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Coupe du Monde 2023 en France
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Coupe du Monde 2023 en France
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Tu es sur Scalp de ne pas t’être trompé de topic? Je l’aurais plus vu dans un autre..
Ce qui y a de bien avec ce genre de titre et de première page, c’est qu’on comprend de suite ou l’auteur veut en venir et le public ciblé, jeune et encore puceau d’un département bien identifié.
Cette revue sera certainement rangée dans les bars-tabac et kiosques au milieu de ses congénères tel Playboy et consorts.
Je passe donc mon chemin, comme j’en ai pris l’habitude, d’une lecture autant bavarde que fastidieuse.
Ce qui y a de bien avec ce genre de titre et de première page, c’est qu’on comprend de suite ou l’auteur veut en venir et le public ciblé, jeune et encore puceau d’un département bien identifié.
Cette revue sera certainement rangée dans les bars-tabac et kiosques au milieu de ses congénères tel Playboy et consorts.
Je passe donc mon chemin, comme j’en ai pris l’habitude, d’une lecture autant bavarde que fastidieuse.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
grospaquet31 a écrit:Tu es sur Scalp de ne pas t’être trompé de topic? Je l’aurais plus vu dans un autre..
Ce qui y a de bien avec ce genre de titre et de première page, c’est qu’on comprend de suite ou l’auteur veut en venir et le public ciblé, jeune et encore puceau d’un département bien identifié.
Cette revue sera certainement rangée dans les bars-tabac et kiosques au milieu de ses congénères tel Playboy et consorts.
Je passe donc mon chemin, comme j’en ai pris l’habitude, d’une lecture autant bavarde que fastidieuse.
Pas faux
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Gabin-villiere-titulaire-avec-le-xv-de-france-face-a-l-ecosse-je-sais-que-je-suis-attendu/1412934
Gabin Villière, titulaire avec le XV de France face à l'Écosse : « Je sais que je suis attendu »
Gabin Villière retrouve sa place de titulaire et son numéro 11 au sein du quinze de France pour le second match de préparation des Bleus face à l'Écosse samedi à 21 heures.
Maxime Raulin et Romain Bergogne à Capbreton
Mercredi, en fin d'après-midi, après la séance à haute intensité, Gabin Villière (27 ans) a pris le temps d'évoquer ses sensations au moment de porter à nouveau le maillot de l'équipe de France face à l'Écosse samedi à Saint-Etienne à 21 heures. La dernière fois, c'était il y a près d'un an et demi, en mars 2022, face à l'Angleterre lors de la victoire au Stade de France synonyme de Grand Chelem. Après des mois de galère suite une blessure à la cheville puis au péroné, l'ailier (12 sélections) se dit prêt et reconnaît qu'il aura forcément la pression.
« Comment vous sentez-vous au moment de disputer votre premier match de préparation (il était hors groupe lors de la défaite en Écosse samedi dernier) ?
Très bien (il le répète trois fois). Nous sortons d'une très grosse préparation. Tous les voyants sont au vert. Nous sommes prêts ou pas loin de l'être. Au regard de l'énergie que nous mettons à chaque entraînement depuis le début du mois de juillet, j'espère que ça va payer. À titre personnel, je suis bien sûr impatient de rejouer en équipe de France. Ça démange. Mais avant, il fallait s'entraîner dur. Je suis très impatient de retrouver les terrains, de renouer avec les matches.
Comment avez-vous cette période loin des Bleus ?
Que ce soit vis-à-vis de l'équipe de France ou même de mon club de Toulon, c'est toujours très difficile et frustrant d'être éloigné des terrains, à l'écart de l'aventure vécue par le groupe. Chaque joueur a cette envie, cette volonté de vivre pleinement les différentes échéances qui se présentent comme les tournées, le Tournoi et bien entendu cette Coupe du monde qui arrive. Ça a été compliqué à vivre, de devoir renoncer à plusieurs objectifs. Mais c'est derrière moi.
Est-ce déjà un soulagement d'être aujourd'hui dans le groupe des 42 et de disputer votre premier match de préparation ?
Oui ! Après l'année que je viens de passer (il n'a disputé que quatre matches avec Toulon), c'est forcément un soulagement. Au regard du travail que j'ai effectué dans mon coin, je suis très honoré d'être au sein de ce groupe. Après cette saison galère, ce n'est que du plaisir. Même si j'ai cet objectif de participer à la Coupe du monde qui m'a stimulé tout au long de l'année. Je dirais que ça fait même deux ans que je l'ai en tête. Notamment depuis le discours de Bernard Laporte (ex-président de la FFR) avant notre match de novembre 2021 face à la Nouvelle-Zélande. Il nous avait parlé de cette Coup du monde, qu'il fallait déjà y penser, déjà travailler pour cet événement, que c'était unique dans une vie, surtout en France. J'avais aussi des objectifs en club, comme gagner un titre (il a remporté le Challenge avec le RCT cette année), mais j'étais très focus sur cette Coupe du monde afin de garder la motivation nécessaire pour revenir en forme physiquement et mentalement.
« J'ai douté, oui, forcément. Ça a été compliqué. On ne sait jamais vraiment comment on va récupérer, si une nouvelle rechute ne va pas nous tomber »
Avez-vous douté ? Ne pas y être vous a-t-il traversé l'esprit ?
Jamais ! J'ai gardé ma motivation quotidiennement. J'avais des objectifs, comme faire la fin de saison avec mon club. Je m'y suis tenu. J'ai douté, oui, forcément. Ça a été compliqué. On ne sait jamais vraiment comment on va récupérer, si une nouvelle rechute ne va pas nous tomber dessus. Mais ma motivation et mon engagement ont toujours été présents.
Qu'avez-vous ressenti en début de semaine en refoulant la pelouse de ce stade de Capbreton. C'est là même que vous aviez rechuté lors d'un entraînement avec les Bleus en janvier juste avant le début du Tournoi face à l'Italie ?
