Temo Matiu

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sudouest.fr
Biarritz Olympique : Temo Matiu, à la vitesse de la lumière
Julie L’hostis
3–4 minutes

Publié le 05/04/2024 à 7h30.

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Raffut

Temo Matiu est sorti de l’ombre de la Pro D2. Encore en sport étude basket à Mont-de-Marsan il y a 5 ans, le 3e ligne biarrot est désormais en route pour l’UBB et le Top 14 la saison prochaine

Heureusement qu’il n’y a pas que les chemins tout tracés qui conduisent vers la réussite. Certains ont beau les empruntés bien comme il faut, la lumière ne les attend pas au bout. D’autres n’y mettent pas un pied mais finissent par crever l’écran quand même. Temo Matiu, 22 ans, fait partie de la deuxième catégorie. Pas de titre cadet, Reichel ou espoir. Pas de sélections en équipe locale ou nationale. Pas de signe avant-coureur. Le jeune troisième ligne franco néo-zélandais s’est dessiné sa propre route.

Aujourd’hui, Temo Matiu (1,91 m, 100 kg) est un cadre du Biarritz Olympique (19 titularisations en 21 matchs sur 25 journées). Il...

Heureusement qu’il n’y a pas que les chemins tout tracés qui conduisent vers la réussite. Certains ont beau les empruntés bien comme il faut, la lumière ne les attend pas au bout. D’autres n’y mettent pas un pied mais finissent par crever l’écran quand même. Temo Matiu, 22 ans, fait partie de la deuxième catégorie. Pas de titre cadet, Reichel ou espoir. Pas de sélections en équipe locale ou nationale. Pas de signe avant-coureur. Le jeune troisième ligne franco néo-zélandais s’est dessiné sa propre route.

Aujourd’hui, Temo Matiu (1,91 m, 100 kg) est un cadre du Biarritz Olympique (19 titularisations en 21 matchs sur 25 journées). Il a été un artisan majeur des deux dernières victoires contre Vannes (12-10) et Montauban (33-19), a manqué Béziers (défaite 35-31) pour une blessure au quadriceps mais sera de nouveau sur la feuille de match contre Aurillac, ce vendredi soir (19 h 30)....

Très intéressant ce joueur, des fois il fait vraiment peur, il semble léger et avec sa rapidité, parfois ca donne des impact impressionnant, il aime défier, les contacts avec de plus gros gabarits ne le dérange pas, ne le freine pas.
Il est impressionnant de maturité dans le jeu et aussi un mélange d insouciance.
Cadrages debordements, mobilité impressionnante, il avance aux impacts contre des gabarits plus lourds que lui.

Curieux de voir où il va evoluer chez nous, Flanker ou 8.
Son physique va certainement évoluer aussi.
Pour l instant il n a pas le profil de jumper par contre, à voir dans son évolution.

je mets l'article complet


sudouest.fr
Biarritz Olympique : Temo Matiu, à la vitesse de la lumière
Julie L’hostis
7–9 minutes

Heureusement qu’il n’y a pas que les chemins tout tracés qui conduisent vers la réussite. Certains ont beau les empruntés bien comme il faut, la lumière ne les attend pas au bout. D’autres n’y mettent pas un pied mais finissent par crever l’écran quand même. Temo Matiu, 22 ans, fait partie de la deuxième catégorie. Pas de titre cadet, Reichel ou espoir. Pas de sélections en équipe locale ou nationale. Pas de signe avant-coureur. Le jeune troisième ligne franco néo-zélandais s’est dessiné sa propre route.

Aujourd’hui, Temo Matiu (1,91 m, 100 kg) est un cadre du Biarritz Olympique (19 titularisations en 21 matchs sur 25 journées). Il...

Heureusement qu’il n’y a pas que les chemins tout tracés qui conduisent vers la réussite. Certains ont beau les empruntés bien comme il faut, la lumière ne les attend pas au bout. D’autres n’y mettent pas un pied mais finissent par crever l’écran quand même. Temo Matiu, 22 ans, fait partie de la deuxième catégorie. Pas de titre cadet, Reichel ou espoir. Pas de sélections en équipe locale ou nationale. Pas de signe avant-coureur. Le jeune troisième ligne franco néo-zélandais s’est dessiné sa propre route.

