ca-brive-veut-devenir-coach_13874077/
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6396
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Le-talonneur-de-brive-florian-dufour-absent-plusieurs-mois/1193778
bon retablissement à lui
bon retablissement à lui
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 11122
Localisation : toulouse
Date d'inscription : 31/08/2015
Age : 51
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
grospaquet31 a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Le-talonneur-de-brive-florian-dufour-absent-plusieurs-mois/1193778
bon retablissement à lui
C'est dommage il fait partie de ces joueurs qui ont de superbes qualités physiques mais qui sont trop fragiles comme Yann David
nadoloubb- Quentin MARTIntino
- Nombre de messages : 8676
Localisation : orléans
Date d'inscription : 13/04/2018
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
talebula en route vers le sa XV il y retrouverait vincent etcheto et ole avei
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6396
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.sudouest.fr/2020/11/19/-8092092-4583.php
Rugby / Pro D2 (avant Biarritz – Soyaux-Angoulême) : Vincent Etcheto aime beaucoup les supporters biarrots
Par Recueilli par Pierre Mailharin
Le Bayonnais, nouvel entraîneur du dernier de pro D2, qui défie le BOBP vendredi 20 novembre à 20h45, répond à nos questions. Sans langue de bois, comme à son habitude
Vincent Etcheto est un ballon de rugby : il ne rebondit pas forcément là où l’on croit. Après son départ de l’Aviron en 2019, quelques aventures ovales sans lendemain (lire par ailleurs), l’enfant de Bayonne, désormais quinquagénaire (51 ans), a posé ses valises de technicien à Soyaux-Angoulême.
Arrivé comme consultant juste après le début du championnat, il a été promu manager il y a un mois, après l’éviction d’Adrien Buononato. « Ce n’était pas prévu », assure-t-il, avant d’affronter le Biarritz Olympique avec sa nouvelle équipe, demain soir (20 heures).
« Sud Ouest » Cela vous fait quoi de revenir au Pays basque pour un match de rugby, en plus à Biarritz ?
Vincent Etcheto Ni chaud ni froid. Je reviens avec Angoulême donc… Je vais à Biarritz souvent, j’y suis allé cet été, c’est très agréable. Mais à huis clos, on pourrait jouer n’importe où ailleurs, c’est pareil.
Vous êtes attendus par certains supporters du BO, qui veulent battre le SAXV d’Etcheto…
Battre le Angoulême d’Etcheto… Ce n’est pas mon club depuis longtemps, et ce n’est pas une équipe difficile à battre pour l’instant. On n’a gagné qu’un match. Les supporters, ils seront devant leur télé (rires). Je penserai à eux sous la pluie, il risque de ne pas faire beau. Non mais j’aime beaucoup les supporters biarrots. J’ai commenté un match avec Canal + il n’y a pas longtemps, j’ai été très bien accueilli.
Que pensez-vous de l’équipe du BO ?
Elle est armée pour jouer la montée, avec des patrons dans chaque ligne, Saili, Armitage… On ne va pas lutter avec elle, on le sait. Elle a été surprise par Vannes (14–16), mais elle a fait un très bon match à Aurillac (10–23).
Vous êtes dernier. Y a-t-il la peur de prendre une valise à Aguilera ?
Non, je ne l’espère pas. J’ai été nommé manager un jour avant le match de Carcassonne. Il n’y a pas eu la réaction qu’on espérait (8–21). Après, on a été à Montauban, où on a pris un rouge au bout de 30 secondes (27–17, la réception de Grenoble a ensuite été reportée). Je ne connais pas la valeur de mon équipe. On vient pour savoir ce qu’on vaut, avant de recevoir Valence. Le BO, c’est un gros sparring-partner pour s’étalonner.
Quel ressort utilise-t-on quand on récupère une équipe qui est dernière ?
Il faut ramer, parce qu’on est dans le dur. Plus que je ne le pensais. Il y a des manques techniques, stratégiques, plus pas mal de blessés. Après, on travaille dans la sérénité. Le président m’a donné toute sa confiance. On n’a pas d’excuse.
Le huis clos peut-il enlever la dimension d’un match à l’extérieur ?
On sait qu’au Pays basque, les supporters sont bons pour mettre la pression sur les arbitres. Ça peut être un facteur facilitant pour nous. On verra.
Comment vous êtes-vous retrouvé manager de Soyaux-Angoulême ?
Ce n’était pas prémédité. Didier Pitcho (le président) m’a appelé il y a deux mois pour donner un coup de main, avec l’accord d’Adrien Buononato. Il y avait des choses en interne que je ne maîtrisais pas, une fronde des joueurs contre les entraîneurs. C’était un peu une galère. J’avais été très bien accueilli par le staff, ce n’était pas prévu que je me retrouve manager. J’ai plein de défauts, mais je ne suis pas un intrigant. J’avais un confort de vie. Financièrement, je m’en sortais très bien. J’en ai discuté avec ma famille. Angoulême, c’est à 2 h 30/3 heures de Bayonne. J’avais prévu de continuer mes piges avec Canal où je me plaisais, de faire du consultanat rugby de temps en temps. Angoulême en était un. Et puis voilà, ça s’est fait comme ça. J’ai retrouvé du boulot, c’est compliqué dans ce milieu. Il y a 30 clubs professionnels, donc 30 postes de manager. Je suis un privilégié. J’avais repris Bayonne qui descendait, Bordeaux, 13e de Pro D2, là c’est Angoulême, au fond du classement. Je dois être marqué pour ce genre d’expérience (rires).
Vous êtes un pompier de service ?
Non, ce sont les circonstances. On m’aurait proposé d’entraîner les All Blacks, j’y serais allé aussi. C’est peut-être ma valeur d’entraîneur, je mérite de prendre les équipes de fond de classement. Je n’en sais rien, je ne me pose même pas la question. Ça s’est plutôt bien passé à Bordeaux, j’y ai fait six ans. Quatre ans à Bayonne, avec à chaque fois des montées en Top 14. Je ne dis pas qu’on va monter cette année avec Angoulême, mais j’espère m’y installer, sur du moyen voire du long terme, parce qu’il y a une ville et un club qui méritent d’être au moins dans le milieu de classement de Pro D2, et sur une belle année, peut-être, de jouer des phases finales.
