11ème Journée : Carcassonne - Union

talon a écrit:Le journaliste n'a peut être pas connu l'école de journalisme de BDX excusons le

L'auteur précise pour l'Union une moyenne de 2600 spectateurs pour les 8 premières journées ... si ce n'est que l'Union n'a joué que 4 rencontres à la maison avec 5900 spectateurs lors de la 4ème rencontre. Même si on n'avait fait que 2000 spectateurs (ce qui est très faible) sur les 3 premiers matchs, on arriverait à une moyenne de 3000 spectateurs. Ses chiffres paraissent donc franchement étonnants

J'aimerai bien que quelqu'un décode la déclaration :
« C'est ennuyeux car si on ne le résout pas, on se dirigera vers une ligue fermée. Et ce serait compliqué parce qu'il n'y a pas de concurrence européenne très forte comme on peut le voir dans d'autres sports. »

Est ce les chiffres spectateurs payants ? car l'addition des 4 matchs marquées dans la presse midol sud-ouest l'équipe donnent des affluences meilleure (spectateurs payants et ayant droit et invitations .

L'Enzo on lui a pas dit que la ligne droite était le plus court chemin?
J'espére que nos gars eux le sauront pour aller à dame ils vont pas passer par Perpignan.
Allez Union.

Sur le site de la LNR on trouve les chiffres suivants sur l'affluence à Moga : moyenne : 2137 Record: 3266

Comme le dit "Fonfon" parfois fort exactement d'ailleurs, les spectateurs c'est bien, les supporters c'est mieux et les véritables supporters c'est parfait, donc j'en déduit que ces derniers sont plus nombreux que je ne croyait, donc on est prêt pour le Top 14.
Je penses plutôt qu'il y a la derrière un bon vieux soucis de fiscalité pour les uns comme pour les autres.
Comment la LNR peut s'étonner après les départs des gros tracteurs et le retours des tondeuses à gazon il y a moins de fidéle, et puis à par l'Union cette année qui propose du jeu?
Il faut dire aussi que les hommes en jaune qui ne font pas dans la prévention, hache le jeu et protègent bien les équipes qui déjouent, bien sur en se tenant derrière la règle, Delpoux a raison les équipes qui osent sont pénalisées.
Et spectacle est parfois indigeant, reflet d'ailleurs de la dernière prestation de la vitrine de notre sport, les bleus, quel ennuie.
Je me suis mieux amusé devant un Tyrosse / Lourdes, mais c'est vrai que je n'ai pas de goût standard, je suis atypique.
Allez le beau jeu, allez Union.

Bon pour en revenir au match rappelons que c'est l'occasion unique de prendre la 3ème place et de dépasser le LOU qui se rend à Albi ...et cela même s'il prend son traditionnel cadeau bonus généreusement accordé par des arbitres apparemment impressionnés par l'"ogre"

heuuuuu le Gers,le Tarn de BDX pour aller à Carca ??????????????

Monsieur est allé à Oyonnax en passant par la Provence alors rien ne lui fait peur. Pour le retour il se dit même qu'on l'aurait vu dans le centre de la France puis de côté de Royan

Exact mon cher Patrick, pour OYONNAX, je me suis payé un périple (seul) de 2276 kms par le parcours que tu décris.
Les lignes droites ? L'autoroute ? Ce n'est pas mon truc sauf pour me dégager d'un noeud routier ou rentrer vite.
Nous sommes une équipe à nous rendre à certains match de L'UNION lorsqu'elle joue à l'extérieur.
Le concept est simple : copains, Ducati, petites routes, touring, un peu de culture, un peu de gastronomie, rugby.
Pour Carcassonne, la date était retenue depuis la parution du calendrier.
Nous avons de la chance car le match concerne le 5° contre le 4° avec une place à consolider vers la tête du classement pour une victoire de l'UNION.
Nous y croyons fortement.

Savez-vous pourquoi nous allons gagner?

