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Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Réglement EPCR concernant les phases finales :
NB : En cas de match nul ou d’égalité de score cumulé à la fin du temps règlementaire pendant la phase éliminatoire, des prolongations seront jouées, sauf pour les matchs de la première manche des huitièmes de finale. Si les équipes ne peuvent toujours pas se départager, alors le vainqueur sera déterminé de la façon suivante :
(a) l’équipe qui aura marqué le plus d’essais au cours du ou des matchs (y compris pendant les prolongations) ;
(b) ou, en cas d’égalité, par une séance de tirs au but.
Donc pas de BO sur un match en phases finales.
NB : En cas de match nul ou d’égalité de score cumulé à la fin du temps règlementaire pendant la phase éliminatoire, des prolongations seront jouées, sauf pour les matchs de la première manche des huitièmes de finale. Si les équipes ne peuvent toujours pas se départager, alors le vainqueur sera déterminé de la façon suivante :
(a) l’équipe qui aura marqué le plus d’essais au cours du ou des matchs (y compris pendant les prolongations) ;
(b) ou, en cas d’égalité, par une séance de tirs au but.
Donc pas de BO sur un match en phases finales.
LaRuine33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
LaRuine33 a écrit:Réglement EPCR concernant les phases finales :
NB : En cas de match nul ou d’égalité de score cumulé à la fin du temps règlementaire pendant la phase éliminatoire, des prolongations seront jouées, sauf pour les matchs de la première manche des huitièmes de finale. Si les équipes ne peuvent toujours pas se départager, alors le vainqueur sera déterminé de la façon suivante :
(a) l’équipe qui aura marqué le plus d’essais au cours du ou des matchs (y compris pendant les prolongations) ;
(b) ou, en cas d’égalité, par une séance de tirs au but.
Donc pas de BO sur un match en phases finales.
Merci.
J'ai connu ça en fed 1 je trouvais ça plutôt logique
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:je ne sais pas trop.
sinon sur ce match, la facon de jouer sera plus importante que le résultat. Etre propre techniquement, emmerder la rochelle sur les rucks et la conquete en general, assurer les soutiens. si on arrive à faire ca, ca sera deja pas mal
La conquête générale ça va être duraille il y a du gros calibre en face sachant qu'on a pas cobilas ni tamaifuna. Kaulash est un bon droitier mais ça risque d'être compliqué. Et en touche on a 0 sauteurs (bochaton doit encore tafer ce point). Donc je ne miserais pas sur les classiques de la conquête. Et après on verra sur les rucks j'espère qu'on sera présent dans ce secteur.
Mais comme l'a dit scalp au vu de la composition notre seule chance s'est d'envoyer du jeu pour amener du désordre, et les embêter dans le bordel
J'espère bien parce que si c'est pour recommencer un bras de fer avec LR devant son public, sans Tameifuna, sans BVT, sans Marais, avec Baggiani et Tabize en impact player, on connait déjà l'issue et le pire, c'est quelle sera certainement piteuse.
Il faut au moins sortir de cette compétition par le haut, avec un minimum de panache, si on les transperce quelques fois, qu'on met un ou, soyons fous, plusieurs beaux essais, on aura déjà fait beaucoup mieux que jusque-là. Le pire, c'est que c'était déjà ce qu'on voulait faire, bouger le gras des gros de LR en déplaçant le jeu sur les extérieurs, dixit Urios, mais on sait bien que nous n'en avions pas les moyens sur le terrain, là, on a déjà plus le potentiel pour le réaliser.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/stade-rochelais/champions-cup-la-defense-rochelaise-est-de-nouveau-d-attaque-10611608.php
Champions Cup : la défense rochelaise est de nouveau d’attaque
Par Benjamin Deudon - b.deudon@sudouest.fr
Après un trou d’air pendant les Six-Nations, les Maritimes ont retrouvé des standards élevés en concédant 2 essais en 3 matchs face au Racing puis Bordeaux-Bègles. Ce samedi, ils miseront encore sur leur rideau pour passer en quarts
C’était il y a moins d’un mois, cela paraît déjà une éternité. Le 19 mars, le Stade Rochelais s’écroulait à Toulon (41-11). Jusqu’ici, seul Castres avait inscrit plus de 31 points face à lui (31-30 le 2 janvier). Une claque. « Les murs ont un peu tremblé, on n’était pas présent dans l’engagement et l’état d’esprit », concède le flanker Matthias Haddad-Victor.
