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Top14 - Fin de saison 2019-2020
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
romojito33 a écrit:Et celui là est royal aussi https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2019-2020/top-14-toulouse-le-cocu-de-lhistoire_sto7727722/story.shtml
Si seulement ça pouvait se révéler vrai, juste pour leur donnet une leçon !! Qu'ils aient le.culot de parler de décence en annulant la.saison, en méprisant les efforts des équipes devant eux, justifie qu'ils se prennent une belle baffe. Si barrage européen contre Clermont, je serai à fond derrière les jaunards malgré certaines déclarations du même acabit de par chez eux....
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
A ta demandesudiste a écrit:https://kiosque.midi-olympique.fr/midi-olympique-rouge/midi-olympique-rouge/2020-04-13
Quelqu'un aurait-il ce Midol en stock svp ? Merci
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Maxime-lamothe-du-maintien-avec-bayonne-a-un-titre-avec-l-ubb/1127754
marchal- Centre de presse
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
https://www.midi-olympique.fr/2020/04/16/lnr-avant-de-se-mettre-daccord-les-presidents-menacaient-la-ligue-de-plaintes-en-justice,8849751.php
marchal- Centre de presse
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
romojito33 a écrit:Et celui là est royal aussi https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2019-2020/top-14-toulouse-le-cocu-de-lhistoire_sto7727722/story.shtml
La conclusion des cet article c'est quoi : soit Toulouse (on se fout complètement des autres qui ne pourront participer aux phases finales et notamment ceux qui EUX sont dans les 6) peut prétendre à être champion soit il faut annuler ce championnat !!!
Le "jaune" plus "rouge et noir" que jamais ...
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
makno a écrit:A ta demandesudiste a écrit:https://kiosque.midi-olympique.fr/midi-olympique-rouge/midi-olympique-rouge/2020-04-13
Quelqu'un aurait-il ce Midol en stock svp ? Merci
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sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
sudiste a écrit:makno a écrit:A ta demandesudiste a écrit:https://kiosque.midi-olympique.fr/midi-olympique-rouge/midi-olympique-rouge/2020-04-13
Quelqu'un aurait-il ce Midol en stock svp ? Merci
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Je te rappelle qu'il y en a une partie posté sur le forum
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
marchal a écrit:https://www.midi-olympique.fr/2020/04/16/lnr-avant-de-se-mettre-daccord-les-presidents-menacaient-la-ligue-de-plaintes-en-justice,8849751.php
LNR : avant de se mettre d'accord, les présidents menaçaient la Ligue de plaintes en justice
Après un début de semaine électrique où chacun a encore avancé ses pions au mieux de ses intérêts, le monde du rugby professionnel est enfin parvenu à avancer sur une sortie de crise. Une lueur d’espoir au cœur d’un tableau bien sombre pour les clubs...
Lundi soir à 20h02 pétantes, 36 millions de Français avaient pris place devant leur télévision. Un chiffre record. À n’en pas douter, les présidents des trente clubs professionnels de rugby et tout l’aréopage de la LNR comptaient parmi ceux-là, pour ne rien manquer de l’intervention du Président de la République, Emmanuel Macron. Les attentes étaient nombreuses, l’espoir immense.
Évidemment, il n’a pas été question du sport professionnel, n’en déplaise à Simon Gillham, le président du CA Brive qui s’en est insurgé plus tard, sur ses réseaux sociaux. Ce dernier, en réponse à une Française expatriée en Grande-Bretagne affirmant sur Twitter qu’Emmanuel Macron était un exemple à suivre pour le Premier ministre anglais, Boris Johnson, a rapidement rétorqué : « Euh non pas du tout… ». Et de développer sa pensée : « Macron ce soir a été bavard, de longue haleine et « donneur de leçons ». Il n’a à aucun moment appelé un chat, un chat. Il a pris 26 minutes pour dire ce qui aurait pu être dit en 6. […] Et zéro aide, zéro mention pour le monde sportif. Un vrai exemple pour les britanniques », a-t-il ajouté avant de conclure : « Il (Emmanuel Macron) a beaucoup de choses, mais pas de tripes. Jusqu’à présent, il a reculé sur toutes les réformes… Il n’a pas eu le courage d’annuler les municipales uniquement pour des raisons politiques et, ce jour-là, des milliers de personnes ont été infectées. » Des propos illustrant les nerfs à vif des dirigeants œuvrant dans le microcosme du rugby.
Clermont et Perpignan brandissent la menace judiciaire
Depuis le début de la crise liée au Covid-19, les présidents s’écharpent par médias interposés. Les votes actés en réunion n’ont pas le temps d’être entérinés qu’ils sont remis en cause par les uns ou les autres. Chacun y va de sa solution, souvent dictée par des intérêts individuels. Et certains brandissent même la menace juridique. Un exemple ? Dans la droite lignée de François Rivière, le président de l’Usap, qui a évoqué durant un temps cette hypothèse afin que soit respecté le règlement concernant les montées et descentes entre Pro D2 et Top 14, c’est Clermont par la voix de son président éric de Cromière, qui a agité ce spectre en ce début de semaine. La raison ? Le système de péréquation, un moment évoqué pour déterminer les clubs qualifiés en Champions Cup et qui aurait exclu le club auvergnat de la prochaine Champions Cup, au profit du Stade toulousain. Vous en conviendrez, l’unité de façade constamment prônée par la LNR semble loin. Très loin. Globalement, l’image actuelle qui s’affiche en taille XXL est regrettable pour un sport qui ne cesse de revendiquer sa différence et ses valeurs.
Ces comportements, Paul Goze les a dénoncés la semaine dernière dans un courrier envoyé à tous les présidents de club. Et à peine Emmanuel Macron avait-il terminé ses annonces que le président de la LNR a encore dégainé. Une nouvelle missive jugée « opportuniste » par un président de Top 14 ayant peu goûté le contenu. Tout le contraire de Jacky Lorenzetti. « Bravo Paul pour ton appel à la raison et bravo à tous les permanents de la Ligue qui sont mobilisés 7/7 », écrivait le patron du Racing 92. Toujours sous le sceau du secret, de la communication interne. « Bravo d’avoir fait partir ce courrier une heure seulement après l’allocution du Président de la République un lundi soir de Pâques. Amitié à tous, il va falloir se serrer les coudes. »
Dans ce courrier que Midi Olympique a pu consulter, le président de la LNR affirme clairement son intention de siffler la fin de la récréation. Il y martèle qu’est venu le temps de prendre des décisions. Goze écrit ainsi dans un style affirmatif : « Elles seront prises par le comité directeur puis l’assemblée générale, après concertation avec les Présidents de clubs, qui devront se montrer solidaires de toutes les décisions aussi bien sportives, que financières et réglementaires. » En clair, il entend s’imposer en patron, affirmant qu’il assumera « en conscience la totalité des propositions qui seront présentées au comité directeur, ainsi que les décisions qui en résulteront. »
Wild sort du silence
Las, chacun y a encore été de son interprétation. Et visiblement, tous ne parlent pas le « Macron » de la même façon. Au lendemain de l’intervention du Président de la République, Eric De Cromières, chez nos confrères de France Bleu Auvergne, confiait : « Il ne me semble pas possible d’entraîner les joueurs avec des contacts, des mêlées, des rucks, en respectant les règles médicales basiques qui nous sont demandées. Pour moi, il n’est pas possible d’entraîner les joueurs pour qu’ils soient aptes à rejouer en juin. Très concrètement, le championnat est terminé et on ne peut pas rejouer ».