Votre vision du poste de manager a-t-elle changé depuis votre première expérience (2015–2017) ?
On mûrit. J’ai eu des succès, j’ai pris des baffes dans la gueule aussi. J’ai été trahi par des gens. Là, je suis plutôt serein. J’ai travaillé avec Yannick Bru, qui m’a amené des choses, avec des managers avant, j’ai eu mon expérience de manager à l’Aviron. Je sais les erreurs que je ne ferai plus, dans la composition des staffs, l’approche avec les joueurs. Je reste proche d’eux, même si j’ai vieilli et qu’eux rajeunissent. Je reste le Vincent Etcheto que je suis (Il appuie). Parce qu’il est hors de question que je me renie.
Vous parlez de galère. Relever les défis, ça vous ressemble, non ?
Oui. Ça reste du rugby. La vie est triste en ce moment. J’ai une petite fille de deux ans, je pense beaucoup à son avenir. Je me dis : « Dans quel monde je l’ai mise ? » Ça, c’est important. Le rugby, bien sûr que c’est important, il y a des gens qui payent pour. On a une responsabilité, mais elle reste relative. Donc je ne suis pas inquiet.
Ne pas se renier, ça veut aussi dire s’en sortir par le jeu ?
Bien sûr. Actuellement, on doit reconstruire sur des bases solides, de conquête, de défense, d’agressivité. Je pensais qu’on les avait, mais on ne les a pas. Une fois que ça, ça sera très correct, on pourra s’amuser. Parce que j’ai envie de prendre du plaisir. Avec de la possession, de la variété, de la contre-attaque…
Rugby / Pro D2 (avant Biarritz – Soyaux-Angoulême) : Vincent Etcheto aime beaucoup les supporters biarrots
Par Recueilli par Pierre Mailharin
Le Bayonnais, nouvel entraîneur du dernier de pro D2, qui défie le BOBP vendredi 20 novembre à 20h45, répond à nos questions. Sans langue de bois, comme à son habitude
Vincent Etcheto est un ballon de rugby : il ne rebondit pas forcément là où l’on croit. Après son départ de l’Aviron en 2019, quelques aventures ovales sans lendemain (lire par ailleurs), l’enfant de Bayonne, désormais quinquagénaire (51 ans), a posé ses valises de technicien à Soyaux-Angoulême.
Arrivé comme consultant juste après le début du championnat, il a été promu manager il y a un mois, après l’éviction d’Adrien Buononato. « Ce n’était pas prévu », assure-t-il, avant d’affronter le Biarritz Olympique avec sa nouvelle équipe, demain soir (20 heures).
« Sud Ouest » Cela vous fait quoi de revenir au Pays basque pour un match de rugby, en plus à Biarritz ?
Vincent Etcheto Ni chaud ni froid. Je reviens avec Angoulême donc… Je vais à Biarritz souvent, j’y suis allé cet été, c’est très agréable. Mais à huis clos, on pourrait jouer n’importe où ailleurs, c’est pareil.
Vous êtes attendus par certains supporters du BO, qui veulent battre le SAXV d’Etcheto…
Battre le Angoulême d’Etcheto… Ce n’est pas mon club depuis longtemps, et ce n’est pas une équipe difficile à battre pour l’instant. On n’a gagné qu’un match. Les supporters, ils seront devant leur télé (rires). Je penserai à eux sous la pluie, il risque de ne pas faire beau. Non mais j’aime beaucoup les supporters biarrots. J’ai commenté un match avec Canal + il n’y a pas longtemps, j’ai été très bien accueilli.
Que pensez-vous de l’équipe du BO ?
Elle est armée pour jouer la montée, avec des patrons dans chaque ligne, Saili, Armitage… On ne va pas lutter avec elle, on le sait. Elle a été surprise par Vannes (14–16), mais elle a fait un très bon match à Aurillac (10–23).
Vous êtes dernier. Y a-t-il la peur de prendre une valise à Aguilera ?
Non, je ne l’espère pas. J’ai été nommé manager un jour avant le match de Carcassonne. Il n’y a pas eu la réaction qu’on espérait (8–21). Après, on a été à Montauban, où on a pris un rouge au bout de 30 secondes (27–17, la réception de Grenoble a ensuite été reportée). Je ne connais pas la valeur de mon équipe. On vient pour savoir ce qu’on vaut, avant de recevoir Valence. Le BO, c’est un gros sparring-partner pour s’étalonner.
Quel ressort utilise-t-on quand on récupère une équipe qui est dernière ?
Il faut ramer, parce qu’on est dans le dur. Plus que je ne le pensais. Il y a des manques techniques, stratégiques, plus pas mal de blessés. Après, on travaille dans la sérénité. Le président m’a donné toute sa confiance. On n’a pas d’excuse.
Le huis clos peut-il enlever la dimension d’un match à l’extérieur ?
On sait qu’au Pays basque, les supporters sont bons pour mettre la pression sur les arbitres. Ça peut être un facteur facilitant pour nous. On verra.
Comment vous êtes-vous retrouvé manager de Soyaux-Angoulême ?