Parce que nous le valons bien et méritons tous la victoire.

Elémentaire et ce n'est pas les 5 tracteurs de USC de devant qui pourront nous arrêter.

Si je me trompe et que l'un d'entre vous me reproche mon optimisme il gagne un ................tour de la rocade Bordelaise en moto comme passager.

Royal comme cadeau, n'est-ce-pas?

La Gironde est terre de rugby,
J'encourage L'UNION.

Le groupe selon Sud Ouest:


Pro D2 : Le groupe de l'Union pour le déplacement à Carcassonne
Le groupe Chalmers, Chollon, Jauhlac, Purll, Decamps, Clarkin, Avei, Adams, Badel, Vermis, Connor, Fraser, Lopez, Gaultier, Séron, Ferrères, Montagnat, Davies, O'Connor, Ternisien, Baquet, Rey, Jagr. 24e : Bernard. 25e : Chouquet.

Le match Carcassonne (5e/27 pts) - Union (4e/29 pts), samedi à 18 h 30.



On pourrait avoir
Decamps Avei Badel
Jaulhac Purll
Chalmers Clarkin Chollon ou Ternisien

Adams Fraser

Connor Vermis Rey Jagr

Lopez ou Ferrères

Qu'en pensez vous ?

GAUTIER GIBOUIN, MANU SAUBUSSE PEUVENT ÊTRE APPELLE EGALEMENT.

SINON DANS L'ENSEMBLE CA DEVRAIT ÊTRE LE GROUPE CONTRE CARCASSONNE.


JULIEN SERON EN 9 TITULAIRE A CARCASSONNE ? DES CHOIX DIFFICILES EN 10 ET EN 15 COMME TOUS LES AUTRES POSTES, GESTIONS DE L'EFFECTIF?
QUELQUES SOIT L'EQUIPE ALIGNEE, LE COLLECTIF SE BATTRA POUR REMPORTER UNE VICTOIRE A CARCASSONNE , ET CE SERA EXTREMENT DUR.

ALLEZ L'UNION , ALLEZ UBB.

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Cette année nous avons des ambitions et ça ce voit.
Nouveauté neuve en plus on nous craint

Bordeaux-Bègles voit grand

http://www.midilibre.com/articles/2010/11/18/SPORT-AUDE-Bordeaux-Begles-voit-grand-1455770.php5

Merci à Monsieur Cathala journaleux local d'avoir repris dans le détail tout le parcours que notre rugby a réalisé, un chemin de croix que nous aurions tendance à oublier parfois et qui doit rester toujours ancré dans un coin de notre esprit pour nous inciter à rester humble et à profiter aussi de nos embellies. Merci donc à cet être précieux.
Bien sur notre recrutement "Tapageur" a l'air de le perturber, et selon lui nous ne sommes pas au mieux de nos possibilités. C'est gentil mais assez négatif pour notre adversaire du jour le grand Carcassonne qui ne devrait faire qu'une bouchée de nous.J'espère Monsieur Cathala que nos joueurs "Tapageurs" vous donnerons sur le terrain la réponse qu'il convient et dans le cas d'un résultat positif de leur part, il est clair que nos amis Carcassonnais que nous respectons par ailleurs auraient du mal à justifier d'un faux pas face à si petite équipe.
Après ce journaliste de la ligue qui il y a quelques semaines nous voyait lutter contre la relégation, voila encore un beau spécimen de ...
L'avenir dira si ce zozo a raison, sommes nous un agglomérat de recrutement tapageur ou un groupe avec une âme, des envies, des convictions et une belle paire de ........
Pour moi ce groupe existe bien.
Allez Union.

OUI NOUS LE VALONS BIEN.

NOUS SOMMES AVEC VOUS;

Bon ,pour le tour en moto sur la rocade,heuuuuuu je préfère te payer l'apéro.

L'indépendant de Dimanche !!!

"Carca sonné !!!"

