Re: Lionnes 2021-2022

**Switch** Jeu 10 Mar 2022 - 16:21

Pour le coup, nos Lionnes ne méritent pas d'être boycottées, après le superbe match à Gerland le WE dernier Wink

**sudiste** Jeu 10 Mar 2022 - 18:01

Switch a écrit:Pour le coup, nos Lionnes ne méritent pas d'être boycottées, après le superbe match à Gerland le WE dernier

Je me suis expliqué :chambreur:

**Scalp** Sam 26 Mar 2022 - 8:19

léopold Sam 26 Mar 2022 - 13:36

Les Lionnes à leur tour vont être confrontées à la non disponibilité de quelques joueuses cadre, EDF là aussi oblige.

**Switch** Sam 26 Mar 2022 - 13:59

Sans oublier Rhona Lloyd qui sera avec l'Écosse. Une super joueuse (quelle vitesse elle a !) et une super nana qui va manquer.

**Scalp** Sam 26 Mar 2022 - 16:09

**Scalp** Dim 27 Mar 2022 - 12:03

**patrick** Dim 27 Mar 2022 - 12:59

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/rugby-elite-f-les-lionnes-du-stade-bordelais-ont-eu-tres-chaud-face-a-romagnat-10313669.php?

**Scalp** Sam 2 Avr 2022 - 14:19

**Scalp** Sam 2 Avr 2022 - 20:12

**Scalp** Mar 12 Avr 2022 - 13:40

**Scalp** Dim 1 Mai 2022 - 19:19

**patrick** Mer 4 Mai 2022 - 18:15

Lionnes 2021-2022 - Page 3 20220504133518-lart1272

https://www.sudouest.fr/gironde/rugby-feminin-le-projet-sportif-et-professionnel-des-lionnes-de-bordeaux-forme-l-elite-du-sport-10815422.php

La belle aventure des Lionnes du Stade Bordelais
Édouard Ampuy

En deux ans, les Lionnes du Stade Bordelais se sont imposées comme faisant partie des meilleures de l’Élite 1
Match capital

Ce dimanche à 15h15, les Lionnes affronteront Blagnac. Le match décidera de qui occupera la 1re ou 2e place de la poule, et pourrait se révéler décisif pour les play-off à suivre. L’équipe de Blagnac est une des meilleures de l’Élite1, mais les Lionnes l’ont déjà battue au match aller, 20 à 8. Le match se jouera au stade Sainte-Germaine du Bouscat. L’entrée est gratuite.

C’est ce qu’on appelle inverser la tendance. Alors qu’elles se battaient pour ne pas être reléguées lors de la saison 2019-2020, l’équipe de rugby féminin des Lionnes du Stade Bordelais, club domicilié au Bouscat, disputera, pour la deuxième année consécutive, les play-offs de leur championnat, l’Élite1. Un virage à 180degrés rendu possible grâce à l’investissement des joueuses, et aux changements structurels du club, qui, depuis deux ans, les accompagne tant sur le plan sportif que professionnel.

Bien qu’elles évoluent au plus haut niveau, les filles sont semi-professionnelles. Elles ne sont pas encore rémunérées pour leurs performances, en dehors des primes, et doivent suivre des études ou travailler à côté. «On met en place les conditions pour que les joueuses restent, et qu’elles portent l’équipe dans le top4 des clubs français de l’Élite1», explique Fabrice Labarbe, directeur omnisports du club.

Il y a deux ans, le club dans son intégralité était amateur. «On n’avait pas un projet de haut niveau, clairement défini, analyse le directeur. Les filles avec du potentiel partaient vers d’autres clubs, alors on a commencé par trouver des dirigeants motivés.»

Entrent en scène Guy Accoceberry, Patrick Laporte et Laurent Treuil, désormais coprésidents des Lionnes. Persuadés par le potentiel des joueuses, et avec l’ambition de légitimer le sport, ils mettent sur pied une commission sociale composée d’anciens joueurs du stade bordelais, chargée de soutenir les sportives. «On propose des aides financières, de l’aide au logement, on les fait entrer dans les facs ou IUT, on trouve des stages, alternances, ou contrats d’apprentissage», spécifie Fabrice Labarbe. La capitaine, Emma Roubinet, qui joue avec les Lionnes depuis presque dix ans, sent la différence sur le terrain. «Depuis deux ans, on est bien plus suivies, c’est une force qui explique notre progression sportive.»

Pour suivre leur montée en puissance, le club a développé ses infrastructures entraînements. «On a une moyenne de cinq entraînements par semaine, on propose trois séances physiques», détaille le directeur. Le staff médical a été complété avec un docteur référent puis deux ostéopathes et kinés. «Avant 2020, c’était seulement le lundi soir, après un match.» Les conditions de déplacement ont également été améliorées, avec des nuits d’hôtel, des retours en avion ou en train pour permettre aux Lionnes d’être opérationnelles sur leur lieu de travail le lundi matin.