Un euphémisme : toutes compétitions confondues, les Jaune et Noir ne concèdent que 17,88 points de moyenne. Un chiffre qui a augmenté pendant le Tournoi des Six-Nations et l’absence de Uini Atonio, Grégory Alldritt et Jonathan Danty. Du 29 janvier au 19 mars, les Maritimes ont encaissé 25,8 points de moyenne sans leurs Bleus. Avant, ils tournaient à 14,82 ; depuis leur retour, ils n’ont pris que 9,3 points de moyenne (et deux essais) après avoir affronté le Racing 92 et deux fois l’UBB en Gironde…
Cohésion
Ces chiffres ne sont pas les seuls à être évocateurs. Le langage corporel des joueurs de Ronan O’Gara, qui avait fait de la défense sa spécialité depuis son passage chez les Ciel et Blanc, est redevenu celui de 2020-2021, quand ils étaient l’équipe la plus hermétique du Top 14. Collectivement, « on est passé dans une autre dimension défensivement. J’ai l’impression que notre défense commence vraiment à taper fort, qu’elle monte en gamme et qu’elle ne va pas redescendre, souligne le 2e ligne Rémi Picquette. Le petit coup derrière la tête à Toulon nous a vachement vexés. »
Et de reconnaître que si « on avait cette volonté de bosser les uns pour les autres, la cohésion ne se matérialisait pas car on n’avait pas une série de victoires qui soude, qui permet de voir que quand tu te donnes l’un pour l’autre, ça fait du bien. Là, ça fait quelques matchs que la cohésion commence vraiment à se faire, ça se ressent sur le terrain. »
« La défense ça reste une bande de copains qui s’envoient et essaient de défendre leur bout de terrain »
Pour mettre son adversaire sous pression, le principe stadiste est simple. « Tu montes très fort, il y a tout le temps deux mecs qui viennent taper, ça ralentit les ballons », expose Picquette qui, malgré ses 2 mètres, fait partie des bons gratteurs : « Il y a des « chiens » dans l’équipe qui font vite tomber, les soutiens sont en retard, tu vas sur le ballon. Le groupe fait tellement bien le travail autour que les opportunités arrivent et qu’il faut les saisir… » Tout cela a un nom, révélé par Raymond Rhule à Chaban le 2 avril : « l’ASB », soit l’attaque sans ballon.
Cela peut paraître cosmétique, c’est surtout destiné à convaincre les joueurs que défendre n’est pas une corvée, que cela permet de gagner du terrain, de faire fructifier des ballons de récupération tout en marquant mentalement l’adversaire. À Bordeaux, après le 8e aller, un amateur de hockey sur glace nous indiquait que, à la manière d’un gardien, les Rochelais lui donnaient le sentiment « d’entrer dans la tête » des attaquants et de les amener là où ils le voulaient.
Éviter la « remontada »
« Ça prouve aux autres qu’on fonctionne bien ensemble sur et en dehors du terrain. Quand l’un met un gros plaquage, on est plusieurs à le féliciter, ça nous tire vers le haut, ça nous booste pour la suite », apprécie Haddad-Victor, chargé ce samedi de jouer les tondeuses à gazon en l’absence de l’omniprésent Wiaan Liebenberg. « Quand les adversaires n’arrivent pas à marquer et sont tous les mains sur les genoux après qu’on vient de gratter un ballon, on prend vachement de plaisir », confirme Rémi Picquette.
« On ne peut pas le faire tout seul. Il y a un système à respecter. Dès qu’un joueur en sort ou se plante, ça écroule toute la pyramide. Il peut y avoir des errances, le plus important est de rester connectés, reprend Haddad-Victor. Pour moi, la défense ça reste une bande de copains qui s’envoient et essaient de défendre leur bout de terrain. » « On est vigilants, il y a eu plein de moments particuliers à Perpignan, Biarritz, même à Castres ou chez le Stade Français alors que l’on sortait de belles séries », tempère Romain Carmignani.
L’entraîneur d’un pack qui n’a encaissé qu’un essai sur groupé pénétrant – une autre force majeure de 2020-2021 – n’en reste pas moins optimiste, d’autant que son équipe est celle qui rate le moins de plaquages (15 en moyenne) en Top 14 : « Maintenant, on sent que les mecs sont là. Les beaux jours arrivent, ça sent les phases finales. Le groupe est plus investi, a envie de s’arracher. » Ses joueurs le jurent, ce sera encore le cas ce samedi. « On ne veut pas prendre une « remontada » comme le PSG », souligne Matthias Haddad-Victor, un champion du monde des moins de 20 ans en 2019 qui va découvrir la Champions Cup.
Champions Cup : la défense rochelaise est de nouveau d’attaque
Par Benjamin Deudon - b.deudon@sudouest.fr
Après un trou d’air pendant les Six-Nations, les Maritimes ont retrouvé des standards élevés en concédant 2 essais en 3 matchs face au Racing puis Bordeaux-Bègles. Ce samedi, ils miseront encore sur leur rideau pour passer en quarts
C’était il y a moins d’un mois, cela paraît déjà une éternité. Le 19 mars, le Stade Rochelais s’écroulait à Toulon (41-11). Jusqu’ici, seul Castres avait inscrit plus de 31 points face à lui (31-30 le 2 janvier). Une claque. « Les murs ont un peu tremblé, on n’était pas présent dans l’engagement et l’état d’esprit », concède le flanker Matthias Haddad-Victor.