Aujourd’hui, Temo Matiu (1,91 m, 100 kg) est un cadre du Biarritz Olympique (19 titularisations en 21 matchs sur 25 journées). Il a été un artisan majeur des deux dernières victoires contre Vannes (12-10) et Montauban (33-19), a manqué Béziers (défaite 35-31) pour une blessure au quadriceps mais sera de nouveau sur la feuille de match contre Aurillac, ce vendredi soir (19 h 30). Pourtant, hier, en 2020, il était encore basketteur du club de Labenne après être passé par le pôle espoir et le sport étude de Mont-de-Marsan. Demain, la saison prochaine, il évoluera en Top 14 sous les couleurs de l’UBB pour trois saisons. Il a préféré le club bordelais à celui de Montpellier notamment pour rester géographiquement plus proche de ses parents.

« Durant toutes ces années de basket, je me suis régalé, c’était un bon niveau », rembobine celui qui évoluait au poste de meneur car parmi les plus petits, environ 1,61 m. Il a pris les 30 centimètres plus tard ! « Au Pôle, j’ai beaucoup appris, travaillé et géré les cours et le sport. C’était intense mais j’ai adoré. » Et ça a continué puisque le jeune joueur est actuellement étudiant en première année d’école d’ingénieur à l’Estia, à Bidart. Dans la vie normale, travailler dans la mécanique, l’électronique ou l’aérodynamisme le tenterait bien.
Temo Matiu (troisième en partant de la gauche) lors de la présentation d’un travail de groupe avec l’Estia le 28 mars dernier.
Temo Matiu (troisième en partant de la gauche) lors de la présentation d’un travail de groupe avec l’Estia le 28 mars dernier.

Nicolas Mollo/SO
Covid

Mais il y a eu le rugby. Ou plutôt le Covid puis le rugby. « À cause de la pandémie, on ne pouvait plus pratiquer les sports en salle, poursuit-il. Mais j’avais des potes qui faisaient du rugby à Biarritz et eux continuaient à s’entraîner, j’étais un peu jaloux. Alors j’ai demandé si je pouvais venir, on m’a dit oui. » Son père, Legi, ancien deuxième ligne international français (2 sélections) et joueur du BO (1996-2002), intervient pour préciser : « Ma femme, professeur d’anglais, avait un de ses élèves préparateur physique chez les jeunes de Biarritz. Il lui a parlé du statut d’aspirant puis de partenaire du centre de formation. C’est ce qu’il a fait pendant deux ans jusqu’à pleinement intégrer la structure en 2022. »

« Il fait tout à fond et quand il a truc en tête sur le terrain, il le fait et ça marche »

Au mois de novembre, l’infirmerie se remplie et Temo Matiu sort de sa cachette contre Aurillac, à Aguilera. C’est la 10e journée. Il n’en manquera que quatre jusqu’à la fin de la saison. « J’ai eu ma chance et je l’ai saisie, résume le principal intéressé avec autant de maturité que d’humilité. Je suis très reconnaissant envers les gens qui me l’ont donnée. Quand j’ai démarré en pro, on m’a dit que je méritais d’être là. J’ai eu envie d’être à la hauteur. » Depuis, il n’est pas redescendu.
Taiseux et curieux

« Ce qui m’impressionne, c’est sa vitesse dans chaque action et sa capacité d’apprentissage. Il commet rarement les mêmes erreurs », confie le Montpelliérain et ami d’enfance Lenni Nouchi. Samuel Nouchi et Legi Matiu, les deux pères, s’étaient croisés à Toulon et Biarritz en occupant le même poste de deuxième ligne et sont restés très proches. « Il fait toujours tout à fond. Et quand il a truc en tête sur le terrain, il le fait et ça marche », abonde son ami et coéquipier biarrot, l’ailier Baptiste Fariscot.
Temo Matiu et son père, Legi, ancien joueur biarrot et international français.
Temo Matiu et son père, Legi, ancien joueur biarrot et international français.

