Blair Connor

http://northside-chronicle.whereilive.com.au/sport/story/blair-connor-takes-flight/


Blair Connor takes flight

WAVELL HEIGHTS: Lightning-quick centre Blair Connor will play his last game for Norths on Saturday before heading overseas to take up a two-year contract with French rugby club Bordeaux.

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Connor, 21, has played seven matches for the Queensland Reds.
He leaves on June 26, but says he will be back playing for the Eagles in the future. ``My main goal in life is to win a premiership with Norths, so I’ll be back at some stage playing rugby here,’’ he said. ``To watch the club grow in the last four or five years from where it was is just great.
``One of the hardest things was having to tell Rochey (coach Chris Roche) and having to leave mid-season. But they’ve been 100 per cent supportive right from the start.’‘
Connor is a fast, elusive and deceptively strong centre who has terrorised club defences. But after an injury-plagued time with Queensland which included a shoulder reconstruction and nine-month foot injury he said it was time for a ``fresh start’‘.
The French season begins in August. Connor said one of the lures was the lifestyle.
``The beach is 20km away from where I’m staying and I love to surf. I can’t think of anything better than going to training then going for a surf on the way home.
``All my goals were to see how far I could get and have fun along the way. I was lucky enough to play seven games and to me it feels like I’ve ticked that box.’‘
Connor said he would take French lessons as part of his contract.


La même en couleur

http://city-north-news.whereilive.com.au/news/story/norths-star-to-start-two-year-contract-in-france/


Norths star to start two-year contract in France

Red to Bordeaux: Blair Connor is off to France, but says he'll be back to win a premiership with Norths.

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LIGHTNING-QUICK centre Blair Connor will play his last game for Norths on Saturday before heading overseas to take up a two-year contract with French rugby club Bordeaux.
Connor, 21, has played seven matches for the Queensland Reds and leaves on June 26, but has declared he will be back playing for the Eagles in the future.
``My main goal in life is to win a premiership with Norths, so I’ll be back at some stage playing rugby here,’’ he said.
``To watch the club grow in the past four or five years from where it was is just great.
``One of the hardest things was having to tell Rochey (coach Chris Roche) and having to leave mid-season. But they’ve been 100per cent supportive right from the start.’‘
Connor is a fast, elusive and deceptively strong centre who has terrorised club defences, but said after an injury-plagued time with Queensland which included a shoulder reconstruction and nine-month foot injury it was time for a ``fresh start’‘.
The French season begins in August and Connor said one of the big lures in heading there was the lifestyle.
``The beach is 20km from where I’m staying and I love to surf,’’ he said.
``I can’t think of anything better than going to training then going for a surf.
``My goals were to see how far I could get and have fun along the way. I was lucky enough to play seven games (for Queensland) and it feels like I’ve ticked that box.’‘
Connor doesn’t speak French but he will take lessons as part of his deal.


Bucolique l'Australie non ? http://www.qru.com.au/library/news/2010/100619_norths_v_wests,72147.html/section/70000

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Blair Connor shepherds the ball over the dead ball line ahead of the Gold Coast's Nicol Ruchti

http://www.sudouest.fr/2010/08/27/attention-bombe-169994-8.php

27 août 2010 06h00 | Par nicolas le gardien 0 commentaire(s)
Attention, bombe
Espoir australien, Blair Connor, déroutant à tous les sens du terme, a choisi de s'exiler à 21 ans.

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Blair Connor a crevé l'écran contre les Saracens à Capbreton. Confirmation ce soir ? PHOTO XAVIER GES

Laurent Marti voit en lui « un futur Dominici ». On mettra pourtant un bémol : le Toulonnais ressemble à un joueur de rugby. En civil, Blair Connor, lui, a plus des airs de navigateur, ou de surfeur. « La légende veut qu'il ait choisi Bordeaux lorsqu'il a vu que c'était à côté de Lacanau », sourit d'ailleurs le président. À vrai dire, ce n'est pas qu'imaginaire : pour sa dernière interview au « Northside Chronicle », quotidien de son pays, l'Australien a confirmé que la présence des vagues l'avait emballé. « Le surf ? Seulement après, rigole-t-il aujourd'hui. Pour l'instant, je me consacre à l'entraînement ».