Un euphémisme : toutes compétitions confondues, les Jaune et Noir ne concèdent que 17,88 points de moyenne. Un chiffre qui a augmenté pendant le Tournoi des Six-Nations et l’absence de Uini Atonio, Grégory Alldritt et Jonathan Danty. Du 29 janvier au 19 mars, les Maritimes ont encaissé 25,8 points de moyenne sans leurs Bleus. Avant, ils tournaient à 14,82 ; depuis leur retour, ils n’ont pris que 9,3 points de moyenne (et deux essais) après avoir affronté le Racing 92 et deux fois l’UBB en Gironde…
Cohésion
Ces chiffres ne sont pas les seuls à être évocateurs. Le langage corporel des joueurs de Ronan O’Gara, qui avait fait de la défense sa spécialité depuis son passage chez les Ciel et Blanc, est redevenu celui de 2020-2021, quand ils étaient l’équipe la plus hermétique du Top 14. Collectivement, « on est passé dans une autre dimension défensivement. J’ai l’impression que notre défense commence vraiment à taper fort, qu’elle monte en gamme et qu’elle ne va pas redescendre, souligne le 2e ligne Rémi Picquette. Le petit coup derrière la tête à Toulon nous a vachement vexés. »
Et de reconnaître que si « on avait cette volonté de bosser les uns pour les autres, la cohésion ne se matérialisait pas car on n’avait pas une série de victoires qui soude, qui permet de voir que quand tu te donnes l’un pour l’autre, ça fait du bien. Là, ça fait quelques matchs que la cohésion commence vraiment à se faire, ça se ressent sur le terrain. »
« La défense ça reste une bande de copains qui s’envoient et essaient de défendre leur bout de terrain »
Pour mettre son adversaire sous pression, le principe stadiste est simple. « Tu montes très fort, il y a tout le temps deux mecs qui viennent taper, ça ralentit les ballons », expose Picquette qui, malgré ses 2 mètres, fait partie des bons gratteurs : « Il y a des « chiens » dans l’équipe qui font vite tomber, les soutiens sont en retard, tu vas sur le ballon. Le groupe fait tellement bien le travail autour que les opportunités arrivent et qu’il faut les saisir… » Tout cela a un nom, révélé par Raymond Rhule à Chaban le 2 avril : « l’ASB », soit l’attaque sans ballon.
Cela peut paraître cosmétique, c’est surtout destiné à convaincre les joueurs que défendre n’est pas une corvée, que cela permet de gagner du terrain, de faire fructifier des ballons de récupération tout en marquant mentalement l’adversaire. À Bordeaux, après le 8e aller, un amateur de hockey sur glace nous indiquait que, à la manière d’un gardien, les Rochelais lui donnaient le sentiment « d’entrer dans la tête » des attaquants et de les amener là où ils le voulaient.
Éviter la « remontada »
« Ça prouve aux autres qu’on fonctionne bien ensemble sur et en dehors du terrain. Quand l’un met un gros plaquage, on est plusieurs à le féliciter, ça nous tire vers le haut, ça nous booste pour la suite », apprécie Haddad-Victor, chargé ce samedi de jouer les tondeuses à gazon en l’absence de l’omniprésent Wiaan Liebenberg. « Quand les adversaires n’arrivent pas à marquer et sont tous les mains sur les genoux après qu’on vient de gratter un ballon, on prend vachement de plaisir », confirme Rémi Picquette.
« On ne peut pas le faire tout seul. Il y a un système à respecter. Dès qu’un joueur en sort ou se plante, ça écroule toute la pyramide. Il peut y avoir des errances, le plus important est de rester connectés, reprend Haddad-Victor. Pour moi, la défense ça reste une bande de copains qui s’envoient et essaient de défendre leur bout de terrain. » « On est vigilants, il y a eu plein de moments particuliers à Perpignan, Biarritz, même à Castres ou chez le Stade Français alors que l’on sortait de belles séries », tempère Romain Carmignani.
L’entraîneur d’un pack qui n’a encaissé qu’un essai sur groupé pénétrant – une autre force majeure de 2020-2021 – n’en reste pas moins optimiste, d’autant que son équipe est celle qui rate le moins de plaquages (15 en moyenne) en Top 14 : « Maintenant, on sent que les mecs sont là. Les beaux jours arrivent, ça sent les phases finales. Le groupe est plus investi, a envie de s’arracher. » Ses joueurs le jurent, ce sera encore le cas ce samedi. « On ne veut pas prendre une « remontada » comme le PSG », souligne Matthias Haddad-Victor, un champion du monde des moins de 20 ans en 2019 qui va découvrir la Champions Cup.
