Re: SALARY CAP - Plafond salarial

**Scalp** Mer 15 Fév 2023 - 9:27

Salary-cap : Clermont bientôt sanctionné ?

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Salary-cap-clermont-bientot-sanctionne/1380808

**Switch** Mer 15 Fév 2023 - 10:29

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/14/top-14-info-miol-pourquoi-lasm-clermont-est-hors-des-clous-du-salary-cap-10996486.php

Info Midol : pourquoi l’ASM Clermont est hors des clous du salary cap

Selon nos informations, le club de Clermont est récemment entré en médiation avec le salary cap manager du rugby professionnel, Samuel Gauthier, pour un excédent de 300 000 euros.

Il y a encore quelques années, l’ASMCA était un gros fournisseur d’internationaux tricolores mais ne dispose plus aujourd’hui que d’un seul cadre en équipe de France, à savoir Damian Penaud. Dès lors, le club auvergnat a-t-il eu du mal à faire la transition entre une époque supposée dorée où le club comptait une dizaine d’internationaux (Rabah Slimani, Sébastien Vahaamahina, Morgan Parra, Arthur Iturria, Camille Lopez…) et une période de vaches maigres ?

**Switch** Mer 15 Fév 2023 - 10:33

https://www.eurosport.fr/rugby/mourad-de-toulon-clermont-c-est-quand-meme-le-seul-club-qui-triche-sur-le-salary-cap-pour-jouer-le-maintien_vid1841154/video.shtml

MOURAD DE TOULON - "CLERMONT, C'EST QUAND MÊME LE SEUL CLUB QUI TRICHE SUR LE SALARY CAP POUR JOUER LE MAINTIEN"

Attention, ça pique :chambreur:

**Scalp** Jeu 5 Oct 2023 - 15:25

Transferts Top 14 - La commission de discipline saisie deux ans après le transfert de Cheslin Kolbe de Toulouse à Toulon

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/05/transferts-top-14-la-commission-de-discipline-saisie-deux-ans-apres-le-transfert-de-cheslin-kolbe-de-toulouse-a-toulon-11498776.php

tire-bouchon Jeu 5 Oct 2023 - 17:47

Scalp a écrit:Transferts Top 14 - La commission de discipline saisie deux ans après le transfert de Cheslin Kolbe de Toulouse à Toulon

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/05/transferts-top-14-la-commission-de-discipline-saisie-deux-ans-apres-le-transfert-de-cheslin-kolbe-de-toulouse-a-toulon-11498776.php

Et maintenant, on attend la précision qui manque.
Qui a saisi deux ans aprés la Commission ?

On se laisse à penser ... etc !
:chambreur:

**krahknardz** Jeu 5 Oct 2023 - 18:30

Scalp a écrit:Transferts Top 14 - La commission de discipline saisie deux ans après le transfert de Cheslin Kolbe de Toulouse à Toulon

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/05/transferts-top-14-la-commission-de-discipline-saisie-deux-ans-apres-le-transfert-de-cheslin-kolbe-de-toulouse-a-toulon-11498776.php

On a découvert récemment que le rouge et le noir étaient les couleurs préférées de Bernardo Provenzano et Toto Riina, en mémoire de leur collègue Al Capone. rire

**Scalp** Ven 5 Jan 2024 - 9:56

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/En-top-14-le-principe-du-salary-cap-fragilise-par-le-cas-kolbe/1440281

En Top 14, le principe du salary-cap fragilisé par le cas Kolbe

La Ligue nationale a choisi de ne pas faire appel de la décision de la commission financière frappant Toulon et Toulouse dans le cadre du transfert de Cheslin Kolbe. Les fondements et l'application du principe de plafonnement de la masse salariale risquent de s'en trouver affaiblis.

Frédéric Bernès

Le 26 décembre, la commission financière de la Ligue condamnait Toulon et Toulouse à des amendes mineures, sans toutefois réprouver le montage ayant permis le transfert, en août 2021, de la star sud-africaine Cheslin Kolbe. La teneur de cette décision risque pourtant de fragiliser les fondations du dispositif de contrôle, à la charge d'une seule personne, le salary-cap manager Samuel Gauthier.

Dans le cas Kolbe, voici un joueur qui revendique une forte revalorisation salariale et qui, n'étant pas écouté par le Stade Toulousain, s'engage à Toulon où il sera rémunéré 40 % de moins (environ 375 000 € pour sa première saison varoise, contre environ 620 000 € pour sa dernière saison à Toulouse [*]). Autre incohérence relevée : prétextant un « risque prud'homal », le Stade Toulousain va verser 640 000 € à un joueur qui a souhaité partir alors qu'il lui restait deux années de contrat, quelques heures après avoir signé avec lui une résiliation à l'amiable de son contrat de travail.

* En passant de Toulouse à Toulon, Kolbe renonçait de plus à l'avantage fiscal du régime d'impatriation.

Il aura suffi d'un courrier de l'avocat de Kolbe, menaçant vaguement d'une procédure de requalification de son CDD toulousain en CDI, alors que le joueur s'était déjà engagé avec le RCT, pour que ce versement ait lieu.

