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Dan Léo
+2
patrick
léopold
6 participants
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Dan Léo
http://www.sudouest.fr/2010/09/11/leo-n-est-pas-fonua-182061-8.php
11 septembre 2010 06h00 | Par nicolas le gardien
Leo n'est pas Fonua
On pensait voir dans l'international samoan une « star » et un impact-player. On découvre un joueur de devoir et un personnage discret.
Leo veut s'élever vers une deuxième Coupe du Monde. PHOTO L.T.
C'était vendredi, une semaine après Colomiers (15-20). À l'issue de la mise en place, Marc Delpoux, le manageur de l'Union, montait au créneau pour défendre Daniel Leo, cristallisateur de nombre de points d'interrogation après l'ouverture ratée. Avec l'international samoan, les observateurs, au sein du club inclus, s'attendaient à voir débarquer un monstre capable de dynamiter les défenses à lui seul, de plaquer à tout-va. Or ses premières prestations avaient montré un troisième ligne aile au gabarit impressionnant mais passant rarement la ligne, avançant peu aux impacts, défendant debout. Tout en coûtant 3 points face aux Haut-Garonnais sur un en-avant au pied des poteaux. « Pour moi, il a été l'un des deux meilleurs joueurs », glissait pourtant l'ex-Narbonnais.
Et d'expliquer : « n'attendez pas de voir Fonua (NDLR : le puissant numéro 8 d'Agen) : ce n'est pas son profil. Ce n'est pas non plus un plaqueur-gratteur comme Arthur (Chollon) ou coureur-pénétrant comme Charlie (Ternisien). C'est un troisième ligne fort. Qui va être capable de fixer deux ou trois défenseurs tout en faisant vivre le ballon très vite derrière lui, et de stopper ses adversaires. On n'avait pas de joueurs dans ce style et il répond exactement à mes attentes ». Le lendemain, l'œil sur sa prestation contre Aurillac - en deuxième ligne - n'était forcément plus le même : toujours pas de charges dévastatrices, mais effectivement zéro ballon perdu ou enterré, pas un adversaire relâché. Propre à défaut d'être flamboyant.
Engagement religieux
À vrai dire, depuis son arrivée, Dan Leo n'est pas vraiment tel qu'il était imaginé. L'étiquette « îlien » le voudrait fantasque. L'homme, à l'anglais londonien, est posé et réfléchi ; le joueur plutôt de « devoir ». « Il a une caisse qui, contrairement à d'autres joueurs du Pacifique, lui permet d'être très régulier, reprend Marc Delpoux. Il ne sera jamais largement au-dessus de son niveau, mais rarement en dessous non plus ».
Surtout, son pedigree (lire ci-contre) et son statut de joueur apprécié aux Wasps l'annonçaient comme une « star ». L'intéressé, qui avait quitté la Nouvelle-Zélande pour l'Australie avec sa famille à 18 ans, s'avère en réalité discret. Sociable et à l'écoute, mais sans se mettre en avant. Croyant pratiquant et engagé à ce titre dans des actions bénévoles, il s'est installé à La Bastide et s'est intégré sans coup férir à Bordeaux. « Avec mon épouse (NDLR : anglaise), nous sommes ravis de la région : on a vu de lieux magnifiques, rencontré pas mal de gens. J'ai eu la chance qu'un ami français de ma communauté (chrétienne) à Londres m'introduise dans celle de Bordeaux ».
Guidé par Ibanez
L'homme qui l'a guidé vers l'Union est lui landais : Raphaël Ibanez, l'ancien capitaine du XV de France avec qui il a été champion d'Europe aux Wasps en 2007. « J'étais en fin de contrat et le club m'a proposé de me prolonger de deux ans. Mais je ne jouais que des fins de match et, en vue de la Coupe du monde, je souhaitais retrouver un endroit où je serai aligné 80 minutes. De plus, l'atmosphère londonienne est stressante, le climat difficile, et, avec mon épouse, nous étions attirés par une expérience de vie en France. J'ai appelé Raphaël. Il m'a dit que la situation économique des clubs était difficile. Mais il en a parlé à Olivier Brouzet et Bordeaux m'a contacté. J'y avais joué un match pendant la Coupe du monde, je n'ai pas hésité ». Pas effarouché de se retrouver en Pro D2. « Avec les Wasps, le challenge était le titre. Là, il est d'aider le club à retrouver le Top 14 : c'est différent, mais aussi excitant ».
« Cestus m'avait prévenu »
L'accueil des adversaires, n'hésitant pas à « tester » ses nerfs, a en revanche été plus hostile pour ce numéro 5 (en sélection) ou 6 (aux Wasps). « Cestus Jonhston (NDLR : pilier de Toulouse) m'avait prévenu qu'il fallait que je me prépare à un gros combat chaque semaine. Il y a moins d'intensité, d'habileté technique, mais énormément de joueurs très, très costauds. Ça ne me déplaît pas ».
