Barrage Biarritz-Bayonne

Barrage Biarritz-Bayonne : "C'est le pire des scénarios", pour les supporters basques

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/barrage-biarritz-bayonne-c-est-le-pire-des-scenarios-pour-les-supporters-basques-1622937629

Pau maintenu en Top 14, Bayonne disputera le barrage à Biarritz

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Pau-maintenu-en-top-14-bayonne-disputera-le-barrage-a-biarritz/1259523

Yannick Bru (Bayonne) : « Notre place est en Top 14, on va essayer de le prouver à nouveau »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Yannick-bru-bayonne-notre-place-est-en-top-14-on-va-essayer-de-le-prouver-a-nouveau/1259565

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/aviron-bayonnais/bayonne-biarritz-en-barrage-basques-obligatoires-3618616.php

Biarritz – Bayonne en barrage : Basques obligatoires

Par Laurent Zègre - l.zegre@sudouest.fr

Le bonus offensif arraché par Pau après la sirène combiné à la défaite de Bayonne face au Stade Français (9-12) oblige l’Aviron à disputer un derby décisif pour sa survie, samedi prochain à Biarritz

Incroyable scénario. L’Aviron Bayonnais retrouvera le Biarritz Olympique, samedi prochain à Aguilera, pour le 113e derby basque de l’histoire. Cela ne ressemblera en rien à la chamaillerie ancestrale entre les deux voisins du BAB. Non, cette fois-ci, l’affrontement sera suffocant. Et la saveur toute autre puisque le gagnant évoluera en Top 14 à la rentrée, son meilleur ennemi à l’étage en dessous.

Même les meilleurs auteurs de Netflix n’auraient pas osé aller aussi loin dans la dramaturgie. Attendre la dernière minute de la dernière journée pour proposer cette affiche fratricide, c’est un suspense culotté. Il s’est dessiné ainsi, quelques heures après la logique défaite du BO face à Perpignan (33-14) en finale de Pro D2. Douzièmes au coup d’envoi, les Bayonnais ont été barragistes durant une seule minute. La dernière. Jusque-là, malgré leur défaite (9-12) face à un Stade Français qui a réussi à décrocher sa qualification pour les phases finales, ils gardaient l’avantage dans leur duel à distance avec Pau, 13e avec quatre points de retard au coup d’envoi. Mais la Section a décroché le bonus après la sirène, à la 81e minute, face à Montpellier (41-25, 6 essais à 3). Dantesque.

1000 personnes, vraiment ?

« Honnêtement, il n’y a pas le temps d’avoir de la déception, balayait Yannick Bru après la rencontre. On est déjà tourné vers le grand rendez-vous de samedi prochain. » Est-ce que son équipe sera prête ? « Vous jugerez sur pièce », a-t-il lâché, déterminé. L’avantage pour ses joueurs, c’est qu’ils ne seront pas surpris du bruit produit par 5000 personnes à Aguilera, vu l’ambiance incandescente de Jean-Dauger. Et tant pis pour la distanciation sociale.

Avant même le coup d’envoi, les supporters bayonnais chantaient massés dans la tribune principale du stade. L’Aviron Bayonnais avait l’autorisation de la préfecture d’accueillir 1 000 personnes, « des partenaires du club », malgré le couvre-feu. Version officielle. Si l’on occulte leurs parents, grands-parents et les arrières petits-cousins de la tante éloignée, le compte était respecté à l’unité près.

Les médecins jugeront la pertinence de la chose. D’un point de vue sportif, la terrible pression mise par les supporters sur l’arbitre Mathieu Raynal, et surtout sur le buteur parisien Joris Segonds, a justifié à elle seule les difficultés de la direction bayonnaise à compter jusqu’à 1 000. « Il-va-la-lou-per ! Il-va-la-lou-per ! Il-va-il-va-il-va-la-lou-per ! », hurlait Jean-Dauger au numéro 10 devant son tee, à la 26e minute. Un public qui faisait les questions et les réponses dans la foulée : « On-te-l’a-vait-dit ! On-te-l’a-vait-dit ! » Dans un vacarme assourdissant, Joris Segonds enchaînait deux échecs (30e, 40e), y compris des 22 mètres quasiment en face, pour finir la période sur un maigre 1/4 au pied.

