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Super Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Ce-qu-il-faut-savoir-avant-les-play-offs-du-super-rugby/1031872
Ce qu'il faut savoir avant les play-offs du Super Rugby
Les quarts de finale du Super Rugby débutent vendredi avec un choc 100 % néo-zélandais entre les Crusaders et les Highlanders. Avec quatre franchises, la Nouvelle-Zélande a encore les faveurs des pronostics. À moins que les Jaguares...
Les Crusaders en favoris
Doubles tenants du titre, les Crusaders ont terminé avec le meilleur bilan de la saison régulière (11 victoires, 3 nuls, 2 défaites). Ils ouvriront les quarts de finale vendredi à domicile (9h35, heure française) face à une autre franchise néo-zélandaise, les Highlanders. On ne veut pas décourager ces derniers, mais les Crusaders n'ont jamais perdu un match de play-off à domicile et ils sont même invaincus au Rugby League Park depuis juillet 2016.
L'entraîneur Scott Robertson enregistre en plus les retours de blessure des internationaux Owen Franks et Codie Taylor en première ligne. Ajoutez-y les Whitelock, Read, Mo'unga, Crotty et Goodhue et vous avez la tête d'un favori pour un troisième sacre consécutif.
Les Jaguares pour un exploit ?
Quatrième saison en Super Rugby, deuxième présence consécutive en phase finale... La franchise argentine des Jaguares fait désormais figure de valeur sûre. À tel point que l'on se prend à rêver au pays d'un titre qui serait historique. Éliminés en quarts de finale l'an dernier par les Lions (40-23), les hommes de Gonzalo Quesada ont l'avantage de recevoir cette année, bien aidés par une très bonne saison régulière (troisième bilan avec 11 victoires et 5 défaites).
Dans la nuit de vendredi à samedi (0h05 en France), les Jaguares affronteront les Waikato Chiefs (NZL), qui s'étaient imposés en Argentine dans la saison (30-27 le 30 mars dernier). Méfiance donc du côté des Jaguares. En cas de succès, ils recevraient également en demi-finale, les Brumbies (AUS) ou les Sharks (AFS).
L'Australie, la peur du vide
Le week-end dernier, trois franchises australiennes pouvaient encore espérer se qualifier en phase finale. Les Rebels ? Balayés à domicile par les Chiefs (59-8 ), ils ont finalement terminé onzièmes. Les Waratahs ? Giflés par les Highlanders (49-12), ils ont fini plus loin, à la douzième place. On passera sur les Reds, piteux avant-derniers, devant les Japonais des Sunwolves. Ce sont donc encore les Brumbies qui défendent l'honneur australien.
Cela fait quatre saisons consécutives qu'il n'y a qu'une équipe australienne en quarts de finale, ce qui en dit long sur l'état du rugby australien. L'espoir repose cette année sur l'équipe de Canberra qui aura l'avantage de recevoir les Sharks pour espérer rejoindre les demi-finales. Sinon, soupe à la grimace garantie au pays des Wallabies.
Et les Sud-Africains ?
L'Afrique du Sud aura deux représentants en quarts de finale, qui devront tous deux effectuer de longs voyages. Les Bulls, qui étaient rentrés début juin d'une tournée de quatre semaines en Australie (pour affronter les Brumbies le 17 mai puis les Rebels le 24) et en Nouvelle-Zélande (Blues le 31 mai, Highlanders le 7 juin) ont « gagné » un nouveau vol au bout du monde pour aller défier samedi (9h35, heure française) les Hurricanes, qui ont signé le deuxième bilan de la saison. Pas un cadeau.
Quant aux Sharks, qui ont plus perdu (8 défaites) que gagné (7 victoires) cette saison, ils se sont qualifiés grâce à un essai dans le temps additionnel sur le terrain des Stormers samedi dernier. Miraculés, ils sont attendus en Australie chez les Brumbies samedi (12h05 en France). Finalistes l'an dernier, les Lions ne sont pas en phase finale. Autant dire que les franchises sud-africaines n'ont pas brillé jusque-là.
Ce qu'il faut savoir avant les play-offs du Super Rugby
Les quarts de finale du Super Rugby débutent vendredi avec un choc 100 % néo-zélandais entre les Crusaders et les Highlanders. Avec quatre franchises, la Nouvelle-Zélande a encore les faveurs des pronostics. À moins que les Jaguares...
Les Crusaders en favoris
Doubles tenants du titre, les Crusaders ont terminé avec le meilleur bilan de la saison régulière (11 victoires, 3 nuls, 2 défaites). Ils ouvriront les quarts de finale vendredi à domicile (9h35, heure française) face à une autre franchise néo-zélandaise, les Highlanders. On ne veut pas décourager ces derniers, mais les Crusaders n'ont jamais perdu un match de play-off à domicile et ils sont même invaincus au Rugby League Park depuis juillet 2016.
L'entraîneur Scott Robertson enregistre en plus les retours de blessure des internationaux Owen Franks et Codie Taylor en première ligne. Ajoutez-y les Whitelock, Read, Mo'unga, Crotty et Goodhue et vous avez la tête d'un favori pour un troisième sacre consécutif.
Les Jaguares pour un exploit ?
Quatrième saison en Super Rugby, deuxième présence consécutive en phase finale... La franchise argentine des Jaguares fait désormais figure de valeur sûre. À tel point que l'on se prend à rêver au pays d'un titre qui serait historique. Éliminés en quarts de finale l'an dernier par les Lions (40-23), les hommes de Gonzalo Quesada ont l'avantage de recevoir cette année, bien aidés par une très bonne saison régulière (troisième bilan avec 11 victoires et 5 défaites).
Dans la nuit de vendredi à samedi (0h05 en France), les Jaguares affronteront les Waikato Chiefs (NZL), qui s'étaient imposés en Argentine dans la saison (30-27 le 30 mars dernier). Méfiance donc du côté des Jaguares. En cas de succès, ils recevraient également en demi-finale, les Brumbies (AUS) ou les Sharks (AFS).
L'Australie, la peur du vide
Le week-end dernier, trois franchises australiennes pouvaient encore espérer se qualifier en phase finale. Les Rebels ? Balayés à domicile par les Chiefs (59-8 ), ils ont finalement terminé onzièmes. Les Waratahs ? Giflés par les Highlanders (49-12), ils ont fini plus loin, à la douzième place. On passera sur les Reds, piteux avant-derniers, devant les Japonais des Sunwolves. Ce sont donc encore les Brumbies qui défendent l'honneur australien.
Cela fait quatre saisons consécutives qu'il n'y a qu'une équipe australienne en quarts de finale, ce qui en dit long sur l'état du rugby australien. L'espoir repose cette année sur l'équipe de Canberra qui aura l'avantage de recevoir les Sharks pour espérer rejoindre les demi-finales. Sinon, soupe à la grimace garantie au pays des Wallabies.
Et les Sud-Africains ?