Cela rassurera Marc Delpoux qui - la légende, toujours - se serait écarquillé les yeux en venant accueillir à l'aéroport ce jeune homme aux cheveux presque blancs, qui a traversé la planète à 21 ans avec comme seuls bagages une paire d'espadrilles, un maillot et sa planche. Alors, un touriste, Blair ? Justement, non. Une bombe de tonicité qui a confirmé lors de ses deux premiers matches amicaux qu'elle ne demandait qu'à exploser. Un espoir wallaby qui a débuté dans le Super 14 à 19 ans, après avoir marqué quatre essais en trois matches lors de la Coupe du monde des moins de 19 ans en 2007 (3e) et remis ça dans la catégorie suivante (5e) en participant au passage au lessivage (42-17) de Bleuets nommés Parra, Bastareaud ou David.
Il voulait arrêter

Bon, on est d'accord, il y a un loup : que fait un tel pedigree en Pro D2 ? « Un coup de chance », répond Laurent Marti. Pour le club, mais aussi pour lui. Lorsque son téléphone a sonné, cet ailier polyvalent qui en était en juin à 8 essais en 10 matches dans le championnat australien 2010, pensait arrêter sa carrière.

« J'avais eu plusieurs blessures (NDLR : en 2009), une à l'épaule, une à la cheville, j'en avais un peu marre de faire la même chose tous les jours. Et je n'avais plus la flamme ». Alors, comme une bouteille à la mer, l'ancien joueur de XIII (à l'école, et jusqu'à 16 ans) a envoyé son CV à l'étranger, pour « retrouver la passion ». « Il a retenu notre attention, reprend le président. Vincent a tout de suite regardé des images et m'a rappelé en disant : "c'est de la balle !" » « Ce qui m'a plu est que, même quand c'est un autre qui marquait, on voyait toujours sa crinière blonde au soutien, explique l'entraîneur. C'est un type de joueurs qu'on n'avait pas, vif, spontané ».
Joie de vivre

Quatre mois plus tard, Blair Connor promène sa joie de vivre à André-Moga. « Bordeaux a été le premier à appeler, j'ai regardé où c'était et j'ai dit oui tout de suite. Je ne regrette pas : j'adore la région, le groupe est très sympa. Je m'amuse bien ! » Un air de gamin espiègle, qui n'empêche pas Martin Jagr, qui en a pourtant vu à Toulon, de lever le sourcil quand il écoute l'énumération du nom de ses ex-coéquipiers. Six d'entre eux disputeront le dernier match des Tri-Nations demain face à l'Afrique du Sud.

« Il est bourré d'énergie, est un peu fou-fou, court partout, sourit le Tchèque. Je me retrouve un peu quand j'étais jeune ! On s'entend bien, j'essaie de le couvrir mais surtout pas de le canaliser : cet enthousiasme est un plus ». « C'est un garçon qui, juste avant un match, va être capable de plaisanter et, dès qu'il est sur le terrain, il est tout de suite présent défensivement, à l'affût, pointe Vincent Etcheto. Maintenant, on va juger son efficacité contre Colomiers. On l'a mis à l'arrière pour montrer qu'on comptait sur lui, le voir à ce poste ».
« Je ne suis pas carriériste »

Pour l'ancien ouvreur, si tout va bien, quelques yeux du niveau au-dessus pourraient vite se braquer sur lui. Son copain de Norths, Michael Bond, qui a suivi la même démarche un mois plus tard, a d'ailleurs atterri à Biarritz. Et tant pis si l'ex-protégé de Chris Roche, emblématique flanker australien des années 80, a dû mettre en parenthèses sa carrière internationale à VII, et une éventuelle future candidature à XV. « Jouer pour mon pays, ça a été une grande émotion. Mais je ne suis pas carriériste. Je le répète : ce qui m'importe, c'est de prendre du plaisir, d'apporter ma bonne humeur ici. » Déroutant, on vous dit.


