Le XV de France (partie 3)

Cette Dupont mania ou Dupont dépendance me fatigue. A un moment je ne sais pas si la balance bénefice risque si à la mode ne va lui péter à la figure et le staff avec, car à ce rythme il va nous faire perdre plus de match que l'inverse. Je force bien sur le trait. Je pense qu'en France actuellement le poste de 9 regorge plus de talents que dans bien des pays. on en à des caisses de 12, Serin, Couilloud, Bezy, etc.. et on dirait qu'en edf il n'y en à qu'un puisqu'il fait les 80 mn, n'importe quoi. On l'à proclamé meilleur 9 ou meilleur joueur du monde , alors que perso comparé à Smith, en terme de leadership, gestion, vista, il à encore des progrés à accomplir.
D'aiileurs en NZ, Smith est "geré" par le staff, et quand rentre Perenara souvent trés tôt , avec toute sa rage, les adversaires se prennent un accélerateur dans la tronche. Et des fois c'est TJ qui débute , et Smith qui finit , pourquoi Dupont ne ferait pas les 30 dernières minutes, pour faire tout péter, çà créerait de l'incertitude. Et puis les grosses équipes vont s'adapter, Dupont c'est pas superman, et si notre staff n'évolue pas , Dupont va s'user, à force d'en abuser.

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Mathieu-jalibert-reste-en-pole-pour-debuter-lors-de-france-galles-plutot-que-ntamack/1233495

Mathieu Jalibert reste en pole pour débuter lors de France - Galles, plutôt que Ntamack

Élu meilleur joueur de la quatrième journée du Tournoi des Six Nations après son match en Angleterre, malgré la défaite du quinze de France (23-20), l'ouvreur de l'UBB Mathieu Jalibert devrait être préféré à Romain Ntamack en 10 face aux Gallois, samedi (21 heures).

Laurent Campistron (avec F.Be.)

Le même quinze contre Galles ?

C'est la tendance. Fabien Galthié, qui donnera la compo ce jeudi midi, ne devrait apporter aucune modification à son équipe pour affronter Galles, samedi (21 heures) pour le compte de la cinquième journée du Tournoi des Six Nations. Les mêmes qui ont perdu en Angleterre (23-20) devraient être reconduits.

« Il n'y a pas de soucis physiques à déplorer, même si Romain (Taofifenua) a été un peu géré en début de semaine », a confié hier le coresponsable de la conquête William Servat. On sait pourtant que le staff tricolore n'a pas tout aimé de la prestation de Matthieu Jalibert en Angleterre (défaite 23-20), samedi dernier. L'ouvreur a certes souvent brillé par ses prises d'initiatives, mais il a aussi commis quelques mauvais choix stratégiques en première période, notamment une diagonale au pied risquée pour Damian Penaud et une attaque ballon en main inopportune près de ses 22 mètres.

Le stratège de l'UBB devrait néanmoins conserver son poste d'ouvreur. Sa forme du moment tranche sans doute encore avec celle de son concurrent direct Romain Ntamack, qui revient d'une longue absence (double fracture de la mâchoire). Et ses quelques scories dans le jeu sont largement compensées par la grande incertitude qu'il fait peser sur les défenses adverses par son rugby instinctif et audacieux. Cela ne veut pas dire que Jalibert a d'ores et déjà réglé le débat sur la hiérarchie à ce poste. Il reviendra sans doute plus tard, soit la semaine prochaine, soit avant la tournée de juillet en Australie.

Des finisseurs toujours pas sûrs de finir

Le coaching de l'encadrement des Bleus à Twickenham a fait débat. Des critiques ont jailli : pourquoi avoir laissé sur le banc jusqu'au bout trois des huit remplaçants (Jelonch, Serin, Ntamack) ?

Galthié et ses adjoints ont entendu ces remarques. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne renouvelleront pas l'expérience samedi, au Stade de France. « Vous savez, il y a des choses que des personnes qui sont en dehors du terrain ne maîtrisent pas, expliquait hier Servat. En Angleterre, on est passés d'une première mi-temps à vingt-deux minutes de temps de jeu à une seconde de quatorze. Et les datas ont confirmé notre sentiment visuel, à savoir que les joueurs présents tenaient bien l'intensité du match.

