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Rencontres internationales
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Re: Rencontres internationales
Donc croiser Joubert était vraiment une prémonition...🤬🤬🤬
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Re: Rencontres internationales
WTF - Après des tweets ''inacceptables'' sur l'équipe féminine à 7, Jamie Cudmore licencié par la fédération canadienne
https://www.lerugbynistere.fr/news/wtf-apres-des-tweets-inacceptables-sur-lequipe-feminine-a-7-jamie-cudmore-licencie-par-la-federation-canadienne-3107211224.php
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Re: Rencontres internationales
Sempéré : « Un arbitrage médiocre, mais merci les Bleues »
https://www.midi-olympique.fr/2021/07/31/sempere-un-arbitrage-mediocre-mais-merci-les-bleues-9706377.php
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Re: Rencontres internationales
On n'est pas les seuls à avoir remarqué l'arbitrage façon Rosbeef, toujours à point, jamais bleu
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Re: Rencontres internationales
L’arbitrage a été très, très discutable, en finale. Mais au delà de ça, je trouve que le niveau général de jeu est relativement faible. Les blacks sont au dessus des autres, mais sans être dingues. C’est un sport physiquement très difficile, ça bouffe de la lucidité, ok. Mais le niveau technique n’est pas celui qu’on pourrait attendre au niveau olympique. Les matchs du dernier carré sont symptomatiques: des passes pour personne ou pas dans le bon tempo. J’ai en souvenir deux actions françaises en première mi-temps, sur une relance de jeu, une joueuse française doit allonger une passe (une dizaine de mètres) elle ne l’a sent pas de gauche à droite, elle tourne alors les épaules pour la faire du côté où elle est le plus à l’aise, mais comme ça monte en défense et qu’elle a perdu du temps, elle joue au pied (pas mauvais d’ailleurs). C’est un choix contraint par la limite technique. En deuxième mi temps, sur une réception de jeu au pied en défense bien réalisé, la française au lieu de faire une passe propre à son soutien, tarde, se fait baisser par les blacks et du coup, balance le ballon vers personne, turn-over qui amènera le 3 eme essai blacks.
Je suis très content pour elles, elles ont l’air sympas, et comme je suis un peu chauvin, je suis ravi qu’elle rapporte une médaille, mais je n’ai pris absolument aucun plaisir devant ma télé.
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Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Rencontres internationales
Roberto Miopalmo a écrit:L’arbitrage a été très, très discutable, en finale. Mais au delà de ça, je trouve que le niveau général de jeu est relativement faible. Les blacks sont au dessus des autres, mais sans être dingues. C’est un sport physiquement très difficile, ça bouffe de la lucidité, ok. Mais le niveau technique n’est pas celui qu’on pourrait attendre au niveau olympique. Les matchs du dernier carré sont symptomatiques: des passes pour personne ou pas dans le bon tempo. J’ai en souvenir deux actions françaises en première mi-temps, sur une relance de jeu, une joueuse française doit allonger une passe (une dizaine de mètres) elle ne l’a sent pas de gauche à droite, elle tourne alors les épaules pour la faire du côté où elle est le plus à l’aise, mais comme ça monte en défense et qu’elle a perdu du temps, elle joue au pied (pas mauvais d’ailleurs). C’est un choix contraint par la limite technique. En deuxième mi temps, sur une réception de jeu au pied en défense bien réalisé, la française au lieu de faire une passe propre à son soutien, tarde, se fait baisser par les blacks et du coup, balance le ballon vers personne, turn-over qui amènera le 3 eme essai blacks.
Je suis très content pour elles, elles ont l’air sympas, et comme je suis un peu chauvin, je suis ravi qu’elle rapporte une médaille, mais je n’ai pris absolument aucun plaisir devant ma télé.
Totalement d’accord. Le niveau est vraiment faible. Ça faisait des erreurs de gosses de 8 ans parfois. Et pas technique du tout, et gros manque de lucidité sur de nombreuses actions. C’est lent on dirait des petites oppositions à l’entraînement où tu évites de blesser tes coéquipiers en plaquant sans envie.
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Re: Rencontres internationales
MrScots a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:L’arbitrage a été très, très discutable, en finale. Mais au delà de ça, je trouve que le niveau général de jeu est relativement faible. Les blacks sont au dessus des autres, mais sans être dingues. C’est un sport physiquement très difficile, ça bouffe de la lucidité, ok. Mais le niveau technique n’est pas celui qu’on pourrait attendre au niveau olympique. Les matchs du dernier carré sont symptomatiques: des passes pour personne ou pas dans le bon tempo. J’ai en souvenir deux actions françaises en première mi-temps, sur une relance de jeu, une joueuse française doit allonger une passe (une dizaine de mètres) elle ne l’a sent pas de gauche à droite, elle tourne alors les épaules pour la faire du côté où elle est le plus à l’aise, mais comme ça monte en défense et qu’elle a perdu du temps, elle joue au pied (pas mauvais d’ailleurs). C’est un choix contraint par la limite technique. En deuxième mi temps, sur une réception de jeu au pied en défense bien réalisé, la française au lieu de faire une passe propre à son soutien, tarde, se fait baisser par les blacks et du coup, balance le ballon vers personne, turn-over qui amènera le 3 eme essai blacks.
