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Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
patrick a écrit:krahknardz a écrit:Bon, mais as-tu pu poser la question essentielle, que dis-je, fondamentale: est-ce que Urios compose son équipe après avoir lu le forum pour prendre des indications???
Non, même si on lui en parle, CU ne consulte pas les réseaux sociaux.
Alors là, on est pantois. Comment peut-il se passer de notre vécu d'entraîneurs ès canapés/bières?!?
patrick a écrit:La diffusion se faisait a priori sur la page facebook https://www.facebook.com/sudouest.rugby/
A voir si elle sera podcastée.
J'espère. Je suis allé 3 fois sur leur page facebook, et pas l'ombre de la trace d'un compte-rendu, d'une vidéo,...
patrick a écrit:
Quelques infos glanées lors des 18 questions. Avec CU, jamais de statuquo, toujours de l'évolution pour progresser (il a évidemment noté notre problème en touche samedi). L'effectif n'est jamais suffisant pour un entraineur mais là on est quand même équipé. Le Top 6 est un objectif et oui c'est possible, mais 11 autres en sont capables aussi. Sous l'impulsion d'un centre d'expérience (...) le groupe a décidé de jouer le Challenge Cup à fond pour prendre de l'expérience et atteindre les 1/4. La progression continue de l'affluence et le soutien du public sont des objectifs clairs de CU. Ils viendront avec de l'engagement et de la solidarité, sur le terrain mais également en dehors avec des actions sociales, notamment vers les jeunes. Le "jeu" de CU c'est : solides sur les bases (conquête, physique, engagement, occupation) et prises d'initiative. Avec la ligne de 3/4 que nous avons, ce serait criminel de ne pas tout faire pour lui donner des ballons. Enfin, il pense que l'EDF peut se qualifier en battant l'Argentine.
PS. Pour le CC, je me suis permis de réclamer le 1/4 à la maison
Cool merci Patrick. On commence à comprendre pourquoi Lamerat à peine arrivé prend déjà des galons de vice-capitaine! En tout cas on sera les derniers à bouder un parcours digne de ce nom en Challenge, après avoir raté deux années de suite d'un souffle la qualification en Champions...
krahknardz- Team modo
- Nombre de messages : 7560
Date d'inscription : 07/07/2013
Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
https://www.sudouest.fr/2019/08/27/je-vais-bientot-me-lacher-on-m-a-fait-venir-pour-passer-un-cap-je-veux-25-000-mecs-qui-vienn-ent-pour-nous-6487404-8.php
"Je n’ai pas de temps à perdre", affirme Christophe Urios face aux lecteurs
Yoan Leshauriès et Arnaud David.
Christophe Urios, le manager de l’UBB, a répondu aux questions des lecteurs de "Sud Ouest" lundi, dans nos locaux à Bordeaux
Il a jonglé entre l’humour et le franc-parler qui le caractérise. Mais une chose est sûre, il est apparu déterminé. Christophe Urios (53 ans), le nouveau manager de l’Union Bordeaux-Bègles, s’est soumis lundi pendant près d’une heure aux questions de quinze lecteurs de "Sud Ouest" au siège du journal à Bordeaux.
Son arrivée à l’UBB, le potentiel du club girondin, les objectifs fixés cette saison, sa méthode pour y parvenir et sa vision globale du rugby, le manager girondin s’est prêté à l’exercice et a paru à son aise. Une fois l’échange terminé, il a même joué les prolongations avec ses interlocuteurs autour d’un verre. Extraits.
"Je vais bientôt me lâcher"
« Sud Ouest » Quel est votre ressenti après le premier match face à Toulouse (30–25) ?
Christophe Urios. Il est extrêmement positif de par le contenu et le résultat mais aussi de par l’atmosphère. Quand j’étais à Castres, on m’a toujours dit, quand Chaban chante, ce n’est pas bon pour toi. Là, notre mot d’ordre était de faire chanter Chaban. Et Chaban a chanté.
Comment vous sentez-vous au sein de votre nouveau club ?