Une lecture partagée par le président-propriétaire du Stade français, Hans-Peter Wild. Ce dernier, par mail, nous a fait connaître son positionnement : « Thomas (Lombard) me tient informé des nombreuses réunions et courriers entre les présidents et les organes dirigeant le rugby professionnel avec des résultats changeants de jour en jour, en raison des intérêts personnels. Comme si le monde seul se composait du rugby français… Le rugby est un sport de contact et la distance sociale est le meilleur outil pour contrôler le virus. Il n’y a aucun moyen que nous puissions jouer au cours des prochains mois […] C’est le moment d’aborder les réformes nécessaires et les nouvelles réglementations pour permettre aux clubs de jouer le jeu et de ne pas gaspiller des tonnes d’argent. »
Seulement, en annonçant la fin du confinement le 11 mai et en précisant que le gouvernement allait communiquer sous quinze jours les conditions du déconfinement progressif, une brèche s’est pourtant ouverte dans laquelle certains se sont engouffrés. Après Eric De Cromières, c’était au tour de Laurent Marti, le président de Bordeaux, de rebondir : « Finir la saison, c’est notre position, notre volonté partagée par la LNR et la très grande majorité des présidents du Top 14. L’UBB est d’accord pour qualifier les huit premiers et disputer une phase finale d’un Championnat déjà joué sur le terrain à 66 %. » Et d’ajouter : « Il y a différentes formules et projections présentées qui semblent convenir à beaucoup de monde. On n’est pas obligés de finir la saison en juillet... Et si on repousse l’échéance, on peut espérer finir avec du public. »
Laurent Marti disait donc (presque) vrai. Si les chances de jouer une phase finale dans un stade comble sont faméliques, le document de travail remis aux présidents de clubs en amont de la réunion de mercredi soir et pondu par le groupe 1 indique bien que le scénario privilégié par la LNR et Paul Goze est de disputer a minima les demi-finales et la finale au mois d’août 2020. Un scénario sans descente ni montée, qui a semble-t-il fait consensus. À l’exception du Président du Stade toulousain, Didier Lacroix, s’exprimant vertement en préambule de la réunion des présidents de mercredi soir. N’empêche, la quasi-unanimité est une première depuis de longues semaines… Si la LNR s’est empressée de communiquer pour affirmer que deux scénarios étaient encore envisageables, c’est bien un épilogue aoûtien que le rugby professionnel privilégie désormais.
Arnaud Beurdeley
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Laurent-marti-president-de-bordeaux-begles-une-demie-ubb-toulon-ca-serait-sympa/1127683
Laurent Marti, président de Bordeaux-Bègles : « Une demie UBB-Toulon, ça serait sympa »
Le président de l'Union Bordeaux-Bègles apprécie la possibilité de terminer la saison 2019-2020 à la fin du mois d'août avec une phase finale express. L'UBB, leader au moment de l'arrêt de la compétition, recevrait alors Toulon (4e) tandis que Lyon (2e) accueillerait le Racing 92 (3e).
Hamid Imakhoukhene mis à jour le 16 avril 2020 à 15h14
« Que vous inspire la perspective de disputer une phase finale à la fin du mois d'août comme indiqué par la Ligue nationale de rugby mercredi soir ?
Je suis satisfait. Évidemment. Et tout le monde, globalement, pas que moi. Chacun était conscient qu'il y aurait eu une grosse injustice de rayer la saison en cours, d'effacer les 66 % de la compétition déjà joués d'un trait. Tout le monde a bossé dur depuis le 1er juillet 2019. On avait besoin d'une phase finale, notamment pour les supporters et les partenaires.
Mais dans l'attente de nouvelles indications gouvernementales, le risque persiste de disputer cette phase finale sans public dans les stades, non ?
Si on ne peut pas accueillir de public fin août, ça signifiera aussi que le Tour de France, reprogrammé du 29 août au 20 septembre, donc avec un départ le même week-end que la finale du Top 14, ne pourrait s'élancer non plus, non ? Franchement, si on ne peut pas accueillir de public dans les stades fin août, soit dans quatre mois, ça signifiera que la situation reste grave, que l'épidémie du Covid-19 reste présente et menaçante. Et à ce moment-là, ça sera beaucoup plus inquiétant que de savoir si on est capable de remplir un stade !
Le ''scénario 2'', tel qu'il est nommé, privilégie une phase finale express réduite à deux demi-finales (22 août) et une finale (29 août). Le ''scénario 1'', basé sur une reprise fin juin-début juillet, permettrait peut-être d'élargir une phase finale avec des quarts. Soit avec davantage de clubs concernés...
Tout cela reste à valider lors du Comité Directeur de la Ligue, le 30 avril et l'Assemblée Générale de la Ligue. Concernant les dates, on a bien vu que jouer la première quinzaine de juillet ce n'était pas vraiment envisageable... Le groupe de travail à l'initiative du ''scénario 2'', donc jouer les demies et la finale fin août, l'a adopté à l'unanimité avant de le proposer aux présidents. Mais j'affirme qu'à aucun moment ces dernières semaines, l'UBB ne s'est opposée à des quarts de finale. L'Union (leader au classement après 17 journées) a toujours eu la même position, on ne voulait pas d'un titre sur tapis vert. On voulait jouer. Et sur le principe, nous n'étions pas contre la présence de huit équipes en quarts de finale. Là, on devrait donc avoir une belle demie Bordeaux-Bègles -Toulon, chez nous. Une demie UBB - Toulon, ça serait sympa oui... Et l'hypothèse d'un quart Bordeaux-Montpellier, ça nous allait aussi.
« Bien sûr que ce sera une grande perte sportive de jouer sans Semi (Radradra) »
L'une des incongruités de ce scénario, c'est la perspective de disputer la phase finale 2019-2020 avec l'effectif 2020-2021. Bordeaux-Bègles jouerait sans Semi Radradra (engagé avec Bristol), ni Adrien Pélissié (engagé avec Clermont), entre autres. Or, l'UBB sans Radradra c'est différent non ?
D'abord, c'est une mesure exceptionnelle dont on aurait aimé se passer. Et il n'y a pas eu d'oppositions de présidents au fait de jouer avec l'effectif officiel de la saison prochaine. Puis, si vous regardez bien, il y aura peu de mouvements, ce sera une intersaison post-Coupe du monde sans gros recrutement... Ensuite, concernant Semi (Radradra), bien sûr que ce sera une grande perte sportive de jouer sans lui. Mais globalement, le fait de finir la saison d'avant avec certains nouveaux arrivants, je ne crois pas que ce soit dramatique. De toute manière, si l'on tient compte des blessures, de l'arrivée de différents jokers, chaque saison vous jouez avec de deux à cinq nouveaux éléments qui n'étaient pas là quand la saison a démarré.
Si la sortie de confinement est effective à partir du 12 mai, quand les joueurs seront-ils de retour sur le terrain d'entraînement ?
Dans le cas de figure d'une reprise de compétition le 22 août (demies de Top 14 et barrages accès Coupe d'Europe), vers mi-juin, je pense. Donc, à la sortie du confinement, ils seraient d'abord mis en congés pour quelques semaines. Mais ça reste à valider auprès des différentes parties intéressées. »
Laurent Marti, président de Bordeaux-Bègles : « Une demie UBB-Toulon, ça serait sympa »
Le président de l'Union Bordeaux-Bègles apprécie la possibilité de terminer la saison 2019-2020 à la fin du mois d'août avec une phase finale express. L'UBB, leader au moment de l'arrêt de la compétition, recevrait alors Toulon (4e) tandis que Lyon (2e) accueillerait le Racing 92 (3e).
Hamid Imakhoukhene mis à jour le 16 avril 2020 à 15h14
« Que vous inspire la perspective de disputer une phase finale à la fin du mois d'août comme indiqué par la Ligue nationale de rugby mercredi soir ?
Je suis satisfait. Évidemment. Et tout le monde, globalement, pas que moi. Chacun était conscient qu'il y aurait eu une grosse injustice de rayer la saison en cours, d'effacer les 66 % de la compétition déjà joués d'un trait. Tout le monde a bossé dur depuis le 1er juillet 2019. On avait besoin d'une phase finale, notamment pour les supporters et les partenaires.
Mais dans l'attente de nouvelles indications gouvernementales, le risque persiste de disputer cette phase finale sans public dans les stades, non ?
Si on ne peut pas accueillir de public fin août, ça signifiera aussi que le Tour de France, reprogrammé du 29 août au 20 septembre, donc avec un départ le même week-end que la finale du Top 14, ne pourrait s'élancer non plus, non ? Franchement, si on ne peut pas accueillir de public dans les stades fin août, soit dans quatre mois, ça signifiera que la situation reste grave, que l'épidémie du Covid-19 reste présente et menaçante. Et à ce moment-là, ça sera beaucoup plus inquiétant que de savoir si on est capable de remplir un stade !