Je suis très content pour elles, elles ont l’air sympas, et comme je suis un peu chauvin, je suis ravi qu’elle rapporte une médaille, mais je n’ai pris absolument aucun plaisir devant ma télé.
Totalement d’accord. Le niveau est vraiment faible. Ça faisait des erreurs de gosses de 8 ans parfois. Et pas technique du tout, et gros manque de lucidité sur de nombreuses actions. C’est lent on dirait des petites oppositions à l’entraînement où tu évites de blesser tes coéquipiers en plaquant sans envie.
Ta dernière phrase Mr Scots , elle m'à mis dans le rouge , je pense que ces nanas, te passent à côté avec un gros smile, des cardios de dingue, enfin tu es peux-etre athlète de haut niveau, mais un peu de nuance des fois....
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Rencontres internationales
densnewzealand a écrit:MrScots a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:L’arbitrage a été très, très discutable, en finale. Mais au delà de ça, je trouve que le niveau général de jeu est relativement faible. Les blacks sont au dessus des autres, mais sans être dingues. C’est un sport physiquement très difficile, ça bouffe de la lucidité, ok. Mais le niveau technique n’est pas celui qu’on pourrait attendre au niveau olympique. Les matchs du dernier carré sont symptomatiques: des passes pour personne ou pas dans le bon tempo. J’ai en souvenir deux actions françaises en première mi-temps, sur une relance de jeu, une joueuse française doit allonger une passe (une dizaine de mètres) elle ne l’a sent pas de gauche à droite, elle tourne alors les épaules pour la faire du côté où elle est le plus à l’aise, mais comme ça monte en défense et qu’elle a perdu du temps, elle joue au pied (pas mauvais d’ailleurs). C’est un choix contraint par la limite technique. En deuxième mi temps, sur une réception de jeu au pied en défense bien réalisé, la française au lieu de faire une passe propre à son soutien, tarde, se fait baisser par les blacks et du coup, balance le ballon vers personne, turn-over qui amènera le 3 eme essai blacks.
Je suis très content pour elles, elles ont l’air sympas, et comme je suis un peu chauvin, je suis ravi qu’elle rapporte une médaille, mais je n’ai pris absolument aucun plaisir devant ma télé.
Totalement d’accord. Le niveau est vraiment faible. Ça faisait des erreurs de gosses de 8 ans parfois. Et pas technique du tout, et gros manque de lucidité sur de nombreuses actions. C’est lent on dirait des petites oppositions à l’entraînement où tu évites de blesser tes coéquipiers en plaquant sans envie.
Ta dernière phrase Mr Scots , elle m'à mis dans le rouge , je pense que ces nanas, te passent à côté avec un gros smile, des cardios de dingue, enfin tu es peux-etre athlète de haut niveau, mais un peu de nuance des fois....
Toujours ce sophisme qui consiste à comparer des sportifs de haut niveau, des gens qui prétendent à devenir champions olympiques, à des personnes qui n'ont jamais eu la prétention de l'être et autre. À ce compte-là on n'a plus du tout le droit de donner notre avis sur des sportifs de haut niveau. Bientôt si je critique Hamilton sur certains points tu vas dire "Lol j'aimerais bien te voir face à lui dans le circuit" ou si je critique la gestion des combats d'Anthony Joshua tu vas dire : "Ouais tu tiens pas deux secondes sur un ring face à lui". Ça n'apporte rien au débat, ça c'est le genre de truc que tu dis quand tu n'as rien à opposer.
Le niveau au rugby à 7 féminin est faible, et je n'ai pris aucun plaisir à regarder ces matches à la télé. J'ai le droit de donner mon avis sans qu'on ait à me répondre : "Lol sur le terrain contre elles tu fais rien".
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Re: Rencontres internationales
MrScots a écrit:densnewzealand a écrit:MrScots a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:L’arbitrage a été très, très discutable, en finale. Mais au delà de ça, je trouve que le niveau général de jeu est relativement faible. Les blacks sont au dessus des autres, mais sans être dingues. C’est un sport physiquement très difficile, ça bouffe de la lucidité, ok. Mais le niveau technique n’est pas celui qu’on pourrait attendre au niveau olympique. Les matchs du dernier carré sont symptomatiques: des passes pour personne ou pas dans le bon tempo. J’ai en souvenir deux actions françaises en première mi-temps, sur une relance de jeu, une joueuse française doit allonger une passe (une dizaine de mètres) elle ne l’a sent pas de gauche à droite, elle tourne alors les épaules pour la faire du côté où elle est le plus à l’aise, mais comme ça monte en défense et qu’elle a perdu du temps, elle joue au pied (pas mauvais d’ailleurs). C’est un choix contraint par la limite technique. En deuxième mi temps, sur une réception de jeu au pied en défense bien réalisé, la française au lieu de faire une passe propre à son soutien, tarde, se fait baisser par les blacks et du coup, balance le ballon vers personne, turn-over qui amènera le 3 eme essai blacks.
Je suis très content pour elles, elles ont l’air sympas, et comme je suis un peu chauvin, je suis ravi qu’elle rapporte une médaille, mais je n’ai pris absolument aucun plaisir devant ma télé.