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/champions-cup-un-match-pas-si-anodin-pour-l-ubb-a-la-rochelle-10612628.php
Champions Cup : un match pas si anodin pour l’UBB à La Rochelle
Par Yoan Leshauriès
Si elle a peu très peu de chances de croire en la qualification, l’Union Bordeaux-Bègles cherchera surtout à se retrouver ce samedi (16 heures) à La Rochelle en 8e de finale retour de Coupe d’Europe, avant d’aborder le sprint final en Top 14
Après le 8e de finale aller (13-31), c’est quasiment mission impossible pour l’Union Bordeaux-Bègles. Dix-huit points à remonter. Qui plus est sur le terrain du Stade Rochelais, où le club girondin ne compte qu’un seul succès qui remonte à 2014 et où il a très souvent mordu la poussière.
« On est plutôt mal embarqués pour continuer notre aventure en Coupe d’Europe, reconnaît le manager Christophe Urios. Mais pour autant, c’est un match très important pour bien aborder le reste de la saison. Le mot d’ordre, c’est donner le maximum, faire les efforts collectifs, ne pas lâcher. On recherche l’acte fondateur, plutôt que de se dire que c’est un match qu’on balance en attendant Montpellier ».
Restant sur une série de 7 défaites en 8 matchs, une simple victoire à Marcel-Deflandre sonnerait comme « mission accomplie » et relancerait l’UBB en vue du sprint final dans la course à la qualification en Top 14, avant un déplacement à Montpellier, les réceptions de Toulon et Lyon, et un voyage à Perpignan.
Dans cette perspective, le club girondin fera souffler certains cadres ce samedi (Trinh-Duc, Lamerat, Picamoles, Woki, Tameifuna, Cobilas, Marais…), relancera certains joueurs de retour de blessure (Moefana titulaire au centre, Seuteni et Jolmes sur le banc), et donnera du temps de jeu à certains jeunes (Garcia titulaire à l’ouverture, Bochaton en troisième ligne, Massé au centre, Baggiani sur le banc).
Après le match aller, « on a envie de se rattraper, assure le demi de mêlée Maxime Lucu. Ce n’est pas le meilleur des endroits pour le faire. Mais c’est le moment de montrer qu’on a du caractère ». Et surtout, ne pas prendre la marée, pour bien aborder la fin de saison. Un rendez-vous à double tranchant.
Champions Cup : un match pas si anodin pour l’UBB à La Rochelle
Par Yoan Leshauriès
Si elle a peu très peu de chances de croire en la qualification, l’Union Bordeaux-Bègles cherchera surtout à se retrouver ce samedi (16 heures) à La Rochelle en 8e de finale retour de Coupe d’Europe, avant d’aborder le sprint final en Top 14
Après le 8e de finale aller (13-31), c’est quasiment mission impossible pour l’Union Bordeaux-Bègles. Dix-huit points à remonter. Qui plus est sur le terrain du Stade Rochelais, où le club girondin ne compte qu’un seul succès qui remonte à 2014 et où il a très souvent mordu la poussière.
« On est plutôt mal embarqués pour continuer notre aventure en Coupe d’Europe, reconnaît le manager Christophe Urios. Mais pour autant, c’est un match très important pour bien aborder le reste de la saison. Le mot d’ordre, c’est donner le maximum, faire les efforts collectifs, ne pas lâcher. On recherche l’acte fondateur, plutôt que de se dire que c’est un match qu’on balance en attendant Montpellier ».
Restant sur une série de 7 défaites en 8 matchs, une simple victoire à Marcel-Deflandre sonnerait comme « mission accomplie » et relancerait l’UBB en vue du sprint final dans la course à la qualification en Top 14, avant un déplacement à Montpellier, les réceptions de Toulon et Lyon, et un voyage à Perpignan.
Dans cette perspective, le club girondin fera souffler certains cadres ce samedi (Trinh-Duc, Lamerat, Picamoles, Woki, Tameifuna, Cobilas, Marais…), relancera certains joueurs de retour de blessure (Moefana titulaire au centre, Seuteni et Jolmes sur le banc), et donnera du temps de jeu à certains jeunes (Garcia titulaire à l’ouverture, Bochaton en troisième ligne, Massé au centre, Baggiani sur le banc).
Après le match aller, « on a envie de se rattraper, assure le demi de mêlée Maxime Lucu. Ce n’est pas le meilleur des endroits pour le faire. Mais c’est le moment de montrer qu’on a du caractère ». Et surtout, ne pas prendre la marée, pour bien aborder la fin de saison. Un rendez-vous à double tranchant.