Ce n’était pas prémédité. Didier Pitcho (le président) m’a appelé il y a deux mois pour donner un coup de main, avec l’accord d’Adrien Buononato. Il y avait des choses en interne que je ne maîtrisais pas, une fronde des joueurs contre les entraîneurs. C’était un peu une galère. J’avais été très bien accueilli par le staff, ce n’était pas prévu que je me retrouve manager. J’ai plein de défauts, mais je ne suis pas un intrigant. J’avais un confort de vie. Financièrement, je m’en sortais très bien. J’en ai discuté avec ma famille. Angoulême, c’est à 2 h 30/3 heures de Bayonne. J’avais prévu de continuer mes piges avec Canal où je me plaisais, de faire du consultanat rugby de temps en temps. Angoulême en était un. Et puis voilà, ça s’est fait comme ça. J’ai retrouvé du boulot, c’est compliqué dans ce milieu. Il y a 30 clubs professionnels, donc 30 postes de manager. Je suis un privilégié. J’avais repris Bayonne qui descendait, Bordeaux, 13e de Pro D2, là c’est Angoulême, au fond du classement. Je dois être marqué pour ce genre d’expérience (rires).
Vous êtes un pompier de service ?
Non, ce sont les circonstances. On m’aurait proposé d’entraîner les All Blacks, j’y serais allé aussi. C’est peut-être ma valeur d’entraîneur, je mérite de prendre les équipes de fond de classement. Je n’en sais rien, je ne me pose même pas la question. Ça s’est plutôt bien passé à Bordeaux, j’y ai fait six ans. Quatre ans à Bayonne, avec à chaque fois des montées en Top 14. Je ne dis pas qu’on va monter cette année avec Angoulême, mais j’espère m’y installer, sur du moyen voire du long terme, parce qu’il y a une ville et un club qui méritent d’être au moins dans le milieu de classement de Pro D2, et sur une belle année, peut-être, de jouer des phases finales.
Votre vision du poste de manager a-t-elle changé depuis votre première expérience (2015–2017) ?
On mûrit. J’ai eu des succès, j’ai pris des baffes dans la gueule aussi. J’ai été trahi par des gens. Là, je suis plutôt serein. J’ai travaillé avec Yannick Bru, qui m’a amené des choses, avec des managers avant, j’ai eu mon expérience de manager à l’Aviron. Je sais les erreurs que je ne ferai plus, dans la composition des staffs, l’approche avec les joueurs. Je reste proche d’eux, même si j’ai vieilli et qu’eux rajeunissent. Je reste le Vincent Etcheto que je suis (Il appuie). Parce qu’il est hors de question que je me renie.
Vous parlez de galère. Relever les défis, ça vous ressemble, non ?
Oui. Ça reste du rugby. La vie est triste en ce moment. J’ai une petite fille de deux ans, je pense beaucoup à son avenir. Je me dis : « Dans quel monde je l’ai mise ? » Ça, c’est important. Le rugby, bien sûr que c’est important, il y a des gens qui payent pour. On a une responsabilité, mais elle reste relative. Donc je ne suis pas inquiet.
Ne pas se renier, ça veut aussi dire s’en sortir par le jeu ?
Bien sûr. Actuellement, on doit reconstruire sur des bases solides, de conquête, de défense, d’agressivité. Je pensais qu’on les avait, mais on ne les a pas. Une fois que ça, ça sera très correct, on pourra s’amuser. Parce que j’ai envie de prendre du plaisir. Avec de la possession, de la variété, de la contre-attaque…
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49941
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Darly
https://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2020-2021/pro-d2-darly-domvo-biarritz-je-pensais-a-un-moment-arreter-le-rugby_sto8001009/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2020-2021/pro-d2-darly-domvo-biarritz-je-pensais-a-un-moment-arreter-le-rugby_sto8001009/story.shtml
Vince33- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 4515
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 02/12/2008
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49941
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Hier soir, je suis tombé hier soir sur YouTube sur la vidéo des dernières minutes du UBB-Stade Toulousain de la saison 2011/2012, c'est à dire celle de la montée, remportée 18-17 dans un Chaban à guichet fermé et une ambiance de dingue. Ceux qui étaient là doivent toujours frissonner en y repensant.
Et je me demandais ce qu'étais devenu les joueurs de cette rencontre (plus généralement, ceux de cette saison). J'ai donc fais quelques recherches et voici le résultat ;
1 - L. Delboulbès : à l'UBB jusqu'en 2015, puis à Oyonnax (2015-16) et Toulon (2016-18), avant de revenir à l'UBB (2018-...). C'est le seul encore au club aujourd'hui !
2 - O. Avei : à l'UBB jusqu'en 2018, puis au Racing (2018-19) et Soyaux-Angoulême (2019-...), où il est aujourd'hui.
3 - B. Roux : à l'UBB jusqu'en 2012, puis à Trévise (2012-13), Golden Lions (2013-14), Cheetahs (2014-15), Oyonnax (2015) et Montpellier (2015-16), où il termine sa carrière.
4 - D. Leo : à l'UBB jusqu'en 2012, puis à l'USAP (2012-14), London Irish (2014-15) et London Welsh (2015-16), où il termine sa carrière.
5 - A. Jaulhac : à l'UBB jusqu'en 2016, puis à Bayonne (2016-20), où il termine sa carrière.
6 - J. Purll : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à l'USAP (2013-14), où il termine sa carrière, puis entraîneur à Grasse (2014-15).
7 - H. Chalmers : à l'UBB jusqu'en 2018, puis à Vannes (2018-20), où il termine sa carrière, puis entraîneur à Biarritz (2020-...), où il est aujourd'hui.
8 - M. Clarkin : à l'UBB jusqu'en 2016, où il termine sa carrière, puis entraîneur et directeur sportif à Biarritz (2018-...), où il est aujourd'hui.
9 - H. Adams : à l'UBB jusqu'en 2016, où il termine sa carrière, puis entraîneur à l'UBB (2016-...), où il est aujourd'hui.
10 - C. Lopez : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à l'USAP (2013-14) et Clermont (2014-...), où il est aujourd'hui.
11 - B. Connor : à l'UBB jusqu'en 2020, où il termine sa carrière. Retiré du rugby.
12 - A. Mailei : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à Brive (2013-15), Grasse (2015-16) et Limoges (2016-18), où il termine sa carrière.
13 - J. Rey : à l'UBB jusqu'en 2018, puis à Carcassonne (2018-...), où il est aujourd'hui.
