Re: 9ème Journée : Pau - Union

Alain Sam 30 Oct 2010 - 11:51

Bravo et encore merci de ns faire vivre en direct l'évolution de nos champions

Je n'ai pas vue de compte rendu d'après match sur le site d'Arl pour le match d'Albi...

talon Sam 30 Oct 2010 - 13:51

Quelle radio SVP prenez vous ?

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 14:50

Talon

d'après toi à quoi sert le lien qui est sur le portail https://www.allezunion.com sous le compte à rebours

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 15:01

http://www.sudouest.fr/2010/10/30/filo-prend-la-vie-comme-elle-vient-225584-8.php

30 octobre 2010 06h00 | Par pierre-yves crochet
Filo prend la vie comme elle vient
Le troisième ligne tongien qui a porté le maillot de l'Union pendant trois ans se remet de la perte de son père il y a un mois et demi.

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Seti Filo sait qu'on attend plus de lui. Homme de parole, il sera au rendez-vous. photo archives G. Bonnaud

Seti Filo n'a pas encore totalement convaincu, depuis son arrivée cet été à la Section Paloise. Son CV laissait entrevoir de grosses capacités, encore insuffisamment exploitées. Sauf que tout ce qui peut se passer sur un terrain de rugby de France n'est rien à côté de la vie, la vraie, celle qui peut s'interrompre à tout moment à l'autre bout de la planète. Pendant que le flanker entamait le championnat sous le maillot de son nouveau club, son père s'éteignait en Nouvelle-Zélande.

Pas évident de se concentrer sur un ballon quand les nouvelles qui vous arrivent des antipodes sont chaque jour plus alarmantes. Surtout que son épouse effectuait une mission en Afghanistan avec l'armée des États-Unis, mission qui ne s'achèvera qu'au printemps prochain. Quant à son fils de 18 mois, il vit dans la maison familiale des Filo au Tonga, où Seti a grandi au milieu de ses neuf sœurs…L'histoire de Seti Filo s'apparente à un roman. Le personnage est pourtant secret, presque ombrageux. Il préfère éviter les journalistes, n'aime pas spécialement se raconter. Son français est pourtant impeccable. Et chaque mot compte. Mais quand le sourire survient, c'est tout un visage qui s'éclaire. « Je recommence à vivre ma vie, petit à petit. » Et l'équipier modèle d'ajouter : « Je le dois à mes collègues, qui m'aident beaucoup. »

Séparations douloureuses

Avec son pote Saïa Fekitoa, avec Peni Fakalelu, André Hough, Akuila Nawerecagi et les autres, il a réussi à retrouver un équilibre, loin des siens. « Je suis arrivé à Pau en retard cet été. J'avais eu du mal à quitter mon père. Je venais de l'envoyer en Nouvelle-Zélande pour qu'il reçoive les meilleurs soins à l'hôpital. Je n'arrêtais pas de penser à lui, à sa maladie. Malgré les treize heures de décalage horaire, grâce à Internet, je me tenais informé de son état à tout moment. » Mais le cancer a gagné. Lopeti Filo, pasteur de métier, n'avait que 57 ans.

« C'est la vie. Des gens vivent longtemps, d'autres non. Il a fallu que je m'y fasse. À l'annonce de sa mort, je suis retourné au Tonga. Il y avait plein de choses à faire et mon séjour a été très court. Partir après l'enterrement a été une nouvelle fois très difficile. Ma famille m'a soutenu. Ils comprenaient que je devais poursuivre ma carrière. » De douloureuses séparations, Seti Filo en a eu sa dose.

« Cela fait deux ans qu'on n'a plus vécus ensemble avec ma femme. Ça me manque. Normalement, la saison prochaine, elle me rejoindra à Pau et nous vivrons avec notre fils, en famille. Pour l'instant, c'est dur, mais on est bien obligé d'accepter la situation. C'est le travail, on ne choisit pas toujours… »

Il a pourtant choisi de changer de club à l'intersaison. À Bordeaux-Bègles, il venait de passer trois saisons. Mais il est parti sans regret, parce que « ça ne sert à rien ». Et aussi parce que « c'est la vie ». Seti Filo prend toute chose avec recul et philosophie. Ce soir, il retrouvera « avec plaisir » ses anciens partenaires, ses anciens entraîneurs. « Mais ce sera un match comme un autre. » La page, si belle soit-elle, est tournée.
Un « énorme esprit d'équipe»