Un clic sur Youtube suffit à voir que le colosse ne se laisse pas marcher sur les pieds. « L'engagement, se donner à fond, j'aime cela. Et j'ai progressé physiquement depuis que je suis ici : en Angleterre, on ne faisait quasiment que de la musculation en préparation, là j'ai pris du « souffle ». Maintenant, je sais que je dois être plus performant en touche, en mêlée ». Heureux de « ne plus avoir à ne faire que défendre et des pick and go : aux Wasps, climat oblige, on se contentait surtout d'occuper et de mettre la pression ». Son souhait maintenant : retrouver la sélection (la dernière remonte au 28 novembre contre l'Italie). « J'ai décliné la Coupe du Pacifique en juin pour mieux m'adapter ici. J'espère revenir pour les tests de novembre ! »
Bel article mais au point où nous en sommes c'est sur l'ouvrage qu'on jugera de l'ouvrier, bien sur on peut le voir avec les yeux de chimène ou à contrario ne rien lui laisser passer, non , il est là et il faut souhaiter qu'il apporte beaucoup au jeu de l'UBB et bien sur un temps d'acclimatation pour lui comme les autres parait être la moindre des choses.
Donc confiance, les matchs à venir seront de très bon révélateur de nouveau talent.
11 septembre 2010 06h00 | Par nicolas le gardien
Leo n'est pas Fonua
On pensait voir dans l'international samoan une « star » et un impact-player. On découvre un joueur de devoir et un personnage discret.
Leo veut s'élever vers une deuxième Coupe du Monde. PHOTO L.T.
C'était vendredi, une semaine après Colomiers (15-20). À l'issue de la mise en place, Marc Delpoux, le manageur de l'Union, montait au créneau pour défendre Daniel Leo, cristallisateur de nombre de points d'interrogation après l'ouverture ratée. Avec l'international samoan, les observateurs, au sein du club inclus, s'attendaient à voir débarquer un monstre capable de dynamiter les défenses à lui seul, de plaquer à tout-va. Or ses premières prestations avaient montré un troisième ligne aile au gabarit impressionnant mais passant rarement la ligne, avançant peu aux impacts, défendant debout. Tout en coûtant 3 points face aux Haut-Garonnais sur un en-avant au pied des poteaux. « Pour moi, il a été l'un des deux meilleurs joueurs », glissait pourtant l'ex-Narbonnais.
Et d'expliquer : « n'attendez pas de voir Fonua (NDLR : le puissant numéro 8 d'Agen) : ce n'est pas son profil. Ce n'est pas non plus un plaqueur-gratteur comme Arthur (Chollon) ou coureur-pénétrant comme Charlie (Ternisien). C'est un troisième ligne fort. Qui va être capable de fixer deux ou trois défenseurs tout en faisant vivre le ballon très vite derrière lui, et de stopper ses adversaires. On n'avait pas de joueurs dans ce style et il répond exactement à mes attentes ». Le lendemain, l'œil sur sa prestation contre Aurillac - en deuxième ligne - n'était forcément plus le même : toujours pas de charges dévastatrices, mais effectivement zéro ballon perdu ou enterré, pas un adversaire relâché. Propre à défaut d'être flamboyant.
Engagement religieux
À vrai dire, depuis son arrivée, Dan Leo n'est pas vraiment tel qu'il était imaginé. L'étiquette « îlien » le voudrait fantasque. L'homme, à l'anglais londonien, est posé et réfléchi ; le joueur plutôt de « devoir ». « Il a une caisse qui, contrairement à d'autres joueurs du Pacifique, lui permet d'être très régulier, reprend Marc Delpoux. Il ne sera jamais largement au-dessus de son niveau, mais rarement en dessous non plus ».
Surtout, son pedigree (lire ci-contre) et son statut de joueur apprécié aux Wasps l'annonçaient comme une « star ». L'intéressé, qui avait quitté la Nouvelle-Zélande pour l'Australie avec sa famille à 18 ans, s'avère en réalité discret. Sociable et à l'écoute, mais sans se mettre en avant. Croyant pratiquant et engagé à ce titre dans des actions bénévoles, il s'est installé à La Bastide et s'est intégré sans coup férir à Bordeaux. « Avec mon épouse (NDLR : anglaise), nous sommes ravis de la région : on a vu de lieux magnifiques, rencontré pas mal de gens. J'ai eu la chance qu'un ami français de ma communauté (chrétienne) à Londres m'introduise dans celle de Bordeaux ».