14 - V. Lilo : à l'UBB jusqu'en 2012, puis à Tarbes (2012-15), Montauban (2015-2019) et Castelsarrasin (2020-...), où il est aujourd'hui.
15 - B. Reihana : à l'UBB jusqu'en 2014, où il termine sa carrière, puis entraîneur à l'UBB (2015-17) et Bristol (2017-19).
---
16 - B. Bethery : à l'UBB jusqu'en 2012, puis Dax (2012-18), où il termine sa carrière.
17 - H. Forbes : à l'UBB jusqu'en 2013, puis La Rochelle (2013-2019) et Provence Rugby (2019-...), où il est aujourd'hui.
18 - F. Tisseau : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à Carcassonne (2013-17), où il termine sa carrière.
19 - C. Ternisien : à l'UBB jusqu'en 2012, puis à Dax (2012-18) et Hernani (2018-19), où il termine sa carrière.
20 - J. Seron : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à Carcassonne (2013-15), Castres (2015-2017) et Carcassonne (2017-18), où il termine sa carrière.
21 - G. Frazer : à l'UBB jusqu'en 2012, puis Béziers (2012-13), où il termine sa carrière, puis entraîneur à Grasse (2014-15), Provence Rugby (2015-18) et Vannes (2018-...), où il est aujourd'hui.
22 - R. Carballo : à l'UBB jusqu'en 2014, puis à Alumni (2014), où il termine sa carrière. Retiré du rugby.
23 - P. Toetu : à l'UBB jusqu'en 2016, puis à Brive (2016-17) et Albi (2017-...), où il est aujourd'hui.
Ca fait quelque chose de lire certains de ces noms et ce qu'ils sont devenus !
J'en rajouterai 4 qui n'étaient pas de ce match mais étaient de cette époque :
- S. Florea : à l'UBB jusqu'en 2014, où il termine sa carrière. Retiré du rugby.
- C. Treloar : à l'UBB jusqu'en 2014, puis à Warringah (2014), Country Eagles (2014-15), Sydney Rays (2015-16) et Warringah (2016-17), où il termine sa carrière. Retiré de rugby.
- F. Le Bourhis : à l'UBB jusqu'en 2016, puis à Bayonne (2016-17), Brive (2017-19) et Carcassonne (2019-...), où il est aujourd'hui.
- M. Talebula : à l'UBB jusqu'en 2018, puis à Bayonne (2018-19), avant de disparaître des radars.
Voilà, petit moment nostalgie
Et je me demandais ce qu'étais devenu les joueurs de cette rencontre (plus généralement, ceux de cette saison). J'ai donc fais quelques recherches et voici le résultat ;
1 - L. Delboulbès : à l'UBB jusqu'en 2015, puis à Oyonnax (2015-16) et Toulon (2016-18), avant de revenir à l'UBB (2018-...). C'est le seul encore au club aujourd'hui !
2 - O. Avei : à l'UBB jusqu'en 2018, puis au Racing (2018-19) et Soyaux-Angoulême (2019-...), où il est aujourd'hui.
3 - B. Roux : à l'UBB jusqu'en 2012, puis à Trévise (2012-13), Golden Lions (2013-14), Cheetahs (2014-15), Oyonnax (2015) et Montpellier (2015-16), où il termine sa carrière.
4 - D. Leo : à l'UBB jusqu'en 2012, puis à l'USAP (2012-14), London Irish (2014-15) et London Welsh (2015-16), où il termine sa carrière.
5 - A. Jaulhac : à l'UBB jusqu'en 2016, puis à Bayonne (2016-20), où il termine sa carrière.
6 - J. Purll : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à l'USAP (2013-14), où il termine sa carrière, puis entraîneur à Grasse (2014-15).
7 - H. Chalmers : à l'UBB jusqu'en 2018, puis à Vannes (2018-20), où il termine sa carrière, puis entraîneur à Biarritz (2020-...), où il est aujourd'hui.
8 - M. Clarkin : à l'UBB jusqu'en 2016, où il termine sa carrière, puis entraîneur et directeur sportif à Biarritz (2018-...), où il est aujourd'hui.
9 - H. Adams : à l'UBB jusqu'en 2016, où il termine sa carrière, puis entraîneur à l'UBB (2016-...), où il est aujourd'hui.
10 - C. Lopez : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à l'USAP (2013-14) et Clermont (2014-...), où il est aujourd'hui.
11 - B. Connor : à l'UBB jusqu'en 2020, où il termine sa carrière. Retiré du rugby.
12 - A. Mailei : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à Brive (2013-15), Grasse (2015-16) et Limoges (2016-18), où il termine sa carrière.
13 - J. Rey : à l'UBB jusqu'en 2018, puis à Carcassonne (2018-...), où il est aujourd'hui.
14 - V. Lilo : à l'UBB jusqu'en 2012, puis à Tarbes (2012-15), Montauban (2015-2019) et Castelsarrasin (2020-...), où il est aujourd'hui.
15 - B. Reihana : à l'UBB jusqu'en 2014, où il termine sa carrière, puis entraîneur à l'UBB (2015-17) et Bristol (2017-19).
---
16 - B. Bethery : à l'UBB jusqu'en 2012, puis Dax (2012-18), où il termine sa carrière.
17 - H. Forbes : à l'UBB jusqu'en 2013, puis La Rochelle (2013-2019) et Provence Rugby (2019-...), où il est aujourd'hui.
18 - F. Tisseau : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à Carcassonne (2013-17), où il termine sa carrière.
19 - C. Ternisien : à l'UBB jusqu'en 2012, puis à Dax (2012-18) et Hernani (2018-19), où il termine sa carrière.
20 - J. Seron : à l'UBB jusqu'en 2013, puis à Carcassonne (2013-15), Castres (2015-2017) et Carcassonne (2017-18), où il termine sa carrière.
21 - G. Frazer : à l'UBB jusqu'en 2012, puis Béziers (2012-13), où il termine sa carrière, puis entraîneur à Grasse (2014-15), Provence Rugby (2015-18) et Vannes (2018-...), où il est aujourd'hui.
