6ème journée : Saint Etienne - Union

L'Union étant une grande équipe ... et le stade du CASE en cours d'aménagement, c'est dans le chaudron vert qu'on nous reçoit. J'y est mis les pieds une seule fois à l'occasion d'un matchs des Girondins et je me rappèle notamment d'une super ambiance et d'un tir du bucheron Reinders 40m en coin. Un fou ! Sera t'on aussi costaud et téméraire, c'est possible car si les stéphanois se débouillent correctement à l'extérieur, ils ont un peu plus de difficulté à la maison avec 2 défaites sur 2 matchs. A nous de faire continuer cette "belle" série.

Surtout profil bas, à l'Agenaise bien sur , "on est une bande de djeuns qui a besoin d'apprendre et on vient pour ça", c'est vrai que la saison dernière c'était un message qui portait ses fruits!
Allez Union

Espérons tout de même que malgré l'annonce du prochain match par le site officiel (relooké) http://www.ubbrugby.com/ on n'ait pas déjà fait une croix sur le match en Haute Loire

Si tout de même vous alliez au match, d'après les participants à RugbyFederal.com, l'après match se déroule au club House du Case au parc des sports de l'Etivallière (juste en face de l'entrée principale de Geoffroy Guichard), sous la tribune du stade d'athlétisme. Les purs et durs y seront .... vite rejoint par les joueurs (ceux du Case en tout cas!) et le staff. Espérons que nos troupes y soient aussi et en habit de vainqueur.

Vive l'Union !

Bon, on rentre tout doucement dans ce match, à l'agenaise comme le dit l'ami Léo, en toute humilité comme de rigueur dans le jargon du monde du rugby.
En bref, l'on ne va pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Pauvre bête, c'est toujours les mêmes qui trinquent.
Et justement, en parlant de trinquer si le match contre le CASE, nous en donnait l'occasion.
Une fois n'est pas coutume, je lève mon verre ............................ aux stéphanois............................................... ceux de L'ASSE, et oui ceux qui poussent la citrouille avec les pieds. Ils sont en tête de leur championnat.

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Y a donc plus qu'à dresser un piaf pour piquer le tee de Péclier

Non Patrick, dresser un piaf, c'est long, l'on n'est pas sûr du résultat et pas du tout sportif..
Je propose d'attacher son truc à un boulet de bagnard de 10KGS. Tenteront moins les pénalités les verts.

De quel truc parles tu?

Au bénéfice de l'âge, mon cher Léopold, tu as le choix du roi. On te laisse faire l'opération. Tu as carte blanche.

Entre gentlemen..........

Pas mal l'Enzo, courageux pour se déplacer sur les extérieurs et tenace sur le clavier.
On va pas développer d'avantage, la pente est savonneuse, pas le moment de se péter quoique se soit surtout avant Saint Etienne et la venue d'Albi.
Allez Union

Exact, fin de la semaine euphorique. Nous avons savouré la victoire sur Lyon à sa juste valeur.
Saint Etienne se présente et je suis sûr que le discours de l'entraineur lundi matin sera de ramener son petit monde à la dure réalité de la PRO D2 soit du combat toujours et l'envie.

St ETIENNE :

Temps de chien aujourd'hui. Pas si mal en fait pour se mettre dans l'ambiance du combat qu'on devra livrer à GG. Les vacances sont bien finies, terminées les petites douceurs de l'été indien, c'est dans la mine qu'on descend dés maintenant

A noter le coup d'envoi qui serait donné ( http://www.rugbyfederal.com/forum/viewtopic.php?pid=379231 ) par Georges Cotte arrière dans les années 50 au Stade Forezien dont il sera ensuite le président (après son père) et qui aurait aussi joué au SBUC lors de son service militaire (5 sélection en EDF militaire).

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Félicitations pour votre site, il est très convivial...

J'espère que vous viendrez nombreux pour soutenir votre équipe, mais j'espère également que vous repartirez bredouille...

Effectivement l'enceinte de Geoffroy Guichard est magnifique mais les bières sont sans alcool et également surfacturées. L'après match se situe a quelques centaines de mètres de là au club house de l'étivallière sous la tribune Henri lux (stade d'athlétisme); et là l'ambiance y est plus chaleureuse...

A samedi je l'espère...