Smartphone

Cela permettait à l’Aviron de virer en tête à la pause (9-3). Gäetan Germain n’avait pas tremblé sur ses trois tentatives (6e, 12e, 35e), au contraire de ses équipiers en touche (deux ballons perdus) et en mêlée (deux coups francs et une pénalité concédés). Comme Joris Segonds gérait mieux la pression en deuxième mi-temps (44e, 51e), le Stade Français recollait. Et prenait les commandes du jeu. De quoi coller des frissons aux dirigeants bayonnais, les yeux rivés sur leur smartphone. L’avance de Pau fondait. À l’heure de jeu, Bayonne évitait encore le barrage, notamment grâce à un sauvetage défensif d’Aymeric Luc sur Sekou Macalou (62e).

La pression montait d’un cran. Germain ratait l’opportunité de mettre les siens devant (70e). Pas Segonds (9-12, 74e). Et le coup de massue intervenait à 100 km de là : Pau prenait le bonus offensif à la 81e minute de jeu ! Pour la première fois de la soirée, l’Aviron, dont le match retardait de quelques minutes, se retrouvait 13e du championnat. Pour la dernière fois aussi, puisque M. Raynal sifflait la fin dans la foulée. À croire que c’était écrit.

Ruru, la tuile

Image impressionnante. On joue la 15e minute de jeu quand Michael Ruru se retrouve la jambe prise en porte à faux lors d’un choc avec le talonneur parisien Silatolu Latu. Le demi de mêlée néo-zélandais hurle de douleur au sol. Après de longues minutes, il a fini par être évacué sur civière. Il souffre a minima d’une luxation du genou. Sa saison est évidemment terminée.

Les notes

6/10. Duputs, Amosa, Rouet, Luc5/10. Usarraga, Galara, Ordas, Germain, Van Jaarsveld, Costossèque, Muscarditz4/10. Ducat, Galarza, Nixon, Boniface, Baget, Ulugia

Bru et l’Aviron sont “déterminés et déjà tournés de manière très positive” vers le barrage

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14-bru-et-laviron-sont-determines-et-deja-tournes-de-maniere-tres-positive-vers-le-barrage_sto8359291/story.shtml

blablabla ....

Je souhaite de tout coeur que Bayonne l'emporte et laisse le BO à une place qui lui va bien : en ProD2. Ce club de magouilleurs a fait son temps et a eu son heure, place aux autres. Quant à Bayonne, c'est quand même un beau public et j'avoue que le sauvetage in extremis de Pau me laisse un goût amère. Merci Montpellier.

Switch a écrit:Je souhaite de tout coeur que Bayonne l'emporte et laisse le BO à une place qui lui va bien : en ProD2. Ce club de magouilleurs a fait son temps et a eu son heure, place aux autres. Quant à Bayonne, c'est quand même un beau public et j'avoue que le sauvetage in extremis de Pau me laisse un goût amère. Merci Montpellier.

Switch. Moga est ton père !

Switch a écrit:Je souhaite de tout coeur que Bayonne l'emporte et laisse le BO à une place qui lui va bien : en ProD2. Ce club de magouilleurs a fait son temps et a eu son heure, place aux autres. Quant à Bayonne, c'est quand même un beau public et j'avoue que le sauvetage in extremis de Pau me laisse un goût amère. Merci Montpellier.

J'aime l'équipe de Biarritz et certain de ses cadres, joueurs et membre du staff, évidemment, mais je n'apprécie pas Aldigé et Gave, pour être poli..., je soutiendrais logiquement Bayonne.

j'avoue que le sauvetage in extremis de Pau me laisse un goût amère. Merci Montpellier.

On va en faire de même pour Toulouse avec Bayonne.

Scalp a écrit:

Switch a écrit:Je souhaite de tout coeur que Bayonne l'emporte et laisse le BO à une place qui lui va bien : en ProD2. Ce club de magouilleurs a fait son temps et a eu son heure, place aux autres. Quant à Bayonne, c'est quand même un beau public et j'avoue que le sauvetage in extremis de Pau me laisse un goût amère. Merci Montpellier.