Guidé par Ibanez
L'homme qui l'a guidé vers l'Union est lui landais : Raphaël Ibanez, l'ancien capitaine du XV de France avec qui il a été champion d'Europe aux Wasps en 2007. « J'étais en fin de contrat et le club m'a proposé de me prolonger de deux ans. Mais je ne jouais que des fins de match et, en vue de la Coupe du monde, je souhaitais retrouver un endroit où je serai aligné 80 minutes. De plus, l'atmosphère londonienne est stressante, le climat difficile, et, avec mon épouse, nous étions attirés par une expérience de vie en France. J'ai appelé Raphaël. Il m'a dit que la situation économique des clubs était difficile. Mais il en a parlé à Olivier Brouzet et Bordeaux m'a contacté. J'y avais joué un match pendant la Coupe du monde, je n'ai pas hésité ». Pas effarouché de se retrouver en Pro D2. « Avec les Wasps, le challenge était le titre. Là, il est d'aider le club à retrouver le Top 14 : c'est différent, mais aussi excitant ».
« Cestus m'avait prévenu »
L'accueil des adversaires, n'hésitant pas à « tester » ses nerfs, a en revanche été plus hostile pour ce numéro 5 (en sélection) ou 6 (aux Wasps). « Cestus Jonhston (NDLR : pilier de Toulouse) m'avait prévenu qu'il fallait que je me prépare à un gros combat chaque semaine. Il y a moins d'intensité, d'habileté technique, mais énormément de joueurs très, très costauds. Ça ne me déplaît pas ».
Un clic sur Youtube suffit à voir que le colosse ne se laisse pas marcher sur les pieds. « L'engagement, se donner à fond, j'aime cela. Et j'ai progressé physiquement depuis que je suis ici : en Angleterre, on ne faisait quasiment que de la musculation en préparation, là j'ai pris du « souffle ». Maintenant, je sais que je dois être plus performant en touche, en mêlée ». Heureux de « ne plus avoir à ne faire que défendre et des pick and go : aux Wasps, climat oblige, on se contentait surtout d'occuper et de mettre la pression ». Son souhait maintenant : retrouver la sélection (la dernière remonte au 28 novembre contre l'Italie). « J'ai décliné la Coupe du Pacifique en juin pour mieux m'adapter ici. J'espère revenir pour les tests de novembre ! »
Bel article mais au point où nous en sommes c'est sur l'ouvrage qu'on jugera de l'ouvrier, bien sur on peut le voir avec les yeux de chimène ou à contrario ne rien lui laisser passer, non , il est là et il faut souhaiter qu'il apporte beaucoup au jeu de l'UBB et bien sur un temps d'acclimatation pour lui comme les autres parait être la moindre des choses.
Donc confiance, les matchs à venir seront de très bon révélateur de nouveau talent.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Dan Léo
En effet, bel article.
Ca serait parfait si en plus dans les mots clés "Pro D2 · Sports · rugby · Agen · Top14 · Gironde " on avait pu trouver Union Bordeaux Bègles" à l'image des articles sur les autres clubs
Tout notre soutien à Séti qui vient de perdre son papa
http://www.sudouest.fr/2010/09/11/seti-filo-a-perdu-son-papa-182234-8.php
Ca serait parfait si en plus dans les mots clés "Pro D2 · Sports · rugby · Agen · Top14 · Gironde " on avait pu trouver Union Bordeaux Bègles" à l'image des articles sur les autres clubs
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Allez UBB
Re: Dan Léo
Dans le même style mettre le sujet de Séti avec comme mots clés Union Bordeaux-Bègles · Sports · rugby
Alors qu'il joue maintenant à PAU
Alors qu'il joue maintenant à PAU
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« Patere ut Vinceres !!! » « Souffrir pour Vaincre !!! ». L'esprit champion n'est pas qu'une histoire de talent, mais aussi d'âme et de coeur. Il n'y aurait pas de victoires s'il n'y avait pas, par instants, des chutes, des défaites, des tentations de ployer les genoux.
Re: Dan Léo
http://www.sudouest.fr/2011/09/06/representer-le-pays-et-bordeaux-491182-2780.php
« Représenter le pays et Bordeaux »
La préparation s'est bien passée. Après la Coupe du Pacifique et le match en Australie en juillet, nous avons eu un peu de repos et nous avons passé deux semaines sans toucher le ballon. Nous n'avons recommencé l'entraînement collectif que le 13 août pour nos deux matches amicaux contre la Western Force.
La victoire en Australie (32-23) a été quelque chose d' incroyable, mais je crois que nous commençons tout juste à voir le potentiel de cette équipe samoane. Le pays était si heureux que cela a rendu les efforts de financement plus facile s pour la Coupe du Monde.
Nous sommes partis vers Auckland mercredi dernier, avec la bénédiction de toutes les personnes qui bordaient les rues lorsque nous roulions vers l'aéroport, agitant des pancartes et des drapeaux de soutien. Et à l'arrivée, nous avons eu la joie d'être reçus dans la nuit par 3 000 personnes de la communauté samoane qui nous acclamaient.
