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Barrage Top14 : UBB / Clermont
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/avant-ubb-clermont-l-arme-de-toutes-les-conquetes-3710595.php
Avant UBB – Clermont : l’arme de toutes les conquêtes
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
Plus souverain cette saison, le paquet d’avants de l’UBB paraît en mesure d’affirmer son autorité sur son vis-à-vis clermontois ce samedi (20h45) en barrage de Top 14. Indispensable de toute façon pour priver de ballon l’excitante ligne d’attaque adverse
Pour tromper l’attente et l’ennui, certains supporteurs de l’UBB ont peut-être joué à l’un de ces petits « jeux à se faire peur » cette semaine. Celui qui consiste à lister les individualités qui garnissent la ligne de trois-quarts de l’ASM. Des vieux grognards Morgan Parra et Camille Lopez, en passant par l’ex-All Black George Moala au centre et l’international japonais Korato Matsushima à l’arrière, jusqu’aux ailes de Damian Penaud et Alivereti Raka, c’est puissant, technique, et surtout très rapide. Frissons garantis.
Alors si jamais ces « UBBix » devaient encore être secoués par des petites sueurs froides ce matin, à quelques heures du coup d’envoi de ce barrage, voici un petit conseil à leur glisser à l’oreille : songez donc aux « bouilles » de Jefferson Poirot, Vadim Cobilas, Guido Petti ou autres Cyril Cazeaux… Réconfortant, hein ? Et logique en plus de ça.
Au terme d’une saison durant laquelle les avants ont consolidé les acquis de l’exercice précédent - « au niveau des avants, nous sommes plus conquérants », dixit Christophe Urios -, le huit de devant girondin apparaît comme la meilleure arme pour écarter les Clermontois de la route d’une demi-finale face à Toulouse.
Stats à l’appui
« On a plutôt bien évolué, confirme Julien Laïrle, en charge de ce secteur de jeu. Que ce soit sur la touche, où on a fait de gros progrès notamment sur nos possessions, sur les ballons portés, même si ça ne s’est pas vu contre le Stade Toulousain, et sur la mêlée. »
Les statistiques de l’UBB traduisent cette solidité. Son alignement en touche est l’un des tout meilleurs du Top 14 (89 % de ballons gagnés). Et outre sa relative solidité en mêlée (85 % de ballons conservés), c’est également l’une des formations qui inscrit le plus d’essais sur ballons portés ( 8 ) et qui remporte le plus de rucks.
« Comme le dit souvent Christophe (Urios), pour avoir une équipe de très haut niveau, il faut avoir des avants de très haut niveau, prolonge dans une lapalissade Julien Laïrle avant d’avancer quelques bémols : « On a encore du mal à finir nos actions. Or ça passe par le jeu de nos avants : sur du jeu lent, on a besoin d’être plus dominant qu’on l’est aujourd’hui. […] Mais globalement, on a des ballons plutôt propres qui nous permettent de bien lancer le jeu. On a une conquête plutôt performante. »
« La densité physique sera une clé sur le terrain »Julien Laïrle
Plus que celle de l’ASM ? S’il faut se garder tout jugement définitif (et plus particulièrement ceux qui s’affichent dans les vestiaires…), c’est l’impression du moment. « Ça sera la faille de Clermont seulement si les avants de l’UBB sont à leur meilleur niveau », ose Julien Laïrle avant d’émettre une évidente réserve : « Mais je ne pourrais vous répondre à ça que samedi soir. »
Méfiance, car les hommes de Franck Azema ont des circonstances atténuantes. S’ils vont bénéficier du retour d’Arthur Iturria, ils ont été éprouvés par les blessures. À l’image de celle qui les prive de Sébastien Vahaamahina en deuxième ligne. Une situation qui a contraint le manager de l’ASM à l’adaptation : le repositionnement de Peceli Yato dans la « cage » en est l’illustration la plus éloquente.
L’ASM a dû s’adapter
Fatalement, le rendement du paquet clermontois s’en est ressenti. L’ASM est moins maîtresse que par le passé en mêlée (79 % de ballons gagnés) et en touche (83 %). Une tendance n’altère cependant pas la vigilance de Julien Laïrle : « Ils ont une équipe très frontale. Ils ont quelques remaniements, des joueurs qui ne sont pas à leur poste comme Yato : ça les oblige peut-être à se concentrer sur les individualités. La densité physique sera une clé sur le terrain. »
Christophe Urios a pris un malin plaisir à « piquer » ses joueurs face caméras ces dernières semaines en leur rappelant qu’ils devaient faire preuve de caractère. Peuvent-ils relever ce défi ? « On a toujours un palier à franchir, observe Julien Laïrle. Même si on aura vécu trois phases finales différentes cette année (Challenge Cup, Champions Cup et Top 14), on a une équipe qui a besoin de se construire sur des one-shot, du « vivre ou mourir ». Mais trouve que sur le caractère, on a passé un cap. » Il en aura le cœur net ce soir.
Avant UBB – Clermont : l’arme de toutes les conquêtes
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
Plus souverain cette saison, le paquet d’avants de l’UBB paraît en mesure d’affirmer son autorité sur son vis-à-vis clermontois ce samedi (20h45) en barrage de Top 14. Indispensable de toute façon pour priver de ballon l’excitante ligne d’attaque adverse
Pour tromper l’attente et l’ennui, certains supporteurs de l’UBB ont peut-être joué à l’un de ces petits « jeux à se faire peur » cette semaine. Celui qui consiste à lister les individualités qui garnissent la ligne de trois-quarts de l’ASM. Des vieux grognards Morgan Parra et Camille Lopez, en passant par l’ex-All Black George Moala au centre et l’international japonais Korato Matsushima à l’arrière, jusqu’aux ailes de Damian Penaud et Alivereti Raka, c’est puissant, technique, et surtout très rapide. Frissons garantis.
Alors si jamais ces « UBBix » devaient encore être secoués par des petites sueurs froides ce matin, à quelques heures du coup d’envoi de ce barrage, voici un petit conseil à leur glisser à l’oreille : songez donc aux « bouilles » de Jefferson Poirot, Vadim Cobilas, Guido Petti ou autres Cyril Cazeaux… Réconfortant, hein ? Et logique en plus de ça.
Au terme d’une saison durant laquelle les avants ont consolidé les acquis de l’exercice précédent - « au niveau des avants, nous sommes plus conquérants », dixit Christophe Urios -, le huit de devant girondin apparaît comme la meilleure arme pour écarter les Clermontois de la route d’une demi-finale face à Toulouse.
Stats à l’appui
« On a plutôt bien évolué, confirme Julien Laïrle, en charge de ce secteur de jeu. Que ce soit sur la touche, où on a fait de gros progrès notamment sur nos possessions, sur les ballons portés, même si ça ne s’est pas vu contre le Stade Toulousain, et sur la mêlée. »
Les statistiques de l’UBB traduisent cette solidité. Son alignement en touche est l’un des tout meilleurs du Top 14 (89 % de ballons gagnés). Et outre sa relative solidité en mêlée (85 % de ballons conservés), c’est également l’une des formations qui inscrit le plus d’essais sur ballons portés ( 8 ) et qui remporte le plus de rucks.
