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Saison 2011-2012 : LE maintien
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Après la 8ème journée, nous sommes à -3 au classement britannique comme le Racing, Perpignan et Montpellier. Ferment la marche les 2 basques avec -5 (AB) et -6 (BO). Par contre, nos 3 concurrents supposés pour le maintien sont à 0 (LOU) +2 (Brive) et +8 (Agen)
Va pas falloir flancher lors des 4 matchs à venir
Va pas falloir flancher lors des 4 matchs à venir
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
http://www.sudouest.fr/2011/11/07/et-si-l-ubb-changeait-la-donne-du-maintien-547110-8.php
Par Nicolas le gardien
Et si l'UBB changeait la donne du maintien ?
Le bon parcours du promu pourrait densifier la course à la survie en Top 14.
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L'Union a montré les bases pour exister en Top 14 (Photo Fabien Cottereau)
Lors du sondage d'avant-saison de notre confrère « Midi Olympique », les adversaires de l'Union Bordeaux-Bègles avaient placé à 100 % le promu girondin dans l'ascenseur. Deux mois et demi plus tard, pas sûr que l'opinion majoritaire ait changé. Pas sûr, cependant, que le pourcentage soit aussi écrasant. En battant Castres samedi (24-9), l'UBB a empoché un quatrième succès en neuf matches. Depuis la création du Top 14 en 2005, à chaque fois qu'un club a eu ce temps de passage (1), il a renouvelé son billet.
Au tiers de cette saison, le Top 14 a rarement semblé aussi homogène : 9 points séparent le 8e (Brive) du dernier (Biarritz), les Corréziens comptant un match de plus que leurs six poursuivants. L'effet Coupe du Monde ? Forcément. Mais le club girondin y a laissé aussi son tribut (cinq des quinze titulaires de samedi étaient en Nouvelle-Zélande). Et comme l'autre promu lyonnais est au niveau attendu - c'est-à-dire dans la course - la lutte pour la survie s'annonce plus dense que prévue par les habitués du niveau. « On pourrait avoir une grosse surprise en fin de saison » disait l'entraîneur auscitain (Pro D2) Grégory Patat dans notre édition Gironde du 27 octobre. « On en saura plus après le premier bloc de H-Cup. Il faut voir si les équipes la négligent ou pas et si elles parviennent à prendre confiance dans cette compétition », analysait le Palois Joël Rey.
Les pieds sur terre
Si chaque victoire plonge le vestiaire bordelais dans le bonheur, il n'y avait pourtant guère d'euphorie samedi. Le plus petit budget de l'élite (8,7 M€) connaît l'écueil qui le guette : durer, alors qu'aucune équipe n'est décrochée et que la barre du maintien devrait se situer plus haut que jamais (45 points soit 10 succès). Avec un calendrier retour ardu, il sera désormais attendu, devra maintenir la fraîcheur mentale qui l'anime, et en terme d'effectif, il n'est pas à l'abri de souffrir en cas de blessures de cadres, notamment en piliers. La saison dernière, La Rochelle (4 victoires sur les 12 premiers matches ; 6 au final) avait fini par lâcher.
« Je n'ai pas d'inquiétude là-dessus, répond l'entraîneur des arrières Vincent Etcheto. On sait qu'on n'a de marge sur personne, qu'on n'est pas à l'abri de perdre contre Brive à domicile (le 3 décembre) et d'être dans le rouge mais on sait aussi que gagner n'est pas un miracle. Le risque est de prendre la grosse tête, mais on a la chance d'avoir des garçons qui sont toujours à 90 ou 100 %. À nous le staff de veiller à maintenir cela, par la gestion des hommes. Après, on ne maîtrise pas les adversaires : il est évident que, comme Perpignan l'a fait à Toulouse (17-21), Biarritz ou Montpellier vont élever leur niveau avec les internationaux. Mais nous ne sommes pas en surrégime. » « On a toujours été convaincu qu'on pouvait se maintenir. Mais on n'est pas dans un optimisme béat : on pense juste à montrer chaque semaine qu'on peut le faire », répond Matthew Clarkin.
Une marge de progression
Leurs raisons d'y croire ? Nombreuses. L'UBB, qui depuis juillet se prépare à survivre dans le dur, possède dans son capitaine néo-zélandais et son staff des personnalités ayant connu la course au maintien, une ossature d'expérience, des révélations à ce niveau (Rey, Le Bourhis, Lopez). Elle a montré des bases (pack, défense, buteurs) permettant d'exister, découvre un vrai engouement populaire et… a une marge de progression. « En terme de gestion, notre deuxième mi-temps contre Castres est parfaite, pointe Delpoux. Mais la première est largement perfectible et en terme de rugby, nos 60 premières minutes à Toulouse (6-11, 6-56 au final) étaient meilleures. » « Sur notre conquête en touche, notre jeu de ligne, on peut être plus performant », avance Vincent Etcheto.
Et il y a des réserves : samedi, l'UBB était privée de deux des meilleurs joueurs du succès face au Racing (le numéro 8 Houston et le centre Rey), et avait laissé en tribunes de valeurs éprouvées (Chalmers, Carballo). Le Challenge européen, face aux Wasps samedi à Chaban puis à Bayonne le jeudi 17, va lui permettre d'étalonner les joueurs peu utilisés jusqu'ici et d'intégrer le prometteur ouvreur international argentin Sanchez. « Ces deux semaines tombent bien pour travailler en profondeur nos lacunes, sans la pression de devoir gagner à tout prix, qui induit des erreurs, dit Marc Delpoux. Car on va ensuite enchaîner deux matches (à Agen et contre Brive) qui seront peut-être les plus difficiles depuis le début. »
(1) Montauban (5 victoires) et Albi (4) en 2006-2007, Racing (4) en 2009-2010.
Union Bordeaux-Bègles · rugby · Sports · Top14
Un résultat à Agen (au moins un BD pour le GA particulier) et une victoire contre Brive nous mettraient vraiment dans le tempo.
Par Nicolas le gardien
Et si l'UBB changeait la donne du maintien ?
Le bon parcours du promu pourrait densifier la course à la survie en Top 14.
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L'Union a montré les bases pour exister en Top 14 (Photo Fabien Cottereau)
Lors du sondage d'avant-saison de notre confrère « Midi Olympique », les adversaires de l'Union Bordeaux-Bègles avaient placé à 100 % le promu girondin dans l'ascenseur. Deux mois et demi plus tard, pas sûr que l'opinion majoritaire ait changé. Pas sûr, cependant, que le pourcentage soit aussi écrasant. En battant Castres samedi (24-9), l'UBB a empoché un quatrième succès en neuf matches. Depuis la création du Top 14 en 2005, à chaque fois qu'un club a eu ce temps de passage (1), il a renouvelé son billet.
Au tiers de cette saison, le Top 14 a rarement semblé aussi homogène : 9 points séparent le 8e (Brive) du dernier (Biarritz), les Corréziens comptant un match de plus que leurs six poursuivants. L'effet Coupe du Monde ? Forcément. Mais le club girondin y a laissé aussi son tribut (cinq des quinze titulaires de samedi étaient en Nouvelle-Zélande). Et comme l'autre promu lyonnais est au niveau attendu - c'est-à-dire dans la course - la lutte pour la survie s'annonce plus dense que prévue par les habitués du niveau. « On pourrait avoir une grosse surprise en fin de saison » disait l'entraîneur auscitain (Pro D2) Grégory Patat dans notre édition Gironde du 27 octobre. « On en saura plus après le premier bloc de H-Cup. Il faut voir si les équipes la négligent ou pas et si elles parviennent à prendre confiance dans cette compétition », analysait le Palois Joël Rey.
Les pieds sur terre
Si chaque victoire plonge le vestiaire bordelais dans le bonheur, il n'y avait pourtant guère d'euphorie samedi. Le plus petit budget de l'élite (8,7 M€) connaît l'écueil qui le guette : durer, alors qu'aucune équipe n'est décrochée et que la barre du maintien devrait se situer plus haut que jamais (45 points soit 10 succès). Avec un calendrier retour ardu, il sera désormais attendu, devra maintenir la fraîcheur mentale qui l'anime, et en terme d'effectif, il n'est pas à l'abri de souffrir en cas de blessures de cadres, notamment en piliers. La saison dernière, La Rochelle (4 victoires sur les 12 premiers matches ; 6 au final) avait fini par lâcher.
« Je n'ai pas d'inquiétude là-dessus, répond l'entraîneur des arrières Vincent Etcheto. On sait qu'on n'a de marge sur personne, qu'on n'est pas à l'abri de perdre contre Brive à domicile (le 3 décembre) et d'être dans le rouge mais on sait aussi que gagner n'est pas un miracle. Le risque est de prendre la grosse tête, mais on a la chance d'avoir des garçons qui sont toujours à 90 ou 100 %. À nous le staff de veiller à maintenir cela, par la gestion des hommes. Après, on ne maîtrise pas les adversaires : il est évident que, comme Perpignan l'a fait à Toulouse (17-21), Biarritz ou Montpellier vont élever leur niveau avec les internationaux. Mais nous ne sommes pas en surrégime. » « On a toujours été convaincu qu'on pouvait se maintenir. Mais on n'est pas dans un optimisme béat : on pense juste à montrer chaque semaine qu'on peut le faire », répond Matthew Clarkin.
Une marge de progression
Leurs raisons d'y croire ? Nombreuses. L'UBB, qui depuis juillet se prépare à survivre dans le dur, possède dans son capitaine néo-zélandais et son staff des personnalités ayant connu la course au maintien, une ossature d'expérience, des révélations à ce niveau (Rey, Le Bourhis, Lopez). Elle a montré des bases (pack, défense, buteurs) permettant d'exister, découvre un vrai engouement populaire et… a une marge de progression. « En terme de gestion, notre deuxième mi-temps contre Castres est parfaite, pointe Delpoux. Mais la première est largement perfectible et en terme de rugby, nos 60 premières minutes à Toulouse (6-11, 6-56 au final) étaient meilleures. » « Sur notre conquête en touche, notre jeu de ligne, on peut être plus performant », avance Vincent Etcheto.
Et il y a des réserves : samedi, l'UBB était privée de deux des meilleurs joueurs du succès face au Racing (le numéro 8 Houston et le centre Rey), et avait laissé en tribunes de valeurs éprouvées (Chalmers, Carballo). Le Challenge européen, face aux Wasps samedi à Chaban puis à Bayonne le jeudi 17, va lui permettre d'étalonner les joueurs peu utilisés jusqu'ici et d'intégrer le prometteur ouvreur international argentin Sanchez. « Ces deux semaines tombent bien pour travailler en profondeur nos lacunes, sans la pression de devoir gagner à tout prix, qui induit des erreurs, dit Marc Delpoux. Car on va ensuite enchaîner deux matches (à Agen et contre Brive) qui seront peut-être les plus difficiles depuis le début. »
(1) Montauban (5 victoires) et Albi (4) en 2006-2007, Racing (4) en 2009-2010.