L'Afrique du Sud aura deux représentants en quarts de finale, qui devront tous deux effectuer de longs voyages. Les Bulls, qui étaient rentrés début juin d'une tournée de quatre semaines en Australie (pour affronter les Brumbies le 17 mai puis les Rebels le 24) et en Nouvelle-Zélande (Blues le 31 mai, Highlanders le 7 juin) ont « gagné » un nouveau vol au bout du monde pour aller défier samedi (9h35, heure française) les Hurricanes, qui ont signé le deuxième bilan de la saison. Pas un cadeau.
Quant aux Sharks, qui ont plus perdu (8 défaites) que gagné (7 victoires) cette saison, ils se sont qualifiés grâce à un essai dans le temps additionnel sur le terrain des Stormers samedi dernier. Miraculés, ils sont attendus en Australie chez les Brumbies samedi (12h05 en France). Finalistes l'an dernier, les Lions ne sont pas en phase finale. Autant dire que les franchises sud-africaines n'ont pas brillé jusque-là.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Super Rugby
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Re: Super Rugby
https://www.midi-olympique.fr/2019/06/17/des-quarts-explosifs,8261458.php
Des quarts explosifs !
Au terme d’une dernière journée riche en surprises, les quarts de finale du Super Rugby sont désormais connus, avec notamment un choc entre les Crusaders et les Highlanders.
Cette dix-huitième journée avait démarré sur les chapeaux de roue, avec un premier coup de tonnerre dans le ciel du rugby australien et la large victoire des Chiefs de Hamilton sur des Melbourne Rebels qui avaient encore toutes leurs chances de se qualifier avant le match. Le match fut finalement à sens unique, à l’image du score final: 8-59. Une correction majuscule, autant marquée par les bourdes de Quade Cooper que par les performances des hommes de Colin Cooper qui décrochent ainsi une qualification après und début saison cauchemardesque suivi par une incroyable remontée. à noter le triplé du jeune ailier Shaun Stevenson, et la bonne prestation du flanker Sam Cane qui confirme son retour au premier plan à moins de 100 jours du Mondial. Grâce à cette victoire, les Chiefs s’offrent un billet pour les quarts. Destination: l’Argentine, où ils affronteront l’épouvantail de la compétition, les Jaguares qui ont dominé sans mal les Sunwolves.
L’autre rencontre spectaculaire fut le derby néo-zélandais opposant les Hurricanes de Wellington aux Blues d’Auckland. Bien que cette rencontre n’avait aucun enjeu sportif (les Hurricanes étaient déjà qualifiés tandis que les Blues n’avaient plus d’espoir), elle fut sublime. Alignant un XV de départ très jeune pour faire souffler leurs cadres, les Canes furent rapidement débordés par leurs adversaires, qui menaient 24-5 à la mi-temps grâce à trois essais marqués par le centre Tanielu Tele’a, l’ailier Caleb Clarke et l’arrière Melani Nanai. La jeune garde de Wellington ne baissa pour autant pas les bras. Et signa l’une des retours les plus spectaculaires de la compétition pour asséner un terrible 24-0 aux Blues en seconde période pour l’emporter. A l’issue du match, le talonneur Dane Coles ne cachait pas son admiration pour ses jeunes coéquipiers : "Je lève mon chapeau à ces gamins car ils sont allés chercher cette victoire au plus profond d’eux-mêmes. Ce retour, c’est un truc de fou. Nous avons eu une semaine très courte car nous ne sommes revenus d’Afrique du sud que mercredi. Il y avait tout un tas de nouveaux visages, mais ils ont su conduire l’équipe jusqu’à la victoire. Je suis très fier d’eux."
Les bulls au rendez-vous
Les dernières suprises de cette ultime journée sont venues d’Afrique du Sud. Le hasard du calendrier avait bien fait les choses, en proposant deux derbys décisifs pour la qualification: Stormers-Sharks et Bulls - Lions. Dans le premier cité, les Sharks se sont imposés d’un souffle au Cap, et sortent les coéquipiers du futur Toulonnais Eben Etzebeth de la course. Auteurs de deux essais par l’ailier Smith et le centre Am, les Sharks se rendront à Canberra pour affronter les Brumbies de David Pocock. Enfin, les Bulls de Duane Vermeulen ont confirmé leur bonne forme en dominant aisément les Lions de Johannesburg sur le score de 48 à 27. Un match marqué par les 18 points de l’ouvreur Handré Pollard. Le futur ouvreur de Montpellier aura fort à faire le week-end prochain, face aux Hurricanes de Beauden Barrett.
Simon Valzer
Des quarts explosifs !
Au terme d’une dernière journée riche en surprises, les quarts de finale du Super Rugby sont désormais connus, avec notamment un choc entre les Crusaders et les Highlanders.
Cette dix-huitième journée avait démarré sur les chapeaux de roue, avec un premier coup de tonnerre dans le ciel du rugby australien et la large victoire des Chiefs de Hamilton sur des Melbourne Rebels qui avaient encore toutes leurs chances de se qualifier avant le match. Le match fut finalement à sens unique, à l’image du score final: 8-59. Une correction majuscule, autant marquée par les bourdes de Quade Cooper que par les performances des hommes de Colin Cooper qui décrochent ainsi une qualification après und début saison cauchemardesque suivi par une incroyable remontée. à noter le triplé du jeune ailier Shaun Stevenson, et la bonne prestation du flanker Sam Cane qui confirme son retour au premier plan à moins de 100 jours du Mondial. Grâce à cette victoire, les Chiefs s’offrent un billet pour les quarts. Destination: l’Argentine, où ils affronteront l’épouvantail de la compétition, les Jaguares qui ont dominé sans mal les Sunwolves.
L’autre rencontre spectaculaire fut le derby néo-zélandais opposant les Hurricanes de Wellington aux Blues d’Auckland. Bien que cette rencontre n’avait aucun enjeu sportif (les Hurricanes étaient déjà qualifiés tandis que les Blues n’avaient plus d’espoir), elle fut sublime. Alignant un XV de départ très jeune pour faire souffler leurs cadres, les Canes furent rapidement débordés par leurs adversaires, qui menaient 24-5 à la mi-temps grâce à trois essais marqués par le centre Tanielu Tele’a, l’ailier Caleb Clarke et l’arrière Melani Nanai. La jeune garde de Wellington ne baissa pour autant pas les bras. Et signa l’une des retours les plus spectaculaires de la compétition pour asséner un terrible 24-0 aux Blues en seconde période pour l’emporter. A l’issue du match, le talonneur Dane Coles ne cachait pas son admiration pour ses jeunes coéquipiers : "Je lève mon chapeau à ces gamins car ils sont allés chercher cette victoire au plus profond d’eux-mêmes. Ce retour, c’est un truc de fou. Nous avons eu une semaine très courte car nous ne sommes revenus d’Afrique du sud que mercredi. Il y avait tout un tas de nouveaux visages, mais ils ont su conduire l’équipe jusqu’à la victoire. Je suis très fier d’eux."