« Comme le dit souvent Christophe (Urios), pour avoir une équipe de très haut niveau, il faut avoir des avants de très haut niveau, prolonge dans une lapalissade Julien Laïrle avant d’avancer quelques bémols : « On a encore du mal à finir nos actions. Or ça passe par le jeu de nos avants : sur du jeu lent, on a besoin d’être plus dominant qu’on l’est aujourd’hui. […] Mais globalement, on a des ballons plutôt propres qui nous permettent de bien lancer le jeu. On a une conquête plutôt performante. »
« La densité physique sera une clé sur le terrain »Julien Laïrle
Plus que celle de l’ASM ? S’il faut se garder tout jugement définitif (et plus particulièrement ceux qui s’affichent dans les vestiaires…), c’est l’impression du moment. « Ça sera la faille de Clermont seulement si les avants de l’UBB sont à leur meilleur niveau », ose Julien Laïrle avant d’émettre une évidente réserve : « Mais je ne pourrais vous répondre à ça que samedi soir. »
Méfiance, car les hommes de Franck Azema ont des circonstances atténuantes. S’ils vont bénéficier du retour d’Arthur Iturria, ils ont été éprouvés par les blessures. À l’image de celle qui les prive de Sébastien Vahaamahina en deuxième ligne. Une situation qui a contraint le manager de l’ASM à l’adaptation : le repositionnement de Peceli Yato dans la « cage » en est l’illustration la plus éloquente.
L’ASM a dû s’adapter
Fatalement, le rendement du paquet clermontois s’en est ressenti. L’ASM est moins maîtresse que par le passé en mêlée (79 % de ballons gagnés) et en touche (83 %). Une tendance n’altère cependant pas la vigilance de Julien Laïrle : « Ils ont une équipe très frontale. Ils ont quelques remaniements, des joueurs qui ne sont pas à leur poste comme Yato : ça les oblige peut-être à se concentrer sur les individualités. La densité physique sera une clé sur le terrain. »
Christophe Urios a pris un malin plaisir à « piquer » ses joueurs face caméras ces dernières semaines en leur rappelant qu’ils devaient faire preuve de caractère. Peuvent-ils relever ce défi ? « On a toujours un palier à franchir, observe Julien Laïrle. Même si on aura vécu trois phases finales différentes cette année (Challenge Cup, Champions Cup et Top 14), on a une équipe qui a besoin de se construire sur des one-shot, du « vivre ou mourir ». Mais trouve que sur le caractère, on a passé un cap. » Il en aura le cœur net ce soir.
Scalp- Team modo
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/barrage-de-top-14-pour-cette-grande-premiere-l-ubb-veut-rester-dans-le-cadre-face-a-clermont-3709866.php
Barrage de Top 14 : pour cette grande première, l’UBB veut rester dans le cadre face à Clermont
Par Yoan Leshauriès
Pour son baptême du feu à ce stade de la compétition, face à l’expérience clermontoise, le club girondin attend beaucoup de ses joueurs cadres
Le moment tant attendu est arrivé pour l’Union Bordeaux-Bègles. Dix ans après sa montée en Top 14, le club girondin va enfin goûter aux phases finales. Et désormais, le nouveau venu vise la même chose que ses concurrents : le Brennus. « On l’a tous en tête, reconnaît le capitaine Jefferson Poirot. Si on n’y pense pas, c’est qu’on n’a pas grand-chose à faire ici. Mais il faut y aller étape par étape ».
La première sera la réception de Clermont en barrage ce samedi pour tenter de décrocher la qualification pour une demi-finale face à Toulouse à Lille le week-end prochain. Depuis deux ans, l’UBB est invaincue face à l’ASM (3 victoires, 1 nul) mais les confrontations ont toujours été serrées cette saison (16-16 à Chaban, 37-36 au Michelin) et cette fois, c’est un autre championnat qui démarre.
Match des charnières
Face à des Auvergnats aguerris aux joutes des phases finales, emmenés par une charnière d’expérience (Parra - Lopez), les Girondins sont bien conscients de la hauteur du défi. De leur côté, ils peuvent s’appuyer sur l’expérience de leurs phases finales de Challenge Cup (demi-finaliste) et de Champions Cup (demi-finaliste). Mais pour beaucoup d’acteurs, celles de Top 14 sont d’un tout autre calibre.
« Il faut jouer comme on joue depuis le début de la saison, il ne faut pas chercher à faire plus compliqué, il faut rester dans notre schéma », prévient le talonneur Clément Maynadier. « Dans le money-time, tout le monde se retourne vers les grands joueurs, souligne Christophe Urios. Sur les matchs comme ça, ils doivent être à leur meilleur niveau, sinon, tu ne gagnes pas. J’ai entendu ce qu’a dit le président de la République à l’équipe de France de football : « C’est le groupe qui va faire gagner l’Euro ». Ce n’est pas vrai. Ce qui va faire gagner l’Euro, c’est Mbappé, Griezmann, Lloris… Ce sont eux, ce n’est pas le groupe. Le « nous », c’est fini maintenant. On peut penser qu’à ce niveau, les mecs sont complètement ensemble. Après, ce sont les grands joueurs qui font la différence ».
Sur ce barrage, le match des charnières sera scruté de près. « Si la charnière clermontoise joue les mains en haut du guidon, on ne gagnera pas, prévient Christophe Urios. Max (Lucu) et Matthieu (Jalibert) font partie des cadres de l’équipe. Dans la construction, la maîtrise, techniquement, au pied, il faut être bon. La confrontation directe va sûrement peser ».
Les Girondins répètent depuis plusieurs semaines que la qualification n’est pas la fin en soi. Pour leur baptême du feu en phases finales du Top 14, ils auront l’occasion de le prouver. Histoire de prolonger le rêve.
Barrage de Top 14 : pour cette grande première, l’UBB veut rester dans le cadre face à Clermont
Par Yoan Leshauriès
Pour son baptême du feu à ce stade de la compétition, face à l’expérience clermontoise, le club girondin attend beaucoup de ses joueurs cadres
Le moment tant attendu est arrivé pour l’Union Bordeaux-Bègles. Dix ans après sa montée en Top 14, le club girondin va enfin goûter aux phases finales. Et désormais, le nouveau venu vise la même chose que ses concurrents : le Brennus. « On l’a tous en tête, reconnaît le capitaine Jefferson Poirot. Si on n’y pense pas, c’est qu’on n’a pas grand-chose à faire ici. Mais il faut y aller étape par étape ».