J'aime l'équipe de Biarritz et certain de ses cadres, joueurs et membre du staff, évidemment, mais je n'apprécie pas Aldigé et Gave, pour être poli..., je soutiendrais logiquement Bayonne.

Le problème c'est pas seulement les joueurs, c'est les supporters. Je n'oublie pas ce qu'on a pris dans la gueule de la part des fans biarrots. Alors je ne les plains absolument pas. Et puis ce club a suffisamment magouillé et fait son temps. Place à d'autres, comme Vannes.

je suis là pour vous rappeller le bon temps.

Switch a écrit:

Scalp a écrit:

Switch a écrit:Je souhaite de tout coeur que Bayonne l'emporte et laisse le BO à une place qui lui va bien : en ProD2. Ce club de magouilleurs a fait son temps et a eu son heure, place aux autres. Quant à Bayonne, c'est quand même un beau public et j'avoue que le sauvetage in extremis de Pau me laisse un goût amère. Merci Montpellier.

J'aime l'équipe de Biarritz et certain de ses cadres, joueurs et membre du staff, évidemment, mais je n'apprécie pas Aldigé et Gave, pour être poli..., je soutiendrais logiquement Bayonne.

Le problème c'est pas seulement les joueurs, c'est les supporters. Je n'oublie pas ce qu'on a pris dans la gueule de la part des fans biarrots. Alors je ne les plains absolument pas. Et puis ce club a suffisamment magouillé et fait son temps. Place à d'autres, comme Vannes.

J'ignorais même que le BO avait des supporters !

Nous avons très peu de supporters, contrairement à vous qui avez beaucoup de spectateurs.

tire-bouchon a écrit:Nous avons très peu de supporters, contrairement à vous qui avez beaucoup de spectateurs.

je préfère en effet cent fois des spectateurs-connaisseurs que des supporters trop émotifs...

L'émotion suscitée à Biarritz lors de la descente en Pro D2 était tellement grande que tous les supporters d'ailleurs, ont préféré déserter les tribunes d'Aguiléra...

On ne pleure pas en public chez nous.

Barrage Top14/ProD2 : "l'excitation est au max", avant ce Biarritz - Bayonne fratricide

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/barrage-top14-prod2-l-excitation-est-au-max-avant-ce-biarritz-bayonne-fratricide-1623008713

tire-bouchon a écrit:On ne pleure pas en public chez nous.

ni en privé devant votre télé, puisque plus personne chez vous ne regarde le BO d'aujourd'hui...

La versatilité des supporters !

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/biarritz-olympique/les-biarrots-reconfortes-par-la-perspective-du-derby-3628820.php

Les Biarrots réconfortés par la perspective du derby

Par Pierre Mailharin

L’éventualité d’un affrontement fratricide a vite effacé la déception de la cinglante défaite contre Perpignan samedi (33-14)

Ils sont arrivés en conférence de presse le visage grave, le phrasé pesant des battus en finale de Pro D2. Ils en sont repartis la bouille ravie des gamins prêts à se friter dans la cour de récré, avec les garnements ennemis de la classe d’à côté. C’est beau comme l’hypothèse d’un derby basque peut redonner le sourire instantanément, effaçant la douleur d’une défaite cuisante.

Au terme d’interminables palabres, parsemées d’éclats de voix, entre la Ligue et le président du BO Jean-Baptiste Aldigé (1), le demi d’ouverture Gilles Bosch et le talonneur Romain Ruffenach se sont donc présentés aux médias samedi soir, la mine fermée. « On est tous déçus, un peu abattus » a reconnu le premier. « On a un peu mal au casque », a imagé le second. Comme encore commotionnés par la claque reçue quelques dizaines de minutes plus tôt par des Perpignanais au-dessus physiquement (33-14).

Des regards qui s’animent

Il était 20 h 30, les matchs de Pau et Bayonne, potentiels 13es de Top 14 et adversaires samedi prochain pas encore commencés. Mais déjà, les planètes semblaient alignées pour que l’Aviron vienne jouer à Aguilera son maintien dans l’élite. Le BO disposerait lui d’une deuxième cartouche, à domicile, pour monter. Avec la perspective de flinguer en même temps l’avenir du voisin et rival.

