Lionnes 2020-2021

tire-bouchon a écrit:

krahknardz a écrit:

tire-bouchon a écrit:

krahknardz a écrit:

tire-bouchon a écrit:
rien n' empêche d'ailleurs l' UBB de créer une entité féminine comme font d' autres clubs pros.

C'est exactement ce dont je parlais. Il était question il y a quelque temps de cela de faire des Lionnes la section féminine de l'UBB.

Créez une section féminine propre à l' UBB ou vampiriser l' équipe du SB-Asptt ?

Ce serait particulièrement stupide de créer une deuxième équipe féminine sur Bordeaux, et un camouflet aux Lionnes qui entretiennent de très bonnes relations avec l'UBB.

Et puis ça ferait les pieds à l' ASPTT qui ne porte aucune attention à cette équipe.

Disons que l'ASPTT a été purement et simplement absorbée par le SB et ce, pour des raisons uniquement politiques

Faire une équipe sénior au CABBG, avec quel moyens financiers???
Conservons la vocation de former les jeunes, ècole de Rugby, minimes, cadets, juniors qui la dernière réforme des Espoirs se limite aux Crabos et Gaudermen et favorisons nos clubs des fédérales de notre comité qui doivent constituer un gisement pour les jeunes et un exutoire pour les Espoirs qui ne passeront pas pro.
Bien sur la première place du centre de formation est attirante, bien souvent elle fait la décision plus auprès des parents que des jeunes.
La qualité de la formation au Rugby est importante, mais la partie hébergement, et suivi de la formation à un métier pour l'après rugby est fondamentale.Bordeaux sur ce dernier point est certainement mieux placé que Bourg en Bresse, Mont de Marsan et même Pau.

sudiste a écrit:

tire-bouchon a écrit:

krahknardz a écrit:

tire-bouchon a écrit:

krahknardz a écrit:

tire-bouchon a écrit:
rien n' empêche d'ailleurs l' UBB de créer une entité féminine comme font d' autres clubs pros.

C'est exactement ce dont je parlais. Il était question il y a quelque temps de cela de faire des Lionnes la section féminine de l'UBB.

Créez une section féminine propre à l' UBB ou vampiriser l' équipe du SB-Asptt ?

Ce serait particulièrement stupide de créer une deuxième équipe féminine sur Bordeaux, et un camouflet aux Lionnes qui entretiennent de très bonnes relations avec l'UBB.

Et puis ça ferait les pieds à l' ASPTT qui ne porte aucune attention à cette équipe.

Disons que l'ASPTT a été purement et simplement absorbée par le SB et ce, pour des raisons uniquement politiques

C' est le contraire.
Comme le SB a été absorbé par le CABBG pour des raisons purement politiques.
Moga like this !

Essayons d'être plus intelligents que les basques en ayant qu'un seul club/une seule structure pro sur l'agglomération bordelaise.

Avoir l'équipe masculine pro à Chaban, l'équipe Espoirs (+ le centre de formation) à Moga/Bègles et enfin la section féminine à St Germaine/Le Bouscat ne me choque pas, loin de là. Cela permettrait même de mieux faire rayonner l'UBB sur toute l'agglomération tout en donnant une visibilité plus que méritée au rugby féminin et aux Lionnes.

Quand je vois les basques préférer crever que fusionner (pour une partie d'entre eux), je suis sur le cul. Certains sont bouffés par leur orgueil et leur guéguerre de clocher alors qu'on parle de la survie du rugby basque dans un bastion français de ce sport. Quel gâchis, alors qu'on devrait pouvoir un club pro basque unifié, au moins pour son équipe pro...

Petit hic !

C' est que l' équipe féminine n' est ni celle de l' Aviron bayonnais ni celle du Biarritz Olympique mais celle d' un club aussi vieux que les précités, l' AS Bayonne.
Comme quoi, on peut trés bien avoir de la réussite même quand le club est petit.