La première sera la réception de Clermont en barrage ce samedi pour tenter de décrocher la qualification pour une demi-finale face à Toulouse à Lille le week-end prochain. Depuis deux ans, l’UBB est invaincue face à l’ASM (3 victoires, 1 nul) mais les confrontations ont toujours été serrées cette saison (16-16 à Chaban, 37-36 au Michelin) et cette fois, c’est un autre championnat qui démarre.
Match des charnières
Face à des Auvergnats aguerris aux joutes des phases finales, emmenés par une charnière d’expérience (Parra - Lopez), les Girondins sont bien conscients de la hauteur du défi. De leur côté, ils peuvent s’appuyer sur l’expérience de leurs phases finales de Challenge Cup (demi-finaliste) et de Champions Cup (demi-finaliste). Mais pour beaucoup d’acteurs, celles de Top 14 sont d’un tout autre calibre.
« Il faut jouer comme on joue depuis le début de la saison, il ne faut pas chercher à faire plus compliqué, il faut rester dans notre schéma », prévient le talonneur Clément Maynadier. « Dans le money-time, tout le monde se retourne vers les grands joueurs, souligne Christophe Urios. Sur les matchs comme ça, ils doivent être à leur meilleur niveau, sinon, tu ne gagnes pas. J’ai entendu ce qu’a dit le président de la République à l’équipe de France de football : « C’est le groupe qui va faire gagner l’Euro ». Ce n’est pas vrai. Ce qui va faire gagner l’Euro, c’est Mbappé, Griezmann, Lloris… Ce sont eux, ce n’est pas le groupe. Le « nous », c’est fini maintenant. On peut penser qu’à ce niveau, les mecs sont complètement ensemble. Après, ce sont les grands joueurs qui font la différence ».
Sur ce barrage, le match des charnières sera scruté de près. « Si la charnière clermontoise joue les mains en haut du guidon, on ne gagnera pas, prévient Christophe Urios. Max (Lucu) et Matthieu (Jalibert) font partie des cadres de l’équipe. Dans la construction, la maîtrise, techniquement, au pied, il faut être bon. La confrontation directe va sûrement peser ».
Les Girondins répètent depuis plusieurs semaines que la qualification n’est pas la fin en soi. Pour leur baptême du feu en phases finales du Top 14, ils auront l’occasion de le prouver. Histoire de prolonger le rêve.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
UBB : c’est également l’une des formations qui inscrit le plus d’essais sur ballons portés ( 8 ) et qui remporte le plus de rucks. ...
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
100% UBB, l'émission
UBB / ASM 1er match historique de phase finale pour l'Union
https://www.francebleu.fr/emissions/la-melee-du-lundi/gironde
UBB / ASM 1er match historique de phase finale pour l'Union
https://www.francebleu.fr/emissions/la-melee-du-lundi/gironde
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Top 14 : « On ne marque l’histoire que si on gagne un titre », lance Laurent Marti avant UBB-Clermont
https://www.20minutes.fr/sport/rugby/3058063-20210611-top-14-marque-histoire-si-gagne-titre-lance-laurent-marti-avant-ubb-clermont?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter#xtor=RSS-149
https://www.20minutes.fr/sport/rugby/3058063-20210611-top-14-marque-histoire-si-gagne-titre-lance-laurent-marti-avant-ubb-clermont?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter#xtor=RSS-149
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/asm-clermont/une-envie-et-un-plaisir-a-prolonger-pour-l-asm-ce-samedi-face-a-bordeaux-begles_13966499
Une envie et un plaisir à prolonger pour l'ASM, ce samedi, face à Bordeaux-Bègles
Après une saison régulière en dent de scie, l’ASM a l’occasion d’atteindre le dernier carré avec, à l’affiche, un barrage plus indécis qu’il ne paraît face à Bordeaux-Bègles, ce samedi (20 h 45). Quelle équipe saura allier l’airain de son pack à un mental de fer ?
Entre un match de barrage et la voie de garage… il n’y a qu’un pas que ni les Bordelais, ni les Clermontois n’ont l’intention d’emprunter, ce samedi (20 h 45) à Chaban-Delmas, pour ce duel de phases finales inédit entre les deux clubs, depuis la montée de l’UBB il y a dix ans.
Si cette participation à la « grande fête » du rugby français de fin de saison est une première pour Bordeaux-Bègles, Clermont s’avance en Gironde en habitué de l’exercice ; 13e participation en 14 saisons de Top 14 ! Seul le Stade Toulousain rivalise en termes de régularité dans ce sprint final menant au Bouclier.
« Les joueurs décident de l’état d’esprit qu’ils veulent mettre »
Franck Azéma (Directeur sportif de l'ASM)
Au bal des affamés ce samedi, les Clermontois ont bien l’intention de ne pas ramasser les miettes. Franck Azéma, qui pourrait vivre son dernier match sur le banc de l’ASM, livre son ressenti. « Je peux dire tout ce que je veux, essayer d’être le plus vrai possible avec mon staff et les gars et partager ça intensément avec tous, ce sont les joueurs sur le terrain qui décident de l’état d’esprit qu’ils veulent mettre. Aujourd’hui, je les sens bien ensemble, c’est une certitude. Je vois vite quand ça se disperse. Là, je sens l’envie de partager. Après quasiment 13 mois, les meilleurs moments sont devant nous ».
Déjà sérieux, selon le coach, dans la préparation du faux 8e de finale contre La Rochelle du week-end dernier, les Clermontois ont abordé le barrage avec « précision et détermination, même si ce n’est pas un gage de réussite » souligne Azéma. Ce samedi, les deux confrontations de la saison ne pèseront pas lourd dans l’approche tactique de ce barrage. Il sera question de combat, de duels gagnés ou perdus, d’une envie de se surpasser plus forte d’un côté ou d’un autre.
Rivaliser dans le bras de fer des avants sera un préalable pour l'ASM
Mais, pour Clermont, il faudra aussi remplir d’autres cases. Celle notamment de l’utilisation du ballon. Meilleure attaque du Top 14, l’ASM a affolé les statistiques cette saison. Les « gros » savent bonifier leurs ballons portés comme personne, mais le jeu des lignes arrière a perdu en fluidité, notamment quand l’épaule de Camille Lopez n’a pas résisté à une charge d’un des jumeaux Arnold le 10 avril.
Face à Bordeaux, gagner ou tout au moins rivaliser dans le bras de fer des avants sera un préalable, mais il faudra plus d’efficacité du côté des trois-quarts. Et qui mieux qu’une charnière pour amener du liant entre les lignes ?
D’ailleurs, Christophe Urios, le coach bordelais a plutôt visé juste quand il a circonscrit ce match de barrage à la liberté dont profitera, ou pas, le duo Parra - Lopez. Deux hommes de base du collectif clermontois, deux maîtres buteurs, deux patrons qui devront peser ce samedi sur les débats. Pour que l’ASM puisse rêver de regarder à nouveau droit dans les yeux les Toulousains dans une semaine en demie.
