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Matthieu Jalibert
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Re: Matthieu Jalibert
Rien qu'on ne sache déjà ici, Jalibert sait depuis longtemps gérer un match et adapter scrupuleusement son jeu au coaching, mais au moins, ça déconstruit le storytelling de certains médias, sur le supposé joueur fantasque qu'il aurait été
Scalp- Team modo
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Re: Matthieu Jalibert
Scalp a écrit:Rien qu'on ne sache déjà ici, Jalibert sait depuis longtemps gérer un match et adapter scrupuleusement son jeu au coaching, mais au moins, ça déconstruit le storytelling de certains médias, sur le supposé joueur fantasque qu'il aurait été
Les mouches sont en train de changer d'âne...
Comme tu dis Scalp, rien de nouveau pour les supporters qui connaissent sur le bout des doigts leur Jalibert...sans chauvinisme aucun...bien entendu.
Attention au retour de bâtons néanmoins s'il lui arrivait de faire un match moyennasse.
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Re: Matthieu Jalibert
Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:Rien qu'on ne sache déjà ici, Jalibert sait depuis longtemps gérer un match et adapter scrupuleusement son jeu au coaching, mais au moins, ça déconstruit le storytelling de certains médias, sur le supposé joueur fantasque qu'il aurait été
Les mouches sont en train de changer d'âne...
Comme tu dis Scalp, rien de nouveau pour les supporters qui connaissent sur le bout des doigts leur Jalibert...sans chauvinisme aucun...bien entendu.
Attention au retour de bâtons néanmoins s'il lui arrivait de faire un match moyennasse.
Tu as raison, il n'aura le droit à aucune forme de mansuétude de la part d'une large partie de la presse rugbystique, et en cas d'élimination de la France dans cette coupe du monde, on peut facilement supputer le refrain que cette presse nous servira...
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Re: Matthieu Jalibert
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Re: Matthieu Jalibert
https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/10/07/coupe-du-monde-de-rugby-matthieu-jalibert-un-joker-devenu-maitre-du-jeu_6192993_3242.html
Coupe du monde de rugby : Matthieu Jalibert, un joker devenu maître du jeu
Il devait disputer le Mondial dans le costume de remplaçant, la blessure de Romain Ntamack lui a fait enfiler celui de titulaire. Face à l’Italie, le Bordelais a livré une partition de très haut vol.
Par Martin Untersinger(Décines-Charpieu (Rhône), envoyé spécial)
Avant le match qui opposait la France à l’Italie, vendredi 6 octobre à Décines-Charpieu (Rhône), dans la banlieue lyonnaise, la France du rugby était obsédée par le remplacement d’Antoine Dupont. La pommette du capitaine français est, faut-il encore le rappeler, dans un état incompatible pour quelques jours encore avec la pratique d’un sport à haute intensité. Si la doublure officielle du Toulousain, Maxime Lucu, a donné entière satisfaction face aux Transalpins (60-7), un autre « joker » a éclaboussé la pelouse lyonnaise de son talent.
Au début de la préparation des Bleus pour la Coupe du monde, Matthieu Jalibert s’était résigné à disputer la compétition dans la peau d’un remplaçant de luxe à Romain Ntamack, le chef d’orchestre des Tricolores. Pas de quoi se plaindre : avec sa vitesse et son sens des courses, il était le joueur parfait pour dynamiter des défenses usées par la fatigue. Il pouvait même espérer être titulaire lors de certaines rencontres à moindre enjeu.
Mais le 12 août à Saint-Etienne, lors d’un match contre l’Ecosse et sur un appui anodin, Romain Ntamack s’est rompu un ligament croisé du genou gauche. En un éclair, Matthieu Jalibert a dû endosser le maillot floqué du numéro dix pour une Coupe du monde à domicile. De quoi provoquer des interrogations sur la capacité du demi d’ouverture de l’Union Bordeaux-Bègles à suppléer le maître à jouer du Stade toulousain, certains imaginant même Thomas Ramos – habituel arrière du XV de France et encore excellent face à l’Italie – être choisi en remplaçant, comme si Matthieu Jalibert, ouvreur de formation, ne faisait pas l’affaire.
Mais dans l’esprit du staff du XV de France, tout comme il était naturel que Maxime Lucu supplée Antoine Dupont en cas de pépin, Matthieu Jalibert a toujours été en deuxième position dans l’ordre de succession des « dix » de France. « C’est écrit. Il doit croire en lui, c’est le moment d’y aller », avait lancé en début de Mondial Fabien Galthié. Et vendredi sur la pelouse du parc OL, l’ouvreur bordelais s’est chargé de dissiper les hésitations, critiques ou interrogations subsistant sur sa capacité à mener le XV de France.
Une performance majuscule
« On est satisfaits, on a rempli notre première mission : sortir de poule invaincus. On a fait un match complet, on a su mettre notre jeu en place et maintenir l’intensité sur quatre-vingts minutes », s’est félicité Matthieu Jalibert après la rencontre. Un brin d’autosatisfaction n’aurait pas dépareillé tant sa performance du soir a été aboutie. Outre ses 62 mètres parcourus sur le terrain, il a inscrit un essai malicieux (47e) rappelant que ses appuis et son accélération le placent parmi les joueurs les plus dangereux du circuit mondial.
« Parfois il faut le canaliser un peu, parce que c’est un joueur très tourné vers l’offensive », relatait dans la semaine Maxime Lucu – désigné comme « la glace » par Fabien Galthié – au sujet de son binôme (« le feu »). « C’est Matthieu, il est comme ça, c’est aussi son point fort. Je sais très bien qu’il y a une ou deux actions où il tentera des choses. » Le demi de mêlée titulaire d’un soir et son comparse de charnière partagent un point commun d’importance avec ceux qu’ils remplacent : ils évoluent dans le même club, à Bordeaux. De quoi forger des repères et des habitudes nécessaires entre deux joueurs ayant la responsabilité d’organiser l’activité de l’équipe et d’articuler le jeu entre les avants et les trois-quarts.
Mais vendredi, le numéro 10 tricolore a surtout fait jouer les autres, offrant trois passes décisives à ses partenaires. Comme sur une somptueuse diagonale au pied, délivrée en plein déséquilibre, pour les bras de l’ailier Damian Penaud (39e) et un essai tout fait. Il a aussi envoyé deux passes décisives à celui qu’il côtoie déjà sur les rives de la Garonne, Yoram Moefana : la première, audacieuse et en cloche, a permis au centre wallisien d’inscrire son premier essai (64e). La seconde, plus facile, a conclu l’impressionnant travail des avants français (75e).
Egalement impliqué sur les premier et troisième essais des Bleus, sur une récupération acrobatique, puis une accélération imparable, Matthieu Jalibert a distribué et régulé le jeu tricolore, montrant qu’il n’était pas seulement un attaquant fougueux et que la tempérance de Romain Ntamack ne lui était pas tout à fait étrangère.
Salué par ses coéquipiers
Ses coéquipiers ont apprécié la performance du Bordelais. « Matthieu prend de l’assurance. Ce dont il a besoin, c’est du temps de jeu, tout simplement. On a beaucoup été sur son dos, ça n’a pas dû être simple, mais il réagit plutôt bien à la pression, analysait après la rencontre le talonneur remplaçant Pierre Bourgarit. Il est capable d’exploits mais il arrive à faire jouer notre équipe et ça s’est encore vu ce soir. » Le jeune Louis Bielle-Biarrey – un autre Bordelais – mettait en avant les raisons pour lesquelles Jalibert a disposé des espaces pour s’exprimer. « Les avants ont fait un gros match, C’est l’un des meilleurs du monde quand il y a des espaces comme ça. Avec les bons joueurs qu’on a autour, c’est toujours plus facile », exposait l’ailier tricolore.