Bizarrement, je n'y ai repensé qu'aujourd'hui (mercredi). Assez furtivement puisque c'était sur l'entraînement à haute intensité que je m'étais à nouveau blessé. Après, je ne suis pas du genre à me poser des questions. Une fois que l'entraînement a démarré, je n'ai pensé qu'au rugby. Je n'avais aucune appréhension. Je n'ai plus de gêne. Ça fait du bien.
Après votre longue absence, vous réattaquez dans l'équipe dite « premium » face à l'Écosse. Est-ce flatteur ou au contraire cela ne vous met-il pas plus de pression ?
C'est flatteur. Mais je sais exactement sur quoi je suis attendu. Sur mes qualités de finisseur, sur les ballons hauts, sur les rucks et mon profil défensif. J'espère être performant dans ces domaines et apporter une plus-value à l'équipe. Il y aura de la pression, je le sais. Je devrais être performant. Mais c'est positif. Je ne me pose pas de question sur la suite. Je veux jouer ce match et le gagner. Je veux vivre pleinement ce match et être moi-même. Si le cas se présente, j'essaierai aussi d'aller chercher les ballons près des « gros » (il sourit). Sans en faire trop. J'ai cette liberté, même si le plus important est de rester dans le plan de jeu. Ça fait partie de mon caractère, c'est spontané t j'y prends du plaisir.
La liste va se réduire à 33 le 21 août. Est-ce qu'on y pense déjà ? Est-ce que ça met une pression supplémentaire ?
Oui, bien sûr. Je suis bien placé pour savoir que tout peut aller très vite dans un sens comme dans l'autre. Il faut rester dans le plan de jeu et être constant dans les performances. Le leitmotiv de ce groupe est d'avancer à l'unisson. Mais oui, il y aura de la pression. Sans oublier qu'il y a des joueurs qui poussent. C'est chouette ! À tous les postes, il y a du monde avec des profils différents. Ça oblige à bosser !
« Chaque week-end, l'objectif est de marquer des points individuellement et collectivement »
Nous sommes quasiment à un mois du match d'ouverture face aux Blacks (8 septembre). La réception de l'Écosse est un révélateur ?
Oui. Il faut surtout engranger de la confiance, d'autant plus après la défaite du week-end dernier (25-21). On a envie de rectifier le tir et de réaliser une belle performance face à la 5e nation mondiale. C'est aussi une bonne occasion de peaufiner nos connexions et d'engranger de l'expérience. On attend tous le début de la Coupe du monde avec impatience. Mais il reste encore un mois de préparation. Chaque week-end, l'objectif est de marquer des points individuellement et collectivement. Avant de penser à la Nouvelle-Zélande, on n'a pas le droit à l'erreur face à l'Écosse. C'est en réalisant une grosse performance qu'on préparera au mieux ce fameux match et même la suite de notre compétition.
Depuis le début de semaine et l'arrivée à Capbreton, les familles sont présentes avec vous. C'est une première. Qu'est-ce que ça change ?
C'est chouette ! Leur présence (sa compagne est sur place) nous permet surtout de rester frais mentalement. Nous passons des moments de partage assez simples qui ne sont pas du tout énergivores. Une fois que nous avons fait le job avec nos entraînements rugby, on peut rebasculer sur une vie un peu plus normale. C'est positif, ça évite de tomber dans une routine. »
Gabin Villière, titulaire avec le XV de France face à l'Écosse : « Je sais que je suis attendu »
Gabin Villière retrouve sa place de titulaire et son numéro 11 au sein du quinze de France pour le second match de préparation des Bleus face à l'Écosse samedi à 21 heures.
Maxime Raulin et Romain Bergogne à Capbreton
Mercredi, en fin d'après-midi, après la séance à haute intensité, Gabin Villière (27 ans) a pris le temps d'évoquer ses sensations au moment de porter à nouveau le maillot de l'équipe de France face à l'Écosse samedi à Saint-Etienne à 21 heures. La dernière fois, c'était il y a près d'un an et demi, en mars 2022, face à l'Angleterre lors de la victoire au Stade de France synonyme de Grand Chelem. Après des mois de galère suite une blessure à la cheville puis au péroné, l'ailier (12 sélections) se dit prêt et reconnaît qu'il aura forcément la pression.
« Comment vous sentez-vous au moment de disputer votre premier match de préparation (il était hors groupe lors de la défaite en Écosse samedi dernier) ?
Très bien (il le répète trois fois). Nous sortons d'une très grosse préparation. Tous les voyants sont au vert. Nous sommes prêts ou pas loin de l'être. Au regard de l'énergie que nous mettons à chaque entraînement depuis le début du mois de juillet, j'espère que ça va payer. À titre personnel, je suis bien sûr impatient de rejouer en équipe de France. Ça démange. Mais avant, il fallait s'entraîner dur. Je suis très impatient de retrouver les terrains, de renouer avec les matches.
Comment avez-vous cette période loin des Bleus ?
Que ce soit vis-à-vis de l'équipe de France ou même de mon club de Toulon, c'est toujours très difficile et frustrant d'être éloigné des terrains, à l'écart de l'aventure vécue par le groupe. Chaque joueur a cette envie, cette volonté de vivre pleinement les différentes échéances qui se présentent comme les tournées, le Tournoi et bien entendu cette Coupe du monde qui arrive. Ça a été compliqué à vivre, de devoir renoncer à plusieurs objectifs. Mais c'est derrière moi.
Est-ce déjà un soulagement d'être aujourd'hui dans le groupe des 42 et de disputer votre premier match de préparation ?