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Un résultat à Agen (au moins un BD pour le GA particulier) et une victoire contre Brive nous mettraient vraiment dans le tempo.
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
http://www.sudouest.fr/2011/12/26/un-seul-match-vous-manque-590150-773.php
Par nicolas le gardien
Un seul match vous manque…
Malgré la large défaite à Perpignan (38-13) vendredi, l'Union Bordeaux-Bègles termine la phase aller non-relégable. Mais la rencontre en retard face à Lyon pèserait lourd sur le bilan.
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L'UBB de Treloar, ici à Perpignan, devra gagner 5 à 7 de ses 14 derniers matchs pour se maintenir. (PHOTO PQR)
Trop vite, trop fort. L'Union Bordeaux-Bègles a terminé la phase aller du Top 14, vendredi en seconde mi-temps à Perpignan (38-13), comme elle l'avait débutée fin août au Stade Français (20-41). Dépassée et recevant un avertissement pour la suite. Mais s'arrêter là serait très réducteur. Entre-temps, le plus petit budget de l'élite a montré qu'il existait à ce niveau, a dominé deux formations actuellement qualifiables (Castres et le Racing-Métro) et, avec un match en moins, a réalisé la deuxième meilleure moitié de saison initiale d'un promu depuis cinq ans (1). Avec 21 points et cinq victoires, et si la rencontre contre Lyon (reportée au 3 février) pèserait lourd sur le bilan, elle est surtout dans les temps du maintien.
1 La première moitié de saison
L'UBB est 12e, c'est-à-dire juste au-dessus (3 et 6 points) des deux places de relégables qu'elle n'a occupé qu'une seule fois, après la… première journée. Un rang actuel à relativiser, forcément : si elle avait joué et perdu contre Lyon à Moga, elle serait dans la zone rouge. En s'imposant en revanche sur ses terres, elle aurait pointé au neuvième rang, avec 6 à 8 points d'avance sur le LOU, 13e. D'où l'importance de ce rendez-vous remis.
Quoi qu'il en soit, les hommes Marc Delpoux sont là où ils espéraient : cinq succès minimum sur la phase aller, six dans l'idéal en prévision d'une série retour a priori plus compliquée.
Dans le rayon soulagement, l'exceptionnel essai donnant la victoire contre Brive dans les arrêts de jeu (16-12) le 3 décembre a évité de plonger le club dans une situation critique. Dans celui des regrets, il y a deux niveaux : les bonus défensifs manqués contre Toulon et à Agen -où l'arbitrage a fait débat -, mais surtout le revers à domicile (11-13) face à la lanterne rouge actuelle Biarritz, due notamment à une scoumoune sur le 5 de devant cette semaine-là. Grave blessure de Nicolas Decamps, suspension de deux matchs et non d'un de Fabien Rofes, sorties prématurées de Laurent Delboulbes et Adam Jaulhac…
Globalement, Matthew Clarkin et ses coéquipiers, qui n'ont jamais perdu plus de deux fois consécutivement, ont su négocier les matchs clés et réagir après les coups durs, progressant nettement en conquête et se montrant solides à domicile (un essai encaissé en 6 matchs). En revanche, ils savent qu'ils évoluent aussi sur un fil. Celui d'une conservation et d'une efficacité défensive maximale : à chaque fois qu'elles ont été un peu défaillantes, l'Union a été sanctionnée lourdement quand elle doit multiplier les efforts pour concrétiser ses périodes de domination.
C'est notamment en trouvant la solution dans la gestion de ses temps faibles à l'extérieur qu'elle peut espérer aller chercher les points nécessaires. « On est capable de rivaliser sur des bribes de match, pas sur 80 minutes. Il faut trouver pourquoi » dit Marc Delpoux.
2 La deuxième moitié de saison
Comme espéré, dix victoires suffiront-elles pour le maintien ? Pour atteindre ce chiffre Biarritz devra s'imposer encore 8 fois (en 13 matchs), Brive et Lyon 7 (en 13 et 14). Pas impossible, mais loin d'être évident, et si l'UBB s'impose face à deux de ses concurrents directs lors des matchs retour (et contre Lyon à Moga), atteindre cette barre - donc gagner 5 rencontres sur 14 - devrait être suffisant. Le problème ? Elle se déplacera chez les trois nommés et si elle s'incline, son déficit de bonus (et matchs nuls) l'obligera à monter le curseur à 11 voire 12. Les Girondins, à qui il reste autant de réceptions que de voyages, devront de toute façon réaliser de nouveaux « exploits ». Mais l'équation possède de nombreuses inconnues, valables aussi pour ses concurrents : celle de blessures à des postes clés, la capacité mentale à surmonter une longue série négative, l'état d'esprit avec lesquels viendront en Gironde les équipes intouchables à leur meilleur niveau (Toulouse, Clermont voire le Stade Français et Montpellier) et celui de ses adversaires de fin de saison. « Lyon a prouvé en étant près de gagner à Toulon (15-20), que ce championnat est très homogène et on devra aborder chaque match pour gagner » avance Marc Delpoux. « Ce qui est important, c'est de garder notre destin en mains, avance Fabien Rofes. On ne souhaite évidemment pas se retrouver dans le dur. Mais quelque part, on a hâte aussi, pour voir ce qu'on a en nous. »
(1) 2006-2007 : Dax 16 pts, Auch 10. 2007-08 : Toulon 20, Mont-de-Marsan 15. 2008-09 : Racing 35, Albi 14. 2009-10 : Agen 19, La Rochelle 19. 2010-11 (avec un match en moins) : Union 21, Lyon 18.
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Dès demain, on ré-attelle les wagons et on passe la deuxième.
Par nicolas le gardien
Un seul match vous manque…
Malgré la large défaite à Perpignan (38-13) vendredi, l'Union Bordeaux-Bègles termine la phase aller non-relégable. Mais la rencontre en retard face à Lyon pèserait lourd sur le bilan.
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L'UBB de Treloar, ici à Perpignan, devra gagner 5 à 7 de ses 14 derniers matchs pour se maintenir. (PHOTO PQR)
Trop vite, trop fort. L'Union Bordeaux-Bègles a terminé la phase aller du Top 14, vendredi en seconde mi-temps à Perpignan (38-13), comme elle l'avait débutée fin août au Stade Français (20-41). Dépassée et recevant un avertissement pour la suite. Mais s'arrêter là serait très réducteur. Entre-temps, le plus petit budget de l'élite a montré qu'il existait à ce niveau, a dominé deux formations actuellement qualifiables (Castres et le Racing-Métro) et, avec un match en moins, a réalisé la deuxième meilleure moitié de saison initiale d'un promu depuis cinq ans (1). Avec 21 points et cinq victoires, et si la rencontre contre Lyon (reportée au 3 février) pèserait lourd sur le bilan, elle est surtout dans les temps du maintien.
1 La première moitié de saison
L'UBB est 12e, c'est-à-dire juste au-dessus (3 et 6 points) des deux places de relégables qu'elle n'a occupé qu'une seule fois, après la… première journée. Un rang actuel à relativiser, forcément : si elle avait joué et perdu contre Lyon à Moga, elle serait dans la zone rouge. En s'imposant en revanche sur ses terres, elle aurait pointé au neuvième rang, avec 6 à 8 points d'avance sur le LOU, 13e. D'où l'importance de ce rendez-vous remis.
Quoi qu'il en soit, les hommes Marc Delpoux sont là où ils espéraient : cinq succès minimum sur la phase aller, six dans l'idéal en prévision d'une série retour a priori plus compliquée.
Dans le rayon soulagement, l'exceptionnel essai donnant la victoire contre Brive dans les arrêts de jeu (16-12) le 3 décembre a évité de plonger le club dans une situation critique. Dans celui des regrets, il y a deux niveaux : les bonus défensifs manqués contre Toulon et à Agen -où l'arbitrage a fait débat -, mais surtout le revers à domicile (11-13) face à la lanterne rouge actuelle Biarritz, due notamment à une scoumoune sur le 5 de devant cette semaine-là. Grave blessure de Nicolas Decamps, suspension de deux matchs et non d'un de Fabien Rofes, sorties prématurées de Laurent Delboulbes et Adam Jaulhac…
Globalement, Matthew Clarkin et ses coéquipiers, qui n'ont jamais perdu plus de deux fois consécutivement, ont su négocier les matchs clés et réagir après les coups durs, progressant nettement en conquête et se montrant solides à domicile (un essai encaissé en 6 matchs). En revanche, ils savent qu'ils évoluent aussi sur un fil. Celui d'une conservation et d'une efficacité défensive maximale : à chaque fois qu'elles ont été un peu défaillantes, l'Union a été sanctionnée lourdement quand elle doit multiplier les efforts pour concrétiser ses périodes de domination.
C'est notamment en trouvant la solution dans la gestion de ses temps faibles à l'extérieur qu'elle peut espérer aller chercher les points nécessaires. « On est capable de rivaliser sur des bribes de match, pas sur 80 minutes. Il faut trouver pourquoi » dit Marc Delpoux.
2 La deuxième moitié de saison
Comme espéré, dix victoires suffiront-elles pour le maintien ? Pour atteindre ce chiffre Biarritz devra s'imposer encore 8 fois (en 13 matchs), Brive et Lyon 7 (en 13 et 14). Pas impossible, mais loin d'être évident, et si l'UBB s'impose face à deux de ses concurrents directs lors des matchs retour (et contre Lyon à Moga), atteindre cette barre - donc gagner 5 rencontres sur 14 - devrait être suffisant. Le problème ? Elle se déplacera chez les trois nommés et si elle s'incline, son déficit de bonus (et matchs nuls) l'obligera à monter le curseur à 11 voire 12. Les Girondins, à qui il reste autant de réceptions que de voyages, devront de toute façon réaliser de nouveaux « exploits ». Mais l'équation possède de nombreuses inconnues, valables aussi pour ses concurrents : celle de blessures à des postes clés, la capacité mentale à surmonter une longue série négative, l'état d'esprit avec lesquels viendront en Gironde les équipes intouchables à leur meilleur niveau (Toulouse, Clermont voire le Stade Français et Montpellier) et celui de ses adversaires de fin de saison. « Lyon a prouvé en étant près de gagner à Toulon (15-20), que ce championnat est très homogène et on devra aborder chaque match pour gagner » avance Marc Delpoux. « Ce qui est important, c'est de garder notre destin en mains, avance Fabien Rofes. On ne souhaite évidemment pas se retrouver dans le dur. Mais quelque part, on a hâte aussi, pour voir ce qu'on a en nous. »
(1) 2006-2007 : Dax 16 pts, Auch 10. 2007-08 : Toulon 20, Mont-de-Marsan 15. 2008-09 : Racing 35, Albi 14. 2009-10 : Agen 19, La Rochelle 19. 2010-11 (avec un match en moins) : Union 21, Lyon 18.