À Pau, il a vite trouvé ses repères. La ville est plus petite que Bordeaux, mais « Tarbes (où il a joué pendant une saison) c'était encore plus petit. Je suis bien ici, c'est joli et j'aime bien le stade. Les supporters ne sont pas toujours faciles pendant le match, mais ils sont là pour nous aider. » Et puis il y a cette jeune équipe qui lui plaît beaucoup. « Nous avons des joueurs qui sont capables de tout faire et il règne un énorme esprit d'équipe. On est tout le temps ensemble ! Alors c'est vrai qu'on manque un peu d'expérience, mais je sens un gros potentiel. » Le même potentiel que les recruteurs béarnais lui ont prêté. « Je dois m'améliorer, élever mes performances. Je sais que je peux faire mieux. J'aime toucher le ballon, j'ai besoin de jouer pour retrouver la forme. Je ne peux pas oublier la perte de mon père. Il est toujours dans ma tête et ça me rend triste. Mais je dois essayer de ne pas trop y penser. La vie continue. »

Humainement parlant, Seti Filo a déjà largement fait ses preuves.

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http://www.sudouest.fr/2010/10/30/lilo-defie-les-amis-225810-8.php

30 octobre 2010 06h00 | Par nicolas le gardien
Lilo défie les amis
L'ailier tongien va croiser ses compatriotes Filo et Fekitoa, dont il est très proche. C'est pourtant sans eux qu'il est en train de s'épanouir.

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Lilo, comme son coéquipier Mailei, affrontera le XV de France le 23 novembre à Nantes. PHOTO L.THEILLET

Lilo a déjà vu Pau. C'était en mai dernier, afin de déménager ses désormais ex-coéquipiers Seti Filo et Saïa Fekitoa. 1,93 m et 110 kg pour porter des cartons, ça aide, surtout quand l'intéressé est réputé serviable et bon compagnon. Depuis, les trois hommes ont passé le mois de juin ensemble pour disputer la Coupe des îles Pacifique et, depuis leur retour en France, conversent surtout à distance. « Mais on ne parle jamais de rugby ! », pointe « Vunga », l'aîné (27 ans) du trio. « Seulement de la famille, de la vie, car nous sommes très proches ».

Au point que lorsque ses deux ont choisi d'émigrer dans le Béarn, on s'est posé la question de savoir si l'aventure du Tongien à l'Union, où il avait signé en 2009 pour une saison renouvelable, ne touchait pas également à son terme. Ce n'est pas un secret : son cas a fait débat en interne, comme il a alimenté les discussions dans les tribunes du stade André-Moga. Car débarqué avec le souvenir dévastateur du Mondial 2007 (quart de finaliste), le titre du meilleur joueur du championnat du Pacifique (en 2007) et de D2 anglaise (en 2008), Lilo est sorti de sa première année française avec un bilan en demi-teinte.
Au service de l'équipe

Meilleur marqueur de l'équipe (5 essais en 23 matches), auteur de quelques coups d'éclats, mais irrégulier dans son jeu au pied, son placement, sa défense. C'est finalement Marc Delpoux et Vincent Etcheto, son plus fervent défenseur (« il a toutes les qualités : puissance, vitesse, qualité de passe, et c'est quelqu'un qui veut bien faire ») qui ont fait pencher la balance vers une proposition de prolongation. « On s'est interrogé pour savoir s'il ne nous fallait pas un autre profil que le sien, pointe le manageur. Mais on y est revenu : d'abord parce que la deuxième année est toujours meilleure pour un nouvel étranger, ensuite parce qu'au vu de ce qu'il nous montrait à l'entraînement, on avait confiance en lui. C'est un joueur d'exception ».

Lui a vite accepté. « Deux de mes amis partaient mais cela fait partie du monde pro. Et moi, je voulais réussir ici ». « Vunga est quelqu'un de très attaché au club, assure ainsi le troisième ligne Hugh Chalmers. L'exemple, c'est le déplacement à Aix, le week-end dernier. Il était 24e homme, il aurait pu être déçu de ne pas pouvoir rester chez lui, avec ses enfants, alors qu'il savait qu'il ne jouerait pas. Mais non, il était là, de bonne humeur, avec l'envie d'aider le groupe ».