Entre Garonne et Océan, prions pour Silver Blair nous réalise de belles figures dès ce soir.

Flamboyant en amical, très attendu, le jeune ailier australien n'a pas confirmé jusqu'ici tous les espoirs. Mais sans faire de bruit, est en train de s'installer depuis début 2011.

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En vue contre Saint-Etienne, Connor tenter de confirmer sa montée en puissance. PHOTO laurent theillet

On ne va pas le cacher : à l'heure actuelle, on reste un peu sur notre faim. Fort de références flatteuses (1), flamboyant lors de ses deux sorties amicales et aligné d'entrée contre Colomiers à l'arrière, Blair Connor avait à l'entame de la saison le profil de la future « star » de l'Union Bordeaux-Bègles. Six mois plus tard, le bilan de l'ailier australien est plus contrasté : 0 essai, une phase aller traversée avec une balance actions décisives/balles perdues tout juste équilibrée. Alors, erreur de casting ? Affirmer cela serait allé (beaucoup) trop vite en besogne.

Car d'autres statistiques parlent pour celui qui a disputé deux Coupes du Monde (moins de 19 et moins de 20 ans) avec les jeunes Wallabies : il n'a pas manqué une seule minute lors des cinq performances à l'extérieur (nul à Grenoble, succès à Saint-Étienne, Aix, Narbonne, Colomiers) et est depuis la trêve le trois-quart le plus utilisé. En vue contre Saint-Étienne, il n'a pas été inintéressant à Albi. « Il est de mieux en mieux, pointe Vincent Etcheto, l'entraîneur des arrières. C'est un gamin plein d'envie, courageux dans ses initiatives, sur les ballons aériens et en défense, et l'un de ceux qui avancent le plus en restant debout. »

Un grand saut à digérer
Presqu'un paradoxe : le jeune homme serait en train de s'affirmer par sa sobriété, lui le « chien fou », dixit le Bayonnais, dont le gaz et l'explosivité tapent à l'œil. Et dont le staff a vite mesuré quelle serait sa difficulté : culotté au possible pour son entrée en matière à Moga face aux Columérins, le benjamin du groupe (2) avait relancé quasiment tous les ballons, allumant quelques mèches mais en brûlant certains et participant ainsi au revers collectif. « On l'attendait comme une solution à l'arrière et on s'est rendu compte que c'était un peu tôt : d'abord car il a des grosses lacunes dans le jeu au pied et ensuite, car, avec lui, il n'y avait pas de temps forts et de temps faibles, mais que des temps forts et des ballons à jouer », reprend Vincent Etcheto.

Blair Connor a aussi été victime malgré lui de ses prestations estivales : en quelques percées, il avait fait oublier qu'on ne traverse pas seul la planète, à 21 ans (22 désormais), sans une période d'adaptation et sans pièges. À la différence d'Adams, Avei ou Mailei venus aussi directement de l'Hémisphère Sud et au gros vécu, lui n'en est qu'aux prémices de sa carrière.

La découverte de la vie bordelaise lui a valu une petite baisse physique à l'automne mais surtout, l'ancien joueur des Queenslands Reds, où il a découvert le Super 14 à 19 ans avec une partie de la sélection australienne actuelle, a dû s'imprégner de la culture tactique française, la barrière de la langue n'aidant pas. « Les positionnements ne sont pas les mêmes que ce que je connaissais, explique l'intéressé. Et il y a la pluie : en Australie, il n'y en a pas, et on joue très peu au pied. » « Marc (Delpoux) et moi lui parlons beaucoup, glisse Vincent Etcheto. Il avait l'habitude d'être complètement libre. Ici, cette liberté existe aussi, mais avec un cadre. Au début, sur trois lancements, il allait se tromper deux fois. Il a fallu répéter mais ce n'est pas un problème : il a envie et est toujours positif. »

Un essai, un déclic ?
Conseillé aux entraînements par les anglophones, cet amoureux du jeu apporte en échange sa fraîcheur. Et remonte en puissance : « À force de travailler les mouvements, je me sens plus à l'aise » dit-il, visant « la demi-finale et la montée, même si ce sera difficile ».