L'atmosphère en Nouvelle-Zélande monte progressivement. J'ai été heureux de rencontrer aujourd'hui (hier, NDLR) Christian Califano et Olivier Magne dans la rue. Ils sont ici pour faire des commentaires à la télévision et je les connaissais pour avoir joué avec eux chez les Barbarians britanniques. Cela fait plaisir de voir des visages connus !
On continue de se préparer, mais il y a beaucoup de distractions : il y a énormément de Samoans ici, tous désireux d'être proches de l'équipe.
Avec Ole (Avei), nous avons été soulagés et très fiers d'apprendre que nous étions bien dans les 30. Nous sommes très enthousiastes. L'objectif est de progresser à chaque match de poule. Si nous pouvons élever le niveau physique de l'équipe, il n'y a aucune raison pour que nous ne fassions pas quelque chose de bien. Nous espérons représenter haut les Samoa et Bordeaux.
Nous avons bien sûr suivi de près la préparation et le début de championnat de l'UBB. Et nous avons été super heureux d'apprendre la grande victoire contre Bayonne. Félicitations à toute l'équipe, aux entraîneurs et aux supporteurs. Continuez le bon travail !
Dan Leo
Merci Dan. Nous aussi ont est fier que vous nous représentiez en Nouvelle Zélande. Bon c'est vrai on est un peu triste de ne pas vous avoir à nos côtés mais on se dit qu'à votre retour on sera encore plus fort. Profitez en bien et revenez nous en pleine forme
« Représenter le pays et Bordeaux »
La préparation s'est bien passée. Après la Coupe du Pacifique et le match en Australie en juillet, nous avons eu un peu de repos et nous avons passé deux semaines sans toucher le ballon. Nous n'avons recommencé l'entraînement collectif que le 13 août pour nos deux matches amicaux contre la Western Force.
La victoire en Australie (32-23) a été quelque chose d' incroyable, mais je crois que nous commençons tout juste à voir le potentiel de cette équipe samoane. Le pays était si heureux que cela a rendu les efforts de financement plus facile s pour la Coupe du Monde.
Nous sommes partis vers Auckland mercredi dernier, avec la bénédiction de toutes les personnes qui bordaient les rues lorsque nous roulions vers l'aéroport, agitant des pancartes et des drapeaux de soutien. Et à l'arrivée, nous avons eu la joie d'être reçus dans la nuit par 3 000 personnes de la communauté samoane qui nous acclamaient.
L'atmosphère en Nouvelle-Zélande monte progressivement. J'ai été heureux de rencontrer aujourd'hui (hier, NDLR) Christian Califano et Olivier Magne dans la rue. Ils sont ici pour faire des commentaires à la télévision et je les connaissais pour avoir joué avec eux chez les Barbarians britanniques. Cela fait plaisir de voir des visages connus !
On continue de se préparer, mais il y a beaucoup de distractions : il y a énormément de Samoans ici, tous désireux d'être proches de l'équipe.
Avec Ole (Avei), nous avons été soulagés et très fiers d'apprendre que nous étions bien dans les 30. Nous sommes très enthousiastes. L'objectif est de progresser à chaque match de poule. Si nous pouvons élever le niveau physique de l'équipe, il n'y a aucune raison pour que nous ne fassions pas quelque chose de bien. Nous espérons représenter haut les Samoa et Bordeaux.
Nous avons bien sûr suivi de près la préparation et le début de championnat de l'UBB. Et nous avons été super heureux d'apprendre la grande victoire contre Bayonne. Félicitations à toute l'équipe, aux entraîneurs et aux supporteurs. Continuez le bon travail !
Dan Leo
Merci Dan. Nous aussi ont est fier que vous nous représentiez en Nouvelle Zélande. Bon c'est vrai on est un peu triste de ne pas vous avoir à nos côtés mais on se dit qu'à votre retour on sera encore plus fort. Profitez en bien et revenez nous en pleine forme
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Re: Dan Léo
http://www.sudouest.fr/2011/09/21/nous-n-avons-plus-le-choix-504934-773.php
« Nous n'avons plus le choix »
« Nous n'avons plus le choix »
« Nous sommes très déçus par le résultat contre le Pays de Galles (10-17, lire ci-dessus).
Il était très difficile pour nous de jouer le dimanche après avoir déjà disputé un match le mercredi. Peut-être nos remplaçants auraient dû entrer plus tôt. Il est difficile de voir l'un des meilleurs piliers du monde, Census Johnston (joueur du Stade Toulosain, NDLR) uniquement utilisé pendant dix minutes à chaque rencontre. La même chose avec Ole (Avei, non retenu dans les 22 jusqu'ici, NDLR). Mais c'est une décision des entraîneurs et nous devons l'accepter.