Le fondement même du règlement remis en question

Ajoutons que cette pratique consistant, pour le club quitté, à payer le joueur qui s'en va ailleurs est plus qu'inhabituelle. Pourquoi le contrôleur salary-cap a-t-il considéré qu'il n'était pas possible que Kolbe perçoive un salaire de 375 000 € pour sa première saison au RCT ? Parce que c'est le fondement même du règlement salary-cap.

Le contrôleur évalue la rémunération cohérente d'un joueur au regard de ce qu'il touchait auparavant et selon un outil économétrique qui croise tout un tas d'informations jusqu'à établir in fine la valeur salariale du joueur. S'il suspecte une incohérence (le fait que Kolbe est beaucoup plus payé en 2021-2022 par Toulouse en est une autre), il réaffecte la somme jugée manquante dans le salary-cap.

La commission financière de la Ligue a jugé que les présomptions n'étaient pas suffisamment « claires, précises et concordantes ». Le fait que Kolbe est rémunéré pour sa première année toulonnaise très en deçà de sa valeur (sauf à y ajouter les 640 000 € de Toulouse) semble pourtant incontestable. Mais la commission n'y a rien trouvé à redire. Elle ne l'a même pas relevé.

La commission va même plus loin, en expliquant que les agents à la manoeuvre dans ce transfert n'ont pas la même « interprétation » que le contrôleur salary-cap. Quel besoin d'avoir un contrôleur et un outil économétrique s'il suffit de demander l'avis des agents ? L'article 7.3.3 des règlements généraux de la LNR dit que « lorsque le salary-cap manager dispose de preuves ou d'un faisceau d'indices faisant apparaître que les sommes et avantages remis et/ou dus à un joueur sont manifestement inférieurs aux pratiques habituelles compte tenu notamment du niveau sportif et/ou de la notoriété du joueur, des sommes et avantages perçus les saisons précédentes par le joueur concerné et/ou de l'analyse économétrique des données réunies par la LNR sur la pratique de l'ensemble des clubs en matière de rémunération des joueurs », il est fondé à réaffecter la somme manquante. Après cette décision, que répondront au contrôleur les clubs à qui il reprochera de sous-payer un joueur ?

En définitive, le RCT a été sanctionné d'une amende ferme de 70 000 € pour « manquement à l'obligation générale de transparence et de coopération ». Pour le même grief, le Stade Toulousain écopait d'une amende de 50 000 € assortie du sursis. Le montant des amendes et leur pouvoir de dissuasion posent question, d'autant plus que le règlement prévoit une amende pouvant atteindre 2 millions d'euros.

« Certains clubs tentent de créer des brèches, ce qui fragilise notre économie. Ça fait peur
Dougal Bendjaballah, président d'Oyonnax

Nous avons sollicité tous les présidents du Top 14. Certains n'ont pas répondu, d'autres nous ont fait savoir qu'ils ne souhaitaient pas s'exprimer. « Certains clubs tentent de créer des brèches, ce qui fragilise notre économie, a réagi Dougal Bendjaballah, le président d'Oyonnax. Ça fait peur. Il faut faire attention. Le salary-cap est un facteur comptable qui a la vertu d'éviter l'inflation des salaires en Top 14 et de créer une bulle inflationniste sur les budgets des clubs. Tout le monde sait que le rugby vit largement au-dessus de ses moyens. Les fédérations internationales sont en déficit, la majorité des Ligues également, mis à part la LNR qui fait figure d'exception. Le souci, c'est que la Ligue est constituée de présidents qui ont des visions et des intérêts différents. Ce n'est pas un organe indépendant, capable d'édicter des règles. On va donc continuer à ne pas jouer dans la même cour, financièrement parlant. »

Président de Biarritz (Pro D2), Jean-Baptiste Aldigé s'interroge également : « La LNR qui ne fait pas appel ? Oui, c'est bizarre, mais est-ce si surprenant ? Je rappelle que la Ligue, ce sont les clubs. Et qui dirige la Ligue ? Les mêmes clubs qui viennent d'être condamnés. Les personnes condamnées ne vont pas s'auto-condamner. Sans oublier qu'ils ont 40 millions de budget. Est-ce que 70 000 euros d'amende empêcheront de récidiver ou les autres de fauter ? Je ne pense pas. »

**Scalp** Ven 5 Jan 2024 - 10:10

Que Lemaître fasse tout pour détruire le Salary Cap, ce n'est pas une surprise, on sait qu'il est vent debout contre ce système qui permet un minimum d'équité sportive, il pense que son chéquier devrait être un avantage compétitif, comme d'autres présidents. Mais par contre, que le ST participe à une manœuvre qui fragilise ce système, alors qu'il en est le principal bénéficiaire et défenseur, c'est plus troublant et dangereux…

**Scalp** Mar 23 Jan 2024 - 13:45

https://www.rugbyrama.fr/2024/01/23/transferts-comment-le-racing-92-va-faire-entrer-farrell-et-kolisi-dans-sa-masse-salariale-11714498.php

Transferts - Comment le Racing 92 va faire entrer Farrell et Kolisi dans sa masse salariale

Marc Duzan

Afin de faire entrer Owen Farrell dans sa prochaine masse salariale, le Racing 92 a dû remodeler le visage de son effectif. On parle ici de douze départs quasi certains…