Les bulls au rendez-vous
Les dernières suprises de cette ultime journée sont venues d’Afrique du Sud. Le hasard du calendrier avait bien fait les choses, en proposant deux derbys décisifs pour la qualification: Stormers-Sharks et Bulls - Lions. Dans le premier cité, les Sharks se sont imposés d’un souffle au Cap, et sortent les coéquipiers du futur Toulonnais Eben Etzebeth de la course. Auteurs de deux essais par l’ailier Smith et le centre Am, les Sharks se rendront à Canberra pour affronter les Brumbies de David Pocock. Enfin, les Bulls de Duane Vermeulen ont confirmé leur bonne forme en dominant aisément les Lions de Johannesburg sur le score de 48 à 27. Un match marqué par les 18 points de l’ouvreur Handré Pollard. Le futur ouvreur de Montpellier aura fort à faire le week-end prochain, face aux Hurricanes de Beauden Barrett.
Simon Valzer
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Re: Super Rugby
https://www.midi-olympique.fr/2019/06/21/le-derby-de-lile-du-sud,8269636.php
Super Rugby : Le derby de l’île du Sud
Brillants la semaine dernière contre les Waratahs, les Highlanders parviendront-ils à résister face au double champion en titre ?
Crusaders et Highlanders vont se livrer un duel fratricide dans ce premier quart. Les deux formations de l’île du Sud, respectivement basées à Christchurch et à Dunedin soit à environ 350 kilomètres l’une de l’autre constitueront donc le seul derby de ces phases finales. Mais même si elles sont "voisines", les deux équipes n’ont pas livré la même saison. Une fois de plus, les Crusaders ont littéralement marché sur le championnat en totalisant onze victoires pour seulement deux défaites et trois nuls. Les joueurs de Dunedin n’ont pas été aussi dominateurs, avec seulement six victoires, sept défaites et trois nuls.
À égalité de points avec les Chiefs, les coéquipiers d’Aaron Smith se sont qualifiés de justesse. Ils n’ont donc pas les faveurs des bookmakers, même s’ils ont tout fait mettre un maximum de chances de leur côté. À l’image de la présence de Ben Smith à l’arrière, qui était encore hypothétique il y a quelques semaines en raison d’une blessure. Six semaines après son dernier match, l’arrière le plus capés des Highlanders tiendra bien sa place et son rôle de co-capitaine qu’il partage avec l’autre recrue de la Section paloise pour l’année prochaine, le numéro huit Luke Whitelock.
Côté Crusaders, tous les voyants sont au vert. Les protégés de Scott Robertson ont eu la chance d’être exempts à l’occasion de la dernière journée du championnat, et auront donc de la fraîcheur. Ce sera d’ailleurs la première fois qu’ils aligneront leur première ligne all black composée de Joe Moody, Codie Taylor et Owen Franks, les deux derniers faisant leur retour après des blessures sans gravité.
Pour le reste, toutes les stars noires seront sur le terrain au coup d’envoi : Sam Whitelock, Scott Barrett, Kieran Read, Matt Todd, Richie Mo’unga, Ryan Crotty, Jack Goodhue… Sans oublier bien sûr le phénomène Sevu Reece sur l’aile droite (13 essais en 11 matchs) qui se livrera un duel sans merci face à Waisake Naholo. Sur l’autre aile des Crusaders, on trouvera le nouveau talent néo-zélandais, George Bridge. Bref, tout un programme.
VALZER Simon
Super Rugby : Le derby de l’île du Sud
Brillants la semaine dernière contre les Waratahs, les Highlanders parviendront-ils à résister face au double champion en titre ?
Crusaders et Highlanders vont se livrer un duel fratricide dans ce premier quart. Les deux formations de l’île du Sud, respectivement basées à Christchurch et à Dunedin soit à environ 350 kilomètres l’une de l’autre constitueront donc le seul derby de ces phases finales. Mais même si elles sont "voisines", les deux équipes n’ont pas livré la même saison. Une fois de plus, les Crusaders ont littéralement marché sur le championnat en totalisant onze victoires pour seulement deux défaites et trois nuls. Les joueurs de Dunedin n’ont pas été aussi dominateurs, avec seulement six victoires, sept défaites et trois nuls.
À égalité de points avec les Chiefs, les coéquipiers d’Aaron Smith se sont qualifiés de justesse. Ils n’ont donc pas les faveurs des bookmakers, même s’ils ont tout fait mettre un maximum de chances de leur côté. À l’image de la présence de Ben Smith à l’arrière, qui était encore hypothétique il y a quelques semaines en raison d’une blessure. Six semaines après son dernier match, l’arrière le plus capés des Highlanders tiendra bien sa place et son rôle de co-capitaine qu’il partage avec l’autre recrue de la Section paloise pour l’année prochaine, le numéro huit Luke Whitelock.
Côté Crusaders, tous les voyants sont au vert. Les protégés de Scott Robertson ont eu la chance d’être exempts à l’occasion de la dernière journée du championnat, et auront donc de la fraîcheur. Ce sera d’ailleurs la première fois qu’ils aligneront leur première ligne all black composée de Joe Moody, Codie Taylor et Owen Franks, les deux derniers faisant leur retour après des blessures sans gravité.
Pour le reste, toutes les stars noires seront sur le terrain au coup d’envoi : Sam Whitelock, Scott Barrett, Kieran Read, Matt Todd, Richie Mo’unga, Ryan Crotty, Jack Goodhue… Sans oublier bien sûr le phénomène Sevu Reece sur l’aile droite (13 essais en 11 matchs) qui se livrera un duel sans merci face à Waisake Naholo. Sur l’autre aile des Crusaders, on trouvera le nouveau talent néo-zélandais, George Bridge. Bref, tout un programme.
VALZER Simon
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Re: Super Rugby
Merci à toi d'avoir crée ce sujet et d'y avoir relayé programme TV et articles pour les 1/4 qui s'annoncent passionnant,
Et qui vont nous permettre de patienter jusqu'au 4 Nations, puis à la reprise du TOP 14, puis au début de la CdM ...
Et qui vont nous permettre de patienter jusqu'au 4 Nations, puis à la reprise du TOP 14, puis au début de la CdM ...
davablava33- J'aime l'Union passionnément
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Re: Super Rugby
davablava33 a écrit:Merci à toi d'avoir crée ce sujet et d'y avoir relayé programme TV et articles pour les 1/4 qui s'annoncent passionnant,
Et qui vont nous permettre de patienter jusqu'au 4 Nations, puis à la reprise du TOP 14, puis au début de la CdM ...
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Re: Super Rugby
Scalp a écrit:davablava33 a écrit:Merci à toi d'avoir crée ce sujet et d'y avoir relayé programme TV et articles pour les 1/4 qui s'annoncent passionnant,
Et qui vont nous permettre de patienter jusqu'au 4 Nations, puis à la reprise du TOP 14, puis au début de la CdM ...
Merci Scalp, on va voir du jeu que de belles affiches comme d'hab. Très attentif au match des Jaguares, et go Chiefs mon club favori. mais lourde perte avec Mc Kenzie, qui va leur manquer et aux AB un vrai facteur X. Je dois dire que son absence pour le Japon gache un peu mon plaisir , il etais au sommet. Il tranche un peu avec les canons des arrieres actuels et les AB vont y perdre plus Milne Skudder.