La configuration pourrait être bien différente dans une semaine, en quart de finale : que les adversaires soient irlandais ou sud-africains, ils seront à coup sûr moins dominés que les Italiens et la mission de l’ouvreur n’en sera que plus difficile. Mais si Maxime Lucu pourrait rendre son maillot de titulaire à Antoine Dupont et sa pommette rafistolée, Matthieu Jalibert, lui, sera de la partie.
Coupe du monde de rugby : Matthieu Jalibert, un joker devenu maître du jeu
Il devait disputer le Mondial dans le costume de remplaçant, la blessure de Romain Ntamack lui a fait enfiler celui de titulaire. Face à l’Italie, le Bordelais a livré une partition de très haut vol.
Par Martin Untersinger(Décines-Charpieu (Rhône), envoyé spécial)
Avant le match qui opposait la France à l’Italie, vendredi 6 octobre à Décines-Charpieu (Rhône), dans la banlieue lyonnaise, la France du rugby était obsédée par le remplacement d’Antoine Dupont. La pommette du capitaine français est, faut-il encore le rappeler, dans un état incompatible pour quelques jours encore avec la pratique d’un sport à haute intensité. Si la doublure officielle du Toulousain, Maxime Lucu, a donné entière satisfaction face aux Transalpins (60-7), un autre « joker » a éclaboussé la pelouse lyonnaise de son talent.
Au début de la préparation des Bleus pour la Coupe du monde, Matthieu Jalibert s’était résigné à disputer la compétition dans la peau d’un remplaçant de luxe à Romain Ntamack, le chef d’orchestre des Tricolores. Pas de quoi se plaindre : avec sa vitesse et son sens des courses, il était le joueur parfait pour dynamiter des défenses usées par la fatigue. Il pouvait même espérer être titulaire lors de certaines rencontres à moindre enjeu.
Mais le 12 août à Saint-Etienne, lors d’un match contre l’Ecosse et sur un appui anodin, Romain Ntamack s’est rompu un ligament croisé du genou gauche. En un éclair, Matthieu Jalibert a dû endosser le maillot floqué du numéro dix pour une Coupe du monde à domicile. De quoi provoquer des interrogations sur la capacité du demi d’ouverture de l’Union Bordeaux-Bègles à suppléer le maître à jouer du Stade toulousain, certains imaginant même Thomas Ramos – habituel arrière du XV de France et encore excellent face à l’Italie – être choisi en remplaçant, comme si Matthieu Jalibert, ouvreur de formation, ne faisait pas l’affaire.
Mais dans l’esprit du staff du XV de France, tout comme il était naturel que Maxime Lucu supplée Antoine Dupont en cas de pépin, Matthieu Jalibert a toujours été en deuxième position dans l’ordre de succession des « dix » de France. « C’est écrit. Il doit croire en lui, c’est le moment d’y aller », avait lancé en début de Mondial Fabien Galthié. Et vendredi sur la pelouse du parc OL, l’ouvreur bordelais s’est chargé de dissiper les hésitations, critiques ou interrogations subsistant sur sa capacité à mener le XV de France.
Une performance majuscule
« On est satisfaits, on a rempli notre première mission : sortir de poule invaincus. On a fait un match complet, on a su mettre notre jeu en place et maintenir l’intensité sur quatre-vingts minutes », s’est félicité Matthieu Jalibert après la rencontre. Un brin d’autosatisfaction n’aurait pas dépareillé tant sa performance du soir a été aboutie. Outre ses 62 mètres parcourus sur le terrain, il a inscrit un essai malicieux (47e) rappelant que ses appuis et son accélération le placent parmi les joueurs les plus dangereux du circuit mondial.
« Parfois il faut le canaliser un peu, parce que c’est un joueur très tourné vers l’offensive », relatait dans la semaine Maxime Lucu – désigné comme « la glace » par Fabien Galthié – au sujet de son binôme (« le feu »). « C’est Matthieu, il est comme ça, c’est aussi son point fort. Je sais très bien qu’il y a une ou deux actions où il tentera des choses. » Le demi de mêlée titulaire d’un soir et son comparse de charnière partagent un point commun d’importance avec ceux qu’ils remplacent : ils évoluent dans le même club, à Bordeaux. De quoi forger des repères et des habitudes nécessaires entre deux joueurs ayant la responsabilité d’organiser l’activité de l’équipe et d’articuler le jeu entre les avants et les trois-quarts.
Mais vendredi, le numéro 10 tricolore a surtout fait jouer les autres, offrant trois passes décisives à ses partenaires. Comme sur une somptueuse diagonale au pied, délivrée en plein déséquilibre, pour les bras de l’ailier Damian Penaud (39e) et un essai tout fait. Il a aussi envoyé deux passes décisives à celui qu’il côtoie déjà sur les rives de la Garonne, Yoram Moefana : la première, audacieuse et en cloche, a permis au centre wallisien d’inscrire son premier essai (64e). La seconde, plus facile, a conclu l’impressionnant travail des avants français (75e).
Egalement impliqué sur les premier et troisième essais des Bleus, sur une récupération acrobatique, puis une accélération imparable, Matthieu Jalibert a distribué et régulé le jeu tricolore, montrant qu’il n’était pas seulement un attaquant fougueux et que la tempérance de Romain Ntamack ne lui était pas tout à fait étrangère.
Salué par ses coéquipiers
Ses coéquipiers ont apprécié la performance du Bordelais. « Matthieu prend de l’assurance. Ce dont il a besoin, c’est du temps de jeu, tout simplement. On a beaucoup été sur son dos, ça n’a pas dû être simple, mais il réagit plutôt bien à la pression, analysait après la rencontre le talonneur remplaçant Pierre Bourgarit. Il est capable d’exploits mais il arrive à faire jouer notre équipe et ça s’est encore vu ce soir. » Le jeune Louis Bielle-Biarrey – un autre Bordelais – mettait en avant les raisons pour lesquelles Jalibert a disposé des espaces pour s’exprimer. « Les avants ont fait un gros match, C’est l’un des meilleurs du monde quand il y a des espaces comme ça. Avec les bons joueurs qu’on a autour, c’est toujours plus facile », exposait l’ailier tricolore.
La configuration pourrait être bien différente dans une semaine, en quart de finale : que les adversaires soient irlandais ou sud-africains, ils seront à coup sûr moins dominés que les Italiens et la mission de l’ouvreur n’en sera que plus difficile. Mais si Maxime Lucu pourrait rendre son maillot de titulaire à Antoine Dupont et sa pommette rafistolée, Matthieu Jalibert, lui, sera de la partie.