Oui ! Après l'année que je viens de passer (il n'a disputé que quatre matches avec Toulon), c'est forcément un soulagement. Au regard du travail que j'ai effectué dans mon coin, je suis très honoré d'être au sein de ce groupe. Après cette saison galère, ce n'est que du plaisir. Même si j'ai cet objectif de participer à la Coupe du monde qui m'a stimulé tout au long de l'année. Je dirais que ça fait même deux ans que je l'ai en tête. Notamment depuis le discours de Bernard Laporte (ex-président de la FFR) avant notre match de novembre 2021 face à la Nouvelle-Zélande. Il nous avait parlé de cette Coup du monde, qu'il fallait déjà y penser, déjà travailler pour cet événement, que c'était unique dans une vie, surtout en France. J'avais aussi des objectifs en club, comme gagner un titre (il a remporté le Challenge avec le RCT cette année), mais j'étais très focus sur cette Coupe du monde afin de garder la motivation nécessaire pour revenir en forme physiquement et mentalement.
« J'ai douté, oui, forcément. Ça a été compliqué. On ne sait jamais vraiment comment on va récupérer, si une nouvelle rechute ne va pas nous tomber »
Avez-vous douté ? Ne pas y être vous a-t-il traversé l'esprit ?
Jamais ! J'ai gardé ma motivation quotidiennement. J'avais des objectifs, comme faire la fin de saison avec mon club. Je m'y suis tenu. J'ai douté, oui, forcément. Ça a été compliqué. On ne sait jamais vraiment comment on va récupérer, si une nouvelle rechute ne va pas nous tomber dessus. Mais ma motivation et mon engagement ont toujours été présents.
Qu'avez-vous ressenti en début de semaine en refoulant la pelouse de ce stade de Capbreton. C'est là même que vous aviez rechuté lors d'un entraînement avec les Bleus en janvier juste avant le début du Tournoi face à l'Italie ?
Bizarrement, je n'y ai repensé qu'aujourd'hui (mercredi). Assez furtivement puisque c'était sur l'entraînement à haute intensité que je m'étais à nouveau blessé. Après, je ne suis pas du genre à me poser des questions. Une fois que l'entraînement a démarré, je n'ai pensé qu'au rugby. Je n'avais aucune appréhension. Je n'ai plus de gêne. Ça fait du bien.
Après votre longue absence, vous réattaquez dans l'équipe dite « premium » face à l'Écosse. Est-ce flatteur ou au contraire cela ne vous met-il pas plus de pression ?
C'est flatteur. Mais je sais exactement sur quoi je suis attendu. Sur mes qualités de finisseur, sur les ballons hauts, sur les rucks et mon profil défensif. J'espère être performant dans ces domaines et apporter une plus-value à l'équipe. Il y aura de la pression, je le sais. Je devrais être performant. Mais c'est positif. Je ne me pose pas de question sur la suite. Je veux jouer ce match et le gagner. Je veux vivre pleinement ce match et être moi-même. Si le cas se présente, j'essaierai aussi d'aller chercher les ballons près des « gros » (il sourit). Sans en faire trop. J'ai cette liberté, même si le plus important est de rester dans le plan de jeu. Ça fait partie de mon caractère, c'est spontané t j'y prends du plaisir.
La liste va se réduire à 33 le 21 août. Est-ce qu'on y pense déjà ? Est-ce que ça met une pression supplémentaire ?
Oui, bien sûr. Je suis bien placé pour savoir que tout peut aller très vite dans un sens comme dans l'autre. Il faut rester dans le plan de jeu et être constant dans les performances. Le leitmotiv de ce groupe est d'avancer à l'unisson. Mais oui, il y aura de la pression. Sans oublier qu'il y a des joueurs qui poussent. C'est chouette ! À tous les postes, il y a du monde avec des profils différents. Ça oblige à bosser !
« Chaque week-end, l'objectif est de marquer des points individuellement et collectivement »
Nous sommes quasiment à un mois du match d'ouverture face aux Blacks (8 septembre). La réception de l'Écosse est un révélateur ?
Oui. Il faut surtout engranger de la confiance, d'autant plus après la défaite du week-end dernier (25-21). On a envie de rectifier le tir et de réaliser une belle performance face à la 5e nation mondiale. C'est aussi une bonne occasion de peaufiner nos connexions et d'engranger de l'expérience. On attend tous le début de la Coupe du monde avec impatience. Mais il reste encore un mois de préparation. Chaque week-end, l'objectif est de marquer des points individuellement et collectivement. Avant de penser à la Nouvelle-Zélande, on n'a pas le droit à l'erreur face à l'Écosse. C'est en réalisant une grosse performance qu'on préparera au mieux ce fameux match et même la suite de notre compétition.
Depuis le début de semaine et l'arrivée à Capbreton, les familles sont présentes avec vous. C'est une première. Qu'est-ce que ça change ?
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Duel attendu entre le XV de France et l'Écosse : Regards Croisés de la Presse
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-duel-attendu-entre-le-xv-de-france-et-lecosse-regards-croises-de-la-presse-1108231509.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://twitter.com/catourneovale/status/1690052072312315904?s=20
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:
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Jalibert qui dit Toulon à la fin
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://twitter.com/rugbyworldcup/status/1690075612344418304?s=20
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/France-ecosse-acte-ii-a-saint-etienne-evidemment-c-est-les-premium/1413132
France - Écosse, acte II, à Saint-Étienne : évidemment, c'est les premium !
Dans l'antre des Verts, les Bleus retrouvent ce samedi soir l'Écosse avec une équipe proche de celle qui devrait débuter la Coupe du monde. Une répétition quasi générale à moins d'un mois du grand rendez-vous face aux All Blacks.
Romain Bergogne, à Saint-Étienne
On ne sait pas si c'est l'air de l'océan, les nuits en camping ou la balade à vélo et en costard avant d'annoncer son équipe de départ jeudi matin qui ont fait cogiter Fabien Galthié à ce point. Voilà qu'à un mois du début de la Coupe du monde, le 8 septembre face à la Nouvelle-Zélande, le sélectionneur hésite. Trois ans et demi d'un projet solidement construit et de certitudes accumulées balayés ! Un ranking établi ? Des joueurs premium ? Toute la sémantique du sélectionneur tremblote.
