Re: Coupe du monde de Rugby féminine 2021 du XV de France

**Scalp** Ven 7 Oct - 11:53

Coupe du monde féminine: coéquipières, concurrentes et concubines... La belle histoire de Laure Sansus et Pauline Bourdon

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/feminin/coupe-du-monde-feminine-coequipieres-concurrentes-et-concubines-la-belle-histoire-de-laure-sansus-et-pauline-bourdon_AV-202210070375.html

**Scalp** Sam 8 Oct - 8:07

L'Angleterre s'impose face aux Fidji en Coupe du monde

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/L-angleterre-s-impose-face-aux-fidji-en-coupe-du-monde/1358174

**Scalp** Sam 8 Oct - 8:11

Mondial féminin de rugby: le résumé vidéo de la démonstration des Bleues face à l'Afrique du sud

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/mondial-feminin-de-rugby-le-resume-video-de-la-demonstration-des-bleues-face-a-l-afrique-du-sud-20221008

**Scalp** Sam 8 Oct - 8:14

Scalp a écrit:L'Angleterre s'impose face aux Fidji en Coupe du monde

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/L-angleterre-s-impose-face-aux-fidji-en-coupe-du-monde/1358174

https://twitter.com/ek_rugby/status/1578631515927609344

**Scalp** Sam 8 Oct - 12:50

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Joanna-grisez-une-premiere-reussie-avec-l-equipe-de-france-a-15/1358207

Joanna Grisez, une première réussie avec l'équipe de France à 15

Pour sa première sélection avec le quinze de France samedi (victoire 40-5 contre l'Afrique du Sud en ouverture de la Coupe du monde), Joanna Grisez a confirmé son potentiel, observé ces derniers mois avec les Bleues du 7.

Adrien Corée

On peut difficilement ponctuer de plus belle manière son rendez-vous avec le destin. Samedi, Joanna Grisez a connu, comme l'équipe de France, un après-midi souvent poussif et un brin maladroit, mais elle a su bien achever cette première étape du Mondial, face à l'Afrique du Sud (40-5). Pour ses débuts internationaux, la nouvelle ailière tricolore s'est saisie du dernier ballon du match, magnifiquement servi par le pied de Caroline Drouin, pour marquer un essai qu'elle espère le premier d'une longue série.

Ce ne fut sans doute pas le plus difficile qu'elle ait inscrit dans sa carrière. Car, si elle découvre seulement cet automne le plus haut niveau à quinze, Grisez est déjà un nom qui frappe sur le circuit mondial de rugby à 7. La saison passée, elle a terminé meilleure marqueuse de l'équipe de France en plantant 24 essais. Et le 10 septembre dernier, elle a connu le plus grand frisson de sa vie sportive en offrant au bout d'une course folle la victoire aux Bleues en prolongation du quart de finale de la Coupe du monde au Cap, face aux Fidjiennes (19-14).

« Je comptais regarder la Coupe du monde à la télé »
Joanna Grisez

À peine le temps de digérer la médaille de bronze qu'elle apprenait sa sélection dans le groupe pour le Mondial à quinze en Nouvelle-Zélande. « C'est un rêve que je ne m'étais pas permis d'avoir car j'étais focalisée sur le 7, souffle-t-elle. Je comptais regarder la Coupe du monde à la télé ! »

Comme ses coéquipières Chloé Jacquet ou Caroline Drouin avant elle, Grisez a dû adapter son logiciel de septiste pour mieux appréhender les spécificités du quinze. « La difficulté, c'est que j'ai plus l'habitude d'avoir plus de ballons et davantage d'espace pour pouvoir m'exprimer à sept, a-t-elle déclaré après la victoire contre les Sud-Africaines. Donc c'est vrai que c'est toujours un peu particulier. Il y a beaucoup de joueuses sur le terrain, il faut que la stratégie soit en place, que les courses et les passes soient très bonnes pour que tout puisse fonctionner dans un bon timing. Là où, à sept, on peut avoir un peu plus de liberté, le quinze nécessite beaucoup d'exigence. »