Nous avons maintenant devant nous les matchs contre les Fidji et l'Afrique du Sud où nous n'avons plus le choix : nous devons gagner si nous voulons réaliser nos rêves. Notre objectif immédiat est de ne plus refaire les mêmes erreurs. Nous savons la menace que les Fidji peuvent causer mais nous espérons disputer un "huitième" contre les Springboks.
D'un point de vue personnel, je suis heureux que mes parents et sœurs aient pu venir d'Australie et du Canada pour regarder le match. Cela signifie beaucoup pour moi d'avoir ma famille à mes côtés, profitant de l'occasion pour se réunir. J'avais plus de trente membres d'elle dans le stade, tous vêtus de bleu, le visage peint et criant leur soutien !
Nous n'avons pas encore eu la chance de voir nos amis UBB, Vunga (Lilo), Andrew (Mailei) et Silviu (Florea). Mais ici, à Auckland, on ressent la montée d'une excitation pour le atch que les Néo-Zélandais préparent face à la France ce week-end. Ole et moi ne manqueront pas de soutien de la France !
Avec Ole, nous continuons aussi à nous réveiller toujours tôt pour suivre les résultats de l'UBB. Nos pensées et nos meilleurs vœux sont avec l'équipe et nous nous réjouissons d'être de retour bientôt. Nous voulons aider à maintenir l'équipe en Top 14 ! »
Dan Leo
Top14 · rugby · Gironde
Voyons le côté positif, au moins Ole ne sera pas trop fatigué à son retour ... bien sûr si ses clairvoyants entraineurs ne lui font pas faire les 2 derniers matchs alors que tout semble sinon perdu au moins bien mal entamé
« Nous n'avons plus le choix »
« Nous n'avons plus le choix »
« Nous sommes très déçus par le résultat contre le Pays de Galles (10-17, lire ci-dessus).
Il était très difficile pour nous de jouer le dimanche après avoir déjà disputé un match le mercredi. Peut-être nos remplaçants auraient dû entrer plus tôt. Il est difficile de voir l'un des meilleurs piliers du monde, Census Johnston (joueur du Stade Toulosain, NDLR) uniquement utilisé pendant dix minutes à chaque rencontre. La même chose avec Ole (Avei, non retenu dans les 22 jusqu'ici, NDLR). Mais c'est une décision des entraîneurs et nous devons l'accepter.
Nous avons maintenant devant nous les matchs contre les Fidji et l'Afrique du Sud où nous n'avons plus le choix : nous devons gagner si nous voulons réaliser nos rêves. Notre objectif immédiat est de ne plus refaire les mêmes erreurs. Nous savons la menace que les Fidji peuvent causer mais nous espérons disputer un "huitième" contre les Springboks.
D'un point de vue personnel, je suis heureux que mes parents et sœurs aient pu venir d'Australie et du Canada pour regarder le match. Cela signifie beaucoup pour moi d'avoir ma famille à mes côtés, profitant de l'occasion pour se réunir. J'avais plus de trente membres d'elle dans le stade, tous vêtus de bleu, le visage peint et criant leur soutien !
Nous n'avons pas encore eu la chance de voir nos amis UBB, Vunga (Lilo), Andrew (Mailei) et Silviu (Florea). Mais ici, à Auckland, on ressent la montée d'une excitation pour le atch que les Néo-Zélandais préparent face à la France ce week-end. Ole et moi ne manqueront pas de soutien de la France !
Avec Ole, nous continuons aussi à nous réveiller toujours tôt pour suivre les résultats de l'UBB. Nos pensées et nos meilleurs vœux sont avec l'équipe et nous nous réjouissons d'être de retour bientôt. Nous voulons aider à maintenir l'équipe en Top 14 ! »
Dan Leo
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Voyons le côté positif, au moins Ole ne sera pas trop fatigué à son retour ... bien sûr si ses clairvoyants entraineurs ne lui font pas faire les 2 derniers matchs alors que tout semble sinon perdu au moins bien mal entamé
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Allez UBB
Re: Dan Léo
http://www.sudouest.fr/2011/11/11/une-annee-incroyable-550162-5103.php
Par nicolas le gardien
« Une année incroyable »
De passage à « Sud Ouest », le troisième ligne samoan Daniel Leo, vainqueur de la H-Cup en 2007 avec le club anglais des London Wasps, s'est longuement livré.