USC : 25 ( 5 p, 1 drop, 1 essai, 1 t)
UBB : 32 ( 5 essais, 2 t, 1 p)

Alors que les avants de l'USC s'étaient préparé à un combat de tranchée, c'est par l'épuisement que les girondins leur ont fait mettre genoux à terre. Bien épaulés par une troisième ligne mobile et technique, un Adams flamboyant et un Fraser d'une précision chirurgicale au pied, les 3/4 bordelais s'en sont donné à cœur joie, jouant tous les ballons et relançant des 4 coins du terrain. Une débauche offensive tel qu'on n'en avait pas vu à Domerc depuis le début de saison donnant le tournis à une défense le plus souvent sur le reculoir pour ne pas dire sur le cul. Sur leur aile, l'intenable Jagr et le feu follet Connor y allait chacun de leur réalisation puis ce sera au tour de Rey de parachever 40 minutes de folie . A la mi temps la messe était dite et chacun courait après un nouvel objectif, un bonus défensif pour l'USC afin de sauver les meubles et les 5 points pour des bordelais insatiables malgré la débauche d'énergie. Dès lors Rosalen allait tenté toutes les pénalités qui lui étaient offertes au contraire de son homologue qui préférait les convertir en munition d'attaque . Un choix récompensé par deux nouveaux essais de l'arrière Ferrères avant que l'incontournable talonneur Avei, soucieux de tenir son rang de meilleur marqueur de l'équipe, ne récompense le travail de l'ombre du paquet girondin. L'USC décrochait son bonus dans les ultimes minutes et peut s'en satisfaire, car oui vraiment le rugby que nous ont offert nos visiteurs mérite amplement l'étage supérieur"
Pierre CATHALA


Et cette fois tant pis pour le bonus défensif concédé dans les dernières minutes

http://www.sudouest.fr/2010/11/19/carcassonne-union-pro-d2-les-equipes-243758-4564.php

19 novembre 2010 17h04 | Par Legardien

Carcassonne - Union (Pro D2) : les équipes

11e journée de pro D2, au stade Domec de Carcassonne, samedi (18h30)

Carcassonne

L'équipe probable (le staff ne souhaitant pas communiquer son XV de départ) : Klur - Lazarotto, Le Bourhis, Jaffres, N'Gog - (o) Rosalen, (m) Mahé - Koffi, Teyssier, Barrière - Jeannard, Guironnet - Ben Bonhout, Sidobre, Deloubes. Remplaçants: Cau, Cidre, Guicherd, Baradat, Siro, Garcia, morel, Palomera.

Union Bordeaux-Bègles

Ferrères - Jagr, Vermis, Rey, Connor - (o) Fraser, (m) Adams - Chalmers, Clarkin, Ternisien - Purll, Jaulhac - Decamps, Avei, Badel.

Remplaçants : Davies, Montagnat, Baquet, O'Connor, Chollon, Séron, Lopez, Gaultier. En réserve: Chouquet, Bernard. Absents: Lilo, Mailei, Leo (sélections), Carballo (déchirure), Labbé (épaule, Bethery (épaule), Turini (rééducation), Florea (dos)

Union Bordeaux-Bègles · Pro D2 · rugby · Sports

Ah, on note le retour de de Nicolas LG

http://www.sudouest.fr/2010/11/19/retrouvailles-au-sommet-243509-8.php

19 novembre 2010 06h00 | Par nicolas le gardien

Retrouvailles au sommet
Coéquipiers, entraîneur-entraîné et désormais camarades de formation à Marcoussis, Marc Delpoux et Christian Labit seront face-à-face demain.