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Re: Matthieu Jalibert
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-du-monde-de-rugby/xv-de-france-on-n-etait-pas-loin-du-10-10-matthieu-jalibert-aussi-sobre-qu-etincelant-16966370.php
XV de France. « On n’était pas loin du 10/10 » : Matthieu Jalibert, aussi sobre qu’étincelant
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Par Yoan Leshauriès, envoyé spécial - y.leshauries@sudouest.fr
Auteur d’un match plein lors de la victoire des Bleus face à l’Italie (60-7), le demi d’ouverture a montré qu’il sait trouver l’équilibre entre la gestion et les coups de génie
Il a enfilé le costume et a montré qu’il était à sa taille. Matthieu Jalibert (24 ans, 29 sélections) a répondu au rendez-vous et a pesé de tout son poids dans la victoire du XV de France face à l’Italie (60-7), vendredi à Lyon. Un succès synonyme de qualification pour les quarts de finale de la Coupe du monde. Propulsé titulaire suite au forfait de Romain Ntamack (ligaments croisés du genou gauche), le demi d’ouverture de l’Union Bordeaux-Bègles, qui devait se contenter jusqu’ici du rôle de doublure, a fait taire les doutes sur sa capacité à assumer le rôle de numéro un sur la scène internationale.
« Le fait de jouer, ça me donne du poids dans l’équipe, ça m’apporte de la confiance »
« Le fait de jouer, ça me donne du poids dans l’équipe, ça m’apporte de la confiance », déclarait-il après le match. « Je pense que mes partenaires ont aussi de plus en plus confiance en moi. J’essaie de rester le plus naturel par rapport à ce qui se passe en face de moi. J’essaie de prendre des initiatives comme je l’ai toujours fait en club, de ne pas me priver… Ça m’a réussi ».
Un essai
Face à l’Italie, Matthieu Jalibert a fait du Matthieu Jalibert. Personne ne doutait de sa capacité à allumer des mèches par des prises d’initiatives individuelles bien senties qui ont fait la différence, à l’image de son essai (47e). En revanche, l’ouvreur a été propre en défense (4 plaquages réussis) et a assumé pleinement le rôle de gestionnaire qu’on lui connaissait un peu moins. Bon dans l’alternance (12 relances à la main, 11 coups de pied), efficace dans l’occupation du terrain, à l’exception d’une pénaltouche non trouvée (seule véritable erreur du match), il a parcouru 57 mètres ballon en main et a su faire jouer les autres autour de lui, délivrant trois passes décisives.
Trois caviars
La première offrande ? Un coup de pied transversal spectaculaire à destination de Damian Penaud, alors qu’il était en déséquilibre suite à un plaquage (38e). « Ce sont des choses qu’on travaille durant la semaine à l’entraînement, explique-t-il. Quand ça marche, forcément, il y a beaucoup de satisfaction ». Les deux autres caviars ont été servis sous cloche pour Yoram Moefana (62e, 75e), son coéquipier à l’UBB.
La prestation de Matthieu Jalibert n’est pas passée inaperçue. « On n’était pas loin du 10/10, juge Yann Delaigue, l’ancien ouvreur international (20 sélections). Il a fait une très belle performance à tous les niveaux. Il a été gestionnaire, sobre dans sa façon de jouer, très en confiance, assez froid dans ses attitudes. Et par ailleurs, il fait des gestes de grande classe plusieurs fois dans la partie. Des éclairs qui le font marquer ou qui font marquer ses partenaires. C’est tout cet équilibre qui fait un bon numéro 10. »
« L’ouvreur influe sur ses partenaires. Sur ce match, Matthieu Jalibert m’a vachement rassuré ce point »
Face à l’Italie, Matthieu Jalibert a répondu aux sceptiques. « Il fallait prendre le relais de Romain Ntamack en tant que numéro un. Ce n’est plus uniquement le joueur que l’on juge, mais aussi l’homme, le leader, sur la confiance qu’il donne aux autres », précise Yann Delaigue. « L’ouvreur influe sur ses partenaires. Sur ce point psychologique, on ne savait pas trop ce qu’il en était de Matthieu. Sur ce match, il m’a vachement rassuré ce point ».
Dans un fauteuil
Après une prestation de grand standing, le demi d’ouverture des Bleus ne cachait pas sa satisfaction mais refusait de tirer la couverture à lui. « Ce sont des matchs où il y a beaucoup d’espaces, on peut vraiment envoyer du jeu, résumait-il sobrement. Le match face aux All Blacks était un peu plus serré, un peu plus sous pression, tactiquement, c’est complètement différent. Je retiens surtout le fait qu’on a fait une grosse prestation collective. Ma première mission quand je rentre sur le terrain, c’est que l’équipe joue du mieux possible. Ma partition individuelle passe au second plan. Mais quand je réalise ce type de prestation, ça donne de la confiance ».
Associé à Maxime Lucu dans une charnière 100 % bordelaise en l’absence d’Antoine Dupont (fracture maxillo-zygomatique), Matthieu Jalibert a su profiter des automatismes avec son demi de mêlée. « C’est toujours plaisant de jouer avec Max, tient-il à souligner. Vivre ces moments-là et mener le jeu du XV de France ensemble, c’est un beau clin d’œil pour nous. On est vraiment contents que ça se soit passé comme ça ».
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Porté par le travail d’un pack ultra-dominateur, Matthieu Jalibert a aussi joué dans un fauteuil pour donner la pleine mesure de son talent. « Il arrive à vraiment bien s’exprimer quand il y a de l’avancée », souligne l’ailier Louis Bielle-Biarrey, qui le connaît bien pour évoluer lui aussi à ses côtés à l’UBB. « Les avants ont fait un très gros match, c’est ce qui lui permet de briller. On sait que c’est un des meilleurs joueurs du monde quand il y a des espaces comme ça ».
En quart de finale, la tâche sera bien plus difficile. « Quand on joue derrière un paquet d’avants aussi conquérant qu’hier (vendredi), tout est plus simple », reconnaît Yann Delaigue. « Sur les prises de décision, on a presque la petite seconde supplémentaire pour prendre la bonne. Le week-end prochain, il faudra prendre les décisions plus vite. Il en est capable mais ça sera plus compliqué ».
Porté par le rêve de devenir champion du monde, Matthieu Jalibert sait que la route est encore longue. Mais il a montré qu’il pouvait prendre les clés du camion.
XV de France. « On n’était pas loin du 10/10 » : Matthieu Jalibert, aussi sobre qu’étincelant
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Par Yoan Leshauriès, envoyé spécial - y.leshauries@sudouest.fr
Auteur d’un match plein lors de la victoire des Bleus face à l’Italie (60-7), le demi d’ouverture a montré qu’il sait trouver l’équilibre entre la gestion et les coups de génie
Il a enfilé le costume et a montré qu’il était à sa taille. Matthieu Jalibert (24 ans, 29 sélections) a répondu au rendez-vous et a pesé de tout son poids dans la victoire du XV de France face à l’Italie (60-7), vendredi à Lyon. Un succès synonyme de qualification pour les quarts de finale de la Coupe du monde. Propulsé titulaire suite au forfait de Romain Ntamack (ligaments croisés du genou gauche), le demi d’ouverture de l’Union Bordeaux-Bègles, qui devait se contenter jusqu’ici du rôle de doublure, a fait taire les doutes sur sa capacité à assumer le rôle de numéro un sur la scène internationale.
« Le fait de jouer, ça me donne du poids dans l’équipe, ça m’apporte de la confiance »
« Le fait de jouer, ça me donne du poids dans l’équipe, ça m’apporte de la confiance », déclarait-il après le match. « Je pense que mes partenaires ont aussi de plus en plus confiance en moi. J’essaie de rester le plus naturel par rapport à ce qui se passe en face de moi. J’essaie de prendre des initiatives comme je l’ai toujours fait en club, de ne pas me priver… Ça m’a réussi ».