Reste aussi à marquer cet essai qui pourrait faire office de déclic, alors qu'il a semblé parfois ne pas être assez tueur. « Je n'en fais pas une fixation : je prends autant de plaisir à donner un ballon ou à faire avancer l'équipe », répond l'Australien, engagé jusqu'en 2012.

« On le chambre avec ça, souligne Vincent Etcheto. On sent à l'entraînement qu'il est attiré par la ligne, le problème n'est pas là. À Tarbes, il en a marqué un superbe, refusé pour un en-avant imaginaire, qui aurait pu lancer sa saison. Il le dit lui-même : le climat est de plus en plus australien. Ça va venir. On le dit chaque week-end, mais j'espère que ce sera pour Aix. »

(1) « Sud Ouest » du 27 août 2010. (2) Seuls Emmanuel Saubusse, Gauthier Gibouin et Camille Lopez sont plus jeunes d'un an.

http://www.sudouest.fr/2011/03/05/connor-six-mois-plus-tard-333566-773.php

Un bon papier sur un super joueur. Contre Aix, il a été un des rares à être au dessus et je continue à penser qu'il va être un catalyseur de notre fin de saison. La plus grande difficulté c'est d'intégrer ce type de joueur dans le collectif et là, les entraineurs ont déjà fait un grand boulot: vive demain !

Il a prolongé avec L'UBB jusqu'en 2014 sans clause en cas de descente en PRO D2 -ce qui n'arrivera pas-
L'annonce vient d'en être faite.

Alors ca fait deux bonnes nouvelles, l'autre étant qu'Enzo est toujours aussi affuté !

Bel article de GP dans le Midol sur notre Blair préféré.

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Vincent a eu du nez ...

J'ai honte,

Oui vraiment un gars sympa et comme l'équipe très abordable. On en re-veux des comme-ça: bravo à Etcheto pour ce coup d'oeil

http://www.sudouest.fr/2011/12/30/connor-sur-sa-lancee-592930-773.php

Par Yoan Leshauriès

Connor sur sa lancée

Après avoir réalisé une belle saison en Pro D2, l'ailier australien reste une des grandes satisfactions de Bordeaux-Bègles avec qui il a prolongé pour deux ans

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L'essai de 80 mètres de Blair Connor n'avait pas suffi à l'Union face au Stade Français au match aller (41-20).

Il avait signé ses débuts en Top 14 par une interception suivie d'un essai de plus de 80 mètres. C'était le 26 août dernier à Charléty, face au Stade Français. Mais Blair Connor se souvient surtout de la fessée reçue par Bordeaux-Bègles ce soir-là. « À la fin du match, j'ai regardé le score (NDLR : 41-20). Je me suis vite rendu compte qu'il fallait s'améliorer si on voulait exister. Heureusement, on s'est vite repris face à Bayonne, alors ça ne m'a pas fait peur ».

Après avoir réalisé une grande saison en Pro D2 pour son arrivée en France (28 matches dont 24 en tant que titulaire, 4 essais), la question était de savoir si l'ex-joueur des Queensland Reds (Super 14) aurait le même potentiel en Top 14. « La réponse est oui, affirme d'ores et déjà le manager de l'Union Marc Delpoux. Ils sont deux-trois joueurs à donner vraiment d'énormes satisfactions depuis le début. Comme Ole Avei et Justin Purll, Blair en fait partie. Les joueurs cadres sont au rendez-vous, c'est pourquoi nous sommes encore dans la course pour le maintien ».