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Christian Labit a mené en quatre ans Carcasonne de la Fédérale 2 à la Pro D2. PH

L'accent est le même. La façon de ne pas tourner autour du pot pour dire les choses aussi. « Deux grosses personnalités au fort caractère », pointe le demi de mêlée girondin Julien Séron, audois comme eux, et qui a été entraîné par les deux. Un poste commun en tant que joueur (troisième ligne), et une même réussite dans leur nouvelle peau de manageurs - entraîneurs : l'un, champion d'Italie avec Calvisano, est aujourd'hui 4e de Pro D2 avec l'Union Bordeaux-Bègles ; l'autre a récupéré Carcassonne en Fédérale 2 et l'a hissé au 5e rang de l'antichambre de l'élite. Marc Delpoux et Christian Labit se retrouveront demain au pied de la citadelle languedocienne pour un match au sommet pas forcément attendu. Et entre amis. Proches.

« Je pense que l'on peut dire que l'on s'entend bien, oui », glisse le néo-Bordelais. « Marc fait effectivement partie des gens de ce milieu avec qui je partage le plus d'affinités, de conviction. On passe pas mal de temps ensemble à table à Marcoussis », sourit son homologue.

Depuis vingt ans

Depuis le début de saison, les deux hommes, qui passent leur brevet d'État, se croisent en effet régulièrement au Centre national. Et parlent championnat, un peu ; de Narbonne, pas mal ; de rugby, beaucoup, vingt ans pile poil après qu'ils se soient croisés pour la première fois sur une pelouse.

« J'étais junior, se souvient Christian Labit. Marc faisait partie des monstres sacrés du grand Narbonne, qui était l'une des quatre meilleures équipes de France. Quand je suis arrivé, je le regardais avec des grands yeux : c'était un numéro 8 particulier, très batailleur, mais qui possédait une sacrée technique ». Ils joueront trois ans côte à côte (remportant en 1991 la Coupe de France) avant que l'un s'en aille vers Perpignan et que l'autre fasse le bonheur de Toulouse quand son aîné est revenu au bercail. Se passant le numéro 8. « Christian était un joueur très, très talentueux, reprend Marc Beltran. Il avait la culture treiziste de sa formation à Lézignan, rude et perforateur hors pair. Au Stade Toulousain, il était LA star devant les autres stars. Ça veut tout dire ».

Une double décennie plus tard, ils ne se jugent pas changés. « En tant qu'hommes, non. On a gardé nos personnalités. Après, évidemment, l'entraîneur doit prendre de la distance par rapport au joueur », avance Labit. Avec un autre point commun : passé à l'école narbonnaise de la fin des années 1980 - « fort devant », résume le Carcassonnais - ils ont évolué vers la volonté de « prôner le jeu, chacun avec leurs moyens », pointe Julien Séron. « Son équipe est dans la lignée de ce que Marc était sur le terrain : il s'y filait lorsqu'il fallait s'y filer mais il avait toujours aussi la volonté de jouer », avance le demi-finaliste de la Coupe du monde 2003, qui se dit lui fortement marqué par ses années toulousaines.
Prises de bec

« Je ne sais pas ce qu'il prône, mais ce que dont je suis sûr, c'est qu'il s'appuie sur les valeurs qui lui sont chères : l'amitié, la détermination, pointe Marc Delpoux. Il sait tirer la quintessence des joueurs qu'il a, qui sont de qualité, et c'est efficace. Il sait ce qu'il fait : s'ils nous battent, Carcassonne sera 3e après 11 journées, ce n'est pas un hasard ». Christian Labit renvoie la pareille : « Globalement, je trouve cette Pro D2 très, très engagée, rude physiquement chaque week-end mais assez ennuyeuse dans ce que proposent les équipes, il est vrai peu encouragées en ce sens par l'arbitrage. Bordeaux-Bègles est sans doute la formation la plus dynamique, la plus ambitieuse. Mais ça ne m'étonne pas : en 2005-2006, avec Marc et Jean-François Beltran, on avait fait une très belle saison alors que sur le papier, on n'avait pas une équipe géniale ».