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Super Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Super-rugby-voyage-au-pays-des-jaguares/1032106
Super Rugby : voyage au pays des Jaguares
La franchise argentine entraînée par Gonzalo Quesada essaiera, ce vendredi soir, de se qualifier pour la première demi-finale de sa courte histoire en Super Rugby. Visite dans l'antre d'une équipe qui compose avec les moyens du bord.
Dominique Issartel, à Benavidez
En caleçon, Nahuel Tetaz Chaparro, un des piliers droit des Jaguares, déverse dans une petite piscine en plastique bleu les énormes sacs de glaçons qu'il vient d'aller chercher dans la chambre froide de la cuisine du club. Ses coéquipiers le rejoignent un par un, mélangent l'eau et la glace avec un grand bâton avant de s'y plonger jusqu'à la taille. C'est la fin de l'entraînement et, à genoux dans l'eau glacée, les joueurs rigolent pour oublier la morsure du froid. «Vive la cryothérapie argentine !»
Les joueurs des Jaguares, dont Tomas Lavanini (à g.) et Juan Manuel Leguizamon (à d.), utilisent des piscines pour enfant pour les bains froids de récupération. (B. Papon/L'Equipe)
Autorisée depuis 2016 à participer au Super Rugby, le Championnat des franchises de l'hémisphère Sud, la formation des Jaguares, seule équipe professionnelle du pays et véritable antichambre des Pumas (l'effectif est le même à 90 %), se prépare avec peu de moyens, même si le pedigree du club qui les accueille pourrait prêter à confusion.
Situé à Benavidez, à 45 km du centre de Buenos Aires, le club Newman, fondé en 1975 par les pères chrétiens du collège irlandais du même nom, est l'un des plus chics du pays et compte le président Mauricio Macri parmi les socios (membres) qui paient plusieurs milliers d'euros par an pour pouvoir utiliser régulièrement l'un des vingt cours de tennis en terre battue, ou le parcours de golf, tout en laissant leurs enfants à la garderie. Les Jaguares, eux, ont rarement accès à la piscine extérieure, réservée aux gamins pendant tout l'été, et effectuent leurs séances vidéo et leurs massages dans une même pièce, coupée en deux par un grand paravent. C'est là qu'ils préparent leur maté, boisson traditionnelle des Amérindiens, avant d'aller partager la salle de musculation avec des dames qui transpirent sur des tapis de course.
«Il faut un maximum d'outils pour améliorer les performances mais (...) quand il y a trop de confort, on perd quelque chose» - Gonzalo Quesada, entraîneur des Jaguares
L'après-midi, ils font la sieste au pied des lits de bébé de la crèche, sur de grands matelas noirs qu'ils apportent et reprennent tous les jours. «On n'a pas le budget pour des infrastructures sophistiquées, explique Gonzalo Quesada, qui a succédé cette année à Mario Ledesma, le sélectionneur argentin, au poste d'entraîneur principal des Jaguares. Par exemple, quand il y a trois analystes vidéo équipés de logiciels très performants dans les clubs de Top 14, nous en comptons un seul, avec un logiciel limité. Mais chaque joueur est conscient de ça ; ils sont ultra engagés. Si on leur laisse un jour off, ils trouvent par eux-mêmes une piscine pour la récupération.»
Cette semaine, à cause des violentes pluies qui se sont abattues sur le pays, un entraînement a dû être annulé, les autres ont eu lieu à une demi-heure de route, sur un terrain synthétique. Quesada, qui a coaché pendant dix années en France (équipe de France, Racing 92, Stade Français et Biarritz), connaît l'importance des infrastructures. «Il faut un maximum d'outils pour améliorer les performances mais, ajoute-t-il, l'équilibre est très fin : quand il y a trop de confort, on perd quelque chose. Cela amène une certaine complaisance des joueurs qui ne cherchent plus à se dépasser.»
Il sait que ces conditions d'entraînement, ajoutées aux 150 000 kilomètres en moyenne par an qu'ingurgitent les rugbymen argentins pour pouvoir participer aux compétitions de l'hémisphère Sud sont, malgré tout, une force pour ses troupes. L'an dernier, Mario Ledesma avait emmené les Jaguares jusqu'en quarts de finale du Super Rugby, pour la première fois (défaite face aux Lions 40-23). Pour l'instant, Quesada et son staff, constitué d'Andres Bordoy pour les avants et de Juan Fernandez Miranda pour les trois-quarts, ont fait aussi bien. Mieux même puisqu'ils ont terminé premiers de leur conférence et disputeront leur quart ce vendredi soir face aux Néo-Zélandais des Chiefs (0h05, heure française) à domicile, dans le stade des footballeurs de Velez Sarsfield, après avoir remporté neuf de leurs dix dernières rencontres.
Un travail sur l'identité différent de celui des Pumas
La décision des dirigeants argentins de faire rentrer les internationaux au pays, il y a trois ans, pour intégrer la franchise des Jaguares alors qu'ils étaient disséminés dans les meilleurs clubs d'Europe (*), porte ses fruits. Jaguares et Pumas sont désormais une sorte de super club où les joueurs vivent ensemble toute l'année. «Ma mission, c'est d'être à la tête des Jaguares, dit Quesada. Bien sûr, c'est une façon de travailler avec les Pumas pendant la partie de la saison où il n'y a pas de matches internationaux. On teste les jeunes dans l'optique de l'équipe nationale, on essaie de garder les mêmes systèmes de jeu pour ne pas perdre les joueurs.»
(*) Jusqu'à l'arrivée de Ledesma à la tête de la sélection, seuls les joueurs évoluant en Argentine pouvaient être retenus avec les Pumas.
Reste l'écueil de la lassitude, quand les joueurs sont ensemble douze mois par an ou presque. «Très vite, avec Mario (Ledesma), on a senti que le même capitaine et le même staff, ça serait un peu lourd», raconte Quesada. Pablo Matera restant capitaine des Pumas, c'est Jeronimo De la Fuente qui a pris le brassard des Jaguares, et les deux staffs ont été complètement dissociés, à tel point que Gonzalo Quesada n'ira pas à la Coupe du monde avec les Pumas, comme c'était initialement prévu.
Pour conserver de la fraîcheur et brasser des idées nouvelles, le travail effectué en début de saison sur l'identité, la culture de l'équipe, ses valeurs, n'est pas le même pour les deux équipes. Pour les Jaguares, il a été effectué à la sauce Quesada, avec sa méthode et un procédé qu'il affectionne tout particulièrement (testé au Stade Français et à Biarritz) : l'élection du MVP (Most Valuable Player) toutes les semaines. «J'aime bien cette idée de MVP car, dans un sport d'équipe, c'est normalement tout le contraire de ce que l'on cherche.»
5
Les Jaguares ont gagné cinq matches à l'extérieur cette saison, dont un succès de prestige face aux Hurricanes (20-28). Ils n'avaient jamais battu la franchise néo-zélandaise depuis 2016.