Il y a une semaine, au moment de présenter son équipe (remaniée) pour le premier round en Écosse (défaite 25-21), il assurait que les hiérarchies étaient claires, y compris pour les joueurs, et que l'annonce de la liste des 33 le 21 août était un « non-événement ». Changement de décor à Capbreton (Landes), entre une partie de pétanque et des entraînements en plein cagnard ? On arrête là la plaisanterie.
Que Galthié raye à sa guise le mot premium de son vocabulaire comme il s'est échiné à le faire jeudi matin est une chose, qu'il assure que l'équipe alignée à Geoffroy-Guichard n'est pas l'aboutissement des réflexions de son mandat à une ou deux exceptions près - Boudehent en troisième-ligne, Aldegheri en pilier droit - en est une autre.
La stabilité qu'il a impulsée depuis février 2020 combinée à une réussite sportive proche de l'exceptionnel, le tout combiné au fameux devoir de mémoire qu'il n'a pas encore sorti dans ce mois d'août, même en évoquant le cas de Gabin Villière, nous permet presque de l'affirmer à sa place.
Une ligne de trois-quarts 7 étoiles
Bienheureux sont les détenteurs d'un billet pour ce deuxième match de préparation à Saint-Étienne, qu'il faudra au passage penser à gagner après le retour, que l'on espère furtif, de la défaite encourageante de Murrayfield. Après avoir fait tourner à Édimbourg et avant de prendre toutes les précautions possibles face aux Fidji dans une semaine à Nantes, c'est le numéro gagnant de la loterie des matches de préparation, celui sur lequel l'encadrement a finalement choisi d'aligner son équipe (quasiment) type.
Si les malheureux touristes de Capbreton qui n'ont pas réussi à avoir de place pour l'entraînement ouvert du mercredi ont dû tenter des acrobaties debout sur la selle de leur vélo pour apercevoir Dupont, Ntamack, Alldritt et autres Penaud au-dessus des bâches cernant le terrain d'entraînement cette semaine, les spectateurs de ce samedi soir devraient en avoir pour leur argent, d'autant que l'Écosse est loin de faire tourner.
À maintenant vingt-sept jours du match d'ouverture de la Coupe du monde face aux All Blacks, c'est la ligne de trois-quarts 7 étoiles qui est dégainée dans le Chaudron, d'Antoine Dupont à Thomas Ramos, en passant par la paire de centres Gaël Fickou-Jonathan Danty. À moins que Louis Bielle-Biarrey continue d'épater son monde au point de (vraiment) secouer la réflexion du sélectionneur, elle sera également alignée le 8 septembre contre vous savez qui.
Bluffante à Édimbourg, la fusée de l'UBB sera cette fois testée sur une fin de match, le staff la préférant sur un banc à six avants et deux trois-quarts à un ouvreur de métier comme Matthieu Jalibert ou Antoine Hastoy ou un arrière-buteur comme Melvyn Jaminet, le seul des 42 (hors blessés) à n'être apparu sur aucune de deux feuilles de matches de préparation. Les signaux ne vont pas dans le même sens d'un bungalow à l'autre alors que la date fatidique du 21 août et du passage à 33 joueurs approche.
Boudehent et Woki, les seuls à enchaîner
Prenez Paul Boudehent par exemple. Convaincant à Édimbourg, le rugueux et à la fois athlétique troisième-ligne rochelais est le seul avec Cameron Woki à être reconduit dans l'équipe de départ, associé aux cadres (soyons fous, utilisons le terme) Charles Ollivon et Grégory Alldritt. En attendant le retour de François Cros, probablement la semaine prochaine, les larges épaules de Boudehent feraient presque oublier celles d'Anthony Jelonch, dont le compte à rebours pour être prêt malgré une rupture du ligament croisé fin février entre dans les heures décisives.
Le temps file aussi avec un parfum d'inquiétude pour Paul Willemse, numéro 5 préférentiel dans le mandat de Galthié, mais dont les alertes à la cuisse droite se multiplient au point d'avoir encore été ménagé en partie cette semaine.
Ce samedi soir, c'est le plus aérien Thibaud Flament qui poussera à droite, associé à Woki, comme ce fut le cas en novembre face à l'Australie (30-29) et l'Afrique du Sud (30-26) avant que le Toulousain ne soit victime d'une commotion en première période face aux Springboks. L'attelage est donc plus qu'une option pour le staff, à condition qu'il tienne le coup, notamment en mêlée fermée, ce que le lourd cinq de devant écossais devrait vite permettre d'évaluer. Alors, qui c'est les plus forts ?
France - Écosse, acte II, à Saint-Étienne : évidemment, c'est les premium !
Dans l'antre des Verts, les Bleus retrouvent ce samedi soir l'Écosse avec une équipe proche de celle qui devrait débuter la Coupe du monde. Une répétition quasi générale à moins d'un mois du grand rendez-vous face aux All Blacks.
Romain Bergogne, à Saint-Étienne
On ne sait pas si c'est l'air de l'océan, les nuits en camping ou la balade à vélo et en costard avant d'annoncer son équipe de départ jeudi matin qui ont fait cogiter Fabien Galthié à ce point. Voilà qu'à un mois du début de la Coupe du monde, le 8 septembre face à la Nouvelle-Zélande, le sélectionneur hésite. Trois ans et demi d'un projet solidement construit et de certitudes accumulées balayés ! Un ranking établi ? Des joueurs premium ? Toute la sémantique du sélectionneur tremblote.
Il y a une semaine, au moment de présenter son équipe (remaniée) pour le premier round en Écosse (défaite 25-21), il assurait que les hiérarchies étaient claires, y compris pour les joueurs, et que l'annonce de la liste des 33 le 21 août était un « non-événement ». Changement de décor à Capbreton (Landes), entre une partie de pétanque et des entraînements en plein cagnard ? On arrête là la plaisanterie.
Que Galthié raye à sa guise le mot premium de son vocabulaire comme il s'est échiné à le faire jeudi matin est une chose, qu'il assure que l'équipe alignée à Geoffroy-Guichard n'est pas l'aboutissement des réflexions de son mandat à une ou deux exceptions près - Boudehent en troisième-ligne, Aldegheri en pilier droit - en est une autre.