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Merci pour l article
Ben33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Ben33 a écrit:Merci pour l article
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/champions-cup-avant-la-rochelle-ubb-on-n-a-plus-trop-le-temps-de-gamberger-dit-maxime-lucu-10609612.php
Champions Cup. Avant La Rochelle – UBB : « On n’a plus trop le temps de gamberger », dit Maxime Lucu
Par Propos recueillis par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr
Après la claque reçue à Chaban (13-31) en 8e de finale aller de Coupe d’Eruope, Maxime Lucu, le demi de mêlée de l’UBB, est lucide sur les chances de se qualifier. Mais il veut que son équipe montre un autre visage à La Rochelle ce samedi (16 heures) pour bien finir la saison
De par le score du match aller (13-31), le contexte et ce qui vous attend sur la fin de saison, est-ce le match le plus compliqué à aborder ?
Je ne pense pas. Samedi dernier, on a tous été frustrés, déçus, on a tous eu un petit peu honte de la performance devant notre public. Cette semaine, la motivation a été toute trouvée. On a envie de se rattraper. Ce n’est pas le meilleur des endroits : à La Rochelle, en phases finales de Coupe d’Europe, après deux défaites de rang contre cette équipe… Mais c’est le moment de montrer qu’on a du caractère. On a envie de montrer une autre image que celle du week-end dernier. Certes, le résultat du match aller est conséquent mais il faut essayer de retrouver notre rugby.
Avez-vous mis du temps à digérer cette défaite de l’aller ?
Ça a pris un peu plus de temps que prévu, ce n’est jamais simple. Le match de championnat avait déjà été dur à avaler (15-16). Ensuite, il y a eu ce non-match en Coupe d’Eruope. On a déçu énormément de monde, nous les premiers. On a eu du mal à entrer dans la semaine mais on a l’opportunité de se rattraper, alors on s’est remis dans le droit chemin. Si on se morfond sur le dernier match avant d’aller à La Rochelle, ce sera compliqué. On a essayé de basculer au plus vite.
Comprenez-vous que pas grand monde ne donne cher de la peau de l’UBB ? Ou est-ce que cela vous agace ?
Forcément, c’est agaçant. Mais au vu du match aller où on perd de 18 points, c’est sûr que c’est compliqué. Notre statut est normal par rapport à ça.
Après un tel écart, pensez-vous réellement à la qualification ou une simple victoire serait mission accomplie pour bien se relancer en vue de la fin de saison ?
Gagner, déjà, ça serait bien. On n’a toujours pas gagné contre La Rochelle, alors mettre fin à la série négative que nous avons contre eux, ce serait une bonne chose. Y compris à la vue des échéances qui arrivent. Pour le reste, on prendra ce qu’il y a à prendre mais ce n’est pas à l’ordre du jour.
On dit souvent que c’est la période de la saison où les grosses cylindrées accélèrent. L’UBB est plutôt en mode freinage. Qu’est ce qui peut vous permettre de remettre le pied sur l’accélérateur ?
On n’a plus trop le temps de gamberger. C’est ce qu’on s’est dit dans la semaine avec certains leaders. Ce sont des matchs que l’on rêve de jouer durant toute la saison, alors ce n’est pas le moment de s’écrouler. Jusqu’en février-mars, on a toujours répondu présent. Là, on a un petit coup de mou, on a aussi énormément de blessés… Il ne faut pas se trouver d’excuses. En ce moment, c’est compliqué, mais ça l’a été pour d’autres équipes un peu avant. Il faut croire en nous. On ne perd pas son rugby comme ça.
À vos côtés, Matéo Garcia sera titulaire à l’ouverture. Comment abordez-vous cette association ?
Avec François (Trinh-Duc), c’est un peu le choc des extrêmes. L’un a énormément d’expérience, Matéo, lui, découvre le haut niveau. Je vais essayer de l’aider du mieux possible. Ce n’est pas évident d’arriver sur des matchs comme ça mais il est allé se le chercher, il mérite ce poste de numéro 10. Il fera des erreurs comme on en fait tous. Il faudra juste être là pour ne pas qu’il baisse la tête car ce ne sont pas des atmosphères faciles. C’est un minot qui vient du Pays Basque, j’ai aussi envie de l’aider par rapport à ça, on a aussi cette connexion.
Champions Cup. Avant La Rochelle – UBB : « On n’a plus trop le temps de gamberger », dit Maxime Lucu
Par Propos recueillis par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr
Après la claque reçue à Chaban (13-31) en 8e de finale aller de Coupe d’Eruope, Maxime Lucu, le demi de mêlée de l’UBB, est lucide sur les chances de se qualifier. Mais il veut que son équipe montre un autre visage à La Rochelle ce samedi (16 heures) pour bien finir la saison
De par le score du match aller (13-31), le contexte et ce qui vous attend sur la fin de saison, est-ce le match le plus compliqué à aborder ?
Je ne pense pas. Samedi dernier, on a tous été frustrés, déçus, on a tous eu un petit peu honte de la performance devant notre public. Cette semaine, la motivation a été toute trouvée. On a envie de se rattraper. Ce n’est pas le meilleur des endroits : à La Rochelle, en phases finales de Coupe d’Europe, après deux défaites de rang contre cette équipe… Mais c’est le moment de montrer qu’on a du caractère. On a envie de montrer une autre image que celle du week-end dernier. Certes, le résultat du match aller est conséquent mais il faut essayer de retrouver notre rugby.