E. Drouinaud

Qu’avait bien pu dire sa famille du basket quand elle l’a vu changer de crémerie ? « C’est sûrement un bon choix, estime son ancien entraîneur de pôle, Marc-Antoine Pawlicki. Ça semble facile de le dire aujourd’hui mais cette fibre rugby, il l’a toujours eu. Dans sa manière de jouer, dans sa défense, dans son engagement, ça se sentait. Sa première année au pôle, il a dû me dire deux mots dans la saison mais c’est un jeune qui était très facile à entraîner, toujours avide de conseils, de savoir. Il avait déjà les bons ingrédients pour réussir. » Même constat côté ovale : « C’est un jeune particulièrement’’coachable’‘, tente le manager du BO, Simon Mannix. Il a toujours le sourire, il écoute, demande, apprend. Il fait souvent des choses exceptionnelles mais il a une marge de progression colossale. »

« Sa première année au pôle, il a dû me dire deux mots mais c’est un jeune qui était très facile à entraîner, avide de conseils, de savoir »

Poussière dans l’œil

Pour la suite, il pourra aussi compter sur sa vraie famille, celle du sang, celle à laquelle il est très attaché. « Quand il s’est lancé dans le basket, j’avais peur de ne pas pouvoir l’aider autant que les autres parents qui étaient souvent d’anciens basketteurs, se souvient Legi. Alors je l’ai accompagné sur la dimension mentale. Je l’ai encouragé à s’accrocher. Avec sa mère, quand on lui a demandé s’il s’amusait, il nous avait promis qu’à force de travail, ça paierait. » Le père marque un silence. Frotte son œil, ravale son émotion et s’en excuse. « Il avait déjà cette mentalité de travailleur, de ne rien lâcher. Ça venait de lui, il s’est donné les moyens tout seul. » Legi Matiu n’est quand même jamais loin, notamment pour des séances vidéos à la maison pour encore améliorer un peu plus le jeu de son fils.
Temo Matiu, pris en sandwich par ses coéquipiers et fidèles amis, Joe Jonas (à gauche) et Baptiste Fariscot (à droite) après la victoire contre Montauban.
Temo Matiu, pris en sandwich par ses coéquipiers et fidèles amis, Joe Jonas (à gauche) et Baptiste Fariscot (à droite) après la victoire contre Montauban.

E. Drouinaud

Lenni Nouchi, qui rêvait tout bas que son ami le rejoigne au MHR mais qui sera finalement son adversaire la saison prochaine, confirme : « C’est presque inutile de parler de son parcours, il suffit de regarder. Quand on arrive à ce niveau en si peu de temps, c’est épatant mais c’est forcément beaucoup de travail. » Temo Matiu dirait plutôt qu’il ne voulait pas « être à la ramasse par rapport à ceux qui jouaient depuis beaucoup plus longtemps. » Une certaine définition de la volonté.

Si Nadolo pouvait nous faire un petit récap de la saison de Matiu, ce serait génial !

Ce joueur semble vraiment plein de promesses. Espérons qu'elles se concrétisent !

Top 14 – Lucas Martin, Antoine Aucagne, Christian Ambadiang… Ces joueurs qui ont tout pour exploser la saison prochaine

https://www.rugbyrama.fr/2024/07/22/top-14-lucas-martin-antoine-aucagne-christian-ambadiang-ces-joueurs-qui-ont-tout-pour-exploser-la-saison-prochaine-12093697.php

Il est bien ce petit…
C'est un peu tôt pour une sélection cet automne, faut qu'il s'aguerrisse encore à différentes formes de jeu, mais cela ne devrait pas tarder, vu sa faculté à apprendre vite et ses qualités athlétiques.

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/union-bordeaux-begles-ubb-temo-matiu-s-est-forge-sa-propre-experience-21895921.php

Union Bordeaux-Bègles (UBB) : Temo Matiu s’est forgé sa propre expérience



Par Yoan Leshauriès

Le jeune troisième ligne n’a débuté le rugby qu’il y a quatre ans mais explose cette saison en Top 14 avec l’UBB. Il s’est nourri d’un parcours atypique

Son nom avait circulé pour une première apparition dans la liste du XV de France pour la tournée de novembre mais Temo Matiu (23 ans) n’a finalement pas été retenu. Au regard des prestations du jeune troisième ligne de l’Union Bordeaux-Bègles, ce n’est que partie remise. « J’étais déjà honoré de faire partie des discussions. Je sais qu’il me reste encore beaucoup de choses à apprendre. Je vais continuer à bosser pour y être un jour. »

Pour sa première saison en Top 14, l’ex-Biarrot a en tout cas crevé l’écran lors de ses six premiers matchs. Et ses trois essais, dont un doublé à La Rochelle, ont montré toute la largeur de sa palette. « Il a un vécu très court mais on avait identifié un potentiel athlétique incroyable, explique Yannick Bru, le manager de l’UBB. On pensait qu’il allait pouvoir s’exprimer en Top 14 sur un délai de 12 à 18 mois. » Mais Temo Matiu a montré qu’il était déjà prêt. Il honorera sa troisième titularisation face à Pau ce samedi (14 h 30) à Chaban-Delmas.

