Gerard Fraser

**patrick** Sam 18 Sep 2010 - 10:05

http://www.sudouest.fr/2010/09/18/il-nous-faut-un-declic-188237-8.php

18 septembre 2010 06h00 | Par nicolas le gardien
« Il nous faut un déclic »
Fort de dix années de carrière au haut niveau, l'ouvreur Gérard Fraser doit s'affirmer comme l'un des leaders du nouveau groupe girondin.

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Gérard Fraser : « Je ne suis pas content de moi ». ph. laurent theillet

«Gé, c'est bon, tu peux arrêter : tu as tapé tes 40 coups de pied ! » C'est devenu un rituel à l'Union : alors que le vestiaire s'est quasi vidé après l'entraînement, Gérard Fraser, lui, continue à buter. Un ultraperfectionnisme qui n'est pas étranger au choix de faire venir l'été dernier l'ouvreur néo-zélandais, dont Marc Delpoux avait fait un cadre lors de son titre italien en 2008.
« Sud Ouest ». Vous avez toujours passé autant de temps à taper ?

(Sourire) Oui. Je le fais même un peu moins qu'auparavant car les entraînements sont plus intenses et je dois faire attention à la récupération. Mais je bute depuis que j'ai 17 ans et, en fait, c'est un plaisir.
Après un premier match difficile contre Colomiers, vous semblez monter en puissance. Comment vous sentez-vous ?

Je suis capable de beaucoup mieux faire. Il y a eu des points positifs lors des dernières rencontres mais j'ai fait beaucoup d'erreurs inhabituelles dans la gestion, dans le jeu au pied. Je ne suis pas vraiment content de moi mais je suis convaincu que ça va arriver avec la confiance et la progression collective : chaque semaine, on avance.
Même avec votre vécu, changer de championnat demande un temps d'adaptation ?

Oui. Chacun doit trouver ses marques mais il faut surtout du temps pour apprendre à jouer ensemble. Et spécialement aux postes 9 et 10 où les automatismes sont importants.
Certains qui découvraient la Pro D2 ont été surpris. Vous aussi ?

Oui et non. J'ai beaucoup d'amis qui y ont joué, à Lyon, au Métro, à Toulon, à Tarbes… Tous m'ont dit que c'est très dur. Mais cela me réjouit : personnellement, mon but est d'être le plus performant possible dans le meilleur championnat.
C'est différent de ce que vous avez connu à Bayonne en Top 14 ?

C'est difficile de comparer. À Bayonne, on avait un très gros pack et on axait là-dessus : quand vous avez tout le monde qui pousse à Jean-Dauger, cela fait des dégâts. Ici, on essaie d'ouvrir plus le jeu.
Et par rapport au championnat italien ?

L'an dernier, il a beaucoup baissé avec les problèmes liés à la crise, mais aussi l'intégration prévue de deux équipes à la Celtic League qui fait que les autres clubs se sont appauvris sportivement. C'est pour cela que je souhaitais partir. Les années précédentes, il y avait en revanche quatre ou cinq équipes de très bon niveau : Calvisano, Viadana, Trévise, Parme… Le problème est qu'il y avait un gros écart avec les autres et il n'était pas évident de rester concentré.
Vous avez fait l'essentiel de votre carrière là-bas. Pourquoi ?

Après mon passage à Bayonne, j'y suis retourné car mon épouse est Italienne, y travaillait, et je souhaitais jouer pour la sélection. La Fédération était demandeuse mais l'IRB a refusé.
Le choix de Bordeaux est-il lié à la présence de Marc Delpoux ?

Entre autres, car j'ai apprécié ses plans de jeu à Calvisano. Mais je connaissais aussi un petit peu Vincent Etcheto, qui entraînait les Espoirs de Bayonne, et la ville : nous y sommes souvent venus avec mon épouse et nous l'apprécions beaucoup. Je suis très heureux d'être ici et j'espère maintenant aider le club à se qualifier pour les demi-finales. On en a les moyens même si la concurrence est forte.
En terme de jeu, les attentes de Marc Delpoux sont les mêmes qu'à Calvisano ?

Pas exactement, car en Italie le jeu est très conditionné par l'arbitrage. Il s'est adapté mais prône toujours un jeu « orienté ». Après, le rugby reste le rugby : tout ne se passe jamais exactement comme prévu et ce qui est primordial est de savoir réagir devant les situations.
Le Gérard Fraser d'aujourd'hui est différent de celui de Bayonne ?