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Dès demain, on ré-attelle les wagons et on passe la deuxième.
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
C'est un détail mais le SUA promu avait fini la phase allée avec 20 points et non 19.
http://www.lnr.fr/classement-top-14-orange-2010-2011.html
http://www.lnr.fr/classement-top-14-orange-2010-2011.html
vulcain- J'aime l'Union beaucoup
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
http://www.sudouest.fr/2012/01/09/jusqu-ou-iront-ils-599533-773.php
Par nicolas le gardien
Union Bordeaux-Bègles : Jusqu'où iront-ils ?
La victoire à Jean-Dauger (20-27) a fait basculer Bordeaux-Bègles dans la partie haute. Mais la route du maintien reste ardue.
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L'Union devra aller chercher quatre succès en douze matches pour se maintenir. (photo J. D. CHOPIN)
Jean-Pierre Elissalde avait donc peut-être raison. On ne sait pas quelles étaient la part de communication et celle de conviction, mais les faits ont crédibilisé les propos du technicien bayonnais qui avait fait de l'Union Bordeaux-Bègles le favori du derby aquitain de samedi à Jean-Dauger (20-27).
L'Aviron alignait dans le XV de départ quatre joueurs déjà capés chez les Bleus (Heymans, Boyet, Mazars, Lacroix), trois ex-All-Blacks (Rokoçoko, Lauaki, Tialata) et un demi de mêlée qui a crevé l'écran lors du dernier Mondial (Phillips) ; l'UBB 13 éléments bataillant en Pro D2 la saison dernière. On peut pointer la « maladresse » bayonnaise (essai offert à Avei à la 4e ; en-avant de Mazars devant l'en-but en fin de première période), que l'UBB a été un peu rattrapée par certains démons extérieurs lors de la dernière demi-heure (indiscipline, deux ou trois mauvais choix sous la pression). Mais, outre un engagement encore énorme, la maîtrise collective sur les secteurs clés (touche, défense, animation offensive) s'est avérée bien supérieure côté girondin. Le résultat du jour est logique.
Avec sept succès en 14 matches, voilà donc l'Union, toujours 9e, mais plus près de la dernière place de barragiste (6e) que de la première de relégable, avec un classement britannique positif (1) et un matelas (7 points et le point-average sur Bayonne) sur la zone rouge dont elle n'a jamais disposé jusqu'ici. Bref, des voyants au vert.
« On peut le dire maintenant : les joueurs, à qui on avait demandé de fixer l'objectif sur ce bloc de trois matches, nous avaient dit 9 points. Au vu du programme (déplacements à Perpignan et à Bayonne, réception du Stade Français), c'était sacrément ambitieux, disait le manageur Marc Delpoux. Mais ils l'ont tenu. Ça résume un état d'esprit. On le répète : on prendra peut-être parfois 30 ou 40 points, mais on abordera chaque match avec l'envie de l'emporter et nosconvictions. »
Dans le tableau de marche
L'an passé , l'Union, avec ses 30 unités en poche après cette 15e journée, aurait quasiment déjà assuré son maintien - La Rochelle, 13e, avait terminé la saison avec 33 points - et pourrait regarder avec appétit vers le haut.
Cette fois, ils devront encore gagner pour avoir ce plaisir : la densité du Top 14 2011-2012 va sacrément réhausser la barre sauf écroulement inattendu de deux équipes. Jusqu'où ? Marc Delpoux, comme le staff de Biarritz, a mis la barre à 46-47 points.
« Aujourd'hui on est bien, mais dans ce championnat, il suffit que l'on perde un match pour être rattrappé, répétait le premier samedi. On voit une seule chose : il nous manque encore quatre succès. »
« On sait qu'on jouera le maintien jusqu'au dernier match, répondait l'ailier Rafaël Carballo. Ce qui est important, c'est qu'on reste dans notre tableau de marche, qu'on s'accroche et qu'on fasse en sorte d'y rester. »
Une série compliquée à venir
Malgré deux résultats (39-6 contre le Stade Français et donc Bayonne) que le club n'aurait pas osé espérer il y a six mois, la marge est fragile et le bilan reste très dépendant - d'un point de vue comptable et psychologique - du match en retard contre Lyon (le 3 février à 20 h 45). Le véritable point pourra être fait dans quatre matches, après la venue de Montpellier le 18 février : Matthew Clarkin et ses coéquipiers auront en effet reçu trois fois (outre les Héraultais revanchards de l'aller et le LOU, Clermont le 28 janvier) pour un déplacement, à Toulon. Et sauront à quoi s'en tenir pour la complexe série à suivre (déplacements à Biarritz, Racing, Castres, Lyon, avec la venue de Toulouse au milieu). « On ne regarde pas, répondait Fabien Rofes. Il faut que l'on reste centré sur ce qu'on veut mettre en place, sur notre jeu. Ce qui est très positif, c'est que l'on va pouvoir profiter des quinze jours du Challenge européen pour travailler sereinement. »
Avec deux confrontations au milieu : aux Wasps pour conclure le 22 janvier mais d'abord face à… Bayonne dès jeudi (20 h 15) à Moga. Un match « retour » avec un enjeu et certainement des équipes très différentes mais probablement beaucoup d'intensité : l'Aviron vise toujours une qualification et a besoin de rassurer.
(1) À ce classement, l'UBB est à 2 et devance Lyon (-4), Biarritz et Perpignan (-5), Brive (- et Bayonne (-9).
rugby · Union Bordeaux-Bègles · Pro D2 · Top14
Quasi sûr qu'avec 4 succès de plus nous serons maintenus ... mais peutêtr moins si nous battons Lyon le 3/02 car pas sûr qu'ils ne s'écroulent pas. Brive ne semble pas au mieux non plus.
Quand à Perpignan, Biarritz et Bayonne, on peut penser que leurs effectifs devraient leur permettre de s'en sortir ... mais qui sait.
Quoi qu'il en soit, s'accrocher aux basques d'Agen (voire les dépasser) devrait nous garantir une belle fin de saison ... et clore rapidement ce sujet
Par nicolas le gardien
Union Bordeaux-Bègles : Jusqu'où iront-ils ?
La victoire à Jean-Dauger (20-27) a fait basculer Bordeaux-Bègles dans la partie haute. Mais la route du maintien reste ardue.
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L'Union devra aller chercher quatre succès en douze matches pour se maintenir. (photo J. D. CHOPIN)
Jean-Pierre Elissalde avait donc peut-être raison. On ne sait pas quelles étaient la part de communication et celle de conviction, mais les faits ont crédibilisé les propos du technicien bayonnais qui avait fait de l'Union Bordeaux-Bègles le favori du derby aquitain de samedi à Jean-Dauger (20-27).
L'Aviron alignait dans le XV de départ quatre joueurs déjà capés chez les Bleus (Heymans, Boyet, Mazars, Lacroix), trois ex-All-Blacks (Rokoçoko, Lauaki, Tialata) et un demi de mêlée qui a crevé l'écran lors du dernier Mondial (Phillips) ; l'UBB 13 éléments bataillant en Pro D2 la saison dernière. On peut pointer la « maladresse » bayonnaise (essai offert à Avei à la 4e ; en-avant de Mazars devant l'en-but en fin de première période), que l'UBB a été un peu rattrapée par certains démons extérieurs lors de la dernière demi-heure (indiscipline, deux ou trois mauvais choix sous la pression). Mais, outre un engagement encore énorme, la maîtrise collective sur les secteurs clés (touche, défense, animation offensive) s'est avérée bien supérieure côté girondin. Le résultat du jour est logique.
Avec sept succès en 14 matches, voilà donc l'Union, toujours 9e, mais plus près de la dernière place de barragiste (6e) que de la première de relégable, avec un classement britannique positif (1) et un matelas (7 points et le point-average sur Bayonne) sur la zone rouge dont elle n'a jamais disposé jusqu'ici. Bref, des voyants au vert.
« On peut le dire maintenant : les joueurs, à qui on avait demandé de fixer l'objectif sur ce bloc de trois matches, nous avaient dit 9 points. Au vu du programme (déplacements à Perpignan et à Bayonne, réception du Stade Français), c'était sacrément ambitieux, disait le manageur Marc Delpoux. Mais ils l'ont tenu. Ça résume un état d'esprit. On le répète : on prendra peut-être parfois 30 ou 40 points, mais on abordera chaque match avec l'envie de l'emporter et nosconvictions. »
Dans le tableau de marche
L'an passé , l'Union, avec ses 30 unités en poche après cette 15e journée, aurait quasiment déjà assuré son maintien - La Rochelle, 13e, avait terminé la saison avec 33 points - et pourrait regarder avec appétit vers le haut.
Cette fois, ils devront encore gagner pour avoir ce plaisir : la densité du Top 14 2011-2012 va sacrément réhausser la barre sauf écroulement inattendu de deux équipes. Jusqu'où ? Marc Delpoux, comme le staff de Biarritz, a mis la barre à 46-47 points.
« Aujourd'hui on est bien, mais dans ce championnat, il suffit que l'on perde un match pour être rattrappé, répétait le premier samedi. On voit une seule chose : il nous manque encore quatre succès. »
« On sait qu'on jouera le maintien jusqu'au dernier match, répondait l'ailier Rafaël Carballo. Ce qui est important, c'est qu'on reste dans notre tableau de marche, qu'on s'accroche et qu'on fasse en sorte d'y rester. »
Une série compliquée à venir
Malgré deux résultats (39-6 contre le Stade Français et donc Bayonne) que le club n'aurait pas osé espérer il y a six mois, la marge est fragile et le bilan reste très dépendant - d'un point de vue comptable et psychologique - du match en retard contre Lyon (le 3 février à 20 h 45). Le véritable point pourra être fait dans quatre matches, après la venue de Montpellier le 18 février : Matthew Clarkin et ses coéquipiers auront en effet reçu trois fois (outre les Héraultais revanchards de l'aller et le LOU, Clermont le 28 janvier) pour un déplacement, à Toulon. Et sauront à quoi s'en tenir pour la complexe série à suivre (déplacements à Biarritz, Racing, Castres, Lyon, avec la venue de Toulouse au milieu). « On ne regarde pas, répondait Fabien Rofes. Il faut que l'on reste centré sur ce qu'on veut mettre en place, sur notre jeu. Ce qui est très positif, c'est que l'on va pouvoir profiter des quinze jours du Challenge européen pour travailler sereinement. »
Avec deux confrontations au milieu : aux Wasps pour conclure le 22 janvier mais d'abord face à… Bayonne dès jeudi (20 h 15) à Moga. Un match « retour » avec un enjeu et certainement des équipes très différentes mais probablement beaucoup d'intensité : l'Aviron vise toujours une qualification et a besoin de rassurer.