Lundi soir, le Racing 92 a donc officialisé la signature d’Owen Farrell (32 ans, 112 sélections et 1237 points marqués avec le XV de la Rose) pour les deux prochaines saisons, confirmant ce que nous révélions sur notre site, Rugbyrama.fr, le 5 janvier dernier. Un transfert retentissant par le palmarès XXL du joueur et son aura outre-Manche, ainsi que sa personnalité clivante sur la planète rugby. Aussi, cette mutation n'est pas sans déclencher une vague de questionnements sur la rémunération du joueur et son intégration au futur salary cap du club de Hauts-de-Seine, qui compte déjà dans ses rang une autre star planétaire en la personne de Siya Kolisi, capitaine des double champions du monde Sud-africains. Alors, comment le Racing 92 a-t-il construit le financement de ce transfert. On vous explique tout.

Une indémnité de transfert qui n'entre pas au salary cap

Afin de s’attacher les services du demi d’ouverture des Saracens, les dirigeants franciliens ont dû verser une indemnité d’environ 500 000 euros afin de racheter au club londonien la dernière année de contrat du meneur de jeu anglais. À ce titre, cette somme ne rentrera pas dans le salary cap du club francilien pour une raison simple et qu’Emmanuel Eschalier, le directeur général de la Ligue Nationale de Rugby, nous expliquait récemment ainsi : " Si le joueur convoité a encore un an de contrat à honorer avec son employeur actuel et que l’indemnité de rachat de contrat représente deux années de salaire, rentre donc dans le salary cap du club rejoint une année de salaire. Si le joueur a encore un an de contrat et que le montant de l’indemnité équivaut à un an de salaire, aucune somme ne rentre alors dans le salary cap. À ce titre, l’idée n’était pas d’empêcher les rachats de contrat mais de les réguler, afin qu’ils ne prennent pas des formes disproportionnées et qui nous feraient automatiquement basculer dans une logique de marché des transferts ». Ainsi, le salaire d’Owen Farrell en Angleterre étant aujourd’hui estimé à 700 000, les 500 000 euros d’indemnités versés par le Racing ne sont pas basculés dans l’enveloppe salariale du club.

Douze départs pour trois seulement arrivées

Pour autant, la question que se posent certains rugbyphiles d’ici et d’ailleurs depuis l’officialisation de l’arrivée d’Owen Farrell en Top 14 est la suivante : comment le club francilien, qui dispose déjà du capitaine des champions du monde Siya Kolisi en son effectif, va-t-il s’y prendre pour rester dans les clous du salary cap, dont l’enveloppe est pour rappel restreinte à 10,7 millions d’euros ? Selon nos informations, l’entité ciel et blanche s’apprête à considérablement dégraisser un effectif pour le moins pléthorique et où les récents départs de Finn Russell ou Virimi Vakatawa (ils furent deux gros salaires du club) avaient d’ores et déjà permis de dégager un peu d'espace.

Du côté des Hauts-de-Seine, il est déjà attendu que Trevor Nyakane (34 ans), le pilier des champions du monde sud-africains, quitte la France pour rejoindre le Premiership ou l’Afrique du Sud. En première ligne, l’international français Cedate Gomes-Sa (30 ans, 10 sélections) devrait lui aussi changer d’employeur et, avant que le Lou n’engage le Néo-Zélandais Jermaine Ainsley, il y avait d’ailleurs eu quelques touches entre le club lyonnais et le Racingman.

Un autre international confirmé, en la personne de Juan Imhoff (35 ans, 42 sélections) dira vraisemblablement adieu à un club où il a débarqué voici douze ans : Imhoff devrait logiquement rebondir à l’étranger, en Premiership ou au Japon. Wenceslas Lauret, lui aussi calibré international français (27 sélections), mettra un terme à sa carrière quand ailleurs, Olivier Klemenczak, Francis Saili, Anthime Hemery, Veikoso Poloniati, Baptiste Chouzenoux et Christian Wade ne devraient plus être Racingmen la saison prochaine.

Enfin, les internationaux fidjiens Kitione Kamikamica et Peniami Narisia devraient également s’en aller. En conclusion, pour faire entrer ses trois recrues majeures (Demba Bamba, Romain Taofifenua et Owen Farrell) dans sa masse salariale, le Racing a donc dû réduire son effectif de façon considérable et, au poste de talonneur par exemple, faire confiance à des jeunes aux salaires plus modestes, comme ce sera le cas de l’espoir clermontois Benjamin Boudou. Mais se faisant, les Racingmen se mettront-ils l’an prochain en danger à certains postes ?