On pensait pourtant que ceux qui avaient eu le Covid risquaient de ressentir de la fatigue à un moment. Mais, au contraire, ils ont réussi à nous rassurer en atteignant des données d'accélération et de vitesse qu'ils n'avaient encore jamais atteintes. Devant, Anthony Jelonch a une densité physique qui aurait peut-être pu nous amener des choses, mais les joueurs sur le terrain étaient vraiment performants. Après, ce sont des choix qui peuvent toujours être discutés. »

Un visiteur méconnaissable

Qui pouvait imaginer que le pays de Galles, défait quatre fois en cinq matches lors du Tournoi 2020, viendrait un an plus tard disputer le Grand chelem au Stade France ? Pas grand monde, évidemment. Cette équipe paraissait si fatiguée, ses joueurs si vieillissants.

Rappelez-vous le succès des Bleus à Cardiff en février 2020 (23-27). Le premier vrai match référence de l'ère Galthié. « C'est là qu'on s'est vraiment rendus compte qu'un état d'esprit était sur point de naître et que notre équipe était en train de grandir », dit Servat. Le quinze de France n'avait fait aussi qu'une bouchée de ces mêmes Gallois en octobre dernier, en match de préparation (38-21).

Mais quelle valeur accorder à ces deux victoires face à la magnifique dynamique qui porte aujourd'hui Alun Wyn Jones et ses partenaires ? « Elles sont anecdotiques », assure le centre Arthur Vincent. « C'est une équipe galloise totalement différente et dans une position forte, puisqu'elle disputera une finale, qui sera face à nous, ajoute Servat. Notre objectif sera de la battre pour disputer nous aussi notre finale pour le gain du Tournoi le week-end d'après, contre l'Écosse. »

densnewzealand a écrit:Cette Dupont mania ou Dupont dépendance me fatigue. A un moment je ne sais pas si la balance bénefice risque si à la mode ne va lui péter à la figure et le staff avec, car à ce rythme il va nous faire perdre plus de match que l'inverse. Je force bien sur le trait. Je pense qu'en France actuellement le poste de 9 regorge plus de talents que dans bien des pays. on en à des caisses de 12, Serin, Couilloud, Bezy, etc.. et on dirait qu'en edf il n'y en à qu'un puisqu'il fait les 80 mn, n'importe quoi. On l'à proclamé meilleur 9 ou meilleur joueur du monde , alors que perso comparé à Smith, en terme de leadership, gestion, vista, il à encore des progrés à accomplir.
D'aiileurs en NZ, Smith est "geré" par le staff, et quand rentre Perenara souvent trés tôt , avec toute sa rage, les adversaires se prennent un accélerateur dans la tronche. Et des fois c'est TJ qui débute , et Smith qui finit , pourquoi Dupont ne ferait pas les 30 dernières minutes, pour faire tout péter, çà créerait de l'incertitude. Et puis les grosses équipes vont s'adapter, Dupont c'est pas superman, et si notre staff n'évolue pas , Dupont va s'user, à force d'en abuser.

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https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/xv-de-france-on-s-est-adapte-aux-joueurs-qu-on-a-estime-laurent-labit-1715857.php

XV de France : « On s’est adapté aux joueurs qu’on a », estime Laurent Labit

Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr

En charge de l’attaque du XV de France, Laurent Labit décrypte la philosophie de l’animation tricolore tout en insistant sur l’importance des premiers temps de jeu

Un essai inscrit en première main tel que celui marqué par Damian Penaud face à l’Angleterre, vous travaillez tous les jours pour ça en tant qu’entraîneur ?

Oui, comme tout entraîneur quand il a identifié et préparé quelque chose. Quand un lancement marche sur un premier temps de jeu - ce qui est quand même rare, même si ça revient un petit peu aujourd’hui - ou sur des circuits qu’on peut placer dans notre animation, on a la satisfaction d’avoir bien préparé le match. Mais c’est en priorité le résultat du travail des joueurs sur le terrain. On a vu leur réaction ! Malheureusement, ça n’a pas suffi...

Quelle somme de travail représente la préparation de tels schémas ?