On va laisser ce privilège aux fouteux qui préfère racheter les clubs féminins plutôt que de les constituer (suivez mon regard).
https://www.20minutes.fr/bordeaux/1669991-20150820-girondins-section-feminine-club-officiellement-lancee-apres-fusion-blanquefort

Switch a écrit:Essayons d'être plus intelligents que les basques en ayant qu'un seul club/une seule structure pro sur l'agglomération bordelaise.

Avoir l'équipe masculine pro à Chaban, l'équipe Espoirs (+ le centre de formation) à Moga/Bègles et enfin la section féminine à St Germaine/Le Bouscat ne me choque pas, loin de là. Cela permettrait même de mieux faire rayonner l'UBB sur toute l'agglomération tout en donnant une visibilité plus que méritée au rugby féminin et aux Lionnes.

Quand je vois les basques préférer crever que fusionner (pour une partie d'entre eux), je suis sur le cul. Certains sont bouffés par leur orgueil et leur guéguerre de clocher alors qu'on parle de la survie du rugby basque dans un bastion français de ce sport. Quel gâchis, alors qu'on devrait pouvoir un club pro basque unifié, au moins pour son équipe pro...

Je constate avec effroi "Switchegaray" que tu n'es pas Bayonnais...

Quant à l'intelligence des Basques...je me réserve le droit de porter plainte pour diffamation et propos discriminatoires... Méchant, va !

tire-bouchon a écrit:On va laisser ce privilège aux fouteux qui préfère racheter les clubs féminins plutôt que de les constituer (suivez mon regard).

Cela a permis aux Girondins de gagner du temps (elle partait directement de seconde division) et d'économiser de l'argent (la structure fonctionnait déjà) qu'ils ont investit dans les joueuses (avec beaucoup plus de flair que pour la section masculine à voir les résultats). Elles sont montées l'année suivante (alors qu'elle n'avait jamais pu le faire jusque là) et devrait disputer la ligue des champions l'année prochaine grâce à leur troisième place en championnat (7 points d'avance sur les 4ème actuellement) derrière les intouchables galactiques de Lyon (un peu le Stade Toulousain pour le foot féminin... le palmarès en plus ) et le PSG Qatari ( ...le budget en plus).

Si des historiques qui ont participé à la montée et au maintien hyper tendu de l'année suivante (elles ont quitté les places de relégable 15 minutes sur l'année... les 15 dernières...), il ne reste plus grand monde, c'est quand même beaucoup mieux que de les ignorer sous prétexte que ce n'est pas le même sport.

jp33 a écrit:

tire-bouchon a écrit:On va laisser ce privilège aux fouteux qui préfère racheter les clubs féminins plutôt que de les constituer (suivez mon regard).

Cela a permis aux Girondins de gagner du temps (elle partait directement de seconde division) et d'économiser de l'argent (la structure fonctionnait déjà) qu'ils ont investit dans les joueuses (avec beaucoup plus de flair que pour la section masculine à voir les résultats). Elles sont montées l'année suivante (alors qu'elle n'avait jamais pu le faire jusque là) et devrait disputer la ligue des champions l'année prochaine grâce à leur troisième place en championnat (7 points d'avance sur les 4ème actuellement) derrière les intouchables galactiques de Lyon (un peu le Stade Toulousain pour le foot féminin... le palmarès en plus ) et le PSG Qatari ( ...le budget en plus).

Si des historiques qui ont participé à la montée et au maintien hyper tendu de l'année suivante (elles ont quitté les places de relégable 15 minutes sur l'année... les 15 dernières...), il ne reste plus grand monde, c'est quand même beaucoup mieux que de les ignorer sous prétexte que ce n'est pas le même sport.

Et pour Blanquefort ? Où en est leur équipe féminine ?