Le club tente de mettre ses joueuses dans les meilleures conditions, mais le rythme est poussé. «On leur demande beaucoup», reconnaît Fabrice Labarbe. Le jeu en vaut la chandelle répond Assia Khalfaoui, 21ans, sélectionnée en équipe de France. «Je consacre 70% de mon temps au rugby, c’est mon choix, affirme celle qui suit un BTS commercial. Ce sont des sacrifices, mais les émotions qu’on vit après chaque match les justifient.» Avec la médiatisation du sport, les filles se posent la question de la rémunération. Déjà, l’équipe de France a une trentaine de joueuses en contrat professionnel, à 75%, mais pour l’heure Fabrice Labarde estime que le statut semi-professionnel représente un bon équilibre. «On est partagé, on ne pense pas qu’il y aura le salaire du Top14, et une carrière est courte», estime-t-il. Pour Assia Khalfaoui, le rugby féminin connaîtra ses joueuses 100% professionnelles d’ici quelques années, mais d’après elle, «c’est une bonne chose de rester à 75%, il faut avoir un planB pour après».

Après deux années de mise en place, le projet du club porte ses fruits. D’abord sur le plan sportif. «On est sur une intensité et une dimension physique supérieure, le jeu en place est rigoureux», affirme Guy Accoceberry. Et le budget de l’organisme a presque doublé. «En 2020 on avait démarré l’année avec 180000euros, on avait zéro partenaire, se souvient Fabrice Labarbe. Le budget de cette année est de 325000euros.»

Mieux encore, l’équipe n’a connu aucun départ depuis deux ans. Les objectifs se cochent petit à petit et le club a maintenant les yeux rivés sur le championnat. Selon Patrick Laporte, «l’équipe n’a pas de failles majeures, avec l’effectif au complet, on peut gagner».

«On propose des aides financières, de l’aide au logement, on les fait entrer dans les facs ou IUT...»

Lionnes 2021-2022 - Page 3 20220504133520-lart1262

Lionnes 2021-2022 - Page 3 20220504133520-lart1262

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-rugby-feminin-trois-questions-a-emma-roubinet-capitaine-des-lionnes-et-commerciale-en-correze-10818995.php?

Rugby féminin : les Lionnes du Stade Bordelais formées sportivement par leur club, mais pas que

C'est ce qu'on appelle inverser la tendance. Alors qu'elles se battaient pour ne pas être reléguées lors de la saison 2019-2020, l'équipe de rugby féminin des Lionnes du Stade Bordelais, club domicilié au Bouscat, disputera, pour la deuxième année consécutive, les play-offs de leur championnat, l'Élite 1. Un virage à 180 degrés rendu possible grâce à l'investissement des joueuses, et aux changements structurels du club, qui, depuis deux ans, les accompagne tant sur le plan sportif que professionnel.

Bien qu'elles évoluent au plus...

Bien qu'elles évoluent au plus haut niveau, les filles sont semi-professionnelles. Elles ne sont pas encore rémunérées pour leurs performances, en dehors des primes, et doivent suivre des études ou travailler à côté. « On met en place les conditions pour que les joueuses restent, et qu'elles portent l'équipe dans le top 4 des clubs français de l'Élite 1 », explique Fabrice Labarbe, directeur omnisports du club.

Sur le même sujet Rugby (Coupe de France féminine) : Gabrielle Piquer fidèle au poste au Stade Bordelais La pilière des Lionnes ne sera pas de trop en demie à Toulouse D'amateur à semi-professionnel

Il y a deux ans, le club dans son intégralité était amateur. « On n'avait pas un projet de haut niveau, clairement défini, analyse le directeur. Les filles avec du potentiel partaient vers d'autres clubs, alors on a commencé par trouver des dirigeants motivés. »

Entrent en scène Guy Accoceberry, Patrick Laporte et Laurent Treuil, désormais coprésidents des Lionnes. Persuadés par le potentiel des joueuses, et avec l'ambition de légitimer le sport, ils mettent sur pied une commission sociale composée d'anciens joueurs du stade bordelais, chargée de soutenir les sportives. « On propose des aides financières, de l'aide au logement, on les fait entrer dans les facs ou IUT, on trouve des stages, alternances, ou contrats d'apprentissage », spécifie Fabrice Labarbe.