Un essai inscrit dans les derniers instants

À l'Eden Park, Grisez n'a pas réussi le match parfait, échappant quelques ballons au contact (16e, 36e). Elle n'a pas non plus été mise dans les meilleures conditions à cause de trop nombreuses approximations dans les transmissions. « On a eu du mal à mettre notre jeu en place », reconnaît-elle. Mais la joueuse de Bobigny, qui a fêté ses 26 ans en Nouvelle-Zélande mercredi dernier, a pu démontrer ses impressionnantes qualités de vitesse. Elle a ainsi sauvé quelques coups en défense, interceptant là un ballon chaud (14e), mettant ici la pression sur l'arrière adverse (27e) ou reprenant enfin une Sud-Africaine lancée en bout de ligne (53e).

Jusqu'à ce dernier essai (80e+1), en forme de cerise sur le gâteau d'anniversaire. « Joanna est une finisseuse hors pair, elle amène une énergie importante, ce qui explique le choix de l'intégrer au groupe, expliquait le sélectionneur Thomas Darracq avant la compétition. Elle est forte dans les petits espaces, elle est physique, agressive dans le bon sens du terme. Elle est aussi à l'aise dans le jeu aérien, dans la perspective de cette Coupe du monde et de l'évolution du jeu, c'est un élément important. »

Son baptême de quinziste en poche, voilà Grisez soulagée : « C'était important de se libérer de cette pression du premier match ». Samedi prochain (9 heures), si le staff décide de la reconduire, elle passera un nouvel examen, d'une autre ampleur celui-là, face au mastodonte anglais. Mais la nouvelle locataire du 14 tricolore ne semble pas impressionnée en cette année 2022 qu'elle marque de son empreinte.

**Scalp** Dim 9 Oct - 15:01

Pas de bobo pour les Bleues mais quelques changements à prévoir pour affronter l'Angleterre

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2022/coupe-du-monde-feminine-pas-de-bobo-pour-les-bleues-mais-quelques-changements-a-prevoir-pour-affront_sto9177624/story.shtml

Il y a un os à l'horizon pale

nadoloubb Dim 9 Oct - 15:10

Scalp a écrit:Pas de bobo pour les Bleues mais quelques changements à prévoir pour affronter l'Angleterre

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2022/coupe-du-monde-feminine-pas-de-bobo-pour-les-bleues-mais-quelques-changements-a-prevoir-pour-affront_sto9177624/story.shtml

Il y a un os à l'horizon

On va jouer les probables vainqueurs de la compétition, ces anglaises m ont l'air au dessus, avec un gros pack. D'ailleurs j'ai trouvé que les filles ont eu du mal devant face à la grosse première ligne sud af.

Sur le match j'ai bien aimé notre joueuse fall qui a distribué des cartouches et ma chouchoute ménager que j'adore.

Après la charnière a alterné le bon et le moins bon.

**Scalp** Dim 9 Oct - 15:13

nadoloubb a écrit:
Scalp a écrit:Pas de bobo pour les Bleues mais quelques changements à prévoir pour affronter l'Angleterre

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2022/coupe-du-monde-feminine-pas-de-bobo-pour-les-bleues-mais-quelques-changements-a-prevoir-pour-affront_sto9177624/story.shtml

Il y a un os à l'horizon

On va jouer les probables vainqueurs de la compétition, ces anglaises m ont l'air au dessus, avec un gros pack. D'ailleurs j'ai trouvé que les filles ont eu du mal devant face à la grosse première ligne sud af.

Sur le match j'ai bien aimé notre joueuse fall qui a distribué des cartouches et ma chouchoute ménager que j'adore.

Après la charnière a alterné le bon et le moins bon.

Je ne vois vraiment pas comment on peut gagner ce match, il faudra qu'on soit magique !.