**Scalp** Mar 23 Jan 2024 - 13:51

C'est une maladie assez connue, ça s'appelle la Toulonite sous sa forme aiguë :chambreur:

Bordelais exilé ds le 31 Mar 23 Jan 2024 - 14:15

Scalp a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2024/01/23/transferts-comment-le-racing-92-va-faire-entrer-farrell-et-kolisi-dans-sa-masse-salariale-11714498.php

Transferts - Comment le Racing 92 va faire entrer Farrell et Kolisi dans sa masse salariale

Marc Duzan

Afin de faire entrer Owen Farrell dans sa prochaine masse salariale, le Racing 92 a dû remodeler le visage de son effectif. On parle ici de douze départs quasi certains…

Lundi soir, le Racing 92 a donc officialisé la signature d’Owen Farrell (32 ans, 112 sélections et 1237 points marqués avec le XV de la Rose) pour les deux prochaines saisons, confirmant ce que nous révélions sur notre site, Rugbyrama.fr, le 5 janvier dernier. Un transfert retentissant par le palmarès XXL du joueur et son aura outre-Manche, ainsi que sa personnalité clivante sur la planète rugby. Aussi, cette mutation n'est pas sans déclencher une vague de questionnements sur la rémunération du joueur et son intégration au futur salary cap du club de Hauts-de-Seine, qui compte déjà dans ses rang une autre star planétaire en la personne de Siya Kolisi, capitaine des double champions du monde Sud-africains. Alors, comment le Racing 92 a-t-il construit le financement de ce transfert. On vous explique tout.

Une indémnité de transfert qui n'entre pas au salary cap

Afin de s’attacher les services du demi d’ouverture des Saracens, les dirigeants franciliens ont dû verser une indemnité d’environ 500 000 euros afin de racheter au club londonien la dernière année de contrat du meneur de jeu anglais. À ce titre, cette somme ne rentrera pas dans le salary cap du club francilien pour une raison simple et qu’Emmanuel Eschalier, le directeur général de la Ligue Nationale de Rugby, nous expliquait récemment ainsi : " Si le joueur convoité a encore un an de contrat à honorer avec son employeur actuel et que l’indemnité de rachat de contrat représente deux années de salaire, rentre donc dans le salary cap du club rejoint une année de salaire. Si le joueur a encore un an de contrat et que le montant de l’indemnité équivaut à un an de salaire, aucune somme ne rentre alors dans le salary cap. À ce titre, l’idée n’était pas d’empêcher les rachats de contrat mais de les réguler, afin qu’ils ne prennent pas des formes disproportionnées et qui nous feraient automatiquement basculer dans une logique de marché des transferts ». Ainsi, le salaire d’Owen Farrell en Angleterre étant aujourd’hui estimé à 700 000, les 500 000 euros d’indemnités versés par le Racing ne sont pas basculés dans l’enveloppe salariale du club.

Douze départs pour trois seulement arrivées

Pour autant, la question que se posent certains rugbyphiles d’ici et d’ailleurs depuis l’officialisation de l’arrivée d’Owen Farrell en Top 14 est la suivante : comment le club francilien, qui dispose déjà du capitaine des champions du monde Siya Kolisi en son effectif, va-t-il s’y prendre pour rester dans les clous du salary cap, dont l’enveloppe est pour rappel restreinte à 10,7 millions d’euros ? Selon nos informations, l’entité ciel et blanche s’apprête à considérablement dégraisser un effectif pour le moins pléthorique et où les récents départs de Finn Russell ou Virimi Vakatawa (ils furent deux gros salaires du club) avaient d’ores et déjà permis de dégager un peu d'espace.

Du côté des Hauts-de-Seine, il est déjà attendu que Trevor Nyakane (34 ans), le pilier des champions du monde sud-africains, quitte la France pour rejoindre le Premiership ou l’Afrique du Sud. En première ligne, l’international français Cedate Gomes-Sa (30 ans, 10 sélections) devrait lui aussi changer d’employeur et, avant que le Lou n’engage le Néo-Zélandais Jermaine Ainsley, il y avait d’ailleurs eu quelques touches entre le club lyonnais et le Racingman.

Un autre international confirmé, en la personne de Juan Imhoff (35 ans, 42 sélections) dira vraisemblablement adieu à un club où il a débarqué voici douze ans : Imhoff devrait logiquement rebondir à l’étranger, en Premiership ou au Japon. Wenceslas Lauret, lui aussi calibré international français (27 sélections), mettra un terme à sa carrière quand ailleurs, Olivier Klemenczak, Francis Saili, Anthime Hemery, Veikoso Poloniati, Baptiste Chouzenoux et Christian Wade ne devraient plus être Racingmen la saison prochaine.

Enfin, les internationaux fidjiens Kitione Kamikamica et Peniami Narisia devraient également s’en aller. En conclusion, pour faire entrer ses trois recrues majeures (Demba Bamba, Romain Taofifenua et Owen Farrell) dans sa masse salariale, le Racing a donc dû réduire son effectif de façon considérable et, au poste de talonneur par exemple, faire confiance à des jeunes aux salaires plus modestes, comme ce sera le cas de l’espoir clermontois Benjamin Boudou. Mais se faisant, les Racingmen se mettront-ils l’an prochain en danger à certains postes ?

Poloniati, Saili, Chouzenoux, Kamikamica, je prends si possible.