Un essai
Face à l’Italie, Matthieu Jalibert a fait du Matthieu Jalibert. Personne ne doutait de sa capacité à allumer des mèches par des prises d’initiatives individuelles bien senties qui ont fait la différence, à l’image de son essai (47e). En revanche, l’ouvreur a été propre en défense (4 plaquages réussis) et a assumé pleinement le rôle de gestionnaire qu’on lui connaissait un peu moins. Bon dans l’alternance (12 relances à la main, 11 coups de pied), efficace dans l’occupation du terrain, à l’exception d’une pénaltouche non trouvée (seule véritable erreur du match), il a parcouru 57 mètres ballon en main et a su faire jouer les autres autour de lui, délivrant trois passes décisives.
Trois caviars
La première offrande ? Un coup de pied transversal spectaculaire à destination de Damian Penaud, alors qu’il était en déséquilibre suite à un plaquage (38e). « Ce sont des choses qu’on travaille durant la semaine à l’entraînement, explique-t-il. Quand ça marche, forcément, il y a beaucoup de satisfaction ». Les deux autres caviars ont été servis sous cloche pour Yoram Moefana (62e, 75e), son coéquipier à l’UBB.
La prestation de Matthieu Jalibert n’est pas passée inaperçue. « On n’était pas loin du 10/10, juge Yann Delaigue, l’ancien ouvreur international (20 sélections). Il a fait une très belle performance à tous les niveaux. Il a été gestionnaire, sobre dans sa façon de jouer, très en confiance, assez froid dans ses attitudes. Et par ailleurs, il fait des gestes de grande classe plusieurs fois dans la partie. Des éclairs qui le font marquer ou qui font marquer ses partenaires. C’est tout cet équilibre qui fait un bon numéro 10. »
« L’ouvreur influe sur ses partenaires. Sur ce match, Matthieu Jalibert m’a vachement rassuré ce point »
Face à l’Italie, Matthieu Jalibert a répondu aux sceptiques. « Il fallait prendre le relais de Romain Ntamack en tant que numéro un. Ce n’est plus uniquement le joueur que l’on juge, mais aussi l’homme, le leader, sur la confiance qu’il donne aux autres », précise Yann Delaigue. « L’ouvreur influe sur ses partenaires. Sur ce point psychologique, on ne savait pas trop ce qu’il en était de Matthieu. Sur ce match, il m’a vachement rassuré ce point ».
Dans un fauteuil
Après une prestation de grand standing, le demi d’ouverture des Bleus ne cachait pas sa satisfaction mais refusait de tirer la couverture à lui. « Ce sont des matchs où il y a beaucoup d’espaces, on peut vraiment envoyer du jeu, résumait-il sobrement. Le match face aux All Blacks était un peu plus serré, un peu plus sous pression, tactiquement, c’est complètement différent. Je retiens surtout le fait qu’on a fait une grosse prestation collective. Ma première mission quand je rentre sur le terrain, c’est que l’équipe joue du mieux possible. Ma partition individuelle passe au second plan. Mais quand je réalise ce type de prestation, ça donne de la confiance ».
Associé à Maxime Lucu dans une charnière 100 % bordelaise en l’absence d’Antoine Dupont (fracture maxillo-zygomatique), Matthieu Jalibert a su profiter des automatismes avec son demi de mêlée. « C’est toujours plaisant de jouer avec Max, tient-il à souligner. Vivre ces moments-là et mener le jeu du XV de France ensemble, c’est un beau clin d’œil pour nous. On est vraiment contents que ça se soit passé comme ça ».
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Porté par le travail d’un pack ultra-dominateur, Matthieu Jalibert a aussi joué dans un fauteuil pour donner la pleine mesure de son talent. « Il arrive à vraiment bien s’exprimer quand il y a de l’avancée », souligne l’ailier Louis Bielle-Biarrey, qui le connaît bien pour évoluer lui aussi à ses côtés à l’UBB. « Les avants ont fait un très gros match, c’est ce qui lui permet de briller. On sait que c’est un des meilleurs joueurs du monde quand il y a des espaces comme ça ».
En quart de finale, la tâche sera bien plus difficile. « Quand on joue derrière un paquet d’avants aussi conquérant qu’hier (vendredi), tout est plus simple », reconnaît Yann Delaigue. « Sur les prises de décision, on a presque la petite seconde supplémentaire pour prendre la bonne. Le week-end prochain, il faudra prendre les décisions plus vite. Il en est capable mais ça sera plus compliqué ».
Porté par le rêve de devenir champion du monde, Matthieu Jalibert sait que la route est encore longue. Mais il a montré qu’il pouvait prendre les clés du camion.
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Scalp- Team modo
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Re: Matthieu Jalibert
Je ne sais pas si c'est très intéressant… si ce n'est d'un point de vue sociologique sur le monde dans lequel nous sommes…
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Matthieu-jalibert-en-toute-franchise/1425018
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Re: Matthieu Jalibert
je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
marchal- Centre de presse
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Re: Matthieu Jalibert
scalp si tu peux mettre cet article merci
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Matthieu-jalibert-en-toute-franchise/1425018
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/La-defense-de-matthieu-jalibert-ciblee-par-l-afrique-du-sud/1425025
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Matthieu-jalibert-en-toute-franchise/1425018
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marchal- Centre de presse
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Re: Matthieu Jalibert
marchal a écrit:scalp si tu peux mettre cet article merci
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Matthieu-jalibert-en-toute-franchise/1425018
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/La-defense-de-matthieu-jalibert-ciblee-par-l-afrique-du-sud/1425025
Matthieu Jalibert, la « grande bouche » qui ne changera jamais
Depuis petit, Matthieu Jalibert, demi d'ouverture des Bleus, vit avec les remarques sur sa personnalité et les critiques. Garçon direct, franc, cru, il s'en détache et ses proches l'assurent : même s'il évolue, il ne changera jamais.
Antoine Bourlon
C'est un refrain qui vous suit comme une ombre, de jour et même de nuit, et colle aux baskets comme un vieux chewing-gum. Une petite musique jamais enivrante, parfois pénible, rythmée par les idées reçues et nourrie aux petits commérages. « Depuis toujours, des gens disent à Matthieu qu'il a le boulard et qu'il se prend pour un autre, en sourit un vieil ami. Mais que voulez-vous ? C'est comme ça. Quoi qu'il fasse, il n'y peut pas grand-chose. » C'est vrai. Et il s'en fiche un peu d'ailleurs, voire beaucoup, parce que la vie l'a fait ainsi et que ce n'est pas le genre de la maison de travestir sa nature.
Petit, Matthieu Jalibert était un garçon « charismatique », « surdoué », sa tignasse de cheveux bourrée dans un casque bleu marine. On le disait déjà « différent », capable de tout, surtout de faire gagner, et que vous soyez géant ou mini-poussin, ce n'est jamais banal. Plus tard, il était un adolescent impossible à rassasier, compétiteur au tennis, à la PlayStation et au rugby, bien sûr. Râleur à souhait, « grande bouche », mais « leader ». Aujourd'hui, l'ex « tout petit » demi d'ouverture bordelais est le grand dix du quinze de France, propulsé par le destin malheureux de Romain Ntamack, et évidemment par lui-même. Fabien Galthié, parmi ses poncifs favoris, aime piocher le « être là où on veut être », et voilà qui va bien à un autre.