Oui, car j'ai plus de vécu. Depuis tout petit, j'aime le jeu « à la française » et j'ai beaucoup appris là-bas, avec Jean-François Beltran mais aussi Richard Dourthe qui conseillait beaucoup. Aujourd'hui, surtout pendant les matches, j'essaie à mon tour de partager. Même si, ici, il y a beaucoup de joueurs très costauds et ils ont également des choses à me transmettre. C'est un échange.
Que manque-il collectivement ?

À Oyonnax, il y a eu 60 bonnes minutes dans le combat, l'envie, le jeu. Mais un match dure 80 minutes et, surtout, vu le nombre de ballons qu'on a eu, on aurait dû marquer. Un essai aurait changé le match. Je crois qu'il s'agit beaucoup de confiance : un essai nous permettrait de « casser la glace. » Il nous faut un déclic.

Pro D2 · Sports · rugby · Bayonne · Top14 · Gironde

De l'avis même de l'encadrement, Fraser est un véritable professionnel qui n'hésite pas à prendre sur son temps perso.
Espérons que très vite il contribue à mettre l'Union sur les très bons rails, particulièrement dans le jeu où pour l'instant il me semble encore un peu timide.

Come on Gerard rock

PS. Notons tous que "Fraser" n'a pas de z
PPS. L'énigme continue : pourquoi "Union Bordeaux Bègles" est il encore absent des mots clés ? Serait ce un problème d'extraction automatique par un robot aveugle. Malgré 2 articles aujourd'hui, celui là et un sur JM. Ledan au PMR cette année, les 2 derniers articles cités dans la rubrique Sport+"Union Bordeaux Bègles" sont un article sur Pau et un autre sur Aurillac mad

Nicolas, si toi et tes collègues pouviez faire quelque chose Wink

**patrick** Ven 25 Mar 2011 - 19:17

http://www.sudouest.fr/2011/03/25/ils-ont-besoin-de-lui-352743-773.php

25 mars 2011 06h00 | Par nicolas le gardien

Ils ont besoin de lui
Gerard Fraser, l'ouvreur de l'Union, a connu quelques ratés début mars. Son retour en forme sera une des clés du final.

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Gerard Fraser (ici à Colomiers), actuel deuxième meilleur réalisateur de Pro D2. PHOTO EMILIE DROUINAUD

C'est un peu comme l'histoire de l'œuf et de la poule. On ne saura jamais vraiment qui de la baisse de régime du collectif et de celle de Gerard Fraser est le plus à l'origine de l'autre. Mais une chose est sûre : le dérapage de l'Union Bordeaux-Bègles au début du mois a coïncidé avec un coup de moins bien de son ouvreur.

Ne parvenant pas à se sortir de la pression (et du vent) à Albi (8-27), n'ayant pas trouvé la solution pour assurer le score face à Aix (18-23), le Néo-Zélandais est sorti (fait très rare dans un final serré) à la 74e minute contre Pau (18-14), mine basse et public ronchon après une succession de coups de pied petits bras ou mal inspirés.

Presqu'un paradoxe pour celui dont l'adresse (une pénalité, une transformation, un drop) et deux prises d'intervalles décisives (pour deux essais) ont été à l'origine des 18 points face aux Béarnais. « Un épiphénomène » défend volontiers le manageur Marc Delpoux, qui le connaît par cœur depuis Calvisano (« Sud Ouest » du 15 mars). « Un match complètement sans, comme ça arrive une ou deux fois dans une saison », plaide l'intéressé, repoussant l'idée du doute après son premier dégagement (direct en touche) ou une pénalité manquée. « Cela fait partie du jeu : dans ces cas-là je sais qu'il fait être fort dans la tête. »

Le tout lancé avec la sérénité qui caractérise l'individu et qui a fait tant de bien à l'équipe depuis le mois d'août dernier : des réceptions de Lyon à celle de Grenoble, en passant par le déplacement à Narbonne (et on en passe pas mal d'autres), Fraser peut revendiquer une partie de la paternité du capital points girondin .