**marchal** Mar 23 Jan 2024 - 15:40

Poloniati et chouzenoux ont signé à bayonne kamikanika était suivi aussi par bayonne, il n'y a plus que saili

**Scalp** Mar 10 Sep 2024 - 16:04

Stade Toulousain : quand Antoine Dupont permet au club "rouge et noir" de bénéficier d’une augmentation de 400 000 euros de sa masse salariale

https://www.ladepeche.fr/2024/09/10/stade-toulousain-quand-antoine-dupont-permet-au-club-rouge-et-noir-de-beneficier-dune-augmentation-de-400-000-euros-de-sa-masse-salariale-12188207.php

**Scalp** Mer 18 Sep 2024 - 12:06

Top 14 - Toulon assure ne pas avoir été sanctionné pour une violation du plafond du Salary Cap

https://www.rugbyrama.fr/2024/09/18/top-14-toulon-assure-ne-pas-avoir-ete-sanctionne-pour-une-violation-du-plafond-du-salary-cap-12205160.php

**Scalp** Jeu 19 Sep 2024 - 6:55

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/rugby-comment-le-credit-bleu-influence-les-budgets-du-top-14-21428452.php

Rugby : comment le “crédit Bleu” influence les budgets du Top 14

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Par Denys Kappès-Grangé et Arnaud David et Georges Lannessans

Si la masse salariale des clubs est limitée à 10,7 millions d’euros, le crédit de 180 000 euros pour certains Bleus modifie sensiblement la réalité. Compensation ou réel avantage ?

La question du salary cap vient de ressurgir dans l’actualité du rugby français. Par le biais d’un communiqué, expédié ce mercredi en fin de matinée, le RCT s’est ému que l’amende de 100 000 euros lui ayant été infligée par la commission d’appel de la FFR – au lieu des 500 000 que lui avait notifiés la commission de discipline de la LNR début juillet – ait pu être interprétée comme la conséquence d’une violation du plafond du salary cap : « Le club réaffirme avec force avoir toujours respecté cette obligation. »

Passons sur le fait que la sanction initiale ait d’abord été motivée par des retards ou des oublis – plus ou moins volontaires ? – dans la transmission de documents réclamés par le contrôleur indépendant du salary cap. L’épisode braque une nouvelle fois la lumière sur la mesure phare encadrant les masses salariales en Top 14.

En théorie, c’est très simple : les clubs de l’élite du rugby français ne peuvent dépasser la limite des 10,7 millions d’euros. Un seuil atteint par plus de 90 % d’entre eux. Mais en pratique, l’affaire se révèle être bien plus compliquée.

Depuis 2020, les présidents ont voté un crédit de 180 000 euros pour chaque international émargeant dans la liste de 45 joueurs premiums édictée par les règlements généraux de la LNR. « Une compensation, pas une aide », insiste le directeur général du Racing 92, Laurent Travers.

Cette liste, composée en réalité de 48 noms, recense les éléments ayant comptabilisé le plus de jours d’indisponibilité en raison de la sélection et ayant vécu leurs deux premières capes lors du Six-Nations disputé la saison précédente. Précision importante, le club dans lequel ils évoluent doit aussi être celui dans lequel ils jouaient lorsqu’ils ont été appelés sous les drapeaux.

Cas particuliers

Vous suivez ? Il faut l’espérer, car c’est là que ça se complique : il existe des exceptions. Certains joueurs « déclenchent » le crédit au salary cap alors qu’ils n’ont pas été promus en Bleu dans le club où ils évoluent aujourd’hui. C’est le cas des Toulonnais Charles Ollivon et Baptiste Serin, ainsi que du Rochelais Brice Dulin, qui avaient respectivement fait leurs débuts internationaux à Bayonne, l’UBB et Castres. « Lors de l’instauration de ce mécanisme en 2020, les présidents ont considéré que certains cas pouvaient être rétroactifs », justifie-t-on à la Ligue.

« Pour ce qui est de Toulouse, je trouve ça normal vu le nombre de joueurs qu’ils fournissent au XV de France »

Une justification qui ne fera qu’attiser les revendications de Laurent Travers : « Il serait logique que le crédit soit réactivé lorsqu’un joueur évolue dans un club depuis trois ans. On a le cas avec Gaël Fickou : il est de tous les rassemblements avec le XV de France mais, n’ayant pas été international avec nous, on n’a rien. Même chose lorsqu’un joueur revient après une longue période d’absence : il bénéficie des performances de son équipe, mais son club n’en est pas récompensé. »

Un cas de figure qui pourrait être illustré par le centre Jonathan Danty : capé avec le Stade Français entre 2015 et 2016, il n’est redevenu international à La Rochelle qu’au terme d’une éclipse de quatre ans. Et pourtant, sa présence dans l’effectif du Stade ne déclenche aucun crédit.

Le sujet n’est pas neutre. Car l’impact sur les marges de manœuvre des recruteurs est bien réel. Outre le cas particulier représenté par Antoine Dupont (lire par ailleurs), la présence de 12 de ses joueurs sur la liste Premium permet à Toulouse de porter sa masse salariale autorisée de 10,7 à 13 millions d’euros. Avec 7 éléments dans le même cas, le Stade Rochelais peut lui porter son salary cap à 11,960 millions d’euros et l’UBB, avec 6 représentants, jusqu’à 11,780 millions d’euros.