Et paradoxalement, c'est sans Filo et Fekitoa qu'il semble s'épanouir sur le terrain en Gironde. Andrew Mailei, autre coéquipier en sélection dont il a vanté les qualités à Marc Delpoux et qu'il a aidé à convaincre de venir, a signé, mais le natif de Ha'apei est « surtout plus à l'aise avec ses coéquipiers non-tongiens » dixit Marc Delpoux. « L'an passé, je suis arrivé fin août (NDLR : en raison d'un problème de visa), j'ai eu pas mal de petits pépins physiques. Là, je me sens plus frais. Et je profite aussi que toute l'équipe marche mieux ».

Quatre essais en cinq titularisations, moins de trou d'airs et une présence plus décisive à l'image de l'exploit réussi sur le quatrième essai contre Albi : le progrès est palpable, avec une stabilisation à l'aile après avoir connu quelques difficultés au style Pro D2 à l'arrière. « Je préfère jouer en 15, comme avec l'équipe nationale, mais le coach m'a expliqué que je serais plus utile au club à l'aile », explique le bonhomme, moins dévastateur que certains des autres îliens de la division mais qui s'appuie sur une polyvalence et une technique supérieure.
La communication, bien sûr

« Ce qui m'a surpris au début est qu'au niveau international, le jeu au pied est tellement parfait que tu sais où te placer. En Pro D2, c'est parfois très surprenant… Maintenant, je m'attache surtout à progresser sur les retombées de balle, mes gestes, et le reste viendra ». « Il est en train de conforter notre décision, pointe Marc Delpoux. Et il peut encore beaucoup mieux faire. À l'entraînement, il est à 2 000 à l'heure à chaque intervention mais en match, il manque encore parfois de timing dans la prise d'intervalles, l'appel, cela est dû aux difficultés dans la communication, au niveau de la langue ».

Les statistiques en sélection confirment d'ailleurs ce dernier point : lorsqu'il enfile la tunique tongienne, Lilo est souvent irrésistible. Sept essais en 14 matches officiels et un rôle de leader au point que, la saison dernière, il s'était vu confier le soin de mener le haka de son pays. Le 9 septembre, à l'Eden Park d'Auckland, si tout va bien, il pourrait d'ailleurs bien être invité à le rééditer face aux All-Blacks pour le match d'ouverture de la Coupe du monde. Peur ? « Non, fier ». S'il continue comme ça, tout Bordeaux-Bègles le sera avec lui.

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Merci pour ces 2 articles et pour le référencement "Union Bordeaux-Bègles", ce sont les palois qui vont être jaloux Laughing

talon Sam 30 Oct 2010 - 15:02

Merci Patrick, je vais trop vite en besogne sans prendre le temps de lire.

JE SORS 10 MINUTES yellow card

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 15:05

OK mais au retour tu fais tout péter yesbx

talon Sam 30 Oct 2010 - 15:08

Trés bel article, MERCI.

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 15:09

http://www.sudouest.fr/2010/10/30/l-union-veut-franchir-un-palier-en-gagnant-a-pau-225819-8.php

30 octobre 2010 06h00 | Par Yoan Leshauriès
L'Union veut franchir un palier en gagnant à Pau

Invaincue depuis le 18 septembre, l'Union est l'équipe en forme de ce championnat de Pro D2 et se déplace « en confiance » aujourd'hui sur le terrain de la Section Paloise. « On est dans une bonne dynamique, observe l'entraîneur des arrières Vincent Etcheto. On n'en parle pas beaucoup entre nous, mais les joueurs prennent goût à boire leur petite bière à la fin des matchs avec le sentiment du devoir accompli. » Cependant, Bordeaux-Bègles est bien conscient qu'il sera difficile de savourer un nouveau succès en Béarn.

« La saison dernière, la Section Paloise nous avait mis la pression avec un gros volume de jeu. On n'avait juste réussi à décrocher le bonus défensif en fin de match (NDLR : défaite 17-11) », se souvient le manager Marc Delpoux. L'Union occupait à l'époque le milieu de tableau. Aujourd'hui, elle a grandi mais est du coup encore plus attendue. « On est vu d'un œil différent, la motivation de l'adversaire est d'autant plus forte. » « Nous avons mis fin à la série d'Albi, la Section voudra mettre fin à celle de l'Union », note Etcheto.