Je me sens bien, je commence à prendre mes marques. Ce n’est pas facile, il faut un temps d’adaptation. Mais aujourd’hui, je me sens à l’aise, plutôt naturel. Je ne le suis pas encore complètement, je fais attention mais je vais bientôt me lâcher, que ce soit avec le club ou les joueurs. Mais c’est un groupe de jeunes joueurs. À Castres, j’avais un groupe plus mature. Ici, je dois faire encore attention. Mais on commence à se faire confiance et ça, c’est important.
Quels sont les points forts de l’UBB et ses faiblesses ?
Je vois beaucoup de points forts. C’est un club jeune, de grande ville, capable de drainer du monde, avec des structures incroyables. Je trouve que c’est une région rugby, avec pas mal de clubs de Fédérale autour. Ce sont des atouts importants. Ce qu’on a besoin d’améliorer, ce n’est pas un scoop, c’est de gagner. Je sens beaucoup de frustration. J’ai bien compris que l’année dernière, il y avait une identité de jeu qui ne correspondait pas trop aux joueurs et au public, il faut le prendre en compte. Mais je trouve que l’UBB progresse chaque année, tant en termes de structures que de groupe qui est homogène. Les forces sont là. J’ai le sentiment qu’il faut peu de choses pour que ça décolle mais ce peu de choses peut s’avérer parfois difficile à trouver.
Êtes-vous satisfait de la préparation ? Allez-vous être dans la gestion des acquis ou va-t-il y avoir encore des évolutions ?
Être meilleur ne s’arrête jamais, ce sont les All Blacks qui disent ça. On va toujours chercher à s’améliorer. Quand tu n’es pas dans cette dynamique de progrès, tu te fais rattraper à un moment donné. Là, on est plutôt dans le souhait de rattraper les autres, alors si on ne cherche pas à progresser, on est mal. Je suis satisfait de la préparation, en termes d’état d’esprit ou de jeu, que le match face au Stade Toulousain est venu valider. Il faut continuer à travailler. Je sais où on veut aller et les joueurs le savent aussi.
Êtes-vous satisfait de l’effectif dont vous disposez ? Faut-il encore s’attendre à des arrivées ou à des départs ?
Un entraîneur n’est jamais satisfait. Le début de saison est un peu tronqué par les absences (6 internationaux retenus) mais je trouve qu’on a un groupe assez homogène. Sauf grosse blessure, il n’y a pas d’arrivée prévue. On a recruté Masa Tuataia en joker Coupe du monde car Jandre (Marais) a pris un peu de retard (genou). Alex Flanquart a été un peu embêté avec sa voûte plantaire. On s’est plutôt bien couvert. Et il n’y a pas de départs prévus.
"On m’a fait venir pour passer un cap"
Vous avez signé pour quatre ans à l’UBB. Le président Laurent Marti vous a-t-il fixé des objectifs précis ?
Il m’a fait venir pour gagner. On a envie de se qualifier mais pas uniquement. Ce n’est pas de la prétention dans ma bouche mais je ne suis pas venu à Bordeaux pour la qualification. L’interview du président parue dans ces colonnes était intéressante (« La qualification n’est pas la fin en soi, la fin en soi, c’est le Brennus »). Il montre son ambition, c’est quelqu’un que tu as envie de suivre. Je ne le connaissais pas, je l’ai rencontré un mercredi matin, ça a duré 2 heures. Quand je suis sorti de l’entretien, je savais que je signerais à Bordeaux. J’aime les gens comme ça. Il m’a fait venir pour faire passer un cap à l’UBB. Je ne me mets pas de pression particulière. Nous, ce qu’on veut, c’est regagner le cœur de nos supporters car ils ont été déçus la saison dernière. Si on travaille bien, les résultats viendront d’eux-mêmes. Les résultats sont la conséquence d’un état d’esprit, la conséquence d’un travail, d’une organisation. On a posé les fondations de tout ça. Maintenant, il faut le faire.
Avec cette nouvelle organisation, pouvez-vous garantir que l’UBB finira dans le top 6 dès la première saison ?
Il y a des trucs que je ne comprends pas trop dans Bordeaux, comme le fonctionnement des rocades mais j’ai bien compris qu’il fallait se qualifier. On le sait tous. Je considère que nous sommes 10 ou 11 équipes à pouvoir se qualifier. Toutes ont le même discours, et celles qui ne l’ont pas sont des faux culs. Nous, on veut se qualifier, on sait que le chemin est long. On n’a pas envie de charger le sac à dos, il ne faut pas que ce top 6 devienne un fardeau pour nous.
