15ième journée : UBB - Auch

Essai de Camille.

c'est tout bon çà

28/23 On est parti pour se faire peur encore une fois...

Ca commence à me gonfler cette faculté à se mettre dans le caca tout seul et de perdre des points bêtement

il faut tenir

Alors ??

je ne sais plus

Toute petite victoire.

Y'en a marre de se prendre que des essais de raccroc en contre. Va falloir penser à consolider le jeu devant pour ne pas être obligé de faire n'importe quoi derrière.
On a laissé au minimum 3 points de bonus, sans parler des victoires qui nous tendaient les bras (Carcassonne...)

fin de match
UNION 28 AUCH 23
OYONNAX 15 SMR 9
NARBONNE 12 USD 18

Pas grave le principal est là 4 points

Vu le début de rencontre et la relative méforme affichée depuis quelques journées, on se contentera de ce score. L'essentiel est préservé.
Un peu de repos pour tous.

Depuis 3 matchs c'est OUF, OUF et OUFFFFFFFFF !!!! ce soir l'essentiel est préservé même si Carcassonne qui lui a pris le bonus off nous double ....

Va vraiment falloir trouver les recettes pour tenir jusqu'à la fin de l'hiver nous semblons extrêmement fragiles après avoir été flamboyants

Pour Carcassonne il faut relativiser.
9 matchs a domicile et déplacement chez nous pour les matchs retour.

Enfin il ne faut pas leur enlever le mérite ce qu'ils font est formidable.

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Les gaillards des 22 .
Comptez sur nous pour pousser en 2011 ..
Merci et Allez l'UNION plus que jamais .....
@micalement
Attention , le Champagne avec modération .............................

Nous sommes à nouveau passés par tous les états ce soir à Musard.
Une première mi temps sans grand relief, Auch nous domine en mèlée ( il est temps que nos blessés rentrent), mais nous scorons les premiers sur une penaltouche par Leo.
Il s'en suit en temps fort ou nous assiégeons la ligne gersoise pendant 5 à 6 minutes, nous refusons de prendre les 3 pts et finalement ce temps fort se termine par un en avant...

Les gascons toujours accrocheurs nous plantent un essai sur lequel il y a me semble t-il un avant de passe. Bref l'essai est accordé et nous nous retrouvons à 7-13 avec une dernière mélée introduction Auch à la sirène.
Tout le monde pense déja à la remnotée de bretelles de Delpoux quand Adams va subtiliser le ballon dans les pieds du 8, l'action se déploie et le 3 auscitain se prend un jaune pour placage sans ballon.
Ouf retour au vestiaire 10/13 et on se retrouve à 15 contre 14 pour les 10 premières minutes de la seconde mi temps.

En seconde période Auch réduit donc à 14 puis 13 encaisse deux essais, nous pensons au bonus offensif quand Leo vers la 68ème prend un jaune et les auscitains après une nouvelle pénalité de Peluchon ( bon pour son retour à la maison) nous plante un dernier essai en contre.

Lopez à la sirène rate la pénalité qui aurait oté le bonus défensif à Auch.

Auch a un jeu très limite, beaucoup d'engagement devant, de la vaillance,mais aussi beaucoup de fautes.

De notre coté, nous tombons un peu dans un jeu stéréotypé, on envoie Leo ou Mailei péter et on voit ce qui se passe.
Heureusement que nous possédons avec Heinie Adams un accélérateur de jeu.
La mélée doit se ressaisir,la touche malgré 1 ou deux lancers perdus ou pas droits est cohérente et nous avançons bien sur les groupés pénétrants.

Ne nous plaignons pas trop, nos joueurs ne se cachent pas et envoient du jeu.

Ce soir c'était Noël : un père fouettard très cool avec les auscitains qui malgré leurs très nombreuses tentative une seule fois auront pris un jaune sur une cravate, une seule fois auront pris un jaune sur une faute d'anti-jeu, une seule fois auront pris 10 m pour avoir ralenti le jeu après une pénalité ; des 3/4 très généreux qui offrent deux essais à zéro passe aux gersois (Lopez qui tente seul une relance suicidaire dans ses 22 et va s'empaler sur 3 défenseurs et Gaultier qui ose un petit coup de pied par dessus alors que la défense lui est déjà sur les naseaux) alors que les avants auront sué sang et eaux pour en marquer 3 ; un bonus défensif laissé à une équipe qui devait repartir avec une valise bien remplie ; des plateaux de charcuteries et un groupe pop-rock de fort bon niveau pour tous les fêtards de la Bodéga, joueurs et familles compris. Pour le reste, malgré notre liste pourtant postée dans les temps, on peut regretter que Santa Klaus ait oublié le vin chaud et les autocollants. Pas grave on redemandera l'année prochaine même si on commence sérieusement à douter de l'homme en rouge