Sans clause

L'entraîneur des arrières Vincent Etcheto ne tarit pas d'éloges, lui non plus, sur l'ailier australien. « Blair est tout ce que j'aime sur le terrain : il est généreux, il court partout, il gagne ses duels, il a toutes les qualités d'un ailier moderne. Il était encore dans tous les bons coups à Perpignan (défaite 38-13) ». Même si l'Australien a laissé jouer ses coéquipiers à quatorze pendant dix minutes en fin de première période suite à un en-avant volontaire. « Pour moi, la pénalité aurait suffi, juge Blair Connor. Mais si je ne fais pas ce geste, Perpignan marque l'essai ». Un réflexe de survie qui n'avait empêché l'Union de prendre l'eau en seconde période. « À chaque fois, c'est pareil, regrette Blair Connor. À Toulouse, Clermont et Perpignan, on fait de bonnes premières mi-temps avant de craquer. Je ne sais pas l'expliquer. Ça doit être un problème mental ».

À Aimé-Giral, l'ailier australien est pourtant allé au charbon, comme à son habitude, perforant la défense catalane à deux reprises. « C'est l'un des rares à avoir donné satisfaction à toutes ses sorties, comme Bruce Reihana, affirme Vincent Etcheto. Alors Bruce a 37 ans, c'est l'expérience qui parle. Blair (NDLR : 23 ans), c'est plutôt la fougue, l'insouciance… Et en plus, il est dur comme de la pierre ».

La bonne nouvelle pour l'Union, c'est que Blair Connor a prolongé son contrat de deux saisons supplémentaires la semaine dernière. « Bordeaux, c'est ma maison. Le club, la ville, les gens, j'aime vraiment tout ici », se réjouit le joueur. « Ce que j'ai vraiment apprécié, c'est qu'il a resigné même si on descend en Pro D2, il n'a pas voulu de clause. C'est à l'image du personnage, il est entier, naturel… », souligne Vincent Etcheto.

« Pas un finisseur »

L'entraîneur des arrières voit une grande marge de progression chez son protégé. « Blair a un jeu au pied de minime et il a encore des insuffisances sur la qualité de passes. Il a envie de progresser et ça se voit ». Et si le compteur de Connor est bloqué à un essai cette saison en Top 14, Vincent Etcheto précise que son ailier ne « sera jamais un finisseur. Lui, c'est plutôt un créateur, un perforateur de défense. À moyen terme, il serait intéressant de le voir évoluer au centre ». Pour l'heure, lancés dans l'opération maintien, Connor et l'Union ont une revanche à prendre sur le Stade Français. L'Australien est bien conscient de la difficulté : « Avec le retour des internationaux, ce match n'aura rien à voir avec le premier. Ce sera encore plus dur ». Mais il en faut plus que ça pour terroriser le natif de Brisbane.

Union Bordeaux-Bègles · Top14 · rugby · Sports

Play it again Sam

C'est vrai qu'à Perpignan les supporteurs de l'USAP autour de moi me demandaient tous qui étaient ce petit blond qui est vraiment un bon de chez bon.

Et un très chic type, à l'instar de Nico Descamps ou Ged Fraser.

Parce que des grands joueurs très bons sportivement mais nuls humainement, ca existe, et j'en connais personnellement certains (à Clermont, pour commencer).

Blair, c'est un mec génial sur et en dehors du terrain, et c'est rare, alors je tiens à le souligner

L'ailier australien de l'Union Bordeaux-Bègles Blair Connor s'est vu décerner par les internautes de sudouest.fr et les auditeurs de France Bleu le trophée France Bleu/Sud Ouest pour le mois de décembre. Avec 51 % des voix, il devance Dimitri Yachvili (Biarritz, 39 %) et Cédric Heymans (Bayonne, 10 %).

En Pro D2, c'est le Dacquois Mickaël Bert qui, avec 45 % des voix, termine en tête devant le Périgourdin Benjamin Botica et le Palois Andres Bordoy.

Pro D2 · rugby · Biarritz · Gironde

http://www.sudouest.fr/2012/01/13/blair-connor-joueur-de-decembre-603608-773.php

C'est mérité et fait du bien toutes ces ondes positives !

J'ai vu jouer l'UBB pour la 1ère fois pour les demi d'accession au Top 14, en Mai-Juin dernier, contre je ne sais plus qui (ma mémoire me fait souvent défaut), et il y a un joueur qui m'a tapé dans l'oeil : Blair Connor ! Je suis tombé amoureux de ce joueur, il respire la joie de jouer avec son insouciance et sa fougue.
Avec un pote, on se disait que si l'UBB descendait au terme de la saison, il ne serait pas difficile pour lui de rester en Top 14. Mais au final, sa prolongation est une super nouvelle.