Sur le même sujet Campus universitaire de Pessac : les Lionnes du Stade Bordelais à la rencontre des étudiants

La capitaine, Emma Roubinet, qui joue avec les Lionnes depuis presque dix ans, sent la différence sur le terrain. « Depuis deux ans, on est bien plus suivies, c'est une force qui explique notre progression sportive. »

« On leur demande beaucoup »

Pour suivre leur montée en puissance, le club a développé ses infrastructures entraînements. « On a une moyenne de cinq entraînements par semaine, on propose trois séances physiques », détaille le directeur. Le staff médical a été complété avec un docteur référent puis deux ostéopathes et kinés. « Avant 2020, c'était seulement le lundi soir, après un match. » Les conditions de déplacement ont également été améliorées, avec des nuits d'hôtel, des retours en avion ou en train pour permettre aux Lionnes d'être opérationnelles sur leur lieu de travail le lundi matin.

« On propose des aides financières, de l'aide au logement, on les fait entrer dans les facs ou IUT, on trouve des stages, alternances, ou contrats d'apprentissage »

Le club tente de mettre ses joueuses dans les meilleures conditions, mais le rythme est poussé. « On leur demande beaucoup », reconnaît Fabrice Labarbe. Le jeu en vaut la chandelle répond Assia Khalfaoui, 21 ans, sélectionnée en équipe de France. « Je consacre 70 % de mon temps au rugby, c'est mon choix, affirme celle qui suit un BTS commercial. Ce sont des sacrifices, mais les émotions qu'on vit après chaque match les justifient. »

Avec la médiatisation du sport, les filles se posent la question de la rémunération. Déjà, l'équipe de France a une trentaine de joueuses en contrat professionnel, à 75 %, mais pour l'heure Fabrice Labarde estime que le statut semi-professionnel représente un bon équilibre. « On est partagé, on ne pense pas qu'il y aura le salaire du Top 14, et une carrière est courte », estime-t-il. Pour Assia Khalfaoui, le rugby féminin connaîtra ses joueuses 100 % professionnelles d'ici quelques années, mais d'après elle, « c'est une bonne chose de rester à 75 %, il faut avoir un plan B pour après ».

« On peut gagner »

Après deux années de mise en place, le projet du club porte ses fruits. D'abord sur le plan sportif, « on est sur une intensité et une dimension physique supérieure, le jeu en place est rigoureux », affirme Guy Accoceberry. Le budget de l'organisme a presque doublé. « En 2020 on avait démarré l'année avec 180 000 euros, on avait zéro partenaire, se souvient Fabrice Labarbe. Le budget de cette année est de 325 000 euros. »

« Je consacre 70 % de mon temps au rugby. Ce sont des sacrifices, mais les émotions qu'on vit après chaque match les justifient »

Mieux encore, l'équipe n'a connu aucun départ depuis deux ans. Les objectifs se cochent petit à petit et le club a maintenant les yeux rivés sur le championnat. Selon Patrick Laporte, « l'équipe n'a pas de failles majeures, avec l'effectif au complet, on peut gagner ».

Un match capital le dimanche 8 mai Ce dimanche à 15 h 15, les Lionnes affronteront Blagnac. Le match décidera de qui occupera la 1re ou 2e place de la poule, et pourrait se révéler décisif pour les play-off à suivre. L'équipe de Blagnac est une des meilleures de l'Élite 1, mais les Lionnes l'ont déjà battue au match aller, 20 à 8. Le match se jouera au stade Sainte-Germaine du Bouscat. L'entrée est gratuite.

Lionnes 2021-2022 - Page 3 20220504133523-lart136

Lionnes 2021-2022 - Page 3 20220504133523-lart136

https://www.sudouest.fr/gironde/bordeaux/bordeaux-rugby-feminin-de-la-rigueur-et-du-fun-l-apport-des-joueuses-quebecoises-au-sein-des-lionnes-10818274.php?

Bordeaux. Rugby féminin : de la « rigueur » et du « fun », l’apport des joueuses québécoises au sein des Lionnes

C'est à l'été 2020 que les joueuses québécoises ont, pour la première fois, foulé les pelouses bordelaises sous le maillot des Lionnes. Elles jouaient au rugby à l'université, mais étaient arrivées à la fin de leurs années d'éligibilité. « Puis, à cause du Covid, il n'y avait plus...

C'est à l'été 2020 que les joueuses québécoises ont, pour la première fois, foulé les pelouses bordelaises sous le maillot des Lionnes. Elles jouaient au rugby à l'université, mais étaient arrivées à la fin de leurs années d'éligibilité. « Puis, à cause du Covid, il n'y avait plus de rugby au Québec », précise Justine Pelletier, originaire de Rivière-du-Loup, qui joue comme demi de mêlée.

Des conditions avantageuses

En France aussi, la pandémie a mis un coup d'arrêt au sport. « Personne ne voulait venir », se souvient Fabrice Labarbe, directeur omnisports du club. La liaison avec les quatre joueuses se fait grâce à Kévin Rouet, entraîneur actuel de la défense de l'équipe nationale du Canada, également membre du staff des Lionnes.