Christophe Buron
Une envie et un plaisir à prolonger pour l'ASM, ce samedi, face à Bordeaux-Bègles
Après une saison régulière en dent de scie, l’ASM a l’occasion d’atteindre le dernier carré avec, à l’affiche, un barrage plus indécis qu’il ne paraît face à Bordeaux-Bègles, ce samedi (20 h 45). Quelle équipe saura allier l’airain de son pack à un mental de fer ?
Entre un match de barrage et la voie de garage… il n’y a qu’un pas que ni les Bordelais, ni les Clermontois n’ont l’intention d’emprunter, ce samedi (20 h 45) à Chaban-Delmas, pour ce duel de phases finales inédit entre les deux clubs, depuis la montée de l’UBB il y a dix ans.
Si cette participation à la « grande fête » du rugby français de fin de saison est une première pour Bordeaux-Bègles, Clermont s’avance en Gironde en habitué de l’exercice ; 13e participation en 14 saisons de Top 14 ! Seul le Stade Toulousain rivalise en termes de régularité dans ce sprint final menant au Bouclier.
« Les joueurs décident de l’état d’esprit qu’ils veulent mettre »
Franck Azéma (Directeur sportif de l'ASM)
Au bal des affamés ce samedi, les Clermontois ont bien l’intention de ne pas ramasser les miettes. Franck Azéma, qui pourrait vivre son dernier match sur le banc de l’ASM, livre son ressenti. « Je peux dire tout ce que je veux, essayer d’être le plus vrai possible avec mon staff et les gars et partager ça intensément avec tous, ce sont les joueurs sur le terrain qui décident de l’état d’esprit qu’ils veulent mettre. Aujourd’hui, je les sens bien ensemble, c’est une certitude. Je vois vite quand ça se disperse. Là, je sens l’envie de partager. Après quasiment 13 mois, les meilleurs moments sont devant nous ».
Déjà sérieux, selon le coach, dans la préparation du faux 8e de finale contre La Rochelle du week-end dernier, les Clermontois ont abordé le barrage avec « précision et détermination, même si ce n’est pas un gage de réussite » souligne Azéma. Ce samedi, les deux confrontations de la saison ne pèseront pas lourd dans l’approche tactique de ce barrage. Il sera question de combat, de duels gagnés ou perdus, d’une envie de se surpasser plus forte d’un côté ou d’un autre.
Rivaliser dans le bras de fer des avants sera un préalable pour l'ASM
Mais, pour Clermont, il faudra aussi remplir d’autres cases. Celle notamment de l’utilisation du ballon. Meilleure attaque du Top 14, l’ASM a affolé les statistiques cette saison. Les « gros » savent bonifier leurs ballons portés comme personne, mais le jeu des lignes arrière a perdu en fluidité, notamment quand l’épaule de Camille Lopez n’a pas résisté à une charge d’un des jumeaux Arnold le 10 avril.
Face à Bordeaux, gagner ou tout au moins rivaliser dans le bras de fer des avants sera un préalable, mais il faudra plus d’efficacité du côté des trois-quarts. Et qui mieux qu’une charnière pour amener du liant entre les lignes ?
D’ailleurs, Christophe Urios, le coach bordelais a plutôt visé juste quand il a circonscrit ce match de barrage à la liberté dont profitera, ou pas, le duo Parra - Lopez. Deux hommes de base du collectif clermontois, deux maîtres buteurs, deux patrons qui devront peser ce samedi sur les débats. Pour que l’ASM puisse rêver de regarder à nouveau droit dans les yeux les Toulousains dans une semaine en demie.
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Christophe-urios-ubb-avant-le-barrage-contre-clermont-la-phase-finale-c-est-la-fureur-de-vivre/1261548
Christophe Urios (UBB) avant le barrage contre Clermont : « La phase finale, c'est la fureur de vivre ! »
Avant le barrage contre Clermont, samedi soir (20h45), le manager de l'UBB s'est longuement confié sur son rapport aux matches décisifs de fin de saison et le cheminement de la saison du club bordelais.
Maxime Raulin,
Dimanche dernier, Christophe Urios a reçu L'Équipe dans un petit village au sud de Bordeaux où il a élu domicile depuis deux ans pour être au calme. Un besoin qu'il revendique. Le manager de l'Union Bordeaux-Bègles s'est livré, bien installé dans son salon, entre deux tableaux représentants des chefs indiens et deux autres des taureaux, signe de bravoure pour l'ancien talonneur (55 ans).
Pendant plus d'une heure, Christophe Urios a évoqué la construction de sa saison avec l'UBB et ce moment si particulier de la phase finale. Après avoir qualifié pour les barrages Oyonnax (2015) puis le Castres Olympique (2016, 2017 et 2018 avec à la clé un titre de champion de France), le voilà à nouveau présent au rendez-vous, face à Clermont, avec l'Union Bordeaux-Bègles, une première pour le club girondin. Il développe également ses principales convictions à l'approche des matches couperets.
« Après Oyonnax et Castres, vous venez de qualifier Bordeaux pour la phase finale du Top 14. Pouvez-vous nous donner votre secret ?
(Il sourit.) Il n'y a pas de secret. (Il s'arrête.) Quand j'arrive dans une équipe, j'essaie toujours de développer un état d'esprit lié à la culture du travail et à la notion de progression. Si on ne progresse pas, il faut comprendre pourquoi. C'est fondamental. Tout est articulé autour de ça. C'est mon fonds de commerce, ensuite la recette est différente à chaque fois.
En bref :
55 ans
Manager de l'Union Bordeaux-Bègles
Ex-manager de Castres (2002-2005, 2015-2019), Bourgoin (2005-2007), Oyonnax (2007-2015).
2018 : le 2 juin, il est sacré champion de France avec Castres en battant Montpellier (29-13).
Quelle a été celle pour l'UBB ?
Le club est encore jeune (il est né en 2006). Il y a eu un gros travail sur l'identité, les structures, le staff, le groupe. Aujourd'hui, je ressens de la maturité qui est le fruit des échecs passés. La première fois que j'ai vu les joueurs, je leur ai dit : "Nous sommes deux grands malades." En 2019, j'avais raté la qualification avec Castres (7e). L'UBB s'était loupée aussi (10e). C'était dur des deux côtés. J'ai annoncé la couleur : "Ce n'est pas parce qu'il y a du changement dans le staff et que quelques joueurs arrivent qu'on va se qualifier !" Mais plutôt : "C'est à vous les anciens (dont 90 % restaient au club) de changer ! Si vous pensez qu'on n'y arrivera pas, alors oui, on n'y arrivera pas !" Je ne connaissais rien de ce club. De l'extérieur, si l'UBB ne parvenait pas à faire de preuve de régularité sur une saison, c'était dû à un manque de travail. En arrivant, on a mis en place une organisation infaillible et les entraînements à haute intensité. Je me suis également inspiré de Rory Teague (entraîneur entre janvier et novembre 2018). Quand je l'entendais parler, je trouvais qu'il disait des choses vraies. Vous allez rire, mais c'était sans doute la personne idoine pour le projet ! Il avait perçu les problèmes et les manques. Il n'a pas réussi à le mettre en place.