Cela veut dire que malgré tous les changements amorcés, il n’y a pas d’année de transition, l’UBB joue le top 6 dès cette année ?
Je ne suis pas en transition moi, je suis là, ça fait un bon moment qu’on prépare le projet, je le connais par cœur, je sais où je veux aller, j’ai quatre ans pour y parvenir mais je n’ai pas de temps à perdre. Et ceux qui viennent aux entraînements peuvent voir qu’il n’y a pas de temps à perdre.
Au travers d’un conseil de sages, vous avez impliqué différents joueurs dans le leadership. Comment cela fonctionne-t-il ?
Une des clés de la réussite d’un groupe, c’est sa capacité à avoir des leaders forts. Ils sont en relation avec le staff. Sur chaque cycle, de 4 ou 5 matchs, il y a un bilan du conseil des sages. Ils me font remonter les informations du vestiaire, ce qu’il y a de bien et ce qu’on peut améliorer, et le staff leur dit où il veut aller. On a choisi des hommes respectés de tous. Mamad (Diaby) est capitaine. Je ne voulais pas de quelqu’un d’extravagant. On n’a pas besoin de ça à Bordeaux, on a besoin de mecs qui bossent et qui avancent. Rémi (Lamerat) est vice-capitaine. En très peu de temps, il a été capable de rassembler autour de lui. On a des leaders de jeu qui sont nos deux 10, Matthieu (Jalibert) et Ben (Botica). Des leaders de vie, on aurait pu en trouver pas mal donc on a fait une sélection et on est parti avec Marco (Tauleigne) et JB Dubié. Et les leaders de valeur, qui représentent très bien le club, sont Blair (Connor) et Jandre (Marais).
Votre discours dans les médias est fait de franc-parler, mais aussi de piques. Cette communication est-elle une arme ?
Je m’amuse. Rien ne gonfle plus que les discours où l’on ne dit rien. Il y en a plein dans notre métier. Il m’arrive de dire des conneries. Parfois, ça me coûte cher. Mais je me régale d’être là, de parler avec vous avec mon cœur. Dans les médias, je fais passer mes messages. Que ce soit à mes joueurs ou aux entraîneurs adverses. Toujours bien vu. Je dis les choses telles que je les ressens.
L’année dernière, beaucoup de supporters ont déserté le stade. Pensez-vous les faire revenir ?
J’ai parlé de reconquérir le cœur des supporters avec les joueurs, les administratifs, les membres du staff. Qu’on ait 25 000 personnes au stade, c’est bien, mais ce que je veux c’est qu’on ait 25 000 mecs qui viennent pour nous. Pas pour voir le Stade Toulousain mais pour partager une émotion qu’on va leur transmettre. J’aime le rugby, j’aime entraîner. Mais ce qui me plaît le plus, c’est ce partage. Je démarre toutes mes causeries par ça : « On est à Chaban, On est devant nos familles, nos potes, nos supporters. Les gens doivent être fiers de nous ».
"Il faut des bases fortes"
Le système de jeu mis en place semble être plus offensif. Pourrait-il redevenir restrictif si les résultats ne suivent pas ?
On n’est pas dans un jeu offensif à outrance. Le jeu de rugby est fait de dimension physique, avec des avants costauds, des trois-quarts qui entreprennent. On a remis des choses dans l’ordre. On n’est pas dans l’idée d’un jeu d’occupation et d’une pression à outrance. Ce sont juste des outils. Il faut trouver un équilibre. Et pour cela, il faut posséder des bases fortes : la conquête directe, la défense, la discipline. Je veux qu’on pratique un jeu dynamique. Quand je vois les noms que l’on a derrière (NDLR avec Radradra et Cordero), je me dis que si ces mecs, on ne les gave pas de ballons, on a un problème de compétence.
Quel regard portez-vous sur l’évolution du rugby et de ses valeurs ?