(1) À ce classement, l'UBB est à 2 et devance Lyon (-4), Biarritz et Perpignan (-5), Brive (- et Bayonne (-9).
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Quasi sûr qu'avec 4 succès de plus nous serons maintenus ... mais peutêtr moins si nous battons Lyon le 3/02 car pas sûr qu'ils ne s'écroulent pas. Brive ne semble pas au mieux non plus.
Quand à Perpignan, Biarritz et Bayonne, on peut penser que leurs effectifs devraient leur permettre de s'en sortir ... mais qui sait.
Quoi qu'il en soit, s'accrocher aux basques d'Agen (voire les dépasser) devrait nous garantir une belle fin de saison ... et clore rapidement ce sujet
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Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Ben franchement, en battant Lyon pour notre match en retard et en ramenant un ou 2 pts de bonus sur nos 2 prochains matchs (qui sait, on peut envisager le BO contre Lyon ), ben on se retrouverait carrément en course pour les barrages ! Bon, c'est pas l'objectif 1er, mais qui sait, avec un peu de chance dans ce championnat très serré, on peut croire en notre bonne étoile
Bon, faut dire aussi que j'ai tendance à pas mal m'enflammer dès qu''il y a un ou 2 résultats positifs, j'finis par dire pas mal de conneries après
Bon, faut dire aussi que j'ai tendance à pas mal m'enflammer dès qu''il y a un ou 2 résultats positifs, j'finis par dire pas mal de conneries après
tom85- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 14/11/2011
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
De toute façon, avec un de nos essais servant de publicité à Canal + pour illustrer le TOP 14, on est obligé de se maintenir ! Ils savent sur qui miser les petits gars de la chaîne cryptée
sandy- J'aime l'Union passionnément
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Localisation : Talence
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Humeur : Tapez moi dessus, j'aime ça ;)
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Ben je vois qu'on a mis le bleu de chauffe...!!! Tout doux les copains. Objectif N°1: battre le LOU et le faire rentrer dans sa tanière. Je crois que ce coup leur serait fatal car ils ont intégré dans leur raisonnement que ce match en retard leur fait une réserve de points. Si ils font un résultat contre le SUA (et sur ce qu'on a vu, c'est possible), il faut tout de suite les remettre la tête en bas. Du coup, ca nous fera un petit capital et alors on verra comment ca a décanté. En tout cas, je crois qu'il va falloir regarder derrière pendant encore quelques matchs, et après le LOU on a une dure série...
Cool- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : merignac
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Humeur : Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent...
Age : 62
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Parfois ça fait du bien de ne pas entendre parler de soi
PS. Si vous êtes patient vous verrez qu'on parle quand même un peu de nous ... mais faut être patient et en plus c'est jouissif
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
tom85 a écrit:Ben franchement, en battant Lyon pour notre match en retard et en ramenant un ou 2 pts de bonus sur nos 2 prochains matchs (qui sait, on peut envisager le BO contre Lyon ), ben on se retrouverait carrément en course pour les barrages ! Bon, c'est pas l'objectif 1er, mais qui sait, avec un peu de chance dans ce championnat très serré, on peut croire en notre bonne étoile
Bon, faut dire aussi que j'ai tendance à pas mal m'enflammer dès qu''il y a un ou 2 résultats positifs, j'finis par dire pas mal de conneries après
Le gros danger ce serait de croire que l'on ne joue plus le maintien, je comprends ton enthousiasme après ces deux magnifiques victoires mais il reste encore 12 matchs à jouer...
Les joueurs doivent conserver l'état d'esprit qui les anime. Humilité, solidarité et travail sont les trois pieds sur lesquels il faut s'appuyer.
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Le gros danger ce serait de croire que l'on ne joue plus le maintien, je comprends ton enthousiasme après ces deux magnifiques victoires mais il reste encore 12 matchs à jouer...
Les joueurs doivent conserver l'état d'esprit qui les anime. Humilité, solidarité et travail sont les trois pieds sur lesquels il faut s'appuyer.
C'est un bel équilibre en effet... un tabouret à 3 pieds n'est jamais bancal, contrairement à une chaise ou une table à quatre pieds
Damier-Muzard- J'aime l'Union à la folie
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Humeur : Isole-toi... mais pas tout seul !!!
Age : 77
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Vince33 a écrit:tom85 a écrit:Ben franchement, en battant Lyon pour notre match en retard et en ramenant un ou 2 pts de bonus sur nos 2 prochains matchs (qui sait, on peut envisager le BO contre Lyon ), ben on se retrouverait carrément en course pour les barrages ! Bon, c'est pas l'objectif 1er, mais qui sait, avec un peu de chance dans ce championnat très serré, on peut croire en notre bonne étoile
Bon, faut dire aussi que j'ai tendance à pas mal m'enflammer dès qu''il y a un ou 2 résultats positifs, j'finis par dire pas mal de conneries après
Le gros danger ce serait de croire que l'on ne joue plus le maintien, je comprends ton enthousiasme après ces deux magnifiques victoires mais il reste encore 12 matchs à jouer...
Les joueurs doivent conserver l'état d'esprit qui les anime. Humilité, solidarité et travail sont les trois pieds sur lesquels il faut s'appuyer.
Non mais je suis bien d'accord avec toi, l'erreur serait de croire que le maintien est acquis et qu'on se doit de viser plus haut. Bon moi comme je l'ai dit, j'essaye toujours d'avoir un discours positif (ou naïf, au choix ) et j'ai tendance à m'enflammer un peu rapidement ^^
Mais bon, on est bien d'accord, le maintien reste la grande priorité et il n'est pas encore totalement acquis si jamais on perd ce bel état d'esprit. Mais ces types-là, ils nous offrent tellement de plaisir, comment ne pas espérer les voir encore un peu plus haut
tom85- J'aime l'Union à la folie
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Dans cette equipe, tout y est.
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talon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
sur RUGBYRAMA un article de Pierre Villepreux qui reconnait que Bordeaux est l'équipe qui produit du beau jeu en TOP 14....
http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepreux_blog105/le-top-14-genere-trop-d-angoisse_post1050357/blogpostfull.shtml
Dans mon dernier article j’ai célébré le match Montpellier-Racing. Si le spectacle a été présent, on ne peut occulter que les deux équipes ont bien sur contribué à l’assurer. Les matchs de cette qualité ne sont pas si nombreux dans le Top 14. Cette compétition génère beaucoup trop d’angoisse. Dans certains matchs la peur de l’échec est en train de tirer dramatiquement la qualité du jeu par le bas. Ce n’est pas seulement ceux qui ont le plus besoin de points qui sont concernés. Il n’y a pas en effet dans cette compétition de «petits matchs», ou rarement, même si inévitablement, dans le bas de tableau, la tendance à refuser le jeu est plus sensible. Les diverses confrontations entre relégables et ceux qui les côtoient, nous proposent un rugby généralement prudent. Les enjeux du moment régulent la forme de la production.
Je ne tiens pas à rentrer dans un discours qui consisterait à valoriser ceux qui produisent plutôt régulièrement du jeu et ceux qui n’en produisent qu’épisodiquement. Cependant il faut louer ceux qui ne peuvent se permettre de lâcher des points mais qui quelque soit le contexte et les adversaires font le choix d’un rugby qui impulse résolument un jeu offensif considérant que leur salut passera par la mise en œuvre cette dynamique de jeu ambitieuse. Bordeaux en fait partie et ce n’est pas par hasard si ce collectif marque pas mal d’essais et tout en même temps ravit son public. On peut me rétorquer que La Rochelle l’an passée avec cette même option ne s’est pas maintenue, mais on ne saura pas si en jouant autrement il se serait maintenu dans le Top 14.
Chacun a le droit de jouer comme il l’entend, mais face aux enjeux de résultats, cette tendance a produire «un jeu de moindre risque» nous conduit à fabriquer des joueurs anxieux. La prédisposition mentale engendrée par ce style n’incite pas à modifier ce qui est prévu, ce qui rend forcement le collectif peu disponible pour oser et entreprendre. Quand il s’y aventure il faut que la réussite soit au rendez-vous. Mais, l’esprit de jeu est absent et face à l’incertitude, peu habitué à jongler avec, on ne s’y "risquera pas" par crainte de l’échec. Le doute s’installera dans le mental tant individuel que collectif. La facilité, ce sera d’adopter un jeu réducteur, qualifié de plus réaliste. L’autre rugby on le fera plus tard. C’est ce qui arrive, quand en fin de match, le score oblige à aller vers d’autres options offensives. Mais, un tel choix n’estompe pas pour autant la peur de mal faire et le processus de transformation de comportements tactiques tant collectifs qu’individuels attendus n’atteint alors que rarement des effets positifs élevés.
Malheureusement dans ce type de confrontation, quand pour cause d’enjeu on refuse le jeu et avec lui le plaisir de tenter de «bien jouer», il n’y a jamais deux heureux et jamais on ne saura si en jouant différemment la victoire n’aurait pas souri à celui qui a accepté d’oser le plus.
Dans la formation initiale du jeune joueur de rugby, on met en avant l’importance de la liberté d’initiative. La lui refuser hypothéquerait ses possibilités de progrès. La liberté d’initiative, c’est la base même de l’efficacité en sport collectif et bien sûr en rugby pour que les effets progressifs de transformation des comportements tactiques se réalisent logiquement et avec efficacité. Il s’agit d’un enjeu de formation allant du débutant au plus haut niveau. Conduire le joueur à accepter d’oser et d’entreprendre dans le cadre d’une «prise de risque» qui en fait n’en sera pas une, si elle s’inscrit dans la convergence des efforts de tous face au jeu situationnel rencontré, traduction du rapport de force attaque-défense rencontré.
Il s’agit bien pour l’entraineur de créer cet état d’esprit, quel que soit le niveau auquel on s’adresse et d’intégrer cet état d’esprit à des contenus d’entrainement adéquats, auquel cas on ne manquera pas de développer progressivement avec les progrès, la confiance utile pour aller plus loin dans un perfectionnement illimité. J’ai bien aimé en ce sens le discours d’Etcheto, le coach bordelais dans un des derniers Midi Olympique.