Le ''scénario 2'', tel qu'il est nommé, privilégie une phase finale express réduite à deux demi-finales (22 août) et une finale (29 août). Le ''scénario 1'', basé sur une reprise fin juin-début juillet, permettrait peut-être d'élargir une phase finale avec des quarts. Soit avec davantage de clubs concernés...
Tout cela reste à valider lors du Comité Directeur de la Ligue, le 30 avril et l'Assemblée Générale de la Ligue. Concernant les dates, on a bien vu que jouer la première quinzaine de juillet ce n'était pas vraiment envisageable... Le groupe de travail à l'initiative du ''scénario 2'', donc jouer les demies et la finale fin août, l'a adopté à l'unanimité avant de le proposer aux présidents. Mais j'affirme qu'à aucun moment ces dernières semaines, l'UBB ne s'est opposée à des quarts de finale. L'Union (leader au classement après 17 journées) a toujours eu la même position, on ne voulait pas d'un titre sur tapis vert. On voulait jouer. Et sur le principe, nous n'étions pas contre la présence de huit équipes en quarts de finale. Là, on devrait donc avoir une belle demie Bordeaux-Bègles -Toulon, chez nous. Une demie UBB - Toulon, ça serait sympa oui... Et l'hypothèse d'un quart Bordeaux-Montpellier, ça nous allait aussi.
« Bien sûr que ce sera une grande perte sportive de jouer sans Semi (Radradra) »
L'une des incongruités de ce scénario, c'est la perspective de disputer la phase finale 2019-2020 avec l'effectif 2020-2021. Bordeaux-Bègles jouerait sans Semi Radradra (engagé avec Bristol), ni Adrien Pélissié (engagé avec Clermont), entre autres. Or, l'UBB sans Radradra c'est différent non ?
D'abord, c'est une mesure exceptionnelle dont on aurait aimé se passer. Et il n'y a pas eu d'oppositions de présidents au fait de jouer avec l'effectif officiel de la saison prochaine. Puis, si vous regardez bien, il y aura peu de mouvements, ce sera une intersaison post-Coupe du monde sans gros recrutement... Ensuite, concernant Semi (Radradra), bien sûr que ce sera une grande perte sportive de jouer sans lui. Mais globalement, le fait de finir la saison d'avant avec certains nouveaux arrivants, je ne crois pas que ce soit dramatique. De toute manière, si l'on tient compte des blessures, de l'arrivée de différents jokers, chaque saison vous jouez avec de deux à cinq nouveaux éléments qui n'étaient pas là quand la saison a démarré.
Si la sortie de confinement est effective à partir du 12 mai, quand les joueurs seront-ils de retour sur le terrain d'entraînement ?
Dans le cas de figure d'une reprise de compétition le 22 août (demies de Top 14 et barrages accès Coupe d'Europe), vers mi-juin, je pense. Donc, à la sortie du confinement, ils seraient d'abord mis en congés pour quelques semaines. Mais ça reste à valider auprès des différentes parties intéressées. »
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Cet article est magique, même un dirigeant du ST n’aurait pas osé sortir des propos pareils! C’est le post d’un fan sur le forum du ST, c’est pas possible. Tout y est: y’a qu’eux qui ont eu des absents à la coupe du monde, y’a qu’eux qui ont eu des absents au tournoi, et puis bon, on leur manquerai de respect avec tout ce que le grand stade toulousain a fait pour le rugby, le ton condescendant etc..... le midol n’a jamais été aussi « toulousain »
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Coronavirus-vers-un-ete-deroutant-en-top-14/1127821
Coronavirus : vers un été déroutant en Top 14
La Ligue nationale a imaginé deux scénarios pour achever la saison en cours, l'un en juillet, l'autre en août, avec une grosse préférence pour le second. Ce qui génère beaucoup d'interrogations.
Laurent Campistron (avec H. I. et A. Co.) 16 avril 2020 à 22h16
Deux scénarios ont jailli mercredi soir de la dernière réunion du groupe de travail chargé par la Ligue de repenser la fin du Top 14. L'un pèse plus que l'autre. Ainsi, plutôt que de terminer le Championnat en juillet dans des stades vides - le gouvernement français ayant interdit les gros rassemblements jusqu'à mi-juillet -, la majorité des présidents de l'élite préférerait le finir durant la deuxième quinzaine du mois d'août, juste avant d'enchaîner sur la saison d'après. Mais quel bazar !
Une phase finale à quatre
C'est la solution privilégiée, celle d'août. Des demi-finales, une finale et basta ! Comme si ce Championnat tronqué ne pouvait se conclure que par un finish au rabais. Ça permettrait au moins à Bordeaux-Bègles, Lyon, au Racing ou à Toulon de soulever le Brennus, et à la LNR de respecter ses obligations contractuelles et de récupérer une partie des droits télé que lui doit encore Canal+. « On s'oriente clairement vers cette option, confirme Philippe Tayeb, le président de Bayonne. C'est bien d'avoir un champion de France, de donner la chance aux personnes qui ont fait un beau début de saison d'être titrées. » Exit donc La Rochelle (5e), Clermont (6e), Toulouse (7e) et Montpellier (8e). « À aucun moment, l'UBB ne s'est opposé à des quarts de finale, assure Laurent Marti, le patron du club girondin. On a toujours eu la même position, on ne voulait pas d'un titre sur tapis vert. (...) Là, on devrait avoir une belle demie UBB-Toulon chez nous. Mais un quart contre Montpellier nous allait aussi. »
Qui serait concerné par quoi ?
Jouent les demi-finales : Bordeaux-Bègles (1er) - Toulon (4e) et Lyon (2e) - Racing 92 (3e)
Barrages pour la Coupe d'Europe (Sauf si l'EPCR accepte la requête de la LNR de qualifier huit clubs français) : Clermont (6e) - Toulouse (7e) et La Rochelle (5e) - Montpellier (8e)
Saison terminée (maintien en Top 14) : Bayonne (9e), Castres (10e), Brive (11e), Pau (12e), Agen (13e) et Stade Français (14e).
Avec l'effectif de la saison suivante
Ce n'est pas la moindre des incongruités de ce probable choix d'août. Ainsi, les quatre demi-finalistes ne devraient pas se disputer le titre avec leur effectif actuel mais avec celui de la saison prochaine ! Ça leur évitera une bonne prise de tête juridique pour prolonger d'un mois ou deux les contrats des joueurs s'arrêtant à la fin de la saison en cours et, surtout, des situations encore plus burlesques qui verraient un gars faire toute la prépa estivale avec son nouveau club pour finalement revenir le temps d'un week-end ou deux chez son ex pour finir un job qu'il avait laissé en stand-by.
Il n'empêche, une telle éventualité priverait des joueurs comme le Racingman Dulin ou le Bordelais Radradra (qui a signé à Bristol) de la possibilité de décrocher un titre sur le terrain. À l'inverse, ça permettrait à d'autres d'en gagner un en deux matches. Aberrant, dites-vous ? « J'ai fait toute la saison avec l'Aviron et ce serait vraiment particulier de la finir avec une autre équipe », s'étonne le talonneur bayonnais Maxime Lamothe, bientôt de retour dans son club formateur de l'UBB.
Et sans Toulouse...
Dans cette histoire, le Stade Toulousain apparaît comme le dindon de la farce, même si Clermont et d'autres peuvent aussi s'estimer lésés. Septième, le club rouge et noir a disputé 13 de ses 17 matches en situation de vrais ou faux doublons. Il lui manquait une douzaine d'internationaux pendant le Mondial au Japon, 7 ou 8 joueurs pendant les Six Nations. Ainsi, il n'aura joué que deux mois avec son effectif au complet (du 20 novembre au 20 janvier, en gros), pour un bilan de 9 victoires (dont un 6 sur 6 en Coupe d'Europe), un nul et une défaite en 11 matches.
« Si la phase finale a été autrefois ouverte à six clubs, c'est justement pour permettre à des clubs lourdement touchés par l'absence d'internationaux pendant les périodes de doublons de se refaire la cerise pendant celles de non doublons, nous disait il y a peu le président Didier Lacroix. Or, cette saison, notre proportion de matches en doublons n'a pas été compensée par celle hors doublons. Ça ne serait pas juste de figer le classement actuel. » Toulouse comptait sur les 9 journées restantes pour rattraper son retard et défendre son titre. Il lui reste encore une chance de le faire : que la première option, celle de juillet, soit choisie. Elle pourrait inclure des quarts de finale...