On est engagé dans un rugby professionnel et l’on ne fera pas machine arrière. Avant, tu défendais ton village et si tu étais un peu bon, tu avais un boulot à la mairie ou dans l’entreprise du président. J’ai connu la fin de ce rugby. Je ne suis pas nostalgique. On a perdu le côté social. Dans les clubs, c’est un business. Mais pour moi, les valeurs, ça compte. C’est ce qui te représente. On les a définies avec les joueurs. Il y en a quatre : solidarité, engagement, travail, fierté. Cela n’a rien d’exceptionnel mais la valeur rassemble les hommes. Mon rôle, c’est de faire qu’on ne marche pas en dehors de ce cadre en restant un club familial, en intégrant les jeunes et en rayonnant sur la région.
"Je n’ai pas de temps à perdre", affirme Christophe Urios face aux lecteurs
Yoan Leshauriès et Arnaud David.
Christophe Urios, le manager de l’UBB, a répondu aux questions des lecteurs de "Sud Ouest" lundi, dans nos locaux à Bordeaux
Il a jonglé entre l’humour et le franc-parler qui le caractérise. Mais une chose est sûre, il est apparu déterminé. Christophe Urios (53 ans), le nouveau manager de l’Union Bordeaux-Bègles, s’est soumis lundi pendant près d’une heure aux questions de quinze lecteurs de "Sud Ouest" au siège du journal à Bordeaux.
Son arrivée à l’UBB, le potentiel du club girondin, les objectifs fixés cette saison, sa méthode pour y parvenir et sa vision globale du rugby, le manager girondin s’est prêté à l’exercice et a paru à son aise. Une fois l’échange terminé, il a même joué les prolongations avec ses interlocuteurs autour d’un verre. Extraits.
"Je vais bientôt me lâcher"
« Sud Ouest » Quel est votre ressenti après le premier match face à Toulouse (30–25) ?
Christophe Urios. Il est extrêmement positif de par le contenu et le résultat mais aussi de par l’atmosphère. Quand j’étais à Castres, on m’a toujours dit, quand Chaban chante, ce n’est pas bon pour toi. Là, notre mot d’ordre était de faire chanter Chaban. Et Chaban a chanté.
Comment vous sentez-vous au sein de votre nouveau club ?
Je me sens bien, je commence à prendre mes marques. Ce n’est pas facile, il faut un temps d’adaptation. Mais aujourd’hui, je me sens à l’aise, plutôt naturel. Je ne le suis pas encore complètement, je fais attention mais je vais bientôt me lâcher, que ce soit avec le club ou les joueurs. Mais c’est un groupe de jeunes joueurs. À Castres, j’avais un groupe plus mature. Ici, je dois faire encore attention. Mais on commence à se faire confiance et ça, c’est important.
Quels sont les points forts de l’UBB et ses faiblesses ?
Je vois beaucoup de points forts. C’est un club jeune, de grande ville, capable de drainer du monde, avec des structures incroyables. Je trouve que c’est une région rugby, avec pas mal de clubs de Fédérale autour. Ce sont des atouts importants. Ce qu’on a besoin d’améliorer, ce n’est pas un scoop, c’est de gagner. Je sens beaucoup de frustration. J’ai bien compris que l’année dernière, il y avait une identité de jeu qui ne correspondait pas trop aux joueurs et au public, il faut le prendre en compte. Mais je trouve que l’UBB progresse chaque année, tant en termes de structures que de groupe qui est homogène. Les forces sont là. J’ai le sentiment qu’il faut peu de choses pour que ça décolle mais ce peu de choses peut s’avérer parfois difficile à trouver.
Êtes-vous satisfait de la préparation ? Allez-vous être dans la gestion des acquis ou va-t-il y avoir encore des évolutions ?
Être meilleur ne s’arrête jamais, ce sont les All Blacks qui disent ça. On va toujours chercher à s’améliorer. Quand tu n’es pas dans cette dynamique de progrès, tu te fais rattraper à un moment donné. Là, on est plutôt dans le souhait de rattraper les autres, alors si on ne cherche pas à progresser, on est mal. Je suis satisfait de la préparation, en termes d’état d’esprit ou de jeu, que le match face au Stade Toulousain est venu valider. Il faut continuer à travailler. Je sais où on veut aller et les joueurs le savent aussi.