**Dr. Gregory Bouse** Dim 9 Oct - 15:20

Scalp a écrit:
nadoloubb a écrit:
Scalp a écrit:Pas de bobo pour les Bleues mais quelques changements à prévoir pour affronter l'Angleterre

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2022/coupe-du-monde-feminine-pas-de-bobo-pour-les-bleues-mais-quelques-changements-a-prevoir-pour-affront_sto9177624/story.shtml

Il y a un os à l'horizon

On va jouer les probables vainqueurs de la compétition, ces anglaises m ont l'air au dessus, avec un gros pack. D'ailleurs j'ai trouvé que les filles ont eu du mal devant face à la grosse première ligne sud af.

Sur le match j'ai bien aimé notre joueuse fall qui a distribué des cartouches et ma chouchoute ménager que j'adore.

Après la charnière a alterné le bon et le moins bon.

Je ne vois vraiment pas comment on peut gagner ce match, il faudra qu'on soit magique !.

Le seul match à gagner contre l'Angleterre, c'est celui de la finale. :chambreur:

nadoloubb Dim 9 Oct - 15:23

Dr. Gregory Bouse a écrit:
Scalp a écrit:
nadoloubb a écrit:
Scalp a écrit:Pas de bobo pour les Bleues mais quelques changements à prévoir pour affronter l'Angleterre

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2022/coupe-du-monde-feminine-pas-de-bobo-pour-les-bleues-mais-quelques-changements-a-prevoir-pour-affront_sto9177624/story.shtml

Il y a un os à l'horizon

On va jouer les probables vainqueurs de la compétition, ces anglaises m ont l'air au dessus, avec un gros pack. D'ailleurs j'ai trouvé que les filles ont eu du mal devant face à la grosse première ligne sud af.

Sur le match j'ai bien aimé notre joueuse fall qui a distribué des cartouches et ma chouchoute ménager que j'adore.

Après la charnière a alterné le bon et le moins bon.

Je ne vois vraiment pas comment on peut gagner ce match, il faudra qu'on soit magique !.

Le seul match à gagner contre l'Angleterre, c'est celui de la finale.

J'espère au moins qu'on s'est amélioré sur les portées mais bon le match des sud af ne m'a pas rassuré.

J'espère que notre ancien coach des espoirs a un plan

**Scalp** Lun 10 Oct - 6:54

**Scalp** Lun 10 Oct - 6:54

**Scalp** Mar 11 Oct - 7:21

Scalp a écrit:
Scalp a écrit:

**Scalp** Mer 12 Oct - 9:45

Bleues : Sochat vers la titularisation, la troisième ligne maintenue ?

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2022/coupe-du-monde-feminine-sochat-vers-la-titularisation-la-troisieme-ligne-maintenue_sto9181366/story.shtml

**Scalp** Jeu 13 Oct - 7:16

Coupe du monde de Rugby féminine 2021 du XV de France - Page 3 Capt5181

https://twitter.com/FranceRugby/status/1580452958072107009

**Scalp** Ven 14 Oct - 9:48

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Revolte-attendue-pour-les-bleues-face-aux-anglaises-lors-du-2e-match-de-la-coupe-du-monde/1359197

Révolte attendue pour les Bleues face aux Anglaises lors du 2e match de la Coupe du monde

Battues lors de leurs dix dernières confrontations, les Françaises tenteront de réaliser l'exploit en renversant enfin l'ogre anglais, lors du gros choc de cette phase de poules.

Adrien Corée

Vous connaissez ce sentiment insupportable d'être confronté à un problème insoluble ? De le tourner dans tous les sens sans jamais parvenir à le résoudre ? Depuis plus de quatre ans, l'équipe de France vit ce cauchemar infernal. Elle se réveille pimpante et déterminée, comme ce candidat qui, cette fois c'est sûr, réussira à passer son permis. Et à chaque fois, elle revient dépitée, souvent incapable de saisir réellement ce qui lui a manqué. Il faut dire qu'il n'existe pas d'examinateur plus intransigeant que ce quinze anglais.