... Qui jouerait sa qualif européenne en barrages
C'est d'ailleurs probablement pour atténuer l'iniquité du cas toulousain que la LNR a aussi pondu, dans le cas d'un final en août, un scénario inédit avec deux matches de barrages pour attribuer les deux dernières places européennes. Toulouse (7e) irait ainsi à Clermont (6e), et Montpellier (8e) à La Rochelle (5e). Une éventualité peu du goût de Franck Azéma, le coach de l'ASM, qui s'en est ému dans Midi-Olympique : « Ça n'a aucun sens. À un moment, il faut être cohérent : soit on arrête le classement comme il est, et les six premiers sont qualifiés, soit on dit "c'est une saison blanche", et on garde les mêmes qualifiés pour la saison prochaine. (...) Là, on invente une solution pour donner une chance aux 7e et 8e de se qualifier. C'est ridicule. »
C'est d'autant plus loufoque qu'un ASM-Toulouse pourrait voir le demi de mêlée Sébastien Bézy disputer avec les Jaunards le dernier match d'une saison qu'il aura entièrement traversé en rouge et noir... Mais l'EPCR peut encore sauver le rugby français de cette situation. En acceptant la proposition toulousaine, transmise par la LNR, de qualifier huit clubs français pour la Coupe d'Europe la saison prochaine et d'étendre ainsi l'épreuve à huit groupes de 3. On en saura sans doute plus lors du prochain Comité directeur de la LNR, le 30 avril.
Pro D2 : un titre, pas de montée
La saison de Pro D2 devrait également se terminer durant la seconde quinzaine d'août par une phase finale express avec des demi-finales opposant les quatre premiers de la saison régulière au soir de la 23e journée (Colomiers-Oyonnax et Perpignan-Grenoble) et une finale. Le vainqueur sera sacré champion mais ne sera pas autorisé à monter en Top 14, puisque les présidents des clubs pro ont voté pour un statu quo la saison prochaine (ni montées ni descentes). Le champion devrait néanmoins être nanti d'un bonus de 4 points au début de la saison d'après, et le finaliste de 2 points. Une maigre consolation pour François Rivière, le président de l'USAP : « On doit être la seule division en France, tous sports confondus, où il n'y aura pas de montées ! À l'arrivée, on aura peut-être un trophée, mais qui ne sert à rien. »L. C.
Coronavirus : vers un été déroutant en Top 14
La Ligue nationale a imaginé deux scénarios pour achever la saison en cours, l'un en juillet, l'autre en août, avec une grosse préférence pour le second. Ce qui génère beaucoup d'interrogations.
Laurent Campistron (avec H. I. et A. Co.) 16 avril 2020 à 22h16
Deux scénarios ont jailli mercredi soir de la dernière réunion du groupe de travail chargé par la Ligue de repenser la fin du Top 14. L'un pèse plus que l'autre. Ainsi, plutôt que de terminer le Championnat en juillet dans des stades vides - le gouvernement français ayant interdit les gros rassemblements jusqu'à mi-juillet -, la majorité des présidents de l'élite préférerait le finir durant la deuxième quinzaine du mois d'août, juste avant d'enchaîner sur la saison d'après. Mais quel bazar !
Une phase finale à quatre
C'est la solution privilégiée, celle d'août. Des demi-finales, une finale et basta ! Comme si ce Championnat tronqué ne pouvait se conclure que par un finish au rabais. Ça permettrait au moins à Bordeaux-Bègles, Lyon, au Racing ou à Toulon de soulever le Brennus, et à la LNR de respecter ses obligations contractuelles et de récupérer une partie des droits télé que lui doit encore Canal+. « On s'oriente clairement vers cette option, confirme Philippe Tayeb, le président de Bayonne. C'est bien d'avoir un champion de France, de donner la chance aux personnes qui ont fait un beau début de saison d'être titrées. » Exit donc La Rochelle (5e), Clermont (6e), Toulouse (7e) et Montpellier (8e). « À aucun moment, l'UBB ne s'est opposé à des quarts de finale, assure Laurent Marti, le patron du club girondin. On a toujours eu la même position, on ne voulait pas d'un titre sur tapis vert. (...) Là, on devrait avoir une belle demie UBB-Toulon chez nous. Mais un quart contre Montpellier nous allait aussi. »
Qui serait concerné par quoi ?
Jouent les demi-finales : Bordeaux-Bègles (1er) - Toulon (4e) et Lyon (2e) - Racing 92 (3e)
Barrages pour la Coupe d'Europe (Sauf si l'EPCR accepte la requête de la LNR de qualifier huit clubs français) : Clermont (6e) - Toulouse (7e) et La Rochelle (5e) - Montpellier (8e)
Saison terminée (maintien en Top 14) : Bayonne (9e), Castres (10e), Brive (11e), Pau (12e), Agen (13e) et Stade Français (14e).
Avec l'effectif de la saison suivante
Ce n'est pas la moindre des incongruités de ce probable choix d'août. Ainsi, les quatre demi-finalistes ne devraient pas se disputer le titre avec leur effectif actuel mais avec celui de la saison prochaine ! Ça leur évitera une bonne prise de tête juridique pour prolonger d'un mois ou deux les contrats des joueurs s'arrêtant à la fin de la saison en cours et, surtout, des situations encore plus burlesques qui verraient un gars faire toute la prépa estivale avec son nouveau club pour finalement revenir le temps d'un week-end ou deux chez son ex pour finir un job qu'il avait laissé en stand-by.
Il n'empêche, une telle éventualité priverait des joueurs comme le Racingman Dulin ou le Bordelais Radradra (qui a signé à Bristol) de la possibilité de décrocher un titre sur le terrain. À l'inverse, ça permettrait à d'autres d'en gagner un en deux matches. Aberrant, dites-vous ? « J'ai fait toute la saison avec l'Aviron et ce serait vraiment particulier de la finir avec une autre équipe », s'étonne le talonneur bayonnais Maxime Lamothe, bientôt de retour dans son club formateur de l'UBB.
Et sans Toulouse...
Dans cette histoire, le Stade Toulousain apparaît comme le dindon de la farce, même si Clermont et d'autres peuvent aussi s'estimer lésés. Septième, le club rouge et noir a disputé 13 de ses 17 matches en situation de vrais ou faux doublons. Il lui manquait une douzaine d'internationaux pendant le Mondial au Japon, 7 ou 8 joueurs pendant les Six Nations. Ainsi, il n'aura joué que deux mois avec son effectif au complet (du 20 novembre au 20 janvier, en gros), pour un bilan de 9 victoires (dont un 6 sur 6 en Coupe d'Europe), un nul et une défaite en 11 matches.
« Si la phase finale a été autrefois ouverte à six clubs, c'est justement pour permettre à des clubs lourdement touchés par l'absence d'internationaux pendant les périodes de doublons de se refaire la cerise pendant celles de non doublons, nous disait il y a peu le président Didier Lacroix. Or, cette saison, notre proportion de matches en doublons n'a pas été compensée par celle hors doublons. Ça ne serait pas juste de figer le classement actuel. » Toulouse comptait sur les 9 journées restantes pour rattraper son retard et défendre son titre. Il lui reste encore une chance de le faire : que la première option, celle de juillet, soit choisie. Elle pourrait inclure des quarts de finale...
... Qui jouerait sa qualif européenne en barrages
C'est d'ailleurs probablement pour atténuer l'iniquité du cas toulousain que la LNR a aussi pondu, dans le cas d'un final en août, un scénario inédit avec deux matches de barrages pour attribuer les deux dernières places européennes. Toulouse (7e) irait ainsi à Clermont (6e), et Montpellier (8e) à La Rochelle (5e). Une éventualité peu du goût de Franck Azéma, le coach de l'ASM, qui s'en est ému dans Midi-Olympique : « Ça n'a aucun sens. À un moment, il faut être cohérent : soit on arrête le classement comme il est, et les six premiers sont qualifiés, soit on dit "c'est une saison blanche", et on garde les mêmes qualifiés pour la saison prochaine. (...) Là, on invente une solution pour donner une chance aux 7e et 8e de se qualifier. C'est ridicule. »
C'est d'autant plus loufoque qu'un ASM-Toulouse pourrait voir le demi de mêlée Sébastien Bézy disputer avec les Jaunards le dernier match d'une saison qu'il aura entièrement traversé en rouge et noir... Mais l'EPCR peut encore sauver le rugby français de cette situation. En acceptant la proposition toulousaine, transmise par la LNR, de qualifier huit clubs français pour la Coupe d'Europe la saison prochaine et d'étendre ainsi l'épreuve à huit groupes de 3. On en saura sans doute plus lors du prochain Comité directeur de la LNR, le 30 avril.