22 - R. Carballo : à l'UBB jusqu'en 2014, puis à Alumni (2014), où il termine sa carrière. Retiré du rugby.
23 - P. Toetu : à l'UBB jusqu'en 2016, puis à Brive (2016-17) et Albi (2017-...), où il est aujourd'hui.
Ca fait quelque chose de lire certains de ces noms et ce qu'ils sont devenus !
J'en rajouterai 4 qui n'étaient pas de ce match mais étaient de cette époque :
- S. Florea : à l'UBB jusqu'en 2014, où il termine sa carrière. Retiré du rugby.
- C. Treloar : à l'UBB jusqu'en 2014, puis à Warringah (2014), Country Eagles (2014-15), Sydney Rays (2015-16) et Warringah (2016-17), où il termine sa carrière. Retiré de rugby.
- F. Le Bourhis : à l'UBB jusqu'en 2016, puis à Bayonne (2016-17), Brive (2017-19) et Carcassonne (2019-...), où il est aujourd'hui.
- M. Talebula : à l'UBB jusqu'en 2018, puis à Bayonne (2018-19), avant de disparaître des radars.
Voilà, petit moment nostalgie
_________________
Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11375
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Voui !!! Le match de l'étalonnage, Juju notre rasta blanc, Jaulhac "twingo man", un supporter Toulousain carrément haineux à la fin du match, et tant d'autres choses...
Belle soirée.
De plus, Treloar... :
À noter que, contrairement à ce qui est annoncé, le poste de Hugh Chalmers à Biarritz est "Christ".
À leur santé à tous !
Belle soirée.
De plus, Treloar... :
À noter que, contrairement à ce qui est annoncé, le poste de Hugh Chalmers à Biarritz est "Christ".
À leur santé à tous !
_________________
Ça daille, enfigaye !
hurluberlu- Team modo
- Nombre de messages : 2495
Localisation : "Spectateur, supporter, abandonne aux orages Ceux qui n’ont pas connu l’amertume des mers. Sache borner ton rêve à suivre du rivage L’éphémère sillon que trace Hugh Chalmers."
Date d'inscription : 26/08/2012
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Pour Talebula je rappel qu'il a atterrit au SA XV ! Même si pour l'instant il n'est apparemment pas prêt pour jouer. Ce joueur s'est perdu, c'est dommage qu'un mec comme C. Urios ne l'ait pas pris en charge, il serait encore l'un des meilleurs joueur du top 14 à l'heure actuelle...
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 5883
Localisation : Angoulême
Date d'inscription : 21/11/2018
Humeur : Merde
Age : 33
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/sports/asm-clermont-peni-ravai-ou-la-force-vive-des-fidji_13893253/
ASM Clermont : Peni Ravai ou la force vive des Fidji
Peni Ravai est arrivé à Clermont en provenance de Bordeaux cet été avec Adrien Pelissié avec qui il avait déjà joué à Aurillac en 2016 sous la houlette de Jeremy Davidson. L’actuel coach de Brive qui l’a emmené avec lui à l’UBB avait été impressionné par la puissance du pilier fidjien.
«C’est le joueur le plus puissant que j’ai vu dans ma vie. J’en ai vu !» Jeremy Davidson, l’actuel coach de Brive, est encore sous le charme de Peni Ravai. L’ancien patron du Stade Aurillacois l’avait fait venir dans le Cantal en Pro D2, en octobre 2016.
« J’avais lié des liens avec lui via Facebook. Je suivais sa carrière notamment à Southland en Nouvelle-Zélande où ses performances commençaient à être remarquées. Mais le fait d’avoir été déjà en contacts avancés nous avait permis de le faire venir alors que Perpignan lorgnait sur lui », se souvient Jeremy Davidson.
Peni c’est un homme adorable, très respectueux. Il aime la vie. Mais sur un terrain, on s’est vite rendu compte que c’était un extraterrestre.
Le pilier gauche (30 ans) qui a débarqué en juillet dernier à l’ASM en provenance de Bordeaux où il avait suivi Davidson en 2017 sait ce qu’il doit au coach nord-irlandais. « Je lui serai toujours reconnaissant de m’avoir fait venir en France et d’avoir cru en moi », souligne le joueur qui s’est intégré très vite en Europe. Peni Ravai n'oublie pas ce qu'il doit à Jeremy Davidson, le coach qui l'a fait venir en France. Photo Thierry Lindauer
« Il était venu avec son épouse australienne. Cela lui avait permis de s’intégrer très vite. Peni c’est un homme adorable, très respectueux. Il aime la vie. Mais sur un terrain, on s’est vite rendu compte que c’était un extraterrestre. »
Un passé avec les Fidji à 7 qui lui est bien utile
Les premières semaines en Europe, à Aurillac, n’ont pourtant pas été toujours faciles pour le Fidjien. « Un matin, la neige était tombée en abondance. Je ne savais pas comment faire. Alors je suis allé pelleter en sandales. Mes voisins ont bien rigolé en me voyant faire », se rappelle Peni Ravai.
Sur les terrains, en face, ses adversaires rigolent moins. En mêlée, Peni Ravai tient la mer, même par gros temps. Le Fidjien, qui avait débuté à Nadroga, son premier club, au centre et ailier avant de glisser pilier, est aussi véloce qu’adroit. Beaucoup se souviennent de l’essai pour l’UBB contre Toulouse au terme d’un sprint de 40 mètres. « C’est le seul pilier à avoir été retenu dans l’équipe des Fidji à 7, souligne Jeremy Davidson. Cela situe ses qualités physiques. »
Peni Ravai reconnaît que ce passé à 7 lui est maintenant bien utile dans le style de jeu prôné par Franck Azéma à l’ASM. « Cela m’aide dans les prises d’espaces, dans les courses. J’utilise mon adresse avec les mains pour passer le ballon après contact. »
Confiné quinze jours à l'hôtel, avec la sélection des Fidji
Le coach clermontois confirme. « Peni est solide en mêlée. Mais il est dynamique dans le jeu, très bon dans l’impact. Il est capable aussi de traverser. Il porte aussi très bien le ballon et il est disponible », souligne le patron de l’ASM.