L’esprit de compétition, c’est de famille

Temo Matiu a-t-il des prédispositions à évoluer au plus haut niveau ? « Il a une génétique familiale qui nous fait penser que s’il continue comme ça, son avenir peut-être radieux », souligne Yannick Bru. En effet, Temo est le fils de Legi Matiu (55 ans), ex-international français (2 sélections). Sa sœur, Samantha, est internationale de netball (sport dérivé du basket). « Il y a toujours eu un esprit de compétition dans la famille, explique le jeune troisième ligne. Ma sœur a été championne de France de twirling bâton très jeune. Mon père a été champion de France avec Biarritz (2002). Ils me chambraient pas mal tous les deux en me répétant que je n’avais pas encore de titre à mon palmarès. J’espère que ça va venir. »



La vision du jeu sur les parquets de basket

Bien qu’il ait commencé le rugby à l’âge de 6 ans, Temo Matiu a suivi sa sœur au basket. À partir de 13 ans, il s’est consacré pleinement au ballon orange en rejoignant le pôle régional de Mont-de-Marsan. Il a évolué sous les couleurs de l’Adour Dax Basket en minimes France, avant de porter les couleurs du Stade Montois en Nationale 3 et de Labenne au niveau amateurs. « Le basket m’a aidé à avoir de bonnes mains. Ça m’a aussi beaucoup apporté dans la lecture du jeu. En tant que meneur, tu dois analyser pas mal de choses, trouver les espaces. » À l’époque, son modèle était Kyrie Irving (NBA). « J’adorais sa façon de dribbler d’un panier à l’autre. J’étais petit, je faisais 1,60 m et je me retrouvais face à des mecs qui mesuraient déjà 2,00 m. Tout ça m’aide dans le rugby aujourd’hui. »



L’aventure solo, des Landes à la Nouvelle-Zélande

Porté par son rêve d’enfance de devenir basketteur pro, Temo Matiu a quitté le cocon familial dès l’âge de 13 ans pour rejoindre le pôle régional de Mont-de-Marsan. « En rejoignant le pôle si jeune, j’ai appris beaucoup de choses : à être assidu, avoir un double projet, aller en cours tout en faisant du sport. » Après le lycée, il a aussi profité d’une année sabbatique en Nouvelle-Zélande. « Je voulais en savoir plus sur ma culture : profiter de mes grands-parents, de mes cousins, de toute ma famille. Cette culture m’a toujours imprégné. Quand j’étais petit, on regardait les matchs de la Coupe du monde, on supportait la Nouvelle-Zélande. À chaque fois que je regardais du rugby, ça me donnait envie d’en faire. Mais à ce moment-là, j’étais focalisé sur le basket. » Au point que la sélection néo-zélandaise de basket s’est intéressé à lui. « Ils en ont parlé à mes parents. Je ne l’ai appris que quand je suis rentré en France. J’étais un peu dégoûté mais franchement, je ne me voyais pas rester là-bas. »



Les débuts au Biarritz Olympique

À son retour de Nouvelle-Zélande, Temo Matiu s’est focalisé sur les études et s’est inscrit dans une prépa à Bayonne. Mais le Covid a interdit la pratique des sports de salle. Il a donc rejoint des potes au rugby chez les espoirs de Biarritz. « Matthew Clarkin a accepté que je m’entraîne deux fois par semaine avec eux. L’année d’après, j’ai intégré l’équipe. J’ai commencé avec les trois-quarts mais je suis vite passé avec les avants à cause de ma passe. Ça avait un peu heurté mon ego. J’ai beaucoup bossé ça derrière avec mon père. Au début, ce n’était pas facile sur le côté technique mais je me suis vite adapté. » Un an après son premier match avec les espoirs, il jouait son premier match de Pro D2 avec le BO en novembre 2022. Et n’allait plus quitter le groupe pro.