Pro D2 : un titre, pas de montée
La saison de Pro D2 devrait également se terminer durant la seconde quinzaine d'août par une phase finale express avec des demi-finales opposant les quatre premiers de la saison régulière au soir de la 23e journée (Colomiers-Oyonnax et Perpignan-Grenoble) et une finale. Le vainqueur sera sacré champion mais ne sera pas autorisé à monter en Top 14, puisque les présidents des clubs pro ont voté pour un statu quo la saison prochaine (ni montées ni descentes). Le champion devrait néanmoins être nanti d'un bonus de 4 points au début de la saison d'après, et le finaliste de 2 points. Une maigre consolation pour François Rivière, le président de l'USAP : « On doit être la seule division en France, tous sports confondus, où il n'y aura pas de montées ! À l'arrivée, on aura peut-être un trophée, mais qui ne sert à rien. »L. C.
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Je vous trouve assez dur avec les toulousains... Si on était à leur place, on serait les premiers à crier au scandale aussi, ça serait de l'hypocrisie de dire le contraire. C'est le plus gros fournisseur du XV de France ( est-ce normal que Dupont ait plus de temps avec le XV de France que son propre club cette saison ?), ils sont champion de France en titre ( et ne pas pouvoir défendre son titre "à la loyal", je comprends qu'ils peuvent avoir les glandes. Et la cerise sur le gâteau, ils font un parcours sans faute en Champions Cup et il faudrait qu'ils aillent batailler à Clermont pour avoir une place en coupe d'Europe l'année prochaine ? C'est pas sérieux franchement... Alors certes je porte pas Toulouse dans mon coeur et encore moins certains de leurs supporters prétentieux et caliméro mais il faut être capable de prendre un peu de recul et se mettre à leur place.
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Auré33 a écrit:Je vous trouve assez dur avec les toulousains... Si on était à leur place, on serait les premiers à crier au scandale aussi, ça serait de l'hypocrisie de dire le contraire. C'est le plus gros fournisseur du XV de France ( est-ce normal que Dupont ait plus de temps avec le XV de France que son propre club cette saison ?), ils sont champion de France en titre ( et ne pas pouvoir défendre son titre "à la loyal", je comprends qu'ils peuvent avoir les glandes. Et la cerise sur le gâteau, ils font un parcours sans faute en Champions Cup et il faudrait qu'ils aillent batailler à Clermont pour avoir une place en coupe d'Europe l'année prochaine ? C'est pas sérieux franchement... Alors certes je porte pas Toulouse dans mon coeur et encore moins certains de leurs supporters prétentieux et caliméro mais il faut être capable de prendre un peu de recul et se mettre à leur place.
D'accord avec toi Auré, ce n'est pas parce qu'une partie des supporters Toulousain est d'une insupportable condescendance, qu'il faut généraliser et s’égarer dans notre jugement...
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Le grand ST qui a bénéficié de ses internationaux pendant 2 mois pour un total de 5 match et un ratio de 3,5 pts par match....l’ubb c’est 4,2 pts dans cette même période!
L’ubb en demi direct. Point. C’est la logique de cette saison. Tout autre scénario serait injuste et nous défavoriserait.
Le scénario de reprise en juillet ne tient pas debout. On reathletise les joueurs pour jouer 2-3 matchs et on les renvoie en vacances pour refaire une autre préparation plus tard, celle de la prochaine saison?
Si on repart en juillet, l’UBB et Lou qualifiés d’office. Ensuite le Racing et RCT jouent un match de barrage contre les vainqueurs de SR-MHR et ASM-ST. ca fait 4 we au lieu de 3. Cette formule, quelque soit la date de reprise finalement, serait plus équitable pour tout le monde.
L’ubb en demi direct. Point. C’est la logique de cette saison. Tout autre scénario serait injuste et nous défavoriserait.
Le scénario de reprise en juillet ne tient pas debout. On reathletise les joueurs pour jouer 2-3 matchs et on les renvoie en vacances pour refaire une autre préparation plus tard, celle de la prochaine saison?
Si on repart en juillet, l’UBB et Lou qualifiés d’office. Ensuite le Racing et RCT jouent un match de barrage contre les vainqueurs de SR-MHR et ASM-ST. ca fait 4 we au lieu de 3. Cette formule, quelque soit la date de reprise finalement, serait plus équitable pour tout le monde.
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Quelque soit la formule, le ST doit aller jouer à l’ASM.Auré33 a écrit:Je vous trouve assez dur avec les toulousains... Si on était à leur place, on serait les premiers à crier au scandale aussi, ça serait de l'hypocrisie de dire le contraire. C'est le plus gros fournisseur du XV de France ( est-ce normal que Dupont ait plus de temps avec le XV de France que son propre club cette saison ?), ils sont champion de France en titre ( et ne pas pouvoir défendre son titre "à la loyal", je comprends qu'ils peuvent avoir les glandes. Et la cerise sur le gâteau, ils font un parcours sans faute en Champions Cup et il faudrait qu'ils aillent batailler à Clermont pour avoir une place en coupe d'Europe l'année prochaine ? C'est pas sérieux franchement... Alors certes je porte pas Toulouse dans mon coeur et encore moins certains de leurs supporters prétentieux et caliméro mais il faut être capable de prendre un peu de recul et se mettre à leur place.
Sinon certes ils sont le plus gros fournisseur, mais il ne faut pas oublier les autres clubs qui ont fournis aussi bcp d’internationaux. Cet abattage médiatique ne fait penser que seul le ST a été pénalisé.
Cela dit je suis pour une formule plus juste, ou le ST doit pouvoir défendre son titre mais aussi avec l’ubb directement qualifié en demi.
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
https://www.midi-olympique.fr/2020/04/17/goze-et-les-mots,8850841.php
Goze et les mots
L'édito de Léo Faure... Emmanuel Macron ne le sait sûrement pas – et encore heureux ! – mais il a rendu lundi un fier service au rugby. Bien occupé à annoncer des mesures sans aucune chance de contenter la majorité, le Président de la République a donc posé cette date du 11 mai au centre de la place du village « France ». Et cette notion plus vague, « mi-juillet », comme jalon à la reconquête des événements d’ampleur sur leur public. Le rugby, comme les autres, s’est engouffré dans l’annonce. Tout ceci n’avait pourtant rien de définitif.
Les mots, quand on leur prête l’amour qu’ils méritent, ne trompent jamais. Dans la sémantique présidentielle, ces mots affirmaient le conditionnel du calendrier proposé : après avoir parlé du 11 mai, le Président de la République précisait qu’il « n’y aura un 11 mai que si… ». Sous-entendu, rien d’irrévocable. Mais qui écoute vraiment les « si », ces annotations à un contrat dont on ne lit jamais que le montant ?
Pour la réouverture des plus grands événements, Macron n’a pas seulement prononcé la suspension « jusqu’à la mi-juillet ». Il a dit « au moins jusqu’à la mi-juillet ». Nuance. Qui s’en souvient encore ?
C’est pourtant de là que tout est parti. Là-dessus, le rugby français a construit deux scénarios. Le premier pour les heures qui suivent « la mi-juillet » et une finale positionnée au 18 juillet. Au cas où. Le second scénario plus raisonnable, plus crédible, plus fédérateur, ciblait la deuxième quinzaine du mois d’août.
Pour autant, rien ne dit que la situation sanitaire laissera alors à ces phases finales de plage la chance de faire le plein de spectateurs, ni même de joueurs. Mais le rugby tente sa chance. Dans l’état d’inquiétudes financières qui le rongent, on lui concède cet affront à la morale sportive d’un championnat inachevé, à la qualification arbitraire et un sacre, in fine, qui ne manquerait pas d’être lesté par le sceau du rabais.