« Au Québec on est plutôt technique, ici, ça joue physique, les filles se jettent dans le contact »

Le projet emballe les filles, et les accords entre la France et le Québec facilitent leur obtention d'un visa de travail. « Les conditions sont très avantageuses, et surtout ici, on peut jouer quelle que soit la saison », précise Justine Pelletier en rappelant qu'au Canada, les terrains sont recouverts par la neige une bonne partie de l'année.

Une culture de l'entraînement

L'apport de ces joueuses au groupe a été inestimable. « Elles ont amené de la rigueur et véhiculé une vraie culture de l'entraînement », analyse Guy Accoceberry, coprésident du club. Après deux saisons avec les Lionnes, Fabiola Forteza, qui vient de Québec, s'amuse des différences de jeu entre sa province et la France. « Au Québec on est plutôt technique, ici, ça joue physique, les filles se jettent dans le contact. »

Sur le même sujet Rugby féminin : les Lionnes du Stade Bordelais formées sportivement par leur club, mais pas que En deux ans, l'équipe de rugby féminin les Lionnes du Stade Bordelais s'est imposée comme un des meilleurs clubs de l'Élite 1. Un succès qui s'explique par l'accompagnement sportif et extra-sportif déployé par le club Sur le même sujet Rugby (Coupe de France féminine) : Gabrielle Piquer fidèle au poste au Stade Bordelais La pilière des Lionnes ne sera pas de trop en demie à Toulouse

En deux années, l'intégration s'est déroulée sans problème. Les joueuses profitent de leur expérience sportive et humaine dans le Sud Ouest, région imprégnée par la culture rugby. « La troisième mi-temps est très importante ici, s'amuse Pelletier. C'est fun, ça fait du bien. »

Depuis octobre 2021, les Lionnes de Bordeaux ont accueilli une nouvelle recrue internationale, l'écossaise Rhona Lloyd, au poste d'ailière. « C'est une des joueuses les plus rapides du monde, assure Fabrice Labarbe. Et puis son état d'esprit est très positif, elle apporte une vraie joie de vivre. »

**Scalp** Ven 6 Mai 2022 - 13:41

**Scalp** Dim 8 Mai 2022 - 10:37

https://www.france.tv/sport/autres-sports/3409840-rugby-feminin-lionnes-vs-blagnac-14eme-journee-du-championnat-de-france-elite-1-feminine-de-rugby.html

**patrick** Dim 8 Mai 2022 - 17:13

Avec cette défaites, les matchs de poule sont maintenant terminés. Sur le fil, les lionnes se font logiquement prendre la 1ère place. Pas assez de puissance devant aujourd'hui pour rivaliser et un jeu derrière manquant de tranchant. Faut maintenant se reprendre avant le 1/4 de finale.

Lionnes 2021-2022 - Page 3 QLqNWwuUnG5v8PCJwS4SW1Nv8AAAAASUVORK5CYII=

Lionnes 2021-2022 - Page 3 QLqNWwuUnG5v8PCJwS4SW1Nv8AAAAASUVORK5CYII=

**patrick** Dim 8 Mai 2022 - 18:02

Et voici le classement :

Lionnes 2021-2022 - Page 3 WDHPiTxUhUmuAAAAABJRU5ErkJggg==

**patrick** Mar 10 Mai 2022 - 19:04

Lionnes 2021-2022 - Page 3 Sudouest-photo-1-30773428

En vla des lionnes en vla : https://www.sudouest.fr/sport/rugby/rugby-feminin-en-images-la-belle-aventure-des-lionnes-de-bordeaux-10886511.php?utm_term=Autofeed&utm_campaign=echobox&utm_medium=Social-sudouest.fr&utm_source=Twitter#Echobox=1652192848

**Scalp** Mer 11 Mai 2022 - 9:31

**patrick** Sam 14 Mai 2022 - 22:17

https://www.instagram.com/reel/CdgPU0Cq2U2/?igshid=MDJmNzVkMjY=

Qui qui y aura ?

Lionnes 2021-2022 - Page 3 FSvrDO8X0AATQHt?format=jpg&name=medium

**Scalp** Dim 15 Mai 2022 - 18:02

**sudiste** Dim 15 Mai 2022 - 18:13

Ric-rac....place maintenant au grand Stade Toulousain :chambreur:

léopold Dim 15 Mai 2022 - 18:30

c'est bien les filles :clap:

**Scalp** Mer 18 Mai 2022 - 14:25

La demie Toulouse - Bordeaux à Dax

https://www.rugbyrama.fr/rugby/elite-1-feminine-la-demie-toulouse-bordeaux-a-dax_sto8929596/story.shtml

léopold Mer 18 Mai 2022 - 16:51

David Ortiz serait le futur entraineur du XV de France féminin.
Voila qui est bien pour David. :clap:

Contenu sponsorisé