Êtes-vous satisfait de l’effectif dont vous disposez ? Faut-il encore s’attendre à des arrivées ou à des départs ?
Un entraîneur n’est jamais satisfait. Le début de saison est un peu tronqué par les absences (6 internationaux retenus) mais je trouve qu’on a un groupe assez homogène. Sauf grosse blessure, il n’y a pas d’arrivée prévue. On a recruté Masa Tuataia en joker Coupe du monde car Jandre (Marais) a pris un peu de retard (genou). Alex Flanquart a été un peu embêté avec sa voûte plantaire. On s’est plutôt bien couvert. Et il n’y a pas de départs prévus.
"On m’a fait venir pour passer un cap"
Vous avez signé pour quatre ans à l’UBB. Le président Laurent Marti vous a-t-il fixé des objectifs précis ?
Il m’a fait venir pour gagner. On a envie de se qualifier mais pas uniquement. Ce n’est pas de la prétention dans ma bouche mais je ne suis pas venu à Bordeaux pour la qualification. L’interview du président parue dans ces colonnes était intéressante (« La qualification n’est pas la fin en soi, la fin en soi, c’est le Brennus »). Il montre son ambition, c’est quelqu’un que tu as envie de suivre. Je ne le connaissais pas, je l’ai rencontré un mercredi matin, ça a duré 2 heures. Quand je suis sorti de l’entretien, je savais que je signerais à Bordeaux. J’aime les gens comme ça. Il m’a fait venir pour faire passer un cap à l’UBB. Je ne me mets pas de pression particulière. Nous, ce qu’on veut, c’est regagner le cœur de nos supporters car ils ont été déçus la saison dernière. Si on travaille bien, les résultats viendront d’eux-mêmes. Les résultats sont la conséquence d’un état d’esprit, la conséquence d’un travail, d’une organisation. On a posé les fondations de tout ça. Maintenant, il faut le faire.
Avec cette nouvelle organisation, pouvez-vous garantir que l’UBB finira dans le top 6 dès la première saison ?
Il y a des trucs que je ne comprends pas trop dans Bordeaux, comme le fonctionnement des rocades mais j’ai bien compris qu’il fallait se qualifier. On le sait tous. Je considère que nous sommes 10 ou 11 équipes à pouvoir se qualifier. Toutes ont le même discours, et celles qui ne l’ont pas sont des faux culs. Nous, on veut se qualifier, on sait que le chemin est long. On n’a pas envie de charger le sac à dos, il ne faut pas que ce top 6 devienne un fardeau pour nous.
Cela veut dire que malgré tous les changements amorcés, il n’y a pas d’année de transition, l’UBB joue le top 6 dès cette année ?
Je ne suis pas en transition moi, je suis là, ça fait un bon moment qu’on prépare le projet, je le connais par cœur, je sais où je veux aller, j’ai quatre ans pour y parvenir mais je n’ai pas de temps à perdre. Et ceux qui viennent aux entraînements peuvent voir qu’il n’y a pas de temps à perdre.
Au travers d’un conseil de sages, vous avez impliqué différents joueurs dans le leadership. Comment cela fonctionne-t-il ?
Une des clés de la réussite d’un groupe, c’est sa capacité à avoir des leaders forts. Ils sont en relation avec le staff. Sur chaque cycle, de 4 ou 5 matchs, il y a un bilan du conseil des sages. Ils me font remonter les informations du vestiaire, ce qu’il y a de bien et ce qu’on peut améliorer, et le staff leur dit où il veut aller. On a choisi des hommes respectés de tous. Mamad (Diaby) est capitaine. Je ne voulais pas de quelqu’un d’extravagant. On n’a pas besoin de ça à Bordeaux, on a besoin de mecs qui bossent et qui avancent. Rémi (Lamerat) est vice-capitaine. En très peu de temps, il a été capable de rassembler autour de lui. On a des leaders de jeu qui sont nos deux 10, Matthieu (Jalibert) et Ben (Botica). Des leaders de vie, on aurait pu en trouver pas mal donc on a fait une sélection et on est parti avec Marco (Tauleigne) et JB Dubié. Et les leaders de valeur, qui représentent très bien le club, sont Blair (Connor) et Jandre (Marais).