On a des bases auxquelles on a réfléchi. On travaille avec ce type de lancement depuis quelque temps maintenant. On s’est adapté aux joueurs qu’on a. Au milieu du terrain, on est capable de fixer l’adversaire avec nos courses et nos individualités. On essaie donc de les utiliser pour manipuler le ballon et faire des blocs parce que derrière, des joueurs rapides comme Antoine (Dupont) et Baptiste (Serin), avec leur sens du jeu, mais aussi Matthieu (Jalibert) et Romain (Ntamack), avec leur dextérité balle en main, peuvent aller chercher nos extérieurs où on a beaucoup de vitesse. On a bâti notre animation sur ces principes. On cherche les espaces en fonction des défenses et des spécificités des joueurs adverses. Ils peuvent se situer aux alentours du 10, au milieu du terrain entre deux centres qui n’ont pas l’habitude de jouer ensemble, ou à l’extérieur quand les équipes nous laissent les couloirs. On fait un “mix” en fonction de tout cela.

Comment stimulez-vous ce travail d’analyse avec les joueurs ?

On les associe. C’est l’intérêt d’aller dans les clubs pour discuter et voir ce qu’ils pensent de ce qu’on leur propose. Comme ils participent aussi à l’animation dans leurs clubs, ils reprennent parfois ce qu’on fait dans leurs équipes et, nous aussi, on peut adapter ce qu’ils font. Ce sont les joueurs qui sont sur le terrain, ils doivent sentir les choses. Le haut niveau, c’est la répétition. C’est pour ça qu’on fait beaucoup de “clarté”, c’est-à-dire de travail à vitesse 0. On trouve un endroit sur le terrain où répéter très exactement les lignes de course, les options, pour les réaliser ensuite à pleine vitesse. En sélection, il faut aller très vite. Dès qu’on change une petite chose, il faut qu’on soit très précis pour réussir à le réaliser en match.

« On n’a jamais interdit aux joueurs de jouer dans notre camp. On connaît nos qualités »

Après le match contre l’Angleterre, Fabien Galthié a suggéré que l’équipe s’était laissée griser. L’analyse l’a-t-elle confirmé ?

Oui. On s’aperçoit avec le recul qu’on a fait 55 minutes très intéressantes. On aurait sans doute pu marquer un essai ou même trois points de plus qui auraient pu faire la différence... On marque sur notre première occasion au terme d’une séquence qu’on avait aussi très bien travaillé. Ça nous a mis dans de très bonnes dispositions. La première touche qu’on joue rapidement, c’était la bonne décision. Après par contre, il y a eu tout un enchaînement de mauvais choix jusqu’à la seconde touche où on aurait dû arrêter le jeu et sortir proprement de notre camp. Le reste du temps, on a été cohérent. On n’a jamais interdit aux joueurs de jouer dans notre camp. On connaît nos qualités.

Y a-t-il néanmoins des zones prioritaires qui ont été identifiées pour jouer ?

Oui. Dans le camp adverse, on a des lancements sur touche et sur mêlée. Mais il y a en aussi dans le nôtre. Elles sont dictées par le comportement de l’adversaire. On travaille pour que les joueurs comprennent qu’on peut marquer sur certaines situations mais qu’on peut aussi conserver simplement pour que ce soit l’adversaire qui offre la situation. On n’est pas contraint à forcer la décision, faire l’exploit et prendre le risque de perdre le ballon dans le jeu. Ça nous a coûté cher le week-end dernier avec 14 ballons perdus dans le jeu. Les Anglais revenaient systématiquement dans notre camp, c’est ce qui nous mettait sous pression.

Dans quelle mesure la question de la dépense énergétique imprègne-t-elle vos schémas de jeu offensifs ?

Pour conserver le ballon au niveau international, on met jusqu’à trois soutiens autour du porteur en fonction de la densité de l’adversaire. Or il n’y en a que deux en face : le plaqueur et le gratteur. En clair, si on multiplie les temps de jeu, nos joueurs travailleront plus que l’adversaire. Par ailleurs, selon les standards internationaux, à chaque fois qu’on tient le ballon plus de 40 secondes dans le camp adverse, il y a 70 % de chances de perdre le ballon ou d’être pénalisé. Du coup, soit tu es capable de passer ces 40 secondes sans se mettre en danger, soit tu utilises le jeu au pied pour mettre la pression sur l’adversaire et qu’il te rende le ballon pour redémarrer une chaîne de jeu.

« Quand il faudra aller chercher les grandes compétitions, il faudra les meilleurs joueurs sur le terrain »

Le XV de France est l’équipe la plus prolifique (5 essais) sur le premier temps de jeu. Ce n’est donc pas un hasard ?