Daniel Leo, mercredi matin au siège de « Sud Ouest » à Bordeaux. photo laurent theillet
Chroniqueur pour « Sud Ouest » durant la Coupe du monde, le deuxième ou troisième ligne ( « j'ai alterné aux deux postes toute ma vie !») de l'Union Bordeaux-Bègles, Daniel Leo, 29 ans, est venu mercredi visiter le siège de notre journal. L'occasion pour le Samoan de revenir le parcours avec sa sélection, sur laquelle il prépare un livre (lire ci-contre), mais aussi d'évoquer le club girondin, dont il a été l'un des maillons importants de la montée, et les London Wasps, adversaires demain à Chaban-Delmas, avec qui il est devenu champion d'Angleterre (2008) et d'Europe (2007). Paroles d'un personnage discret, mais au très gros vécu, guidé vers Bordeaux par l'ancien capitaine du XV de France Raphaël Ibanez via Olivier Brouzet.
1 La Coupe du monde, les Samoa
« Il y a eu d'un côté les problèmes avec les officiels (lire ci-contre), et de l'autre l'aventure fantastique vécue entre les entraîneurs, les joueurs et nos supporteurs. En France, en 2007, il devait y en avoir 20. Là il y en avait 30 000. Pour nous, c'était comme si la Coupe du monde avait lieu aux Samoa. C'est pour ces gens que nous nous sommes battus.
Au final, nous sommes ressortis déçus de ne pas s'être qualifiés et heureux de ce que nous avons montré (1). Mais on n'est pas au bout de notre progression. Avant, on avait tendance à jouer pour jouer. Aujourd'hui, avec l'expérience acquise par la plupart des joueurs en Angleterre ou en France, on sait se servir de la puissance devant, prendre les pénalités, sans perdre pour autant nos caractéristiques. Ce qui nous manque est de pouvoir affronter tous les ans des nations majeures. Et repartir sur d'autres bases autour. Si c'est le cas, pourquoi pas un quart ou une demi-finale en 2015 ? »
2 Ses quatre titularisations
« Ce Mondial était particulier pour moi : mon père est Samoan, je suis né en Nouvelle-Zélande où j'ai vécu jusqu'à 16 ans. J'ai encore beaucoup de famille là-bas, que j'ai pu revoir. Mais je ne m'attendais pas à jouer autant après la tournée de novembre, où j'avais été peu utilisé. J'ai continué à travailler physiquement cet été, et j'ai aussi bénéficié des résultats du club.
L'entraîneur m'a dit qu'il me choisissait pour le "sale" travail, les rucks. Se heurter à des joueurs comme Matfield, Rossouw (Sud-Africains, NDLR), c'est une super expérience. Cela a été une année incroyable ».
3 Sa première saison, la montée
« Après cinq ans aux Wasps, c'était très différent et jamais je n'aurais imaginé ce qu'il s'est passé. J'ai été surpris par le niveau des joueurs mais surtout marqué par l'esprit. Après le premier match perdu contre Colomiers, "Feff" (Laurent Ferrères) a pris la parole et nous a répété plusieurs fois : "voilà ce que l'on peut réaliser ici, à condition d'être ensemble". On s'est beaucoup parlé, nous avons fait une soirée chez moi, avec les Français, les étrangers, pour se connaître mieux. Une unité s'est créée. Ce n'est pas un grand club en taille par rapport aux Wasps, mais il n'y a que des gens très investis, passionnés.
Pour moi, la joie de la montée a été aussi forte que celle de la victoire en H-Cup car j'y ai mis autant d'énergie. Collectivement, c'était même plus grand : aux Wasps, on était favori. Là, personne ne nous attendait mais on a cru en nous ».
4 Le Top 14, la course au maintien
« Sur terrain sec, ça va très vite. J'ai repris à Toulouse, et je n'ai pas vu de différence avec la Coupe du Monde. Après, les défenses sont très organisées, ce qui donne des matches fermés, tendus, avec beaucoup d'engagement. Il faut que nous gardions notre cap : construire, créer du mouvement, et ne pas se relâcher.
Nous devons craindre tout le monde, mais avoir confiance en nous . Le rugby, à ce niveau, c'est 80% dans la tête. Et ce groupe est fait de mecs intelligents: il n'y a pas eu de stars recrutées, mais des joueurs de qualité qui s'envoient. Bruce (Reihana), je le regardais à la télé en Nouvelle-Zélande quand j'avais 14 ans. Aujourd'hui, je joue à ses côtés et quand je vois toujours la dureté de ses impacts, son exigence...»
5 Les Wasps, hier et aujourd'hui
« Les Wasps sont avec Toulouse, l'un des plus grands clubs de la dernière décennie. Je me souviens ce que m'avaient dit Raphaël Ibanez et Serge Betsen : on aurait pu gagner plus d'argent en France, mais on est venu ici pour connaître ce club, vivre cette expérience.
Là-bas, vous jouez toutes les compétitions pour les gagner: il y avait beaucoup de pression mais quand vous avez à vos côtés des garçons comme Lawrence Dallaglio, Matt Dawson, Simon Shaw, vous apprenez beaucoup. J'ai adoré cette période d'autant que c'est là que j'ai rencontré ma femme: c'était peu avant la finale de la Coupe d'Europe et j'avais peur de ne pas réussir à me concentrer !