« Matthieu a toujours voulu être numéro un, souffle ainsi l'un de ses proches. Il n'a pas peur de ça. » Pas plus que de la grande scène ou des responsabilités, pour finir par « imposer ce qu'il est, ce qu'il sait faire et ce qu'il a toujours voulu », selon son papa, Jean-Jacques, qui n'a pas loupé grand-chose des exploits du rejeton depuis qu'il est venu au monde, il y a 25 ans.
Chez lui, tous le concèdent, il y a aussi cette part insondable, celle qui génère les méprises et que les rumeurs n'ont cessé de ravitailler sur la route du succès. Il n'a jamais, ou alors très peu, cherché à les combattre : à 16 ans, il préférait que ses proches ne répondent pas aux premiers haters sur les forums dédiés au centre de formation. « On l'accepte comme il est ou non, c'est tout, commente de son côté Frédéric Charrier, ex-entraîneur de l'attaque à l'UBB. Moi, je préfère les gens comme lui, qui disent les choses. Si quelque chose ne lui plaît pas, vous le savez. Il est facile à coacher en ce sens. Ce qu'il veut, c'est être nature. » Le ressort principal d'une personnalité contestée, ce qu'il n'a jamais voulu occulter, en privé comme à L'Équipe, en 2021 : « Je peux avoir une image un peu arrogante. Froid, sûr de moi, que je prends les gens de haut... Mais c'est mal me connaître. Et je n'ai pas envie de perdre mon authenticité. »
« Ce que j'aime chez lui, c'est que s'il y un clash, c'est toujours réfléchi et argumenté. Ça peut être blessant, peut-être qu'il peut édulcorer, mais ça fait souvent sens »
Jean-Jacques Jalibert, père de Matthieu
Son père, militaire, du genre « très discret » comme il le dit, a du mal à dire d'où lui viennent cette franchise extrême et ce rapport direct aux autres. « Je crois que c'est juste lui, glisse-t-il. Il sait ce qu'il veut, avec des idées bien arrêtées. Il n'aime pas les faux-semblants. Il fait ses puzzles et il avance. Et ce que j'aime chez lui, c'est que s'il y a un clash, c'est toujours réfléchi et argumenté. Ça peut être blessant, peut-être qu'il peut édulcorer, mais ça fait souvent sens. » Enfant, c'était partout pareil : à la maison, avec les amis, les entraîneurs, les profs. « Il a la tchatche, il n'a pas de gêne », explique Gabriel, ex-ailier de Bordeaux. Un autre de ses vieux amis, Thomas, avec qui il a fait les 400 coups, le résume ainsi : « On n'a pas besoin de chercher à savoir ce qu'il pense. En amitié, il est carré. Avant de poser la question de savoir ce qu'il a en tête, il vous l'a déjà dit. »
Un tempérament très jeune démontré, jamais démenti, presque accentué par les différentes épreuves de sa vie : des rapports familiaux conflictuels, des blessures qui se répètent ou un statut rugbystique qui vacille de « bijou » de l'école de rugby à celui d'ado contrarié. À 14 ans, sa croissance tardive limite son potentiel et le prive de l'entrée au Pôle Espoirs. Dans la tête de tous, c'est le passage obligatoire vers le monde pro. Dans la sienne, un échec écoeurant.
« C'est un mec super sur qui tu peux compter tout le temps. Et il est très marrant, il adore chambrer »
Maxime Lamothe, talonneur de l'UBB
« Il s'est nourri de ça », explique Maxime Lamothe, ami proche et talonneur de l'UBB. « Je suis sûr qu'il fait référence à tout ça quand il dit qu'il s'est construit seul, enchaîne son pote Thomas. Mais je ne crois pas qu'il fasse les choses par rapport aux autres. Il ne veut pas prouver des choses au monde entier. Il veut juste se dire à lui-même qu'il peut le faire. »
Il finira par remettre les choses dans l'ordre, sans jamais oublier les petites phrases sur son physique ou le temps de jeu supérieur alloué à ceux qui, contrairement à lui, avaient obtenu la bonne chasuble. « Il ne comprenait pas, il en parlait, ça le travaillait, développe son père. On faisait jouer d'autres à son détriment, et ça l'a rendu acharné. Je voyais à la maison qu'il rongeait son frein. Ça l'a poussé à travailler toujours plus. Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige, il voulait aller taper des drops, des pénalités, des remises en jeu. Il déteste viscéralement l'échec. » Dans son club, comme dans son entourage, on insiste sur l'appétence prononcée pour la répétition des tâches et les détails du jeu, qui trouve sa source dans cette peur de se sentir inutile et ce désir vital de vaincre.
Au début de sa carrière en Top 14, une pénalité de la gagne loupée face à Toulouse lui fera dire, sur le chemin du retour : « Tous ces efforts que j'ai faits... Ça n'a servi à rien. Est-ce que je suis vraiment bon pour le rugby ? » Ses copains le rassureront, comme ils le font avec ceux qui leur demandent parfois lourdement : « Il est sympa Jalibert ? » « C'est un mec super, sur qui tu peux tout le temps compter, a l'habitude de répondre Lamothe. Et il est très marrant, adore chambrer. » « Quand tu le connais vraiment, il est hyper bonnard et il te donne tout », sourit Raphaël, l'un de ses meilleurs amis.
Un bon copain qui, non plus, n'a jamais rechigné devant les plaisirs de la vie. Il y a le Jalibert bosseur et le Matthieu jouisseur : des bonnes bouffes, des escapades sur le bassin d'Arcachon, quelques virées nocturnes. « C'est un gars normal qui aime les choses normales, rien de plus », dit son vieux compère Thomas, qui se souvient entre autres de cette première aventure dans Bordeaux, à 17 ans, « à vélo pendant une heure, moi sur le guidon, Matthieu qui pédale, pour au final ne pas mentir et se faire recaler ». Il y en a eu d'autres et « les plus belles anecdotes sont celles qu'on ne peut raconter », se marre-t-il.
Le temps de la maturité
« C'est un garçon de sa génération, célibataire, sans enfant, résume Charrier. Disons qu'il se rend disponible. » Mais à quelques mois de la Coupe du monde, beaucoup moins. Il a stoppé l'alcool et préféré passer plus de temps avec ses chiens, Owen et Rio, que loin du bercail. Il a aussi montré au monde extérieur un autre visage de lui-même, plus calme, plus posé, plus sûr. Jalibert ne voit pas de psychologue mais on souffle, parmi ses proches, qu'il a « réglé des choses avec lui-même ». Fini, paraît-il, le temps de l'insouciance, celle qui généra les polémiques Mermoz ou Dumora (*). « Il a pris de l'épaisseur, c'est normal, dépeint Charrier. La médiatisation, son statut... Ça n'a pas toujours été facile. Il a plus d'expérience. »
(*) Le premier avait dénoncé insultes et menaces de la part de Jalibert et Cameron Woki. Le second avait été l'objet d'un chambrage appuyé à l'issue d'un match entre Castres et l'UBB.
Et une ouverture différente, si l'on en croit les siens, avec les athlètes et célébrités du monde qu'il côtoie comme sur la vie en général. « Il pense plus à l'avenir et aux choses hors du rugby, confie ainsi Clarisse Castan, amie et désormais collaboratrice sur ses affaires. Sur ses investissements immobiliers, par exemple. Il pense aussi à s'investir auprès d'une association, et aussi à monter la sienne, sur la maltraitance des animaux domestiques. » En attendant il y a la Coupe du monde, ce rêve intact, que le petit prodige de Bordeaux né en région parisienne, élevé en Nouvelle-Calédonie, s'était un jour imaginé remporter. Il n'avait pas plus de 10 ans et cela n'engageait à rien. « Seulement lui, sourit son père, fier, aime bien aller au bout des choses. »
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Re: Matthieu Jalibert
Sûr que RNT, Dupont & Co ne sont pas de gros caractère ni orgueil. Pas plus que tous les grands joueurs de rugby à travers les âges. Jalibert serait donc le seul dans ce cas !