Mais chez les Jaguares, tout part du stage de présaison, effectué cette année dans un club d'aviron. Pendant huit jours, les joueurs, par petits groupes, ont déterminé les cinq valeurs repères de leur équipe, les cinq mots qui constituent leur ligne directrice : boulot, folie, humilité, union et toucher la ligne. «Le dernier, c'est celui qui interpelle le plus, non ?», remarque Quesada. «Ce n'est pas pareil de s'arrêter dix centimètres avant une ligne ou de la toucher. Cela paraît rien mais ça change tout. Ce sont les joueurs qui ont tenu à garder cette expression. Elle signifie : faire l'effort de respecter la règle et les copains qui sont à côté. Ces dix centimètres, ne pas les négliger, c'est ça le professionnalisme pour les joueurs de mon équipe.»
Entre boulot et folie
Alors, tous les lundis, après le match du week-end, les Jaguares élisent leur MVP. «En arrivant, on note sur un papier le nom du joueur qui, selon nous, sur le terrain, a été fidèle aux cinq mots qui nous guident, explique le vétéran Juan Martin Leguizamon, trente-six ans, troisième-ligne qui a commencé sa carrière internationale en 2005. Puis on le glisse dans une boîte et, à la fin de la séance vidéo, il y a la remise du trophée.»
Le trophée ? Une pelle d'aviron - un hommage aux rameurs du stage de présaison - au manche gravé des deux mots essentiels au groupe Laburo y locura (boulot et folie). Le 27 avril, après une victoire contre les Australiens des Brumbies (20-15), c'est le deuxième-ligne Tomas Lavanini qui en avait hérité parce que, pendant le match, il avait plaqué jusqu'à la folie, bossé comme un dingue. «Mais ce n'est pas un titre de joueur du match que l'on décerne, précise Quesada. Celui qui le reçoit représente l'esprit de notre équipe et sert de guide aux autres pendant toute la semaine. C'est une transmission.»
Ce vendredi soir, la pelle en bois accompagnera les Jaguares jusque dans leur vestiaire, témoin des derniers mots du capitaine Jeronimo De la Fuente. Peut-être fera-t-il allusion aux récentes critiques de l'ex-talonneur australien Phil Kearns, double champion du monde en 1991 et 1999, qui a déclaré que «les Jaguares n'avaient rien à faire en Super Rugby», leur reprochant d'être une «équipe nationale». Une équipe nationale qui joue sans relâche, onze mois sur douze, souvent à des milliers de kilomètres de chez elle, qui ne peut compter - dans tout le pays - que sur cinquante joueurs professionnels et qui fait ses séances de récupération dans des piscines pour enfants.
Super Rugby : voyage au pays des Jaguares
La franchise argentine entraînée par Gonzalo Quesada essaiera, ce vendredi soir, de se qualifier pour la première demi-finale de sa courte histoire en Super Rugby. Visite dans l'antre d'une équipe qui compose avec les moyens du bord.
Dominique Issartel, à Benavidez
En caleçon, Nahuel Tetaz Chaparro, un des piliers droit des Jaguares, déverse dans une petite piscine en plastique bleu les énormes sacs de glaçons qu'il vient d'aller chercher dans la chambre froide de la cuisine du club. Ses coéquipiers le rejoignent un par un, mélangent l'eau et la glace avec un grand bâton avant de s'y plonger jusqu'à la taille. C'est la fin de l'entraînement et, à genoux dans l'eau glacée, les joueurs rigolent pour oublier la morsure du froid. «Vive la cryothérapie argentine !»
Les joueurs des Jaguares, dont Tomas Lavanini (à g.) et Juan Manuel Leguizamon (à d.), utilisent des piscines pour enfant pour les bains froids de récupération. (B. Papon/L'Equipe)
Autorisée depuis 2016 à participer au Super Rugby, le Championnat des franchises de l'hémisphère Sud, la formation des Jaguares, seule équipe professionnelle du pays et véritable antichambre des Pumas (l'effectif est le même à 90 %), se prépare avec peu de moyens, même si le pedigree du club qui les accueille pourrait prêter à confusion.
Situé à Benavidez, à 45 km du centre de Buenos Aires, le club Newman, fondé en 1975 par les pères chrétiens du collège irlandais du même nom, est l'un des plus chics du pays et compte le président Mauricio Macri parmi les socios (membres) qui paient plusieurs milliers d'euros par an pour pouvoir utiliser régulièrement l'un des vingt cours de tennis en terre battue, ou le parcours de golf, tout en laissant leurs enfants à la garderie. Les Jaguares, eux, ont rarement accès à la piscine extérieure, réservée aux gamins pendant tout l'été, et effectuent leurs séances vidéo et leurs massages dans une même pièce, coupée en deux par un grand paravent. C'est là qu'ils préparent leur maté, boisson traditionnelle des Amérindiens, avant d'aller partager la salle de musculation avec des dames qui transpirent sur des tapis de course.
«Il faut un maximum d'outils pour améliorer les performances mais (...) quand il y a trop de confort, on perd quelque chose» - Gonzalo Quesada, entraîneur des Jaguares
L'après-midi, ils font la sieste au pied des lits de bébé de la crèche, sur de grands matelas noirs qu'ils apportent et reprennent tous les jours. «On n'a pas le budget pour des infrastructures sophistiquées, explique Gonzalo Quesada, qui a succédé cette année à Mario Ledesma, le sélectionneur argentin, au poste d'entraîneur principal des Jaguares. Par exemple, quand il y a trois analystes vidéo équipés de logiciels très performants dans les clubs de Top 14, nous en comptons un seul, avec un logiciel limité. Mais chaque joueur est conscient de ça ; ils sont ultra engagés. Si on leur laisse un jour off, ils trouvent par eux-mêmes une piscine pour la récupération.»
Cette semaine, à cause des violentes pluies qui se sont abattues sur le pays, un entraînement a dû être annulé, les autres ont eu lieu à une demi-heure de route, sur un terrain synthétique. Quesada, qui a coaché pendant dix années en France (équipe de France, Racing 92, Stade Français et Biarritz), connaît l'importance des infrastructures. «Il faut un maximum d'outils pour améliorer les performances mais, ajoute-t-il, l'équilibre est très fin : quand il y a trop de confort, on perd quelque chose. Cela amène une certaine complaisance des joueurs qui ne cherchent plus à se dépasser.»
Il sait que ces conditions d'entraînement, ajoutées aux 150 000 kilomètres en moyenne par an qu'ingurgitent les rugbymen argentins pour pouvoir participer aux compétitions de l'hémisphère Sud sont, malgré tout, une force pour ses troupes. L'an dernier, Mario Ledesma avait emmené les Jaguares jusqu'en quarts de finale du Super Rugby, pour la première fois (défaite face aux Lions 40-23). Pour l'instant, Quesada et son staff, constitué d'Andres Bordoy pour les avants et de Juan Fernandez Miranda pour les trois-quarts, ont fait aussi bien. Mieux même puisqu'ils ont terminé premiers de leur conférence et disputeront leur quart ce vendredi soir face aux Néo-Zélandais des Chiefs (0h05, heure française) à domicile, dans le stade des footballeurs de Velez Sarsfield, après avoir remporté neuf de leurs dix dernières rencontres.