Lopez mon cher Patrick ne joue pas encore pilier, les 5000 auto-collants étaient vendus 2€ la paire de taille fort raisonnable et pour le vin chaud une fontaine au pied de la tribune alimentait les soiffards.
Je vois que le match, la musique ou quelques boissons ont embrumaient un peu ton esprit, dommage.
Ce soir on sera 5ième car Grenoble ne va pas gâcher sa chance, dommage la aussi un BO nous aurait permis de gagner une place et pour moi il y avait beaucoup de place pour le réaliser.
L'arbitre est ce qu'il est, ce n'est pas la première ni certainement la dernière fois qu'il ne fera pas l'unanimité.
Bonnes fêtes à tous.

http://www.sudouest.fr/2010/12/19/le-brouillon-de-noel-270990-8.php

19 décembre 2010 08h48 | Par nicolas le gardien

Le brouillon de Noël

Après un match où elle est passée par tous les sentiments, l'Union, laborieuse, glane un succès qui lui permet de terminer la phase aller en position de qualifiable.

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A l'image des siens, Mailei s'est montré moins saignant qu'au début de l'automne. PHOTO L. THEILLET

Avant la rencontre, il était difficile de savoir à quoi s'attendre entre un candidat aux demi-finales à la première ligne décimée (1) et en baisse de régime depuis un début d'automne flamboyant, et une formation dans une bonne passe (trois matches sans défaite) qui avait choisi de débuter sans la plupart de ses cadres. Après coup, on est finalement toujours aussi partagé : hier soir, l'Union Bordeaux-Bègles aurait sans doute pu (dû ?) décrocher un bonus offensif en faisant fructifier son (presque traditionnel) rendement en touche, voire si Monsieur Gonthier s'était montré plus sévère (essai de pénalité) avec des Gersois écroulant à volonté les groupés pénétrants, arme locale du moment. Mais il n'est pas dit, surtout, qu'Auch ne l'aurait pas emporté si, à 10-16 à la sirène de la mi-temps, il n'avait pas été victime de son manque de lucidité couplé à l'expérience d'Adams chipant un ballon en sortie de mêlée (lire ci-dessous).

Au final, il y aura donc eu hier à Bègles un match brouillon et haché, entre des visiteurs agressifs en défense et maîtres dans la contestation du ballon et des locaux trop justes devant et manquant de vitesse dans les transmissions derrière pour enfoncer le couteau dans une deuxième mi-temps à sens unique. Et chacun aura engrangé le minimum syndical : le bonus défensif pour Auch, quatre points pour l'Union qui passera les fêtes dans les pas d'un qualifiable (1).

« Être plus pragmatique »

Alors, heureux, les Girondins ? Pas franchement. « On est satisfait de la victoire et du bilan à la trêve, mais on ne peut pas se reposer sur cela, glissait le président Laurent Marti. On sort d'un bloc où on est passé près de la correctionnelle et, s'il ne s'agit pas de remettre en cause notre volonté de faire du jeu, il va falloir savoir revenir aussi quand il le faut à plus de pragmatisme. »

Et il y a effectivement peu de chances que les hommes de Marc Delpoux s'imposent à Colomiers, Auch ou Lyon et même sortent indemnes des réceptions d'Oyonnax et de Grenoble _ leur copieux programme de début 2011 _ avec une copie semblable à celle d'hier. Il faudra d'abord commencer par arrêter les cadeaux : Mathew Clarkin et les siens, jamais vraiment mis en danger, ont encaissé leurs 8e et 9e essai de la saison à 0 passe. Le premier lorsque Lopez, sur une relance gourmande, lâchait le ballon à l'impact sur ses 22 et permettait à Bérot de mettre les siens devant (7-13, 38e) ; le second lorsque Gaultier voyait son coup de pied contré par Butonidialevu (28-23, 72e), heureux de relancer un match que l'on pensait plié.

Manque de vitesse

Tout n'est bien sûr pas à jeter : avec un bon Adams à la baguette, les Girondins ont marqué six fois dont trois essais, deux suite à des penaltouche (point de fixation devant la ligne et percussion de Leo à la 9e ; idem puis renversement d'attaque pour Lopez à la 66e) et l'autre en supériorité numérique par Lilo en bout de ligne suite à un intervalle pris par Purll. Mais ils se sont mis en danger seuls en refusant, à 7-6, de taper trois pénalités (30e-34e) pour pillonner en vain la ligne gersoise et se sont montrés globalement laborieux sur les ballons d'attaque malgré les intentions.