Totalement d’accord. Le niveau est vraiment faible. Ça faisait des erreurs de gosses de 8 ans parfois. Et pas technique du tout, et gros manque de lucidité sur de nombreuses actions. C’est lent on dirait des petites oppositions à l’entraînement où tu évites de blesser tes coéquipiers en plaquant sans envie.
Ta dernière phrase Mr Scots , elle m'à mis dans le rouge , je pense que ces nanas, te passent à côté avec un gros smile, des cardios de dingue, enfin tu es peux-etre athlète de haut niveau, mais un peu de nuance des fois....
Toujours ce sophisme qui consiste à comparer des sportifs de haut niveau, des gens qui prétendent à devenir champions olympiques, à des personnes qui n'ont jamais eu la prétention de l'être et autre. À ce compte-là on n'a plus du tout le droit de donner notre avis sur des sportifs de haut niveau. Bientôt si je critique Hamilton sur certains points tu vas dire "Lol j'aimerais bien te voir face à lui dans le circuit" ou si je critique la gestion des combats d'Anthony Joshua tu vas dire : "Ouais tu tiens pas deux secondes sur un ring face à lui". Ça n'apporte rien au débat, ça c'est le genre de truc que tu dis quand tu n'as rien à opposer.
Le niveau au rugby à 7 féminin est faible, et je n'ai pris aucun plaisir à regarder ces matches à la télé. J'ai le droit de donner mon avis sans qu'on ait à me répondre : "Lol sur le terrain contre elles tu fais rien".
Bon, je reprends, tu vas voir, je ne t'inclues pas , donc pour toi ces filles sont lentes, ne plaquent pas de peur de se faire mal, ou de blesser leurs adversaires, ces commentaires sont à pleurer , tu balances des jugements qui ne sont fondés que sur ta pseudo perception , ou de ton évaluation personnelle de la dimension athlétique, c'est un peu léger mon cher.
Encore une fois c'est pas le soucis que tu trouves le 7 féminin pas au niveau, c'est le manque de nuance de tes commentaires qui porte à caution.
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Rencontres internationales
Match en cours entre les Boks et les Lions. 2 euh non 3 (!) chandelles vues en 3 min, et 4 mêlées tournées. Je suis pas sûr de regretter d'avoir manqué la première mi-temps...
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Re: Rencontres internationales
J'ai décidé de ne même pas regarder le match des Lions aujourd'hui, tellement je me suis fait chier la dernière fois, comme quoi, l'intérêt d'un match n'est certainement pas du qu'aux capacités techniques ou physiques des protagonistes
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Re: Rencontres internationales
Scalp a écrit:J'ai décidé de ne même pas regarder le match des Lions aujourd'hui, tellement je me suis fait chier la dernière fois, comme quoi, l'intérêt d'un match n'est certainement pas du qu'aux capacités techniques ou physiques des protagonistes
Oui ben 15 min plus tard, et bien 5 (nan 6, juste le temps d'écrire ils en ont fait une ) chandelles de plus, je me demande pourquoi je me fais chier....
Faut vraiment être en manque de rugby pour regarder ça...
Si quelqu'un sait si il y a des vidéos en ligne du tournoi olympique, je me regarderai bien les matches des Fidji...
Ah, j'aillais dire qu'on avait encore droit à maul de plus, mais enfin un essai sur une attaque. Euh non, en fait il perd le contrôle du ballon. Mais l'essai est accordé, après tout ce sont les champions du monde.
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Re: Rencontres internationales
krahknardz a écrit:Scalp a écrit:J'ai décidé de ne même pas regarder le match des Lions aujourd'hui, tellement je me suis fait chier la dernière fois, comme quoi, l'intérêt d'un match n'est certainement pas du qu'aux capacités techniques ou physiques des protagonistes
Oui ben 15 min plus tard, et bien 5 (nan 6, juste le temps d'écrire ils en ont fait une ) chandelles de plus, je me demande pourquoi je me fais chier....
Faut vraiment être en manque de rugby pour regarder ça...
Si quelqu'un sait si il y a des vidéos en ligne du tournoi olympique, je me regarderai bien les matches des Fidji...
Ah, j'aillais dire qu'on avait encore droit à maul de plus, mais enfin un essai sur une attaque.
Sur France 4, je crois
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Re: Rencontres internationales
Scalp a écrit:krahknardz a écrit:Scalp a écrit:J'ai décidé de ne même pas regarder le match des Lions aujourd'hui, tellement je me suis fait chier la dernière fois, comme quoi, l'intérêt d'un match n'est certainement pas du qu'aux capacités techniques ou physiques des protagonistes
Oui ben 15 min plus tard, et bien 5 (nan 6, juste le temps d'écrire ils en ont fait une ) chandelles de plus, je me demande pourquoi je me fais chier....
Faut vraiment être en manque de rugby pour regarder ça...
Si quelqu'un sait si il y a des vidéos en ligne du tournoi olympique, je me regarderai bien les matches des Fidji...
Ah, j'aillais dire qu'on avait encore droit à maul de plus, mais enfin un essai sur une attaque.
Sur France 4, je crois
Ah merci Scalp, j'ai fini par trouver! Je pourrai me regarder ça tranquillement du coup.