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/rugby-elite-f-le-nouveau-depart-de-la-stadiste-bordelaise-emma-roubinet-2318878.php?utm_term=Autofeed&utm_campaign=echobox&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1619688199

Rugby (élite F) : Le nouveau départ de la Stadiste bordelaise, Emma Roubinet


Tallis Kuresa, Emma Roubinet (au centre) et Louise Marzin, les trois troisièmes lignes. Crédit photo : Bernard Soulié Par Bernard Soulié

La capitaine des Lionnes tient à nouveau la barre après une année sabbatique et se dit prête pour le choc face au Stade Toulousain ce dimanche.

La saison dernière, il était inutile de chercher la crinière blonde d'Emma Roubinet, la capitaine des Lionnes. Comme d'autres avant elle, la troisième ligne aussi leste à gratter un ballon que rapide à capter une touche avait choisi le soleil de l'hémisphère Sud. Un temps seulement car c'est à l'unanimité que ses coéquipières qui l'apprécient beaucoup pour ses qualités d'abnégation et d'écoute ont eu plaisir à retrouver Emma, après ce périple de six mois qui l'a vu découvrir en bus et en stop les routes d'Amérique du Sud .

Sourire épanoui, l'intéressée qui n'est pas la seule Lionne à aimer les voyages raconte : « Il y avait eu Lisa Le Naour (en Australie), et une autre amie (Louise Marzin) qui avait choisi le pays de notre All Black (Tallis Kuresa) et comme je venais de décrocher mon Master de commerce, j'ai choisi un autre continent où tout en alternant stop et bus, et en faisant escale dans des auberges, je me suis ouverte aux autres en rencontrant une somme de gens au grand coeur. »

Un sevrage de ballon ovale qui a contribué à ce que la très réservée Emma porte un regard neuf sur la vie. Elle commercialise maintenant la production familiale de noix du Périgord mais ne cache pas son amour pour le rugby : « A mes débuts, j'évoluais techniquement et collectivement, mais après quelques années, j'avais l'impression de stagner. Même si j'ai eu un peu de mal à m'y remettre, cette coupure qui venait à point avant le nouveau projet des dirigeants du club m'a fait énormément de bien. »

« Il y a eu des années difficiles mais l'élan actuel indique que nous devons viser plus haut que ce maintien »

Emma, la Corrézienne, qui avait pour bagage 10 ans d'athlétisme est la seule de la première génération des cadettes formées au club à avoir fait du haut niveau au point qu'elle n'avait qu'un an de rugby lorsque, jeune étudiante en Staps, elle a découvert le Stade Bordelais. Un an après, elle plongeait avec ravissement à 17 ans dans le top 10, tout comme la presque voisine et limousine Agathe Sochat.

Puis, vinrent quatre saisons où ses points forts de joueuse complète ont fait la différence jusqu'à la remontée en top 16 (en 2018-2019) avec déjà de belles tranches de vie en bleue : « D'abord chez les moins de 20 ans où avec Agathe, nous avions joué et bien battu (25-0) les espoirs anglaises qui lui ont encore donné le tournis la semaine dernière, puis l'été 2016 où avec Blandine Gadioux nous avons eu le bonheur de ce titre de championne du monde universitaire à 7 au Pays de Galles. »

Alors, Emma la bosseuse entrevoit ce qu'elle appelle le bon chemin : « Il y a eu des années difficiles mais l'élan actuel avec la montée de nombreuses cadettes, l'arrivée de nouvelles joueuses et le retour de quelques anciennes indique que nous devons viser plus haut que ce maintien acquis par nos trois derniers jolis succès en poule. »

C'est pourquoi la capitaine tient particulièrement à tenir la barre pour ces trois matchs à venir : » Bien négociés, ces play-offs retour pourraient asseoir notre notoriété et faire venir chez nous encore plus de talents. »

Le match :

Stade Bordelais (4e/1pt) - Stade Toulousain (1e/14pts), dimanche à 14 h 30 au stade Chaban-Delmas.

Défaite des filles devant Romagnat. 34 à 11