Un travail sur l'identité différent de celui des Pumas
La décision des dirigeants argentins de faire rentrer les internationaux au pays, il y a trois ans, pour intégrer la franchise des Jaguares alors qu'ils étaient disséminés dans les meilleurs clubs d'Europe (*), porte ses fruits. Jaguares et Pumas sont désormais une sorte de super club où les joueurs vivent ensemble toute l'année. «Ma mission, c'est d'être à la tête des Jaguares, dit Quesada. Bien sûr, c'est une façon de travailler avec les Pumas pendant la partie de la saison où il n'y a pas de matches internationaux. On teste les jeunes dans l'optique de l'équipe nationale, on essaie de garder les mêmes systèmes de jeu pour ne pas perdre les joueurs.»
(*) Jusqu'à l'arrivée de Ledesma à la tête de la sélection, seuls les joueurs évoluant en Argentine pouvaient être retenus avec les Pumas.
Reste l'écueil de la lassitude, quand les joueurs sont ensemble douze mois par an ou presque. «Très vite, avec Mario (Ledesma), on a senti que le même capitaine et le même staff, ça serait un peu lourd», raconte Quesada. Pablo Matera restant capitaine des Pumas, c'est Jeronimo De la Fuente qui a pris le brassard des Jaguares, et les deux staffs ont été complètement dissociés, à tel point que Gonzalo Quesada n'ira pas à la Coupe du monde avec les Pumas, comme c'était initialement prévu.
Pour conserver de la fraîcheur et brasser des idées nouvelles, le travail effectué en début de saison sur l'identité, la culture de l'équipe, ses valeurs, n'est pas le même pour les deux équipes. Pour les Jaguares, il a été effectué à la sauce Quesada, avec sa méthode et un procédé qu'il affectionne tout particulièrement (testé au Stade Français et à Biarritz) : l'élection du MVP (Most Valuable Player) toutes les semaines. «J'aime bien cette idée de MVP car, dans un sport d'équipe, c'est normalement tout le contraire de ce que l'on cherche.»
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Les Jaguares ont gagné cinq matches à l'extérieur cette saison, dont un succès de prestige face aux Hurricanes (20-28). Ils n'avaient jamais battu la franchise néo-zélandaise depuis 2016.
Mais chez les Jaguares, tout part du stage de présaison, effectué cette année dans un club d'aviron. Pendant huit jours, les joueurs, par petits groupes, ont déterminé les cinq valeurs repères de leur équipe, les cinq mots qui constituent leur ligne directrice : boulot, folie, humilité, union et toucher la ligne. «Le dernier, c'est celui qui interpelle le plus, non ?», remarque Quesada. «Ce n'est pas pareil de s'arrêter dix centimètres avant une ligne ou de la toucher. Cela paraît rien mais ça change tout. Ce sont les joueurs qui ont tenu à garder cette expression. Elle signifie : faire l'effort de respecter la règle et les copains qui sont à côté. Ces dix centimètres, ne pas les négliger, c'est ça le professionnalisme pour les joueurs de mon équipe.»
Entre boulot et folie
Alors, tous les lundis, après le match du week-end, les Jaguares élisent leur MVP. «En arrivant, on note sur un papier le nom du joueur qui, selon nous, sur le terrain, a été fidèle aux cinq mots qui nous guident, explique le vétéran Juan Martin Leguizamon, trente-six ans, troisième-ligne qui a commencé sa carrière internationale en 2005. Puis on le glisse dans une boîte et, à la fin de la séance vidéo, il y a la remise du trophée.»
Le trophée ? Une pelle d'aviron - un hommage aux rameurs du stage de présaison - au manche gravé des deux mots essentiels au groupe Laburo y locura (boulot et folie). Le 27 avril, après une victoire contre les Australiens des Brumbies (20-15), c'est le deuxième-ligne Tomas Lavanini qui en avait hérité parce que, pendant le match, il avait plaqué jusqu'à la folie, bossé comme un dingue. «Mais ce n'est pas un titre de joueur du match que l'on décerne, précise Quesada. Celui qui le reçoit représente l'esprit de notre équipe et sert de guide aux autres pendant toute la semaine. C'est une transmission.»
Ce vendredi soir, la pelle en bois accompagnera les Jaguares jusque dans leur vestiaire, témoin des derniers mots du capitaine Jeronimo De la Fuente. Peut-être fera-t-il allusion aux récentes critiques de l'ex-talonneur australien Phil Kearns, double champion du monde en 1991 et 1999, qui a déclaré que «les Jaguares n'avaient rien à faire en Super Rugby», leur reprochant d'être une «équipe nationale». Une équipe nationale qui joue sans relâche, onze mois sur douze, souvent à des milliers de kilomètres de chez elle, qui ne peut compter - dans tout le pays - que sur cinquante joueurs professionnels et qui fait ses séances de récupération dans des piscines pour enfants.
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Les argentins prenant certainement les bonnes décisions pour leur joueurs élite sont en train de progresser à grande vitesse et j'ai bien peur que nos oppositions respective au Japon soit pour nous difficile à avaler.Ils ont perdu de leur superbe en mêlée, mais pour le reste il ni a pas photo.
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Le neuf des Brumbies, Joe Powell, un genre de Serin en version j'inverse-la-pression, parait tout à fait indiqué pour piloter les Wallabies ; très rafraichissant son tempérament !
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patrick a écrit:Vive les retours intérieurs
Faut bien calculer son coup , parce que des fois tu te prends un 8 ou un 4 de l'equipe d'en face qui lui partais vers l'extérieur
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Re: Super Rugby
https://www.rugbyrama.fr/rugby/super-rugby/2019/super-rugby-des-demi-finales-explosives_sto7346482/story.shtml
Des demi-finales explosives !
SUPER RUGBY - Pour la première demi-finale de leur histoire, les Jaguares défient les Australiens des Brumbies. En Nouvelle-Zélande, les Crusaders champions en titre reçoivent les Hurricanes. Zoom sur les demi-finales du Super Rugby.
Jaguares - Brumbies : l’attraction de l’inédit
Auteurs d’une sublime saison jusqu’alors, les Jaguares souhaitent valider leur montée en puissance en se qualifiant pour la première fois de leur histoire pour la grande finale du Super Rugby. Parfait chef de meute et combattant exemplaire, Pablo Matera tentera de guider les siens vers les cimes sudistes pour sa dernière devant son cher et tendre public, épaulé par le capitaine Jeronimo de la Fuente. Après avoir sorti les Chiefs de Waikato en quarts de finale (21-16), ces derniers auront à cœur de poursuivre leur belle aventure en Super Rugby. Côté Brumbies, c’est la renaissance après un exercice 2018-2019 manqué.