Bonjour l'ami, dans cette affaire on y va un peu à l'aveuglette, pas beaucoup de repère et puis cette coupure venant après un moment de forte intensité, ne va t'elle pas nous démobiliser.
On ne peut que se référer aux premiers visiteurs des stéphanois, ceux qui l'ont emporté ont souffert aussi une performance là bas serait un petit exploit et un signe que l'Union sort de l'ornière et peut imaginer tenir un beau rôle dans ce championnat et puis avant la visite des "cathares" ce serait bien.
Donc confiant mais prudent.
Allez Union.

Je vois un match très disputé, très difficile... Attention aux Verts ils cachent de grandes qualités. Et puis ce Chaudron fait vibrer tout un peuple à St Etienne. Méfiance méfiance.
Allez l'UBB

Effectivement, la prudence est conseillée. Nous ne sommes pas en position de jouer les favoris et les gros bras.
Nous avons beaucoup de respect pour le CASE, mais il est clair que nous y allons pour un bon résultat. Et seule la victoire est belle.

Eux aussi font de belles affiches.

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Oui Seb, moins belles que les nôtres

Sans aucune comparaison possible

http://www.sudouest.fr/2010/10/08/delocalisations-a-l-est-206402-8.php

Saint-Étienne, face à Bordeaux-Bègles, et Lyon, contre Grenoble, vont investir leurs stades de football. Avec des risques calculés.

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Le record d'affluence de la Pro D2, établi il y a un an pour Bordeaux-Bègles - Agen (20 158 personnes) sera menacé à Gerland. photo claude petit

Quinze milles personnes espérées demain à Saint-Etienne pour la réception de l'Union ; au moins autant autant attendues dimanche à Lyon contre Grenoble : en ce week-end de Coupe d'Europe, la Pro D2 s'apprête à faire recette à l'Est. Obligés à délocaliser à une période où les pelouses le supportent encore, les deux voisins se retrouvent à investir les enceintes de football de leurs villes à 24 heures d'intervalle pour « une opération de communication globale ».

Pour le promu du Forez, ce n'est pas une première. « Tout est parti d'une boutade, raconte Laurent Pietrocola, chargé du marketing. Lors d'une réunion avec les élus de l'agglomération, on avait lancé : si on va en demi-finale de Fédérale 1, vous nous prêtez le stade Geoffroy-Guichard ? Ils avaient répondu : chiche. » Et le 13 juin, les Stéphanois ont validé leur accession face à Bourg-en-Bresse (16-13) devant 22 000 spectateurs.


Cette saison, la démarche est différente : le parc des sports de l'Etivallière étant en travaux et ayant en attendant une faible capacité d'accueil, le CASE a demandé de se produire quatre fois dans le Chaudron : pour les derbys (Oyonnax, Lyon et Grenoble) et donc pour la réception de l'Union. « Car, ici, un Saint-Etienne - Bordeaux a plus de signification pour les gens qu'un Saint-Etienne - Albi », poursuit le vice-président, qui a œuvré il y a une quinzaine d'années à… Mérignac.

Le LOU est locataire
Le LOU, lui, va découvrir Gerland qu'il investira définitivement en 2014. Si l'idée avait déjà été entendue par ci par-là les saisons précédentes, le président Yvan Patet voulait attendre que son club possède toutes les garanties pour réussir l'opération. Car si l'agglomération de Saint-Etienne met gracieusement à disposition Geoffroy-Guichard, le finaliste de la saison passée loue Gerland. Et doit également payé à l'Olympique Lyonnais pour l'utilisation des écrans géants et du matériel vidéo. Le coût de l'opération (sécurité, réception, billetterie,…), chiffré « autour de 15-20 000 euros » dans le Forez, serait ainsi autour de 10 fois supérieur dans la capitale des Gones.

« Mais on ne perdra pas d'argent, pointe Mathieu Renaud, responsable commercial, qui ne souhaite pas divulguer les chiffres. On a un objectif financier et je pense qu'on l'atteindra. Mais plus qu'économique, notre but est de toucher le public et des entreprises pas intéressées à venir communiquer dans les installations désuètes de Vuillermet, mais prêtes à nous suive à Gerland. »

L'exemple bordelais
Pour toucher le maximum de monde, le LOU a tapissé les arrêts de bus de son agglomération, offert trois places à chaque abonné. Le CASE a lui envoyé des contremarques à 4 000 entreprises, donne la gratuité pour les mineurs, le Conseil Général de la Loire ayant lancé des invitations. Et les deux clubs font gagner des places toute la semaine via les médias locaux. « Je ne pense pas que la défaite face à Oyonnax à Geoffroy-Guichard (6-47 devant 8 000 personnes le 12 septembre) nous pénalisera », dit Laurent Pietrocola. « Les gens savent ici que nous sommes le petit poucet et nous soutiennent comme tel. Et, depuis, les résultats sont plutôt bons. »