C’est quelque chose qu’on a ciblé. L’an dernier, on n’était pas très efficace sur les premiers temps de jeu. Pourtant, alors que c’était plus rare les années passées, c’est là qu’il y a le plus d’opportunités aujourd’hui. On a beaucoup axé notre travail là-dessus. Il faut le conserver.

Matthieu Jalibert s’est affirmé en tant que titulaire. Cela pose-t-il la question de son association avec Romain Ntamack ?

C’est de toute façon quelque chose qu’on a en tête. On l’utilisera peut-être un jour. Matthieu peut jouer à l’arrière et Romain au centre dans la combinaison avec deux ouvreurs en 10 et en 12 et un centre plus puissant à leurs côtés. Quand il faudra aller chercher les grandes compétitions, il faudra avoir les meilleurs joueurs sur le terrain.

La volonté de Matthieu Jalibert de s’installer en 10 n’est pas un frein à vos yeux ?

Non. On en a discuté. J’en avais parlé parce que j’étais encore au Racing quand il a disputé à Colombes l’un de ses premiers matchs à l’arrière avec l’UBB (en 2017, son quatrième match de Top 14). Il avait été incroyable à l’arrière. Je l’avais dit à Jacques Brunel qui était son entraîneur à l’époque. On voyait qu’il avait de la facilité. Je connais aussi très bien Christophe Urios qui m’a dit qu’il comptait d’abord sur Matthieu en 10 : à Bordeaux, c’est là qu’il jouera. Mais ça ne gêne pas Matthieu de passer à l’arrière en cours de match.

Scalp a écrit:

J'apprécie de plus en plus Kayser comme analyste. C'est clair, posé, impartial, pertinent.

En tout cas leur analyse de la responsabilité de Woki sur l'essai d'Itoje ne laisse pas présager de sa présence sur la feuille de match.

Dommage, car ce n' est pas Woki qui en est le 1er responsable de ce dénouement.
Au moment des changements, ce n' est pas dans les airs que l' EdF devait être forte (d' ailleurs personne ne saute en contre sur la dernière touche anglaise) mais au sol.
Le staff de l' EdF a foiré.
Comme pour l' épisode Covid, a tous les coups c' est de la faute de l' EdF à 7.

krahknardz a écrit:

Scalp a écrit:

J'apprécie de plus en plus Kayser comme analyste. C'est clair, posé, impartial, pertinent.

En tout cas leur analyse de la responsabilité de Woki sur l'essai d'Itoje ne laisse pas présager de sa présence sur la feuille de match.

Sympathique, technique, pédagogue, impartial et en plus parfaitement bilingue, mais qu'attend la TV française pour enrôler Benjamin et lui faire remplacer des pipasses prétentieuses, partiales et/ou chiantes à écouter comme Yachvili, Heymans, Bayle...etc ?!

Je commence vraiment à être inquiet de la gestion des matchs de Galthier, les joueurs maintenant nous les avons, ce qui n'était pas le cas forcément avant, maintenant il faut un staff à la hauteur et j'ai l'impression que la marche est haute pour Galthier... Un entraîneur doit se remettre en question en cas d'échec tout comme les joueurs. Quand quelque chose n'a pas fonctionné c'est qu'il s'est peut-être lui aussi trompé quelque part et il ne laisse nullement apparaître ça. Comme si pour lui, même après coup, il était persuadé d'avoir fait les bons choix tactiques.

On ne leur demande pas de faire mea culpa en public, simplement de corriger le tir, un type cramé même s'il est bon ne peut tenir la barraque à ce niveau.
Faire confiance, si on met un gars sur la Feuille de match, normalement ça signifie qu'il a les qualités pour y être.
De toute façon les "Rouge" vont servir de révélateur au même niveau que les anglais, eux vont nous imposer un combat pendant 80mn. J'ai peur que nos avants ne soient pas à la maille, surtout en mêlée et dans le jeu au sol.

Je ne parle pas forcément de mea culpa ou d'excuse public, ça c'est un problème de vestiaire, je parle dans son discours face aux caméras, des fois on ressent qu'il y aurait pu avoir du mieux, que ce soit au niveau des joueurs ou du staff, cette sensation quand un entraîneur parle et qu'il dit, indirectement ou directement, qu'il n'a pas été à la hauteur, qu'il n'a pas su gérer son groupe du mieux qu'il aurait voulu, ce sont des discours que j'entends de cette oreille par moment avec les coachs de top 14 et pro D2. Hors je ne ressent pas une honse de ce genre de ce sentiment dans la bouche de Galthier.