Retenu par Vern Cotter avec les Fidji pour la Coupe d’Automne, Peni Ravai a été absent six longues semaines. « En raison du Covid, nous sommes restés confinés quinze jours dans nos chambres d’hôtel », raconte l’intéressé qui a mal vécu cette période. « Heureusement, la victoire contre la Géorgie est venue conclure de manière positive cette période compliquée ».
De retour samedi dernier contre Bristol, il va maintenant pouvoir se consacrer exclusivement à l’ASM. « Nous sommes encore en train de découvrir Peni, souligne Franck Azéma. Jusqu’à présent, il a répondu à ce que l’on attendait de lui. On espère maintenant l’avoir jusqu’à la fin de la saison. Cela va nous permettre de travailler en continu avec lui », conclut le directeur sportif clermontois.
Didier Cros
ASM Clermont : Peni Ravai ou la force vive des Fidji
Peni Ravai est arrivé à Clermont en provenance de Bordeaux cet été avec Adrien Pelissié avec qui il avait déjà joué à Aurillac en 2016 sous la houlette de Jeremy Davidson. L’actuel coach de Brive qui l’a emmené avec lui à l’UBB avait été impressionné par la puissance du pilier fidjien.
«C’est le joueur le plus puissant que j’ai vu dans ma vie. J’en ai vu !» Jeremy Davidson, l’actuel coach de Brive, est encore sous le charme de Peni Ravai. L’ancien patron du Stade Aurillacois l’avait fait venir dans le Cantal en Pro D2, en octobre 2016.
« J’avais lié des liens avec lui via Facebook. Je suivais sa carrière notamment à Southland en Nouvelle-Zélande où ses performances commençaient à être remarquées. Mais le fait d’avoir été déjà en contacts avancés nous avait permis de le faire venir alors que Perpignan lorgnait sur lui », se souvient Jeremy Davidson.
Peni c’est un homme adorable, très respectueux. Il aime la vie. Mais sur un terrain, on s’est vite rendu compte que c’était un extraterrestre.
Le pilier gauche (30 ans) qui a débarqué en juillet dernier à l’ASM en provenance de Bordeaux où il avait suivi Davidson en 2017 sait ce qu’il doit au coach nord-irlandais. « Je lui serai toujours reconnaissant de m’avoir fait venir en France et d’avoir cru en moi », souligne le joueur qui s’est intégré très vite en Europe. Peni Ravai n'oublie pas ce qu'il doit à Jeremy Davidson, le coach qui l'a fait venir en France. Photo Thierry Lindauer
« Il était venu avec son épouse australienne. Cela lui avait permis de s’intégrer très vite. Peni c’est un homme adorable, très respectueux. Il aime la vie. Mais sur un terrain, on s’est vite rendu compte que c’était un extraterrestre. »
Un passé avec les Fidji à 7 qui lui est bien utile
Les premières semaines en Europe, à Aurillac, n’ont pourtant pas été toujours faciles pour le Fidjien. « Un matin, la neige était tombée en abondance. Je ne savais pas comment faire. Alors je suis allé pelleter en sandales. Mes voisins ont bien rigolé en me voyant faire », se rappelle Peni Ravai.
Sur les terrains, en face, ses adversaires rigolent moins. En mêlée, Peni Ravai tient la mer, même par gros temps. Le Fidjien, qui avait débuté à Nadroga, son premier club, au centre et ailier avant de glisser pilier, est aussi véloce qu’adroit. Beaucoup se souviennent de l’essai pour l’UBB contre Toulouse au terme d’un sprint de 40 mètres. « C’est le seul pilier à avoir été retenu dans l’équipe des Fidji à 7, souligne Jeremy Davidson. Cela situe ses qualités physiques. »
Peni Ravai reconnaît que ce passé à 7 lui est maintenant bien utile dans le style de jeu prôné par Franck Azéma à l’ASM. « Cela m’aide dans les prises d’espaces, dans les courses. J’utilise mon adresse avec les mains pour passer le ballon après contact. »
Confiné quinze jours à l'hôtel, avec la sélection des Fidji
Le coach clermontois confirme. « Peni est solide en mêlée. Mais il est dynamique dans le jeu, très bon dans l’impact. Il est capable aussi de traverser. Il porte aussi très bien le ballon et il est disponible », souligne le patron de l’ASM.
Retenu par Vern Cotter avec les Fidji pour la Coupe d’Automne, Peni Ravai a été absent six longues semaines. « En raison du Covid, nous sommes restés confinés quinze jours dans nos chambres d’hôtel », raconte l’intéressé qui a mal vécu cette période. « Heureusement, la victoire contre la Géorgie est venue conclure de manière positive cette période compliquée ».
De retour samedi dernier contre Bristol, il va maintenant pouvoir se consacrer exclusivement à l’ASM. « Nous sommes encore en train de découvrir Peni, souligne Franck Azéma. Jusqu’à présent, il a répondu à ce que l’on attendait de lui. On espère maintenant l’avoir jusqu’à la fin de la saison. Cela va nous permettre de travailler en continu avec lui », conclut le directeur sportif clermontois.