Par dix fois donc, depuis le 10 mars 2018, l'équipe de France s'est cassé les dents face aux Red Roses, parfois de manière violente, d'autres pour un rien du tout, un simple détail qui creuse la grande différence entre un prétendant au titre et un archifavori. Depuis ce dernier succès tricolore à Grenoble (18-17), l'Angleterre a d'ailleurs étendu son empire dans des proportions inédites puisqu'elle n'a plus perdu la moindre rencontre, portant son total à 26 victoires la semaine dernière en étrillant les Fidjiennes, avec quatorze essais sur la note (84-19).

« Elles ont créé une bulle de confiance, image la deuxième-ligne Madoussou Fall. Elles doivent se dire qu'elles sont les reines du monde. » Alors, forcément, face à l'autorité de telles monarques, il est difficile d'imaginer les Françaises trancher enfin la tête couronnée à leur onzième coup de lame.

Stopper la série british

Mais les Bleues jurent qu'elles ne nourrissent aucun complexe. « Nous n'avons pas de blocage, assure la demi d'ouverture Caroline Drouin. C'est vrai qu'il y a un cercle vicieux qui peut se mettre en place mais, malgré tout, on sait ce qu'il faut faire contre elles. Beaucoup des joueuses présentes dans le groupe ont affronté l'Angleterre en 2018 et l'ont vaincue (10). C'est important de savoir qu'on peut les battre. » Safi N'Diaye, l'une des grandes anciennes de l'équipe, collectionne toute sorte de souvenirs de ces Crunch. Pour celui de samedi, elle tient le même discours que son ouvreuse : « Il faut respecter les Anglaises parce que c'est une très grande équipe avec de très bonnes joueuses et un très beau palmarès. Mais il ne faut pas s'en faire une montagne et ne pas se sous-estimer. »

S'il est vrai que l'Angleterre représente un Everest, la France ne constitue pas non plus une anonyme montée pour cycliste du dimanche. Seulement, la répétition des cartons anglais met cruellement en lumière, de façon parallèle, les récurrents grains de sable qui viennent gripper le jeu tricolore. Encore samedi dernier, la nette victoire des Bleues face à l'Afrique du Sud (40-5) en ouverture n'a pas pu totalement masquer ces errements terriblement frustrants.

« Le niveau qu'on a produit, avec toutes ces petites scories, ces pertes de balle, n'est pas suffisant, il faudra vraiment qu'on l'élève si on veut exister dans cette compétition, reconnaît aisément Gaëlle Mignot, entraîneure de la mêlée. On en est toutes conscientes. Les filles vont prendre confiance, et je suis persuadée qu'il se passera quelque chose de très beau à la fin. » Drouin partage le même enthousiasme : « Il y aura vraiment des opportunités. Pas dix mille, c'est sûr, mais il faut garder en tête qu'il y a quelque chose à faire. »

« Pour moi, ce n'est pas simplement un match de poules, c'est une finale »
Madoussou Fall, deuxième-ligne des Bleus

Afin de stopper l'humiliante série british, le sélectionneur Thomas Darracq et son staff ont décidé de maintenir leur confiance aux vainqueures de l'Afrique du Sud. Seule l'expérimentée Agathe Sochat retrouve sa place au talonnage, tandis que le banc a été bâti avec de nombreuses cadres (N'Diaye, Hermet, Bourdon) pour que le bateau bleu ne tangue pas trop dans le dernier quart d'heure, là où il a souvent eu tendance à couler ces dernières saisons (voir par ailleurs). Sera-ce suffisant ? « Peu importe qu'elles gagnent ou qu'elles perdent, les Anglaises ont la confiance, c'est dans leur ADN. Je m'en fiche complètement qu'elles arrivent gonflées à bloc, ce qui compte, c'est nous, insiste Mignot. C'est important d'arrêter de faire une fixette sur elles. »