Avez-vous mis du temps à digérer cette défaite de l’aller ?
Ça a pris un peu plus de temps que prévu, ce n’est jamais simple. Le match de championnat avait déjà été dur à avaler (15-16). Ensuite, il y a eu ce non-match en Coupe d’Eruope. On a déçu énormément de monde, nous les premiers. On a eu du mal à entrer dans la semaine mais on a l’opportunité de se rattraper, alors on s’est remis dans le droit chemin. Si on se morfond sur le dernier match avant d’aller à La Rochelle, ce sera compliqué. On a essayé de basculer au plus vite.
Comprenez-vous que pas grand monde ne donne cher de la peau de l’UBB ? Ou est-ce que cela vous agace ?
Forcément, c’est agaçant. Mais au vu du match aller où on perd de 18 points, c’est sûr que c’est compliqué. Notre statut est normal par rapport à ça.
Après un tel écart, pensez-vous réellement à la qualification ou une simple victoire serait mission accomplie pour bien se relancer en vue de la fin de saison ?
Gagner, déjà, ça serait bien. On n’a toujours pas gagné contre La Rochelle, alors mettre fin à la série négative que nous avons contre eux, ce serait une bonne chose. Y compris à la vue des échéances qui arrivent. Pour le reste, on prendra ce qu’il y a à prendre mais ce n’est pas à l’ordre du jour.
On dit souvent que c’est la période de la saison où les grosses cylindrées accélèrent. L’UBB est plutôt en mode freinage. Qu’est ce qui peut vous permettre de remettre le pied sur l’accélérateur ?
On n’a plus trop le temps de gamberger. C’est ce qu’on s’est dit dans la semaine avec certains leaders. Ce sont des matchs que l’on rêve de jouer durant toute la saison, alors ce n’est pas le moment de s’écrouler. Jusqu’en février-mars, on a toujours répondu présent. Là, on a un petit coup de mou, on a aussi énormément de blessés… Il ne faut pas se trouver d’excuses. En ce moment, c’est compliqué, mais ça l’a été pour d’autres équipes un peu avant. Il faut croire en nous. On ne perd pas son rugby comme ça.
À vos côtés, Matéo Garcia sera titulaire à l’ouverture. Comment abordez-vous cette association ?
Avec François (Trinh-Duc), c’est un peu le choc des extrêmes. L’un a énormément d’expérience, Matéo, lui, découvre le haut niveau. Je vais essayer de l’aider du mieux possible. Ce n’est pas évident d’arriver sur des matchs comme ça mais il est allé se le chercher, il mérite ce poste de numéro 10. Il fera des erreurs comme on en fait tous. Il faudra juste être là pour ne pas qu’il baisse la tête car ce ne sont pas des atmosphères faciles. C’est un minot qui vient du Pays Basque, j’ai aussi envie de l’aider par rapport à ça, on a aussi cette connexion.
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Mission-presque-impossible-pour-l-ubb-a-la-rochelle-en-coupe-d-europe/1328051
Mission presque impossible pour l'UBB à La Rochelle en Coupe d'Europe
Surclassés à domicile par La Rochelle (13-31) lors du huitième de finale aller de la Coupe d'Europe, les Bordelais devront réaliser un exploit pour se qualifier.
Maxime Raulin
Bordeaux-Bègles doit remonter un handicap de 18 points sur la pelouse du Stade Rochelais suite à sa défaite 13-31 lors du match aller. Un sacré challenge. Le week-end passé, les Girondins, inexistants, n'étaient pas invités. De plus, au regard de la spirale négative actuelle, sept défaites en huit matches, dont les deux derniers face aux Rochelais, difficile d'imaginer l'UBB renverser la vapeur.
Et pour ceux qui aiment les chiffres, les précédents sont sans équivoque. Depuis sa remontée dans l'élite en 2014, combien de fois le Stade Rochelais s'est incliné à Marcel-Deflandre de plus de dix-huit points ? La réponse est trois ! Une première fois en Challenge européen (10-36 contre Exeter, saison 2014-2015), une seconde fois en Top 14 face à Clermont (6-44, en 2015-2016) et la dernière en Coupe d'Europe à nouveau contre Exeter (12-31, en 2019-2020). Alors mission impossible ? La question a été posée aux Girondins.