« Les terrains sont gras, les ballons glissants, la fatigue se fait sentir et comme logiquement au vu des absences on est de plus en plus en difficulté en mêlée, on ne parvient plus à mettre la vitesse qui rend notre jeu efficace sur la largeur et en pénétration, commentait le manageur bordelais Marc Delpoux. Aujourd'hui, le débat est là. » Et il reviendra vite après une trêve qui tombe vraiment à pic pour l'Union.

(1) En plus des absences longue durée de Labbé, Florea (piliers titulaires du début de saison), Turini, Bethery, l'Union a dû se passer au dernier moment hier de Baquet (ischio-jambiers) et Montagnat (dos) et n'avait sur le banc qu'un pilier remplaçant (Badel) accompagné du talonneur des espoirs (Amaël Neveu) qui faisait sa première apparition à ce niveau. (2) Depuis 2004, le 5e compte entre 81 et 86 points au final.


Je suis assez d'accord avec Nicolas Le Gardien, si à la 40ème sur la mélée ausicitaine Adams ne vient pas chaparder un ballon qui nous donne 3 points plus un jaune au 3 des visiteurs, il n'est pas sur que nous ne vivions pas un scenario à la Colomiers.

Sinon concernant l'arbitre, il ne voit pas tout mais surtout il n'est pas aidé par ses assesseurs. Il est temps que les arbitres de touche joue un rôle plus important.

Certains de nos joueurs sont visiblement au bout du rouleau et puis il est difficile de tout donner d'emblée quand tu sais qu'il n'y a personne sur le banc pour te suppléer ( je pense à Nico Decamps ou Avei qui devaient faire 80 minutes). Fraser est toujours précis face aux perches mais manque de fraicheur,Connor ou Lilo sont plus à l'aise sur terrain sec, nos deux centres sont trop souvent venus s'empaler sur la défense.
Heureusement que la 3ème ligne avec un bon Chollon a joué sa partition tout comme Adams.
La rentrée de Purll a fait du bien aussi.
A ce sujet espérons que pour Jaulhac et Adams il s'agisse de blessure sans gravité.

Il nous manque quelques points de bonus pour ètre plus haut au classement, mais n'oublions pas les victoires de Mont de Marsan ou Narbonne qui furent conquises dans la douleur et puis avant le début de la saison nous aurions tous signés pour une place dans les 5 à mi parcours.

léopold a écrit:Lopez mon cher Patrick ne joue pas encore pilier, les 5000 auto-collants étaient vendus 2€ la paire de taille fort raisonnable et pour le vin chaud une fontaine au pied de la tribune alimentait les soiffards.

on m'aurait menti à l'insu de mon plein gré ????

Alors elle est passée la grosse colère

choubaka a écrit:
Les gaillards des 22 .
Comptez sur nous pour pousser en 2011 ..
Merci et Allez l'UNION plus que jamais .....
@micalement
Attention , le Champagne avec modération .............................

Et dire qu'on manque de 1ere ligne

Bonnes fêtes

http://www.sudouest.fr/2010/12/19/les-auscitains-reviennent-avec-un-point-et-des-promesses-270995-8.php

19 décembre 2010 06h00 | Par Kevin Leroy

Les Auscitains reviennent avec un point et des promesses

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Les Gersois (ici Salle-Canne) ont payé cher un ballon perdu à la dernière seconde de la première mi-temps. PHOTO laurent theillet

Le FCAG et les sirènes, cela va bientôt devenir un feuilleton. Après le nul concédé à Albi après la fin du temps réglementaire il y a deux semaines, les Auscitains ont encore failli laisser échapper un point dans les derniers instants hier.

Grégory Patat était déjà en train de s'arracher les cheveux sur le bord de la touche quand Camille Lopez ratait l'ultime pénali é. « J'aurais été très déçu de ne pas ramener un point, avouait l'entraîneur auscitain à l'issue de la rencontre. On a eu un peu de chance c soir, ça s'équilibre par rapport à Albi. »

Dominés toute la deuxième pér ode, en infériorité numérique pendant vingt minutes, ses h mmes ont mis tout le cœur nécessaire pour provoquer la réussite qui les a accompagnés hier soir. L'espace de quelques instants, on a même cru que le FCAG était parti pour réaliser le coup parfait en Gironde. Après l'essai d'Erwan Bérot (37e) sur un ballon récupéré par Thierry, Auch s'apprêtait ainsi à regagner les vestiaires forts d'une avance de six points.