Alors, les yeux de Bosch et Ruffenach ont repris vie : « le plus facile pour rebasculer, ça serait de jouer contre Bayonne, parce que ça serait quelque chose d’exceptionnel pour toute la région », a pressenti le premier, qui s’apprête à découvrir l’événement. Son compère le connaît déjà, même s’il n’a pas expérimenté la victoire (un nul et trois défaites entre 2013 et 2016) : « Un derby à Aguilera, ce n’est pas un match comme les autres. Ça va se jouer à la grinta, ça va se jouer la semaine précédente dans les têtes, dans les villes. Et le jour du match, il va falloir répondre présent. C’est vrai que je ne serais pas contre un petit match contre Bayonne, se projetait-il. Pour avoir un joli derby, ça fait longtemps. » Deux ans et deux mois exactement. Ce vœu allait être exaucé.

Aldigé pro Pau… en public

Pas le souhait de Jean-Baptiste Aldigé, du moins celui affiché publiquement : « Je préférerais Pau, parce que le derby contre Bayonne dépasse parfois un peu le rugby, pas toujours dans le bon sens. Si on peut se passer de ce trop-plein de passion, je préférerais. » En privé, le président se languit de jouer un vilain tour à un voisin qu’il n’apprécie guère depuis son arrivée.

(1) Jean-Baptiste Aldigé a longtemps refusé d’envoyer des joueurs en conférence de presse, enfreignant le règlement de la Ligue, avant de céder devant la menace de sanctions

Pierre Mailharin a toujours une dent contre une équipe qui a mis fin au passe droit de SO obtenus auprès de l'ancienne équipe dirigeante.
Le club a été repris et sauvé par des gens étranger au pays Basque et qui ont dérogé à la tradition: donner les sous et fermer leur gueule.
La presse "sportive" est là pour relater les faits sportifs, pas pour faire de la politique.

léopold a écrit:Pierre Mailharin a toujours une dent contre une équipe qui a mis fin au passe droit de SO obtenus auprès de l'ancienne équipe dirigeante.
Le club a été repris et sauvé par des gens étranger au pays Basque et qui ont dérogé à la tradition: donner les sous et fermer leur gueule.
La presse "sportive" est là pour relater les faits sportifs, pas pour faire de la politique.  

Exactement. Je suis d' accord avec toi.
Ils ont sauvé le club de Biarritz et Biarritz ne leur rend pas en refusant de vendre les terrains constructibles à côté d' Aguiléra.
Bon, il faut voir aussi qu' administrativement ils n' ont pas tout compris.
Ils avaient aussi racheté 10% de l' UBB mais Laurent Marti les a foutu à la porte.

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/aviron-bayonnais/barrage-d-accession-au-top-14-ces-jeunes-joueurs-bayonnais-qui-supportaient-le-biarritz-olympique-3652096.php

Barrage d’accession au Top 14 : ces jeunes joueurs bayonnais qui supportaient le Biarritz Olympique

Par Laurent Zègre

Peyo Muscarditz, Arnaud Duputs et Aymeric Luc. On a trouvé trois joueurs de l’Aviron nourris à l’amour du rugby en voyant jouer le BO des grandes années. Ce n’est pas grave, promis

Allez, on vous livre un aspect des coulisses. Le portrait (de joueur) est un exercice classique du journalisme (de sport). Ils concèdent à nous ouvrir une petite porte sur leur vie, leurs débuts, les raisons d’une passion. A force de croiser quelques rugbymen bayonnais, le mimétisme d’une génération nous a sauté aux yeux : plusieurs d’entre eux sont venus au rugby par amour... du Biarritz Olympique. Ce n’est pas grave, ça arrive à des gens très bien. Dans le contexte local, le clin d’oeil prête à sourire. Et le plus drôle, c’est voir leur hésitation au moment de l’avouer. Des fois qu’un supporter leur jette un verre d’eau derrière la nuque ?