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« Crédits astronomiques »

On peut voir dans ce mécanisme une simple contre partie consécutive aux longues périodes d’indisponibilité des Bleus. Président de l’Aviron Bayonnais, l’un des trois seuls clubs à ne pas en bénéficier avec Clermont et Vannes, Philippe Tayeb aborde la question sous ce prisme : « Pour ce qui est de Toulouse, je trouve ça normal vu le nombre de joueurs qu’ils fournissent au XV de France : c’est une juste compensation, même si c’est aussi un avantage. »
Sur le même sujet

Mais on peut également se focaliser uniquement sur ces derniers, comme le fait son homologue de la Section Paloise, Bernard Pontneau. « On se bat avec des clubs qui ont des crédits astronomiques », déclarait-il la semaine dernière : « Si vous avez 10 internationaux comme certains, vous passez de 10,7 à 12,7 millions de masse salariale. Ça vous change un cheptel. » Laurent Travers partage l’analyse : « Caper des joueurs, c’est un vrai enjeu de développement. »

In fine, avoir des internationaux est-il ou non un avantage ? Le fait que le Stade Toulousain a remporté quatre des cinq derniers Brennus mis en jeu est une réponse en soi.

**Scalp** Jeu 19 Sep 2024 - 7:06

Salary-cap : notre réponse au RCT

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Salary-cap-notre-reponse-au-rct/1508442

**Scalp** Dim 29 Sep 2024 - 19:42

https://www.rugbyrama.fr/2024/09/29/top-14-info-midol-salary-cap-le-rct-saisit-le-conseil-detat-12229098.php

Top 14 - Info Midol. Salary cap : le RCT saisit le Conseil d’État

Par Marc Duzan

Selon nos informations, le RCT va déposer cette semaine une requête auprès du Conseil d'État afin que la suprême instance analyse la légalité de la réglementation du salary cap. Si le recours aboutit, le salary cap en tant que tel pourrait-il un jour changer de visage ?

Le RCT a, selon nos informations, décidé d’engager un recours devant le Conseil d'État, la juridiction suprême de l’ordre administratif, afin d’analyser la légalité de la réglementation salary cap et ses modalités d’application pour la saison 2024-2025. Après avoir été condamné successivement par la Ligue nationale de rugby et la Fédération française de rugby pour "manquement à l’obligation générale de transparence et de coopération", le RCT semble considérer que ces décisions manquent de transparence et d’impartialité. Par le prisme de cette démarche, le club espère obtenir des précisions sur l’étendue des pouvoirs de la LNR ainsi qu’une révision des obligations imposées aux pensionnaires de la poule unique par le règlement salary cap.

Joint par nos soins, Bernard Lemaître, le président varois, confirmait dimanche : "Dans les faits, le RCT a été sanctionné mais n’a pas dépassé le plafond salarial. Le club, dans le cadre de cette action devant le Conseil d’État, souhaite donc obtenir des clarifications sur les pouvoirs réels de la LNR dans la mise en œuvre de cette réglementation. Nous ne remettons pas en cause le salary cap mais le salary cap manager a désormais la possibilité de changer d’avis en cours de saison et d’interpréter les règles de manière variable. En outre, la LNR s’est maintenant attribuée un rôle dans les litiges en s’octroyant un statut de procureur, tout en restant à la fois le législateur, en nommant tant les membres de la commission de discipline que le superviseur du salary cap manager. Cela représente une concentration des pouvoirs sans aucun contrôle externe, ce qui pose de sérieuses questions en termes d’équité et de transparence."

Le bras de fer est lancé

Au sujet des autres requêtes soumises à l’autorité du Conseil d'État, Bernard Lemaître développe ainsi : "L’objectif principal de notre démarche est de clarifier les règles et nous assurer que la Ligue applique une réglementation qui soit équitable pour tous les clubs. Le RCT demande une transparence réciproque de la part de la Ligue, à la hauteur de celle qu’elle exige des clubs. Il est essentiel que les règles soient clairement établies et appliquées de manière juste."

De son côté, Toulon souhaite visiblement éviter toute application arbitraire du règlement salary cap. De l’autre, la LNR maintient que les règles du jeu sont claires et assure s’en est toujours tenu à un barème de sanctions fixé au préalable. Au sujet du litige, le Conseil d'État devra donc trancher sous peu.

**Scalp** Dim 29 Sep 2024 - 19:54

Nous ne remettons pas en cause le salary cap

Mai oui, c'est ça :chambreur:

, Lemaître a toujours été contre le salary cap, et il n'est pas le seul, pour rappel :

Bernard Lemaître, président de Toulon : « Un égalitarisme anti-sportif »

« Je n'étais pas favorable à cette baisse et j'ai une opinion négative sur le salary cap. Cet égalitarisme, c'est le caractère très socialisant et dogmatique de la Ligue, que je trouve anti-sportif. Les meilleurs, ce ne sont pas seulement ceux qui sont favorisés par une règle de la Ligue mais ceux qui savent s'organiser pour être les meilleurs. Je suis pour un système qui soit adapté aux ressources internes des clubs. Regardez l'exemple du PSG en foot et l'impact de son recrutement sur ses audiences et sa notoriété. Évidemment, je ne suis pas favorable à un recrutement outrancier à ce point, en particulier dans le rugby où la cohésion collective passe avant l'empilement de stars, mais la qualité des joueurs a un pouvoir attractif. Quand Cheslin Kolbe joue, on a plus de monde au stade et Canal + s'en réjouit. Chaque club doit pouvoir avoir une masse salariale adaptée à ses propres ressources. De façon à ce qu'il y ait une méritocratie naturelle. »

La réponse à la question posée en titre de cet article sera primordiale pour le maintien de l'équité sportive de notre championnat :

le RCT va déposer cette semaine une requête auprès du Conseil d'État afin que la suprême instance analyse la légalité de la réglementation du salary cap. Si le recours aboutit, le salary cap en tant que tel pourrait-il un jour changer de visage ?

**Scalp** Lun 30 Sep 2024 - 14:21

Salary-cap : Toulon saisit le Conseil d'État

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Salary-cap-toulon-saisit-le-conseil-d-etat/1510965

**Scalp** Lun 30 Sep 2024 - 14:23

Allez, prochaine étape, saisir la cour européenne des droits de l'homme :chambreur:

**kaze33** Lun 30 Sep 2024 - 14:24

Scalp a écrit:Nous ne remettons pas en cause le salary cap

Mai oui, c'est ça , Lemaître a toujours été contre le salary cap, et il n'est pas le seul, pour rappel :

Bernard Lemaître, président de Toulon : « Un égalitarisme anti-sportif »

« Je n'étais pas favorable à cette baisse et j'ai une opinion négative sur le salary cap. Cet égalitarisme, c'est le caractère très socialisant et dogmatique de la Ligue, que je trouve anti-sportif. Les meilleurs, ce ne sont pas seulement ceux qui sont favorisés par une règle de la Ligue mais ceux qui savent s'organiser pour être les meilleurs. Je suis pour un système qui soit adapté aux ressources internes des clubs. Regardez l'exemple du PSG en foot et l'impact de son recrutement sur ses audiences et sa notoriété. Évidemment, je ne suis pas favorable à un recrutement outrancier à ce point, en particulier dans le rugby où la cohésion collective passe avant l'empilement de stars, mais la qualité des joueurs a un pouvoir attractif. Quand Cheslin Kolbe joue, on a plus de monde au stade et Canal + s'en réjouit. Chaque club doit pouvoir avoir une masse salariale adaptée à ses propres ressources. De façon à ce qu'il y ait une méritocratie naturelle. »

La réponse à la question posée en titre de cet article sera primordiale pour le maintien de l'équité sportive de notre championnat :

le RCT va déposer cette semaine une requête auprès du Conseil d'État afin que la suprême instance analyse la légalité de la réglementation du salary cap. Si le recours aboutit, le salary cap en tant que tel pourrait-il un jour changer de visage ?

Chaque club doit pouvoir avoir une masse salariale adaptée à ses propres ressources.

Il est bien gentil Lemaitre, il oublie quelque chose d'important, c'est pas à "ses propres ressources" mais à "ses ressources propres". Car Papy gâteau, le jour où il arrête de sortir le chéquier pour combler le déficit structurel de son club, bah c'est l'implosion de son système.

Que l'on fasse sauter le SC, j'y vois aucune objection, mais alors que les clubs soient obligées d'être dans l'économie réelle et pas des danseuses subventionnées à coup de chèques par des personnes voulant notoriété et gloire car le jour où le chèque n'arrive pas, c'est la fin, le système s'écroule !

D'ailleurs je ferais juste remarquer qu'on prend souvent l'exemple de trois clubs qui sont dans "l'économie réelle" : Toulouse, LR et nous

Forcé de constater que ces trois clubs sont tout en haut, y'a t il un lien de cause à effet c'est à voir...

Est ce que c'est parce qu'ils sont dans l'économie réelle qu'ils sont tout en haut ou inversement est ce que c'est parce qu'ils sont tout en haut qu'ils peuvent être dans l'économie réelle ?

La question est posée, vous avez 4 heures :chambreur:

**Scalp** Lun 30 Sep 2024 - 14:35

kaze33 a écrit:
Scalp a écrit:Nous ne remettons pas en cause le salary cap

Mai oui, c'est ça , Lemaître a toujours été contre le salary cap, et il n'est pas le seul, pour rappel :

Bernard Lemaître, président de Toulon : « Un égalitarisme anti-sportif »

« Je n'étais pas favorable à cette baisse et j'ai une opinion négative sur le salary cap. Cet égalitarisme, c'est le caractère très socialisant et dogmatique de la Ligue, que je trouve anti-sportif. Les meilleurs, ce ne sont pas seulement ceux qui sont favorisés par une règle de la Ligue mais ceux qui savent s'organiser pour être les meilleurs. Je suis pour un système qui soit adapté aux ressources internes des clubs. Regardez l'exemple du PSG en foot et l'impact de son recrutement sur ses audiences et sa notoriété. Évidemment, je ne suis pas favorable à un recrutement outrancier à ce point, en particulier dans le rugby où la cohésion collective passe avant l'empilement de stars, mais la qualité des joueurs a un pouvoir attractif. Quand Cheslin Kolbe joue, on a plus de monde au stade et Canal + s'en réjouit. Chaque club doit pouvoir avoir une masse salariale adaptée à ses propres ressources. De façon à ce qu'il y ait une méritocratie naturelle. »

La réponse à la question posée en titre de cet article sera primordiale pour le maintien de l'équité sportive de notre championnat :

le RCT va déposer cette semaine une requête auprès du Conseil d'État afin que la suprême instance analyse la légalité de la réglementation du salary cap. Si le recours aboutit, le salary cap en tant que tel pourrait-il un jour changer de visage ?

Chaque club doit pouvoir avoir une masse salariale adaptée à ses propres ressources.

Il est bien gentil Lemaitre, il oublie quelque chose d'important, c'est pas à "ses propres ressources" mais à "ses ressources propres". Car Papy gâteau, le jour où il arrête de sortir le chéquier pour combler le déficit structurel de son club, bah c'est l'implosion de son système.

Que l'on fasse sauter le SC, j'y vois aucune objection, mais alors que les clubs soient obligées d'être dans l'économie réelle et pas des danseuses subventionnées à coup de chèques par des personnes voulant notoriété et gloire car le jour où le chèque n'arrive pas, c'est la fin, le système s'écroule !

D'ailleurs je ferais juste remarquer qu'on prend souvent l'exemple de trois clubs qui sont dans "l'économie réelle" : Toulouse, LR et nous

Forcé de constater que ces trois clubs sont tout en haut, y'a t il un lien de cause à effet c'est à voir...

Est ce que c'est parce qu'ils sont dans l'économie réelle qu'ils sont tout en haut ou inversement est ce que c'est parce qu'ils sont tout en haut qu'ils peuvent être dans l'économie réelle ?

La question est posée, vous avez 4 heures

Excellent

mais pour rebondir sur le salary cap, j'espère bien qu'on le conservera ! couplé au système Jiff, ce sont les deux piliers du rugby Français, garant de l'équité sportive du top 14, et de l'éclosion du vivier de joueurs français, donc de la santé de XV de France, reste juste à faire une mise à jour de son entraineur…

**kaze33** Lun 30 Sep 2024 - 14:53

Au delà du salary cap j'aimerais la mise en place d'un vrai fair play financier avec des clubs utilisant des "ressources saines et durables" et pas le chéquier de Her doctor, Jacky les bons tuyaux, Mohed, Papy Lemaitre ou le compte en banque de Michelin....

**Scalp** Lun 30 Sep 2024 - 15:03

kaze33 a écrit:Au delà du salary cap j'aimerais la mise en place d'un vrai fair play financier avec des clubs utilisant des "ressources saines et durables" et pas le chéquier de Her doctor, Jacky les bons tuyaux, Mohed, Papy Lemaitre ou le compte en banque de Michelin....

Complétement d'accord avec ça, Lemaître, fervent ultra-libéral, a l'air de s'accommoder sans problème de l'absence de viabilité économique de son club, ça me fait doucement rigoler :chambreur:

Roberto Miopalmo Lun 30 Sep 2024 - 15:21

Scalp a écrit:
kaze33 a écrit:Au delà du salary cap j'aimerais la mise en place d'un vrai fair play financier avec des clubs utilisant des "ressources saines et durables" et pas le chéquier de Her doctor, Jacky les bons tuyaux, Mohed, Papy Lemaitre ou le compte en banque de Michelin....

Complétement d'accord avec ça, Lemaître, fervent ultra-libéral, a l'air de s'accommoder sans problème de l'absence de viabilité économique de son club, ça me fait doucement rigoler

Pourquoi pas.
Mais je suis persuadé que le salary cap, même s'il connaît des adaptations, restera. Si le top 14 est un super championnat, c'est grâce au SC.
Ce que veut Lemaître, c'est le foot.
Et qui ça intéresserait, en commençant la saison, qu'untel sera champion car il est le plus riche?
La frustration de Lemaître c'est de constater qu'en dépassant le SC il est pas foutu d'accéder aux 1/2 finales!!!

**Scalp** Lun 30 Sep 2024 - 15:30

Roberto Miopalmo a écrit:
Scalp a écrit:
kaze33 a écrit:Au delà du salary cap j'aimerais la mise en place d'un vrai fair play financier avec des clubs utilisant des "ressources saines et durables" et pas le chéquier de Her doctor, Jacky les bons tuyaux, Mohed, Papy Lemaitre ou le compte en banque de Michelin....

Complétement d'accord avec ça, Lemaître, fervent ultra-libéral, a l'air de s'accommoder sans problème de l'absence de viabilité économique de son club, ça me fait doucement rigoler

Pourquoi pas.
Mais je suis persuadé que le salary cap, même s'il connaît des adaptations, restera. Si le top 14 est un super championnat, c'est grâce au SC.
Ce que veut Lemaître, c'est le foot.
Et qui ça intéresserait, en commençant la saison, qu'untel sera champion car il est le plus riche?
La frustration de Lemaître c'est de constater qu'en dépassant le SC il est pas foutu d'accéder aux 1/2 finales!!!

Pour rebondir sur l'interrogation écrite en 4 H de Kaze plus haut :chambreur:

le point commun qu'ont aussi tous les clubs qui performent, et ont une viabilité économique, UBB/ST/LR, c'est d'avoir à leur tête d'anciens rugbymans, des homes qui en tout cas connaissent bien ce sport et sa réalité. Les autres clubs dont on parle, ce sont des milliardaires à leur tête, qui ne connaissent pas vraiment ce sport, pense que le pognon peut tout régler, sont frustrés de ne pas pouvoir utiliser leur richesse pour écraser la concurrence. Dans les faits, ils entretiennent juste leur danseuse…, plus dure sera la chute !

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