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Re: Rencontres internationales
krahknardz a écrit:Scalp a écrit:krahknardz a écrit:Scalp a écrit:J'ai décidé de ne même pas regarder le match des Lions aujourd'hui, tellement je me suis fait chier la dernière fois, comme quoi, l'intérêt d'un match n'est certainement pas du qu'aux capacités techniques ou physiques des protagonistes
Oui ben 15 min plus tard, et bien 5 (nan 6, juste le temps d'écrire ils en ont fait une ) chandelles de plus, je me demande pourquoi je me fais chier....
Faut vraiment être en manque de rugby pour regarder ça...
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Ah, j'aillais dire qu'on avait encore droit à maul de plus, mais enfin un essai sur une attaque.
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Ah merci Scalp, j'ai fini par trouver! Je pourrai me regarder ça tranquillement du coup.
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Re: Rencontres internationales
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Re: Rencontres internationales
krahknardz a écrit:Scalp a écrit:J'ai décidé de ne même pas regarder le match des Lions aujourd'hui, tellement je me suis fait chier la dernière fois, comme quoi, l'intérêt d'un match n'est certainement pas du qu'aux capacités techniques ou physiques des protagonistes
Oui ben 15 min plus tard, et bien 5 (nan 6, juste le temps d'écrire ils en ont fait une ) chandelles de plus, je me demande pourquoi je me fais chier....
Faut vraiment être en manque de rugby pour regarder ça...
Si quelqu'un sait si il y a des vidéos en ligne du tournoi olympique, je me regarderai bien les matches des Fidji...
Ah, j'aillais dire qu'on avait encore droit à maul de plus, mais enfin un essai sur une attaque. Euh non, en fait il perd le contrôle du ballon. Mais l'essai est accordé, après tout ce sont les champions du monde.
Pour information.
L' arbitre vidéo est SudAf
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Re: Rencontres internationales
DISCIPLINE - Va-t-il y a voir des (lourdes) sanctions à l'encontre des Lions Itoje et Hogg ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/discipline-va-t-il-y-a-voir-des-lourdes-sanctions-a-lencontre-des-lions-itoje-et-hogg-0108211213.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/discipline-va-t-il-y-a-voir-des-lourdes-sanctions-a-lencontre-des-lions-itoje-et-hogg-0108211213.php
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Re: Rencontres internationales
https://www.lequipe.fr/Rugby-a-7/Article/La-medaille-d-argent-des-bleues-au-rugby-a-7-un-symbole-du-collectif-tres-fort-de-ce-groupe/1274993
La médaille d'argent des Bleues au rugby à 7, un symbole du collectif très fort de ce groupe
L'équipe de France de rugby à 7 a offert au rugby français sa première médaille olympique. De l'argent pour des joueuses qui ont façonné leur groupe depuis la déception des Jeux de Rio 2016.
La joie des Françaises, deuxièmes du tournoi olympique, samedi sur la pelouse du Tokyo Stadium. (F. Faugère/L'Équipe)
Jean-Christophe Colin
Forcément, elles se sont tenu la main pour monter sur le podium. Il ne pouvait en être autrement. Elles étaient là où elles s'étaient promis d'aller. Elles l'avaient même écrit dans une chanson qu'elles ont entonnée juste après la finale. Sur la pelouse du Tokyo stadium, où demeure à jamais un coin d'elles-mêmes. « Un groupe de nanas qui ne se connaissait même pas, l'amour du rugby nous a réunies, près de Marcoussis, on a déménagé nos vies... Au Japon, on va aller, prêtes à tout casser. »
On se souvient d'une phrase du handballeur Philippe Gardent au retour du premier titre mondial des Barjots en 1995 en Islande, il avait dit : « On a étiré le mot fraternité dans tous les sens. » On pourrait reprendre la même formule pour traduire le parcours de ce « groupe de nanas ». Mais elles l'ont fait d'une autre manière, peut-être moins extravagantes mais tout aussi forte.