Aujourd'hui, le club est reparti sur une nouveau cycle: il me reste quelques amis, mais la plupart des joueurs de mon époque sont partis, l'entraîneur (2) vient de changer. »
6 L'avenir à court et long terme
« On en parlera avec Laurent Marti en janvier en février. Dans le sport professionnel, on ne peut jamais savoir, mais je serais heureux de rester ici: avec ma femme, nous nous plaisons, la vie est beaucoup moins stressante qu'à Londres, nous nous sommes fait des amis. Et on sent qu'ici les gens aiment le rugby, sont heureux de la remontée.
Contre le Racing, j'étais dans les tribunes au Stade Chaban-Delmas. Quand je voyais tous ces gens qui criaient autour de moi, je n'avais qu'une envie: jouer !
J'espère rester au haut niveau encore cinq ans. Après, on verra, mais vivre en France, pourquoi pas. J'aime la culture, les gens. Avec Ole (Avei), on plaisantait l'autre jour en disant que dans quelques années, on se verrait bien employés chez Kariban, la société de Laurent Marti ! »
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(1) Victoires contre Namibie 49-12 et Fidji 27-7, défaites contre Pays de Galles 10-17 et Afrique du Sud 5-13. (2) Shaun Edwards, coach depuis 2001 et adjoint avec le Pays du Galles, a décidé de ne pas reprendre son poste, remplacé par Dai Young (ex-Cardiff).
Union Bordeaux-Bègles · rugby · Top14
Dan est quelqu'un attachant, n'hésitez pas à lui parler une bière à la main lors d'une 3ème mi-temps. Maitrisez quelques mots d'anglais, ça aidera tout de même
Par nicolas le gardien
« Une année incroyable »
De passage à « Sud Ouest », le troisième ligne samoan Daniel Leo, vainqueur de la H-Cup en 2007 avec le club anglais des London Wasps, s'est longuement livré.
Daniel Leo, mercredi matin au siège de « Sud Ouest » à Bordeaux. photo laurent theillet
Chroniqueur pour « Sud Ouest » durant la Coupe du monde, le deuxième ou troisième ligne ( « j'ai alterné aux deux postes toute ma vie !») de l'Union Bordeaux-Bègles, Daniel Leo, 29 ans, est venu mercredi visiter le siège de notre journal. L'occasion pour le Samoan de revenir le parcours avec sa sélection, sur laquelle il prépare un livre (lire ci-contre), mais aussi d'évoquer le club girondin, dont il a été l'un des maillons importants de la montée, et les London Wasps, adversaires demain à Chaban-Delmas, avec qui il est devenu champion d'Angleterre (2008) et d'Europe (2007). Paroles d'un personnage discret, mais au très gros vécu, guidé vers Bordeaux par l'ancien capitaine du XV de France Raphaël Ibanez via Olivier Brouzet.
1 La Coupe du monde, les Samoa
« Il y a eu d'un côté les problèmes avec les officiels (lire ci-contre), et de l'autre l'aventure fantastique vécue entre les entraîneurs, les joueurs et nos supporteurs. En France, en 2007, il devait y en avoir 20. Là il y en avait 30 000. Pour nous, c'était comme si la Coupe du monde avait lieu aux Samoa. C'est pour ces gens que nous nous sommes battus.
Au final, nous sommes ressortis déçus de ne pas s'être qualifiés et heureux de ce que nous avons montré (1). Mais on n'est pas au bout de notre progression. Avant, on avait tendance à jouer pour jouer. Aujourd'hui, avec l'expérience acquise par la plupart des joueurs en Angleterre ou en France, on sait se servir de la puissance devant, prendre les pénalités, sans perdre pour autant nos caractéristiques. Ce qui nous manque est de pouvoir affronter tous les ans des nations majeures. Et repartir sur d'autres bases autour. Si c'est le cas, pourquoi pas un quart ou une demi-finale en 2015 ? »
2 Ses quatre titularisations
« Ce Mondial était particulier pour moi : mon père est Samoan, je suis né en Nouvelle-Zélande où j'ai vécu jusqu'à 16 ans. J'ai encore beaucoup de famille là-bas, que j'ai pu revoir. Mais je ne m'attendais pas à jouer autant après la tournée de novembre, où j'avais été peu utilisé. J'ai continué à travailler physiquement cet été, et j'ai aussi bénéficié des résultats du club.
L'entraîneur m'a dit qu'il me choisissait pour le "sale" travail, les rucks. Se heurter à des joueurs comme Matfield, Rossouw (Sud-Africains, NDLR), c'est une super expérience. Cela a été une année incroyable ».