La stabilité qu'il a impulsée depuis février 2020 combinée à une réussite sportive proche de l'exceptionnel, le tout combiné au fameux devoir de mémoire qu'il n'a pas encore sorti dans ce mois d'août, même en évoquant le cas de Gabin Villière, nous permet presque de l'affirmer à sa place.
Une ligne de trois-quarts 7 étoiles
Bienheureux sont les détenteurs d'un billet pour ce deuxième match de préparation à Saint-Étienne, qu'il faudra au passage penser à gagner après le retour, que l'on espère furtif, de la défaite encourageante de Murrayfield. Après avoir fait tourner à Édimbourg et avant de prendre toutes les précautions possibles face aux Fidji dans une semaine à Nantes, c'est le numéro gagnant de la loterie des matches de préparation, celui sur lequel l'encadrement a finalement choisi d'aligner son équipe (quasiment) type.
Si les malheureux touristes de Capbreton qui n'ont pas réussi à avoir de place pour l'entraînement ouvert du mercredi ont dû tenter des acrobaties debout sur la selle de leur vélo pour apercevoir Dupont, Ntamack, Alldritt et autres Penaud au-dessus des bâches cernant le terrain d'entraînement cette semaine, les spectateurs de ce samedi soir devraient en avoir pour leur argent, d'autant que l'Écosse est loin de faire tourner.
À maintenant vingt-sept jours du match d'ouverture de la Coupe du monde face aux All Blacks, c'est la ligne de trois-quarts 7 étoiles qui est dégainée dans le Chaudron, d'Antoine Dupont à Thomas Ramos, en passant par la paire de centres Gaël Fickou-Jonathan Danty. À moins que Louis Bielle-Biarrey continue d'épater son monde au point de (vraiment) secouer la réflexion du sélectionneur, elle sera également alignée le 8 septembre contre vous savez qui.
Bluffante à Édimbourg, la fusée de l'UBB sera cette fois testée sur une fin de match, le staff la préférant sur un banc à six avants et deux trois-quarts à un ouvreur de métier comme Matthieu Jalibert ou Antoine Hastoy ou un arrière-buteur comme Melvyn Jaminet, le seul des 42 (hors blessés) à n'être apparu sur aucune de deux feuilles de matches de préparation. Les signaux ne vont pas dans le même sens d'un bungalow à l'autre alors que la date fatidique du 21 août et du passage à 33 joueurs approche.
Boudehent et Woki, les seuls à enchaîner
Prenez Paul Boudehent par exemple. Convaincant à Édimbourg, le rugueux et à la fois athlétique troisième-ligne rochelais est le seul avec Cameron Woki à être reconduit dans l'équipe de départ, associé aux cadres (soyons fous, utilisons le terme) Charles Ollivon et Grégory Alldritt. En attendant le retour de François Cros, probablement la semaine prochaine, les larges épaules de Boudehent feraient presque oublier celles d'Anthony Jelonch, dont le compte à rebours pour être prêt malgré une rupture du ligament croisé fin février entre dans les heures décisives.
Le temps file aussi avec un parfum d'inquiétude pour Paul Willemse, numéro 5 préférentiel dans le mandat de Galthié, mais dont les alertes à la cuisse droite se multiplient au point d'avoir encore été ménagé en partie cette semaine.
Ce samedi soir, c'est le plus aérien Thibaud Flament qui poussera à droite, associé à Woki, comme ce fut le cas en novembre face à l'Australie (30-29) et l'Afrique du Sud (30-26) avant que le Toulousain ne soit victime d'une commotion en première période face aux Springboks. L'attelage est donc plus qu'une option pour le staff, à condition qu'il tienne le coup, notamment en mêlée fermée, ce que le lourd cinq de devant écossais devrait vite permettre d'évaluer. Alors, qui c'est les plus forts ?
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
évidemment, c'est les premium !
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/12/xv-de-france-commentaire-general-le-chaudron-magique-11389146.php
XV de France - Commentaire général : le chaudron magique
Vincent Bissonnet
Les Bleus vont disputer leur premier test de l’été en France avec une grande majorité de leurs cadres sur la pelouse au coup d’envoi. Le signe que les choses très sérieuses approchent. L’effervescence monte. Le niveau devrait aller crescendo aussi.
La cocotte landaise en guise d’échauffement au chaudron du Forez : avant de verser dans la mythique enceinte des Verts, samedi soir, les Bleus ont eu droit à une montée en température et en pression avec un bouillant bain de foule océanique. Ce mercredi, près de 3 000 personnes s’étaient massées autour du terrain municipal de Capbreton pour voir Antoine Dupont et compagnie répéter leurs gammes. Au vu du nombre de connexions sur la billetterie en ligne, le lundi matin, la barre des 10 000 amoureux et autres curieux aurait aisément pu être atteinte pour cet entraînement à haute intensité et à forte densité. Une affluence à faire pâlir de jalousie tous les clubs de Pro D2 et même plusieurs de Top 14 qui se reconnaîtront.
Au bout de quatre années de conquêtes et d’opérations séduction tous terrains, le XV de France postule désormais sérieusement au titre officieux de champion du monde de la popularité. Quelle autre sélection peut, à l’heure actuelle, s’asseoir à sa table et dire : "Je soulève autant d’enthousiasme et de passion que toi" ? On demande à voir… Les joueurs, les premiers, étaient surpris par cette effervescence, des prises d’assaut à la sortie de leur village vacances à l’interminable file d’attente autour du stade : "On sent bien que l’événement approche, il y a de plus en plus de monde autour de nous, remarque Thibaud Flament. L’excitation monte. De leur côté et du nôtre aussi." Une attente comme un levier et non un poids : "Ça nous aide beaucoup d’avoir ce soutien, apprécie Jonathan Danty. Le fait de changer de régions permet en plus de rameuter des supporters de partout." La contagieuse frénésie traverse l’Hexagone de part et d’autre, de Capbreton à Nantes en passant par Saint-Étienne : les guichets fermés se suivent et les ambiances vont se ressembler dans les semaines à venir. En plein cœur du mois d’août, les 42 000 sièges de l’enceinte d’une ville de ballon rond de moins de 200 000 âmes ont ainsi tous trouvé preneurs. Pour le coup, l’effort du déplacement dans la Loire sera justement récompensé.