Votre discours dans les médias est fait de franc-parler, mais aussi de piques. Cette communication est-elle une arme ?
Je m’amuse. Rien ne gonfle plus que les discours où l’on ne dit rien. Il y en a plein dans notre métier. Il m’arrive de dire des conneries. Parfois, ça me coûte cher. Mais je me régale d’être là, de parler avec vous avec mon cœur. Dans les médias, je fais passer mes messages. Que ce soit à mes joueurs ou aux entraîneurs adverses. Toujours bien vu. Je dis les choses telles que je les ressens.
L’année dernière, beaucoup de supporters ont déserté le stade. Pensez-vous les faire revenir ?
J’ai parlé de reconquérir le cœur des supporters avec les joueurs, les administratifs, les membres du staff. Qu’on ait 25 000 personnes au stade, c’est bien, mais ce que je veux c’est qu’on ait 25 000 mecs qui viennent pour nous. Pas pour voir le Stade Toulousain mais pour partager une émotion qu’on va leur transmettre. J’aime le rugby, j’aime entraîner. Mais ce qui me plaît le plus, c’est ce partage. Je démarre toutes mes causeries par ça : « On est à Chaban, On est devant nos familles, nos potes, nos supporters. Les gens doivent être fiers de nous ».
"Il faut des bases fortes"
Le système de jeu mis en place semble être plus offensif. Pourrait-il redevenir restrictif si les résultats ne suivent pas ?
On n’est pas dans un jeu offensif à outrance. Le jeu de rugby est fait de dimension physique, avec des avants costauds, des trois-quarts qui entreprennent. On a remis des choses dans l’ordre. On n’est pas dans l’idée d’un jeu d’occupation et d’une pression à outrance. Ce sont juste des outils. Il faut trouver un équilibre. Et pour cela, il faut posséder des bases fortes : la conquête directe, la défense, la discipline. Je veux qu’on pratique un jeu dynamique. Quand je vois les noms que l’on a derrière (NDLR avec Radradra et Cordero), je me dis que si ces mecs, on ne les gave pas de ballons, on a un problème de compétence.
Quel regard portez-vous sur l’évolution du rugby et de ses valeurs ?
On est engagé dans un rugby professionnel et l’on ne fera pas machine arrière. Avant, tu défendais ton village et si tu étais un peu bon, tu avais un boulot à la mairie ou dans l’entreprise du président. J’ai connu la fin de ce rugby. Je ne suis pas nostalgique. On a perdu le côté social. Dans les clubs, c’est un business. Mais pour moi, les valeurs, ça compte. C’est ce qui te représente. On les a définies avec les joueurs. Il y en a quatre : solidarité, engagement, travail, fierté. Cela n’a rien d’exceptionnel mais la valeur rassemble les hommes. Mon rôle, c’est de faire qu’on ne marche pas en dehors de ce cadre en restant un club familial, en intégrant les jeunes et en rayonnant sur la région.
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Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
CU est un très bon communicant.
Par de renfort prévu, dommage, car même avec Woki je nous trouve léger en 3ieme ligne aile. C’est aussi un profil de gratteur qui nous fait défaut.
Par de renfort prévu, dommage, car même avec Woki je nous trouve léger en 3ieme ligne aile. C’est aussi un profil de gratteur qui nous fait défaut.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Age : 51
Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Y aura pas de podcast en raison d'un problème technique.
Faudra se contenter de la version papier
Faudra se contenter de la version papier
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“Sous la mêlée, ça parle beaucoup; moi, j’étais un tribun.” Amédée DOMENECH International et orateur
kaze33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
La communication de C Urios est bonne, elle est fondée et a du sens. Il y en avait besoin. Par contre, il ne faut pas que cela vire à l'excès. Place au carré vert maintenant.
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
En tout cas, la qualité qui sera toujours pour moi la plus importante, c'est sa franchise. C'est devenu tellement rare, dans le rugby mais aussi dans la société en général ! On vit dans un monde de politiquement correct, d'hypocrisie et de mensonges. C'est valable dans le rugby et dans les autres sports, où la langue de bois règne.