Ressources insoupçonnées

Mais on l'a déjà dit, les Auscitains ont un souci avec les sirènes. Ils ont en effet bêtement concédé trois points et perdu Kwarazfelia pour dix minutes après celle marquant la fin de la première période… alors qu'ils avaient le ballon en mains. Une aubaine pour les Bordelais, qui inscrivaient alors 21 points d'affilée, profitant également du jaune brandi à Campo. « C'est clair que c'est le tournant du match, regrettait Frédéric Medvès. La mêlée perdue qui entraîne le premier carton nous a fait très mal. » Le troisième ligne et capitaine d'un soir se réjouissait tout de même « d'avoir trouvé les ressources pour aller chercher ce bonus ».

Ce petit point fait en effet beaucoup de bien au moral gersois, juste avant la trêve. Acquis avec une équipe très remaniée et incapable de gagner le moindre ballon en touche (huit lancers perdus, c'est cruel, mais on a compté !), il met en lumière les ressources d'un groupe plus large qu'on ne pouvait le penser. « Je peux m'appuyer sur un effectif de 27-28 joueurs, c'est très positif. Certains ont pris des déculottées ici. Alors un point, c'est déjà bien. On grandit de week-end en week-end », concluait tout sourire Grégory Patat.

FC Auch-Gers · rugby · Sports

Non la colére n'est pas passée, je vais de ce pas l'exporter à Sainte Germaine et je suis sur que nos Espoirs me redonneront confiance en l'espéce humaine Rugbystique.
Faire simple Bordel!!!!

Bien sur rien n'est plus dur que faire simple.
A vouloir trop faire briller on cire parfois les godillots des autres et dieu sait qu'hier vers 19h les Gersois que j'aime bien n'avait absolument aucune raison de briller.
Puisqu'on parle Espoir, évoquons Peluchon qu'on nous vend sur ITS comme Espagnol, de même que notre Gibouin, Fonfon va être content, Bègles est sur le bord du Guadalquivir.
Petit Peluchon devient grand, bon pied, pas de faute de goût, pour un convalescent c'est bien.

Nous sommes peut être 5 ième,mais à un poil de C.. des autres.

Bon; 4 points. Auch a été pénible comme l'on s'en doutait.
L'ami PELUCHON a fait des siennes.
L'année dernière, il avait loupé la pénalité de la gagne.
Alors, que dire?
Nous sommes encore qualifiable. 2011 sera meilleure.

Bonne fête à tous.

Nous sommes même 3ème au CB avec encore 1 point d'avance sur Grenoble et 7 sur Carcassonne.
Ceci étant dit personne ne doit être opposé à une année 2011 meilleure encore

http://www.sudouest.fr/2010/12/20/l-hiver-au-chaud-271796-773.php

20 décembre 2010 06h00 | Par kevin leroy
L'hiver au chaud
Le FCAG a su ramener un point de bonus défensif malgré une équipe remaniée. Il boucle la phase aller sur une bonne note .

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Anthony Salle-Canne et les Auscitains ont obtenu samedi leur cinquième point de bonus défensif de la saison. Photo Laurent Theillet

Un adversaire ambitieux, des blessés (Acébès, Menkarska), des cadres laissés au repos (Saint-Lary) ou sur le banc (Dut, Valdès, Eymard, Bosque…), de la fatigue... A priori, ce déplacement à Bègles avait tout du match de trop pour un FCAG qui ferraille dur tous les week-ends depuis trois mois.

Sauf que les Auscitains semblent bien décidés à ne galvauder aucune rencontre cette saison, et le point de bonus cueilli en Gironde est venu récompenser un engagement total et une belle solidarité de la part des Gersois.

Le tout au terme d'un match un peu étrange, car si les Girondins ont globalement dominé, surtout en deuxième période, le FCAG aurait presque pu l'emporter, tout en ayant été à deux doigts de perdre le bonus défensif à la sirène…

Le tournant du match

Que serait-il advenu si le FCAG avait pu regagner les vestiaires avec six points d'avance et toutes ses forces vives ? C'est bien dommage, mais on le saura jamais, la faute à ce ballon chipé par le numéro 9 Bordelais derrière une mêlée avec introduction gersoise, après la sirène marquant le terme de la deuxième période.