La grande Histoire retiendra que, si les planètes s’alignent, il y a aura un nom de club gravé en face de « 2020 » sur la plaque d’or du Bouclier de Brennus. La petite histoire retiendra que Paul Goze, animal politique de premier choix dans l’arborescence des rugbymen, a une nouvelle fois bien mené sa barque. Et son monde.
Tour à tour, on nous a conté un président de la LNR usé, fatigué, épuisé par cet ultime épisode d’une présidence longue de 8 années. On nous l’a aussi promis en perte de pouvoir et de contrôle sur ses hommes. Au plus fort de la tempête, le Catalan s’est surtout réfugié au contrefort de ces fondamentaux qu’il apprécie tant. La discrétion comme un point de sécurité.
Quand les voix s’affrontaient, Goze s’est tu. Quand d’autres voix l’attaquaient lui, directement, Goze s’est encore tu. Quand les présidents du rugby Français se sont étripés pour défendre souvent leur bien individuel, plus rarement leur bien commun, Goze n’a pas fait autre chose : il s’est tu.
Il l’a fait quitte à semer le trouble dans ses propres rangs, qu’il a longtemps maintenus dans le trouble. Ce qui lui sera reproché mais stratégie politique habile, la cacophonie entretenue lui épargnant un front uni contre lui. Et quand l’heure fut venue, décrétée par les annonces du président Macron, Goze a enfin dégainé son projet qui a mis tout le monde d’accord.
Que des heureux ? Certainement pas. La situation ne l’autorisait pas. Mais le scénario écrit par sa Ligue a bel et bien été approuvé par les présidents de club. Chose fédératrice qui semblait inconcevable il y a encore quelques jours. Laissant les autres se répandre, Goze a joué de mystère pour frapper au bon moment. Il a surtout frappé juste, pour remettre en marche avant une machine qui implosait. Voilà l’épitaphe soignée sur deux mandats qui s’achèvent à son image de président, pas celle du joueur : si Goze n’a mené aucune bataille de front, il les a toutes gagnées.
Léo Faure
Goze et les mots
L'édito de Léo Faure... Emmanuel Macron ne le sait sûrement pas – et encore heureux ! – mais il a rendu lundi un fier service au rugby. Bien occupé à annoncer des mesures sans aucune chance de contenter la majorité, le Président de la République a donc posé cette date du 11 mai au centre de la place du village « France ». Et cette notion plus vague, « mi-juillet », comme jalon à la reconquête des événements d’ampleur sur leur public. Le rugby, comme les autres, s’est engouffré dans l’annonce. Tout ceci n’avait pourtant rien de définitif.
Les mots, quand on leur prête l’amour qu’ils méritent, ne trompent jamais. Dans la sémantique présidentielle, ces mots affirmaient le conditionnel du calendrier proposé : après avoir parlé du 11 mai, le Président de la République précisait qu’il « n’y aura un 11 mai que si… ». Sous-entendu, rien d’irrévocable. Mais qui écoute vraiment les « si », ces annotations à un contrat dont on ne lit jamais que le montant ?
Pour la réouverture des plus grands événements, Macron n’a pas seulement prononcé la suspension « jusqu’à la mi-juillet ». Il a dit « au moins jusqu’à la mi-juillet ». Nuance. Qui s’en souvient encore ?
C’est pourtant de là que tout est parti. Là-dessus, le rugby français a construit deux scénarios. Le premier pour les heures qui suivent « la mi-juillet » et une finale positionnée au 18 juillet. Au cas où. Le second scénario plus raisonnable, plus crédible, plus fédérateur, ciblait la deuxième quinzaine du mois d’août.
Pour autant, rien ne dit que la situation sanitaire laissera alors à ces phases finales de plage la chance de faire le plein de spectateurs, ni même de joueurs. Mais le rugby tente sa chance. Dans l’état d’inquiétudes financières qui le rongent, on lui concède cet affront à la morale sportive d’un championnat inachevé, à la qualification arbitraire et un sacre, in fine, qui ne manquerait pas d’être lesté par le sceau du rabais.
La grande Histoire retiendra que, si les planètes s’alignent, il y a aura un nom de club gravé en face de « 2020 » sur la plaque d’or du Bouclier de Brennus. La petite histoire retiendra que Paul Goze, animal politique de premier choix dans l’arborescence des rugbymen, a une nouvelle fois bien mené sa barque. Et son monde.
Tour à tour, on nous a conté un président de la LNR usé, fatigué, épuisé par cet ultime épisode d’une présidence longue de 8 années. On nous l’a aussi promis en perte de pouvoir et de contrôle sur ses hommes. Au plus fort de la tempête, le Catalan s’est surtout réfugié au contrefort de ces fondamentaux qu’il apprécie tant. La discrétion comme un point de sécurité.
Quand les voix s’affrontaient, Goze s’est tu. Quand d’autres voix l’attaquaient lui, directement, Goze s’est encore tu. Quand les présidents du rugby Français se sont étripés pour défendre souvent leur bien individuel, plus rarement leur bien commun, Goze n’a pas fait autre chose : il s’est tu.
Il l’a fait quitte à semer le trouble dans ses propres rangs, qu’il a longtemps maintenus dans le trouble. Ce qui lui sera reproché mais stratégie politique habile, la cacophonie entretenue lui épargnant un front uni contre lui. Et quand l’heure fut venue, décrétée par les annonces du président Macron, Goze a enfin dégainé son projet qui a mis tout le monde d’accord.
Que des heureux ? Certainement pas. La situation ne l’autorisait pas. Mais le scénario écrit par sa Ligue a bel et bien été approuvé par les présidents de club. Chose fédératrice qui semblait inconcevable il y a encore quelques jours. Laissant les autres se répandre, Goze a joué de mystère pour frapper au bon moment. Il a surtout frappé juste, pour remettre en marche avant une machine qui implosait. Voilà l’épitaphe soignée sur deux mandats qui s’achèvent à son image de président, pas celle du joueur : si Goze n’a mené aucune bataille de front, il les a toutes gagnées.
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Auré33 a écrit:Je vous trouve assez dur avec les toulousains... Si on était à leur place, on serait les premiers à crier au scandale aussi, ça serait de l'hypocrisie de dire le contraire. C'est le plus gros fournisseur du XV de France ( est-ce normal que Dupont ait plus de temps avec le XV de France que son propre club cette saison ?), ils sont champion de France en titre ( et ne pas pouvoir défendre son titre "à la loyal", je comprends qu'ils peuvent avoir les glandes. Et la cerise sur le gâteau, ils font un parcours sans faute en Champions Cup et il faudrait qu'ils aillent batailler à Clermont pour avoir une place en coupe d'Europe l'année prochaine ? C'est pas sérieux franchement... Alors certes je porte pas Toulouse dans mon coeur et encore moins certains de leurs supporters prétentieux et caliméro mais il faut être capable de prendre un peu de recul et se mettre à leur place.
surtout qu'il n'y a eu que 4 matchs (sur 17) sans doublons , dont voila le classement (bien sur aléatoire en fonction des oppositions) :
1er Toulouse et l'UBB 16 pts
3em Racing 15 pts
4em Toulon 13 pts
5em Lyon et Montpellier 10 pts
7em La Rochelle et castres 9 pts
9em Clermont. 8 pts
10em Paris et Brive 7 pts
12em Pau 5 pts
13em Bayonne 2 pts
14em Agen 1 pts
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
https://www.sudouest.fr/2020/04/16/rugby-on-va-pouvoir-jouer-nos-cartes-se-rejouit-laurent-marti-7417478-4564.php
« On va pouvoir jouer nos cartes » se réjouit Laurent Marti
Par Propos recueillis par Arnaud David
Le président de l’Union Bordeaux-Bègles se félicite de pouvoir probablement disputer une demi-finale de Top 14 fin août à Bordeaux contre Toulon
« Sud Ouest » Le scénario de fin de saison qui se dégage est celui d’une demi-finale à Bordeaux, contre Toulon au mois d’août. Vous devez être satisfait ?