Galthier est un orgueilleux, il parle à la presse par obligation et très souvent laisse se soin à RI, qui a bien progressé en langue de bois. Pourquoi parler avant l'événement???
Le terrain démontrera si il y a une évolution ou pas dans la gestion des hommes.
La presse impatiente, fait déjà trop de supposition et sabre à qui mieux mieux, sur RR le clone du "Merdol", Woki le peu qu'il a joué a été mauvais, l'essai d'Itoje est de sa faute. Bref Cameron était là mais bien seul, où était le reste de la troisième ligne ?
Surtout comment menant au score si prêt de la fin avons nous été incapable de gérer le jeu et de tenir les anglais dans leur camp.
RR a déjà fait l'équipe, risible, on voit un Chat qui aurait du prendre un rouge pour son coup de coude sur Farel, un Atonio qui n'a aucune mobilité, un Ollivon qui est cuit et s'éteint comme une bougie, le garder pour son rôle de capitaine il doit être bon dans le vestiaire car sur le terrain on se pose la question de savoir s'il est là, le Capitaine de fait, c'est.....Dupont

Cazeaux n'est pas sur la feuille car forfait, il s'est blessé à l'entraînement à priori, selon ses dires il aurait été sur le banc, ça confirme que Cazeaux est numéro 4 dans la hiérarchie des secondes lignes à l'heure actuelle.

En revanche toujours pas de Woki... Il ne joue pas, n'enchaîne pas, perd du rythme... Bref, chez nous il va devoir enchaîner pour retrouver son niveau, face à l'Angleterre on a bien vu qu'il était en manque de temps de jeu, il loupe 2 plaquages d'affilés alors que normalement c'est un secteur où il performe beaucoup.

Moefana va devoir cravacher encore pour prouver qu'il a sa place, même si je le préfère largement à Vincent...

https://www.midi-olympique.fr/2021/03/18/un-xv-inchange-pour-affronter-le-pays-de-galles-du-remue-menage-sur-le-banc-9435479.php#xtor=CS5-1000-[tournoi-des-6-nations]-[gratuit]-[un-xv-inchange-pour-affronter-le-pays-de-galles-du-remue-menage-sur-le-banc::9435479]-[20210318]

L'encadrement du XV de France a décidé d'aligner contre le pays de Galles les mêmes titulaires qu'à Londres. Du côté des "finisseurs", en revanche, il y a trois changements avec les apparitions de Uini Atonio, Swan Rebbadj et Arthur Vincent.

Sans surprise, Fabien Galthié a décidé de renouveler sa confiance au XV de départ aligné à Twickenham pour recevoir le pays de Galles, samedi soir (21 heures). Le sélectionneur a misé sur la stabilité, les paris tentés en Angleterre s'étant révélés fructueux : élu meilleur joueur de la 4e journée, Matthieu Jalibert a encore été préféré à Romain Ntamack pour mener le jeu en compagnie d'Antoine Dupont ;  Romain Taofifenua, franchement convaincant en l'absence de Bernard Le Roux, se voit offrir l'opportunité de confirmer avec le 4 dans le dos, aux côtés de Paul Willemse ; enfin, Dylan Cretin, précieux dans les airs et très actif, est logiquement de nouveau associé à Charles Ollivon et Grégory Alldritt en troisième ligne. Pour le reste, les titulaires habituels tiendront leur rang : la première ligne Baille-Marchand-Haouas est solidement installée et la ligne de trois-quarts Penaud-Fickou-Vakatawa-Thomas-Dulin a visiblement donné satisfaction. L'an passé, à Cardiff, le staff avait décidé de décaler Gaël Fickou à l'aile et d'intégrer Arthur Vincent au centre. Il n'en sera rien, samedi. Tout du moins pas au coup d'envoi.