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Re: Matthieu Jalibert
Switch a écrit:Sûr que RNT, Dupont & Co ne sont pas de gros caractère ni orgueil. Pas plus que tous les grands joueurs de rugby à travers les âges. Jalibert serait donc le seul dans ce cas !
J'ai un peu de mal avec ces portraits à la con, exactement comme dépeindre NTK comme un mec humble, c'est à peu près aussi caricatural
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Re: Matthieu Jalibert
marchal a écrit: je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
merci pour ce résumé , je l'avais oublié
jimL- J'aime l'Union à la folie
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Re: Matthieu Jalibert
marchal a écrit: je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
Un bon exemple de sodomie arbitrale, comme dirait Mourad, avec une démonstration en prime de l'esprit rugby des supporters toulousain, à leur place, je n'aurais vraiment pas été fier…
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Re: Matthieu Jalibert
Scalp a écrit:marchal a écrit: je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
Un bon exemple de sodomie arbitrale, comme dirait Mourad, avec une démonstration en prime de l'esprit rugby des supporters toulousain, à leur place, je n'aurais vraiment pas été fier…
C'est vrai que Chaban c'est Lansdowne road, et que ça ne siffle jamais les buteurs... Surtout pas sur la pénalité de la gagne.
C'est pas sur un fofo de l'UBB qu'on lirait des commentaires amalgamant tout les supporters d'un club, ou même un peuple en se basant sur l'analyse de leur style de jeu ( les irlandais pour changer un peu des haut garonnais ).
Bref a Toulouse comme ailleurs il y a de tout, et PAS PLUS de saint qu'ailleurs...
Sinon j'avais oublié ce match, en re regardant le résumé, SI Jalibert a cru qu'il avait fait perdre son équipe ( erreur d'appréciation de jeunesse, un joueur n'est pas responsable de l'ensemble de la perf collective ), ce serait a mon sens plus à cause de la passe mal assuré que de la pénalité manqué en fin de match.
Sinon sodomie arbitrale pour l'écran sifflé ? Ou y'a d'autres faits de heu qu'on ne voit pas dans le résumé ?
EDIT:oublié de deux mots qui changent tout ...
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Re: Matthieu Jalibert
je ne me souvenais pas de ce match, donc je ne juge que sur le résumé vidéo, mais l'écran qui est sifflé l'est à juste titre puisqu'il a une incidence directe sur la défense de fickou sur le porteur de balle. Sodomie arbitrale me parait démesuré , à moins qu'il y ait eu d'autres faits de jeu contestables.
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Re: Matthieu Jalibert
Tothor a écrit:Scalp a écrit:marchal a écrit: je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
Un bon exemple de sodomie arbitrale, comme dirait Mourad, avec une démonstration en prime de l'esprit rugby des supporters toulousain, à leur place, je n'aurais vraiment pas été fier…
C'est vrai que Chaban c'est Lansdowne road, et que ça ne siffle jamais les buteurs... Surtout pas sur la pénalité de la gagne.
C'est pas sur un fofo de l'UBB qu'on lirait des commentaires amalgamant tout les supporters d'un club, ou même un peuple en se basant sur l'analyse de leur style de jeu ( les irlandais pour changer un peu des haut garonnais ).
Bref a Toulouse comme ailleurs il y a de tout, et plus de saint qu'ailleurs...
Sinon j'avais oublié ce match, en re regardant le résumé, SI Jalibert a cru qu'il avait fait perdre son équipe ( erreur d'appréciation de jeunesse, un joueur n'est pas responsable de l'ensemble de la perf collective ), ce serait a mon sens plus à cause de la passe mal assuré que de la pénalité manqué en fin de match.
Sinon sodomie arbitrale pour l'écran sifflé ? Ou y'a d'autres faits de heu qu'on ne voit pas dans le résumé ?
Oui le public toulousain a été nul de siffler un gamin sur cette dernière pénalité, ç'aurait été à Bordeaux, j'aurais dit la même chose. Si tu n'es pas assez honnête pour reconnaitre que l'essai aurait dû être accordé, c'est ton problème. Ceci étant dit, merci pour tes leçons de morale, commence en donner à tes petits copains sur ton forum des capitouls, ou ça casse du Bordelais assez régulièrement, merci !
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Re: Matthieu Jalibert
Tothor a écrit:Scalp a écrit:marchal a écrit: je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
Un bon exemple de sodomie arbitrale, comme dirait Mourad, avec une démonstration en prime de l'esprit rugby des supporters toulousain, à leur place, je n'aurais vraiment pas été fier…
C'est vrai que Chaban c'est Lansdowne road, et que ça ne siffle jamais les buteurs... Surtout pas sur la pénalité de la gagne.
C'est pas sur un fofo de l'UBB qu'on lirait des commentaires amalgamant tout les supporters d'un club, ou même un peuple en se basant sur l'analyse de leur style de jeu ( les irlandais pour changer un peu des haut garonnais ).
Bref a Toulouse comme ailleurs il y a de tout, et PAS PLUS de saint qu'ailleurs...
Sinon j'avais oublié ce match, en re regardant le résumé, SI Jalibert a cru qu'il avait fait perdre son équipe ( erreur d'appréciation de jeunesse, un joueur n'est pas responsable de l'ensemble de la perf collective ), ce serait a mon sens plus à cause de la passe mal assuré que de la pénalité manqué en fin de match.
Sinon sodomie arbitrale pour l'écran sifflé ? Ou y'a d'autres faits de heu qu'on ne voit pas dans le résumé ?
EDIT:oublié de deux mots qui changent tout ...
Tu sais Tothor, faut que t'arrêtes avec les résumés, et le bouche à oreille, je sais qu'à Toulouse vous etes gavéééés de grand matchs au point de ne choisir de regarder que les finales, mais oui je te confirmes qu'il y à eu gavé de faits de jeu dans ce match. De toute façon en cas d'échec, on sait qui sera le fautif Dimanche soir.
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Matthieu Jalibert
densnewzealand a écrit:Tothor a écrit:Scalp a écrit:marchal a écrit: je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
Un bon exemple de sodomie arbitrale, comme dirait Mourad, avec une démonstration en prime de l'esprit rugby des supporters toulousain, à leur place, je n'aurais vraiment pas été fier…
C'est vrai que Chaban c'est Lansdowne road, et que ça ne siffle jamais les buteurs... Surtout pas sur la pénalité de la gagne.
C'est pas sur un fofo de l'UBB qu'on lirait des commentaires amalgamant tout les supporters d'un club, ou même un peuple en se basant sur l'analyse de leur style de jeu ( les irlandais pour changer un peu des haut garonnais ).
Bref a Toulouse comme ailleurs il y a de tout, et PAS PLUS de saint qu'ailleurs...
Sinon j'avais oublié ce match, en re regardant le résumé, SI Jalibert a cru qu'il avait fait perdre son équipe ( erreur d'appréciation de jeunesse, un joueur n'est pas responsable de l'ensemble de la perf collective ), ce serait a mon sens plus à cause de la passe mal assuré que de la pénalité manqué en fin de match.