Il s'est d'abord agi d'une vaste dispute. « C'était au moment des Jeux de Rio, raconte Chloé Pelle, on s'est engueulées... » C'est l'histoire de toutes les équipes. Mais faut pas que ça donne des coups de canif dans le fils ténu des habitudes. « Alors on s'est dit que désormais, quand ça n'irait pas, on se dirait les choses franchement. Qu'il n'y aurait pas de non-dit entre nous. »
Anne-Cécile Ciofani qui venait d'un sport individuel, l'athlétisme, a découvert ce fonctionnement. « J'ai intégré l'équipe il y a quatre ans. Il y avait des filles qui avaient connu les Jeux de Rio et des filles comme moi qui sont arrivées plus tard. On a mis en place des choses pour faire évoluer le groupe. Par exemple, on discute de beaucoup de choses, même de choses insignifiantes. S'il y a eu un entraînement un peu tendu entre deux joueuses, on fait une réunion pour mettre les choses à plat... Les feux sont vite éteints afin que rien ne s'embrase... »
« Chaque décision est prise collégialement. Elles vivent d'ailleurs beaucoup ensemble en colocation. Car la plupart habitent vers Paris où les loyers ne sont pas abordables par rapport à leurs salaires »
Julien Candelon, team manager de l'équipe de France
Ce fut le début d'un mode de fonctionnement qui peu à peu a évolué, s'est complexifié pour façonner la manière d'être au monde de cette équipe qui s'organise un peu comme un phalanstère. Charles Fourier et Pierre-Joseph Proudhon l'ont rêvé, les filles du 7 l'ont fait. « Elles ne raisonnent pas pour elles mais toujours en fonction et pour le bien du collectif, explique le team manager Julien Candelon, ancien joueur de l'USAP et de l'équipe de France à 7. Tout est très collectif, chaque décision est prise collégialement. Elles vivent d'ailleurs beaucoup ensemble en colocation. Car la plupart habitent vers Paris où les loyers ne sont pas abordables par rapport à leurs salaires (entre 1 500 et 3 000 euros), elles passent donc beaucoup de temps ensemble. Elles prolongent ça en dehors du rugby. »
« C'est vrai que l'on se voit en dehors, sourit Chloé Pelle, alors qu'on est tout le temps ensemble ! » Cette organisation sociale égalitaire va jusqu'à décider collégialement comment seront répartis les salaires. « Ce n'est pas en fonction de celle qui passe le plus à la télé, qui marque le plus d'essais ou celle qui a le plus de followers, explique Candelon, c'est en fonction de l'ancienneté. » Chacun sait à quoi s'en tenir. Pas de jalousies ni injustice. L'entraîneur, David Courteix, tient à cette transparence, à cette autonomie. « Il veut que les règles soient posées et claires, explique Candelon, et surtout que les joueuses restent authentiques, spontanées. » C'est à ce prix qu'elles peuvent l'être sur le terrain. « Ils refusent qu'on leur donne des éléments de langage, poursuit Candelon, elles sont libres et autonomes en toute chose. »
Les Bleues montant sur le podium, en se tenant par les mains, comme un symbole de l'état d'esprit qui règne dans cette équipe. (F. Faugère/L'Équipe)
Mais cette égalité de statut n'empêche pas l'extrême diversité des personnages et des parcours. Chloé Pelle a fait math sup-math spé avant d'intégrer l'École centrale de Lille et de devenir ensuite ingénieur en cybersécurité. Fanny Horta, la capitaine, a fait des études d'infirmière et va en septembre attaquer à un master de coach en performance.
Séraphine Okemba est partie un temps comme fille au pair en Angleterre pour jouer au rugby. Ce sont des parcours de vie qui enrichissent un groupe. « On a des caractères, des hypersensibles, des sentimentales, explique Fanny Horta. On apprend à vivre avec toutes ces différences mais on ne cherche pas à changer l'autre, on ne cherche pas à faire de chacune de nous une seule et même joueuse. C'est ce qui nous fait progresser dans nos vies mais aussi dans notre sport. »
« On a eu des confrontations, des altercations, mais avec ensuite des grosses réconciliations et ce qui fait qu'on est capables de basculer d'un état à un autre et de s'épauler, de se reposer les unes sur les autres »
Anne-Cécile Ciofani
Forcément, cette diversité crée du tumulte. « On a eu des confrontations, des altercations, convient Ciofani, mais avec ensuite des grosses réconciliations et ce qui fait qu'on est capables de basculer d'un état à un autre et de s'épauler, de se reposer les unes sur les autres. Et de toujours se tirer vers le haut. C'est pour tout ça que ce collectif est arrivé là ! »
Une analyse que partage Courteix, dont on sent une infinie tendresse lorsqu'il évoque ce groupe. « C'est une équipe qui a appris dans le dur, qui a beaucoup mûri, qui a une vie intense, agitée, tumultueuse et bienveillante. C'est aussi une équipe qui a beaucoup progressé dans sa façon d'aborder la compétition. Ce sont des gens intelligents qui avant étaient un peu dans l'émotion et qui, là, ont appris à maîtriser leurs émotions et à se réguler entre elles. »
Naguère, en effet, cette émotion qui émanait de cette vie de groupe pouvait perturber la compétition. Plus maintenant. Ce fut particulièrement patent sur ce tournoi. Jamais elles ne se sont laissé gagner par le contexte. En final, contre les Néo-Zélandaises (26-12), l'arbitrage ne leur a pas permis de pouvoir disposer du ballon. Les seules fois où elles y ont eu accès, elles ont marqué. Pourtant jamais la frustration ne les a fait sortir du match.
Depuis des mois, elles sont une force qui va. Pourtant, début juin, elles n'étaient pas encore qualifiées pour ces JO. Mais au tournoi qualificatif à Monaco (20 juin), elles ont sans affect marché sur tout le monde. On n'empêche pas la mer d'aller à la plage. Les « nanas » se sont ensuite rendues au pied du mont Fidji préparer les Jeux à l'abri du monde.