Premiums ? Cadres ? Tauliers ? Qu’importe l’appellation...
Si le Chardon avait eu droit à une troupe tricolore terriblement excitante mais expérimentale, samedi dernier, le Chaudron verra le XV de France que des millions de supporters attendent et que ses adversaires craignent. Celui que l’on aura à n’en pas douter, dans les grandes lignes, sur la pelouse, le vendredi 8 septembre. Vécu, talent et repères obligent... Rafraîchi par le souffle de nouveauté dégagé par Bielle-Biarrey, Gailleton et autres Boudehent à Édimbourg, le grand public éprouvera cette fois l’agréable sensation de retrouver ses favoris, les Dupont, Alldritt, Ntamack, Marchand et consorts. On ne parlera pas de début des choses sérieuses, par respect pour les efforts consentis en juillet et pour la débauche d’énergie des premiers appelés mais, qu’on le veuille ou non, le retour en force des "premiums" - appelez-les tauliers, cadres ou joueurs d’expérience, si vous préférez, en sachant qu’il n’y a aucun mal à dire les choses comme elles sont... - va placer un peu plus la France du rugby en mode Coupe du monde. La rotation d’effectif était-elle ainsi initialement prévue ? William Servat l’affirmait haut et fort ce mardi : "On est fidèle à nos pensées, il n’y a pas eu de bouleversements de nos plans contrairement à ce qu’on a pu lire." Mais qu’importe la façon pourvu qu’on ait l’ivresse, l’allégresse…
La préparation estivale, transition à géométrie variable, doit autant permettre de mener à bien le processus de sélection des 33 que de placer les éléments confirmés dans des dispositions optimales. Et en l’occurrence, rien ne remplacera jamais le terrain. Les Blacks, que l’on disait moribonds avant cet été - tout est relatif, évidemment - paraissent déjà sacrément affûtés et aiguisés a milieu d’une série de tests concluante. À ce jour, Aaron Smith affiche 200 minutes de compétition tout rond quand Antoine Dupont n’a pas encore débloqué son compteur. Logique, direz-vous, au regard de la cacophonie des calendriers et de la nécessité pour les marathoniens du Top 14 de s’offrir une relâche en juillet. Mais à l’arrivée, même le meilleur joueur de rugby au monde a besoin de jouer pour performer. Cette heure a sonné, justement. Il en va de l’intérêt du groupe, de la nécessité de trouver le rythme et de la santé mentale, aussi, des intéressés : "On se le disait justement entre nous, évoque Thibaud Flament. La fin du championnat est loin maintenant et après avoir fait beaucoup de préparation physique, nous avons hâte de rejouer. Ça commence à nous démanger." La bascule est toute proche, qu’il se rassure. Depuis le milieu de semaine, le compte à rebours de la bande à Galthié s’égrène même en jours : J-30, J-29… Les Bleus sont entrés dans le dernier mois de préparation et vont entamer, ce samedi, leur Tour de France des stades. Une tournée royale de deux mois et demi amenée à se conclure le 28 octobre. Rendez-vous est pris depuis si longtemps. De Saint-Étienne à Saint-Denis, la marche promet d’être longue. Le premier pas n’en reste pas moins déterminant pour se mettre sereinement dans l'avancée. Pour la confiance et le symbole. Toutes les certitudes et les bonnes ondes accumulées ne seront pas de trop quand viendra l’heure de défier les Blacks, repassés deuxièmes au classement mondial. Sans que ça ne traumatise personne, on s’entend…
Une montée en puissance jusqu’à la forme de leur vie
Geoffroy-Guichard est censé lancer la communion nationale autour de la sélection et offrir un bon aperçu de ce qui doit suivre et de ce que tout le monde espère, à savoir les deux plus beaux mois de l’histoire du XV de France, ni plus ni moins. La responsabilité de ces gars-là est proportionnelle à l’attente. Et à leur potentiel, censé avoir été optimisé, magnifié par un mois de labeur et par la perspective du défi ultime. S’ils baignent dans le chaudron du rugby de très haut niveau depuis un bon moment, les Dupont, Ntamack et compagnie ont, depuis le 3 juillet, repris quelques rasades de potion magique, sous la houlette du druide Thibault Giroud. Avec pour ambition d’arriver, au bout, à la meilleure version d’eux-mêmes, physiquement et mentalement. Toujours plus haut, plus vite, plus fort : le rendez-vous d’une vie exige la forme d’une vie. "Je me sens vraiment affûté et je pense que c’est pareil pour tout le monde", sourit Thibaud Flament après avoir tant grimacé en juillet.
Que peut-on donc raisonnablement escompter, samedi soir, pour le retour à la compétition du XV "premium" face à une Écosse un chouïa remaniée ? Voir les cadres en forme - et en bonne santé au coup de sifflet final, Gabin Villière en cannes comme à ses plus belles heures, Paul Boudehent en fer de lance, Louis Bielle-Biarrey en finisseur décomplexé... On espère, à l’arrivée, une belle et large victoire, convaincante, quand bien même le score final importera peu… Les vérités d’août peuvent être aussi mensongères que prémonitoires, ne l’oublions pas. Ne boudons pas notre plaisir pour autant. Car par-delà les plans de développement, l’avalanche de données chiffrées et autres flèches du temps, les Bleus ont pour mission, pour devoir même, de diffuser du bonheur sur le chemin de leur conquête. D’en prendre aussi. Si la destination compte plus que tout, le voyage, aussi, a son importance. Et ce dès samedi. Pour que ceux qui ne seront pas au Stade de France dans un ou deux mois mais qui étaient à Capbreton et qui seront à Saint-Étienne ou à Nantes puissent avoir le luxe de dire, en cas de bonheur suprême : "J’y étais, j’ai vu les champions du monde au début de leur aventure. C’était parti de là."