Didier Cros
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49941
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
avei est toujours à angoulème, il a meme été dans l'équipe type d'il y a 15jrs ou 3 semaines
dan léo s'occupe de défendre les joueurs du pacifique
adam jaulhac fait parti des chomeurs du rugby pro
juju rey est toujours à carcassonne mais blessé aux dernières nouvelles
lilo lui avait signé si je me rappelle bien en fed 2 à negrepelisse
julien seron est entraineur des arrières à carcassonne
le bourhis reprend ce we à l'aile de carcassonne. A ce propos, notre pret dulon sera au centre de carca
met talebula s'entraine à l'heure actuelle a angoulème aprés avoir passé plus d'un an à capbreton et son essai avorté à agen. Il semble bien s'acclimaté là-bas, il porte les couleurs du club et pour moi nul doute qu'il aura sa chance
dan léo s'occupe de défendre les joueurs du pacifique
adam jaulhac fait parti des chomeurs du rugby pro
juju rey est toujours à carcassonne mais blessé aux dernières nouvelles
lilo lui avait signé si je me rappelle bien en fed 2 à negrepelisse
julien seron est entraineur des arrières à carcassonne
le bourhis reprend ce we à l'aile de carcassonne. A ce propos, notre pret dulon sera au centre de carca
met talebula s'entraine à l'heure actuelle a angoulème aprés avoir passé plus d'un an à capbreton et son essai avorté à agen. Il semble bien s'acclimaté là-bas, il porte les couleurs du club et pour moi nul doute qu'il aura sa chance
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6396
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Vu que notre ancien Espoir Minguillon international espagnol avec Gibouin, avait resigné pour 2 ans à Aurillac où il joue 15.
léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9910
Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.ladepeche.fr/2020/12/24/stade-louis-benoit-madaule-lintelligence-dans-lombre-9276037.php
Toulouse. Stade Toulousain : Louis-Benoît Madaule, l’intelligence dans l’ombre
Le troisième ligne est un homme de l’ombre dans l’effectif toulousain. Mais sa science du jeu est souvent mise en lumière lors d’actions décisives.
Le temps d’un jour d’été sans Covid, le bouclier de Brennus a fait sa réapparition au stade Cassayet de Narbonne. 41 années après la finale gagnée contre Bagnères-de-Bigorre. Grâce à un seul homme : Louis-Benoît Madaule, formé au Racing qui a tenu à ramener symboliquement le bout de bois, gagné en 2019, là où tout a commencé en compagnie de ses anciens éducateurs et entraîneurs. Peut-être promènera-t-il au printemps prochain, cette fois, la Coupe d’Europe ? Face à l’Ulster, en tout cas, il a déjà permis à son équipe de prendre une première option en volant un ballon en touche et en grattant un autre dans le "money time" du match comme disent les basketteurs. Une action individuelle défensive qui vaut autant de points qu’un exploit personnel permettant de marquer un essai. Mais ce n’est pas ainsi que notre homme, forgé au fer de l’humilité, l’analyse. Lui qui se définit comme "un joueur au service du collectif. C’est une notion très importante. Face à l’Ulster, on avait préparé ce match avec Jean Bouilhou et les différents capitaines de touche de l’équipe. Ce qui est le plus important, c’est d’être convaincu du choix du leader de touche sur des situations assez tendues."
Un important travail d’analyse
Ce soir-là, à Belfast, Ugo Mola avait tenu à souligner son intelligence dans le jeu : "Il possède cette science de savoir quand il faut faire l’effort et quand il faut monter un bloc. Il reste d’une intelligence rare et aujourd’hui, il est capital dans les moments clés. C’est à l’image de sa carrière, ce garçon n’avait pas les plus gros moyens du monde mais il a optimisé ce qu’il était."
En championnat, c’est à Pau que lui et Alban Placines se sont illustrés en fin de match pour voler deux ballons en touche décisifs aux Palois. Toujours en fin de match et toujours grâce au "travail d’analyse. L’équipe adverse qui commence à baisser un peu son niveau de jeu veut se rassurer sur un lancement de jeu qu’on peut alors identifier. J’essaie d’avoir une analyse globale quand j’attaque le match. J’essaie d’observer les différentes phases de jeu avec ma vision."
Vers un rôle d’entraîneur ?
Souvenons-nous également de cette interception face au Leinster qui mena à l’essai de la gagne à Ernest-Wallon, il y a deux saisons. Là aussi, il n’y avait pas de hasard. Mais beaucoup "de travail d’analyse qui permet d’être au bon endroit au bon moment. Je m’y intéresse de manière à maîtriser la base de l’équipe adverse. De façon à être vif sur la réaction et prêt sur la tactique."
Cette Coupe d’Europe, c’est ce qui l’a guidé au moment de quitter Bordeaux et de rejoindre le Stade en 2017 : "J’étais excité par le fait de jouer des matchs de Coupe d’Europe. Je prends énormément de plaisir à préparer ce genre de match de haut niveau. Toutes les actions sont à haute intensité."
Mais pas seulement, si le troisième ligne a saisi l’opportunité de venir jouer à Toulouse, c’est que depuis l’école de rugby, il voue une certaine admiration pour la capitale du jeu. Sa capacité à jouer debout est également une des clés de son intégration au même titre que sa science du jeu et son mental. Ce dernier a en effet surmonté une grave blessure (fracture du tibia péroné) en avril 2019. Il en a bien évidemment profité pour réfléchir sur le jeu et s’ouvrir sur d’autres sports. Comme la boxe. À Blagnac, en compagnie de Mohamed Bennama : "J’ai travaillé ma reprise tibia et mon travail d’appui. Je suis curieux, j’essaie d’aller gratter des idées dans d’autres sports." Dès lors, cette ouverture d’esprit alliée à sa science du jeu devrait lui ouvrir d’autres portes dès la fin de sa carrière. Celles de l’entraînement. Il commence d’ailleurs à se faire la main avec les Espoirs. A suivre.
Philippe Lauga
Toulouse. Stade Toulousain : Louis-Benoît Madaule, l’intelligence dans l’ombre
Le troisième ligne est un homme de l’ombre dans l’effectif toulousain. Mais sa science du jeu est souvent mise en lumière lors d’actions décisives.