Retour au 5-3
La principale interrogation de l'annonce de jeudi midi portait sur la composition du banc. En Angleterre, pour répondre au défi physique des hommes d'Eddie Jones sur la durée, Fabien Galthié avait misé sur un 6-2. Entendez six avants et deux trois-quarts, quand habituellement il opte pour un 5-3. Le technicien est revenu à cette formule classique. Devant, Cameron Woki disparaît de la rotation. En troisième ligne, le staff a en effet choisi de conserver le puissant Anthony Jelonch, non utilisé à Londres. A noter aussi le retour de Uini Atonio en pilier droit, au détriment de Dorian Aldegheri, et l'apparition de Swan Rebbadj en lieu et place de Cyril Cazeaux dans la cage. Derrière, aux côtés de Baptiste Serin et Romain Ntamack, tous deux restés spectateurs du crunch, on retrouve Arthur Vincent. Remis de sa contamination au Covid-19, le Montpelliérain pourra apporter son punch au centre, la polyvalence des Jalibert, Fickou et Ntamack étant censée donner des solutions à l'encadrement en cours de match.


Dans tous les cas, la prestation des entrants – et leur nombre - sera scrutée, une semaine après le cruel dénouement de Twickenham, au cours duquel le coaching n'avait pas – en quantité et en qualité - apporté la plus-value espérée. Les finisseurs seront-ils plus efficaces au Stade de France ? Ce sera une des clés de cette finale avant l'heure.

Le XV contre le pays de Galles : Dulin - Penaud, Vakatawa, Fickou, Thomas - (o) Jalibert, (m) Dupont - Ollivon (cap), Alldritt, Cretin - Willemse, R.Taofifenua - Haouas, Marchand, Baille.

Les remplaçants : Chat, Gros, Atonio, Rebbadj, Jelonch, Serin, Ntamack, Vincent.

Big'Ben a écrit:Cazeaux n'est pas sur la feuille car forfait, il s'est blessé à l'entraînement à priori, selon ses dires il aurait été sur le banc, ça confirme que Cazeaux est numéro 4 dans la hiérarchie des secondes lignes à l'heure actuelle.

En revanche toujours pas de Woki... Il ne joue pas, n'enchaîne pas, perd du rythme... Bref, chez nous il va devoir enchaîner pour retrouver son niveau, face à l'Angleterre on a bien vu qu'il était en manque de temps de jeu, il loupe 2 plaquages d'affilés alors que normalement c'est un secteur où il performe beaucoup.

Moefana va devoir cravacher encore pour prouver qu'il a sa place, même si je le préfère largement à Vincent...

Moefana va finir par gagner sa place sur les feuilles de match, je ne me fais pas de souci pour lui.

krahknardz a écrit:

Scalp a écrit:

J'apprécie de plus en plus Kayser comme analyste. C'est clair, posé, impartial, pertinent.

En tout cas leur analyse de la responsabilité de Woki sur l'essai d'Itoje ne laisse pas présager de sa présence sur la feuille de match.

La compétence de Kayser comme commentateur depuis sa retraite sportive est une évidence dès sa prise de poste sur France 4 en remplacement de l'insupportable Marconnet.

Pour être juste (parce qu'il est tout de même toulousain ), Jérôme Cazalbou est aussi une pointure. Il aurait mérité tellement mieux (sauf si ce n'est pas un souhait de sa part) sur une chaîne publique ou privée.

léopold a écrit:On ne leur demande pas de faire mea culpa en public, simplement de corriger le tir, un type cramé même s'il est bon ne peut tenir la barraque à ce niveau.

Franchement les déclarations de Galthie disant que les data montraient que Dupont, Vakatawa étaient en forme à la fin du match sont simplement hallucinantes.... Il nous prend pour des abrutis?

Switch a écrit:

krahknardz a écrit:

Scalp a écrit:

J'apprécie de plus en plus Kayser comme analyste. C'est clair, posé, impartial, pertinent.

En tout cas leur analyse de la responsabilité de Woki sur l'essai d'Itoje ne laisse pas présager de sa présence sur la feuille de match.

Sympathique, technique, pédagogue, impartial et en plus parfaitement bilingue, mais qu'attend la TV française pour enrôler Benjamin et lui faire remplacer des pipasses prétentieuses, partiales et/ou chiantes à écouter comme Yachvili, Heymans, Bayle...etc ?!

Heymans non, lui j'en peux vraiment plus, entre son ton de croque-mort ayant perdu son chien, le.peu de pertinence et la partialité hallucinante des ses commentaires, mieux vaut couper le son.
A la hauteur des Roland et Larqué en foot, c'est tout dire!