Et pas seulement parce que l'ex-Bayonnais s'invite aujourd'hui au deuxième rang des réalisateurs de la Pro D2 (282 points contre 296 à l'Albigeois Manca) et même devant son rival si l'on considère la moyenne par titularisation (12, 8 contre 12,3).
Tremblement de terre

« Il est arrivé l'été dernier à 55 % - 60 % de son potentiel puis il est monté très très vite, avance Vincent Etcheto. Il a réalisé, à l'image de celui contre Oyonnax, beaucoup de gros matches et c'est vrai qu'il a connu un coup de moins bien. Après, je ne sais pas si c'est lié ou pas, mais il faut savoir qu'avant Albi, il a passé trois ou quatre nuits à guetter les nouvelles de sa famille après le tremblement de terre. »

Originaire de Christchurch (frappé par un séisme le 22 février), il a alors appris avec soulagement que ses parents (vivant dans la campagne à une trentaine de kilomètres), son frère et à sœur (habitant l'agglomération) ont été épargnés, outre quelques dégâts matériels. « On communique régulièrement et, hier, encore, il y a eu des répliques. Cela n'a heureusement pas été aussi grave qu'au Japon, mais ça fait peur, il y a eu beaucoup de destruction et je suis triste pour la ville, les gens. C'est vrai que, sur le coup, on a surtout envie d'être auprès d'eux. »

« Ged », 32 ans, n'en a pas pour autant continué à frapper ses 40 coups de pied quotidiens et n'évoque pas la fatigue physique pour son cas personnel : « je me sens bien physiquement. »

« On a eu une grosse charge de travail et on a peut-être eu moins de jus à un moment. Mais je crois que la défaite d'Aix ressemble beaucoup à celle de Colomiers lors de la première journée. On a bien travaillé toute la semaine, on voulait envoyer du jeu et on a déjoué alors que riene ne nous le laissait croire. »
« Mieux communiquer »

Depuis, les mêmes mots résonnent à ses oreilles. Alterner. Savoir s'adapter au besoin surtout. « Gerard est capable techniquement de tout faire : jouer à hauteur, dans la défense, expédier des diagonales au pied, pointe Vincent Etcheto. Seulement, quand certains 10 même en Top 14 ne sont que dans la gestion et l'occupation, lui ne l'est parfois pas assez. Il est pro jusqu'au bout des doigts, connaît le plan de jeu parfaitement chaque semaine et quand l'équipe avance, c'est un régal. Il est hyper-sérieux et je dirais justement qu'il l'est parfois un peu trop. Sur un ou deux coups, quand ça ne se passe pas comme prévu, j'aimerais qu'il dise, quitte à se tromper : "j'emm… le staff, là, j'ai joué comme je l'ai senti". »

Une « désobéissance » forcément plus dans la culture basque qu'anglo-saxonne, même lorsqu'on est en Europe depuis 9 ans et latin par son épouse (italienne). « On a confiance en notre jeu et à partir où on le met bien en place, on sait que ça va passer. Maintenant c'est vrai que dans certaines situations, on doit apprendre à mieux communiquer » glisse l'ouvreur, engagé à l'Union jusqu'en 2012.

« Il a toujours une marge de progression et tant mieux, dit Vincent Etcheto. Car Ged fait déjà à 80 % une superbe saison » Il lui reste six matches pour monter le pourcentage, voire deux de plus pour rentrer dans l'histoire du club. Comme l'équipe, finalement.

Lire aussi page 41.

Pro D2 · rugby · Union Bordeaux-Bègles · Top14

léopold Sam 26 Mar 2011 - 7:08

Gérard est un Monsieur sur le terrain et autour du terrain, un monstre de professionnalisme et un esprit ouvert et charmant.
Ces derniers temps lorsque nous évoquions les problèmes rencontrés dans son pays on sentait qu'il ne pouvait pas tout à fait avoir la tête au jeu et à Moga, mais il se voulait rassurant, minimisant le problème pour se rassurer bien sur.
Bon match à Dax Gérard. :clap:

**patrick** Sam 26 Mar 2011 - 12:31

When the going gets tough, the tough get going.
Come on Gerard !

fan

Martin33 Mer 29 Fév 2012 - 12:25

http://www.rugbyunit.com/2012/02/transferts-fraser-va-t-il-passer-les-alpes/

Gerard Fraser ne sera plus girondin l’an prochain, son contrat n’a pas été renouvellé. Mais, en grand artisan de la montée en TOP 14, et du, probable maintien de son club en élite, le joueur de 33 ans ne laisse pas indifférent.

Son non circule déjà de l’autre côté des Alpes, pour un retour dans le championnat italien qu’il a déjà fréquenté. Mais des clubs proches de la frontière auraient un œil sur lui; Lyon? Grenoble? Bourgoin?

une chose est sûre, c’est que Fraser ne laisse pas indifférent.