[url=http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepreux_blog105/le-top-14-genere-trop-d-angoisse_post1050357/blogpostfull.shtml ]http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepreux_blog105/le-top-14-genere-trop-d-angoisse_post1050357/blogpostfull.shtml [/url]
http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepreux_blog105/le-top-14-genere-trop-d-angoisse_post1050357/blogpostfull.shtml
Dans mon dernier article j’ai célébré le match Montpellier-Racing. Si le spectacle a été présent, on ne peut occulter que les deux équipes ont bien sur contribué à l’assurer. Les matchs de cette qualité ne sont pas si nombreux dans le Top 14. Cette compétition génère beaucoup trop d’angoisse. Dans certains matchs la peur de l’échec est en train de tirer dramatiquement la qualité du jeu par le bas. Ce n’est pas seulement ceux qui ont le plus besoin de points qui sont concernés. Il n’y a pas en effet dans cette compétition de «petits matchs», ou rarement, même si inévitablement, dans le bas de tableau, la tendance à refuser le jeu est plus sensible. Les diverses confrontations entre relégables et ceux qui les côtoient, nous proposent un rugby généralement prudent. Les enjeux du moment régulent la forme de la production.
Je ne tiens pas à rentrer dans un discours qui consisterait à valoriser ceux qui produisent plutôt régulièrement du jeu et ceux qui n’en produisent qu’épisodiquement. Cependant il faut louer ceux qui ne peuvent se permettre de lâcher des points mais qui quelque soit le contexte et les adversaires font le choix d’un rugby qui impulse résolument un jeu offensif considérant que leur salut passera par la mise en œuvre cette dynamique de jeu ambitieuse. Bordeaux en fait partie et ce n’est pas par hasard si ce collectif marque pas mal d’essais et tout en même temps ravit son public. On peut me rétorquer que La Rochelle l’an passée avec cette même option ne s’est pas maintenue, mais on ne saura pas si en jouant autrement il se serait maintenu dans le Top 14.
Chacun a le droit de jouer comme il l’entend, mais face aux enjeux de résultats, cette tendance a produire «un jeu de moindre risque» nous conduit à fabriquer des joueurs anxieux. La prédisposition mentale engendrée par ce style n’incite pas à modifier ce qui est prévu, ce qui rend forcement le collectif peu disponible pour oser et entreprendre. Quand il s’y aventure il faut que la réussite soit au rendez-vous. Mais, l’esprit de jeu est absent et face à l’incertitude, peu habitué à jongler avec, on ne s’y "risquera pas" par crainte de l’échec. Le doute s’installera dans le mental tant individuel que collectif. La facilité, ce sera d’adopter un jeu réducteur, qualifié de plus réaliste. L’autre rugby on le fera plus tard. C’est ce qui arrive, quand en fin de match, le score oblige à aller vers d’autres options offensives. Mais, un tel choix n’estompe pas pour autant la peur de mal faire et le processus de transformation de comportements tactiques tant collectifs qu’individuels attendus n’atteint alors que rarement des effets positifs élevés.
Malheureusement dans ce type de confrontation, quand pour cause d’enjeu on refuse le jeu et avec lui le plaisir de tenter de «bien jouer», il n’y a jamais deux heureux et jamais on ne saura si en jouant différemment la victoire n’aurait pas souri à celui qui a accepté d’oser le plus.
Dans la formation initiale du jeune joueur de rugby, on met en avant l’importance de la liberté d’initiative. La lui refuser hypothéquerait ses possibilités de progrès. La liberté d’initiative, c’est la base même de l’efficacité en sport collectif et bien sûr en rugby pour que les effets progressifs de transformation des comportements tactiques se réalisent logiquement et avec efficacité. Il s’agit d’un enjeu de formation allant du débutant au plus haut niveau. Conduire le joueur à accepter d’oser et d’entreprendre dans le cadre d’une «prise de risque» qui en fait n’en sera pas une, si elle s’inscrit dans la convergence des efforts de tous face au jeu situationnel rencontré, traduction du rapport de force attaque-défense rencontré.
Il s’agit bien pour l’entraineur de créer cet état d’esprit, quel que soit le niveau auquel on s’adresse et d’intégrer cet état d’esprit à des contenus d’entrainement adéquats, auquel cas on ne manquera pas de développer progressivement avec les progrès, la confiance utile pour aller plus loin dans un perfectionnement illimité. J’ai bien aimé en ce sens le discours d’Etcheto, le coach bordelais dans un des derniers Midi Olympique.
[url=http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepreux_blog105/le-top-14-genere-trop-d-angoisse_post1050357/blogpostfull.shtml ]http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepreux_blog105/le-top-14-genere-trop-d-angoisse_post1050357/blogpostfull.shtml [/url]
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
De la reconnaissance et du respect, c'est agréable.
Plus que jamais, soyons fiers de notre état d'esprit, de notre style et de nos couleurs !
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Humeur : Fonction de l'UBB
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Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
http://www.sudouest.fr/2012/01/26/nous-ne-calculons-pas-615462-773.php
Par nicolas le gardien
Julien Seron (UBB) : « Nous ne calculons pas »
Capitaine à Toulouse fin octobre, le demi de mêlée girondin Julien Seron, apparu onze fois en quatorze matches de Top 14 cette saison, évoque le contexte du rendez-vous de samedi.
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Julien Seron (au centre) vient féliciter Blair Connor après son essai contre le Stade Français. (l.T.)
Au sein du groupe de l'Union Bordeaux-Bègles, lui serait à classer dans les mobilisateurs. Un râleur sur le terrain, mais surtout un chambreur, apprécié et rassembleur, dont le staff a fait l'un de ses vice-capitaines, lui confiant le brassard à Toulouse fin octobre. Julien Seron, 28 ans, formé à Chalon-sur-Saône puis Bourg-en-Bresse avant de poser son sac à Narbonne et à l'Union en 2010, pose son regard alors que son équipe attaque contre Clermont une série de quatre matches importants.
« Sud Ouest ». Jouer Clermont, c'est encore au-dessus de ce que vous avez connu jusqu'ici ?
Julien Seron. Oui. Avec Toulouse, Clermont est l'autre très grosse équipe de ce championnat, une référence pour tout le monde. Cela fait une dizaine d'années qu'ils sont présents en demi-finale ou finale quasiment chaque année et ils sont encore bien placés pour y parvenir. On a joué des gros ici, mais c'est encore un ton au-dessus avec un jeu complet, un effectif avec des internationaux partout. Il faudra se surpasser, en espérant avoir le brin de réussite nécessaire face à ces équipes. Et en ayant en tête que ce sera beaucoup plus serré que contre le Stade Français (39-6 le 31 décembre, NDLR).
Abordez-vous ces rencontres face aux équipes de tête différemment qu'il y a cinq mois ?
Peut-être inconsciemment, oui, on ressent un peu moins de pression. Il y a un peu plus de sérénité. Après, on garde en tête que l'on est un promu et on sait très bien que ce sera compliqué.
Mais on doit s'accrocher pour prendre le maximum de points. Jouer contre Clermont, à domicile, c'est un plaisir, mais on a besoin aussi de gagner des matches pour se maintenir.
Il vous manque encore quatre victoires pour vous maintenir et vous recevez six fois. C'est d'abord chez vous que le maintien se jouera ?
Le contexte y est plus favorable et ce seront des opportunités. Après, je ne sais pas comment les entraîneurs ont planifié la fin de saison, la gestion de l'effectif. Mais, nous, joueurs, nous ne calculons pas et je ne crois pas que nous puissions nous le permettre : quand on voit le nom des équipes qu'on va recevoir, on a intérêt à grappiller tout ce qu'on peut à l'extérieur. Et on sait qu'on va être plus attendu maintenant.
Vu votre parcours jusqu'ici, ne pas se maintenir serait une vraie déception. Cela ajoute de la pression ?
Je ne sais pas… On entend ou on lit que Bordeaux serait quasi-maintenu, dans notre tête, rien n'a changé : il y a de fortes chances que le maintien se joue à la dernière journée. On a peut-être grimpé au classement en gagnant deux rencontres, mais il suffit qu'on en perde deux d'affilée pour se retrouver dans la nasse. Et ça arrivera peut-être. On doit rester serrés et soudés, ne pas changer notre façon de fonctionner. La seule chose qui nous importe est de laisser la 13e place derrière nous au final.
Où se situe encore la marge de progression de ce groupe ?
Ces derniers temps, nous avons été en difficulté sur le replacement défensif. En conquête, je trouve que l'on a trouvé une bonne stabilité. Et offensivement, il faut que l'on soit encore plus précis, pointilleux sur les détails, les placements. Il y a toujours à faire.
Avec l'annonce du prochain départ de Marc Delpoux, puis à un autre niveau l'AVC de Laurent Armand, le début d'année a été très lourd émotionnellement. Craignez-vous un contrecoup ?
Je ne pense pas. Le départ de Marc n'a pas été une grosse surprise : il y avait eu des choses de sorties dans les journaux, et on s'y attendait un peu. Cela fait partie du monde professionnel et ça n'a pas changé sa façon de travailler.
L'accident de Laurent nous a tous bouleversés. Ca a été très difficile, on pense tous à lui au quotidien et les nouvelles positives font du bien. Mais on atoujours insisté sur le fait qu'il ne fallait que ça nous serve de motivation sportive. Et je ne crois pas que tout cela affectera nos résultats.
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Ne calculons pas en effet, accumulons, il sera toujours temps de faire les additions
Par nicolas le gardien
Julien Seron (UBB) : « Nous ne calculons pas »
Capitaine à Toulouse fin octobre, le demi de mêlée girondin Julien Seron, apparu onze fois en quatorze matches de Top 14 cette saison, évoque le contexte du rendez-vous de samedi.
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Julien Seron (au centre) vient féliciter Blair Connor après son essai contre le Stade Français. (l.T.)
Au sein du groupe de l'Union Bordeaux-Bègles, lui serait à classer dans les mobilisateurs. Un râleur sur le terrain, mais surtout un chambreur, apprécié et rassembleur, dont le staff a fait l'un de ses vice-capitaines, lui confiant le brassard à Toulouse fin octobre. Julien Seron, 28 ans, formé à Chalon-sur-Saône puis Bourg-en-Bresse avant de poser son sac à Narbonne et à l'Union en 2010, pose son regard alors que son équipe attaque contre Clermont une série de quatre matches importants.
« Sud Ouest ». Jouer Clermont, c'est encore au-dessus de ce que vous avez connu jusqu'ici ?