Elles, justement, se préparent avec sérénité, entre baignade sous les célèbres chutes de Whangarei Falls et préparation de nouvelles techniques de torture pour Froggies remontées. « L'équipe qui parviendra à imposer son jeu l'emportera, et nous avons toutes les deux les qualités pour le faire », a expliqué la légendaire capitaine anglaise Emily Scarratt, avant d'ajouter dans un style tout britannique : « Les dernières rencontres contre la France se sont conclues sur des scores très serrés, donc nous savons que ce sera très, très difficile. »

Les Bleues vont tenter de trouver au fond d'elles la rage nécessaire. Les visages les plus récents de cette équipe, sevrés de succès contre les Red Roses, n'auront pas besoin d'aller la chercher très loin. Chloé Jacquet a répété cette semaine la frustration née du dernier échec en date, pour la finale du Tournoi, à Bayonne en avril (12-24). Sa coéquipière Madoussou Fall s'est elle aussi montrée expansive avant de croquer dans ce Crunch du bout du monde : « Pour moi, ce n'est pas simplement un match de poules, c'est une finale. Ça ne m'est pas encore arrivé de gagner contre les Anglaises, mais justement, ce sera pour ce week-end (rire). » Il n'est jamais trop tard pour le décrocher, ce foutu permis.

**Big'Ben** Sam 15 Oct - 7:30

C'est une hécatombe ce début de match... 2 blessées et une KO technique.

**Big'Ben** Sam 15 Oct - 8:36

Première réelle offensive tranchante au bout de 63 minutes. Espérons que ça sonne le réveil offensif.

**Big'Ben** Sam 15 Oct - 8:56

C'est incroyable les rucks... Les anglaises ont me droit à tout, rentrer sur le côté, plonger, Jen passe des vertes et des pas mûres, pourtant seulement 13 points encaissés.
En revanche offensivement, c'est stérile. Contre une équipe de ce calibre là ça marche pas.

**Scalp** Sam 15 Oct - 8:58

Sur la dernière mêlée, on enfonce les Anglaises, mais l'arbitre ne siffle rien, c'est dur à avaler Rolling Eyes

après, on a manqué de justesse et de lucidité sur cette fin de match, un point de bonus quand même, il faut s'en contenter.

**latine** Sam 15 Oct - 9:02

Scalp a écrit:Sur la dernière mêlée, on enfonce les Anglaises, mais l'arbitre ne siffle rien, c'est dur à avaler après, on a manqué de justesse et de lucidité sur cette fin de match, un point de bonus quand même, il faut s'en contenter.

Et aussi le placage sans ballon sur la joueuse qui part récupérer son jeu au pied…

**Scalp** Sam 15 Oct - 9:06

latine a écrit:
Scalp a écrit:Sur la dernière mêlée, on enfonce les Anglaises, mais l'arbitre ne siffle rien, c'est dur à avaler après, on a manqué de justesse et de lucidité sur cette fin de match, un point de bonus quand même, il faut s'en contenter.

Et aussi le placage sans ballon sur la joueuse qui part récupérer son jeu au pied…

Ça fait beaucoup...

**Scalp** Sam 15 Oct - 9:13

Coupe du monde de rugby. La France battue de peu par l'Angleterre : les 4 faits à retenir

https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-de-rugby-la-france-battue-de-peu-par-l-angleterre-les-4-faits-a-retenir_54527683.html

**Scalp** Sam 15 Oct - 12:16

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-tops-et-les-flops-de-france-angleterre-filopon-combative-drouin-imprecise/1359450

Les tops-flops de France-Angleterre : Filopon combative, Drouin imprécise

La trois-quarts centre française Maëlle Filopon a été au coeur du combat défensif menée par les Tricolores malgré la défaite contre l'Angleterre (7-13). Peu inspirée, Caroline Drouin a failli dans son jeu au pied.