Lyon, qui retournera à Gerland le 16 avril face à Oyonnax, peut lui espérer battre le record d'affluence établi par l'Union au stade Chaban-Delmas il y a un an tout juste face à Agen : 20 158. Un (grand) succès populaire et une (petite) plus-value financière qui avait toutefois été plombée par la défaite, et une expérience que le club girondin ne rééditera pas cette saison. « Car je ne vois pas d'affiche en Pro D2 qui le justifierait, explique le président Laurent Marti. Pour nous, il faut La Rochelle, Agen, ou le Toulon de Pro D2… Après, si par grand bonheur on venait à jouer une demi-finale à domicile, je pense qu'on privilégierait l'aspect sportif en la disputant à Bègles. » (1) 13 000 billets avaient trouvé preneur mardi soir.

Les Girondins vont découvrir demain l'enceinte de Geoffroy-Guichard où 15 000 spectateurs sont espérés. Avec plaisir… mais en pensant d'abord au jeu.

http://www.sudouest.fr/2010/10/08/invites-dans-le-chaudron-206478-8.php

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L'équipe de France (ici Auradou) a joué deux matches à Geoffroy-Guichard depuis 10 ans. PHOTO AFP

La présence d'un ballon rond sur le terrain annexe de Moga, mardi matin à l'entraînement, était parfaitement fortuite. C'est bien pour une partie de rugby, capitale pour se relancer complètement vers le haut du tableau, que les joueurs de l'Union Bordeaux-Bègles vont investir demain un lieu mythique du sport français, et évidemment surtout du football : le stade Geoffroy-Guichard. « Pour moi, même si je n'étais pas vieux, ça me rappelle surtout les souvenirs des Verts des années 70. J'avais un maillot de football quand j'étais enfant, et c'était celui de Saint-Étienne », sourit Laurent Marti.

Du plaisir et c'est tout
Le président girondin pénétrera pour la première fois dans l'enceinte. Il ne sera pas le seul : un unique membre de la délégation girondine a déjà foulé la pelouse stéphanoise. Le 5 juin 1999, Ludovic Loustau, demi de mêlée aujourd'hui préparateur physique, y a remporté la Coupe de France avec le Stade Français, face à Bourgoin et devant 22 000 personnes. « Pour tout joueur, c'est bien sûr plaisant de jouer dans de tels stades. Je pense que ça donne une autre envergure que si on arrive dans un stade perdu au milieu de la campagne pour une rencontre "gigot-haricot". Après la motivation doit être la même où que ce soit… Je me souviens notamment de l'inscription à l'entrée des vestiaires : "Ici, c'est le chaudron". Je n'ai pas eu l'occasion d'y aller voir des matches de football lorsque j'étais à Lyon mais c'est vrai que j'aimerai le voir plein. Pour ce qui nous concerne, j'espère que ce ne sera pas une coquille vide ».

Le CASE espère combler 15 000 des 35 000 places. Et si les joueurs, dont aucun était né lors de l'épopée européenne de Rocheteau and co en 1976, ont tous une sensibilité différente à l'événement - les étrangers doivent eux se faire raconter l'histoire -, tous avouent, comme le Berjallien de l'équipe Frédéric Montagnat, du « plaisir » à l'idée de sortir de l'ordinaire. « J'y suis déjà allé, une fois, avec mon père pour un Saint-Étienne - Montpellier : mais j'étais tout petit, Carlos Valderrama (1) jouait, c'est dire, se souvient le demi de mêlée Julien Séron. J'ai eu l'occasion de jouer (en Top 14 avec Narbonne) à Ernest-Wallon à Toulouse, à Mayol, mais jamais dans ce type de stade de 30-40 000 places. Maintenant, si on veut que ça soit vraiment jouissif, il faut d'abord que l'on gagne ».

Même discours du côté du talonneur Boris Bethery : « Je ne l'ai vu que de l'extérieur car on passait sur la route à côté quand, avec Limoges, on se déplaçait à Lyon. Bien sûr, on va sans doute regarder le stade en arrivant un peu différemment des autres et, surtout en Pro D2, il est plutôt rare de jouer dans ce genre d'endroits. Mais une fois le match lancé, ça ne changera rien ».