« On est mal embarqués pour continuer notre aventure en Coupe d'Europe », a posé le manager Christophe Urios. « On ne s'est pas facilité la tâche, mais il faut y croire, le match n'est pas joué, a lancé le capitaine Mahamadou Diaby. Avant ce huitième de finale aller-retour, on avait évoqué quatre mi-temps. Il nous en reste deux pour engranger le maximum de points. On fera les comptes à la fin. »
« Gagner le match, ce serait déjà bien. Après, on prendra ce qu'il vient, mais ce n'est pas à l'ordre du jour », a résumé le demi de mêlée Maxime Lucu. Si dans le camp de l'UBB personne n'a osé dire que l'affaire était déjà pliée, on a bien compris que le groupe ne se faisait guère d'illusion. L'objectif est ailleurs.
« J'ai envie de voir mon équipe souffrir, de voir une équipe ! Je cherche un acte fondateur plutôt que de penser aux prochaines échéances. »
Christophe Urios, manager de l'UBB
« On sait ce qu'on vient chercher, a annoncé Christophe Urios. J'ai envie de voir mon équipe souffrir, de voir une équipe Je cherche un acte fondateur plutôt que de balancer le match et de penser déjà aux prochaines échéances en Top 14. Justement, ce match est très important pour aborder au mieux la fin de saison. »« C'est l'occasion de révéler le caractère de l'équipe, a appuyé Mahamadou Diaby. On veut montrer un autre visage. »
« On veut se remettre la tête à l'endroit », a glissé Alexandre Roumat. Les Bordelais ont encore en travers de la gorge les deux derniers revers face aux Rochelais. Celui en Top 14, à la sirène (15-16), qualifié d'« injuste » par Urios, et la gifle infligée en Coupe d'Europe à Chaban-Delmas, qui a « marqué les joueurs », toujours selon le manager. « Ce n'est pas simple à digérer », a confirmé Maxime Lucu. Il va falloir. Ça commence à faire beaucoup face à des Rochelais estampillés « bête noire » (cinq victoires de rang).
22 %
La part de victoires de Bordeaux-Bègles (2 sur 9) en Coupe d'Europe face à des équipes françaises.
Dans cette série, l'UBB ne s'est imposée qu'une fois en quatre matches à l'extérieur (28-37 à Clermont, en janvier 2016, en phase de poules).
On ne lâchera pas », a prévenu Christophe Urios qui a procédé à neuf changements dans son quinze de départ et qui a dû jongler avec de nombreux blessés (Cordero, Vergnes, Cazeaux, Petti, Poirot, Tameifuna). En revanche, l'UBB peut compter sur le retour au centre de son attaque, mais également de UJ Seuteni et Thomas Jolmes qui seront sur le banc des remplaçants. Si le demi de mêlée international Maxime Lucu enchaîne, l'autre chelemard Cameron Woki est laissé au repos.
En plus de leur caractère, les Bordelais veulent retrouver leur jeu. Celui qui leur a permis de surfer jusqu'en février en tête du Top 14 (l'UBB est 2e à 4 journées de la fin). « Il faut croire en nous, a insisté Lucu. On ne peut pas avoir perdu notre rugby comme ça. On a un coup de mou. Mais ce n'est pas le moment de s'écrouler. » Au risque de tout perdre...
Mission presque impossible pour l'UBB à La Rochelle en Coupe d'Europe
Surclassés à domicile par La Rochelle (13-31) lors du huitième de finale aller de la Coupe d'Europe, les Bordelais devront réaliser un exploit pour se qualifier.
Maxime Raulin
Bordeaux-Bègles doit remonter un handicap de 18 points sur la pelouse du Stade Rochelais suite à sa défaite 13-31 lors du match aller. Un sacré challenge. Le week-end passé, les Girondins, inexistants, n'étaient pas invités. De plus, au regard de la spirale négative actuelle, sept défaites en huit matches, dont les deux derniers face aux Rochelais, difficile d'imaginer l'UBB renverser la vapeur.
Et pour ceux qui aiment les chiffres, les précédents sont sans équivoque. Depuis sa remontée dans l'élite en 2014, combien de fois le Stade Rochelais s'est incliné à Marcel-Deflandre de plus de dix-huit points ? La réponse est trois ! Une première fois en Challenge européen (10-36 contre Exeter, saison 2014-2015), une seconde fois en Top 14 face à Clermont (6-44, en 2015-2016) et la dernière en Coupe d'Europe à nouveau contre Exeter (12-31, en 2019-2020). Alors mission impossible ? La question a été posée aux Girondins.
« On est mal embarqués pour continuer notre aventure en Coupe d'Europe », a posé le manager Christophe Urios. « On ne s'est pas facilité la tâche, mais il faut y croire, le match n'est pas joué, a lancé le capitaine Mahamadou Diaby. Avant ce huitième de finale aller-retour, on avait évoqué quatre mi-temps. Il nous en reste deux pour engranger le maximum de points. On fera les comptes à la fin. »
« Gagner le match, ce serait déjà bien. Après, on prendra ce qu'il vient, mais ce n'est pas à l'ordre du jour », a résumé le demi de mêlée Maxime Lucu. Si dans le camp de l'UBB personne n'a osé dire que l'affaire était déjà pliée, on a bien compris que le groupe ne se faisait guère d'illusion. L'objectif est ailleurs.