Puis se sont enfin présentées droites et follement solidaires, « presque soeurs », dira Anne-Cécile Ciofani dans le Tokyo Stadium pour accomplir le destin qu'elles s'étaient donné. La nuit était alors définitivement tombée sur la capitale nippone. Fanny Horta, la capitaine qui venait d'achever sa carrière quittait l'enceinte à pas lents, comme pour retenir l'instant. Avant de lâcher : « D'autres continueront l'histoire... »
Les 3 matches clés du tournoi des Bleues
Le piège : France-Fidji (12-5)
Le premier match de la compétition face aux Fidji avait tout du match piège pour Séraphine Okemba et ses coéquipières (P. Lahalle/L'Équipe)
Premier match de la compétition, jeudi, à 9 heures du matin. Ça a piqué d'entrée. Heureusement, les Françaises et le staff avaient méticuleusement préparé ce match. Pourtant, les Fidjiennes surprennent les Bleues par un essai au bout de 3 minutes. Fanny Horta et ses coéquipières ne s'affolent pas, ce qui est la grande qualité de ce groupe, elles restent calmes et lucides. Et juste avant la pause les Françaises marquent par leur capitaine avant que la puissante Séraphine Okemba délivre l'équipe du piège. « Ça nous a lancées dans la compétition », assure Horta.
La revanche : Canada-France (0-31)
Le Canada : le match tant attendu par Coralie Bertaud et les Bleues. (J.M. Hervio/L'Équipe)
C'est le match qu'elles attendaient. Celui contre les Canadiennes qui les avaient sorties du tournoi olympique à Rio, en 2016, en quart de finale (15-5). C'est peut-être leur match le plus abouti avec deux exploits de Séraphine Okemba et d'Anne-Cécile Ciofani, les deux facteurs X, et ensuite la maîtrise collective pour une belle revanche, 31 à 0 ! Une raclée qui a pour double effet d'ouvrir le tableau des Bleues en tant que meilleure équipe des poules (Nouvelle-Zélande et Australie dans l'autre moitié de tableau) et d'éliminer les Canadiennes.
Le match de la médaille : Grande-Bretagne-France (19-26)
La victoire face aux Britanniques assure une première médaille au rugby français. (S. Sibeko/Reuters)
Demi-finale face à la Grande-Bretagne, équipe organisée, rude au combat. « Le rugby à 7 s'apparente souvent à de la boxe, explique le coach David Courteix, il y a cette notion de KO et là on les a mis tout de suite sur les talons ». D'entrée Ciofani file vers la ligne, change de ballons de main, - merci aux formateurs de Bobigny _, raffûte et marque. Grosse défense des Bleues. À nouveau de la maîtrise. Mais les « Brits » sont encore là. Courteix fait rentrer Ciofani à une minute du terme. Elle sort deux énormes plaquages. Les Bleues sont en finale.
La médaille d'argent des Bleues au rugby à 7, un symbole du collectif très fort de ce groupe
L'équipe de France de rugby à 7 a offert au rugby français sa première médaille olympique. De l'argent pour des joueuses qui ont façonné leur groupe depuis la déception des Jeux de Rio 2016.
La joie des Françaises, deuxièmes du tournoi olympique, samedi sur la pelouse du Tokyo Stadium. (F. Faugère/L'Équipe)
Jean-Christophe Colin
Forcément, elles se sont tenu la main pour monter sur le podium. Il ne pouvait en être autrement. Elles étaient là où elles s'étaient promis d'aller. Elles l'avaient même écrit dans une chanson qu'elles ont entonnée juste après la finale. Sur la pelouse du Tokyo stadium, où demeure à jamais un coin d'elles-mêmes. « Un groupe de nanas qui ne se connaissait même pas, l'amour du rugby nous a réunies, près de Marcoussis, on a déménagé nos vies... Au Japon, on va aller, prêtes à tout casser. »
On se souvient d'une phrase du handballeur Philippe Gardent au retour du premier titre mondial des Barjots en 1995 en Islande, il avait dit : « On a étiré le mot fraternité dans tous les sens. » On pourrait reprendre la même formule pour traduire le parcours de ce « groupe de nanas ». Mais elles l'ont fait d'une autre manière, peut-être moins extravagantes mais tout aussi forte.