Cela restera pourtant la période orageuse de la relation Delpoux - Labit. « Dans la vie, il y a toujours des hauts et des bas, surtout entre Méditerranéens, sourit le Bordelais. On l'avait fait revenir, il était en fin de carrière et il y a eu quelques engueulades ». « Des prises de bec parfois violentes, reconnaît le Carcassonnais. Mais je crois que c'est pour ça qu'on s'apprécie : on dit chacun ce que l'on pense ». Et généralement, ça se termine avec un verre de Corbières.

Pro D2 · Sports · rugby · Fédérale 2

http://www.sudouest.fr/2010/11/19/julien-seron-carcassonne-s-appuie-sur-ses-valeurs-familiales-243232-8.php

19 novembre 2010 06h00 | Par N. L. G.
Julien Séron : « Carcassonne s'appuie sur ses valeurs familiales »

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Julien Séron. PHOTO F. COTTEREAU

Sans club en janvier dernier, c'est à Carcassonne que Julien Séron s'est entretenu pendant six mois avant de rebondir à l'Union Bordeaux-Bègles. Si - délai dépassé oblige - le demi de mêlée, qui avait fait jusqu'ici toute sa carrière dans son Aude natale, n'a pu jouer qu'en réserve, il a accompagné l'aventure de la montée d'une formation qu'il retrouvera demain soir, en Pro D2.
« Sud Ouest ». On vous imagine impatient de retrouver Carcassonne…

Julien Séron. Oui. C'est très sympa car, si je n'ai pu que m'entraîner, j'ai gardé de bons amis là-bas et je suis très heureux de retrouver un club que j'apprécie, très « famille », avec des valeurs fortes de convivialité. Je suis vraiment ravi de ce qui leur arrive.

Comment vous êtes-vous retrouvé là-bas ?

Je connaissais Christian (Labit) et il a accepté que je vienne avec eux. Même si je ne jouais pas, cela m'a permis de m'entretenir et de rester en forme en attendant de retrouver un club.
Vous êtes surpris de les retrouver à la 5e place ?

Je savais qu'ils ne prendraient aucune déculottée et qu'il serait très très difficile pour tout le monde d'aller gagner là-bas. Maintenant, on ne s'attendait pas forcément à autant de régularité et qu'ils soient capables d'aller faire des résultats comme ils l'ont fait à l'extérieur. Marquer trois essais à Pau, ce n'est pas rien. La force de cette équipe, je le répète, c'est le collectif, l'affectif qui viennent transcender un groupe qui est de qualité. Ils sont très solides en conquête, ont le pied de Cédric (NDLR : Rosalen, ex-Montauban et Narbonne en Top 14), s'appuient là-dessus mais quand ils doivent jouer, ils savent le faire. Ce qui les caractérise, c'est l'efficacité.
Personnellement, comment jugez-vous votre début de saison ?

Je suis plutôt satisfait. D'abord parce que collectivement, on monte en puissance, on a, passé le premier match, réussi des résultats intéressants. Le groupe avait connu beaucoup de mouvements cet été et on ne s'attendait pas forcément à ce que ça prenne aussi vite. Me concernant, on partage équitablement le temps de jeu avec Heini (Adams) et les sensations sont très vite revenues. Dès les matches de préparation, je me suis bien senti dans cette équipe et je n'ai pas eu de mal à m'intégrer dans le jeu.
L'objectif prioritaire de ce bloc de 5 matches est de gagner à Carcassonne et Narbonne ?

(Sourire) On va prendre les matches comme ils viennent et on sait que ça sera compliqué. Mais si on peut gagner en pays d'Audois, bien sûr, ça me ferait très plaisir !

Pro D2 · Sports · rugby · Pau · Top14 · Gironde

Une petite perte d'habitude au niveau des tags, mais ça devrait vite revenir

patrick a écrit: Une petite perte d'habitude au niveau des tags, mais ça devrait vite revenir

...c'est vrai qu'une rencontre au sommet de la Fédérale 2 c'est moins vendeur

sudiste a écrit:L'indépendant de Dimanche !!!