Julien Seron. Oui. Avec Toulouse, Clermont est l'autre très grosse équipe de ce championnat, une référence pour tout le monde. Cela fait une dizaine d'années qu'ils sont présents en demi-finale ou finale quasiment chaque année et ils sont encore bien placés pour y parvenir. On a joué des gros ici, mais c'est encore un ton au-dessus avec un jeu complet, un effectif avec des internationaux partout. Il faudra se surpasser, en espérant avoir le brin de réussite nécessaire face à ces équipes. Et en ayant en tête que ce sera beaucoup plus serré que contre le Stade Français (39-6 le 31 décembre, NDLR).
Abordez-vous ces rencontres face aux équipes de tête différemment qu'il y a cinq mois ?
Peut-être inconsciemment, oui, on ressent un peu moins de pression. Il y a un peu plus de sérénité. Après, on garde en tête que l'on est un promu et on sait très bien que ce sera compliqué.
Mais on doit s'accrocher pour prendre le maximum de points. Jouer contre Clermont, à domicile, c'est un plaisir, mais on a besoin aussi de gagner des matches pour se maintenir.
Il vous manque encore quatre victoires pour vous maintenir et vous recevez six fois. C'est d'abord chez vous que le maintien se jouera ?
Le contexte y est plus favorable et ce seront des opportunités. Après, je ne sais pas comment les entraîneurs ont planifié la fin de saison, la gestion de l'effectif. Mais, nous, joueurs, nous ne calculons pas et je ne crois pas que nous puissions nous le permettre : quand on voit le nom des équipes qu'on va recevoir, on a intérêt à grappiller tout ce qu'on peut à l'extérieur. Et on sait qu'on va être plus attendu maintenant.
Vu votre parcours jusqu'ici, ne pas se maintenir serait une vraie déception. Cela ajoute de la pression ?
Je ne sais pas… On entend ou on lit que Bordeaux serait quasi-maintenu, dans notre tête, rien n'a changé : il y a de fortes chances que le maintien se joue à la dernière journée. On a peut-être grimpé au classement en gagnant deux rencontres, mais il suffit qu'on en perde deux d'affilée pour se retrouver dans la nasse. Et ça arrivera peut-être. On doit rester serrés et soudés, ne pas changer notre façon de fonctionner. La seule chose qui nous importe est de laisser la 13e place derrière nous au final.
Où se situe encore la marge de progression de ce groupe ?
Ces derniers temps, nous avons été en difficulté sur le replacement défensif. En conquête, je trouve que l'on a trouvé une bonne stabilité. Et offensivement, il faut que l'on soit encore plus précis, pointilleux sur les détails, les placements. Il y a toujours à faire.
Avec l'annonce du prochain départ de Marc Delpoux, puis à un autre niveau l'AVC de Laurent Armand, le début d'année a été très lourd émotionnellement. Craignez-vous un contrecoup ?
Je ne pense pas. Le départ de Marc n'a pas été une grosse surprise : il y avait eu des choses de sorties dans les journaux, et on s'y attendait un peu. Cela fait partie du monde professionnel et ça n'a pas changé sa façon de travailler.
L'accident de Laurent nous a tous bouleversés. Ca a été très difficile, on pense tous à lui au quotidien et les nouvelles positives font du bien. Mais on atoujours insisté sur le fait qu'il ne fallait que ça nous serve de motivation sportive. Et je ne crois pas que tout cela affectera nos résultats.
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Ne calculons pas en effet, accumulons, il sera toujours temps de faire les additions
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Allez UBB
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Avant d'aborder ce vendredi un match capital pour le reste de la saison, j'ai profité d'une heure de libre pour faire un petit point sur le principal objectif de cette première saison en Top14 : le maintien
Avec 16 journées déjà derrière nous et plus qu'une dizaine de matchs à jouer, il est d'ores et déjà possible d'avoir un aperçu de ce que nous réserve la fin du championnat.
Ainsi, deux groupes distincts ont vu le jour dans ce championnat, avec d'un coté un groupe lutant pour les qualifications aux phases finales et la course à l'Europe (les 8 premiers), et dans l'autre moitié du classement, un groupe regroupant les équipes luttant pour le maintien.
Et une chose est sure : une grosse écurie risque fort de descendre cette année ! (Bayonne, Perpignan ou Biarritz)
A l'heure actuelle, l'UBB est plutôt en bonne position avec une 9ème place, forte de 31pts et 7 victoires (5 à domicile et 2 à l'extérieur).
Et à tout cela est encore à ajouter un match en retard, à domicile, contre l'autre promu.
Cependant, cette 9ème place reste précaire et instable, au vu de la vitesse où bouge le classement après chaque journée et de l'acharnement de chacune des équipes qui résident en bas de tableau à lutter pour leur maintien.
Ainsi, le moindre faux pas (comme 2 défaites consécutives) pourrait avoir des conséquences très fâcheuses en nous refaisant chuter aux portes de la zone de relégation, et il faut donc garder à l'esprit que le maintien se joue à chaque match.
Il nous reste encore 11 matchs à disputer (5 réceptions et 6 domiciles), et tous les points seront bons à prendre.
Si certaines réceptions sont tout à fait à notre portée (Agen, Lyon), d'autres seront plus difficiles à négocier (Toulouse), quand beaucoup de déplacements risquent d'être périlleux (Toulon, Racing, Castres) ou décisifs (Biarritz, Brive, Lyon).
Par ailleurs, pour beaucoup de spécialistes, la barre du maintien est fixé aux alentours des 44-45pts, et si l'on s'appuie sur le parcours déjà effectué par l'UBB et les années précédentes, nous sommes en bonne voie.
Si l'on part sur cette base, il manquerait à l'Union une quinzaine de points à aller chercher, et force est de constater que cela ne sera pas aisé.
Avec les 2 ou 3 matchs à notre portée (Agen, Lyon et Perpignan à domicile), une douzaine de points est prenable sur nos réceptions restantes.
Mais cela risque de ne pas suffire (surtout en cas de défaillance à domicile) et des points seront forcément à aller chercher à l'extérieur ou sur nos réceptions plus compliquées.
Mais avec la force de caractère, la motivation et l'ambition qu'on lui connait et dont elle a déjà fait preuve, l'UBB a les ressources pour aller chercher 15 à 20pts d'ici la dernière journée (si aucune défaillance majeure ne vient perturber la machine girondine).
Un autre point majeure est à prendre en compte, les concurrents directs.
Si certains comme Biarritz ont un calendrier à priori plutôt abordable (6 réceptions pour 4 déplacements), d'autres risquent d'avoir plus de peine dans leur quête du maintien, à l'image de Brive (4 réceptions pour 6 déplacements).
En analysant la forme actuelle de chacune de ces équipes et leurs match à venir, je me suis permis de faire quelques pronostiques.
Bayonne : 5 réceptions (Stade Français, Clermont, Brive, Biarritz et Agen) et 5 déplacements (Racing, Montpellier, Perpignan, Lyon et Castres)
Biarritz : 6 réceptions (Toulouse, Bordeaux, Brive, Clermont, Racing et Stade français) et 4 déplacements (Perpignan, Lyon, Bayonne et Montpellier)
Bordeaux-bègles : 5 réceptions (Lyon, Montpellier, Toulouse, Agen et Perpignan) et 6 déplacements (Toulon, Biarritz, Racing, Lyon, Castres et Brive)
Brive : 4 réceptions (Castres, Stade Français, Toulon et Bordeaux-bègles) et 6 déplacements (Lyon, Biarritz, Bayonne, Racing, Toulouse et Clermont)
Lyon : 6 réceptions (Brive, Racing, Biarritz, Bordeaux-bègles, Bayonne et Toulon) et 5 déplacements (Bordeaux-bègles, Castres, Stade Français, Montpellier et Perpignan)
Perpignan : 5 réceptions (Biarritz, Toulon, Bayonne, Toulouse et Lyon) et 5 déplacements (Montpellier, Agen, Clermont, Stade Français et Bordeaux-bègles)
Avec ces estimations, je verrai bien le classements suivant à la clotûre de ce Top14 2011-2012 :
...
9ème : Bordeaux-bègles
10ème : Biarritz
11ème : Perpignan
12ème : Bayonne
---
13ème : Lyon
14ème : Brive
Ainsi donc, je pense pour ma part que c'est entre Lyon, Bayonne et surtout Brive que se jouera la descente, avec un désavantage pour Brive et Lyon.
En effet, c'est Brive qui me semble le plus en danger avec seulement 4 réceptions (et pas des moindres !) pour 6 déplacements difficiles (notamment chez les 2 leaders !).
Désolé pour mes amis brivistes, mais cette année, je suis plutôt pessimiste pour les Coujoux :/
Devant, la second siège éjectable se jouera pour moi entre Lyon et Bayonne.
Le premier reçoit certes 6 fois mais comme toutes les "petites" équipes, la faible profondeur de banc et le manque d'expérience seront un sérieux handicap pour le promu lyonnais. Quant au Bayonnais, le programme est très chargé avec des matchs compliqués presque chaque semaine (Clermont, Castres, Stade français, Racing, Montpellier...) et une mayonnaise qui ne prends toujours pas du coté des ciel et blanc (sans compter sur la valse des staffs qui n'arrange rien) vont peser sur les Bayonnais.
Enfin, je pense que pour Biarritz et Perpignan, c'est l'effectif très complet et surtout la grande expérience qui parlera et évitera à ces deux grosses écuries de basculer en ProD2.
Bien sur je peux me tromper, et c'est peut-être présomptueux de se prononcer ainsi.
Mais je voudrai montrer à tous que si le maintien est en bonne voie et est à notre portée, il ne tient à pas grand chose et loin d'être acquis.
En attendant, allez l'Union !
Avec 16 journées déjà derrière nous et plus qu'une dizaine de matchs à jouer, il est d'ores et déjà possible d'avoir un aperçu de ce que nous réserve la fin du championnat.
Ainsi, deux groupes distincts ont vu le jour dans ce championnat, avec d'un coté un groupe lutant pour les qualifications aux phases finales et la course à l'Europe (les 8 premiers), et dans l'autre moitié du classement, un groupe regroupant les équipes luttant pour le maintien.
Et une chose est sure : une grosse écurie risque fort de descendre cette année ! (Bayonne, Perpignan ou Biarritz)
A l'heure actuelle, l'UBB est plutôt en bonne position avec une 9ème place, forte de 31pts et 7 victoires (5 à domicile et 2 à l'extérieur).
Et à tout cela est encore à ajouter un match en retard, à domicile, contre l'autre promu.
Cependant, cette 9ème place reste précaire et instable, au vu de la vitesse où bouge le classement après chaque journée et de l'acharnement de chacune des équipes qui résident en bas de tableau à lutter pour leur maintien.