Sinon sodomie arbitrale pour l'écran sifflé ? Ou y'a d'autres faits de heu qu'on ne voit pas dans le résumé ?
EDIT:oublié de deux mots qui changent tout ...
Tu sais Tothor, faut que t'arrêtes avec les résumés, et le bouche à oreille, je sais qu'à Toulouse vous etes gavéééés de grand matchs au point de ne choisir de regarder que les finales, mais oui je te confirmes qu'il y à eu gavé de faits de jeu dans ce match. De toute façon en cas d'échec, on sait qui sera le fautif Dimanche soir.
Non justement Toulouse , sauf empêchement impérieux, je regarde tout les matchs, et avait oublié celui ci.
Si il y a eu d'autre faits de jeu avec une appréciation tendancieuse de l'arbitre, je vous entends et vais vous croire . Malheureusement je n'ai pas le temps de revisionner le match ^^
Mais les.finales n'étant ( a mon gout ) que très rarement les plus beaux match, ce n'est pas mon critère de sélection pour les visionnages ( même si j'en rate peu et ai effectivement la chance de voir mon club de coeur en disputer régulièrement ).
Le bouche a oreille je pense que tu fais référence à nos échanges suite à France - NZ.
Et pour dimanche laisse le match se jouer avant de sortir le couplet sur la victimisation.
Jalibert a fait un gros match contre l'Italie, pourquoi ne pourrait il pas n faire de même face aux boks ?
Je pense que leurs défense agressive peut paradoxalement lui réussir grâce à ses capacités en 1vs1 ( offensif ).
@scalp, ok je tâcherai de faire le don Quichotte sur les Capitouls en défendant la pauvre et fragile mafia cannelé... Par contre je maintiens, ça sifflé énormément a Chaban aussi, et pour moi il y a écran sur la course du soutien intérieur. Ca gêne la défense. Je trouve que le coup de sifflet se justifie.
Moi ce qui m'a frappé sur la vidéo c'est l'évolution physique des joueurs ( Woki, Marchand, Fickou ) qu'est ce qu'ils se sont épaissis :O
Et plaisir de revoir Galant et Madaule
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Tothor- J'aime l'Union à la folie
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Re: Matthieu Jalibert
Cet article ne prouve qu'une chose vieille comme le monde ...ceux qui parlent le mieux (et en bien) de Jalibert sont ceux qui le CONNAISSENT....les autres ne sont là que pour relayer les ragots, monter en épingle des épiphénomènes et tenter de vendre leurs "torche-cul"
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Matthieu Jalibert
Tothor a écrit:densnewzealand a écrit:Tothor a écrit:Scalp a écrit:marchal a écrit: je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
Un bon exemple de sodomie arbitrale, comme dirait Mourad, avec une démonstration en prime de l'esprit rugby des supporters toulousain, à leur place, je n'aurais vraiment pas été fier…
C'est vrai que Chaban c'est Lansdowne road, et que ça ne siffle jamais les buteurs... Surtout pas sur la pénalité de la gagne.
C'est pas sur un fofo de l'UBB qu'on lirait des commentaires amalgamant tout les supporters d'un club, ou même un peuple en se basant sur l'analyse de leur style de jeu ( les irlandais pour changer un peu des haut garonnais ).
Bref a Toulouse comme ailleurs il y a de tout, et PAS PLUS de saint qu'ailleurs...
Sinon j'avais oublié ce match, en re regardant le résumé, SI Jalibert a cru qu'il avait fait perdre son équipe ( erreur d'appréciation de jeunesse, un joueur n'est pas responsable de l'ensemble de la perf collective ), ce serait a mon sens plus à cause de la passe mal assuré que de la pénalité manqué en fin de match.
Sinon sodomie arbitrale pour l'écran sifflé ? Ou y'a d'autres faits de heu qu'on ne voit pas dans le résumé ?
EDIT:oublié de deux mots qui changent tout ...
Tu sais Tothor, faut que t'arrêtes avec les résumés, et le bouche à oreille, je sais qu'à Toulouse vous etes gavéééés de grand matchs au point de ne choisir de regarder que les finales, mais oui je te confirmes qu'il y à eu gavé de faits de jeu dans ce match. De toute façon en cas d'échec, on sait qui sera le fautif Dimanche soir.
Non justement Toulouse , sauf empêchement impérieux, je regarde tout les matchs, et avait oublié celui ci.
Si il y a eu d'autre faits de jeu avec une appréciation tendancieuse de l'arbitre, je vous entends et vais vous croire . Malheureusement je n'ai pas le temps de revisionner le match ^^
Mais les.finales n'étant ( a mon gout ) que très rarement les plus beaux match, ce n'est pas mon critère de sélection pour les visionnages ( même si j'en rate peu et ai effectivement la chance de voir mon club de coeur en disputer régulièrement ).
Le bouche a oreille je pense que tu fais référence à nos échanges suite à France - NZ.
Et pour dimanche laisse le match se jouer avant de sortir le couplet sur la victimisation.
Jalibert a fait un gros match contre l'Italie, pourquoi ne pourrait il pas n faire de même face aux boks ?
Je pense que leurs défense agressive peut paradoxalement lui réussir grâce à ses capacités en 1vs1 ( offensif ).
@scalp, ok je tâcherai de faire le don Quichotte sur les Capitouls en défendant la pauvre et fragile mafia cannelé... Par contre je maintiens, ça sifflé énormément a Chaban aussi, et pour moi il y a écran sur la course du soutien intérieur. Ca gêne la défense. Je trouve que le coup de sifflet se justifie.
Moi ce qui m'a frappé sur la vidéo c'est l'évolution physique des joueurs ( Woki, Marchand, Fickou ) qu'est ce qu'ils se sont épaissis :O
Et plaisir de revoir Galant et Madaule
À vrai dire, je m'en cogne, c'est votre problème, mais vu ce qu'on peut y lire, je te trouve mal placé pour venir nous donner des leçons (ce n'est pas la première fois et ça commence à me gonfler), si je venais faire la même chose chez vous, j'ai comme une idée de comment je serais reçu.
Alors, tu es le bienvenu chez nous pour parler rugby, mais garde tes leçons pour toi, comme tu l'as dit, personne n'est parfait, ni nous et sûrement pas vous !
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Re: Matthieu Jalibert
S.K.I.T.O.c.m.f a écrit:je ne me souvenais pas de ce match, donc je ne juge que sur le résumé vidéo, mais l'écran qui est sifflé l'est à juste titre puisqu'il a une incidence directe sur la défense de fickou sur le porteur de balle. Sodomie arbitrale me parait démesuré , à moins qu'il y ait eu d'autres faits de jeu contestables.
Moi ce match je ne l'ai jamais oublié ....j'ai le souvenir très clair que l'arbitre très bien placé dit "jouez il n'y a rien" et que l'essai est marqué 70 m plus loin (pas comme si la "faute" avait été commise à 10 m de l'en but).
Puis : annulation de l'essai, pénalité, touche, ballon porté toulousain essai ...14 points (ou 12) de différentiel en 2 minutes.
Le match exceptionnel réalisé par nos jeunes ce jour là méritait une victoire étincelante à Wallon sous la standing ovation des supporters locaux (soit disant connaisseurs) !!!