Quel plaisir donc de lire un mec qui nous seulement dit franchement ce qu'il pense, et qui en plus l'assume pleinement ! C'est tellement dépaysant et inhabituel ! Il faut dire qu'avec Ibanez puis Brunel, on a été à bonne école, à l'UBB, côté politiquement correct, langue de bois et com polissée.
Définitivement notre meilleur recrutement
Quel plaisir donc de lire un mec qui nous seulement dit franchement ce qu'il pense, et qui en plus l'assume pleinement ! C'est tellement dépaysant et inhabituel ! Il faut dire qu'avec Ibanez puis Brunel, on a été à bonne école, à l'UBB, côté politiquement correct, langue de bois et com polissée.
Définitivement notre meilleur recrutement
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
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Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
la com de brunel me manque...non je déconne enfin un vrai manager avec cu
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le drop c'est l' éjaculation précoce de l'attaque
flavio33- Orga
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Localisation : merignac
Date d'inscription : 26/10/2015
Age : 38
Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Les propos d'Urios depuis le début sont claires et lisibles que ce soit pour nous ou pour ses joueurs, tout ce qu'il avait annoncé il le fait.
Sans parler de comparer avec la période bordélique récente, quel contraste avec la langue de bois d'Ibanez, c’était à se cogner la tête contre un mur...
On verra comment ça se passe, quand on sera dans la difficulté et la défaite, mais maintenant, comme dit le Radis, place au jeu.
Sans parler de comparer avec la période bordélique récente, quel contraste avec la langue de bois d'Ibanez, c’était à se cogner la tête contre un mur...
On verra comment ça se passe, quand on sera dans la difficulté et la défaite, mais maintenant, comme dit le Radis, place au jeu.
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
kaze33 a écrit:Y aura pas de podcast en raison d'un problème technique.
Faudra se contenter de la version papier
Je devrais (sauf pb technique) recevoir un book de la rencontre. Si c'est le cas je vous tiendrai au courant
Vous aurez remarqué que les journalistes se gardent quelques poires pour la soif
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
grospaquet31 a écrit:CU est un très bon communicant.
Par de renfort prévu, dommage, car même avec Woki je nous trouve léger en 3ieme ligne aile. C’est aussi un profil de gratteur qui nous fait défaut.
En 3ème ligne on a tout de même Gorgadze et Amosa dans ce profil qui rejoindront le groupe. Sans parler de Poirot, Ravai, Radrdradra et Seuteni qui sont plutôt de bons gratteurs.
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Hâte de revoir Gorgadze. J'adore ce joueur. En plus d'être rapide, il est puissant et agréable à regarder jouer. Vivement l'élimination de la Géorgie
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Voici la vidéo :
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Merci Patrick pour la vidéo
Vraiment j'adore ce type, ses valeurs, sa vision du Rugby, ses idées sur le fonctionnement du club, la place de l'humain dans tout ça et pas pour jouer aux billes, on a de la chance, enfin !
Quelqu'un l'a déjà dit ici, mais vraiment Urios, c'est notre meilleur recrutement
Vraiment j'adore ce type, ses valeurs, sa vision du Rugby, ses idées sur le fonctionnement du club, la place de l'humain dans tout ça et pas pour jouer aux billes, on a de la chance, enfin !
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
le radis a écrit:Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
NON
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
le radis a écrit:Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
Même sur la comparaison Minervois/Bordeaux
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
patrick a écrit:le radis a écrit:Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
Même sur la comparaison Minervois/Bordeaux
Arrête Patrick, va pas chercher la petite bête
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
J'ai découvert du très bon Minervois récemment, et donc n'ai pas trop tiqué sur le coup !