Laurent Marti : C’est un peu tôt pour en parler. Est-ce que cela va être validé comme ça ? Est-ce qu’on passera par des quarts de finale ? Hier on sentait que les présidents poussaient plutôt pour des demi-finales et une finale fin août. C’est un débat dont je me suis tenu éloigné. J’ai fait savoir qu’on n’était pas intéressé par un titre sur tapis vert et qu’on était ouvert pour jouer des quarts de finale. Il y a une tendance qui s’est dessinée. De la même façon, je n’ai pas sollicité la demi-finale à Bordeaux. Je me suis juste battu pour qu’on nous laisse jouer nos chances sur le terrain. Là je me suis battu fort. Je ne sais pas si j’aurais digéré qu’on nous empêche d’aller au bout de la saison. Là, on va pouvoir jouer nos cartes et peut être offrir un titre à nos supporters.
Si c’est le cas, on vous dira que c’est un titre au rabais ?
Pourquoi ? Qu’est ce qui manquerait ? Celui qui peut affirmer qu’on n’allait pas directement en demi-finale, je le trouverai de mauvaise foi. Il suffit de regarder notre avance et notre calendrier qui était favorable. On allait tout droit vers les demi-finales. Il n’y a pas un président qui m’ait dit le contraire.
Cette possible demi-finale, où la jouerez-vous ? Au stade Chaban-Delmas ou au Matmut Atlantique ?
À Chaban. C’est une drôle de situation. Il y a une semaine j’étais remonté comme une balle car j’avais le sentiment que certains présidents voulaient me la jouer à l’envers. Une semaine après on se retrouve avec la perspective d’une demi-finale à Bordeaux. Quand toutes les parties veulent y mettre de la bonne volonté, on trouve des solutions. Tout a été très compliqué quand certains ont voulu faire sauter la saison. Mais une majorité a pris conscience que ce n’était pas correct de finir comme ça, qu’on ne pouvait pas voler ceux qui se battent depuis le 1er juillet et qui ont fait 66 % des matches.
L’étrangeté c’est qu’il faudra jouer cette demi-finale avec l’effectif 2020–2021, sans Semi Radradra…
Oui. On sait que ça ne peut être une situation idéale. Mais dans chaque club, avec les sélectionnés, les jokers médicaux, les joueurs supplémentaires : un effectif bouge durant la saison. Mais là, il va y avoir assez peu de mouvements dans les clubs. Les Coupes d’Europe, on va les jouer comme ça aussi. Si l’on bat Edimbourg, on pourrait retrouver Bristol et Semi Radradra en demi-finales.
Comme allez-vous gérer la fin de saison de votre effectif et la reprise ?
Cela c’est dans les mains de Christophe (Urios). Il est évident que si on décide de faire les phases finales en août, les joueurs reprendront le 15 juin. Et ils seront en vacances du 15 mai au 15 juin après être passés par une période d’évaluation.
"Le combat qui arrive pourrait être le plus important jamais connu par ce club"
Il risque d’y avoir des tâtonnements dans la manière de gérer leur retour à la compétition.
Et c’est pour cela qu’il vaut mieux reprendre en août. Les joueurs ne se sont jamais autant reposés que cette année mais il faudra remettre les corps en route.
Reste la question financière. Le manque à gagner de la saison en cours, et le budget de la prochaine saison. Sans réduction de la masse salariale, parviendrez-vous à le boucler ?
Non. Pour ce qui est de la fin de saison, on a été soulagé par les économies de charge réalisées grâce au chômage partiel. Sinon, cela aurait été la catastrophe. On aura un déficit mais cette période ne l’aura pas vraiment beaucoup creusé. En revanche le gros combat, c’est l’année prochaine. À Bordeaux, on ne s’en cache pas. Il faudra un effort de tous, des joueurs et du staff et il faudra que nos abonnés et nos partenaires ne nous quittent pas en trop grosse quantité. J’ai l’impression que les dieux du rugby testent notre résilience. Le combat qui arrive pourrait être le plus important jamais connu par ce club et pourtant, on a vécu des passages difficiles. Mais celui-là est sans commune mesure. C’est vraiment inquiétant.
Avez-vous évalué les pertes ?
On a fait le tour des partenaires. C’est encore difficile à évaluer. Les premiers chiffres ne sont pas rassurants. Il y a ceux qui nous disent « ça va être compliqué, on ne peut pas encore vous répondre mais on va essayer de vous accompagner » . C’est la majorité. Ceux qui ne répondent pas de problème et ceux qui disent « non, désolé, ça ne va pas être possible ». Je crois que la DNACG ne pourra pas nous demander toutes les garanties avant que la saison démarre. Les entreprises qui diront non en juin, diront peut-être oui en octobre si l’activité redémarre. Beaucoup de réponses arriveront après l’été.
« On va pouvoir jouer nos cartes » se réjouit Laurent Marti
Par Propos recueillis par Arnaud David
Le président de l’Union Bordeaux-Bègles se félicite de pouvoir probablement disputer une demi-finale de Top 14 fin août à Bordeaux contre Toulon
« Sud Ouest » Le scénario de fin de saison qui se dégage est celui d’une demi-finale à Bordeaux, contre Toulon au mois d’août. Vous devez être satisfait ?
Laurent Marti : C’est un peu tôt pour en parler. Est-ce que cela va être validé comme ça ? Est-ce qu’on passera par des quarts de finale ? Hier on sentait que les présidents poussaient plutôt pour des demi-finales et une finale fin août. C’est un débat dont je me suis tenu éloigné. J’ai fait savoir qu’on n’était pas intéressé par un titre sur tapis vert et qu’on était ouvert pour jouer des quarts de finale. Il y a une tendance qui s’est dessinée. De la même façon, je n’ai pas sollicité la demi-finale à Bordeaux. Je me suis juste battu pour qu’on nous laisse jouer nos chances sur le terrain. Là je me suis battu fort. Je ne sais pas si j’aurais digéré qu’on nous empêche d’aller au bout de la saison. Là, on va pouvoir jouer nos cartes et peut être offrir un titre à nos supporters.
Si c’est le cas, on vous dira que c’est un titre au rabais ?
Pourquoi ? Qu’est ce qui manquerait ? Celui qui peut affirmer qu’on n’allait pas directement en demi-finale, je le trouverai de mauvaise foi. Il suffit de regarder notre avance et notre calendrier qui était favorable. On allait tout droit vers les demi-finales. Il n’y a pas un président qui m’ait dit le contraire.
Cette possible demi-finale, où la jouerez-vous ? Au stade Chaban-Delmas ou au Matmut Atlantique ?
À Chaban. C’est une drôle de situation. Il y a une semaine j’étais remonté comme une balle car j’avais le sentiment que certains présidents voulaient me la jouer à l’envers. Une semaine après on se retrouve avec la perspective d’une demi-finale à Bordeaux. Quand toutes les parties veulent y mettre de la bonne volonté, on trouve des solutions. Tout a été très compliqué quand certains ont voulu faire sauter la saison. Mais une majorité a pris conscience que ce n’était pas correct de finir comme ça, qu’on ne pouvait pas voler ceux qui se battent depuis le 1er juillet et qui ont fait 66 % des matches.
L’étrangeté c’est qu’il faudra jouer cette demi-finale avec l’effectif 2020–2021, sans Semi Radradra…
Oui. On sait que ça ne peut être une situation idéale. Mais dans chaque club, avec les sélectionnés, les jokers médicaux, les joueurs supplémentaires : un effectif bouge durant la saison. Mais là, il va y avoir assez peu de mouvements dans les clubs. Les Coupes d’Europe, on va les jouer comme ça aussi. Si l’on bat Edimbourg, on pourrait retrouver Bristol et Semi Radradra en demi-finales.
Comme allez-vous gérer la fin de saison de votre effectif et la reprise ?
Cela c’est dans les mains de Christophe (Urios). Il est évident que si on décide de faire les phases finales en août, les joueurs reprendront le 15 juin. Et ils seront en vacances du 15 mai au 15 juin après être passés par une période d’évaluation.
"Le combat qui arrive pourrait être le plus important jamais connu par ce club"
Il risque d’y avoir des tâtonnements dans la manière de gérer leur retour à la compétition.
Et c’est pour cela qu’il vaut mieux reprendre en août. Les joueurs ne se sont jamais autant reposés que cette année mais il faudra remettre les corps en route.
Reste la question financière. Le manque à gagner de la saison en cours, et le budget de la prochaine saison. Sans réduction de la masse salariale, parviendrez-vous à le boucler ?