Guidés par un incroyable régulateur et leader d’attaque, le capitaine et demi d’ouverture Christian Leali’ifano, les Brumbies ont d’importants atouts à faire valoir. D’abord, la forme internationale du frère du Toulousain Richie Arnold, Rory. Ce dernier marche sur l’eau avec son club et pourrait bien marquer au fer rouge les Argentins. Il est aujourd’hui la figure de proue du pack bleu, blanc et or, au point d’être considéré comme le meilleur deuxième-ligne du rugby australien. Ensuite, les hommes de Canberra pourront s’appuyer sur l’explosivité de joueurs tels que Henry Speight ou Tevita Kuridrani.
Enfin, ils disposent de grandes certitudes et arrivent en pleine confiance après leur victoire remplie d’autorité au tour précédent face aux Sharks de Durban (38-13). Un beau duel en perspective dans cette demi-finale inédite, les Argentins n’étais jamais parvenus à se hisser à ce stade de la compétition. Devant leur public, ces derniers devraient être transcendés, profitant également d’un important décalage horaire à la défaveur des Australiens.
Crusaders - Hurricanes : duel fratricide
L'affiche a de quoi faire saliver, c’était déjà celle de la demi-finale de l'an passé, remportée (30-12) par les Crusaders, en route vers un nouveau sacre une semaine plus tard. Cette saison, les deux équipes se sont rencontrées à deux reprises pour autant de victoire des hommes de Christchurch : 38-22 à domicile au mois de février puis 8-32 à l'occasion du match retour, fin mars. Un sérieux avantage psychologique. Premiers au classement général à l'issue de la phase régulière, les Crusaders ont marqué de leur empreinte cette saison de Super Rugby. La semaine dernière en quart de finale, ils ont largement dominé les Highlanders (38-14) quand dans le même temps les Hurricanes se défaisaient des Bulls dans la douleur (35-28).
Si, de prime abord la logique semble pencher du côté des coéquipiers de Kieran Read, l'affiche ne semble tout de même pas déséquilibrée. Car de leur côté, les Hurricanes, emmenés par une charnière Perenara-Barrett de top niveau et avec un scoreur de la trempe de Lam, auront de sacrés arguments à faire valoir. Lancés sur une série de quatre victoires de rang, ces derniers se sont classés seconds de la province néo-zélandaise derrière leurs homologues des Crusaders, avec cinquante-trois points, faisant même mieux que les Brumbies ou les Highlanders.
Des demi-finales explosives !
SUPER RUGBY - Pour la première demi-finale de leur histoire, les Jaguares défient les Australiens des Brumbies. En Nouvelle-Zélande, les Crusaders champions en titre reçoivent les Hurricanes. Zoom sur les demi-finales du Super Rugby.
Jaguares - Brumbies : l’attraction de l’inédit
Auteurs d’une sublime saison jusqu’alors, les Jaguares souhaitent valider leur montée en puissance en se qualifiant pour la première fois de leur histoire pour la grande finale du Super Rugby. Parfait chef de meute et combattant exemplaire, Pablo Matera tentera de guider les siens vers les cimes sudistes pour sa dernière devant son cher et tendre public, épaulé par le capitaine Jeronimo de la Fuente. Après avoir sorti les Chiefs de Waikato en quarts de finale (21-16), ces derniers auront à cœur de poursuivre leur belle aventure en Super Rugby. Côté Brumbies, c’est la renaissance après un exercice 2018-2019 manqué.
Guidés par un incroyable régulateur et leader d’attaque, le capitaine et demi d’ouverture Christian Leali’ifano, les Brumbies ont d’importants atouts à faire valoir. D’abord, la forme internationale du frère du Toulousain Richie Arnold, Rory. Ce dernier marche sur l’eau avec son club et pourrait bien marquer au fer rouge les Argentins. Il est aujourd’hui la figure de proue du pack bleu, blanc et or, au point d’être considéré comme le meilleur deuxième-ligne du rugby australien. Ensuite, les hommes de Canberra pourront s’appuyer sur l’explosivité de joueurs tels que Henry Speight ou Tevita Kuridrani.
Enfin, ils disposent de grandes certitudes et arrivent en pleine confiance après leur victoire remplie d’autorité au tour précédent face aux Sharks de Durban (38-13). Un beau duel en perspective dans cette demi-finale inédite, les Argentins n’étais jamais parvenus à se hisser à ce stade de la compétition. Devant leur public, ces derniers devraient être transcendés, profitant également d’un important décalage horaire à la défaveur des Australiens.
Crusaders - Hurricanes : duel fratricide
L'affiche a de quoi faire saliver, c’était déjà celle de la demi-finale de l'an passé, remportée (30-12) par les Crusaders, en route vers un nouveau sacre une semaine plus tard. Cette saison, les deux équipes se sont rencontrées à deux reprises pour autant de victoire des hommes de Christchurch : 38-22 à domicile au mois de février puis 8-32 à l'occasion du match retour, fin mars. Un sérieux avantage psychologique. Premiers au classement général à l'issue de la phase régulière, les Crusaders ont marqué de leur empreinte cette saison de Super Rugby. La semaine dernière en quart de finale, ils ont largement dominé les Highlanders (38-14) quand dans le même temps les Hurricanes se défaisaient des Bulls dans la douleur (35-28).
Si, de prime abord la logique semble pencher du côté des coéquipiers de Kieran Read, l'affiche ne semble tout de même pas déséquilibrée. Car de leur côté, les Hurricanes, emmenés par une charnière Perenara-Barrett de top niveau et avec un scoreur de la trempe de Lam, auront de sacrés arguments à faire valoir. Lancés sur une série de quatre victoires de rang, ces derniers se sont classés seconds de la province néo-zélandaise derrière leurs homologues des Crusaders, avec cinquante-trois points, faisant même mieux que les Brumbies ou les Highlanders.
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Re: Super Rugby
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Re: Super Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Super-rugby-qui-des-jaguares-ou-des-brumbies-rejoindra-la-finale/1034730
Super Rugby : qui des Jaguares ou des Brumbies rejoindra la finale ?
Argentins et Australiens vont s'affronter dans la nuit de vendredi à samedi (1h05) à Buenos Aires pour rallier la finale. Un match à fort enjeu qui s'annonce excitant sur le terrain.
Pour leur quatrième saison seulement en Super Rugby, les Jaguares se retrouvent aux portes de la finale. Une performance exemplaire qui doit beaucoup au travail de leur manager Gonzalo Quesada et aux méthodes de gestion de groupe qui animent parfaitement cette équipe. Le week-end passé, les Argentins ont démontré qu'ils sont passés à un autre niveau en l'emportant avec sang-froid contre les Chiefs (21-16) en quart de finale.
Pour affronter les Brumbies, les Jaguares pourront bien compter sur Guido Petti en deuxième-ligne, touché à la cheville en quart mais finalement apte pour la demie. Le capitaine des Pumas, Pablo Matera, qui laisse cette responsabilité à Jeronimo De La Fuente avec la franchise argentine, jouera peut-être son dernier match dans l'hémisphère Sud avant de rejoindre l'Europe et le Stade Français. Mais avant cela, le troisième-ligne, très actif dans le jeu de son équipe, voudra écrire l'histoire du rugby argentin en qualifiant les Jaguares pour la dernière marche.