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
on peut l'écouter trois heures sans problème, on a envie de partir à la guerre avec lui, alors que certains au bout de deux min on
patrick ta référence au président de la ffr ne m'a pas échappé
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Scalp a écrit:patrick a écrit:le radis a écrit:Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
Même sur la comparaison Minervois/Bordeaux
Arrête Patrick, va pas chercher la petite bête
Pas du tout Scalp, c'était juste un appel du pied à Radis pour que la prochaine fois qu'on se verra il nous ramène quelques pépites du Languedoc/Roussillon son lieu d'exil D'ailleurs je crois que ça a mordu
Dernière édition par patrick le Mer 28 Aoû 2019 - 22:55, édité 1 fois
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
patrick a écrit:Scalp a écrit:patrick a écrit:le radis a écrit:Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
Même sur la comparaison Minervois/Bordeaux
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Pas du tout Scalp, c'était juste un appel du pied à Radis pour que la prochaine fois qu'on se verra il nous ramène quelques pépites du Languedoc/Roussillon son lieu d'exil D'ailleurs je crois que ça a mordu
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
flavio33 a écrit:on peut l'écouter trois heures sans problème, on a envie de partir à la guerre avec lui, alors que certains au bout de deux min on
patrick ta référence au président de la ffr ne m'a pas échappé
A ce titre, Dragan pourrait confirmer que j'adore le peuple serbe
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Scalp a écrit:patrick a écrit:Scalp a écrit:patrick a écrit:le radis a écrit:Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
Même sur la comparaison Minervois/Bordeaux
Arrête Patrick, va pas chercher la petite bête
Pas du tout Scalp, c'était juste un appel du pied à Radis pour que la prochaine fois qu'on se verra il nous ramène quelques pépites du Languedoc/Roussillon son lieu d'exil D'ailleurs je crois que ça a mordu
Subtil Patrick
Je vais vous ramener du Corbières premier prix, vous y attesterez de la subtilité du goût !
On peut noter pleins choses dans cet échange avec C Urios, mais je ne relèverai que celle-ci : encore une fois mention (appuyée) de J Marais.
le radis- Team modo
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
le radis a écrit:Scalp a écrit:patrick a écrit:Scalp a écrit:patrick a écrit:le radis a écrit:Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
Même sur la comparaison Minervois/Bordeaux
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Pas du tout Scalp, c'était juste un appel du pied à Radis pour que la prochaine fois qu'on se verra il nous ramène quelques pépites du Languedoc/Roussillon son lieu d'exil D'ailleurs je crois que ça a mordu
Subtil Patrick
Je vais vous ramener du Corbières premier prix, vous y attesterez de la subtilité du goût !
On peut noter pleins choses dans cet échange avec C Urios, mais je ne relèverai que celle-ci : encore une fois mention (appuyée) de J Marais.
CU semble avoir pas mal pris en compte le coup de mou qu'a pu subir Jeandre suite aux pépins physiques qui ont retardé son retour.
Pour le Corbières, je suis sûr que tu peux mieux faire ... voire au pire nous donner des conseils sur des choses trouvables sur Bx
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
patrick a écrit:le radis a écrit:Scalp a écrit:patrick a écrit:Scalp a écrit:patrick a écrit:le radis a écrit:Je concède Scalp n'avoir pas grand chose de négatif à formuler .
Même sur la comparaison Minervois/Bordeaux
Arrête Patrick, va pas chercher la petite bête
Pas du tout Scalp, c'était juste un appel du pied à Radis pour que la prochaine fois qu'on se verra il nous ramène quelques pépites du Languedoc/Roussillon son lieu d'exil D'ailleurs je crois que ça a mordu
Subtil Patrick
Je vais vous ramener du Corbières premier prix, vous y attesterez de la subtilité du goût !
On peut noter pleins choses dans cet échange avec C Urios, mais je ne relèverai que celle-ci : encore une fois mention (appuyée) de J Marais.
CU semble avoir pas mal pris en compte le coup de mou qu'a pu subir Jeandre suite aux pépins physiques qui ont retardé son retour.
Pour le Corbières, je suis sûr que tu peux mieux faire ... voire au pire nous donner des conseils sur des choses trouvables sur Bx
Hey le Radis, en Languedoc il y a un petit vin sympa que tu pourrais nous ramener, la Gran(G)e des Pères, disons une caisse ou deux
Dernière édition par Scalp le Jeu 29 Aoû 2019 - 14:06, édité 1 fois
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Re: Discussion avec Chef Urios Lundi 26 août 2019 (Sud-Ouest)
Scalp attention au correcteur automatique
Car radis le radin serait capable de trouver une bouteille de la grande des pères pour éviter de nous ramener un bouteille de la grange des pères
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