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Les Bleus vont disputer leur premier test de l’été en France avec une grande majorité de leurs cadres sur la pelouse au coup d’envoi. Le signe que les choses très sérieuses approchent. L’effervescence monte. Le niveau devrait aller crescendo aussi.
La cocotte landaise en guise d’échauffement au chaudron du Forez : avant de verser dans la mythique enceinte des Verts, samedi soir, les Bleus ont eu droit à une montée en température et en pression avec un bouillant bain de foule océanique. Ce mercredi, près de 3 000 personnes s’étaient massées autour du terrain municipal de Capbreton pour voir Antoine Dupont et compagnie répéter leurs gammes. Au vu du nombre de connexions sur la billetterie en ligne, le lundi matin, la barre des 10 000 amoureux et autres curieux aurait aisément pu être atteinte pour cet entraînement à haute intensité et à forte densité. Une affluence à faire pâlir de jalousie tous les clubs de Pro D2 et même plusieurs de Top 14 qui se reconnaîtront.
Au bout de quatre années de conquêtes et d’opérations séduction tous terrains, le XV de France postule désormais sérieusement au titre officieux de champion du monde de la popularité. Quelle autre sélection peut, à l’heure actuelle, s’asseoir à sa table et dire : "Je soulève autant d’enthousiasme et de passion que toi" ? On demande à voir… Les joueurs, les premiers, étaient surpris par cette effervescence, des prises d’assaut à la sortie de leur village vacances à l’interminable file d’attente autour du stade : "On sent bien que l’événement approche, il y a de plus en plus de monde autour de nous, remarque Thibaud Flament. L’excitation monte. De leur côté et du nôtre aussi." Une attente comme un levier et non un poids : "Ça nous aide beaucoup d’avoir ce soutien, apprécie Jonathan Danty. Le fait de changer de régions permet en plus de rameuter des supporters de partout." La contagieuse frénésie traverse l’Hexagone de part et d’autre, de Capbreton à Nantes en passant par Saint-Étienne : les guichets fermés se suivent et les ambiances vont se ressembler dans les semaines à venir. En plein cœur du mois d’août, les 42 000 sièges de l’enceinte d’une ville de ballon rond de moins de 200 000 âmes ont ainsi tous trouvé preneurs. Pour le coup, l’effort du déplacement dans la Loire sera justement récompensé.
Premiums ? Cadres ? Tauliers ? Qu’importe l’appellation...
Si le Chardon avait eu droit à une troupe tricolore terriblement excitante mais expérimentale, samedi dernier, le Chaudron verra le XV de France que des millions de supporters attendent et que ses adversaires craignent. Celui que l’on aura à n’en pas douter, dans les grandes lignes, sur la pelouse, le vendredi 8 septembre. Vécu, talent et repères obligent... Rafraîchi par le souffle de nouveauté dégagé par Bielle-Biarrey, Gailleton et autres Boudehent à Édimbourg, le grand public éprouvera cette fois l’agréable sensation de retrouver ses favoris, les Dupont, Alldritt, Ntamack, Marchand et consorts. On ne parlera pas de début des choses sérieuses, par respect pour les efforts consentis en juillet et pour la débauche d’énergie des premiers appelés mais, qu’on le veuille ou non, le retour en force des "premiums" - appelez-les tauliers, cadres ou joueurs d’expérience, si vous préférez, en sachant qu’il n’y a aucun mal à dire les choses comme elles sont... - va placer un peu plus la France du rugby en mode Coupe du monde. La rotation d’effectif était-elle ainsi initialement prévue ? William Servat l’affirmait haut et fort ce mardi : "On est fidèle à nos pensées, il n’y a pas eu de bouleversements de nos plans contrairement à ce qu’on a pu lire." Mais qu’importe la façon pourvu qu’on ait l’ivresse, l’allégresse…
La préparation estivale, transition à géométrie variable, doit autant permettre de mener à bien le processus de sélection des 33 que de placer les éléments confirmés dans des dispositions optimales. Et en l’occurrence, rien ne remplacera jamais le terrain. Les Blacks, que l’on disait moribonds avant cet été - tout est relatif, évidemment - paraissent déjà sacrément affûtés et aiguisés a milieu d’une série de tests concluante. À ce jour, Aaron Smith affiche 200 minutes de compétition tout rond quand Antoine Dupont n’a pas encore débloqué son compteur. Logique, direz-vous, au regard de la cacophonie des calendriers et de la nécessité pour les marathoniens du Top 14 de s’offrir une relâche en juillet. Mais à l’arrivée, même le meilleur joueur de rugby au monde a besoin de jouer pour performer. Cette heure a sonné, justement. Il en va de l’intérêt du groupe, de la nécessité de trouver le rythme et de la santé mentale, aussi, des intéressés : "On se le disait justement entre nous, évoque Thibaud Flament. La fin du championnat est loin maintenant et après avoir fait beaucoup de préparation physique, nous avons hâte de rejouer. Ça commence à nous démanger." La bascule est toute proche, qu’il se rassure. Depuis le milieu de semaine, le compte à rebours de la bande à Galthié s’égrène même en jours : J-30, J-29… Les Bleus sont entrés dans le dernier mois de préparation et vont entamer, ce samedi, leur Tour de France des stades. Une tournée royale de deux mois et demi amenée à se conclure le 28 octobre. Rendez-vous est pris depuis si longtemps. De Saint-Étienne à Saint-Denis, la marche promet d’être longue. Le premier pas n’en reste pas moins déterminant pour se mettre sereinement dans l'avancée. Pour la confiance et le symbole. Toutes les certitudes et les bonnes ondes accumulées ne seront pas de trop quand viendra l’heure de défier les Blacks, repassés deuxièmes au classement mondial. Sans que ça ne traumatise personne, on s’entend…
Une montée en puissance jusqu’à la forme de leur vie
Geoffroy-Guichard est censé lancer la communion nationale autour de la sélection et offrir un bon aperçu de ce qui doit suivre et de ce que tout le monde espère, à savoir les deux plus beaux mois de l’histoire du XV de France, ni plus ni moins. La responsabilité de ces gars-là est proportionnelle à l’attente. Et à leur potentiel, censé avoir été optimisé, magnifié par un mois de labeur et par la perspective du défi ultime. S’ils baignent dans le chaudron du rugby de très haut niveau depuis un bon moment, les Dupont, Ntamack et compagnie ont, depuis le 3 juillet, repris quelques rasades de potion magique, sous la houlette du druide Thibault Giroud. Avec pour ambition d’arriver, au bout, à la meilleure version d’eux-mêmes, physiquement et mentalement. Toujours plus haut, plus vite, plus fort : le rendez-vous d’une vie exige la forme d’une vie. "Je me sens vraiment affûté et je pense que c’est pareil pour tout le monde", sourit Thibaud Flament après avoir tant grimacé en juillet.