Le temps d’un jour d’été sans Covid, le bouclier de Brennus a fait sa réapparition au stade Cassayet de Narbonne. 41 années après la finale gagnée contre Bagnères-de-Bigorre. Grâce à un seul homme : Louis-Benoît Madaule, formé au Racing qui a tenu à ramener symboliquement le bout de bois, gagné en 2019, là où tout a commencé en compagnie de ses anciens éducateurs et entraîneurs. Peut-être promènera-t-il au printemps prochain, cette fois, la Coupe d’Europe ? Face à l’Ulster, en tout cas, il a déjà permis à son équipe de prendre une première option en volant un ballon en touche et en grattant un autre dans le "money time" du match comme disent les basketteurs. Une action individuelle défensive qui vaut autant de points qu’un exploit personnel permettant de marquer un essai. Mais ce n’est pas ainsi que notre homme, forgé au fer de l’humilité, l’analyse. Lui qui se définit comme "un joueur au service du collectif. C’est une notion très importante. Face à l’Ulster, on avait préparé ce match avec Jean Bouilhou et les différents capitaines de touche de l’équipe. Ce qui est le plus important, c’est d’être convaincu du choix du leader de touche sur des situations assez tendues."
Un important travail d’analyse
Ce soir-là, à Belfast, Ugo Mola avait tenu à souligner son intelligence dans le jeu : "Il possède cette science de savoir quand il faut faire l’effort et quand il faut monter un bloc. Il reste d’une intelligence rare et aujourd’hui, il est capital dans les moments clés. C’est à l’image de sa carrière, ce garçon n’avait pas les plus gros moyens du monde mais il a optimisé ce qu’il était."
En championnat, c’est à Pau que lui et Alban Placines se sont illustrés en fin de match pour voler deux ballons en touche décisifs aux Palois. Toujours en fin de match et toujours grâce au "travail d’analyse. L’équipe adverse qui commence à baisser un peu son niveau de jeu veut se rassurer sur un lancement de jeu qu’on peut alors identifier. J’essaie d’avoir une analyse globale quand j’attaque le match. J’essaie d’observer les différentes phases de jeu avec ma vision."
Vers un rôle d’entraîneur ?
Souvenons-nous également de cette interception face au Leinster qui mena à l’essai de la gagne à Ernest-Wallon, il y a deux saisons. Là aussi, il n’y avait pas de hasard. Mais beaucoup "de travail d’analyse qui permet d’être au bon endroit au bon moment. Je m’y intéresse de manière à maîtriser la base de l’équipe adverse. De façon à être vif sur la réaction et prêt sur la tactique."
Cette Coupe d’Europe, c’est ce qui l’a guidé au moment de quitter Bordeaux et de rejoindre le Stade en 2017 : "J’étais excité par le fait de jouer des matchs de Coupe d’Europe. Je prends énormément de plaisir à préparer ce genre de match de haut niveau. Toutes les actions sont à haute intensité."
Mais pas seulement, si le troisième ligne a saisi l’opportunité de venir jouer à Toulouse, c’est que depuis l’école de rugby, il voue une certaine admiration pour la capitale du jeu. Sa capacité à jouer debout est également une des clés de son intégration au même titre que sa science du jeu et son mental. Ce dernier a en effet surmonté une grave blessure (fracture du tibia péroné) en avril 2019. Il en a bien évidemment profité pour réfléchir sur le jeu et s’ouvrir sur d’autres sports. Comme la boxe. À Blagnac, en compagnie de Mohamed Bennama : "J’ai travaillé ma reprise tibia et mon travail d’appui. Je suis curieux, j’essaie d’aller gratter des idées dans d’autres sports." Dès lors, cette ouverture d’esprit alliée à sa science du jeu devrait lui ouvrir d’autres portes dès la fin de sa carrière. Celles de l’entraînement. Il commence d’ailleurs à se faire la main avec les Espoirs. A suivre.
Philippe Lauga
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49941
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
loustau vient de prolonger son contrat à l'aviron pour 4 ans
https://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/fil-info/bayonne-prolonge-le-contrat-de-son-preparateur-physique-de-4-ans-1027405
https://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/fil-info/bayonne-prolonge-le-contrat-de-son-preparateur-physique-de-4-ans-1027405
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6396
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
ph broncan nommé entraineur principal à castres, reggiardo reste manager
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Pierre-henry-broncan-nomme-entraineur-principal-de-castres-mauricio-reggiardo-reste-manager/1210245#xtor=RSS-1
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Pierre-henry-broncan-nomme-entraineur-principal-de-castres-mauricio-reggiardo-reste-manager/1210245#xtor=RSS-1
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6396
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
galarza vient de prolonger avec l'aviron jusqu'en 2022
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6396
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
baraque prolonge son contrat jusqu'en juin : https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Jean-pascal-barraque-a-clermont-jusqu-a-la-fin-de-saison/1210786
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/sports/barraque-asm-entre-le-vii-et-le-xv-son-cur-balance_13898116/
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/sports/barraque-asm-entre-le-vii-et-le-xv-son-cur-balance_13898116/
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6396
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.petitbleu.fr/2021/01/03/rugby-sua-david-ortiz-en-charge-des-avants-dans-le-staff-de-regis-sonnes-9290334.php
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/agen-ortiz-en-approche-dans-le-staff-de-sonnes-2026572.html
Bonne chance à David Ortiz !
Il me tarde de voir ce que cela va donner !
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/agen-ortiz-en-approche-dans-le-staff-de-sonnes-2026572.html
Bonne chance à David Ortiz !
Il me tarde de voir ce que cela va donner !
le radis- Team modo
- Nombre de messages : 13237
Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Page 14 sur 40 • 1 ... 8 ... 13, 14, 15 ... 27 ... 40
Sujets similaires
» Que deviennent nos anciens joueurs ?
» Entrée des joueurs
» Entraînements joueurs au CEVA Campus
» Nouvelles des Joueurs
» Quel âge ont nos joueurs ?
» Entrée des joueurs
» Entraînements joueurs au CEVA Campus
» Nouvelles des Joueurs
» Quel âge ont nos joueurs ?
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté tribune ... des sélectionneurs :: Anciens Joueurs
Page 14 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum