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Champion Cup J2 : UBB / Sharks
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
sudiste a écrit:marchal a écrit:bon désolél j'ai fait une mauvaise manip, l'article de l'epcr parle des sale sharks et non ceux d'afs
le squad est bon par contre :):)
les Cell C Sharks sont bien les Sud Africains....à ne pas confondre avec les Sharks de Sale. Faut dire qu'ils font tout pour ne pas se départager.
Et pour cause.
Ils ont les mêmes financiers.
Sale ayant été un repaire de Sud-Africains.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
https://www.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2020-2021/champions-cup-les-sharks-a-la-loupe-l-heure-du-reveil-a-sonne_sto9261861/story.shtml
marchal- Centre de presse
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-ces-5-springboks-vont-ils-faire-la-difference-en-champions-cup-0712221542.php
marchal- Centre de presse
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
Putain je vais manquer ce match
sudiste- Unioniste de la première heure
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Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Avec-une-nouvelle-formule-la-coupe-d-europe-va-t-elle-trouver-un-nouvel-elan/1369002
Avec une nouvelle formule, la Coupe d'Europe va-t-elle trouver un nouvel élan ?
Bouleversée par le Covid-19 ces trois dernières saisons, la Coupe d'Europe, en perte de vitesse, s'ouvre cette année aux franchises sud-africaines. Avec l'objectif d'imprimer un nouvel élan nécessaire.
Adrien Corée (avec R. Be.)
Va rapidement se poser à nous tous - joueurs, entraîneurs, supporters, journalistes -, un problème d'ordre sémantique. Car il devient compliqué, voire impossible, de qualifier cette Coupe d'Europe, fidèle au calendrier depuis 27 ans, comme telle. Alors que s'ouvre ce week-end sa vingt-huitième édition, la compétition continentale aborde sans doute sa révolution la plus impressionnante avec l'arrivée des franchises sud-africaines. Sharks, Bulls et Stormers feront leur baptême en Champions Cup, tandis que les Lions et les Cheetahs ont été conviés à l'étage inférieur, en Challenge Cup.
Depuis leur intégration progressive dans l'ancienne Ligue Celte, devenue depuis United Rugby Championship, à partir de 2017, ces équipes ont peu à peu posé leurs crampons sur le Vieux Continent, jusqu'à pousser les portes de sa compétition phare. « C'était une décision naturelle pour nous, surtout avec la réussite de l'introduction des franchises sud-africaines dans l'URC, s'est félicité Dominic McKay, le président de l'European Professionnal Club Rugby (EPCR), la semaine dernière dans la banlieue londonienne, en marge de la conférence de présentation de cette saison de Coupe des champions. Quand le projet a été lancé, beaucoup de gens se grattaient la tête, se posaient des questions sur le fonctionnement en termes de voyages, de logistique et de fuseaux horaires. Mais nous avons vu avec l'URC que c'était un succès. Il était donc naturel pour ces équipes de se diriger ensuite vers la Champions Cup et la Challenge Cup. »
Une compétition décrédibilisée
Si le boss de l'EPCR se réjouit tant de ce coup de polish sur les Coupes d'Europe - pardon, c'est vrai qu'on ne peut plus les appeler comme ça -, c'est avant tout parce qu'elles semblent en perte de vitesse et de sens depuis quelque temps. L'épidémie de Covid-19 a sévèrement écorné l'image de la compétition ces dernières saisons, avec la création d'une formule d'urgence à deux groupes de douze clubs qui, dans un premier temps, était censée limiter les rencontres pour éviter au maximum les contaminations, mais qui s'est vite révélée aussi illisible qu'inefficace. L'an passé, en raison d'un rebond de l'épidémie en Europe, onze des quarante-huit matches de poules ne s'étaient pas disputés et avaient été soldés par des matches nuls (0-0) ou des défaites sur tapis vert (28-0), provoquant l'ire de nombreux dirigeants.
Si les champions de ces éditions scarifiées (Toulouse en 2021 et La Rochelle en 2022) chérissent, à raison, ces étoiles conquises comme n'importe quelles autres, la Coupe, elle, s'est fortement vue décrédibilisée. Et il a fallu des matches de phase finale intenses et palpitants, une fois le printemps venu, pour faire légèrement oublier le discrédit de l'hiver. Les polémiques répétées et le sentiment d'iniquité sportive qui sont nés ces deux dernières saisons ont semblé accentuer la diminution de l'intérêt pour la compétition.
Les droits TV au rabais
Preuve en est, les droits TV ont sévèrement chuté en France. Le montant du contrat de diffusion de la Champions Cup est passé de 30 M€ entre 2018 et 2022 à 14 M€ pour la période courant jusqu'en 2026, beIN Sport et France Télévisions réduisant drastiquement leur tarif. Du côté de l'EPCR, on se réjouit au contraire que les Coupes d'Europe - promis, c'est la dernière fois ! -, génèrent encore un réel enthousiasme. Avant même le début des compétitions, déjà 60 000 billets sur les 100 000 disponibles pour les finales à Dublin, le week-end du 20 mai, ont été vendus.
Et l'arrivée des franchises de la nation arc-en-ciel a aussi permis à l'institution européenne de nouer un nouveau contrat de diffusion avec la chaîne sud-africaine SuperSport qui devrait, selon l'EPCR, augmenté de 10 à 15 % les audiences TV de ses tournois. Au-delà de ces chiffres, Anthony Lepage, directeur général de l'EPCR, estime que l'introduction de nouvelles équipes « va élever le niveau des compétitions : ce sera encore plus dur de remporter le titre ». « L'arrivée des Sud-Africains en Coupe d'Europe sera intéressante et donnera un nouveau parfum à la compétition, s'enthousiasme l'ouvreur springbok de Leicester, Handré Pollard, prenant en exemple la réussite de l'URC. Le niveau de cette compétition a considérablement évolué depuis l'introduction des franchises sud-africaines. »
5
Cinq clubs français vont affronter des équipes sud-africaines : Clermont, Lyon et Bordeaux-Bègles en Coupe des Champions, Pau et le Stade Français en Challenge.
La cible des critiques
En attendant, cette nouvelle mouture de la Coupe d'Europe - mince ! -, a du mal à séduire les principaux acteurs. « Je suis un peu mitigé », ne cache pas le talonneur du Racing, Camille Chat. « J'ai du mal... ajoute l'entraîneur des trois-quarts montpelliérains, Jean-Baptiste Élissalde. Il y a des enjeux économiques qui me dépassent, je le conçois mais pour moi la Coupe d'Europe, c'est le Munster, le Leinster, Toulouse, les Anglais... C'est comme ça depuis le début. »
« Il y a un gros problème écologique avec tous ces voyages. Sans parler de la santé des joueurs »
Jean-Baptiste Élissalde, entraîneur des trois-quarts de Montpellier
La question écologique se pose surtout, puisque les longs transferts en avion entre l'Europe et l'Afrique du Sud vont se multiplier ces deux prochains mois. Si les Cheetahs disputeront leur match « à domicile » en Italie, à Parme, les quatre autres franchises recevront bien chez elles, dans un pays qui sera alors en plein été. « Il y a un gros problème écologique pour moi avec tous ces voyages, poursuit Elissalde. Sans parler de la santé des joueurs : il va falloir se déplacer 72 heures avant, encaisser les 12 heures de vol, avec plusieurs jours sur place avec des frais incroyables et la récupération des mecs à gérer... On a la chance de pas avoir ça dans notre poule (Montpellier affrontera les London Irish et les Ospreys). »
« Nous, les joueurs, on n'a pas trop notre mot à dire à ce sujet, pose Chat. Quand on voit les scandales au football (la Coupe du monde au Qatar), peut-être que ça fera pareil au rugby... Mais c'est un truc qui ne nous regarde pas. Nous, on nous demande de jouer. L'objectif sera peut-être de réunir tous les clubs au même endroit et de faire la compétition sur deux mois pour s'éviter des allers-retours. » Face à cet enjeu-là, Dominic McKay a simplement répondu que l'EPCR avait créé une commission travaillant sur les questions environnementales et qu'à l'issue de la saison, un calcul du bilan carbone généré par ses compétitions serait effectué pour mieux cerner les axes de progression. Cette année plus que jamais, les défis que s'est fixés la Coupe des champions ne se limitent pas uniquement aux dimensions du terrain.
Avec une nouvelle formule, la Coupe d'Europe va-t-elle trouver un nouvel élan ?
Bouleversée par le Covid-19 ces trois dernières saisons, la Coupe d'Europe, en perte de vitesse, s'ouvre cette année aux franchises sud-africaines. Avec l'objectif d'imprimer un nouvel élan nécessaire.
Adrien Corée (avec R. Be.)
Va rapidement se poser à nous tous - joueurs, entraîneurs, supporters, journalistes -, un problème d'ordre sémantique. Car il devient compliqué, voire impossible, de qualifier cette Coupe d'Europe, fidèle au calendrier depuis 27 ans, comme telle. Alors que s'ouvre ce week-end sa vingt-huitième édition, la compétition continentale aborde sans doute sa révolution la plus impressionnante avec l'arrivée des franchises sud-africaines. Sharks, Bulls et Stormers feront leur baptême en Champions Cup, tandis que les Lions et les Cheetahs ont été conviés à l'étage inférieur, en Challenge Cup.
Depuis leur intégration progressive dans l'ancienne Ligue Celte, devenue depuis United Rugby Championship, à partir de 2017, ces équipes ont peu à peu posé leurs crampons sur le Vieux Continent, jusqu'à pousser les portes de sa compétition phare. « C'était une décision naturelle pour nous, surtout avec la réussite de l'introduction des franchises sud-africaines dans l'URC, s'est félicité Dominic McKay, le président de l'European Professionnal Club Rugby (EPCR), la semaine dernière dans la banlieue londonienne, en marge de la conférence de présentation de cette saison de Coupe des champions. Quand le projet a été lancé, beaucoup de gens se grattaient la tête, se posaient des questions sur le fonctionnement en termes de voyages, de logistique et de fuseaux horaires. Mais nous avons vu avec l'URC que c'était un succès. Il était donc naturel pour ces équipes de se diriger ensuite vers la Champions Cup et la Challenge Cup. »
Une compétition décrédibilisée
Si le boss de l'EPCR se réjouit tant de ce coup de polish sur les Coupes d'Europe - pardon, c'est vrai qu'on ne peut plus les appeler comme ça -, c'est avant tout parce qu'elles semblent en perte de vitesse et de sens depuis quelque temps. L'épidémie de Covid-19 a sévèrement écorné l'image de la compétition ces dernières saisons, avec la création d'une formule d'urgence à deux groupes de douze clubs qui, dans un premier temps, était censée limiter les rencontres pour éviter au maximum les contaminations, mais qui s'est vite révélée aussi illisible qu'inefficace. L'an passé, en raison d'un rebond de l'épidémie en Europe, onze des quarante-huit matches de poules ne s'étaient pas disputés et avaient été soldés par des matches nuls (0-0) ou des défaites sur tapis vert (28-0), provoquant l'ire de nombreux dirigeants.
Si les champions de ces éditions scarifiées (Toulouse en 2021 et La Rochelle en 2022) chérissent, à raison, ces étoiles conquises comme n'importe quelles autres, la Coupe, elle, s'est fortement vue décrédibilisée. Et il a fallu des matches de phase finale intenses et palpitants, une fois le printemps venu, pour faire légèrement oublier le discrédit de l'hiver. Les polémiques répétées et le sentiment d'iniquité sportive qui sont nés ces deux dernières saisons ont semblé accentuer la diminution de l'intérêt pour la compétition.
Les droits TV au rabais
Preuve en est, les droits TV ont sévèrement chuté en France. Le montant du contrat de diffusion de la Champions Cup est passé de 30 M€ entre 2018 et 2022 à 14 M€ pour la période courant jusqu'en 2026, beIN Sport et France Télévisions réduisant drastiquement leur tarif. Du côté de l'EPCR, on se réjouit au contraire que les Coupes d'Europe - promis, c'est la dernière fois ! -, génèrent encore un réel enthousiasme. Avant même le début des compétitions, déjà 60 000 billets sur les 100 000 disponibles pour les finales à Dublin, le week-end du 20 mai, ont été vendus.
Et l'arrivée des franchises de la nation arc-en-ciel a aussi permis à l'institution européenne de nouer un nouveau contrat de diffusion avec la chaîne sud-africaine SuperSport qui devrait, selon l'EPCR, augmenté de 10 à 15 % les audiences TV de ses tournois. Au-delà de ces chiffres, Anthony Lepage, directeur général de l'EPCR, estime que l'introduction de nouvelles équipes « va élever le niveau des compétitions : ce sera encore plus dur de remporter le titre ». « L'arrivée des Sud-Africains en Coupe d'Europe sera intéressante et donnera un nouveau parfum à la compétition, s'enthousiasme l'ouvreur springbok de Leicester, Handré Pollard, prenant en exemple la réussite de l'URC. Le niveau de cette compétition a considérablement évolué depuis l'introduction des franchises sud-africaines. »
5
Cinq clubs français vont affronter des équipes sud-africaines : Clermont, Lyon et Bordeaux-Bègles en Coupe des Champions, Pau et le Stade Français en Challenge.
La cible des critiques
En attendant, cette nouvelle mouture de la Coupe d'Europe - mince ! -, a du mal à séduire les principaux acteurs. « Je suis un peu mitigé », ne cache pas le talonneur du Racing, Camille Chat. « J'ai du mal... ajoute l'entraîneur des trois-quarts montpelliérains, Jean-Baptiste Élissalde. Il y a des enjeux économiques qui me dépassent, je le conçois mais pour moi la Coupe d'Europe, c'est le Munster, le Leinster, Toulouse, les Anglais... C'est comme ça depuis le début. »
« Il y a un gros problème écologique avec tous ces voyages. Sans parler de la santé des joueurs »
Jean-Baptiste Élissalde, entraîneur des trois-quarts de Montpellier
La question écologique se pose surtout, puisque les longs transferts en avion entre l'Europe et l'Afrique du Sud vont se multiplier ces deux prochains mois. Si les Cheetahs disputeront leur match « à domicile » en Italie, à Parme, les quatre autres franchises recevront bien chez elles, dans un pays qui sera alors en plein été. « Il y a un gros problème écologique pour moi avec tous ces voyages, poursuit Elissalde. Sans parler de la santé des joueurs : il va falloir se déplacer 72 heures avant, encaisser les 12 heures de vol, avec plusieurs jours sur place avec des frais incroyables et la récupération des mecs à gérer... On a la chance de pas avoir ça dans notre poule (Montpellier affrontera les London Irish et les Ospreys). »
« Nous, les joueurs, on n'a pas trop notre mot à dire à ce sujet, pose Chat. Quand on voit les scandales au football (la Coupe du monde au Qatar), peut-être que ça fera pareil au rugby... Mais c'est un truc qui ne nous regarde pas. Nous, on nous demande de jouer. L'objectif sera peut-être de réunir tous les clubs au même endroit et de faire la compétition sur deux mois pour s'éviter des allers-retours. » Face à cet enjeu-là, Dominic McKay a simplement répondu que l'EPCR avait créé une commission travaillant sur les questions environnementales et qu'à l'issue de la saison, un calcul du bilan carbone généré par ses compétitions serait effectué pour mieux cerner les axes de progression. Cette année plus que jamais, les défis que s'est fixés la Coupe des champions ne se limitent pas uniquement aux dimensions du terrain.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
Appelons là comme elle s'appelait avant, c'est-à-dire la Heineken Cup et vous verrez que tout prendra sens. N'importe qui peut s'asseoir autour de ma table pour prendre une bière.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Avec-une-nouvelle-formule-la-coupe-d-europe-va-t-elle-trouver-un-nouvel-elan/1369002
Avec une nouvelle formule, la Coupe d'Europe va-t-elle trouver un nouvel élan ?
Bouleversée par le Covid-19 ces trois dernières saisons, la Coupe d'Europe, en perte de vitesse, s'ouvre cette année aux franchises sud-africaines. Avec l'objectif d'imprimer un nouvel élan nécessaire.
Adrien Corée (avec R. Be.)
Va rapidement se poser à nous tous - joueurs, entraîneurs, supporters, journalistes -, un problème d'ordre sémantique. Car il devient compliqué, voire impossible, de qualifier cette Coupe d'Europe, fidèle au calendrier depuis 27 ans, comme telle. Alors que s'ouvre ce week-end sa vingt-huitième édition, la compétition continentale aborde sans doute sa révolution la plus impressionnante avec l'arrivée des franchises sud-africaines. Sharks, Bulls et Stormers feront leur baptême en Champions Cup, tandis que les Lions et les Cheetahs ont été conviés à l'étage inférieur, en Challenge Cup.
Depuis leur intégration progressive dans l'ancienne Ligue Celte, devenue depuis United Rugby Championship, à partir de 2017, ces équipes ont peu à peu posé leurs crampons sur le Vieux Continent, jusqu'à pousser les portes de sa compétition phare. « C'était une décision naturelle pour nous, surtout avec la réussite de l'introduction des franchises sud-africaines dans l'URC, s'est félicité Dominic McKay, le président de l'European Professionnal Club Rugby (EPCR), la semaine dernière dans la banlieue londonienne, en marge de la conférence de présentation de cette saison de Coupe des champions. Quand le projet a été lancé, beaucoup de gens se grattaient la tête, se posaient des questions sur le fonctionnement en termes de voyages, de logistique et de fuseaux horaires. Mais nous avons vu avec l'URC que c'était un succès. Il était donc naturel pour ces équipes de se diriger ensuite vers la Champions Cup et la Challenge Cup. »
Une compétition décrédibilisée
Si le boss de l'EPCR se réjouit tant de ce coup de polish sur les Coupes d'Europe - pardon, c'est vrai qu'on ne peut plus les appeler comme ça -, c'est avant tout parce qu'elles semblent en perte de vitesse et de sens depuis quelque temps. L'épidémie de Covid-19 a sévèrement écorné l'image de la compétition ces dernières saisons, avec la création d'une formule d'urgence à deux groupes de douze clubs qui, dans un premier temps, était censée limiter les rencontres pour éviter au maximum les contaminations, mais qui s'est vite révélée aussi illisible qu'inefficace. L'an passé, en raison d'un rebond de l'épidémie en Europe, onze des quarante-huit matches de poules ne s'étaient pas disputés et avaient été soldés par des matches nuls (0-0) ou des défaites sur tapis vert (28-0), provoquant l'ire de nombreux dirigeants.
Si les champions de ces éditions scarifiées (Toulouse en 2021 et La Rochelle en 2022) chérissent, à raison, ces étoiles conquises comme n'importe quelles autres, la Coupe, elle, s'est fortement vue décrédibilisée. Et il a fallu des matches de phase finale intenses et palpitants, une fois le printemps venu, pour faire légèrement oublier le discrédit de l'hiver. Les polémiques répétées et le sentiment d'iniquité sportive qui sont nés ces deux dernières saisons ont semblé accentuer la diminution de l'intérêt pour la compétition.
Les droits TV au rabais
Preuve en est, les droits TV ont sévèrement chuté en France. Le montant du contrat de diffusion de la Champions Cup est passé de 30 M€ entre 2018 et 2022 à 14 M€ pour la période courant jusqu'en 2026, beIN Sport et France Télévisions réduisant drastiquement leur tarif. Du côté de l'EPCR, on se réjouit au contraire que les Coupes d'Europe - promis, c'est la dernière fois ! -, génèrent encore un réel enthousiasme. Avant même le début des compétitions, déjà 60 000 billets sur les 100 000 disponibles pour les finales à Dublin, le week-end du 20 mai, ont été vendus.
Et l'arrivée des franchises de la nation arc-en-ciel a aussi permis à l'institution européenne de nouer un nouveau contrat de diffusion avec la chaîne sud-africaine SuperSport qui devrait, selon l'EPCR, augmenté de 10 à 15 % les audiences TV de ses tournois. Au-delà de ces chiffres, Anthony Lepage, directeur général de l'EPCR, estime que l'introduction de nouvelles équipes « va élever le niveau des compétitions : ce sera encore plus dur de remporter le titre ». « L'arrivée des Sud-Africains en Coupe d'Europe sera intéressante et donnera un nouveau parfum à la compétition, s'enthousiasme l'ouvreur springbok de Leicester, Handré Pollard, prenant en exemple la réussite de l'URC. Le niveau de cette compétition a considérablement évolué depuis l'introduction des franchises sud-africaines. »
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Cinq clubs français vont affronter des équipes sud-africaines : Clermont, Lyon et Bordeaux-Bègles en Coupe des Champions, Pau et le Stade Français en Challenge.
La cible des critiques
En attendant, cette nouvelle mouture de la Coupe d'Europe - mince ! -, a du mal à séduire les principaux acteurs. « Je suis un peu mitigé », ne cache pas le talonneur du Racing, Camille Chat. « J'ai du mal... ajoute l'entraîneur des trois-quarts montpelliérains, Jean-Baptiste Élissalde. Il y a des enjeux économiques qui me dépassent, je le conçois mais pour moi la Coupe d'Europe, c'est le Munster, le Leinster, Toulouse, les Anglais... C'est comme ça depuis le début. »
« Il y a un gros problème écologique avec tous ces voyages. Sans parler de la santé des joueurs »
Jean-Baptiste Élissalde, entraîneur des trois-quarts de Montpellier
La question écologique se pose surtout, puisque les longs transferts en avion entre l'Europe et l'Afrique du Sud vont se multiplier ces deux prochains mois. Si les Cheetahs disputeront leur match « à domicile » en Italie, à Parme, les quatre autres franchises recevront bien chez elles, dans un pays qui sera alors en plein été. « Il y a un gros problème écologique pour moi avec tous ces voyages, poursuit Elissalde. Sans parler de la santé des joueurs : il va falloir se déplacer 72 heures avant, encaisser les 12 heures de vol, avec plusieurs jours sur place avec des frais incroyables et la récupération des mecs à gérer... On a la chance de pas avoir ça dans notre poule (Montpellier affrontera les London Irish et les Ospreys). »
« Nous, les joueurs, on n'a pas trop notre mot à dire à ce sujet, pose Chat. Quand on voit les scandales au football (la Coupe du monde au Qatar), peut-être que ça fera pareil au rugby... Mais c'est un truc qui ne nous regarde pas. Nous, on nous demande de jouer. L'objectif sera peut-être de réunir tous les clubs au même endroit et de faire la compétition sur deux mois pour s'éviter des allers-retours. » Face à cet enjeu-là, Dominic McKay a simplement répondu que l'EPCR avait créé une commission travaillant sur les questions environnementales et qu'à l'issue de la saison, un calcul du bilan carbone généré par ses compétitions serait effectué pour mieux cerner les axes de progression. Cette année plus que jamais, les défis que s'est fixés la Coupe des champions ne se limitent pas uniquement aux dimensions du terrain.
Le bilan carbone, c'est une chose...
Les frais à engager pour de tels déplacements et les conséquences sur la santé des joueurs en sont une autre ! seule la santé des joueurs pose question.
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
Le probleme ecologique existait avant que ces franchises sud-afs integrent la coupe d'europe, quand elles participaient au super rugby c'etait pareil.
L'avantage ici c'est par rapport au decalage horaire, on est pratiquement sur les memes fuseaux horaires.
Le probleme pour les joueurs, outre l'aspect financier pour les clubs, c'est les heures de vol à encaisser. Ma crainte c'est de faire des impasses sur ces rencontres en afrique du sud pour preserver l'equipe type qui sera alignée le we prochain. ce qui peut dévaluer la compétition si ca se généralise.
la solution est peut etre de faire comme les Cheetas qui ont élu domicile en Europe
L'avantage ici c'est par rapport au decalage horaire, on est pratiquement sur les memes fuseaux horaires.
Le probleme pour les joueurs, outre l'aspect financier pour les clubs, c'est les heures de vol à encaisser. Ma crainte c'est de faire des impasses sur ces rencontres en afrique du sud pour preserver l'equipe type qui sera alignée le we prochain. ce qui peut dévaluer la compétition si ca se généralise.
la solution est peut etre de faire comme les Cheetas qui ont élu domicile en Europe
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
grospaquet31 a écrit:Le probleme ecologique existait avant que ces franchises sud-afs integrent la coupe d'europe, quand elles participaient au super rugby c'etait pareil.
L'avantage ici c'est par rapport au decalage horaire, on est pratiquement sur les memes fuseaux horaires.
Le probleme pour les joueurs, outre l'aspect financier pour les clubs, c'est les heures de vol à encaisser. Ma crainte c'est de faire des impasses sur ces rencontres en afrique du sud pour preserver l'equipe type qui sera alignée le we prochain. ce qui peut dévaluer la compétition si ca se généralise.
la solution est peut etre de faire comme les Cheetas qui ont élu domicile en Europe
dans quel Parc animalier ?
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-d-europe/rugby-naivete-stades-pleins-arbitrage-la-coupe-d-europe-new-look-vue-d-afrique-du-sud-20221208
https://www.ouest-france.fr/sport/rugby/coupe-d-europe/entretien-yannick-bru-en-afrique-du-sud-la-vie-est-une-competition-le-rugby-est-une-chance-633e1870-70d0-11ed-b658-d40122929dc2?utm_source=filinfo-livefoot&utm_medium=fluxrss&utm_campaign=banquedecontenu
https://www.ouest-france.fr/sport/rugby/coupe-d-europe/entretien-yannick-bru-en-afrique-du-sud-la-vie-est-une-competition-le-rugby-est-une-chance-633e1870-70d0-11ed-b658-d40122929dc2?utm_source=filinfo-livefoot&utm_medium=fluxrss&utm_campaign=banquedecontenu
marchal- Centre de presse
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
https://www.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2021-2022/champions-cup-les-sud-africains-se-revent-en-rois-deurope_sto9262688/story.shtml
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Vent-d-europhilie-au-pays-des-springboks/1368990
Vent d'europhilie au pays des Springboks
Si les pays européens n'ont pas manqué, très rapidement, de critiquer le rapprochement entre les deux continents, les Sud-Africains semblent satisfaits d'intégrer les compétitions européennes. Pour se mesurer à différents types de rugby et ne plus traverser le globe pour aller en Océanie.
Aurélien Bouisset,
Une énième coupure d'électricité les a poussés à tous se masser dans une petite salle de réunion compacte, nichée sous les gradins du Kings Park, où un générateur sauvait la présentation que leurs entraîneurs comptaient leur soumettre. Et quand l'hymne de la Coupe des champions a retenti, lundi matin, à cinq jours de la réception des Anglais des Harlequins, l'attention des joueurs des Sharks s'est faite plus vive que jamais.
Neil Powell, leur entraîneur, leur a présenté cette compétition, nouvelle pour eux, comme un Everest qu'il faudrait gravir joute après joute, avec, au sommet, la finale de Dublin, le 20 mai 2023.
Tous ceux qui avaient la moindre notion de ce qu'implique cette Coupe des champions se sont fendus d'un petit mot pour le groupe. L'entraîneur adjoint Noel McNamara, ancien du Leinster, a rappelé qu'en Irlande, les stades, qui sonnaient plutôt creux lors des premières éditions, vibrent désormais pour cette compétition. Son collègue Yannick Bru, qui l'a gagnée deux fois avec le Stade Toulousain (2003, 2005), a évoqué son prestige.
« Au Racing, je me souviens, pour ces matches, la musique pour entrer sur le terrain, les maillots, tout, tout est différent
Gerbrandt Grobler, deuxième-ligne des Sharks passé par le Stade Français et le Racing 92
Puis Gerbrandt Grobler (30 ans) a fait tonner sa grosse voix : « Comme j'ai joué au Racing, au Munster et au Stade Français, je voulais expliquer à mes coéquipiers que l'Europe, ce n'est pas une compétition comme les autres, confie le deuxième-ligne. Au Racing, je me souviens, pour ces matches, la musique pour entrer sur le terrain, les maillots, tout, tout est différent ! Et pour les joueurs qui ne jouent pas de matches internationaux, c'est ce qui va s'en rapprocher le plus en termes de niveau de jeu. Pas beaucoup de monde ne le comprend ici. »
Quand il se rend compte qu'il utilise le mot « Europe », Grobler se reprend. Conscient que sur le Vieux Continent, l'enthousiasme des Sharks n'est peut-être pas aussi partagé sur cette évolution. En juin dernier, lorsque l'EPCR a officialisé l'intégration de cinq franchises sud-africaines, quelques Français ont ronchonné. Vincent Merling, le président des tenants du titre rochelais, a notamment parlé de « perte d'identité ». Il évoquait aussi l'influence du rugby celte pour ouvrir la porte aux Sud-Africains. Dès la saison 2017-2018, deux franchises du pays des doubles champions du monde (1995, 2019), les Cheetahs et les Southern Kings, avaient été acceptées dans le Pro 14, comme un ballon d'essai. Puis, en 2020, le Covid-19 a poussé celles qui disputaient encore le Super Rugby à réfléchir à un rapprochement avec l'Europe.
« Enfin, cette Champions Cup, pour nous, c'est un peu comme si on allait promener nos vaches dans un parc à safari plein de lions
Eduard Coetzee, dirigeant des Sharks et ancien pilier de Biarritz
L'Océanie était devenue une destination d'autant plus difficile pour elles et les quatre principales, Stormers, Bulls, Lions et Sharks, plus puissantes économiquement, ont remplacé les équipes de Bloemfontein et Port Elizabeth pour fonder l'URC, dans laquelle la Fédération sud-africaine a investi financièrement. Pour récompenser cet effort, les nouveaux partenaires celtes de la SARU ont poussé fort pour convaincre l'EPCR d'accueillir elle aussi ces franchises.
« Pour nous, c'est plus facile que le Super Rugby, insiste Eduard Coetzee, dirigeant des Sharks. Même si c'est 10 ou 11 heures de voyage, on est plus près de l'Europe que de la Nouvelle-Zélande et il n'y a presque pas de décalage horaire. » Une heure de différence avec Bordeaux, où son équipe se déplace la semaine prochaine, contre 11 heures avec Auckland ! Une bénédiction pour la santé des joueurs locaux, comme pour l'économie de leur rugby, qui en tirera les premiers bénéfices, espère-t-il, d'ici deux ou trois ans.
« Cette Champions Cup, pour nous, c'est un peu comme si on allait promener nos vaches dans un parc à safari plein de lions ! rigole l'ancien pilier de Biarritz. Si on a un joueur qui fait un super match en France, j'espère qu'il prendra bien l'avion du retour pour l'Afrique du Sud... »
La boutade traduit une réalité économique : la masse salariale d'un club sud-africain se limite à 4 millions d'euros, hors joueurs évoluant avec l'équipe nationale. Le salaire annuel d'un joueur lambda tourne autour de 100 000 euros, à mettre en perspective avec un coût de la vie bien moindre, mais il est difficile pour les franchises de résister aux enchères d'un club de Top 14.
Les craintes des clubs français sont ailleurs. À Lyon, le premier club hexagonal à voyager en Afrique du Sud samedi (18 h 30), avec un duel contre les Bulls samedi, on oscillait hier entre l'excitation de se frotter à un adversaire méconnu et l'angoisse de caler ce long déplacement dans le calendrier perpétuel du Championnat. Le LOU entame ainsi à Pretoria une série de trois matches en douze jours et les deux nuits sacrifiées dans des vols long-courriers lui donnent des sueurs froides.
Un défi intéressant à relever pour les clubs français
« C'est une très bonne chose qui va unir le monde du rugby », se réjouissait Arnaud Botha, le troisième-ligne du LOU et des Springboks (2 sélections). Assis sur un banc de bois du Pretoria Rugby Club, une institution qui va fêter ses 135 ans et a accueilli deux entraînements lyonnais, l'ex des Bulls y voit même « un défi intéressant à relever pour les clubs français, à découvrir certaines méthodes sud-africaines pour s'en inspirer peut-être ».
À Durban, Coetzee ne s'attend pas à ce que les équipes de son pays brillent immédiatement dans les deux Coupes d'Europe ni n'attirent de grandes foules au stade. Il va y avoir un temps d'acclimatation, d'un côté comme de l'autre. Mais son joueur, Grobler, en est persuadé : « Les Français vont adorer. »
Vent d'europhilie au pays des Springboks
Si les pays européens n'ont pas manqué, très rapidement, de critiquer le rapprochement entre les deux continents, les Sud-Africains semblent satisfaits d'intégrer les compétitions européennes. Pour se mesurer à différents types de rugby et ne plus traverser le globe pour aller en Océanie.
Aurélien Bouisset,
Une énième coupure d'électricité les a poussés à tous se masser dans une petite salle de réunion compacte, nichée sous les gradins du Kings Park, où un générateur sauvait la présentation que leurs entraîneurs comptaient leur soumettre. Et quand l'hymne de la Coupe des champions a retenti, lundi matin, à cinq jours de la réception des Anglais des Harlequins, l'attention des joueurs des Sharks s'est faite plus vive que jamais.
Neil Powell, leur entraîneur, leur a présenté cette compétition, nouvelle pour eux, comme un Everest qu'il faudrait gravir joute après joute, avec, au sommet, la finale de Dublin, le 20 mai 2023.
Tous ceux qui avaient la moindre notion de ce qu'implique cette Coupe des champions se sont fendus d'un petit mot pour le groupe. L'entraîneur adjoint Noel McNamara, ancien du Leinster, a rappelé qu'en Irlande, les stades, qui sonnaient plutôt creux lors des premières éditions, vibrent désormais pour cette compétition. Son collègue Yannick Bru, qui l'a gagnée deux fois avec le Stade Toulousain (2003, 2005), a évoqué son prestige.
« Au Racing, je me souviens, pour ces matches, la musique pour entrer sur le terrain, les maillots, tout, tout est différent
Gerbrandt Grobler, deuxième-ligne des Sharks passé par le Stade Français et le Racing 92
Puis Gerbrandt Grobler (30 ans) a fait tonner sa grosse voix : « Comme j'ai joué au Racing, au Munster et au Stade Français, je voulais expliquer à mes coéquipiers que l'Europe, ce n'est pas une compétition comme les autres, confie le deuxième-ligne. Au Racing, je me souviens, pour ces matches, la musique pour entrer sur le terrain, les maillots, tout, tout est différent ! Et pour les joueurs qui ne jouent pas de matches internationaux, c'est ce qui va s'en rapprocher le plus en termes de niveau de jeu. Pas beaucoup de monde ne le comprend ici. »
Quand il se rend compte qu'il utilise le mot « Europe », Grobler se reprend. Conscient que sur le Vieux Continent, l'enthousiasme des Sharks n'est peut-être pas aussi partagé sur cette évolution. En juin dernier, lorsque l'EPCR a officialisé l'intégration de cinq franchises sud-africaines, quelques Français ont ronchonné. Vincent Merling, le président des tenants du titre rochelais, a notamment parlé de « perte d'identité ». Il évoquait aussi l'influence du rugby celte pour ouvrir la porte aux Sud-Africains. Dès la saison 2017-2018, deux franchises du pays des doubles champions du monde (1995, 2019), les Cheetahs et les Southern Kings, avaient été acceptées dans le Pro 14, comme un ballon d'essai. Puis, en 2020, le Covid-19 a poussé celles qui disputaient encore le Super Rugby à réfléchir à un rapprochement avec l'Europe.
« Enfin, cette Champions Cup, pour nous, c'est un peu comme si on allait promener nos vaches dans un parc à safari plein de lions
Eduard Coetzee, dirigeant des Sharks et ancien pilier de Biarritz
L'Océanie était devenue une destination d'autant plus difficile pour elles et les quatre principales, Stormers, Bulls, Lions et Sharks, plus puissantes économiquement, ont remplacé les équipes de Bloemfontein et Port Elizabeth pour fonder l'URC, dans laquelle la Fédération sud-africaine a investi financièrement. Pour récompenser cet effort, les nouveaux partenaires celtes de la SARU ont poussé fort pour convaincre l'EPCR d'accueillir elle aussi ces franchises.
« Pour nous, c'est plus facile que le Super Rugby, insiste Eduard Coetzee, dirigeant des Sharks. Même si c'est 10 ou 11 heures de voyage, on est plus près de l'Europe que de la Nouvelle-Zélande et il n'y a presque pas de décalage horaire. » Une heure de différence avec Bordeaux, où son équipe se déplace la semaine prochaine, contre 11 heures avec Auckland ! Une bénédiction pour la santé des joueurs locaux, comme pour l'économie de leur rugby, qui en tirera les premiers bénéfices, espère-t-il, d'ici deux ou trois ans.
« Cette Champions Cup, pour nous, c'est un peu comme si on allait promener nos vaches dans un parc à safari plein de lions ! rigole l'ancien pilier de Biarritz. Si on a un joueur qui fait un super match en France, j'espère qu'il prendra bien l'avion du retour pour l'Afrique du Sud... »
La boutade traduit une réalité économique : la masse salariale d'un club sud-africain se limite à 4 millions d'euros, hors joueurs évoluant avec l'équipe nationale. Le salaire annuel d'un joueur lambda tourne autour de 100 000 euros, à mettre en perspective avec un coût de la vie bien moindre, mais il est difficile pour les franchises de résister aux enchères d'un club de Top 14.
Les craintes des clubs français sont ailleurs. À Lyon, le premier club hexagonal à voyager en Afrique du Sud samedi (18 h 30), avec un duel contre les Bulls samedi, on oscillait hier entre l'excitation de se frotter à un adversaire méconnu et l'angoisse de caler ce long déplacement dans le calendrier perpétuel du Championnat. Le LOU entame ainsi à Pretoria une série de trois matches en douze jours et les deux nuits sacrifiées dans des vols long-courriers lui donnent des sueurs froides.
Un défi intéressant à relever pour les clubs français
« C'est une très bonne chose qui va unir le monde du rugby », se réjouissait Arnaud Botha, le troisième-ligne du LOU et des Springboks (2 sélections). Assis sur un banc de bois du Pretoria Rugby Club, une institution qui va fêter ses 135 ans et a accueilli deux entraînements lyonnais, l'ex des Bulls y voit même « un défi intéressant à relever pour les clubs français, à découvrir certaines méthodes sud-africaines pour s'en inspirer peut-être ».
À Durban, Coetzee ne s'attend pas à ce que les équipes de son pays brillent immédiatement dans les deux Coupes d'Europe ni n'attirent de grandes foules au stade. Il va y avoir un temps d'acclimatation, d'un côté comme de l'autre. Mais son joueur, Grobler, en est persuadé : « Les Français vont adorer. »
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
grospaquet31 a écrit:Le probleme ecologique existait avant que ces franchises sud-afs integrent la coupe d'europe, quand elles participaient au super rugby c'etait pareil.
L'avantage ici c'est par rapport au decalage horaire, on est pratiquement sur les memes fuseaux horaires.
Le probleme pour les joueurs, outre l'aspect financier pour les clubs, c'est les heures de vol à encaisser. Ma crainte c'est de faire des impasses sur ces rencontres en afrique du sud pour preserver l'equipe type qui sera alignée le we prochain. ce qui peut dévaluer la compétition si ca se généralise.
la solution est peut etre de faire comme les Cheetas qui ont élu domicile en Europe
Un club sud-africain basé en Europe, même çà c'est ridicule. On marche totalement sur la tête, avec cette nouvelle compétition. Pourquoi ne pas faire participer des clubs argentins et japonais, tant qu'on y est. La réalité c'est que mis à part quelques équipes qui pourront se le permettre, la plupart devront bazarder des matchs pour s'éviter trop de fatigue, de blessures et de dépenses.
Pour ma part, cette compétition devient une aberration sportive et écologique, c'est un scandale.
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
Switch a écrit:grospaquet31 a écrit:Le probleme ecologique existait avant que ces franchises sud-afs integrent la coupe d'europe, quand elles participaient au super rugby c'etait pareil.
L'avantage ici c'est par rapport au decalage horaire, on est pratiquement sur les memes fuseaux horaires.
Le probleme pour les joueurs, outre l'aspect financier pour les clubs, c'est les heures de vol à encaisser. Ma crainte c'est de faire des impasses sur ces rencontres en afrique du sud pour preserver l'equipe type qui sera alignée le we prochain. ce qui peut dévaluer la compétition si ca se généralise.
la solution est peut etre de faire comme les Cheetas qui ont élu domicile en Europe
Un club sud-africain basé en Europe, même çà c'est ridicule. On marche totalement sur la tête, avec cette nouvelle compétition. Pourquoi ne pas faire participer des clubs argentins et japonais, tant qu'on y est. La réalité c'est que mis à part quelques équipes qui pourront se le permettre, la plupart devront bazarder des matchs pour s'éviter trop de fatigue, de blessures et de dépenses.
Pour ma part, cette compétition devient une aberration sportive et écologique, c'est un scandale.
La problématique de base pour moi déjà c'est que les équipes qu'on va affronter sont des franchises qui sont différentes encore des équipes Irlandaise et Ecossaise, ce sont des marques, elles ne représentent même pas une région ou une ville donc il n'y a pas d'attache, c'est ma manière de voir les choses en tout cas, quand on voit le nombre de supporter lors du super rugby ou encore leur stade, c'est à se demander si certains n'ont pas le niveau structurelles de club de pro D2.
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2022-12-08/l-afrique-du-sud-va-participer-aux-coupes-d-europe-de-rugby-une-aberration-ecologique-2773d795-209b-4cb6-9983-c7fb5a3ea0f1?utm_source=filinfo-livefoot&utm_medium=fluxrss&utm_campaign=banquedecontenu
https://www.ouest-france.fr/sport/rugby/coupe-d-europe/coupes-d-europe-longs-deplacements-meteo-les-defis-de-l-arrivee-des-provinces-sud-africaines-bb80e18e-74c7-11ed-b4b8-b174713e5917?utm_source=filinfo-livefoot&utm_medium=fluxrss&utm_campaign=banquedecontenu
https://www.leparisien.fr/sports/rugby/impact-ecologique-delire-logistique-cest-quoi-cette-coupe-deurope-de-rugby-avec-les-clubs-sud-africains-09-12-2022-2XMHSS2HNJF77IUEQAPNQNHS7E.php
https://www.ouest-france.fr/sport/rugby/coupe-d-europe/coupes-d-europe-longs-deplacements-meteo-les-defis-de-l-arrivee-des-provinces-sud-africaines-bb80e18e-74c7-11ed-b4b8-b174713e5917?utm_source=filinfo-livefoot&utm_medium=fluxrss&utm_campaign=banquedecontenu
https://www.leparisien.fr/sports/rugby/impact-ecologique-delire-logistique-cest-quoi-cette-coupe-deurope-de-rugby-avec-les-clubs-sud-africains-09-12-2022-2XMHSS2HNJF77IUEQAPNQNHS7E.php
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
patrick si tu pouvais mettre cet article merci
https://www.leparisien.fr/sports/rugby/impact-ecologique-delire-logistique-cest-quoi-cette-coupe-deurope-de-rugby-avec-les-clubs-sud-africains-09-12-2022-2XMHSS2HNJF77IUEQAPNQNHS7E.php
https://www.leparisien.fr/sports/rugby/impact-ecologique-delire-logistique-cest-quoi-cette-coupe-deurope-de-rugby-avec-les-clubs-sud-africains-09-12-2022-2XMHSS2HNJF77IUEQAPNQNHS7E.php
marchal- Centre de presse
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
marchal a écrit:patrick si tu pouvais mettre cet article merci
https://www.leparisien.fr/sports/rugby/impact-ecologique-delire-logistique-cest-quoi-cette-coupe-deurope-de-rugby-avec-les-clubs-sud-africains-09-12-2022-2XMHSS2HNJF77IUEQAPNQNHS7E.php
Il semble être en clair
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Allez UBB
Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
Donc Falatea et Lucu en vacances. Certainement le retour de Jalibert et Benny qui etaient en vacances, de Poirot, Miquel, Marais Tambwe au repos.
Je vois cette equipe:
Poirot Maynadier Cobilas
Marais Cazeaux
Renato Willis Diaby
Gimbert Jalibert
Tambwe Lamerat ou Mori ou Vili Dubie ou Depoortere Buros
LBB
Remp: Kaulashvili Lamothe Tameifuna Roussel Timu holmes cordero lamerat ou Mori ou Vili
Je ne sais pas quand reviennent Petti et BVT
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
grospaquet31 a écrit:Donc Falatea et Lucu en vacances. Certainement le retour de Jalibert et Benny qui etaient en vacances, de Poirot, Miquel, Marais Tambwe au repos.
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Je ne sais pas quand reviennent Petti et BVT
Moi j'aimerai bien (ca rassemble à ta compo)
poirot maynadier cobilas
cazeau marais
renato willis miquel
gimbert jalibert
tambwe vili depoortere mori
lbb
kaulash Sa Tameifuna roussel lamerat cordero holmes massé
je mets diaby et lamothe au repos total
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:Donc Falatea et Lucu en vacances. Certainement le retour de Jalibert et Benny qui etaient en vacances, de Poirot, Miquel, Marais Tambwe au repos.
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je mets diaby et lamothe au repos total
Lamerat en 6/7 contre les sud-africains j’y crois pas une seconde.
Le probleme c’est quon a quun seul véritable 3ieme ligne aile valide. Et en plus on a besoinde sa vitesse pour les rucks.
Massé n’a pas le niveau pour moi.
Je ne sais plus quand devait reprendre Petti, il me semblait cette semaine mais ca sera trop juste pour lui.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
grospaquet31 a écrit:nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:Donc Falatea et Lucu en vacances. Certainement le retour de Jalibert et Benny qui etaient en vacances, de Poirot, Miquel, Marais Tambwe au repos.
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Lamerat en 6/7 contre les sud-africains j’y crois pas une seconde.
Le probleme c’est quon a quun seul véritable 3ieme ligne aile valide. Et en plus on a besoinde sa vitesse pour les rucks.
Massé n’a pas le niveau pour moi.
Je ne sais plus quand devait reprendre Petti, il me semblait cette semaine mais ca sera trop juste pour lui.
Je sais bien mais si on pete diaby, on va encore pleurer ( il vientde faire 3 * 80 min et on sait que son jeu n'est pas reposant)
Aprés massé je le mets en remplaçant à l'aile ( je peux mettre buros) au centre j'ai du mal
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:Donc Falatea et Lucu en vacances. Certainement le retour de Jalibert et Benny qui etaient en vacances, de Poirot, Miquel, Marais Tambwe au repos.
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Lamerat en 6/7 contre les sud-africains j’y crois pas une seconde.
Le probleme c’est quon a quun seul véritable 3ieme ligne aile valide. Et en plus on a besoinde sa vitesse pour les rucks.
Massé n’a pas le niveau pour moi.
Je ne sais plus quand devait reprendre Petti, il me semblait cette semaine mais ca sera trop juste pour lui.
Je sais bien mais si on pete diaby, on va encore pleurer ( il vientde faire 3 * 80 min et on sait que son jeu n'est pas reposant)
Aprés massé je le mets en remplaçant à l'aile ( je peux mettre buros) au centre j'ai du mal
Diaby je l’aurais mis au repos contre SR…le temps que reviennent peut etre Petti et BVT
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
grospaquet31 a écrit:nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:Donc Falatea et Lucu en vacances. Certainement le retour de Jalibert et Benny qui etaient en vacances, de Poirot, Miquel, Marais Tambwe au repos.
Je vois cette equipe:
Poirot Maynadier Cobilas
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je mets diaby et lamothe au repos total
Lamerat en 6/7 contre les sud-africains j’y crois pas une seconde.
Le probleme c’est quon a quun seul véritable 3ieme ligne aile valide. Et en plus on a besoinde sa vitesse pour les rucks.
Massé n’a pas le niveau pour moi.
Je ne sais plus quand devait reprendre Petti, il me semblait cette semaine mais ca sera trop juste pour lui.
Je sais bien mais si on pete diaby, on va encore pleurer ( il vientde faire 3 * 80 min et on sait que son jeu n'est pas reposant)
Aprés massé je le mets en remplaçant à l'aile ( je peux mettre buros) au centre j'ai du mal
Diaby je l’aurais mis au repos contre SR…le temps que reviennent peut etre Petti et BVT
C'est possiblement ce qui va se passer mais si il rejoue 80 min et qu'il se pète ça va être compliqué si petti ne revient pas
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
grospaquet31 a écrit:nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:Donc Falatea et Lucu en vacances. Certainement le retour de Jalibert et Benny qui etaient en vacances, de Poirot, Miquel, Marais Tambwe au repos.
Je vois cette equipe:
Poirot Maynadier Cobilas
Marais Cazeaux
Renato Willis Diaby
Gimbert Jalibert
Tambwe Lamerat ou Mori ou Vili Dubie ou Depoortere Buros
LBB
Remp: Kaulashvili Lamothe Tameifuna Roussel Timu holmes cordero lamerat ou Mori ou Vili
Je ne sais pas quand reviennent Petti et BVT
Moi j'aimerai bien (ca rassemble à ta compo)
poirot maynadier cobilas
cazeau marais
renato willis miquel
gimbert jalibert
tambwe vili depoortere mori
lbb
kaulash Sa Tameifuna roussel lamerat cordero holmes massé
je mets diaby et lamothe au repos total
Lamerat en 6/7 contre les sud-africains j’y crois pas une seconde.
Le probleme c’est quon a quun seul véritable 3ieme ligne aile valide. Et en plus on a besoinde sa vitesse pour les rucks.
Massé n’a pas le niveau pour moi.
Je ne sais plus quand devait reprendre Petti, il me semblait cette semaine mais ca sera trop juste pour lui.
Je sais bien mais si on pete diaby, on va encore pleurer ( il vientde faire 3 * 80 min et on sait que son jeu n'est pas reposant)
Aprés massé je le mets en remplaçant à l'aile ( je peux mettre buros) au centre j'ai du mal
Diaby je l’aurais mis au repos contre SR…le temps que reviennent peut etre Petti et BVT
Il faudrait déjà qu’ils reprennent l’entraînement...
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
le radis a écrit:grospaquet31 a écrit:nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:nadoloubb a écrit:grospaquet31 a écrit:Donc Falatea et Lucu en vacances. Certainement le retour de Jalibert et Benny qui etaient en vacances, de Poirot, Miquel, Marais Tambwe au repos.
Je vois cette equipe:
Poirot Maynadier Cobilas
Marais Cazeaux
Renato Willis Diaby
Gimbert Jalibert
Tambwe Lamerat ou Mori ou Vili Dubie ou Depoortere Buros
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Remp: Kaulashvili Lamothe Tameifuna Roussel Timu holmes cordero lamerat ou Mori ou Vili
Je ne sais pas quand reviennent Petti et BVT
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kaulash Sa Tameifuna roussel lamerat cordero holmes massé
je mets diaby et lamothe au repos total
Lamerat en 6/7 contre les sud-africains j’y crois pas une seconde.
Le probleme c’est quon a quun seul véritable 3ieme ligne aile valide. Et en plus on a besoinde sa vitesse pour les rucks.
Massé n’a pas le niveau pour moi.
Je ne sais plus quand devait reprendre Petti, il me semblait cette semaine mais ca sera trop juste pour lui.
Je sais bien mais si on pete diaby, on va encore pleurer ( il vientde faire 3 * 80 min et on sait que son jeu n'est pas reposant)
Aprés massé je le mets en remplaçant à l'aile ( je peux mettre buros) au centre j'ai du mal
Diaby je l’aurais mis au repos contre SR…le temps que reviennent peut etre Petti et BVT
Il faudrait déjà qu’ils reprennent l’entraînement...
C'est ca petti sa blessure c'est flou. Donc je ne miserais pas sur un retour la semaine prochaine ni dans les prochaines semaines
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Localisation : orléans
Date d'inscription : 13/04/2018
Re: Champion Cup J2 : UBB / Sharks
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
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