3 Sa première saison, la montée
« Après cinq ans aux Wasps, c'était très différent et jamais je n'aurais imaginé ce qu'il s'est passé. J'ai été surpris par le niveau des joueurs mais surtout marqué par l'esprit. Après le premier match perdu contre Colomiers, "Feff" (Laurent Ferrères) a pris la parole et nous a répété plusieurs fois : "voilà ce que l'on peut réaliser ici, à condition d'être ensemble". On s'est beaucoup parlé, nous avons fait une soirée chez moi, avec les Français, les étrangers, pour se connaître mieux. Une unité s'est créée. Ce n'est pas un grand club en taille par rapport aux Wasps, mais il n'y a que des gens très investis, passionnés.
Pour moi, la joie de la montée a été aussi forte que celle de la victoire en H-Cup car j'y ai mis autant d'énergie. Collectivement, c'était même plus grand : aux Wasps, on était favori. Là, personne ne nous attendait mais on a cru en nous ».
4 Le Top 14, la course au maintien
« Sur terrain sec, ça va très vite. J'ai repris à Toulouse, et je n'ai pas vu de différence avec la Coupe du Monde. Après, les défenses sont très organisées, ce qui donne des matches fermés, tendus, avec beaucoup d'engagement. Il faut que nous gardions notre cap : construire, créer du mouvement, et ne pas se relâcher.
Nous devons craindre tout le monde, mais avoir confiance en nous . Le rugby, à ce niveau, c'est 80% dans la tête. Et ce groupe est fait de mecs intelligents: il n'y a pas eu de stars recrutées, mais des joueurs de qualité qui s'envoient. Bruce (Reihana), je le regardais à la télé en Nouvelle-Zélande quand j'avais 14 ans. Aujourd'hui, je joue à ses côtés et quand je vois toujours la dureté de ses impacts, son exigence...»
5 Les Wasps, hier et aujourd'hui
« Les Wasps sont avec Toulouse, l'un des plus grands clubs de la dernière décennie. Je me souviens ce que m'avaient dit Raphaël Ibanez et Serge Betsen : on aurait pu gagner plus d'argent en France, mais on est venu ici pour connaître ce club, vivre cette expérience.
Là-bas, vous jouez toutes les compétitions pour les gagner: il y avait beaucoup de pression mais quand vous avez à vos côtés des garçons comme Lawrence Dallaglio, Matt Dawson, Simon Shaw, vous apprenez beaucoup. J'ai adoré cette période d'autant que c'est là que j'ai rencontré ma femme: c'était peu avant la finale de la Coupe d'Europe et j'avais peur de ne pas réussir à me concentrer !
Aujourd'hui, le club est reparti sur une nouveau cycle: il me reste quelques amis, mais la plupart des joueurs de mon époque sont partis, l'entraîneur (2) vient de changer. »
6 L'avenir à court et long terme
« On en parlera avec Laurent Marti en janvier en février. Dans le sport professionnel, on ne peut jamais savoir, mais je serais heureux de rester ici: avec ma femme, nous nous plaisons, la vie est beaucoup moins stressante qu'à Londres, nous nous sommes fait des amis. Et on sent qu'ici les gens aiment le rugby, sont heureux de la remontée.
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(1) Victoires contre Namibie 49-12 et Fidji 27-7, défaites contre Pays de Galles 10-17 et Afrique du Sud 5-13. (2) Shaun Edwards, coach depuis 2001 et adjoint avec le Pays du Galles, a décidé de ne pas reprendre son poste, remplacé par Dai Young (ex-Cardiff).
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Re: Dan Léo
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Re: Dan Léo
Encore un gros match de Léo avec le Samoa... En 2eme ligne avec l'EN, et en 3eme ligne en club, belle polyvalence! Quelle connerie de ne pas l'avoir gardé...
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Re: Dan Léo
Beau match en effet ...cependant bizarrement à l'UBB je ne l'ai jamais vraiment trouvé au niveau auquel on l'avait annoncé . Il manque surtout parce qu'il n'a pas été remplacé pas un joueur de calibre équivalent.
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Dan Léo
sudiste a écrit:Beau match en effet ...cependant bizarrement à l'UBB je ne l'ai jamais vraiment trouvé au niveau auquel on l'avait annoncé . Il manque surtout parce qu'il n'a pas été remplacé pas un joueur de calibre équivalent.
Oui, effectivement... Hélas...
Justice for all- J'aime l'Union passionnément
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Re: Dan Léo
D'accord avec Sudiste. Par sa jeunesse et son inexpérience, Navickas ne pouvait pas être ce remplaçant là ... en tout cas pas de suite. On a fait venir 4 3ème lignes confirmés (dont 1 "nanibien") et pas 1 seul 2ème ligne. Je ne vois pas bien qu'elle a été la logique de l'équipe de recrutement sur ce poste
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