N'avez-vous pas craint que Bordeaux ne vous corresponde pas ?
C'est ce qui m'a plu. Savoir si j'étais capable de m'adapter à un environnement qui ne me correspondait pas. Mais aussi ce challenge : avec moi, l'UBB va se qualifier ! Mais ce qui m'excite le plus, c'est d'être champion ! En arrivant, j'ai posé trois questions au groupe avec l'image d'un train.
1/ Pourquoi au départ tout le monde est là ?
2/ Pourquoi en décembre-janvier ça décroche ?
3/ Pourquoi en avril le club déraille ?
Ce qui est ressorti des échanges a été : "On parle plus que ce que l'on fait." Ça, c'est impossible ! Il n'y avait pas d'union alors que le club s'appelle Union Bordeaux-Bègles... Et enfin, sur le jeu, les joueurs ne se retrouvaient pas. Deux ans après, on se qualifie. Il y a des choses sur lesquelles je suis intransigeant comme la réalité du haut niveau. C'est ce qu'ils attendaient ! Les joueurs ont changé.
« Les leaders de vie sont venus me voir pour avoir la musique toute la semaine. J'ai dit non ! Je veux entendre les barres claquer ! »
L'an dernier, la saison s'est arrêtée alors que vous étiez leader du Top 14. Cela vous a-t-il servi cette saison ?
On l'a vécu comme une énorme frustration, même si on ne saura jamais comment on aurait terminé la saison. Mais le plus dur, c'est qu'on s'était accroché à l'idée que ça allait reprendre. J'en étais persuadé. Puis le 29 avril, Laurent (Marti, le président) m'appelle et me dit : "C'est fini !" Le même jour, j'ai appris le décès de Jean-Marc Manducher (son président à Oyonnax). Ça marque forcément. On a dit aux mecs qu'on allait repartir et rebâtir. Mais j'étais inquiet. J'entendais souvent : "J'espère qu'on va reprendre comme on était, j'espère qu'on retrouvera notre état d'esprit, j'espère... j'espère..." Tu ne peux pas espérer. On ne pouvait pas reprendre comme avant. C'est difficile à accepter. On a donc travaillé sur le rebond et la notion de motivation par rapport à l'apprentissage. Il fallait accepter de faire des erreurs. On a aussi travaillé sur l'intime. Lors des entretiens que j'avais avec les joueurs, je sentais que ça repartait. Ça s'est vérifié sur le terrain, on a contrôlé notre rebond. On a enfin été bien boostés par la phase finale de Challenge européen qui permettait de solder notre saison (défaite en demi-finales face à Bristol, 20-37 après prolongation).
En janvier-février, vous saviez que l'UBB allait se qualifier ?
On avait un calendrier démentiel, face à des concurrents directs. C'était capital. On enchaîne un nul et cinq victoires, notamment au Racing (33-32) et à Clermont (37-36). Malgré tout, je sais qu'on n'a pas encore l'expérience. Avant de recevoir La Rochelle fin mars, je dis au groupe : "C'est le moment de changer d'attitude, d'élever notre niveau." Les mecs répondaient "oui", mais ils ne comprenaient pas ce que je voulais dire. Il fallait se préparer comme si c'était un match de phase finale. On fait une semaine excellente. Sauf qu'on se fait démonter par La Rochelle (défaite 26-11). Je me suis dit : "C'est trop fragile." J'ai changé d'attitude. J'ai un super groupe. Je leur avais même dit : "Il me tarde que mon aventure ici soit terminée pour être pote avec vous !" Mais là, il fallait que je change mon management, sinon on allait dans le mur.
Qu'avez-vous fait ?
Après ce match de La Rochelle, j'entendais : "Et voilà, ça recommence, le mois d'avril n'est pas fait pour nous..." C'était insupportable ! Comment pouvaient-ils avoir des croyances aussi connes ? J'ai donc mis des règles en place pour le mois d'avril : pas de musique, pas de collation, pas de laverie, pas de bouffonnerie... Chaque semaine, ils organisaient un repas à thème. La semaine de La Rochelle, c'était la "mafia italienne". On est passés pour des bouffons. Moi, je ne suis pas un bouffon ! Tout ça, c'était fini ! Je ne fais pas ce métier pour avoir ce genre de management mais je sais faire. Ils se sont remis dedans.
Avez-vous relâché la pression ?
Pas trop... J'ai instauré les règles du mois de mai. La laverie était de retour, la musique aussi, mais uniquement en fin de semaine. Les leaders de vie sont venus me voir pour avoir la musique toute la semaine. J'ai dit non ! Je veux entendre les barres claquer ! L'objectif du top 6 devait être remis au centre du projet. On s'éparpillait.
« J'ai presque le sentiment que la clé est le coeur de l'hiver. Si dans les moments durs les joueurs sont présents, ils le seront en phase finale. »
Le top 6, c'est fait. Quelle est la clé pour réussir une bonne phase finale ?
Sur le jeu, l'organisation, il faut appuyer sur ce qu'on a bien fait tout au long de la saison et récolter les fruits de notre travail. L'approche sera sans doute un peu différente. Le week-end dernier, avant Toulouse (défaite 10-21), j'ai mis de la tension. Là, avant le barrage, il faut mettre de la confiance. Retrouver nos habitudes. Ça ne sert à rien d'inventer.
Y a-t-il un moment précis dans la semaine à ne pas rater ?
Bonne question... J'ai presque le sentiment que la clé est le coeur de l'hiver. Si dans les moments durs les joueurs sont présents, ils le seront en phase finale. J'ai un petit rituel. J'aime bien arriver au match et qu'on ait 50 % de chances de gagner par rapport à l'adversaire. J'appelle ça "l'histoire du match". Le lundi, je fais un compte à rebours. (Il va dans son bureau chercher son ordinateur.) Regardez, contre Bristol en demies de Challenge, on était à 5 % de chances. Pour arriver à 50 %, on doit développer quatre points : le « nous », le « rugby », la « préparation » et le « je ». Tous les jours, j'affine par rapport à ce que je vois, ce que je ressens. Je m'en suis toujours servi pour préparer les matches de phase finale. Attention, ça reste subjectif, mais ça donne des repères aux mecs.
À Oyonnax et à Castres, il n'y avait pas forcément cette attente de la phase finale...
(Il coupe.) On a géré. Le piège est de se dire que la saison est réussie. Mais non, ce n'est qu'un point de passage. Même à Oyonnax, les mecs voulaient être champions de France ! La phase finale, c'est la fureur de vivre !
Vous avez été champion avec Castres. Est-ce qu'on le sent venir ?