Le souvenir de l'an passé
Cela reste toutefois à vérifier : les éléments du groupe ayant connu la saison dernière la claque au stade Chaban-Delmas contre Agen, peuvent témoigner que les délocalisations ne sont parfois pas qu'anodines. « On s'était mis beaucoup de pression sur cette rencontre, sans doute trop, se souvient Laurent Ferrères. En fait, cela influe peut-être plus sur l'équipe qui reçoit ». « Ils connaissent, y ont déjà joué cette saison (Oyonnax, le 12 septembre), ajoute Frédéric Montagnat. Maintenant, ça peut aussi leur servir de surplus de motivation, surtout s'il y a du monde ».

Et Laurent Marti de conclure : « On est flatté d'avoir été choisi pour jouer à Geoffroy-Guichard. mais, à vrai dire, le côté gala nous importe peu. C'est d'abord une rencontre qu'il faut à tout prix gagner ».

Le match : Saint-Étienne - Union, demain à 18 h 30. en direct là http://www.arlfm.com/sport.php

Agen · Sports · Pro D2 · rugby · Laurent Marti

Je vois qu'on est attendus de pied ferme. Comme dit Frank Labbé, ça va être très difficile et on sera en terrain très hostile.
Mais quand je vois la maîtrise et l'engagement déployés contre Lyon, je sais que l'équipe est capable d'une performance.
Alors, on n'a plus qu'à souhaiter très fort…

et sur Bordeaux Actu on peut lire

RUGBY PRO D2 | L’Union Bordeaux Bègles se déplace à Saint-Etienne et va jouer dans le "chaudron"

Se déplacer pour aller jouer dans un stade mythique est toujours un peu compliqué et Marc Delpoux redoute ce match, qui risque de se jouer devant 20 ou 25 000 supporters. Face à une équipe qui a vite appris et qui dispose d’une charnière d’exception avec Péclier et Da Silva, il faudra serrer les rangs car le CASE est aussi à la recherche de sa première victoire à domicile et compte bien l’obtenir.

Le stade du ballon rond est aussi celui du ballon ovale à Saint-Étienne et Geoffroy Guichard est chargé d’histoire. Après un entrainement soutenu ou Marc Delpoux a insisté sur vitesse et engagement, nous lui avons demandé :

" Quel effet cela fait d’aller jouer dans le chaudron ? "
" Pour l’instant, j’ai plus de craintes que d’autres sentiments. Après, c’est un plaisir de se rendre la-bas, que le rugby s’exporte dans les grands stades du foot, ça prouve le respect des équipes qui rentrent. Ils ont beaucoup communiqué sur ce match-là et ils espèrent avoir le maximum de supporters. A chaque fois qu’ils ont joué dans un stade bien rempli, ils ont eu une issue favorable. "

" Quels seront les pièges à éviter ? "
" Quand on est capable d’aller gagner à Narbonne, je suis bien placé pour le savoir, ce n’est pas facile. Quand on est capable d’aller faire match nul à Colomiers, je suis encore mieux placé pour le savoir, ce n’est pas facile non plus. L’équipe joue pour mettre Péclier dans les meilleures dispositions, comme Carcassonne pour Rosalen. On a marqué 2 essais et eux en ont marqué 6 ou 7. La vidéo ce matin a été un peu plus longue car il y a beaucoup de qualité dans cette équipe, ça nous fait peur. " Donc on peut en déduire que le piège serait de les prendre à la légère.

" Votre progression à l’extérieure est assez nette avec les sorties à Oyonnax et Grenoble où il n’a pas manqué grand chose, la logique voudrait que ce soit la victoire ? "
Non, c’est pas la logique. Je dirais que c’est l’état d’esprit qui doit être le même comme à Oyonnax, comme à Grenoble et comme ailleurs j’espère aussi. Le président nous a permis de constituer un groupe fort et à chaque match son équipe type.

Bernard LAMARQUE
Bordeaux Actu
http://www.bordeauxactu.com/RUGBY-PRO-D2-L-Union-Bordeaux.html

Belle modestie et beau réalisme de la part de Marc,le staff et le groupe sont conscient de ce qu'ils doivent au président, au club et au supporters.
Devoir, devoir bien sur mais aussi je l'espère plaisir, plaisir de gagner ensemble, de jouer ensemble et de réussir là ou tout le travail collectif et individuel mis en oeuvre depuis le premier jour avec sérieux et application doit nous permettre d'aboutir. De la patience bien sur et un facteur chance qui ne nous a pas toujours souri.
Nous souhaitons bon match à tous, pensez d'abord à Saint Etienne, Albi sera un autre jour.
Allez Union

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Allez les gars, seuls les mots Combat et Victoire doivent être dans nos esprits.
C'est LE virage à ne pas manquer.