Ainsi, le moindre faux pas (comme 2 défaites consécutives) pourrait avoir des conséquences très fâcheuses en nous refaisant chuter aux portes de la zone de relégation, et il faut donc garder à l'esprit que le maintien se joue à chaque match.
Il nous reste encore 11 matchs à disputer (5 réceptions et 6 domiciles), et tous les points seront bons à prendre.
Si certaines réceptions sont tout à fait à notre portée (Agen, Lyon), d'autres seront plus difficiles à négocier (Toulouse), quand beaucoup de déplacements risquent d'être périlleux (Toulon, Racing, Castres) ou décisifs (Biarritz, Brive, Lyon).
Par ailleurs, pour beaucoup de spécialistes, la barre du maintien est fixé aux alentours des 44-45pts, et si l'on s'appuie sur le parcours déjà effectué par l'UBB et les années précédentes, nous sommes en bonne voie.
Si l'on part sur cette base, il manquerait à l'Union une quinzaine de points à aller chercher, et force est de constater que cela ne sera pas aisé.
Avec les 2 ou 3 matchs à notre portée (Agen, Lyon et Perpignan à domicile), une douzaine de points est prenable sur nos réceptions restantes.
Mais cela risque de ne pas suffire (surtout en cas de défaillance à domicile) et des points seront forcément à aller chercher à l'extérieur ou sur nos réceptions plus compliquées.
Mais avec la force de caractère, la motivation et l'ambition qu'on lui connait et dont elle a déjà fait preuve, l'UBB a les ressources pour aller chercher 15 à 20pts d'ici la dernière journée (si aucune défaillance majeure ne vient perturber la machine girondine).
Un autre point majeure est à prendre en compte, les concurrents directs.
Si certains comme Biarritz ont un calendrier à priori plutôt abordable (6 réceptions pour 4 déplacements), d'autres risquent d'avoir plus de peine dans leur quête du maintien, à l'image de Brive (4 réceptions pour 6 déplacements).
En analysant la forme actuelle de chacune de ces équipes et leurs match à venir, je me suis permis de faire quelques pronostiques.
Bayonne : 5 réceptions (Stade Français, Clermont, Brive, Biarritz et Agen) et 5 déplacements (Racing, Montpellier, Perpignan, Lyon et Castres)
Biarritz : 6 réceptions (Toulouse, Bordeaux, Brive, Clermont, Racing et Stade français) et 4 déplacements (Perpignan, Lyon, Bayonne et Montpellier)
Bordeaux-bègles : 5 réceptions (Lyon, Montpellier, Toulouse, Agen et Perpignan) et 6 déplacements (Toulon, Biarritz, Racing, Lyon, Castres et Brive)
Brive : 4 réceptions (Castres, Stade Français, Toulon et Bordeaux-bègles) et 6 déplacements (Lyon, Biarritz, Bayonne, Racing, Toulouse et Clermont)
Lyon : 6 réceptions (Brive, Racing, Biarritz, Bordeaux-bègles, Bayonne et Toulon) et 5 déplacements (Bordeaux-bègles, Castres, Stade Français, Montpellier et Perpignan)
Perpignan : 5 réceptions (Biarritz, Toulon, Bayonne, Toulouse et Lyon) et 5 déplacements (Montpellier, Agen, Clermont, Stade Français et Bordeaux-bègles)
Avec ces estimations, je verrai bien le classements suivant à la clotûre de ce Top14 2011-2012 :
...
9ème : Bordeaux-bègles
10ème : Biarritz
11ème : Perpignan
12ème : Bayonne
---
13ème : Lyon
14ème : Brive
Ainsi donc, je pense pour ma part que c'est entre Lyon, Bayonne et surtout Brive que se jouera la descente, avec un désavantage pour Brive et Lyon.
En effet, c'est Brive qui me semble le plus en danger avec seulement 4 réceptions (et pas des moindres !) pour 6 déplacements difficiles (notamment chez les 2 leaders !).
Désolé pour mes amis brivistes, mais cette année, je suis plutôt pessimiste pour les Coujoux :/
Devant, la second siège éjectable se jouera pour moi entre Lyon et Bayonne.
Le premier reçoit certes 6 fois mais comme toutes les "petites" équipes, la faible profondeur de banc et le manque d'expérience seront un sérieux handicap pour le promu lyonnais. Quant au Bayonnais, le programme est très chargé avec des matchs compliqués presque chaque semaine (Clermont, Castres, Stade français, Racing, Montpellier...) et une mayonnaise qui ne prends toujours pas du coté des ciel et blanc (sans compter sur la valse des staffs qui n'arrange rien) vont peser sur les Bayonnais.
Enfin, je pense que pour Biarritz et Perpignan, c'est l'effectif très complet et surtout la grande expérience qui parlera et évitera à ces deux grosses écuries de basculer en ProD2.
Bien sur je peux me tromper, et c'est peut-être présomptueux de se prononcer ainsi.
Mais je voudrai montrer à tous que si le maintien est en bonne voie et est à notre portée, il ne tient à pas grand chose et loin d'être acquis.
En attendant, allez l'Union !
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
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Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Ce scenario me plait . . . où est-ce qu'on signe ??
Fabrice Heurtevent- J'aime l'Union passionnément
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Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 06/05/2011
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Ce qui se confirme depuis la montée, depuis Agen au printemps dernier contre Albi, c'est le plaisir qu'a cette équipe de pratiquer le rugby. Ce qui nous plaît c'est sa générosité et quelque chose comme un Amour de Bordeaux, de notre pays.
On est Heureux de les voir jouer car ils sont Heureux de jouer pour eux et pour nous. On a de la chance.
On est Heureux de les voir jouer car ils sont Heureux de jouer pour eux et pour nous. On a de la chance.
LIONS'XV- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 450
Localisation : BORDEAUX
Date d'inscription : 03/11/2008
Humeur : Allez l'Union, quoi qu'il en soit !
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Oui, je crois qu'il y a vraiment une amour de ... la GirondeLIONS'XV a écrit:Ce qui se confirme depuis la montée, depuis Agen au printemps dernier contre Albi, c'est le plaisir qu'a cette équipe de pratiquer le rugby. Ce qui nous plaît c'est sa générosité et quelque chose comme un Amour de Bordeaux, de notre pays.
On est Heureux de les voir jouer car ils sont Heureux de jouer pour eux et pour nous. On a de la chance.
Cool- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 638
Localisation : merignac
Date d'inscription : 28/01/2008
Humeur : Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent...
Age : 62
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
La Gironde est terre rugby,
Nous encourageons l'UBB,
Nous avons une grande passion pour cette équipe,
Il existe un lien fusionnel entre le staff, les joueurs et nous autres supporters,
Nous allons nous maintenir car nous serons 10° à la fin de la saison,
Nous avons plus d'envie que de peur.
:musard:
Nous encourageons l'UBB,
Nous avons une grande passion pour cette équipe,
Il existe un lien fusionnel entre le staff, les joueurs et nous autres supporters,
Nous allons nous maintenir car nous serons 10° à la fin de la saison,
Nous avons plus d'envie que de peur.
:musard:
enzo- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 1435
Localisation : PESSAC
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
Oui Cool et même de toute la cote d'Argent.
léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9910
Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
C'est tout à fait comme cela que je l'entend Léo
Cool- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 638
Localisation : merignac
Date d'inscription : 28/01/2008
Humeur : Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent...
Age : 62
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
http://www.sudouest.fr/2012/02/06/jusqu-ou-ira-l-union-626156-8.php
Par Nicolas le gardien
Jusqu'où ira l'Union Bordeaux-Bègles ?
Vainqueur avec le bonus, l'UBB avance et séduit. Entre volonté et prudence.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Il manque encore 11 points à Reihana et l'Union (Photo Thierry David)
«Sixième. » Il l'a dit tellement naturellement, que cela en était décoiffant. Très osé bien sûr, mais à l'image d'un groupe désarmant par sa fraîcheur et sa volonté d'avancer. Sixième, c'est l'objectif de l'ailier de l'Union Bordeaux-Bègles Blair Connor, donné lundi dernier lors de la remise de son trophée « France Bleu - Sud Ouest » du meilleur joueur aquitain de Top 14 de décembre. Depuis, l'UBB a continué sa marche en avant vendredi face à Lyon (31-10), bonus offensif à la clé. Pas sauvée au vu de son calendrier mais 8e ex æquo avec 12 points d'avance sur les relégables et… 4 de retard sur la 5e place à 10 journées de la fin. Qui l'aurait cru ?
1 Un groupe « pas encore à maturité »
C'était à la veille de Noël, après une seconde mi-temps catastrophique à Perpignan (6-13 à la pause ; 38-13 au final). L'Union n'était pas dans le rouge - elle ne l'a jamais été cette saison -, mais au pied du mur avant quatre matches (Stade Français, Bayonne, Clermont, Lyon) décisifs. Et comme à chaque fois depuis deux ans, elle a négocié le virage sans déraper : 15 points dont 5 unités dans un match en retard redouté face au LOU. « Nous avons fait 60 minutes excellentes avant d'être plus dans la gestion, glissait le manager Marc Delpoux. Entre deux équipes de valeur équivalente, c'est la construction qui a fait la différence. »
Au-delà de l'aspect comptable, ses troupes, solides en conquête, séduisent par le jeu offensif mis en place depuis trois saisons. Sans être au bout de leurs capacités selon le Narbonnais. « Aujourd'hui, les garçons ont bien intégré le système de mouvements de blocs. Mais à l'intérieur de cela, on n'est pas figé et on peut progresser. Aujourd'hui, on joue bien les coups 3 fois sur 10. Il faudrait qu'on arrive à monter à 6 sur 10. Il s'agit d'alternance, pas forcément entre main ou pied, mais sur les zones à attaquer. C'est ce qui nous a manqué contre Clermont (10-17) », dit le technicien, pointant aussi des réglages défensifs. Mais « pas surpris ». « Ceux qui découvraient le niveau se sont décomplexés. Et Adams ou Connor jouaient le Super 14, Purll et Treloar la H-Cup… La saison en Pro D2 leur a permis de faire l'apprentissage du rugby français: Connor n'avait jamais travaillé la stratégie, Avei la mêlée. Ce groupe n'est pas encore arrivé à maturité. Et avec un recrutement qui apportera encore plus de profondeur, il peut faire encore mieux dans l'avenir. »
2 Une solidité mentale
C'était le mois de tous les dangers. L'Union l'a traversé sans dégât, malgré ce qui l'a agité : le départ en fin de saison (pour Perpignan) de Marc Delpoux, l'accident vasculaire cérébral de Laurent Armand. Le premier n'a pas surpris le groupe, préparé en amont par les échos médiatiques, ni changé le fonctionnement. Il a en revanche, sur les à-côtés et la genèse plus que le fond, rompu la relation entre le président Laurent Marti et son manager. Les deux hommes, « ayant un objectif commun », composant avec. Et un froid dont le reste du sportif, y étant étranger, a fait abstraction.