L’expérience du rugby à 7

Quand il a commencé à s’entraîner avec les pros du BO, Temo Matiu, le touche-à-tout, a joué le Supersevens de Pau avec les Barbarians. Appelé par France 7 Développement, il a ensuite remporté une étape du championnat d’Europe avec les Bleus. « Le 7 m’a beaucoup apporté techniquement. Dans les duels en un-contre-un. Mais aussi dans la rapidité du jeu au sol. Une erreur est ça peut être fatal pour le match. À 7, tu apprends beaucoup les bases du rugby. Ça m’a beaucoup apporté. Et au niveau cardio, c’est très dur. Je me suis beaucoup développé à ce niveau. »



Les études au centre du jeu

En école d’ingénieur à Bidart jusqu’à l’an dernier, Temo Matiu s’est inscrit cette année en Master Génie mécanique à l’Université de Bordeaux. « Ça m’aide à réfléchir à autre chose et ne pas avoir que la tête dans le rugby. Ce double projet est difficile, sur les jours off, il faut travailler les cours, ça demande beaucoup d’énergie mais j’ai toujours été habitué à ça. C’est toujours mieux d’avoir un plan B. » « Temo est quelqu’un de très structuré, très câblé, on s’en rend compte aux entraînements, indique Yannick Bru. Il veut réussir, il comprend tout très vite. Il est habitué à résoudre des équations. Il a encore pas mal de choses à acquérir mais ça viendra avec le temps. »

En quelque sorte, notre LBB de devant, tête bien faite, bon cadre autour de lui, et ultra-talentueux. Un véritable OVNI du rugby au parcours incroyable, mais que Galthié n'a pas encore jugé comme tel, il faut croire.

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Scalp a écrit:

https://x.com/clementcarpet/status/1853372049655234666

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Pour faire le " Jean Michel Premierdegrés ", sur la vitesse de course et l'explosivité, là comme ça deux noms me viennent en tête: Nyanga et Macalou, qui eux aussi avaient/ont une pointe de vitesse peu commune pour des joueurs du Pack.

Ceci dit, sur le debut de saison et les promesses qu'il laisse entrevoir Matiu est bluffant.

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/clementcarpet/status/1853372049655234666

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Pour faire le " Jean Michel Premierdegrés ", sur la vitesse de course et l'explosivité, là comme ça deux noms me viennent en tête: Nyanga et Macalou, qui eux aussi avaient/ont une pointe de vitesse peu commune pour des joueurs du Pack.

Ceci dit, sur le debut de saison et les promesses qu'il laisse entrevoir Matiu est bluffant.

En parlant de Macalou, je ne sais pas s'il aurait un gaz pareil après avoir joué 80 minutes, à titre personnel, je ne le crois pas…

Scalp a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/clementcarpet/status/1853372049655234666

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Pour faire le " Jean Michel Premierdegrés ", sur la vitesse de course et l'explosivité, là comme ça deux noms me viennent en tête: Nyanga et Macalou, qui eux aussi avaient/ont une pointe de vitesse peu commune pour des joueurs du Pack.

Ceci dit, sur le debut de saison et les promesses qu'il laisse entrevoir Matiu est bluffant.

En parlant de Macalou, je ne sais pas s'il aurait un gaz pareil après avoir joué 80 minutes, à titre personnel, je ne le crois pas…

https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-2023-l-essai-de-macalou-contre-l-uruguay-a-t-il-ete-justement-refuse_60086421.html

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-du-monde/xv-de-france-macalou-l-un-des-rares-a-ne-pas-etre-tombe-dans-le-panneau-des-uruguayens-20230915

à la 77eme d'un match quil a joué en intégralité.
( bon par contre il était déjà en apoplexie au point d'en oublier les règles dans les rucks, mais sur les capacités de courses je persiste ).

Matiu a tout pour devenir un tout bon, sans pour autant avoir besoin qu'on minimise les qualités des autres.
Laissons le devenir le joueur qu'il peut devenir

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/clementcarpet/status/1853372049655234666

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Pour faire le " Jean Michel Premierdegrés ", sur la vitesse de course et l'explosivité, là comme ça deux noms me viennent en tête: Nyanga et Macalou, qui eux aussi avaient/ont une pointe de vitesse peu commune pour des joueurs du Pack.

Ceci dit, sur le debut de saison et les promesses qu'il laisse entrevoir Matiu est bluffant.