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Re: Matthieu Jalibert
sudiste a écrit:S.K.I.T.O.c.m.f a écrit:je ne me souvenais pas de ce match, donc je ne juge que sur le résumé vidéo, mais l'écran qui est sifflé l'est à juste titre puisqu'il a une incidence directe sur la défense de fickou sur le porteur de balle. Sodomie arbitrale me parait démesuré , à moins qu'il y ait eu d'autres faits de jeu contestables.
Moi ce match je ne l'ai jamais oublié ....j'ai le souvenir très clair que l'arbitre très bien placé dit "jouez il n'y a rien" et que l'essai est marqué 70 m plus loin (pas comme si la "faute" avait été commise à 10 m de l'en but).
Puis : annulation de l'essai, pénalité, touche, ballon porté toulousain essai ...14 points (ou 12) de différentiel en 2 minutes.
Le match exceptionnel réalisé par nos jeunes ce jour là méritait une victoire étincelante à Wallon sous la standing ovation des supporters locaux (soit disant connaisseurs) !!!
Il faudrait que je fasse témoigner à la barre, un de mes meilleurs amis, ancien Rugbyman Toulousain, qui partage complétement ton avis. Entre quatre yeux, il avait reconnu que le ST ne méritait pas de gagner ce match, opinion qu'il n'était pas le seul supporter toulousain à partager, m'avait-il dit. Mais le plus important, c'est que ce match avait permis de révéler plusieurs jeunes ce jour-là, ils avaient fait un match remarquable !
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Re: Matthieu Jalibert
Switch a écrit:Sûr que RNT, Dupont & Co ne sont pas de gros caractère ni orgueil. Pas plus que tous les grands joueurs de rugby à travers les âges. Jalibert serait donc le seul dans ce cas !
Moi, je trouve l'article plutôt bien écrit et intéressant.
Il trouve un angle original que peu de joueurs oseraient mettre en avant.
Je te rejoins sur le fait que des gaziers comme Dupont et RNT sont sûrement aussi de gros caractère et dotés d'un orgueil qui leur sert de carburant...c'est évident.
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Re: Matthieu Jalibert
https://x.com/catourneovale/status/1712861082744725549?s=20
On a une des meilleures charnières de cette coupe du monde, si ce n'est pas la meilleure, je suis sûr qu'ils vont parfaitement bien fonctionner ensemble dimanche soir, ce match décisif en sera le révélateur, je l'espère !
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Re: Matthieu Jalibert
Scalp a écrit:Tothor a écrit:densnewzealand a écrit:Tothor a écrit:Scalp a écrit:marchal a écrit: je mets cet article car il m'a fait sourire. Moi je me rappelle surtout un essai refusé honteusement et des toulousains pas rassurés qui se sont mis à siffler une pénalité tapée par un drole de ,18 ans
https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/france-afrique-du-sud-est-ce-que-je-suis-vraiment-bon-pour-le-rugby-ce-jour-ou-matthieu-jalibert-a-touche-le-fond-apres-un-match-contre-le-stade-toulousain-11515890.php
Un bon exemple de sodomie arbitrale, comme dirait Mourad, avec une démonstration en prime de l'esprit rugby des supporters toulousain, à leur place, je n'aurais vraiment pas été fier…
C'est vrai que Chaban c'est Lansdowne road, et que ça ne siffle jamais les buteurs... Surtout pas sur la pénalité de la gagne.
C'est pas sur un fofo de l'UBB qu'on lirait des commentaires amalgamant tout les supporters d'un club, ou même un peuple en se basant sur l'analyse de leur style de jeu ( les irlandais pour changer un peu des haut garonnais ).
Bref a Toulouse comme ailleurs il y a de tout, et PAS PLUS de saint qu'ailleurs...
Sinon j'avais oublié ce match, en re regardant le résumé, SI Jalibert a cru qu'il avait fait perdre son équipe ( erreur d'appréciation de jeunesse, un joueur n'est pas responsable de l'ensemble de la perf collective ), ce serait a mon sens plus à cause de la passe mal assuré que de la pénalité manqué en fin de match.
Sinon sodomie arbitrale pour l'écran sifflé ? Ou y'a d'autres faits de heu qu'on ne voit pas dans le résumé ?
EDIT:oublié de deux mots qui changent tout ...
Tu sais Tothor, faut que t'arrêtes avec les résumés, et le bouche à oreille, je sais qu'à Toulouse vous etes gavéééés de grand matchs au point de ne choisir de regarder que les finales, mais oui je te confirmes qu'il y à eu gavé de faits de jeu dans ce match. De toute façon en cas d'échec, on sait qui sera le fautif Dimanche soir.
Non justement Toulouse , sauf empêchement impérieux, je regarde tout les matchs, et avait oublié celui ci.
Si il y a eu d'autre faits de jeu avec une appréciation tendancieuse de l'arbitre, je vous entends et vais vous croire . Malheureusement je n'ai pas le temps de revisionner le match ^^
Mais les.finales n'étant ( a mon gout ) que très rarement les plus beaux match, ce n'est pas mon critère de sélection pour les visionnages ( même si j'en rate peu et ai effectivement la chance de voir mon club de coeur en disputer régulièrement ).
Le bouche a oreille je pense que tu fais référence à nos échanges suite à France - NZ.
Et pour dimanche laisse le match se jouer avant de sortir le couplet sur la victimisation.
Jalibert a fait un gros match contre l'Italie, pourquoi ne pourrait il pas n faire de même face aux boks ?
Je pense que leurs défense agressive peut paradoxalement lui réussir grâce à ses capacités en 1vs1 ( offensif ).
@scalp, ok je tâcherai de faire le don Quichotte sur les Capitouls en défendant la pauvre et fragile mafia cannelé... Par contre je maintiens, ça sifflé énormément a Chaban aussi, et pour moi il y a écran sur la course du soutien intérieur. Ca gêne la défense. Je trouve que le coup de sifflet se justifie.
Moi ce qui m'a frappé sur la vidéo c'est l'évolution physique des joueurs ( Woki, Marchand, Fickou ) qu'est ce qu'ils se sont épaissis :O
Et plaisir de revoir Galant et Madaule
À vrai dire, je m'en cogne, c'est votre problème, mais vu ce qu'on peut y lire, je te trouve mal placé pour venir nous donner des leçons (ce n'est pas la première fois et ça commence à me gonfler), si je venais faire la même chose chez vous, j'ai comme une idée de comment je serais reçu.
Alors, tu es le bienvenu chez nous pour parler rugby, mais garde tes leçons pour toi, comme tu l'as dit, personne n'est parfait, ni nous et sûrement pas vous !
Tu t'en cogne mais ramène ça systématiquement sur le tapis...
En tant que supporter d'une autre équipe, ici en cause, je suis peut être mal placé pour en parler, mais je ne fais partit d'aucune équipe de modération. Ni ici ni la bas.
Ce que j'ai appris des collectifs que ce soit au sport ou dans d'autres communauté, c'est que la généralisation et l'amalgame n'aide pas l'appartement ou à la désescalade, mais bon.
je ne donnais pas de leçon, je faisais juste remarquer que les dérives que tu signalais se retrouve en bien des endroits. A vrai dire si tu as un exemple de stade en France ou ça ne sifflé pas le buteur je suis preneur. ( non pas que j'en sois fier hein ).
Ce qui me tue c'est qu'il n'y avait rien de fielleux ou belliqueux dans mon post. Poil à gratter peut être mais aucune offense envers le club, les joueurs ou les supporters.
Bref.
@sudiste : merci pour retour étayé, avec les détails je comprends mieux le ressenti/souvenir. Ce match ne m'avait pas marqué perso.
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