**patrick** Mer 29 Fév 2012 - 17:04

... et il le mérite car c'est un grand professionnel sur qui beaucoup de jeunes pourraient prendre exemple.

**Switch** Mer 29 Fév 2012 - 18:17

Et même des joueurs pros acutels, notamment au niveau de son caractère et de son comportement avec le public. Un gars humble, gentil et toujours dispo pour les supporters.
Des gars comme Parra, Rougerie, JB Elissalde ou Nallet pourrait s'en inspirer ! :grrr:

Vince33 Ven 11 Mai 2012 - 17:08

Bel hommage pour Gerard et Vunga http://www.sudouest.fr/2012/05/10/deux-hommes-618-points-711099-3603.php

L'un (508 points en 52 matchs) est devenu en deux saisons le meilleur réalisateur de l'Union depuis sa création en 2006. L'autre est, en trois ans, monté au sommet des marqueurs du club (22 essais en 63 apparitions).

Tout deux resteront comme des hommes clés de la montée, tout au long du championnat (1) et encore en finale de Pro D2 face à Albi à Agen (respectivement 11 points et un essai).

Samedi, face à Perpignan, Gerard Fraser (33 ans) et Vungakoto Lilo (28 ans) disputeront leur dernier match sous le maillot de l'UBB. « Heureux car on a mérité de rester en Top 14, pour ceux qui restent et car on travaille pour ça depuis un an. »

Avec une boule au ventre, aussi, de s'en aller, non-conservés par le club, par choix sportif et par obligation de réduire le nombre d'étrangers.

« Pendant deux-trois semaines, cela a été difficile, je cherchais à comprendre, avoue le buteur néo-zélandais. Et puis j'ai réagi : le rugby est une part de ma vie, pas tout. » « Ce qui est dur, c'est laisser des amis, ajoute l'arrière tongien, reconverti ailier. Et d'avoir moins joué depuis quatre mois. »

Lui était arrivé fin août 2009 avec l'étiquette d'attraction du recrutement d'alors, mais désolé d'être resté coincé plusieurs semaines à Londres avec sa famille pour un problème de visa.

« Il y avait un peu d'appréhension, je découvrais une autre culture. Et aujourd'hui, on apprécie ! Mon fils (3 ans) enregistre les mots de français et nous épate : il les prononce parfaitement ! » Il est rentré à l'école ce matin (aujourd'hui, NDLR) et « restera jusqu'à fin juin : on veut qu'il s'imprègne. » « On aimerait rester en France mais les deux options que j'ai pour l'instant sont ailleurs (en Europe et au Japon) », explique « Vunga », personnage de peu de mots mais pas le dernier au rayon humour.

« J'irai les voir jouer »

« Le sentiment n'est pas le même que quand j'ai quitté Bayonne, dit Gerard Fraser. J'ai vécu des choses fortes ici. Quand j'ai signé, le projet était de monter en trois ans. On l'a fait en un, c'est énorme ! C'est classique de dire qu'il y a un groupe uni mais c'est vraiment la réalité. Ça se voit, dans les moments durs ou quand on marque un essai (sourire). Je suis ami de longue date avec Cameron (Treloar) et Justin (Purll), je suis très attaché au fils d'Heini (Adams), il y a Blair (Connor), un gars fou… Il y a beaucoup de bons mecs. Même si ça me fera mal, j'essaierai d'aller voir jouer l'équipe dès que je pourrai. »

En partance pour Béziers, pour relancer le club et travailler sous les ordres de l'ex-All-Black Andrew Mehrtens, l'ouvreur, exemple de professionnalisme, aura été le patron du jeu girondin jusqu'à fin 2011, et l'éclosion de Camille Lopez. Même lorsque, l'an passé, le tremblement de terre de Christchurch - où habite sa famille - est venu le perturber.