Les Girondins ne se mettent pas pour autant la pression sur ce déplacement. « Une défaite n'hypothéquerait rien pour la suite, juge Delpoux. Mais battre Pau nous placerait dans des conditions extraordinaires. C'est bien de gagner à Saint-Étienne. Maintenant, nous devons le faire chez un adversaire direct pour franchir un vrai palier. »

Pour cette rencontre, le staff de l'Union a décidé de faire tourner son effectif à l'image de la titularisation de Camille Lopez à l'ouverture, à la place de Gerard Fraser. « C'est pratiquement le même groupe qu'à Grenoble (16-16), clame Delpoux. Fraser, on l'aurait aligné si on jouait la finale de la Coupe du monde. Mais en alignant Camille, on n'a pas l'impression de mettre un remplaçant à la place d'un titulaire. Son long jeu au pied sera précieux si l'on tient compte des mauvaises conditions climatiques annoncées. »

Le demi de mêlée Heini Adams, un temps incertain, fera bien partie du voyage. Les derniers tests passés hier matin par le Sud-Africain lors de la mise en place ont été rassurants.

Pro D2 · Sports · rugby · Section paloise

talon Sam 30 Oct 2010 - 15:22

Sacré Match en perspective, une rencontre de haut niveau.
SP/ UBB belle affiche,que la partie soit trés belle.

Donc à ce soir sur l'antenne

nathanael33 Sam 30 Oct 2010 - 16:35

Je pense qu'on peut le faire car c'est la section qui reçoit donc elle aura beaucoup de pression
Et comme le dit si bien le proverbe " on a rien à perdre et tout à gagner "
$allez l\\'union$

nathanael33 Sam 30 Oct 2010 - 16:39

Regardez mon blog il est terminé

http://unionbodeauxbegles.blogspot.com/

talon Sam 30 Oct 2010 - 17:27

Félicitations, trés bien monté ton blog sympaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa :clap:

nathanael33 Sam 30 Oct 2010 - 18:25

merci beaucoup
et
$allez l\\'union$

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 18:32

Il a bien sûr ARL mais qui va a priori avoir des problèmes pour sa retransmission.
Si vous voulez faire des infidélités à Pascal il y a aussi France Bleue
http://players.tv-radio.com/radiofrance/playerfrancebleu.php?tag=france_bleu_bearn_mp3&autostart=false

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 18:38

Toujours 0 - 0 mais pénalité pour Camille 25m à gauche 9ème Journée : Pau - Union - Page 2 548764

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 18:40

0 - 3

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 18:53

3 - 3 à la 17ème.

Pau semble tenter de mettre du volume. On ne ferme pas même si on joue sous la pluie.
Notre mêlée a l'air de leur mettre la pression.

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 18:58

6 - 3 pour Pau.

Si vous zappez entre ARL et FB Béarn, vous pourrez noter ce que peut être la différence entre objectivité et subjectivité Rolling Eyes

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 19:04

Après une pénalité de Hough, maintenant un drop des 40m : 9 - 3 mad2

Cool Sam 30 Oct 2010 - 19:06

Bonjour tout le monde. Loin de bordeaux et loin des radios, j'ai ce lien unique avec notre équipe: merci de nous tenir au courant et ALLEZ L'UNION

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 19:06

On n'est pas bien. Vivement les citrons qu'on se réveille.

sectioniste Sam 30 Oct 2010 - 19:10

Section!! Section!!!

Objectif chez france bleu bearn Laughing

C'est ca le Bearn!

Cool Sam 30 Oct 2010 - 19:11

D'azprès ton post, le terrain est lourd et glissant. Il faut attendre la deuxième pour voir notre pack s'imposer :clap:

... ou l'inverse (non, pas possible Allo quoi

)

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 19:11

sectioniste a écrit:Section!! Section!!!

Objectif chez france bleu bearn C'est ca le Bearn!

Ben oui, c'est pour ça qu'on aime bien Bordeaux Rolling Eyes

**patrick** Sam 30 Oct 2010 - 19:15

C'est probablement de notre Pack que viendra le salut. Nouvelle pénalité pour nous aux 40m ......................................................................................................................................................................................................... Réussi ! 9 - 6 au repos, on ne s'en sort pas si mal.

Cool Sam 30 Oct 2010 - 19:18

Bon, si on a tenu le début et si on "calme" le démarage de la deuxième mi_temps, j'ai confiance dans la capacité des avants: ils nous ont montré qu'ils avaient et la puissance et la technique... et la vitesse!
C'est le moment d'aller boire un coup.... :) fan1

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