Comme disent les jeunes, Blair, je kiffe grave !

Dossier et longue interview audio (en 2 parties) de Blair par Florian Rodriguez de on-en-discute.com http://www.on-en-discute.com/spip.php?article31

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Même une vidéo de quelques actions du petit blond



Beau travail.

Ce type est B r i l l a n t

http://www.sudouest.fr/2012/01/31/connor-a-recu-son-trophee-619948-773.php

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Connor a reçu son trophée

Élu meilleur joueur aquitain de Top 14 du mois de décembre par les auditeurs, les lecteurs et les Internautes, l'ailier de l'Union Bordeaux-Bègles Blair Connor a reçu le Trophée « France Bleu - Sud Ouest » hier dans les locaux de France Bleu Gironde à Bordeaux. L'Australien était pour l'occasion l'invité de « La Mêlée du lundi », émission hebdomadaire de notre confrère sur l'Union Bordeaux-Bègles et le rugby en général. photo dr

Top14 · rugby · Union Bordeaux-Bègles

Bravo Blair, tu l'as bien mérité...
Continue à bien t'éclater sur un terrain et de préférence avec l'Union...!
Félicitations

et

Bravo blair, continu à nous faire vibrer et rêver

Ce type est fantastique, et pas vraiment un "touriste".
j'adore son style jeu et sa philosophie de vie teintée très "surf ":

"cool life " mais à donf et "no limits" sur un terrain.

Je ne l'ai jamais vu surfer mais je supose que c'est du pareil au même. A propos de surf une petit idée :idea: :je verrais bien ses suppoters se cotiser et lui faire shapper un planche avec les brillantes couleurs réhaussées d'un dammier et d'un lion...

Ok pour participer à cette proposition.

Combien cela coûte t'il?

Dès que tu auras le prix Buz, je veux bien m'occuper de la coordination du projet.

Naturellement, la partie technique te revient.

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Blair on t'a reconnu.

Super le surfer d'argent!

Pour remercier Blair de son jeu et surtout de rester au club:

Une planche de surf ça va de 300 jusqu'à 1000 €

Prix moyen 500€ soit 10 € pour 50 supporters, Ou bien demander des financements?

Mon idée :idea: lui faire shapper un planche à ses mesures (1,83 m, 82 kg) à à son niveau. Un australien c'est généralement bon et explosif comme vous avez pu remarqué sur le terrain de l'ovalie. Trouvez un shaper (en gironde si possible) pour faire le boulot et une peinture avec un damier et un lion.

Ce sont la plupart du temps des artisans indépendants qui travaillent à la commande.
http://shapers.awprod.com/index64_40_33.html . Il y a même un béglais.

On peut faire un petit "buz évènementiel" remise de la planche par les supporters joueurs et staff... et faire un peu de pub à notre shapper pour négocier son prix.

C'était ton idée Buzz ? donc "rendons à Buzz ce qui appartient à César"
Je trouve l'idée très bonne mais Blair est-il le seul à devoir être récompensé quand nous reconnaissons tous que ce qui fait l'identité et la force de l'UNION c'est l'équipe ?
Faire faire une planche sans connaitre les qualités, la technique les goûts de l'intéressé me semble difficile ...c'est le propre du sur mesure.
Y aurait-il moyen de lui en subtiliser une pour rajouter ce logo de l'union en toute discrétion
Si on part sur un cadeau à 500 ou 1000 euros pour un joueur il va falloir se dépouiller si nous voulons en faire de même pour tout l'effectif
Un bible aux couleurs de l'Union pour Heini, une barrique d'Union Cola pour Ole..etc

Pour info, comme le montre la photo passée dans le midol en décembre, sa planche actuelle est probablement signée John Vinson d'Aqua Foils (Queensland).

J'espère qu'il n'y a pas un joueur qui est fan de jets privés