« Jamais d'essai comme ça »

Des images ? « La victoire en demi-finale de Pro D2 à Grenoble. Car vraiment personne ne pariait sur nous. Et aussi le premier match à Chaban, face à Bayonne (18-6, il avait marqué les 18 points) », dit Fraser, qui a régulièrement fait l'aller-retour avec l'Italie (où vit sa compagne). « La première saison a été difficile. La seconde, en revanche, on a vite senti qu'on avait la possibilité d'aller en Top 14. Cela a été la meilleure de ma carrière, avec la montée, la Coupe du monde, reprend Lilo. Il restera la joie de la finale, et l'essai contre Brive. Je n'en avais jamais marqué comme cela dans ma carrière, en faisant gagner l'équipe après la sirène. »

Une pénalité marquante, « Ged » ? « Celle de 57 mètres au début de la finale. Je n'en avais jamais réussie de si loin et c'était important pour l'équipe de prendre des points à ce moment-là. »

Avant de partir, eux, veulent « remercier les supporteurs. » « Qui ont toujours très sympathiques et accueillants avec moi et ma famille », dit Lilo. « On est passé de 2 000 personnes contre Colomiers à 34 000 face à Toulouse, ajoute Fraser. On sent que les anciens de Bègles sont heureux et battre à nouveau le cœur du rugby ici. J'espère que, dans 5 ans, l'UBB sera tout en haut et que je pourrai dire : j'ai participé au début… »

(1) Meilleur réalisateur de Pro D2 (392 points) ; 2e marqueur (13 essais).

Pat Ven 11 Mai 2012 - 17:28

Entièrement d'accord avec toi Gérard et en plus.... tu pourras en être fier, tu peux déjà être fier de ce que tu as réalisé ici !
Merci et bonne chance à Béziers :clap:

**patrick** Ven 11 Mai 2012 - 18:31

Gérard nous parle de lui :

Le secret de Gérard serait qu'il ferait donc "beaucoup de bouteilles" rire

Pat Ven 11 Mai 2012 - 19:11

patrick a écrit:Gérard nous parle de lui :
Le secret de Gérard serait qu'il ferait donc "beaucoup de bouteilles"

C'est d'ailleurs pour ça qu'il est venu dans la région.... sacré Gérard... et sacré toi aussi ! rire

Fabrice Heurtevent Ven 11 Mai 2012 - 21:20

J'aime ce discours, j'aime cette mentalité . . . . c'est un Grand Bonhomme !!!!

Merci Gerard et bonne chance !!!!

essai

$allez l\\'union$ :flag2:

léopold Sam 12 Mai 2012 - 6:57

Heureux d'avoir croisé un gars comme ça.
Merde pour la suite, famille d'abord et Rugby bien sur.
Pour suivre votre plaisanterie un peu dure toutefois, Gérard ne s'éloigne plus des pays à bouteille,Bordeaux,Béziers.
Allez Gérard, bon dernier match parmi nous.

:clap:

enzo Sam 12 Mai 2012 - 8:01

Merci Gérard de m'avoir confié que tu étais fan des DUCATI.
Dommage que la tienne soit restée à BRESCIA.
Nous aurions aimé te faire découvrir quelques cols, quelques routes sinueuses et autres fonds de garage dans la plus pure tradition.

Un jour sans doute.

Bonne chance pour la suite.

ENZO

Martin33 Dim 13 Mai 2012 - 23:34

https://www.youtube.com/watch?v=Oo7WxgrmxSc&feature=player_embedded

Une petite vidéo de Gerard Fraser qui participe au Trophée des Botteurs et on peut constater qu'il maitrise bien le français avec un petit accent italien et une prononciation à l'anglaise.

Je suis déçu qu'il parte. il faut aussi savoir garder des valeurs sures au rugby. Alors certes il est au maximum de son potentiel mais il est sérieux, il a du talent, et c'est un leader.

Dommage. J'espère qu'on ne le regrettera pas.

**marchal** Mar 17 Jan 2023 - 15:17

je n'étais pas fan de lui comme joueur, mais comme entraineur partout ou il est passé, il a fait du bon boulot :
https://www.francebleu.fr/emissions/100-rugby-au-pays-basque/gerard-fraser-l-homme-a-l-initiative-du-jeu-de-l-aviron-bayonnais-top-14-4479102

**Dr. Gregory Bouse** Mar 17 Jan 2023 - 15:41

marchal a écrit:je n'étais pas fan de lui comme joueur, mais comme entraineur partout ou il est passé, il a fait du bon boulot :
https://www.francebleu.fr/emissions/100-rugby-au-pays-basque/gerard-fraser-l-homme-a-l-initiative-du-jeu-de-l-aviron-bayonnais-top-14-4479102

excellent coach des 3/4.

J'aurai pensé que Bru l'aurait ramené avec lui pour un come-back à l'UBB.

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