Non. Pour ce qui est de la fin de saison, on a été soulagé par les économies de charge réalisées grâce au chômage partiel. Sinon, cela aurait été la catastrophe. On aura un déficit mais cette période ne l’aura pas vraiment beaucoup creusé. En revanche le gros combat, c’est l’année prochaine. À Bordeaux, on ne s’en cache pas. Il faudra un effort de tous, des joueurs et du staff et il faudra que nos abonnés et nos partenaires ne nous quittent pas en trop grosse quantité. J’ai l’impression que les dieux du rugby testent notre résilience. Le combat qui arrive pourrait être le plus important jamais connu par ce club et pourtant, on a vécu des passages difficiles. Mais celui-là est sans commune mesure. C’est vraiment inquiétant.
Avez-vous évalué les pertes ?
On a fait le tour des partenaires. C’est encore difficile à évaluer. Les premiers chiffres ne sont pas rassurants. Il y a ceux qui nous disent « ça va être compliqué, on ne peut pas encore vous répondre mais on va essayer de vous accompagner » . C’est la majorité. Ceux qui ne répondent pas de problème et ceux qui disent « non, désolé, ça ne va pas être possible ». Je crois que la DNACG ne pourra pas nous demander toutes les garanties avant que la saison démarre. Les entreprises qui diront non en juin, diront peut-être oui en octobre si l’activité redémarre. Beaucoup de réponses arriveront après l’été.
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Non il y a eu 5 matchs, de la 9ieme à la 13ieme.DODO974 a écrit:Auré33 a écrit:Je vous trouve assez dur avec les toulousains... Si on était à leur place, on serait les premiers à crier au scandale aussi, ça serait de l'hypocrisie de dire le contraire. C'est le plus gros fournisseur du XV de France ( est-ce normal que Dupont ait plus de temps avec le XV de France que son propre club cette saison ?), ils sont champion de France en titre ( et ne pas pouvoir défendre son titre "à la loyal", je comprends qu'ils peuvent avoir les glandes. Et la cerise sur le gâteau, ils font un parcours sans faute en Champions Cup et il faudrait qu'ils aillent batailler à Clermont pour avoir une place en coupe d'Europe l'année prochaine ? C'est pas sérieux franchement... Alors certes je porte pas Toulouse dans mon coeur et encore moins certains de leurs supporters prétentieux et caliméro mais il faut être capable de prendre un peu de recul et se mettre à leur place.
surtout qu'il n'y a eu que 4 matchs (sur 17) sans doublons , dont voila le classement (bien sur aléatoire en fonction des oppositions) :
1er Toulouse et l'UBB 16 pts
3em Racing 15 pts
4em Toulon 13 pts
5em Lyon et Montpellier 10 pts
7em La Rochelle et castres 9 pts
9em Clermont. 8 pts
10em Paris et Brive 7 pts
12em Pau 5 pts
13em Bayonne 2 pts
14em Agen 1 pts
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
grospaquet31 a écrit:Le grand ST qui a bénéficié de ses internationaux pendant 2 mois pour un total de 5 match et un ratio de 3,5 pts par match....l’ubb c’est 4,2 pts dans cette même période!
L’ubb en demi direct. Point. C’est la logique de cette saison. Tout autre scénario serait injuste et nous défavoriserait.
Le scénario de reprise en juillet ne tient pas debout. On reathletise les joueurs pour jouer 2-3 matchs et on les renvoie en vacances pour refaire une autre préparation plus tard, celle de la prochaine saison?
Si on repart en juillet, l’UBB et Lou qualifiés d’office. Ensuite le Racing et RCT jouent un match de barrage contre les vainqueurs de SR-MHR et ASM-ST. ca fait 4 we au lieu de 3. Cette formule, quelque soit la date de reprise finalement, serait plus équitable pour tout le monde.
Je suis tout à fait d'accord avec toi grospaquet, vu la saison que sort notre club, je vivrais très mal qu'on ne puisse pas prétendre à gagner le bout de bois cette saison. Le scénario que tu proposes serait l'idéal pour l'équité sportive. Enfin, le format proposé avec 8 clubs français pour la prochaine champions cup me semble être la meilleure option ( ils en parlent dans le midol du jour, je sais pas si Scalp pourrait mettre l'article concernant le format proposé)
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Humeur : Tant que l'ubb gagne tout va bien :)
Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Auré33 a écrit:Je vous trouve assez dur avec les toulousains... Si on était à leur place, on serait les premiers à crier au scandale aussi, ça serait de l'hypocrisie de dire le contraire. C'est le plus gros fournisseur du XV de France ( est-ce normal que Dupont ait plus de temps avec le XV de France que son propre club cette saison ?), ils sont champion de France en titre ( et ne pas pouvoir défendre son titre "à la loyal", je comprends qu'ils peuvent avoir les glandes. Et la cerise sur le gâteau, ils font un parcours sans faute en Champions Cup et il faudrait qu'ils aillent batailler à Clermont pour avoir une place en coupe d'Europe l'année prochaine ? C'est pas sérieux franchement... Alors certes je porte pas Toulouse dans mon coeur et encore moins certains de leurs supporters prétentieux et caliméro mais il faut être capable de prendre un peu de recul et se mettre à leur place.
Quelle que soit la solution retenue, elle ne pourra satisfaire tout le monde.
En se mettant à leur place, je dirais que c’est la meilleure solution pour l’ensemble des clubs...on ne peut pas dire que Toulouse soit frustré de phases finales et même de titres (et bravo à eux d’ailleurs).
Je serais nettement plus en colère si j’étais supporter de Colomiers ou de l’USAP...parce qu’un titre de pro d2 c’est bien mais une remontée c’est quand même pour ça que ces équipes se battent toute la saison.
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Oui Auré, je publie le Midol à 12H00 pile
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Scalp a écrit:Oui Auré, je publie le Midol à 12H00 pile
Merci pour le boulot que tu fais Scalp
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Humeur : Tant que l'ubb gagne tout va bien :)
Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
Auré33 a écrit:Scalp a écrit:Oui Auré, je publie le Midol à 12H00 pile
Merci pour le boulot que tu fais Scalp
Merci Auré, j'ai eu un petit coup de mou je dois dire, vu les circonstances actuelles. Je reprend espoir avec cette possible fin de saison, mais attention, il y a encore beaucoup d'inconnues et d'obstacles, sans compter le danger d'avoir la prochaine saison perturbée par un rebond épidémique...
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Re: Top14 - Fin de saison 2019-2020
grospaquet31 a écrit:Non il y a eu 5 matchs, de la 9ieme à la 13ieme.DODO974 a écrit:Auré33 a écrit:Je vous trouve assez dur avec les toulousains... Si on était à leur place, on serait les premiers à crier au scandale aussi, ça serait de l'hypocrisie de dire le contraire. C'est le plus gros fournisseur du XV de France ( est-ce normal que Dupont ait plus de temps avec le XV de France que son propre club cette saison ?), ils sont champion de France en titre ( et ne pas pouvoir défendre son titre "à la loyal", je comprends qu'ils peuvent avoir les glandes. Et la cerise sur le gâteau, ils font un parcours sans faute en Champions Cup et il faudrait qu'ils aillent batailler à Clermont pour avoir une place en coupe d'Europe l'année prochaine ? C'est pas sérieux franchement... Alors certes je porte pas Toulouse dans mon coeur et encore moins certains de leurs supporters prétentieux et caliméro mais il faut être capable de prendre un peu de recul et se mettre à leur place.
surtout qu'il n'y a eu que 4 matchs (sur 17) sans doublons , dont voila le classement (bien sur aléatoire en fonction des oppositions) :
1er Toulouse et l'UBB 16 pts
3em Racing 15 pts
4em Toulon 13 pts
5em Lyon et Montpellier 10 pts
7em La Rochelle et castres 9 pts
9em Clermont. 8 pts
10em Paris et Brive 7 pts
12em Pau 5 pts
13em Bayonne 2 pts
14em Agen 1 pts
c'est juste donc :
1er UBB 21pts
2em Racing 19pts
3em Toulon 18pts
4em Toulouse 16pts
5em LYON 14pts
La Rochelle "
Montpellier "
8em Paris 11pts
9em Castres 9pts
10em Brive 8pts
Clermont "
12em Pau 5pts
13em Agen 2pts
Bayonne "
DODO974- J'aime l'Union à la folie
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