"Carca sonné !!!"

USC : 25 ( 5 p, 1 drop, 1 essai, 1 t)
UBB : 32 ( 5 essais, 2 t, 1 p)

Alors que les avants de l'USC s'étaient préparé à un combat de tranchée, c'est par l'épuisement que les girondins leur ont fait mettre genoux à terre. Bien épaulés par une troisième ligne mobile et technique, un Adams flamboyant et un Fraser d'une précision chirurgicale au pied, les 3/4 bordelais s'en sont donné à cœur joie, jouant tous les ballons et relançant des 4 coins du terrain. Une débauche offensive tel qu'on n'en avait pas vu à Domerc depuis le début de saison donnant le tournis à une défense le plus souvent sur le reculoir pour ne pas dire sur le cul. Sur leur aile, l'intenable Jagr et le feu follet Connor y allait chacun de leur réalisation puis ce sera au tour de Rey de parachever 40 minutes de folie . A la mi temps la messe était dite et chacun courait après un nouvel objectif, un bonus défensif pour l'USC afin de sauver les meubles et les 5 points pour des bordelais insatiables malgré la débauche d'énergie. Dès lors Rosalen allait tenté toutes les pénalités qui lui étaient offertes au contraire de son homologue qui préférait les convertir en munition d'attaque . Un choix récompensé par deux nouveaux essais de l'arrière Ferrères avant que l'incontournable talonneur Avei, soucieux de tenir son rang de meilleur marqueur de l'équipe, ne récompense le travail de l'ombre du paquet girondin. L'USC décrochait son bonus dans les ultimes minutes et peut s'en satisfaire, car oui vraiment le rugby que nous ont offert nos visiteurs mérite amplement l'étage supérieur"
Pierre CATHALA


Et cette fois tant pis pour le bonus défensif concédé dans les dernières minutes

Mon dieu Sudiste, combien de moutons, combien de bouteilles as tu du sacrifier pour avoir pu réaliser de telles augures.
A côté, l'Aït et l'Oktoberfest ça doit être de la gnognote

Arrètez de déconner j'ai regardé le calendrier me demandant si j'avais oublié de partir à Carcas.
Bon on verra demain, mais cela devait se vérifier pas sur qu'on soit revenu à temps pour Mont de Marsan,les Corbières sont trop proches et ce sont des montagnes redoutables dont on a du mal à s'arracher.

Je rêve : même pas vu la route, pas mal au cul et l'on a gagné.
C'est dingue; digne du scénario de retour vers le futur ou bien j'ai un problème mécanique sur la moto : je m'explique; quand j'avance on dirait que je recule.

Félicitations

http://www.sudouest.fr/2010/11/20/un-bloc-dans-le-dur-244543-8.php

Sans ses internationaux, avec une première ligne affaiblie et trois déplacements en quatre matches, l'Union aborde une période compliquée. Mais importante.

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Malgré un calendrier difficile et les absences, Clarkin et l'Union doivent grappiller avant les matches retour. photo laurent theillet

C'est la recette pour rester dans le haut de tableau et l'Union Bordeaux-Bègles va devoir s'y habituer : le souci du détail. C'est-à-dire ? Essayer de ne plus laisser échapper de points de bonus pour en-avant dans la dernière minute (cf matches à Pau et contre Dax), par exemple. Être capable, surtout, d'apprendre à grappiller des unités dans la difficulté. Vainqueurs à Aix-en-Provence dans un jour moyen, les Girondins ont montré qu'ils étaient sur la bonne voie. Ils vont avoir désormais l'occasion de le prouver sur la longueur, de ce soir à Carcassonne jusqu'à la réception d'Auch le 18 décembre, soit un dernier bloc 2010 de 5 matches qui démarre au moment où des nuages commencent à s'amonceler au-dessus du stade Moga.