Que peut-on donc raisonnablement escompter, samedi soir, pour le retour à la compétition du XV "premium" face à une Écosse un chouïa remaniée ? Voir les cadres en forme - et en bonne santé au coup de sifflet final, Gabin Villière en cannes comme à ses plus belles heures, Paul Boudehent en fer de lance, Louis Bielle-Biarrey en finisseur décomplexé... On espère, à l’arrivée, une belle et large victoire, convaincante, quand bien même le score final importera peu… Les vérités d’août peuvent être aussi mensongères que prémonitoires, ne l’oublions pas. Ne boudons pas notre plaisir pour autant. Car par-delà les plans de développement, l’avalanche de données chiffrées et autres flèches du temps, les Bleus ont pour mission, pour devoir même, de diffuser du bonheur sur le chemin de leur conquête. D’en prendre aussi. Si la destination compte plus que tout, le voyage, aussi, a son importance. Et ce dès samedi. Pour que ceux qui ne seront pas au Stade de France dans un ou deux mois mais qui étaient à Capbreton et qui seront à Saint-Étienne ou à Nantes puissent avoir le luxe de dire, en cas de bonheur suprême : "J’y étais, j’ai vu les champions du monde au début de leur aventure. C’était parti de là."
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Que le titre alors , parce qu'aprés, on reste dans le conventionnel. Il y à quand meme un soucis à l'heure actuelle, nos journaux ne m'apprennent pas grand chose, les podcasts de l'équipe sont plutôt bien faits. Bon je fais beaucoup de route. Ou est PMB qui dézinguait à tout va, avec une faconde magnifique, et un sens de la formule inégalable.Scalp a écrit:évidemment, c'est les premium !
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
densnewzealand a écrit:Que le titre alors , parce qu'aprés, on reste dans le conventionnel. Il y à quand meme un soucis à l'heure actuelle, nos journaux ne m'apprennent pas grand chose, les podcasts de l'équipe sont plutôt bien faits. Bon je fais beaucoup de route. Ou est PMB qui dézinguait à tout va, avec une faconde magnifique, et un sens de la formule inégalable.Scalp a écrit:évidemment, c'est les premium !
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C'est ça, en mode quelque peu sarcastique , après Dens, peut-être que tu connais trop bien le rugby et que tu n'es vraiment pas la cible privilégiée d'un journal comme l'équipe
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Coupe du monde 2023 / XV de France - Les Bleus auront leurs noms au dos des maillots pour la première fois
https://www.rugbyrama.fr/2023/08/12/coupe-du-monde-2023-xv-de-france-les-bleus-auront-leurs-noms-au-dos-des-maillots-pour-la-premiere-fois-11393168.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Le match Angleterre - Pays de Galles, c'était juste indigestes... Franchement si ces 2 équipes passent en 1/4 c'est un miracle vu le jeu proposé
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Les premiums en action…
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
NKT en une action il se fait gratter un ballon de relance et il ajoute une montée défensive casse croûte... un vrai premium
zizou46- J'aime l'Union à la folie
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Age : 49
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Les écossais font un énorme debut de match.
Penaud qui s’est trompé de sens dans le terrain! Van der Merwe lui a montré le bon sens!
Penaud qui s’est trompé de sens dans le terrain! Van der Merwe lui a montré le bon sens!
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Age : 51
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Quand j'entends des "toulousains toulousains" dans les tribunes j'ai comme une subite envie de supporter l'écosse .... déjà qu'il ne fallait pas me pousser beaucoup
zizou46- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
zizou46 a écrit:Quand j'entends des "toulousains toulousains" dans les tribunes j'ai comme une subite envie de supporter l'écosse .... déjà qu'il ne fallait pas me pousser beaucoup
C’est normal…tant que ces connards du merdol et autres medias debile n’arretont pas de dire que l’edf c’est toulouse et un peu SR, on arrivera pas a creer un esprit edf. Ces medias sont aussi cons que nuisibles
En marge de ca, on constate que les supporters toulousains sont puants d’orgueil, une melonite hors du commun
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Une action pleine d'altruisme de NKT ....
zizou46- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
grospaquet31 a écrit:zizou46 a écrit:Quand j'entends des "toulousains toulousains" dans les tribunes j'ai comme une subite envie de supporter l'écosse .... déjà qu'il ne fallait pas me pousser beaucoup
C’est normal…tant que ces connards du merdol et autres medias debile n’arretont pas de dire que l’edf c’est toulouse et un peu SR, on arrivera pas a creer un esprit edf. Ces medias sont aussi cons que nuisibles
En marge de ca, on constate que les supporters toulousains sont puants d’orgueil, une melonite hors du commun
J'adorerais qu'on se prenne une énorme volé...
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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