En parlant de Macalou, je ne sais pas s'il aurait un gaz pareil après avoir joué 80 minutes, à titre personnel, je ne le crois pas…

https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-2023-l-essai-de-macalou-contre-l-uruguay-a-t-il-ete-justement-refuse_60086421.html

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-du-monde/xv-de-france-macalou-l-un-des-rares-a-ne-pas-etre-tombe-dans-le-panneau-des-uruguayens-20230915

à la 77eme d'un match quil a joué en intégralité.
( bon par contre il était déjà en apoplexie au point d'en oublier les règles dans les rucks, mais sur les capacités de courses je persiste ).

Matiu a tout pour devenir un tout bon, sans pour autant avoir besoin qu'on minimise les qualités des autres.
Laissons le devenir le joueur qu'il peut devenir

Non justement, j'avais acquiescé quand on l'avait déjà comparé à Macalou, je crois que c'était Zizou. Macalou est un athlète hors pair, mais je le crois moins endurant, tout simplement…

En tous cas, déjà 4 essais en 8 matchs !

Avec Tixeront de l'ASM, il est le meilleur marqueur d'essais parmi tous les gros du TOP14

Thony a écrit:En tous cas, déjà 4 essais en 8 matchs !

Dans des registres complètement différents, quand on compare celui-là, un essai d'ailier, où il arrive au bout de son sprint et de 80 minutes de jeu, comme s'il venait de commencer à jouer, tranquille   . Ou celui contre LR, façon perce muraille, entre Atonio et Skelton de la bombe ce joueur !!!

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/clementcarpet/status/1853372049655234666

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Pour faire le " Jean Michel Premierdegrés ", sur la vitesse de course et l'explosivité, là comme ça deux noms me viennent en tête: Nyanga et Macalou, qui eux aussi avaient/ont une pointe de vitesse peu commune pour des joueurs du Pack.

Ceci dit, sur le debut de saison et les promesses qu'il laisse entrevoir Matiu est bluffant.

Mamad également, grosse pointe de vitesse et explosivité.

biscouette a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/clementcarpet/status/1853372049655234666

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Pour faire le " Jean Michel Premierdegrés ", sur la vitesse de course et l'explosivité, là comme ça deux noms me viennent en tête: Nyanga et Macalou, qui eux aussi avaient/ont une pointe de vitesse peu commune pour des joueurs du Pack.

Ceci dit, sur le debut de saison et les promesses qu'il laisse entrevoir Matiu est bluffant.

Mamad également, grosse pointe de vitesse et explosivité.

C’est vrai tu as complètement raison ! je me rappèle d’une de ses courses ponctuées de deux raffuts énormes contre Grenoble et un essai, pas le meilleur exemple, mais c’est celui qui bizarrement me revient en tête

Scalp a écrit:

biscouette a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/clementcarpet/status/1853372049655234666

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Pour faire le " Jean Michel Premierdegrés ", sur la vitesse de course et l'explosivité, là comme ça deux noms me viennent en tête: Nyanga et Macalou, qui eux aussi avaient/ont une pointe de vitesse peu commune pour des joueurs du Pack.

Ceci dit, sur le debut de saison et les promesses qu'il laisse entrevoir Matiu est bluffant.

Mamad également, grosse pointe de vitesse et explosivité.

C’est vrai tu as complètement raison ! je me rappèle d’une de ses courses ponctuées de deux raffuts énormes contre Grenoble et un essai, pas le meilleur exemple, mais c’est celui qui bizarrement me revient en tête

Également une percée avec Grenoble contre nous où il dépose certains de nos 3/4…

biscouette a écrit:

Scalp a écrit:

biscouette a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/clementcarpet/status/1853372049655234666

Et à la 80ᵉ s'il vous plait !!!

Pour faire le " Jean Michel Premierdegrés ", sur la vitesse de course et l'explosivité, là comme ça deux noms me viennent en tête: Nyanga et Macalou, qui eux aussi avaient/ont une pointe de vitesse peu commune pour des joueurs du Pack.

Ceci dit, sur le debut de saison et les promesses qu'il laisse entrevoir Matiu est bluffant.

Mamad également, grosse pointe de vitesse et explosivité.

C’est vrai tu as complètement raison ! je me rappèle d’une de ses courses ponctuées de deux raffuts énormes contre Grenoble et un essai, pas le meilleur exemple, mais c’est celui qui bizarrement me revient en tête

Également une percée avec Grenoble contre nous où il dépose certains de nos 3/4…

Plus le souvenir…, mais j’ai retrouvé l’essai dont je parle, pas le meilleur exemple d’une longue course rapide, mais pas mal dans le genre pousse toi de là que je passe…