Petite cause et finalement grosses conséquences, puisque sur l'attaque de l'Union, Kwarazfelia se mettait à la faute, offrant trois points sur un plateau à Fraser, et récoltant au passage un carton jaune qui allait s'avérer trop handicapant en début de deuxième période. Menés 13-7, les Girondins allaient ensuite enchaîner 21 points de rang.

L'homme du match

Une première titularisation de l'année, devant sa famille et ses amis, contre son club formateur, comme il le reconnaît lui-même, Mathieu Peluchon « avait la pression pour cette rencontre ». Rassurant sur les ballons hauts, entreprenant et intéressant pour son jeu au pied, le Bordelais a parfaitement réussi l'examen de passage. Il termine également la rencontre avec la bagatelle de 15 points inscrits (trois pénalités, deux transformations), grâce à un 100 % aux tirs au but.

« Après toutes mes galères, ce match me fait beaucoup de bien, avoue t-il. Ça me rassure sur mon niveau, même si j'ai encore beaucoup de progrès à faire. » Il offre en tout cas une nouvelle solution à l'arrière, sachant qu'Erwan Bérot (auteur d'un essai samedi au poste d'ailier) et Damien Duffau sont, contrairement à lui, polyvalents.

La phrase

Ils n'avaient pas tenté plusieurs pénalités, et celle-là, ils la prennent ! ». Grégory Patat avait le sourire après la rencontre, mais il était bien furieux lorsque ses hommes se sont mis à la faute dans la dernière minute du match, et que les Bordelais, alors qu'ils n'avaient plus rien à gagner, ont choisi de tenter la pénalité qui pouvait priver le FCAG du bonus.

Les points positifs

Les Bordelais ont tout tenté. Pendant dix minutes, au cœur de la première période, ils ont pilonné la défense du FCAG, acculé quelques mètres devant sa ligne. Mais jamais l'édifice gersois ne s'est effondré, symbole de la force mentale d'un groupe finalement plus étoffé qu'on ne pouvait le penser. Grégory Patat voulait voir ses remplaçants à l'œuvre en vue de la deuxième moitié de saison. Il a pu s'apercevoir qu'il pouvait compter sur les Peluchon, Bastelica, De Pauw, Etchegaray ou Nérocan, peu utilisés jusqu'ici.

Le point négatif

Comment mettre en place son jeu sans prendre un ballon en touche ? L'équation est impossible à résoudre, et c'est finalement une sacrée performance que de ramener un point de Bordeaux en perdant quasiment dix lancers. Bien sûr, l'absence de Stephan Saint-Lary a pesé, mais les lacunes étaient déjà apparues à Saint-Étienne. « On a un petit problème dans ce domaine, reconnaît Frédéric Medvès. On va travailler pour trouver la solution à la rentrée. »

Le point au classement

Le FCAG boucle la phase aller à la douzième place, en tête d'un petit peloton de quatre équipes (avec Colomiers, Aix-en-Provence et Dax) qui devraient lutter pour le maintien. Les Auscitains possèdent une marge de dix points sur Dax, premier relégable. Une avance confortable, même si la victoire des Landais samedi à Narbonne prouve que la lutte sera acharnée jusqu'au bout.

Union Bordeaux-Bègles · rugby · FC Auch-Gers

Samedi nous avons encore vu que nous ne disposions pas de véritable arrière. Mathieu (par ailleurs bien en 10) peut y faire des prestations correctes mais son jeu au pied n'est pas réellement décisif. Il en est exactement de même pour Laurent. Lilo est meilleur à l'aile et Chouquet n'a jamais réellement remis les crampons. Sans être réellement notre point faible, le poste de 15 n'est il pas notre point le moins fort ? Franchement, le Pelluchon qui est actuellement en phase de reprise avec Auch ne nous aurait il pas fait du bien à l'Union ? Ah si nous avions su gérer nos espoirs

Plus démagogique que la phrase de Patat, c'est assez difficile. Dite par un entraineur dont l'équipe a à chaque instant joué à la fois la montre et l'anti-jeu dès la 1ère minute c'est même assez fort. L'Union n'a pas tenté les pénalités quand elle croyait au bonus. A 50 secondes de la fin, alors qu'elle avait peur depuis quelques minutes (parce qu'elle avait été trop couillonne avant), il est évident qu'elle devait tenter cette pénalité. Après m'être longtemps concentré, je crois même que moi j'aurais directement tapé en touche ... histoire d'être sûr que le ballon sorte du terrain et arrête la partie