Il s'est d'abord agi d'une vaste dispute. « C'était au moment des Jeux de Rio, raconte Chloé Pelle, on s'est engueulées... » C'est l'histoire de toutes les équipes. Mais faut pas que ça donne des coups de canif dans le fils ténu des habitudes. « Alors on s'est dit que désormais, quand ça n'irait pas, on se dirait les choses franchement. Qu'il n'y aurait pas de non-dit entre nous. »
Anne-Cécile Ciofani qui venait d'un sport individuel, l'athlétisme, a découvert ce fonctionnement. « J'ai intégré l'équipe il y a quatre ans. Il y avait des filles qui avaient connu les Jeux de Rio et des filles comme moi qui sont arrivées plus tard. On a mis en place des choses pour faire évoluer le groupe. Par exemple, on discute de beaucoup de choses, même de choses insignifiantes. S'il y a eu un entraînement un peu tendu entre deux joueuses, on fait une réunion pour mettre les choses à plat... Les feux sont vite éteints afin que rien ne s'embrase... »
« Chaque décision est prise collégialement. Elles vivent d'ailleurs beaucoup ensemble en colocation. Car la plupart habitent vers Paris où les loyers ne sont pas abordables par rapport à leurs salaires »
Julien Candelon, team manager de l'équipe de France
Ce fut le début d'un mode de fonctionnement qui peu à peu a évolué, s'est complexifié pour façonner la manière d'être au monde de cette équipe qui s'organise un peu comme un phalanstère. Charles Fourier et Pierre-Joseph Proudhon l'ont rêvé, les filles du 7 l'ont fait. « Elles ne raisonnent pas pour elles mais toujours en fonction et pour le bien du collectif, explique le team manager Julien Candelon, ancien joueur de l'USAP et de l'équipe de France à 7. Tout est très collectif, chaque décision est prise collégialement. Elles vivent d'ailleurs beaucoup ensemble en colocation. Car la plupart habitent vers Paris où les loyers ne sont pas abordables par rapport à leurs salaires (entre 1 500 et 3 000 euros), elles passent donc beaucoup de temps ensemble. Elles prolongent ça en dehors du rugby. »
« C'est vrai que l'on se voit en dehors, sourit Chloé Pelle, alors qu'on est tout le temps ensemble ! » Cette organisation sociale égalitaire va jusqu'à décider collégialement comment seront répartis les salaires. « Ce n'est pas en fonction de celle qui passe le plus à la télé, qui marque le plus d'essais ou celle qui a le plus de followers, explique Candelon, c'est en fonction de l'ancienneté. » Chacun sait à quoi s'en tenir. Pas de jalousies ni injustice. L'entraîneur, David Courteix, tient à cette transparence, à cette autonomie. « Il veut que les règles soient posées et claires, explique Candelon, et surtout que les joueuses restent authentiques, spontanées. » C'est à ce prix qu'elles peuvent l'être sur le terrain. « Ils refusent qu'on leur donne des éléments de langage, poursuit Candelon, elles sont libres et autonomes en toute chose. »
Les Bleues montant sur le podium, en se tenant par les mains, comme un symbole de l'état d'esprit qui règne dans cette équipe. (F. Faugère/L'Équipe)
Mais cette égalité de statut n'empêche pas l'extrême diversité des personnages et des parcours. Chloé Pelle a fait math sup-math spé avant d'intégrer l'École centrale de Lille et de devenir ensuite ingénieur en cybersécurité. Fanny Horta, la capitaine, a fait des études d'infirmière et va en septembre attaquer à un master de coach en performance.
Séraphine Okemba est partie un temps comme fille au pair en Angleterre pour jouer au rugby. Ce sont des parcours de vie qui enrichissent un groupe. « On a des caractères, des hypersensibles, des sentimentales, explique Fanny Horta. On apprend à vivre avec toutes ces différences mais on ne cherche pas à changer l'autre, on ne cherche pas à faire de chacune de nous une seule et même joueuse. C'est ce qui nous fait progresser dans nos vies mais aussi dans notre sport. »
« On a eu des confrontations, des altercations, mais avec ensuite des grosses réconciliations et ce qui fait qu'on est capables de basculer d'un état à un autre et de s'épauler, de se reposer les unes sur les autres »
Anne-Cécile Ciofani
Forcément, cette diversité crée du tumulte. « On a eu des confrontations, des altercations, convient Ciofani, mais avec ensuite des grosses réconciliations et ce qui fait qu'on est capables de basculer d'un état à un autre et de s'épauler, de se reposer les unes sur les autres. Et de toujours se tirer vers le haut. C'est pour tout ça que ce collectif est arrivé là ! »
Une analyse que partage Courteix, dont on sent une infinie tendresse lorsqu'il évoque ce groupe. « C'est une équipe qui a appris dans le dur, qui a beaucoup mûri, qui a une vie intense, agitée, tumultueuse et bienveillante. C'est aussi une équipe qui a beaucoup progressé dans sa façon d'aborder la compétition. Ce sont des gens intelligents qui avant étaient un peu dans l'émotion et qui, là, ont appris à maîtriser leurs émotions et à se réguler entre elles. »
Naguère, en effet, cette émotion qui émanait de cette vie de groupe pouvait perturber la compétition. Plus maintenant. Ce fut particulièrement patent sur ce tournoi. Jamais elles ne se sont laissé gagner par le contexte. En final, contre les Néo-Zélandaises (26-12), l'arbitrage ne leur a pas permis de pouvoir disposer du ballon. Les seules fois où elles y ont eu accès, elles ont marqué. Pourtant jamais la frustration ne les a fait sortir du match.
Depuis des mois, elles sont une force qui va. Pourtant, début juin, elles n'étaient pas encore qualifiées pour ces JO. Mais au tournoi qualificatif à Monaco (20 juin), elles ont sans affect marché sur tout le monde. On n'empêche pas la mer d'aller à la plage. Les « nanas » se sont ensuite rendues au pied du mont Fidji préparer les Jeux à l'abri du monde.
Puis se sont enfin présentées droites et follement solidaires, « presque soeurs », dira Anne-Cécile Ciofani dans le Tokyo Stadium pour accomplir le destin qu'elles s'étaient donné. La nuit était alors définitivement tombée sur la capitale nippone. Fanny Horta, la capitaine qui venait d'achever sa carrière quittait l'enceinte à pas lents, comme pour retenir l'instant. Avant de lâcher : « D'autres continueront l'histoire... »
Les 3 matches clés du tournoi des Bleues
Le piège : France-Fidji (12-5)
Le premier match de la compétition face aux Fidji avait tout du match piège pour Séraphine Okemba et ses coéquipières (P. Lahalle/L'Équipe)
Premier match de la compétition, jeudi, à 9 heures du matin. Ça a piqué d'entrée. Heureusement, les Françaises et le staff avaient méticuleusement préparé ce match. Pourtant, les Fidjiennes surprennent les Bleues par un essai au bout de 3 minutes. Fanny Horta et ses coéquipières ne s'affolent pas, ce qui est la grande qualité de ce groupe, elles restent calmes et lucides. Et juste avant la pause les Françaises marquent par leur capitaine avant que la puissante Séraphine Okemba délivre l'équipe du piège. « Ça nous a lancées dans la compétition », assure Horta.