Ça montre bien les limites des data. Peut-être que les données physiologiques étaient correctes, mais la lucidité n’était plus là, au moins chez Dupont.
L’Angleterre a perdu le tournoi il y a deux ans je crois en sortant Danny Care qui tenait le match, mais comme le GPS est indiqué qu’il faiblissait, on l’a remplacé. Son remplaçant (je sais plus qui Youngs ou Heinz) a pas du tout bien géré le dernier quart d’heure.
Les limites d’une approche pseudo-scientifique d’un jeu où le ressenti, l’humain et le feeling joueront toujours une part importante.

Roberto Miopalmo a écrit:Ça montre bien les limites des data. Peut-être que les données physiologiques étaient correctes, mais la lucidité n’était plus là, au moins chez Dupont.
L’Angleterre a perdu le tournoi il y a deux ans je crois en sortant Danny Care qui tenait le match, mais comme le GPS est indiqué qu’il faiblissait, on l’a remplacé. Son remplaçant (je sais plus qui Youngs ou Heinz) a pas du tout bien géré le dernier quart d’heure.
Les limites d’une approche pseudo-scientifique d’un jeu où le ressenti, l’humain et le feeling joueront toujours une part importante.

Exactement! Tout le monde s'accorde sur le fait que ces joueurs étaient cramés. C'est faire preuve d'une arrogance inouïe de prétendre qu'on est trop bêtes et pas "dedans" pour l'avoir vu...

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/L-ouvreur-matthieu-jalibert-confirme-et-renforce-face-au-pays-de-galles/1233704

L'ouvreur Matthieu Jalibert, confirmé et renforcé face au pays de Galles

Le demi d'ouverture de l'Union Bordeaux-Bègles sera titulaire pour la quatrième fois de suite, ce samedi face au pays de Galles (21 heures). Romain Ntamack sera sur le banc pour la deuxième fois, après son retour dans le groupe tricolore face aux Anglais.

Thomas Perotto

En début de Tournoi, le patron au poste de demi d'ouverture s'appelait Matthieu Jalibert. Après deux victoires en Italie et en Irlande, et malgré le retour de blessure de Romain Ntamack, l'encadrement des Bleus n'avait pas hésité à aligner le Bordelais à Twickenham. Et après la défaite face aux Anglais (23-20), où le Toulousain n'a pas disputé la moindre minute, la confiance en Jalibert n'a pas disparu. Loin de là. Le Girondin est titulaire, confirmé et renforcé. « Parce qu'il a été très bon », a d'abord répondu le sélectionneur Fabien Galthié ce jeudi midi en conférence de presse.

Quelques minutes plus tard, c'est en analysant la prestation de Jalibert face aux Anglais que Galthié a finalement le mieux justifié la quatrième titularisation de rang de l'ouvreur de l'UBB : « Il a fait une rencontre solide, il a été performant dans son rôle de buteur ce qui est très important. Dans l'animation, il a été performant aussi, dans l'animation offensive et la gestion du jeu. Il a été solide dans un match face à un adversaire consistant. »

Jalibert a une longueur d'avance

Aux dix points au pied de Jalibert (quatre sur quatre, deux transformations et deux pénalités), il faut également ajouter une passe décisive parfaitement donnée à Damian Penaud sur l'essai en première main des Bleus à la 32e et quelques prises d'initiatives intéressantes. S'il a également commis deux petits péchés de gourmandise, une fois en attaquant la ligne plutôt que de servir un avant sur l'extérieur, une autre sur une transversale au pied pas forcément très bien sentie sur l'aile de Penaud, Jalibert est actuellement le numéro 1 dans l'esprit de son sélectionneur.

Romain Ntamack avait pu disputer soixante-dix minutes face à Brive, en Top 14, pour son retour après sa fracture de la mâchoire. Il a malgré tout une longueur de retard sur Matthieu Jalibert dans ce Tournoi notamment au nom de la continuité tant recherchée par l'encadrement français. « Nous sommes très satisfaits des performances de ces deux joueurs. Ce qui est intéressant, c'est que les deux joueurs contribuent à leur émulation et à leur progression. Ils commencent tous les deux à être alimentés en vécu, en expérience, en match. Les joueurs nourrissent et se nourrissent du projet », explique Galthié.

« Il y a des situations, soit pour marquer, soit pour ne pas prendre de points, sur lesquelles nous travaillons pour être plus performants et efficaces »
Fabien Galthié, sélectionneur des Bleus

Ntamack en 10 et Jalibert en 15 au cours de la rencontre ?