Oui, c'est palpable. Dans la semaine du barrage, tu sens qu'il peut se passer un truc. Tu ressens une vibration positive. Mais je le garde pour moi. À chaque phase finale, j'ai ressenti quelque chose. À Castres, la première phase finale (en 2016), j'avais senti que c'était la fin d'une histoire (éliminé en barrage à Montpellier, 28-9).
« Notre rôle est est dans la confiance donnée au groupe. Il faut être authentique, lisible. Il faut que les joueurs sentent qu'on a travaillé ça et que ça va se passer comme ça. »
Vous êtes toujours passé par les barrages, mais cette fois n'auriez-vous pas préféré un billet direct pour les demi-finales ?
Je me suis posé la question. Avec cette équipe, n'est-ce pas mieux de passer par les barrages ? C'est une excellente montée en puissance.
La composition de votre équipe pour la phase finale est mûrie depuis quand ?
Depuis un mois, j'ai les idées claires, à deux-trois exceptions près. Ce qui m'embête, ce sont les choix sur blessure ou suspension. (Yoram) Moefana (blessé) ou (Jandre) Marais (suspendu), ce sont des joueurs de phase finale, avec une force brutale ! Après, peu importe l'adversaire, je sais avec qui l'équipe fonctionne le mieux. Mais les joueurs ne le savent pas. J'ai toujours fonctionné comme ça. Un mec peut te faire changer d'avis. Mais là encore, ce sont des choses que je ressens, presque comme une vision. J'ai un exemple frappant avec Castres. En 2018, on fait venir un joker au poste de pilier droit : Paea Fa'anunu. On va jouer à La Rochelle trois jours plus tard pour la qualif et je sentais qu'on devait tenter un truc. Je mets donc Fa'anunu remplaçant au détriment de Montès. Ça a été déterminant (victoire 26-18).
Il y aura des mecs frustrés...
Ils ont eu un an pour se montrer. En phase finale, il n'y a plus de gestion. Je dis les choses. Ça ne me touche pas (il le répète deux fois). L'équipe prime. Si tu fais un choix affectif, tu es mort.
Des joueurs habitués à la phase finale comme Louis Picamoles, Rémi Lamerat...
(Il coupe.)(Ben) Tameifuna ! Sur une fin de match, ça peut faire la différence. Je leur demande de s'exprimer. Une semaine de phase finale passe plus par les joueurs que par le staff. Notre rôle est dans la confiance donnée au groupe. Il faut être authentique, lisible. Il faut que les joueurs sentent qu'on a travaillé ça et que ça va se passer comme ça. Ils ne peuvent plus reculer. Soit on gagne, soit on est en vacances. Mais la défaite, je ne l'envisage pas ! »
Christophe Urios (UBB) avant le barrage contre Clermont : « La phase finale, c'est la fureur de vivre ! »
Avant le barrage contre Clermont, samedi soir (20h45), le manager de l'UBB s'est longuement confié sur son rapport aux matches décisifs de fin de saison et le cheminement de la saison du club bordelais.
Maxime Raulin,
Dimanche dernier, Christophe Urios a reçu L'Équipe dans un petit village au sud de Bordeaux où il a élu domicile depuis deux ans pour être au calme. Un besoin qu'il revendique. Le manager de l'Union Bordeaux-Bègles s'est livré, bien installé dans son salon, entre deux tableaux représentants des chefs indiens et deux autres des taureaux, signe de bravoure pour l'ancien talonneur (55 ans).
Pendant plus d'une heure, Christophe Urios a évoqué la construction de sa saison avec l'UBB et ce moment si particulier de la phase finale. Après avoir qualifié pour les barrages Oyonnax (2015) puis le Castres Olympique (2016, 2017 et 2018 avec à la clé un titre de champion de France), le voilà à nouveau présent au rendez-vous, face à Clermont, avec l'Union Bordeaux-Bègles, une première pour le club girondin. Il développe également ses principales convictions à l'approche des matches couperets.
« Après Oyonnax et Castres, vous venez de qualifier Bordeaux pour la phase finale du Top 14. Pouvez-vous nous donner votre secret ?
(Il sourit.) Il n'y a pas de secret. (Il s'arrête.) Quand j'arrive dans une équipe, j'essaie toujours de développer un état d'esprit lié à la culture du travail et à la notion de progression. Si on ne progresse pas, il faut comprendre pourquoi. C'est fondamental. Tout est articulé autour de ça. C'est mon fonds de commerce, ensuite la recette est différente à chaque fois.
En bref :
55 ans
Manager de l'Union Bordeaux-Bègles
Ex-manager de Castres (2002-2005, 2015-2019), Bourgoin (2005-2007), Oyonnax (2007-2015).
2018 : le 2 juin, il est sacré champion de France avec Castres en battant Montpellier (29-13).
Quelle a été celle pour l'UBB ?
Le club est encore jeune (il est né en 2006). Il y a eu un gros travail sur l'identité, les structures, le staff, le groupe. Aujourd'hui, je ressens de la maturité qui est le fruit des échecs passés. La première fois que j'ai vu les joueurs, je leur ai dit : "Nous sommes deux grands malades." En 2019, j'avais raté la qualification avec Castres (7e). L'UBB s'était loupée aussi (10e). C'était dur des deux côtés. J'ai annoncé la couleur : "Ce n'est pas parce qu'il y a du changement dans le staff et que quelques joueurs arrivent qu'on va se qualifier !" Mais plutôt : "C'est à vous les anciens (dont 90 % restaient au club) de changer ! Si vous pensez qu'on n'y arrivera pas, alors oui, on n'y arrivera pas !" Je ne connaissais rien de ce club. De l'extérieur, si l'UBB ne parvenait pas à faire de preuve de régularité sur une saison, c'était dû à un manque de travail. En arrivant, on a mis en place une organisation infaillible et les entraînements à haute intensité. Je me suis également inspiré de Rory Teague (entraîneur entre janvier et novembre 2018). Quand je l'entendais parler, je trouvais qu'il disait des choses vraies. Vous allez rire, mais c'était sans doute la personne idoine pour le projet ! Il avait perçu les problèmes et les manques. Il n'a pas réussi à le mettre en place.
N'avez-vous pas craint que Bordeaux ne vous corresponde pas ?
C'est ce qui m'a plu. Savoir si j'étais capable de m'adapter à un environnement qui ne me correspondait pas. Mais aussi ce challenge : avec moi, l'UBB va se qualifier ! Mais ce qui m'excite le plus, c'est d'être champion ! En arrivant, j'ai posé trois questions au groupe avec l'image d'un train.
1/ Pourquoi au départ tout le monde est là ?
2/ Pourquoi en décembre-janvier ça décroche ?
3/ Pourquoi en avril le club déraille ?