« Je suis inquiet »
Pour la première fois de la saison, le staff a vu cette semaine ses choix réduits à la portion congrue. Il y a l'absence prévue des internationaux que Marc Delpoux espère voir revenir début décembre en meilleur état que l'Argentin Carballo (déchirure de 7 mm aux ischio-jambiers) mais évidemment surtout la mini-hécatombe en première ligne alors que se profilent le choc frontal face à deux des plus gros packs de la division (Carcassonne et Mont-de-Marsan) et trois déplacements (les Audois, donc, Narbonne et Tarbes) en trois semaines. Et il y a le point d'interrogation de savoir comment le joker gallois Ricky Davies, qui s'est réintégré comme s'il n'était jamais parti, passera de la droite à la gauche de la mêlée. « Inquiet ? Oui, je ne vais pas le cacher », pointe le manageur, qui n'a pas l'habitude de cacher ses sentiments. La dernière fois qu'il avait employé l'adjectif ? Trois jours avant la chute devant Colomiers…

Même amoindrie, l'Union possède pourtant aujourd'hui plus d'assurances qu'à l'époque. Dans le jeu, dans sa conquête en touche, dans sa capacité à enchaîner. « Depuis un mois et demi, cette équipe marche sur l'eau, lance Christian Labit, entraîneur carcassonnais qui, pour la première fois depuis trois ans, a décidé de garder le mystère sur son équipe de départ. Évidemment, si nous, on a leurs absences, on peut s'inquiéter. Mais ils ont un effectif autrement fourni… » Le capitaine bordelais Matthew Clarkin se veut sur la même longueur d'ondes : « Bien sûr, il n'est pas idéal d'avoir toute une première ligne en moins. Maintenant, depuis le début, on vante la profondeur du groupe… »

15 points comme idéal
À l'origine, les joueurs s'étaient fixé l'objectif était de prendre 15 points sur ces 5 matches. Aujourd'hui, le parapluie est un peu ouvert et il s'agit surtout, dixit le Néo-Zélandais, « d'essayer de rester dans les 5 et de se montrer plus performant à l'extérieur ». Et ce, dès ce soir face à un promu promis aux tourments et qui, après 10 journées, se retrouve 5e. Le scénario pour les battre semblait écrit : faire cavaler ses « vieux » (Baradat 35 ans ; Bienvenu 36 ans ; Sidobre 34 ans ; Guicherd 35 ans : Jeannard 38 ans ; Ben Bonhout 33 ans). Depuis, Auch, Aurillac, Tarbes, Dax, Mont-de-Marsan et Pau s'y sont cassé les dents, et Lyon est sorti de la citadelle en soufflant (21-19).

« C'est une équipe qui s'accroche toujours et cela ne m'étonne pas : il y a un tiers d'ex-Montalbanais qui s'y connaissent pour batailler », sourit Clarkin, qui croisera ce soir ses ex-coéquipiers de Top 14 Rosalen, Koffi, Le Bourhis, Ben Bonhout, Jeannard, Etien…

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Pour une fois j'avais vu juste sur la compo .

Sur les deux points d'interrogation,Marc a choisi Arthur plutot que Charly et Lolo ( autre régional de l'étape) plutot que Camille.

L'équipe a de l'allure malgré les absents,le temps sera au vent et à la pluie donc les mèmes conditions due cette semaine à Bordeaux.
Nos gars ne dvraient pas ètre dépaysés.

Alain a écrit: Pro D2 · Sports · rugby · Pau · Top14 · Gironde DE MIEUX EN MIEUX

A regarder tous les articles c'est de plus en plus folklorique avec par exemple "Saint-Jean-de-Luz · Sports · tourisme · Fédérale 1"...mais bon dans son classement Sud Ouest nous gratifie depuis 15 jours de 30 points donc ils sont excusés

MdM mène 21 contre Pau à la mi temps Décidemment ils ont tout donner contre nous les palois