La revanche : Canada-France (0-31)
Le Canada : le match tant attendu par Coralie Bertaud et les Bleues. (J.M. Hervio/L'Équipe)
C'est le match qu'elles attendaient. Celui contre les Canadiennes qui les avaient sorties du tournoi olympique à Rio, en 2016, en quart de finale (15-5). C'est peut-être leur match le plus abouti avec deux exploits de Séraphine Okemba et d'Anne-Cécile Ciofani, les deux facteurs X, et ensuite la maîtrise collective pour une belle revanche, 31 à 0 ! Une raclée qui a pour double effet d'ouvrir le tableau des Bleues en tant que meilleure équipe des poules (Nouvelle-Zélande et Australie dans l'autre moitié de tableau) et d'éliminer les Canadiennes.
Le match de la médaille : Grande-Bretagne-France (19-26)
La victoire face aux Britanniques assure une première médaille au rugby français. (S. Sibeko/Reuters)
Demi-finale face à la Grande-Bretagne, équipe organisée, rude au combat. « Le rugby à 7 s'apparente souvent à de la boxe, explique le coach David Courteix, il y a cette notion de KO et là on les a mis tout de suite sur les talons ». D'entrée Ciofani file vers la ligne, change de ballons de main, - merci aux formateurs de Bobigny _, raffûte et marque. Grosse défense des Bleues. À nouveau de la maîtrise. Mais les « Brits » sont encore là. Courteix fait rentrer Ciofani à une minute du terme. Elle sort deux énormes plaquages. Les Bleues sont en finale.
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Re: Rencontres internationales
Ménager : "Il y a de la progression dans la considération du rugby féminin"
https://www.rugbyrama.fr/rugby/marine-menager-il-y-a-de-la-progression-dans-la-consideration-du-rugby-feminin_sto8464076/story.shtml
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Re: Rencontres internationales
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Re: Rencontres internationales
VIDÉO. Genou dans la gorge, morsures... Pluie de mauvais gestes lors du match Afrique du Sud-Lions !
https://actu.fr/sports/rugby/pro/video-genou-dans-la-gorge-morsures-pluie-de-mauvais-gestes-lors-du-match-afrique-du-sud-lions_43859692.html
https://actu.fr/sports/rugby/pro/video-genou-dans-la-gorge-morsures-pluie-de-mauvais-gestes-lors-du-match-afrique-du-sud-lions_43859692.html
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Re: Rencontres internationales
Scalp a écrit:VIDÉO. Genou dans la gorge, morsures... Pluie de mauvais gestes lors du match Afrique du Sud-Lions !
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En même temps, tout le monde a fait monter la sauce dans les jours précédant le match. Pas étonnant qu'on aboutisse à cela
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Re: Rencontres internationales
concernant cette tournée des Lions chez les sudafs, aucun interet en terme de rugby. c'est d'une pauvreté affligeante. du muscles, de la testosterone, de la bagarre.
concernant le seven des JO, pas pu les suivre, juste regardé le match contre la chine, c'etait tres tres pauvre collectivement, chacun jouant en solo et ne faisant une passe à l'emporte piece quand on ne savait plus quoi faire du ballon. et on avait pas du tout à se plaindre de l'arbitrage, la chine ayant ete arbitré comme une nation du tier monde à mon avis.
les francaises ont du certainement rectifier le tir contre les anglaises car je les voyais rentrer à la maison en jouant comme ca.
concernant le seven des JO, pas pu les suivre, juste regardé le match contre la chine, c'etait tres tres pauvre collectivement, chacun jouant en solo et ne faisant une passe à l'emporte piece quand on ne savait plus quoi faire du ballon. et on avait pas du tout à se plaindre de l'arbitrage, la chine ayant ete arbitré comme une nation du tier monde à mon avis.
les francaises ont du certainement rectifier le tir contre les anglaises car je les voyais rentrer à la maison en jouant comme ca.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Rencontres internationales
grospaquet31 a écrit:concernant cette tournée des Lions chez les sudafs, aucun interet en terme de rugby. c'est d'une pauvreté affligeante. du muscles, de la testosterone, de la bagarre.
concernant le seven des JO, pas pu les suivre, juste regardé le match contre la chine, c'etait tres tres pauvre collectivement, chacun jouant en solo et ne faisant une passe à l'emporte piece quand on ne savait plus quoi faire du ballon. et on avait pas du tout à se plaindre de l'arbitrage, la chine ayant ete arbitré comme une nation du tier monde à mon avis.
les francaises ont du certainement rectifier le tir contre les anglaises car je les voyais rentrer à la maison en jouant comme ca.
J'ai aussi été beaucoup déçu pour tout dire...
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