Ce qui est ressorti des échanges a été : "On parle plus que ce que l'on fait." Ça, c'est impossible ! Il n'y avait pas d'union alors que le club s'appelle Union Bordeaux-Bègles... Et enfin, sur le jeu, les joueurs ne se retrouvaient pas. Deux ans après, on se qualifie. Il y a des choses sur lesquelles je suis intransigeant comme la réalité du haut niveau. C'est ce qu'ils attendaient ! Les joueurs ont changé.
« Les leaders de vie sont venus me voir pour avoir la musique toute la semaine. J'ai dit non ! Je veux entendre les barres claquer ! »
L'an dernier, la saison s'est arrêtée alors que vous étiez leader du Top 14. Cela vous a-t-il servi cette saison ?
On l'a vécu comme une énorme frustration, même si on ne saura jamais comment on aurait terminé la saison. Mais le plus dur, c'est qu'on s'était accroché à l'idée que ça allait reprendre. J'en étais persuadé. Puis le 29 avril, Laurent (Marti, le président) m'appelle et me dit : "C'est fini !" Le même jour, j'ai appris le décès de Jean-Marc Manducher (son président à Oyonnax). Ça marque forcément. On a dit aux mecs qu'on allait repartir et rebâtir. Mais j'étais inquiet. J'entendais souvent : "J'espère qu'on va reprendre comme on était, j'espère qu'on retrouvera notre état d'esprit, j'espère... j'espère..." Tu ne peux pas espérer. On ne pouvait pas reprendre comme avant. C'est difficile à accepter. On a donc travaillé sur le rebond et la notion de motivation par rapport à l'apprentissage. Il fallait accepter de faire des erreurs. On a aussi travaillé sur l'intime. Lors des entretiens que j'avais avec les joueurs, je sentais que ça repartait. Ça s'est vérifié sur le terrain, on a contrôlé notre rebond. On a enfin été bien boostés par la phase finale de Challenge européen qui permettait de solder notre saison (défaite en demi-finales face à Bristol, 20-37 après prolongation).
En janvier-février, vous saviez que l'UBB allait se qualifier ?
On avait un calendrier démentiel, face à des concurrents directs. C'était capital. On enchaîne un nul et cinq victoires, notamment au Racing (33-32) et à Clermont (37-36). Malgré tout, je sais qu'on n'a pas encore l'expérience. Avant de recevoir La Rochelle fin mars, je dis au groupe : "C'est le moment de changer d'attitude, d'élever notre niveau." Les mecs répondaient "oui", mais ils ne comprenaient pas ce que je voulais dire. Il fallait se préparer comme si c'était un match de phase finale. On fait une semaine excellente. Sauf qu'on se fait démonter par La Rochelle (défaite 26-11). Je me suis dit : "C'est trop fragile." J'ai changé d'attitude. J'ai un super groupe. Je leur avais même dit : "Il me tarde que mon aventure ici soit terminée pour être pote avec vous !" Mais là, il fallait que je change mon management, sinon on allait dans le mur.
Qu'avez-vous fait ?
Après ce match de La Rochelle, j'entendais : "Et voilà, ça recommence, le mois d'avril n'est pas fait pour nous..." C'était insupportable ! Comment pouvaient-ils avoir des croyances aussi connes ? J'ai donc mis des règles en place pour le mois d'avril : pas de musique, pas de collation, pas de laverie, pas de bouffonnerie... Chaque semaine, ils organisaient un repas à thème. La semaine de La Rochelle, c'était la "mafia italienne". On est passés pour des bouffons. Moi, je ne suis pas un bouffon ! Tout ça, c'était fini ! Je ne fais pas ce métier pour avoir ce genre de management mais je sais faire. Ils se sont remis dedans.
Avez-vous relâché la pression ?
Pas trop... J'ai instauré les règles du mois de mai. La laverie était de retour, la musique aussi, mais uniquement en fin de semaine. Les leaders de vie sont venus me voir pour avoir la musique toute la semaine. J'ai dit non ! Je veux entendre les barres claquer ! L'objectif du top 6 devait être remis au centre du projet. On s'éparpillait.
« J'ai presque le sentiment que la clé est le coeur de l'hiver. Si dans les moments durs les joueurs sont présents, ils le seront en phase finale. »
Le top 6, c'est fait. Quelle est la clé pour réussir une bonne phase finale ?
Sur le jeu, l'organisation, il faut appuyer sur ce qu'on a bien fait tout au long de la saison et récolter les fruits de notre travail. L'approche sera sans doute un peu différente. Le week-end dernier, avant Toulouse (défaite 10-21), j'ai mis de la tension. Là, avant le barrage, il faut mettre de la confiance. Retrouver nos habitudes. Ça ne sert à rien d'inventer.
Y a-t-il un moment précis dans la semaine à ne pas rater ?
Bonne question... J'ai presque le sentiment que la clé est le coeur de l'hiver. Si dans les moments durs les joueurs sont présents, ils le seront en phase finale. J'ai un petit rituel. J'aime bien arriver au match et qu'on ait 50 % de chances de gagner par rapport à l'adversaire. J'appelle ça "l'histoire du match". Le lundi, je fais un compte à rebours. (Il va dans son bureau chercher son ordinateur.) Regardez, contre Bristol en demies de Challenge, on était à 5 % de chances. Pour arriver à 50 %, on doit développer quatre points : le « nous », le « rugby », la « préparation » et le « je ». Tous les jours, j'affine par rapport à ce que je vois, ce que je ressens. Je m'en suis toujours servi pour préparer les matches de phase finale. Attention, ça reste subjectif, mais ça donne des repères aux mecs.
À Oyonnax et à Castres, il n'y avait pas forcément cette attente de la phase finale...
(Il coupe.) On a géré. Le piège est de se dire que la saison est réussie. Mais non, ce n'est qu'un point de passage. Même à Oyonnax, les mecs voulaient être champions de France ! La phase finale, c'est la fureur de vivre !
Vous avez été champion avec Castres. Est-ce qu'on le sent venir ?
Oui, c'est palpable. Dans la semaine du barrage, tu sens qu'il peut se passer un truc. Tu ressens une vibration positive. Mais je le garde pour moi. À chaque phase finale, j'ai ressenti quelque chose. À Castres, la première phase finale (en 2016), j'avais senti que c'était la fin d'une histoire (éliminé en barrage à Montpellier, 28-9).
« Notre rôle est est dans la confiance donnée au groupe. Il faut être authentique, lisible. Il faut que les joueurs sentent qu'on a travaillé ça et que ça va se passer comme ça. »
Vous êtes toujours passé par les barrages, mais cette fois n'auriez-vous pas préféré un billet direct pour les demi-finales ?
Je me suis posé la question. Avec cette équipe, n'est-ce pas mieux de passer par les barrages ? C'est une excellente montée en puissance.
La composition de votre équipe pour la phase finale est mûrie depuis quand ?