A. Co. mis à jour le 15 octobre 2022 à 13h47

Les tops

Zoe Harrison (Angleterre)

La vie d'une demie d'ouverture est forcément plus simple quand son équipe avance. Zoe Harrison pouvait difficilement être plus à l'aise que ce samedi à Whangarei, et elle en a profité un maximum, alternant avec brio le jeu de l'Angleterre. Ses nombreux jeux au pied (27) dans les espaces vides ont fait reculer l'équipe de France dans son camp. Quant à ses inspirations à la main, elles ont quasiment toutes apporté du danger. C'est sa passe croisée qui ouvre la porte à Emily Scarratt pour l'unique essai anglais (24e).

Alex Matthews (Angleterre)

Aux côtés de Marlie Packer sur l'autre aile de la troisième-ligne, Alex Matthews a bien participé à l'effort défensif (10 plaquages) mais, surtout, elle a beaucoup porté le ballon et fragilisé la ligne française. Bien intégrée dans l'animation offensive, la numéro 6 a parcouru 45 mètres avec le ballon et éliminé deux adversaires. Son activité dans les rucks a également permis des libérations propres pour sa demie de mêlée Leanne Infante, qui a ainsi pu imprimer un gros rythme, notamment en première période.

Maëlle Filopon (France)

La trois-quarts centre des Bleues a semblé dans son élément dans le festival défensif de l'équipe de France. Privées de ballon une très grande partie de la rencontre, les Tricolores ont dû s'envoyer, et si elle a réalisé moins de plaquages que Marjorie Mayans ou Charlotte Escudero (24 chacune), Maëlle Filopon a découpé à tour de bras (18) et largement court-circuité les offensives anglaises. Hyper précieuse sur la ligne de front, elle a récupéré une pénalité salvatrice sur grattage (57e) et arraché le ballon à Sarah Bern alors qu'elle s'écroulait dans l'en-but (55e).

Les flops

Caroline Drouin (France)

Visiblement touchée après la défaite des Bleues, Caroline Drouin a passé une soirée compliquée à Whangarei. La demie d'ouverture tricolore, d'ordinaire inspirée, a multiplié les mauvais choix et les imprécisions dans les moments importants de la rencontre. Elle a notamment envoyé trois ballons directement en touche, offrant ainsi à l'Angleterre des munitions gratuites dans le camp français. Heureusement, tout n'est pas à jeter dans la copie de la Bretonne puisqu'elle est à l'origine de l'essai des Bleues, avec un joli décalage au pied pour Joanna Grisez (64e).

Emily Scarratt (Angleterre)

Il est paradoxal de voir Emily Scarratt ainsi placée dans les flops de la rencontre alors même qu'elle a inscrit les 13 points de son équipe. Mais la légendaire trois-quarts centre a délivré une performance bien loin de ses habituels standards. Elle a ainsi trouvé une touche directe (26e) avant de commettre un en-avant grossier dans les 22 mètres français, alors que l'essai semblait tout fait en bout de ligne (51e). Visée en défense par les centres tricolores Gabrielle Vernier et Maëlle Filopon, elle n'a jamais semblé à l'aise malgré la domination générale de son équipe.

Émilie Boulard (France)

La jeune ailière française (23 ans) a vécu un match frustrant face aux Anglaises. Elle a commencé par un en-avant grossier dès son premier ballon alors que sa capitaine Céline Ferer avait brillamment capté le coup d'envoi de Caroline Drouin. Puis une mésentente avec Pauline Bourdon dans le côté fermé a une fois de plus rendu le ballon à l'adversaire (13e). Peu en vue (16 mètres parcourus), Émilie Boulard n'a pas non plus rayonné sur un petit dégagement au pied (30e). Seul point positif : cette bonne pression défensive sur sa vis-à-vis Lydia Thompson, qui a permis aux Bleues de récupérer une pénalité (11e).

**Scalp** Dim 16 Oct - 8:28

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