De leur côté, les Brumbies signent un retour au premier plan qu'on n'attendait plus. La dernière finale des Australiens remonte à 2013 (défaite 27-22 contre les Chiefs). Leur dernier titre ? 2004 (victoire 47-38 contre les Crusaders) ! Mais cette saison, les « chevaux sauvages » ont su surfer sur une bonne dynamique de neuf succès sur les dix derniers matchs. Jusqu'à survoler leur quart contre les Sharks de Durban (38-13).
À Buenos Aires, ils pourront s'appuyer sur leur très bon deuxième-ligne Rory Arnold, frère de Richie et futur Toulousain, ainsi que sur les pattes du virevoltant Tom Banks, arrière insaisissable.
Le vainqueur de ce choc de Buenos Aires affrontera en finale l'équipe qui l'emportera dans le duel néo-zélandais entre Crusaders et Hurricanes. Les hommes de Christchurch, premiers de la phase régulière, auront l'avantage du terrain.
Super Rugby : qui des Jaguares ou des Brumbies rejoindra la finale ?
Argentins et Australiens vont s'affronter dans la nuit de vendredi à samedi (1h05) à Buenos Aires pour rallier la finale. Un match à fort enjeu qui s'annonce excitant sur le terrain.
Pour leur quatrième saison seulement en Super Rugby, les Jaguares se retrouvent aux portes de la finale. Une performance exemplaire qui doit beaucoup au travail de leur manager Gonzalo Quesada et aux méthodes de gestion de groupe qui animent parfaitement cette équipe. Le week-end passé, les Argentins ont démontré qu'ils sont passés à un autre niveau en l'emportant avec sang-froid contre les Chiefs (21-16) en quart de finale.
Pour affronter les Brumbies, les Jaguares pourront bien compter sur Guido Petti en deuxième-ligne, touché à la cheville en quart mais finalement apte pour la demie. Le capitaine des Pumas, Pablo Matera, qui laisse cette responsabilité à Jeronimo De La Fuente avec la franchise argentine, jouera peut-être son dernier match dans l'hémisphère Sud avant de rejoindre l'Europe et le Stade Français. Mais avant cela, le troisième-ligne, très actif dans le jeu de son équipe, voudra écrire l'histoire du rugby argentin en qualifiant les Jaguares pour la dernière marche.
De leur côté, les Brumbies signent un retour au premier plan qu'on n'attendait plus. La dernière finale des Australiens remonte à 2013 (défaite 27-22 contre les Chiefs). Leur dernier titre ? 2004 (victoire 47-38 contre les Crusaders) ! Mais cette saison, les « chevaux sauvages » ont su surfer sur une bonne dynamique de neuf succès sur les dix derniers matchs. Jusqu'à survoler leur quart contre les Sharks de Durban (38-13).
À Buenos Aires, ils pourront s'appuyer sur leur très bon deuxième-ligne Rory Arnold, frère de Richie et futur Toulousain, ainsi que sur les pattes du virevoltant Tom Banks, arrière insaisissable.
Le vainqueur de ce choc de Buenos Aires affrontera en finale l'équipe qui l'emportera dans le duel néo-zélandais entre Crusaders et Hurricanes. Les hommes de Christchurch, premiers de la phase régulière, auront l'avantage du terrain.
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Re: Super Rugby
https://www.midi-olympique.fr/2019/06/28/petits-bruits-de-super-rugby-special-jaguares,8284227.php
Petits bruits de Super Rugby : spécial Jaguares
Une équipe en Currie Cup
L’Argentine assure sa progression aussi grâce à l’équipe des JaguaresXV qui dispute la Currie Cup, le championnat sud-africain. Vingt-cinq joueurs s’envolent ce dimanche pour l’Afrique du Sud et établir leur camp de base pour la nouvelle campagne. Ils seront rejoints ensuite par sept joueurs de l’équipe de Gonzalo Quesada : Delguy, Bertranou, Ezcurra, Mallia, Sordoni, Bruni et Diaz.
37 Jaguares retenus dans le groupe pour préparer la Coupe du monde
Le sélectionneur argentin a communiqué un groupe de 46 joueurs pour préparer la Coupe du monde, composé de 37 Jaguares. Le reste de ce contingent est constitué de quatre « Français », un « Anglais » et de quatre joueurs qui évoluent dans le championnat national argentin.
17 joueurs des Jaguares ont déjà disputé une Coupe du monde
Tetaz Chaparro, Garcia Botta, Creevy, Montoya, Figallo, Petti, Lavanini, Alemanno, Matera, Ortega Desio, Leguizamon, Cubelli, Landajo, Gonzalez Iglesias, De la Fuente, Moroni, Tuculet ont au moins parrticipé à un Mondial.
Ils seront vingt et un dans le groupe des Pumas avec les renforts de Figallo, Herrera, Isa et Sanchez qui ont déjà disputé une Coupe du monde.
30,5 Le nombre de sélection moyen des Jaguares sélectionnés pour le prochain Mondial
Le joueur le plus capé étant le troisième ligne Juan Manuel Leguizamon (85 sélections) devant Martin Landajo (84) et Agustin Creevy (83).
Petits bruits de Super Rugby : spécial Jaguares
Une équipe en Currie Cup
L’Argentine assure sa progression aussi grâce à l’équipe des JaguaresXV qui dispute la Currie Cup, le championnat sud-africain. Vingt-cinq joueurs s’envolent ce dimanche pour l’Afrique du Sud et établir leur camp de base pour la nouvelle campagne. Ils seront rejoints ensuite par sept joueurs de l’équipe de Gonzalo Quesada : Delguy, Bertranou, Ezcurra, Mallia, Sordoni, Bruni et Diaz.
37 Jaguares retenus dans le groupe pour préparer la Coupe du monde
Le sélectionneur argentin a communiqué un groupe de 46 joueurs pour préparer la Coupe du monde, composé de 37 Jaguares. Le reste de ce contingent est constitué de quatre « Français », un « Anglais » et de quatre joueurs qui évoluent dans le championnat national argentin.
17 joueurs des Jaguares ont déjà disputé une Coupe du monde
Tetaz Chaparro, Garcia Botta, Creevy, Montoya, Figallo, Petti, Lavanini, Alemanno, Matera, Ortega Desio, Leguizamon, Cubelli, Landajo, Gonzalez Iglesias, De la Fuente, Moroni, Tuculet ont au moins parrticipé à un Mondial.
Ils seront vingt et un dans le groupe des Pumas avec les renforts de Figallo, Herrera, Isa et Sanchez qui ont déjà disputé une Coupe du monde.
30,5 Le nombre de sélection moyen des Jaguares sélectionnés pour le prochain Mondial
Le joueur le plus capé étant le troisième ligne Juan Manuel Leguizamon (85 sélections) devant Martin Landajo (84) et Agustin Creevy (83).
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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