Depuis un mois, j'ai les idées claires, à deux-trois exceptions près. Ce qui m'embête, ce sont les choix sur blessure ou suspension. (Yoram) Moefana (blessé) ou (Jandre) Marais (suspendu), ce sont des joueurs de phase finale, avec une force brutale ! Après, peu importe l'adversaire, je sais avec qui l'équipe fonctionne le mieux. Mais les joueurs ne le savent pas. J'ai toujours fonctionné comme ça. Un mec peut te faire changer d'avis. Mais là encore, ce sont des choses que je ressens, presque comme une vision. J'ai un exemple frappant avec Castres. En 2018, on fait venir un joker au poste de pilier droit : Paea Fa'anunu. On va jouer à La Rochelle trois jours plus tard pour la qualif et je sentais qu'on devait tenter un truc. Je mets donc Fa'anunu remplaçant au détriment de Montès. Ça a été déterminant (victoire 26-18).
Il y aura des mecs frustrés...
Ils ont eu un an pour se montrer. En phase finale, il n'y a plus de gestion. Je dis les choses. Ça ne me touche pas (il le répète deux fois). L'équipe prime. Si tu fais un choix affectif, tu es mort.
Des joueurs habitués à la phase finale comme Louis Picamoles, Rémi Lamerat...
(Il coupe.)(Ben) Tameifuna ! Sur une fin de match, ça peut faire la différence. Je leur demande de s'exprimer. Une semaine de phase finale passe plus par les joueurs que par le staff. Notre rôle est dans la confiance donnée au groupe. Il faut être authentique, lisible. Il faut que les joueurs sentent qu'on a travaillé ça et que ça va se passer comme ça. Ils ne peuvent plus reculer. Soit on gagne, soit on est en vacances. Mais la défaite, je ne l'envisage pas ! »
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Urios : Je me suis également inspiré de Rory Teague (entraîneur entre janvier et novembre 2018). Quand je l'entendais parler, je trouvais qu'il disait des choses vraies. Vous allez rire, mais c'était sans doute la personne idoine pour le projet ! Il avait perçu les problèmes et les manques. Il n'a pas réussi à le mettre en place.
Quand l'UBB était le club med..., l'analyse était la bonne, mais il manquait à Teague une solide formation en psychologie... et une légitimité, il s'est révélé être un piètre manager. Il faut quand même se rappeler qu'il a dû faire face à tout le conservatisme Bordelais, dur combat, presque perdu d'avance...
Quand l'UBB était le club med..., l'analyse était la bonne, mais il manquait à Teague une solide formation en psychologie... et une légitimité, il s'est révélé être un piètre manager. Il faut quand même se rappeler qu'il a dû faire face à tout le conservatisme Bordelais, dur combat, presque perdu d'avance...
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
UBB : Yves Appriou a parlé aux joueurs
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14-ubb-yves-appriou-a-parle-aux-joueurs_sto8370262/story_evt47867.shtml
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Le Rond-point étant apparemment ouvert pour le match je vous propose de nous y retrouver pour nous désaltérer (avant d'affronter le canicule) vers 19h30. Je ne serai pas à l'arrivée des joueurs souhaitant profiter de l'affrontement fratricide de nos amis basques jusque dans ses dernières minutes
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Comme quoi, il y a beaucoup plus de spectateurs que de supporters, qui plus est, sont plus attirés par les...plages.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Les chiffres à connaître avant Bordeaux-Bègles - Clermont
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-chiffres-a-connaitre-avant-bordeaux-begles-clermont/1261607#xtor=RSS-1
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-chiffres-a-connaitre-avant-bordeaux-begles-clermont/1261607#xtor=RSS-1
Dernière édition par Scalp le Sam 12 Juin 2021 - 14:53, édité 1 fois
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
VIDÉO - Top 14 - Podcast :headphones: : Etcheto répond à Urios !
https://video.rugbyrama.fr/rugby/video-etcheto-repond-a-urios_vid1490295/video.shtml
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
tire-bouchon a écrit:Comme quoi, il y a beaucoup plus de spectateurs que de supporters, qui plus est, sont plus attirés par les...plages.
Oui comme à l'USAP : sur 5000 personnes, seules 2000 ont souhaité assister à la présentation du bouclier.
le radis- Team modo
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Etcheto n'est pas le centre du monde, il se sent visé, mais comme il le dit lui-même, il n'était pas manager. C'est plutôt la période Ibanez qui était visé, il me semble, 5 ans à vide sans arriver au top 6
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Scalp- Team modo
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Scalp a écrit:VIDÉO - Top 14 - Podcast :headphones: : Etcheto répond à Urios !
https://video.rugbyrama.fr/rugby/video-etcheto-repond-a-urios_vid1490295/video.shtml
Je suis pas loin d'accorder les trois points à Etcheto sur ce coup là, mais Urios avait réagi un peu à chaud.... c'est pour çà qu'on l'aime aussi.
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
densnewzealand a écrit:Scalp a écrit:VIDÉO - Top 14 - Podcast :headphones: : Etcheto répond à Urios !
https://video.rugbyrama.fr/rugby/video-etcheto-repond-a-urios_vid1490295/video.shtml
Je suis pas loin d'accorder les trois points à Etcheto sur ce coup là, mais Urios avait réagi un peu à chaud.... c'est pour çà qu'on l'aime aussi.
Bonus offensif pour Urios en ce qui me concerne , pour moi la période faible de l'UBB ce n'est pas avec Etcheto, mais bien avec Ibanez, qui avait hérité de l'UBB pour lui faire passer un cap et qui a échoué assez médiocrement, en ayant eu pourtant 5 ans...
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Scalp- Team modo
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Le Che a bien raison de rappeler que l'UBB de Delpoux régalait les supporters et remplissait le stade et que des qualif nous sont passées sous le nez pour pas grand chose ( un coup de pied!).
J'ai trouvé Urios un peu méprisant sur ce coup!
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Etchetera- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Etchetera a écrit:Le Che a bien raison de rappeler que l'UBB de Delpoux régalait les supporters et remplissait le stade et que des qualif nous sont passées sous le nez pour pas grand chose ( un coup de pied!).
J'ai trouvé Urios un peu méprisant sur ce coup!
Encore une fois Urios ne faisait pas allusion à cette période, mais à celle où nous avons essayé de passer le top 6, essentiellement la période Ibanez…
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Scalp- Team modo
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Bon match à tous !
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Je nous vois bien les tordre en mêlée
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willoush- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
la 1er action, ya jaune et essai de penalité. pour l essais de Clermont ya une énorme obstruction
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le drop c'est l' éjaculation précoce de l'attaque
flavio33- Orga
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
Si on veut partir en vacance c'est le match parfait !
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
flavio33 a écrit:la 1er action, ya jaune et essai de penalité. pour l essais de Clermont ya une énorme obstruction
Clairement il y a 2 écrans sur l’action de l’essai…
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Barrage Top14 : UBB / Clermont
ya pas jaune là???? sans deconner il lui met la main dans la gueule
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flavio33- Orga
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