En cas d'entrée en jeu de Romain Ntamack face aux Gallois, Jalibert pourrait malgré tout rester sur le terrain en glissant au poste d'arrière. Fabien Galthié a confirmé ce jeudi qu'il était le remplaçant naturel de Brice Dulin en 15. « C'est une option que nous travaillons », avoue le sélectionneur. Posséder deux ouvreurs sur la pelouse, notamment en deuxième période, peut d'ailleurs être une option intéressante dans la gestion de la rencontre. « Dans le match, il y a des moments où on peut mieux exploiter le scénario, où on peut mieux creuser l'écart, remarque Galthié, à propos du déplacement en Angleterre. Il y a des situations, soit pour marquer, soit pour ne pas prendre de points, sur lesquelles nous travaillons pour être plus performants et efficaces. Durant les 76 premières minutes, il y a de quoi faire pour nous améliorer. »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Cyril-cazeaux-forfait-du-changement-sur-le-banc-du-xv-de-france/1233686

Cyril Cazeaux forfait, du changement sur le banc du XV de France

Si le quinze de départ n'a pas changé pour affronter le pays de Galles samedi soir (21h00), le banc a évolué.

R. Be. 18 mars 2021 à 13h22

Si Fabien Galthié et son staff ont décidé de reconduire leur équipe de départ pour la réception du pays de Galles samedi soir (21h00) au Stade de France, des changements ont en revanche été effectués sur le banc.

Comme l'a expliqué le sélectionneur Fabien Galthié, l'un d'entre eux a été dicté par une blessure : le deuxième-ligne Cyril Cazeaux (remplaçant en Angleterre) « s'est blessé à l'entraînement mardi et il est forfait, donc logiquement remplacé par Swan (Rebbadj) qui prend le poste de finisseur deuxième-ligne et potentiellement troisième-ligne comme il peut le faire avec Toulon. »

Rebbadj est en effet polyvalent. Il avait obtenu sa première sélection fin novembre contre l'Italie en Coupe d'automne des nations, où il était déjà entré en jeu à l'époque.

Woki n'est plus dans les 23

Par ailleurs, les deux revenants du début de semaine, le pilier Uini Atonio et le centre Arthur Vincent, retrouvent leur place sur la feuille de match. Le premier car « il est devant Dorian Aldegheri dans la hiérarchie », dixit Galthié. Le second notamment parce que le staff est revenu à un banc classique avec cinq avants et trois arrières. Le Montpelliérain rejoint parmi ces derniers Baptiste Serin et Romain Ntamack.

C'est le troisième-ligne Cameron Woki qui disparaît donc des 23 par rapport à Twickenham.

https://twitter.com/FranceRugby/status/1372511614629462016/photo/1

j'espère que ce n'est pas trop grave pour cazeaux. 9a aurait été sympa de nous dire ce qu'il s'est fait exactement

Jalibert préféré à Ntamack, pas de changement dans le XV... Galthié décrypte ses choix

https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/jalibert-prefere-a-ntamack-pas-de-changement-dans-le-xv.-galthie-france-decrypte-ses-choix_sto8182122/story.shtml

marchal a écrit:j'espère que ce n'est pas trop grave pour cazeaux. 9a aurait été sympa de nous dire ce qu'il s'est fait exactement

Effectivement, le staff de l'EDF n'a rien dit de plus, on en sera plus par S-O ou le club, j'espère assez vite...

Roberto Miopalmo a écrit:Ça montre bien les limites des data. Peut-être que les données physiologiques étaient correctes, mais la lucidité n’était plus là, au moins chez Dupont.
L’Angleterre a perdu le tournoi il y a deux ans je crois en sortant Danny Care qui tenait le match, mais comme le GPS est indiqué qu’il faiblissait, on l’a remplacé. Son remplaçant (je sais plus qui Youngs ou Heinz) a pas du tout bien géré le dernier quart d’heure.
Les limites d’une approche pseudo-scientifique d’un jeu où le ressenti, l’humain et le feeling joueront toujours une part importante.

Complètement d'accord, on a de la chance à l'UBB d'avoir Urios qui coach encore avec un bon feeling, on a pu l'entendre plusieurs fois dire qu'il avait son opinion, et qu'il s'en foutait des datas, pas systématiquement bien-sûr...