Arnaud Duputs, Peyo Muscarditz, Aymeric Luc : ces trois titulaires habituels des bleu et blanc ont d’abord supporté le voisin. Logique si l’on regarde leurs années de naissance : 1995, 1996 et 1997. Leurs premières images du très haut niveau coïncident avec l’âge d’or du BO, vainqueur du bouclier de Brennus en 2002, 2005 et 2006, et presque champion d’Europe à la même époque (2006, 2010). « J’ai commencé à suivre le rugby deux ou trois ans avant de le pratiquer, racontait Peyo Muscarditz à « Sud Ouest » en janvier dernier. Mon oncle m’a donné le goût du rugby et du BO. Il avait parfois des places pour aller voir le Biarritz Olympique, au moment de la grande équipe avec Yachvili, Traille, Brusque, August… »

Le besogneux trois-quarts centre avait même un favori : Imanol Harinordoquy. « C’était un joueur du coin, en équipe de France, un bel exemple de réussite. Rugbystiquement, il était beau à voir jouer. Et il avait joué à la pelote, comme moi. »

Gêné

En 2017, Arnaud Duputs, l’aîné des trois Bayonnais, livrait sa toute première interview à « Sud Ouest ». Âgé de 22 ans à l’époque, le gratteur de la troisième ligne nous faisait une confidence du bout des lèvres : « Pour tout vous dire, très petit - mais vraiment très petit ! - je supportais Biarritz. Je n’avais pas encore tout mon cerveau », rigolait-il avec tout le second degré indispensable à cet événement passionné. Il s’apprêtait à disputer son premier derby. Comme ses camarades, il n’en a toujours pas gagné à ce jour.

Pour tout vous dire, très petit - mais vraiment très petit ! - je supportais Biarritz. Je n’avais pas encore tout mon cerveau »

Lui avait signé à l’Aviron grâce à une institutrice fan du club bleu et blanc, et à un match à Jean-Dauger qui l’avait convaincu de sauter le pas, à 9 ans. Pour Aymeric Luc, l’arrivée au BO n’a pas eu lieu pour une histoire d’âge. L’école de rugby du Biarritz Olympique ouvrait ses portes aux enfants de sept ans. Aussi loin qu’il s’en souvienne, l’arrière/ailier/demi de mêlée/ouvreur/serveur à la cantoche et tout ce que vous voulez, a toujours voulu bouffer du ballon ovale. À six ans, il a donc tamponné sa première licence à Boucau-Tarnos, « réputé pour sa formation et sa pédagogie ». Mais « de 4 à 6 ans environ, oui, j’ai supporté le BO », se marrait le joueur, un peu gêné de l’aveu, autour d’un café en début de saison dernière. Dans la vie, il y a parfois des choses complexes à avouer. Et dans ce classement, sachez-le, on peut aussi trouver les préférences de jeunesse d’un Bayonnais.

Marrant tout ça il fut un temps où on évoquait le jeu à la "Bayonnaise", en ce temps là le BO ne figurait pas dans l'élite, puis les meilleurs se reposant sur leur laurier et puis quand la vache à beaucoup de lait elle est bonne à traire, ce fut le temps du BO, quelques bons dirigeants, de bons joueurs, dont pas mal prélevés dans les clubs de la région,Pau, Dax, Boucau etc...
un mécène, l'oreille de la fédé où Martin faisait la pluie et le beau temps avec l'aide de Camou et la mafia cote basque/landes.
La relégation proche de la faillite, il ni a pas injure, nous aussi avons connu ça.
Comment les Gaves sont il arrivé là en sauveur, un BO coulé, c'est une municipalité coulée.
Que leur a t'on promis???
Tiré d'affaire on fait la sourde oreille, pas de pot, ces gars là ne sont pas des enfants de coeur.
Tout s'arrangera, c'est l'intérêt de tous.

Tout à fait Léopold.
Dommage que Marti ai viré les Gave, ils auraient pu renflouer un peu les caisses.
Quant aux Mafias, ça va, ça vient, elles changent.
Aujourd'hui, la FFR c' est la Mafia Bordelo-Béglaise: Laporte, Simon, Conchy (qui est parti depuis peu pour reprendre en main la Ligue de Nouvelle-Aquitaine). Il ne faut rien négliger.