« J'ai envie de voir mon équipe souffrir, de voir une équipe ! Je cherche un acte fondateur plutôt que de penser aux prochaines échéances. »
Christophe Urios, manager de l'UBB
« On sait ce qu'on vient chercher, a annoncé Christophe Urios. J'ai envie de voir mon équipe souffrir, de voir une équipe Je cherche un acte fondateur plutôt que de balancer le match et de penser déjà aux prochaines échéances en Top 14. Justement, ce match est très important pour aborder au mieux la fin de saison. »« C'est l'occasion de révéler le caractère de l'équipe, a appuyé Mahamadou Diaby. On veut montrer un autre visage. »
« On veut se remettre la tête à l'endroit », a glissé Alexandre Roumat. Les Bordelais ont encore en travers de la gorge les deux derniers revers face aux Rochelais. Celui en Top 14, à la sirène (15-16), qualifié d'« injuste » par Urios, et la gifle infligée en Coupe d'Europe à Chaban-Delmas, qui a « marqué les joueurs », toujours selon le manager. « Ce n'est pas simple à digérer », a confirmé Maxime Lucu. Il va falloir. Ça commence à faire beaucoup face à des Rochelais estampillés « bête noire » (cinq victoires de rang).
22 %
La part de victoires de Bordeaux-Bègles (2 sur 9) en Coupe d'Europe face à des équipes françaises.
Dans cette série, l'UBB ne s'est imposée qu'une fois en quatre matches à l'extérieur (28-37 à Clermont, en janvier 2016, en phase de poules).
On ne lâchera pas », a prévenu Christophe Urios qui a procédé à neuf changements dans son quinze de départ et qui a dû jongler avec de nombreux blessés (Cordero, Vergnes, Cazeaux, Petti, Poirot, Tameifuna). En revanche, l'UBB peut compter sur le retour au centre de son attaque, mais également de UJ Seuteni et Thomas Jolmes qui seront sur le banc des remplaçants. Si le demi de mêlée international Maxime Lucu enchaîne, l'autre chelemard Cameron Woki est laissé au repos.
En plus de leur caractère, les Bordelais veulent retrouver leur jeu. Celui qui leur a permis de surfer jusqu'en février en tête du Top 14 (l'UBB est 2e à 4 journées de la fin). « Il faut croire en nous, a insisté Lucu. On ne peut pas avoir perdu notre rugby comme ça. On a un coup de mou. Mais ce n'est pas le moment de s'écrouler. » Au risque de tout perdre...
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S-O : En plus de leur caractère, les Bordelais veulent retrouver leur jeu
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Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Bientôt le début du match!
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Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Mettez moi Lucu au repos! Cette equipe joue sans réfléchir, on dirait des poulets sans tête! Non mais serieux Vaipulu?
romojito33- Orga
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Je vois pas vraiment d'amélioration... Des fautes connes encore, des ballons grattés à outrance... Et là on va prendre cher.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Bon... Bah je vais changer de chaîne.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Humeur : Merde
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Aie Vaipulu ...
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Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Et allez carton rouge pour Vaipulu
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 02/12/2008
Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Superbe J’en ai marre! Un festival de fautes débiles! On veut pas recruter un arbitre nous aussi? Ça pourrait nous être utile!!!!
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 25/10/2017
Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Honteux ce qu’a fait Vaipulu! Ils sont déjà en grosse difficultés face a la rochelle depuis de nombreux matchs, et la ils se plombent encore plus,
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romojito33- Orga
- Nombre de messages : 1621
Localisation : paris
Date d'inscription : 29/09/2013
Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Roberto Miopalmo a écrit:Superbe J’en ai marre! Un festival de fautes débiles! On veut pas recruter un arbitre nous aussi? Ça pourrait nous être utile!!!!
Va falloir songer à investir dans un arbitre ça c'est sûr... C'est plus possible, moi en tout cas j'ai déjà eu ma dose, rendez-vous face à Montpellier.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : Angoulême
Date d'inscription : 21/11/2018
Humeur : Merde
Age : 33
Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Le Brennus de la débilité pour l’ubb.
Une indiscipline pareil et ce n’est pas que le rouge…
Ah c’est vrai, c’est parce qu’il y a beaucoup de blessés.
Une indiscipline pareil et ce n’est pas que le rouge…
Ah c’est vrai, c’est parce qu’il y a beaucoup de blessés.
Olé- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 10/12/2008
Re: Champions Cup - 8ᵉ de finale retour: LR/UBB
Par contre je trouve qu'on dominait jusque là sauf en mêlée mais beaucoup d'erreurs quoi, soutiens, hors jeu ... il y a un manque de lucidité qui fait un peu peur. Je sais pas si on manque de jus ou de confiance ou autre, peut être un tout
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Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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