L'AVC, le 2 janvier, de l'entraîneur des avants a lui été un choc et créé un vide humain et sportif. Staff et joueurs ont choisi de faire la part des choses et ne pas s'y appuyer. Mais le coup a encore resserré les liens d'un groupe heureux sur le terrain et en dehors et très impliqué : neuf cadres en fin de contrat ont déjà choisi de poursuivre l'aventure.
Si responsabilisation est le maître mot, c'est plutôt contre l'euphorie, née des résultats et des nouvelles positive de la santé de Laurent Armand (1), et le risque de penser trop vite à la suite, que le staff a mis en garde. « J'ai fait une piqûre de rappel jeudi dernier car je pensais qu'il y en avait besoin, dit Marc Delpoux. Et le repas du président, jeudi prochain, en donnera une nouvelle. »
3 Une fin de saison compliquée
Les 8 succès actuels auraient déjà assuré (ou quasi) le maintien de l'Union lors de 5 des 7 précédentes saisons mais la densité de l'actuelle a compliqué la donne : il lui en faudra 11 (ou 10 et trois bonus de plus) pour être sauvé. « Sauf si les garçons nous réservent encore une surprise, on va rentrer dans le rang au cours des sept prochains matchs (2), prévient Laurent Marti. Mais avec une telle qualité de jeu, je ne comprendrais pas comment on pourrait descendre. » « Il faut que l'on continue à avoir peur, glisse de son côté Marc Delpoux. Les compliments font plaisir et s'il y a un sondage aujourd'hui, plus personne ne nous donnera relégable. Mais ce n'est pas fini et je crains l'effet que peut avoir l'entourage. »
Le déplacement à Toulon, samedi, devrait se faire sans les cadres rattrapés par les blessures (3) et sans pression. La réception d'un Montpellier en grande forme, le 18 février, sera révélatrice sur la possibilité, ou pas, de l'Union de se mettre à l'abri avant mai. « On doit continuer à travailler comme depuis le début, se fixer des objectifs au fil des matches, s'occuper de nous » répond l'ouvreur Camille Lopez. Jusqu'ici, ça marche.
(1) Sorti des soins intensifs la semaine passée, il a débuté la rééducation neurologique. (2) À Toulon, contre Montpellier, à Biarritz et au Racing, contre Toulouse, à Lyon et Castres. (3) Leo est absent jusqu'à mi-février. Adams (pouce) et Conno (épaule) vont passer des examens. Florea (cervicales) était absent vendredi, Jaulhac a joué avec une petite entorse à la cheville.
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4 matchs à la maison à jouer, des visites à Brive et Lyon, ce serait quand même le diable si on ne pouvait pas mettre quelques points de plus dans l’escarcelle
Par Nicolas le gardien
Jusqu'où ira l'Union Bordeaux-Bègles ?
Vainqueur avec le bonus, l'UBB avance et séduit. Entre volonté et prudence.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Il manque encore 11 points à Reihana et l'Union (Photo Thierry David)
«Sixième. » Il l'a dit tellement naturellement, que cela en était décoiffant. Très osé bien sûr, mais à l'image d'un groupe désarmant par sa fraîcheur et sa volonté d'avancer. Sixième, c'est l'objectif de l'ailier de l'Union Bordeaux-Bègles Blair Connor, donné lundi dernier lors de la remise de son trophée « France Bleu - Sud Ouest » du meilleur joueur aquitain de Top 14 de décembre. Depuis, l'UBB a continué sa marche en avant vendredi face à Lyon (31-10), bonus offensif à la clé. Pas sauvée au vu de son calendrier mais 8e ex æquo avec 12 points d'avance sur les relégables et… 4 de retard sur la 5e place à 10 journées de la fin. Qui l'aurait cru ?
1 Un groupe « pas encore à maturité »
C'était à la veille de Noël, après une seconde mi-temps catastrophique à Perpignan (6-13 à la pause ; 38-13 au final). L'Union n'était pas dans le rouge - elle ne l'a jamais été cette saison -, mais au pied du mur avant quatre matches (Stade Français, Bayonne, Clermont, Lyon) décisifs. Et comme à chaque fois depuis deux ans, elle a négocié le virage sans déraper : 15 points dont 5 unités dans un match en retard redouté face au LOU. « Nous avons fait 60 minutes excellentes avant d'être plus dans la gestion, glissait le manager Marc Delpoux. Entre deux équipes de valeur équivalente, c'est la construction qui a fait la différence. »
Au-delà de l'aspect comptable, ses troupes, solides en conquête, séduisent par le jeu offensif mis en place depuis trois saisons. Sans être au bout de leurs capacités selon le Narbonnais. « Aujourd'hui, les garçons ont bien intégré le système de mouvements de blocs. Mais à l'intérieur de cela, on n'est pas figé et on peut progresser. Aujourd'hui, on joue bien les coups 3 fois sur 10. Il faudrait qu'on arrive à monter à 6 sur 10. Il s'agit d'alternance, pas forcément entre main ou pied, mais sur les zones à attaquer. C'est ce qui nous a manqué contre Clermont (10-17) », dit le technicien, pointant aussi des réglages défensifs. Mais « pas surpris ». « Ceux qui découvraient le niveau se sont décomplexés. Et Adams ou Connor jouaient le Super 14, Purll et Treloar la H-Cup… La saison en Pro D2 leur a permis de faire l'apprentissage du rugby français: Connor n'avait jamais travaillé la stratégie, Avei la mêlée. Ce groupe n'est pas encore arrivé à maturité. Et avec un recrutement qui apportera encore plus de profondeur, il peut faire encore mieux dans l'avenir. »
2 Une solidité mentale
C'était le mois de tous les dangers. L'Union l'a traversé sans dégât, malgré ce qui l'a agité : le départ en fin de saison (pour Perpignan) de Marc Delpoux, l'accident vasculaire cérébral de Laurent Armand. Le premier n'a pas surpris le groupe, préparé en amont par les échos médiatiques, ni changé le fonctionnement. Il a en revanche, sur les à-côtés et la genèse plus que le fond, rompu la relation entre le président Laurent Marti et son manager. Les deux hommes, « ayant un objectif commun », composant avec. Et un froid dont le reste du sportif, y étant étranger, a fait abstraction.
L'AVC, le 2 janvier, de l'entraîneur des avants a lui été un choc et créé un vide humain et sportif. Staff et joueurs ont choisi de faire la part des choses et ne pas s'y appuyer. Mais le coup a encore resserré les liens d'un groupe heureux sur le terrain et en dehors et très impliqué : neuf cadres en fin de contrat ont déjà choisi de poursuivre l'aventure.
Si responsabilisation est le maître mot, c'est plutôt contre l'euphorie, née des résultats et des nouvelles positive de la santé de Laurent Armand (1), et le risque de penser trop vite à la suite, que le staff a mis en garde. « J'ai fait une piqûre de rappel jeudi dernier car je pensais qu'il y en avait besoin, dit Marc Delpoux. Et le repas du président, jeudi prochain, en donnera une nouvelle. »
3 Une fin de saison compliquée
Les 8 succès actuels auraient déjà assuré (ou quasi) le maintien de l'Union lors de 5 des 7 précédentes saisons mais la densité de l'actuelle a compliqué la donne : il lui en faudra 11 (ou 10 et trois bonus de plus) pour être sauvé. « Sauf si les garçons nous réservent encore une surprise, on va rentrer dans le rang au cours des sept prochains matchs (2), prévient Laurent Marti. Mais avec une telle qualité de jeu, je ne comprendrais pas comment on pourrait descendre. » « Il faut que l'on continue à avoir peur, glisse de son côté Marc Delpoux. Les compliments font plaisir et s'il y a un sondage aujourd'hui, plus personne ne nous donnera relégable. Mais ce n'est pas fini et je crains l'effet que peut avoir l'entourage. »
Le déplacement à Toulon, samedi, devrait se faire sans les cadres rattrapés par les blessures (3) et sans pression. La réception d'un Montpellier en grande forme, le 18 février, sera révélatrice sur la possibilité, ou pas, de l'Union de se mettre à l'abri avant mai. « On doit continuer à travailler comme depuis le début, se fixer des objectifs au fil des matches, s'occuper de nous » répond l'ouvreur Camille Lopez. Jusqu'ici, ça marche.
(1) Sorti des soins intensifs la semaine passée, il a débuté la rééducation neurologique. (2) À Toulon, contre Montpellier, à Biarritz et au Racing, contre Toulouse, à Lyon et Castres. (3) Leo est absent jusqu'à mi-février. Adams (pouce) et Conno (épaule) vont passer des examens. Florea (cervicales) était absent vendredi, Jaulhac a joué avec une petite entorse à la cheville.
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4 matchs à la maison à jouer, des visites à Brive et Lyon, ce serait quand même le diable si on ne pouvait pas mettre quelques points de plus dans l’escarcelle
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Allez UBB
Re: Saison 2011-2012 : LE maintien
http://www.rugbyrama.fr/pierre-villepreux_blog105/galles-et-irlande-les-meilleurs-eleves_post1050373/blogpostfull.shtml
"Les jeux gallois comme irlandais se forgent dans les compétitions inter-provinciales dans lesquels ils sont engagés. Reproduire ces schémas en équipe nationale ne les perturbent pas. Dans leur tête, le résultat passe par là. Soit dit en passant , dans le Top 14, c’est aussi avec cet état d’esprit que Bègles-Bordeaux s’est largement imposé avec la manière devant Lyon. C’est d’ailleurs devenu le jeu référent de ce collectif, quels que soient les adversaires, celui qui leur permettra sans doute de rester dans l’élite."
Comparaison flatteuse de PV.
"Les jeux gallois comme irlandais se forgent dans les compétitions inter-provinciales dans lesquels ils sont engagés. Reproduire ces schémas en équipe nationale ne les perturbent pas. Dans leur tête, le résultat passe par là. Soit dit en passant , dans le Top 14, c’est aussi avec cet état d’esprit que Bègles-Bordeaux s’est largement imposé avec la manière devant Lyon. C’est d’ailleurs devenu le jeu référent de ce collectif, quels que soient les adversaires, celui qui leur permettra sans doute de rester dans l’élite."
Comparaison flatteuse de PV.
Camiste- J'aime l'Union à la folie
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